« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Effectivement la demoiselle ne pensait plus réellement au fait qu'elle était parti pour récupérer la montre à gousset, elle désirait soigner la blessure qu'elle avait causer au propriétaire des lieux. Même si elle ne se pensait pas en infraction, puisqu'elle était rentrée facilement chez lui. En même temps par la magie s'était tout aussi facile. La demoiselle n'était pas une cambrioleuse, de toute évidence, elle avait un peu tout ce qu'elle désirait au monde, bien qu'elle n'en demande rien et se contente de peu. cela dit elle avait bien remarqué que tout ce qui se trouvait dans la demeure de Gabriel était si étrange par rapport à chez elle. Elle n'avait jamais vu un tel décor ou peut-être si chez Axel ou il y avait une boite magique. Étrange ? Qu'est-ce qui pouvait être étrange ? La jeune femme était en train de suivre le regard de ce dernier pour se faire une idée ce qu'il pouvait trouvé étrange et elle n'avait pas trop remarquer. Il regardait quoi ses meubles. Ohhh la décoration.. Elle avait un peu beug au mot contemporain. Je vous prie de m'excusez mais, contemporain c'est les choses un peu technologique ? comme la boite à image ? C'est quoi le nom... Ah oui ! télévision ? On pouvait pas lui en vouloir de vivre comme une reclus de la société, on pouvait grandement remercier son soit disant père pour tout cela. Et bien chacun peut avoir des choses auquel on s'attache qui n'est pas forcément dans nos gouts. Et puis une monstre à gousset n'est pas vilain, c'est même très jolie Surtout qu'on pouvait s'attacher à un objet tout simplement parce que ça pouvait nous faire penser à une personne. Soit peut-être parce qu'il à des vertu magique ou recèle un pouvoir. Peut-être aussi parce que cet objet est magique ?
Elle fronça légèrement les sourcils mais garda un léger sourire sur les lèvres. Oui veuillez m'excusez Monsieur Gabriel Agreste. Ce nom n'était pas inconnu aux yeux de tous puis elle avait remarquer que le regard de l'homme s'était posé sur sa robe. Bien sur qu'elle vous dit quelques choses puisque c'est vous qui me l'aviez dessiné Et passer entre les mains de ses couturiers. Vif Argent.. Haggard Vif Argent Son nom lui disait surement quelques choses, ils avaient un Haras et était réputé pour entrainer des chevaux de compétition.
La demoiselle avait donc gagné une manche, Gabriel avait donc cédé. A la plus grande joie de la demoiselle qui lui adressa un charmant sourire. Vous voyez ce n'est pas si difficile et puis vous n'aurez surement plus rien après. Les pas de la demoiselle s'était donc mit à suivre le propriétaire des lieux, elle prenait le temps de regarder chaque endroit, c'était peut-être moderne mais elle sentait que ça manquait de chaleur, tout comme chez elle. Gabriel avait l'air si seul, que ça faisait un peu de mal à la demoiselle qui voulait lui apporter du réconfort. Ils étaient donc arrivé dans une nouvelle pièce. L'homme était en train de tout poser sur la table. C'était bien des choses qu'elle ne connaissait pas à quoi est-ce que cela pouvait bien servir. Une bouteille étrange.. Oh du coton ça elle connaissait ! et un truc emballer. Mhh.. non ça elle n'en avait jamais vu.
Mhh... assied vous, et laissez moi faire.. je n'ai pas besoin de tout cela pour vous soigner. Elle lui faisait donc face même s'il était beaucoup plus grand qu'elle, cette dernière pouvait usé de force pour le faire s'asseoir. Heureusement pour elle, il y avait donc une chaise déjà préalablement tiré. Sinon elle n'aurait pas pu faire les deux ou il l'aurait sans doute arrêter avant qu'elle ne fasse quoi que ce soit. Voilà qui est mieux. Elle s'était don approcher pour regarder la brulure qui était sur la joue, elle ne l'avait visiblement pas loupé, ça devait lui faire mal. Ses doigts s'était poser autour de la blessure. Mhh.. Vous n'allez rien sentir en revanche n'ayez aucune crainte je ne vous ferais pas de mal Tout ce qui était les produits alcool ou autre, Amalthea n'y connaissait rien, pour elle, il n'y avait que la magique qui pouvait soigner les plaies.
