Tel est pris qui croyait prendre

Calypso & Richard

Calypso faisait bouger ses jambes dans l’eau du port de la ville. Si l’on regardait de plus près, l’on aurait l’impression qu’elles étaient recouvertes de grandes algues vertes. Ce n’était pas une impression, c’était le cas, et le jeune homme s’amusait à les regarder, appréciant le mouvement d’ondulation produit. Il levait parfois la tête en soupirant comme une âme en peine, regardant les bateaux rentrer de la pêche du jour. Il n’y avait pas beaucoup d’activité en cet fin d’après-midi et Caly était assez triste de ne pas pouvoir regarder plus de pêcheurs décharger les cartons. Alors il poussait continuellement des soupirs. Peut être que cela pourrait attirer quelqu’un vers lui et qu’il en profiterait pour le noyer. C’était ça, qui était bien avec Storybrook, c’est qu’il y avait comme une clémence. Caly n’avait jamais été arrêté pour toutes les noyades qu’il avait causé et il avait remarqué qu’il n’était pas le seul. Après tout, ce n’était pas étonnant, il y avait ici des dizaines et des dizaines d’univers rassemblés, des gentils, comme des méchants. La loi terrestre ne s’appliquait pas à eux, contrairement à ce qu’on voulait leur faire croire. Il était parti. Dès qu’il avait pu, dès que la barrière de la ville avait été levé, il s’était barré. La colère d’avoir été déraciné, transformé totalement en humain l’avait rendu fou. Il n’en était pas un ! Il était un kelpie ! Un démon des eaux, il n’avait rien avoir avec ces tas de chaires. C’était sa nourriture, son passe temps, son amusement. Il n’était pas eux. On lui avait volé son identité et c’était la plus mauvaise des choses à faire. Oh on avait bien essayé de le dompter, à l’époque, mais il s’était enfui, maudissant sur toute leur génération ceux qui se faisait appeler propriétaire. Il n’en resterait pas là. Alors il était parti, pensant qu’il pourrait retrouver sa vie d’avant. Il était allé en Ecosse, dans son loch d’origine. Enfin, dans le loch qui s’appelait comme le sien, parce qu’il savait que ce n’était pas vraiment le sien. Tout était différent et pourtant si semblable. Il n’arrivait même pas à reprendre totalement sa forme mais au moins, il était dans le loch. Personne ne venait l’embêter et il était bien. Pour un temps.

Caly commença à trouver le temps long. Ce n’était plus comme avant où le folklore dont il était issu berçait toutes les populations. Personne ne venait autour du loch pour essayer de le voir, à leurs risques et périls. Il avait beau essayer de faire comme avant, d'utiliser ses stratagèmes pour attirer les inconscients, il était seul. En soit, Caly avait toujours été seul mais là, ce n’était pas la même chose. Son loch était bien vide, dépourvu de toutes créatures magiques et la nourriture se faisait rare. Il s’était rendu compte qu’il devait manger, la même chose que les humains, ce qui n'arrangerait pas la colère qui l’avait. Et un jour, un jour il en eut marre. Il aperçut un groupe d’adolescents et sa véritable nature ressortit. Il les attira dans l’eau, bien trop content de pouvoir le faire et il les noya. Un par un, se délectant de leurs cris, de leurs peurs, et surtout de leurs corps. Rassasié, repu même, il alla s’endormir dans son nid d’algues. Il fut réveillé par le bruit des sirènes de pompiers, de policiers. Ce n’était plus comme avant. Quand un kelpie attaquait, quand on se doutait qu’un kepie attaquait, on ne faisait rien. Parfois l’on mettait une bougie en hommage à la victime, à l’endroit des marques des sabots et on partait. Le bon vieux temps. Maintenant non. Ne croyant plus à ses légendes, on enquêtait, on investiguait, pour connaître l’auteur de ses horreurs. Calypso fut surpris, désarçonné quand il entendit les mots des hommes qui faisaient des prélèvements sur les morceaux de corps qu’ils trouvaient. Il comprit qu’il fallait fuir rapidement, d’autant plus qu’il entendit qu’ils allaient sonder le loch. Oh il pourrait tuer comme il en avait l’habitude les plongeurs mais une sorte d’instinct de survie qu’il n’avait pourtant pas très développé lui ordonna de fuir et de rentrer. Où ? À Storybrook. Le seul endroit où en vérité, il pourrait être lui-même. Qui sait ce qui pourrait lui arriver s’il finissait en prison. Caly détestait être privé de sa liberté. Il l’avait prouvé à de nombreuses reprises alors pour éviter ça, il fallait rentrer. Ce qu’il fit, laissant dans son sillage plusieurs morts irrésolu. Cela ne faisait pas longtemps qu’il était revenu à Storybrook et il avait pu mettre en œuvre ce qu’il pensait. Il avait noyé un couple qui faisait du bateau sur le lac en plein milieu de la forêt. Il avait attendu mais il n’y avait rien eu. Il était rentré dans son petit appartement sur les docks et avait vaqué à ses occupations. Rien. Au final, il l’avait lu dans le journal, dans les petites lignes, et un fin sourire s’était dessiné sur son visage blafard. Il avait pris la bonne décision. Mais maintenant il s'ennuyait. Bien entendu, il n’était pas idiot. Il ne noyait pas tous les jours. Non, c’était de temps en temps, un petit plaisir, comme une pâtisserie que l’on s’achète. Sa pâtisserie à lui.