Elle concentra néanmoins son pouvoir et s'approcha et déposa un baiser sur la joue du Styliste, un léger courant électrique parcouru son corps et une légère chaleur toucha donc la brulure d'Agreste. Faisant ainsi disparaitre la brulure causé par le chandelier. La demoiselle se recula tout ceci n'avait durée que quelques secondes. Votre joue est guéri Gabriel Son regard violet étaient posé sur le styliste, bien que c'était un geste anodin, cela lui fit un effet étrange, qu'elle ne prit pas la peine de chercher plus. Elle avait eu un accord avec lui, et devait donc livré ce nom qu'il attendait.
Son nom est Preminger Un homme beaucoup trop narcissique sur les bords, portant des talons pour commencer sa taille.
Une montre à gousset. À quel moment pouvait-on penser que le styliste contemporain Gabriel saurait porter ça sur lui, ou même disposer d'un tel objet quand on voyait tout ce qui décorait son manoir aujourd'hui ? Il fallait le connaître pour ne pas en douter, mais tout de même ne savait-il pas ce qui avait pris par la tête de l'inconnue de chercher, parmi tant de moderne, de l'ancien. Le styliste savait ne détenir aucune montre de ce genre, ce qui remettait en cause toute l'infiltration d'Amalthea, elle même s'en rendit compte. Pourtant, la jeune femme le connaissait. De nom, du moins, et peut-être de visage. Elle savait à qui elle parlait alors que lui n'en récupéra un vif souvenir que lorsqu'elle traita de sa robe qu'il lui aurait confectionné. C'est vrai que maintenant qu'elle en parlait... Des détails lui ressemblait. L'agencement du tissu, surtout. Il s'était souvenu avoir travaillé dessus et pour cause, cette tenue faisait partie des robes qu'on avait pu lui commander - sur-mesure. Elles valaient chères.
"Haggard Vif d'Argent."
Les sourcils de Gabriel s'haussèrent légèrement, il réalisait.
"Oh. Vous êtes donc sa fille. Celle dont il parlait. C'est pour vous, donc, que Mr. Vif d'Argent passe commande depuis tout ce temps. Il acquiesça. Je vois."
Il le connaissait : non seulement en tant que client mais aussi pour la réputation dans le domaine de l'équitation. Entre autre, il le lui en avait parlé. Ainsi elle était la jeune fille qu'on avait mesuré et a qui il avait dessiné les robes. Cela surprit le styliste un temps, et désormais passait-il à autre chose, car de toute évidence, ça ne justifiait pas sa venue ici. Elle devait forcément le connaître et donc savoir quel style il entretenait. Les objets d'ancien temps ne l'intéressaient pas. Pourquoi le styliste n'avait-il pas fait le lien plus vite entre son nom et celui de son propre client ? Il n'y avait même pas songé, il faut croire que sa réflexion se fait de plus en plus lente ces derniers temps... Du moins, celle-ci est concentrée sur autre chose. À côté, l'effraction était un détail, détail qu'il souhaitait résoudre vite même si cela signifiait être soigné pour une blessure superficielle qu'il oubliait à chaque fois bien vite.
Se rendant jusqu'à une grand étagère de laquelle il sortit tous le matériel nécessaire pour se soigner, Gabriel était prêt à le faire lui-même - puisque l'idée était là qu'il soit désinfecté. Seulement, Amalthea intercepta le garçon pour procéder à sa propre manière.
"Comment voulez-vous faire pour soigner une égratignure sans al-" Lorsque la jeune fille s'avança, il recula et heurta le siège qui se trouvait derrière lui et le fit s'asseoir. Son regard, froncé, perdu, regardait avec méfiance la fille de son client laisser de côté les soins pour expliquer le sien.
La surprise fut grande lorsque celle-ci, s'approchant vint déposer un baiser sur la blessure de l'homme d'affaires, sans même lui avoir demandé son consentement. Les sourcils de Gabriel se froncèrent doublement tandis que reculant, Amalthea sourit simplement pour une action pure et innocente qui n'avait là aucune arrière-pensée. Le styliste posa la main sur sa joue pour vérifier la disparition de ladite éraflure et s'étonna à ne plus la voir. C'était vrai. Cependant, il ne pouvait pas se permettre de laisser passer un acte déplacé comme celui-ci, ce n'était pas envisageable. Il ne la connaissait pas, elle n'avait même pas été invitée sur les lieux. Elle profitait simplement que Gabriel ait baissé sa garde un instant. L'idée l'écœurait profondément alors qu'il se redressa en la repoussant d'un geste.
"D'où vous permettez-vous un comportement aussi familier avec moi ?" Il haussa la voix.
Mais la jeune femme tint parole la seconde qui suivit : elle donna le nom de l'individu qui avait lancé cette rumeur de vol de montre à gousset. Preminger. La nouvelle eut l'effet de calmer Gabriel Agreste un temps - le temps de réaliser de qui on parlait mais aussi de ce que ça amenait. Il grimaça légèrement.
"Je ne connais pas de Preminger. Qui est-il ? Et serra les poings, reprenant avec plus d'assurance. Quiconque cherche à nuire à ma réputation d'une façon aussi lâche en paiera le prix. Vous n'y ferez pas exception, Mlle. Vif d'Argent. Je ne vous ai pas autorisé à entrer en ces lieux, pas plus que je ne vous ai autorisé à être... Aussi... Hésitait-il. Tactile envers moi. J'en informerais les autorités et puisque vous êtes sous la tutelle de votre père, alors ce sera lui qui sera mis au courant de leur part. Il se tourna, mêlant ses doigts derrière son dos. Rentrez chez vous maintenant, je souhaitais être seul et vous ne faites que me rappeler à quel point."
Son était était instable, il ne supportait plus la compagnie depuis quelques temps, reconnaissant en eux ce qu'il avait perdu et refusait de retrouver en imitation. Son regard vaquait sur les murs, le sol, les meubles. Il réfléchissait à l'identité de cette personne qu'il ne connaissait pas. Mais qu'il devrait connaître. Qui était-ce encore ?
"Décidément, on ne me cause que des problèmes..." Grinça-t-il des dents à lui-même.
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-Tu ne devrais pas...ce n'est pas convenable.
- ...
-Majesté...
-Laisse moi... il n'y a qu'ici que je puisse avoir ce que je désire.
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Une montre à gousset pouvait servir à mainte chose dans une vie, comme indiquer une heure ou bien en allant plus loin pour un look vestimentaire. Ca rendait classe et certaines montre à gousset valait bien plus que leur pesant d'or. Ou bien plus cher que sa collection de chose moderne. Dans certaines légende une montre a gousset pouvait remonter le temps tout dépendait si elle était magique ou non cela dit. Parfois on pouvait en venir à porter des objet anciens quand ils étaient doté de particularité spécial. Capable de nous aider à changer. Comme cette demoiselle qui même si maintenant n'en était pas consciente pouvait avoir une corne sur son front à l'emplacement de sa tache en forme d'étoile qui était parfois caché par ses mèches de cheveux. Il était vrai que le styliste n'avait rien de tel au premier abord. Cela ne voulait pas dire qu'il n'en avait pas juste pas au yeux du public. Le prénom de son père ne passait guère inaperçu, il était connu dans le domaine équestre. Leur chevaux étaient doter de grande performance. Pas étonnant pour des pur-sang. Il avait haussé ses sourcils ce qui prouvait que son nom ne lui était pas inconnu. Oh. Vous êtes donc sa fille. Oui effectivement ça va de sens. Elle hocha la tête, même si elle n'en était pas très fière pour certaines choses. C'est pour vous, donc, que Mr. Vif d'Argent passe commande depuis tout ce temps Un nouvel hochement de tête. Oui c'est pour moi que vous avez fait ma commande, et je vous en remercie. EN même temps vu qu'il avait mit l'argent pour, il serait regrettable de ne pas saisir l'occasion.
Le regarde de la demoiselle ne le quittait pas, il était en train de réfléchir, elle ne portait que des robes ancienne selon les envie de son père. Pourtant lors de ses escapades, elle avait remarquer qu'il existait d'autre tenue qui pouvait lui convenir mais, elle ne pouvait pas en avoir pour le moment. Elle n'avait pas les moyens de s'en procurer.
Pour le moment elle avait gagné une bataille, ce dernier avait visiblement accepté qu'elle le soigne c'est pour cette raisons qu'elle était en train déambuler dans la demeure de monsieur Agreste. C'est vrai que sa demeure était vraiment intéressante, un jour elle ferais surement une visite touristique ici. Bah quoi ? Elle pouvait aller et venir comme elle le désirait sans que ce dernier ne l'apprenne, c'était jusque là elle avait manqué de vigilance. Elle se ferait plus discrète et elle ne voulait pas qu'il appel la police ce n'était pas son fort enfin.. même si elle ne savait pas qui ils étaient, ils ne seraient surement pas aussi méchant que son père parfois. Amalthea était au courant de la maladie de son père qui lui faisait ressentir aucune once de sentiment, elle savait qu'elle n'était pas aimé comme un enfant devrait l'être. Pour lui parfois elle était un fardeau mais elle était la seule a l'apaiser. Rien quand la regardant ce qui par ailleurs ne l'empêchait pas de gifler sa fille au passage quand elle montait sur ses grand chevaux à vouloir découvrir autre chose que les quatre mur du chateau.
Non vraiment Haggard n'était pas du tout le père modèle de l'année encore moins un modèle à suivre mais ça personne ne le savait et ne le voyait. Amalthea ne disait rien ou alors à quelques personnes c'est à dire une seule ou deux. En se déplaçant elle avait manqué de se tordre le pied à cause de ses talons. Arrivé à destination Gabriel avait sorti tout le nécessaire mais comment lui dire que tout cela n'allait pas être bien utilise pour le coup ? Parce que bon Amalthea était magique et peu de personne pouvait avoir droit à être soigner par cela ou du moins de voir de quoi elle pouvait-être capable. Son père lui disait toujours qu'elle ne devait pas montrer l'étendu de ses pouvoirs ou les autres viendraient l'enlever pour utiliser son dos à mauvais escient. Mais elle ne savait pourquoi peut-être que Gabriel était différent des autres ? Elle pouvait lui faire confiance ?
Elle stoppa tout ça pour faire à sa manière. Comment voulez-vous faire pour soigner une égratignure sans al- Comment elle comptait faire ? Et bien par magie ! Elle l'avait donc forcé à s'asseoir pour être a bonne hauteur parce que bon mine de rien, cet homme était très grand. Bon un peu comme la hauteur de son père qui faisait bien dans les un mètre quatre-vingt seize et vu la taille de Agreste, elle pouvait compter facilement deux mètres. C'est vrai que contrairement à sa taille, elle n'était guère très grande voir même insignifiante à coté de lui. L'acte le plus pur et innocent qui soit, on ne disait pas que les baiser guérissait les blessure ? Amalthea en était la preuve vivante. Elle n'avait aucune arrière pensée juste elle voulait le soigner rien de plus, faire disparaître cette brulure de la joue de cet homme. Juste après cela, la brulure s'était envolé comme si elle n'avait jamais été là. Même si à dire vrai cela lui avait donné un peu mal à la tête. Plus elle utilisait sa force et son pouvoir lui donnait des migraines par moment. Après ça il se redressa rapidement et la repoussa d'un geste manquant par ailleurs de la faire tomber à cause de son vertige. Elle le soignait et s'était ainsi qu'il la remerciait en la bafouant d'un geste de la main comme une misérable ? Pourquoi les être humain était toujours sur la défensive, qu'avait-elle fait de mal ? Rien au contraire elle l'avait aidé. Un flash apparu alors, celle d'une ancienne vie ou elle manquait de se faire frapper par... par Haggard en le traitant de fou. D'où vous permettez-vous un comportement aussi familier avec moi ? Familier ? PLait-il ? Je... Elle était en train de se remettre de son flash, elle se frotta les yeux... Familier ? Je voulais simplement vous soigner, je ne pensais pas que mon geste était.. déplacé.. c'est ainsi que je soigne Elle était en train de se tenir à quelques chose pour reste debout.
La seconde qui avait suivit, elle lui donna le nom de cet homme ou il était le plus communément appelé dans ce domaine, son véritable non. Pendant un cours instant Gabriel avait l'air d'être calmer mais ce n'était pas réellement ce qu'il avait voulu en réponse. Je ne connais pas de Preminger. Qui est-il ? Ahhh.. bah la mon brave, on ne pouvait rien pour toi. Qui est-il ? Je viens de vous le dire, Preminger, homme de taille standard qui veut paraître grand et mets des talonnette pour paraître haut, il a un égo.. un peu trop développer a mon gout et porte du violet.. son odeur.. du lilas je dirais... Elle marque une pause et fronça les sourcils après ça. Quiconque cherche à nuire à ma réputation d'une façon aussi lâche en paiera le prix. Vous n'y ferez pas exception, Mlle. Vif d'Argent. Je ne vous ai pas autorisé à entrer en ces lieux, pas plus que je ne vous ai autorisé à être... Aussi... Depuis quand elle cherchait à le nuire ? Elle écarquilla les yeux. Tactile envers moi. J'en informerais les autorités et puisque vous êtes sous la tutelle de votre père, alors ce sera lui qui sera mis au courant de leur part.
La elle recula rapidement et on pouvait lire de la peur dans son regard... non.. encore un coup comme cela et elle ne rêverait jamais la lumière du jour.. Je vous pris de ne pas m'en vouloir, je suis sincèrement désolé si m'a façon de faire vous ait déplu, ce n'était pas mon intention Gabriel...faites ce que vous voulez appeler la police ou je ne sais qui.. mais s'il vous plait.. n'en dite rien à mon père.. je vous en prie.. ou qu'eux ne le prévienne pas. Elle se mordit la lèvre légèrement. Rentrez chez vous maintenant, je souhaitais être seul et vous ne faites que me rappeler à quel point
Elle ne pouvait pas le laisser comme ça ? Pas dans cet état... elle ressentait sa peine et ça la chagrinait. Vous.. vous etes sur ? vous.. n'avez pas l'air bien Gabriel... Elle s'avança doucement vers lui, se souvenant qu'il n'aimait pas le contact, elle ne voulait pas le heurté non plus. Décidément, on ne me cause que des problèmes.. Ce n'était pas mon intention.. je ne voulais pas vous causer des problèmes, j'ai jugé bon de vouloir aider une personne, mais je vois que vous avez beaucoup plus besoin de cette aide que lui Elle marqua un léger silence, bougeant ses doigts pour mettre un peu de lumière, s'était comme des petites lucioles.
Il n'y avait pas besoin de le remercier pour une commande, après tout Gabriel ne faisait là que son travail de styliste - ça n'empêchait pourtant jamais ses clients de le remercier. Gabriel prenait plaisir à créer, il avait, pour ainsi dire, toujours su avoir été fait pour ça. Imaginer des œuvres portées, s'adapter aux formes du corps et jouer avec pour imposer des silhouettes fantasques ou formelles. Il avait été reconnu pour son ouverture d'esprit - justement - mais difficile de dire que c'était le cas dans la vraie vie. Par son éducation, Gabriel savait rester à sa place et il demandait aux autres de faire de même. S'il ne le demandait pas à voix haute, c'est que cela lui paraissait naturel à comprendre, ceux qui ne le comprenaient pas n'avaient alors suivi une bonne éducation. On ne pouvait pas exactement parler d'ouverture d'esprit dans ce sens-là... L'homme d'affaires n'avait jamais supporté qu'on le touche sans son accord et encore moins depuis le décès de sa femme, encore moins depuis qu'il portait le miraculous sur lui. Traître froideur, la gentillesse d'Amalthea passa alors comme une familiarité déplacée du côté du styliste.
Pourtant, elle avait semblé décontenancée, ailleurs pendant un temps. Sa réponse irrita Gabriel qui ne chercha pas à voir chez elle le mal qui la hantait. Égocentrique, il se concentra sur lui-même et se braqua.
"En les embrassant sur leur blessure ? Ridicule, vous vous payez ma tête et je n'apprécie pas."
Comme promis, cependant, Amalthea donna le nom de l'homme qui lui avait demandé de pénétrer chez lui. Le problème, c'est que si Gabriel Agreste pouvait connaître Erwin Dorian, il ne connaissait aucun Preminger. Lorsqu'elle le décrivit par la suite, évidemment, le styliste songea au notaire mais il ne le connaissait pas de ce nom et ne se permit alors, que le doute. Ça ne lui empêcha pas de dire le fond de sa pensée sur une quelconque menace de la sorte. Entrer chez lui et récupérer quelque chose qui n'existe pas ? Il fallait être naïf, immature et puéril pour mettre en place quelque chose comme ça. Même si Amalthea n'avait servi que de pion, elle restait complice et de cela, se devait d'être punie. Enfin, c'était ce qu'avait cherché à faire comprendre le styliste en la menaçant. Il cherchait évidemment à déstabiliser celle qui depuis le début semblait passer au travers de tous ses reproches. Maintenant, oui, elle semblait trembler. Gabriel se trouva surpris. Son père était-il donc sa faiblesse ? Il arqua un sourcil, demeurant ferme malgré tout. Il demanda à ce qu'elle parte, elle hésitait encore.
"C'est vous qui n'avez pas l'air bien. Rétorqua-t-il dos à elle. Vous n'êtes pas à votre place."
À part, oui, il soupirait des problèmes qu'on lui causait. Aucune tranquillité comme s'il était pris pour cible de tout désormais. Amalthea n'osa pas quitter la pièce, cherchant à poursuivre la discussion, à aider ce qui ne pouvait pas être aidé.
"J'ai jugé bon de vouloir aider une personne, mais je vois que vous avez beaucoup plus besoin de cette aide que lui."
Gabriel tiqua et tourna les talons avec fermeté. Il s'étonna tout d'abord des billes de lumières qui apparurent dans ses doigts et ne comprit pas qu'il s'agissait seulement de lumière.
"Qu'est-ce que vous faites ?! Lança-t-il vivement avant d'agripper le poignet de la jeune femme. Arrêtez ça immédiatement ! Vous ne pouvez pas aider ceux qui en ont besoin tout simplement parce que vous ne savez pas comment faire, alors n'essayez pas !"
Il la toisa, longuement. Il retrouvait dans son regard ce que la plupart des gens avaient à Storybrooke. Cette naïveté, niaiserie d'avoir besoin de sauver tout le monde. Il voyait des superhéros tous les jours, ceux qui justement avaient ruiné ses plans pour leur propre conscience. Et à dire vrai, savoir qu'aujourd'hui quelqu'un voulait le sauver était la goutte qui débordait du vase.
"Vous pensez que c'est si simple ? On tend la main, on fait apparaître de la magie et tout va pour le mieux ? Vous ne me connaissez même pas, comment pourriez-vous savoir de quoi j'ai besoin et pourquoi m'aideriez-vous ? Qui a dit que j'avais seulement besoin de votre aide ?!"
D'un doigt accusateur pointé sur elle, Gabriel finit par le baisser et se calmer, mais son regard donnait toujours le ton de ses dernières paroles. Il termina simplement, comme s'il n'en avait pas assez dit :
"Je vous laisse quelques minutes pour partir et que j'oublie cette histoire. Si je vous vois encore autour de chez je sais qui je contacterais en premier pour vous rappeler à l'ordre."
Si Haggard Vif d'Argent était le point faible sur lequel appuyer, alors l'homme d'affaires n'allait pas se gêner. Voici donc ce qu'il apprit à faire par l'expérience d'être le Papillon : utiliser les faiblesses des autres contre eux-mêmes...
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Amalthea Vif Argent
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Même si c'était le travail de ce dernier rien n'empêchait la jeune femme de le remercier comme il devait être remercier par un Merci. C'était vrai qu'il avait été payer pour le faire s'était son devoir envers son acquéreur. Pourtant Amalthea se devait de lui dire merci. Elle appréciait beaucoup ses robes, elle etait magnifique et finement confectionner. Bien sur elle savait que ce n'était pas lui qui l'avait frabriquer. Gabriel n'avait fait que dessiner la robe avec les morphologie de la demoiselle. Elle lui sciait à merveille, la demoiselle en avait beaucoup toute une collection, toutes de la même couleur blanche. Qui représentait la blancheur et la pureté de cet être. Elle ne portait que des couleurs qui pouvait lui aller au teint en même temps avec la couleur de ses cheveux difficile de faire autrement. A présent Amalthea ne le toucherait pas sans demander la permission, elle avait parfaitement compris le message qu'il lui avait transmis. Même si elle n'avait aucune arrière pensée la dessus. Elle cherchait simplement à le soigner rien de plus rien de moins. C'était son travail en tant que tel, elle ne s'était pas plus poser de question que cela. En les embrassant sur leur blessure ? Ridicule, vous vous payez ma tête et je n'apprécie pas. Elle le regardait, bien sur que c'était comme cela... N'avait-il pas remarqué qu'il n'avait plus aucune trace sur sa joue. Pardon ? en aucun cas, je vous manquerais de respect, et oui c'est ainsi que je soigne n'avez vous pas senti qu'il n'y avait plus rien, la magie vous a soigner. La magie d'Amalthea était bénéfique, mais en d'autre circonstance elle pouvait être aussi destructrice mais pas pour le moment. La elle était douce. Amalthea trouvait cela dommage qu'il ne voit pas cela d'un autre œil, elle ne pouvait pas le forcer à écouter ou à comprendre son acte mais à aucun moment elle n'avait voulu lui manquer de respect.
Par la suite elle avait transmis le nom de la personne qui l'avait envoyé. Pourtant, le styliste était sur la bonne voie, il était bien la question du notaire. Elle avait décrit un très bon descriptif de ce notaire. Au détail prêt, malheureusement, il est vrai que Preminger ne lui avait pas fourni le nom qu'utilisait cet homme et rien ne présageait ou il se trouvait, elle avait beau essayer de voir le détail qui pourrait lui convenir pour qu'il voit qui il était ! Mais s'il n'était pas très doué ce n'était pas de sa faute non plus. C'était quoi son métier déjà ? Une présentation irréprochable de la sorte, il ne pouvait qu'exercer dans quelques choses de chic. Le détail. Ses yeux sont dans les ton doré... et je crois qu'il est dans le droit. Amalthea naive ? Oui totalement... après tout quand on fini enfermer pendant toute sa vie comment pouvait-il en être autrement, elle était sorti depuis peu de sa cage doré. Ne connaissait personnes, elle voyait des personnes pour la première fois difficile de se faire une opinion. Immature cela dépend du contexte. Pour le moment même le styliste en faisait preuve
Ce n'était pas très mature de sa part de d'utiliser les faiblesses des autres pour parvenir à ses fins. Le père de cette dernière pouvait être bien pire qu'une faiblesse... Il était celui qui pouvait avoir un droit de vie ou de mort sur elle. Elle se souvenait encore de la morsure de cette gifle et le fait qu'elle soit enfermer pour que personne ne puisse la voir. Elle était la licorne qui lui appartenait mais cela... personne le savait encore. Elle tremblait mais continuait de ce tenir debout lui tenant tête. Amalthea n'était pas réellement impressionner par Agreste. C'est vous qui n'avez pas l'air bien. Pas bien ? Elle allai assez bien pour le moment, se redressant légèrement pour montrer qu'elle pouvait être forte. Je me porte parfaitement bien je vous en remercie Il état de dos par rapport à elle. Vous n'êtes pas à votre place. Elle regardait son dos, elle eu un léger élan de compassion, elle voulait l'aider même s'il disait le contraire. Bien sur que si.. Je suis entre vous et se mur. Il pouvait y avoir un double sens à cette phrase... Il y avait lui et cet immense mur qu'il avait forgé pour que personnes passe au travers. Genre un peu comme Gandalf quand il nous indiquait de ne pas passer.
Amalthea demeurait à vouloir l'aider, tout personnes pouvait être aider il suffisait simplement de saisir cette main qu'elle pouvait lui tendre. Elle avait voulu venir en aide à Preminger.. mais visiblement elle s'était fait dupé... Preminger n'avait pas besoin de son aide, c'était peut-être fait exprès ? Peut-être que ce Preminger l'avait envoyer dans le but qu'elle vienne en aide à cet homme.
Qu'est-ce que vous faites ?! Que faisait-elle ? Ce dernier avait saisi son poignet et les lumières disparu sous la surprise. Arrêtez ça immédiatement ! Vous ne pouvez pas aider ceux qui en ont besoin tout simplement parce que vous ne savez pas comment faire, alors n'essayez pas Je ne faisait que de la lumière, je ne vous voyais pas assez et la lumière adouci les êtres. Et bien je saurais quand vous me l'aurez dit
Elle s'était fait toiser par ce dernier, elle n'était pas un héro... elle voulait simplement apaisé son être. Vous pensez que c'est si simple ? On tend la main, on fait apparaître de la magie et tout va pour le mieux ? Vous ne me connaissez même pas, comment pourriez-vous savoir de quoi j'ai besoin et pourquoi m'aideriez-vous ? Qui a dit que j'avais seulement besoin de votre aide ?!
Si tout était si simple ne pensez vous pas que je l'aurais déjà fait ? Rien n'est facile il suffit simplement de se laisser une chance, Je ne dis pas que la magie résous tout... elle aide a aller mieux dans certains cas Nouveau flash dans sa mémoire ou une licorne soignait un homme souffrant et un autre ou elle le ramenait à la vie. Certaines magie purifie... Peut-être que je ne vous connais pas mais ca ne m'empêche pas de vouloir le faire... Ca ne s'explique pas. Je l'ignore de quoi vous avez besoin vous ne me le dite pas. Elle le regardait dans les yeux, il tenait toujours son poignet. C'était de son aide à elle qu'il ne voulait pas... Mais pourquoi pas ? Et qui vous dis justement que vous n'avez pas besoin de mon aide ?
Il pointa son doigt sur elle, elle baissa le regard pour regarder et le releva de nouveau avant de se calmer et de baisser son doigt. Je vous laisse quelques minutes pour partir et que j'oublie cette histoire. Si je vous vois encore autour de chez je sais qui je contacterais en premier pour vous rappeler à l'ordre.
Ils savaient tout deux qu'ils n'allaient pas oublier cette histoire, difficile d'oublier cela. Elle respirait rapidement continuant de le fxer. Nous avons aussi bien l'un que l'autre que vous n'oublierez pas cette histoire Elle fronça les sourcils, elle comptait bien revenir... Contacter son père... et ça elle le savait. C'était un coup bas, même venant de la part de quelqu'un. Nous serons amener à nous revoir, essayez pour voir... dans ce cas... Elle savait qu'elle risque elle prenait, soit de se faire battre... se faire enfermer... ça ne sera peut-être pas diffèrent de d'habitude, pour le coup ça lui passait outre, elle tenait simplement tête à Agreste en lui expliquant simplement ça façon de voir les choses, mais elle fini par soupirer et fermer les yeux. Mais pas ce soir... Elle le laisserait se calmer avant la prochaine rencontre parce que pour elle s'était même sur... Elle viendra le retrouver.
Elle se recula, faisant une révérence. Monsieur Agreste, se fut un plaisir d'avoir converser avec vous... Nous nous rêverons par le coup du destin. Et une dernière chose même les plus grand peuvent avoir besoin d'aide un jour ou l'autre Dans quelques mois... ce dernier allait recevoir un présent de la part de cette dernière.. Une plume en argent avec un petit mot "Faites en bon usage - Amalthea Vif Argent"