Alors qu’il avait prévu de rester encore un petit moment dans le port, il tourna la tête vers l’arrière. Il sentit une odeur de brûlé venir des entrepôts. Se levant rapidement, la curiosité l’emporta sur tout le reste. Il aimait bien le feu. Paradoxalement. Que ce soit par rapport à sa propre nature où à ses faux souvenirs. Il essayait de ne pas les prendre en compte parce que c’était faux mais parfois il n’y arrivait pas. Après tout, sa soit disante famille était morte dans un incendie. Il avait été gravement brûlé parce qu’il avait voulu l’éteindre seul. Bullshit. Jamais Caly ne ferait une chose pareille. Surtout qu’il n’avait pas de famille. Il était seul. Depuis toujours et c’était bien mieux ainsi. Pas de famille, pas d’embrouille, pas de trahisons. Tout le monde restait chez soi. Cependant, il s’était reconnu dans une chose. Des feux, il en avait souvent éteint à l’époque. Quand des vauriens venaient s’amuser à brûler la nature autour de son loch. Comment osez -t-ils faire une chose pareille ? Qu’ils aillent brûler leur maison ! Pas la sienne. Même si Caly était considéré comme un démon, il était surtout un protecteur de la nature, une représentation même de la nature sauvage, puissante et dévastatrice. Si le feu n’était pas d’origine naturelle, il n’avait rien à faire là. Alors oui, il l’avait éteint. C’était facile. Il contrôlait l’eau. En l’espace de quelques minutes la question était réglée, et en plus il avait souvent son souper en l’instar de ces vandales. Néanmoins, il pouvait être aussi fasciné par la puissance du feu. Aussi forte que l’eau mais dans un autre style. Plus flamboyant.

Se repérant à l’odeur, il s’enfonça dans le quartier des docks, pas vraiment connu pour sa sécurité. Caly l’aimait bien. C’était marrant. Il avait appris à le connaître par cœur et se repérer dans ce dédale était un jeu d’enfant. Il arriva sur les lieux, se cachant derrière un gros camion réfrigérant. Il pouvait voir des flammes sortir du toit en tôle, dont le bruit indiquait qu’elle était en train de se gondoler. Il voulut se rapprocher quand il aperçut un homme, les bras croisés, qui regardait l’entrepôt. Que faisait-il là ? Pourquoi est-ce qu’il n’agissait pas ? Caly en fut très intrigué. Tout doucement, il se rapprocha, se cachant toujours, soit derrière un conteneur, soit derrière un fût. Il finit par sortir son téléphone portable, filmant la scène ahurissante. Il se mit sur la pointe des pieds, maudissant pour une fois sa petite taille, n’arrivant pas à tout voir. C’est alors qu’il trébucha, faisant du bruit. L’homme se retourna et Caly se baissa rapidement, pensant que c’était bel et bien le moment de fuir. Là, il remercia justement le fait d’être petit. Il était rapide et agile et si l’homme essayait de le poursuivre, il pourrait le semer facilement. Caly ne se retourna pas, prenant plusieurs chemins différents avant de finalement prendre celui pour aller chez lui. Un petit studio qu’il louait face à la criée. Ce n’était pas le grand luxe mais c’était dans son budget. Puis lui appréciait les odeurs de poissons et surtout le fait qu’il avait vu sur l’entrée du port et de la mer.

Caly resta ainsi toute la fin d'après-midi chez lui. Il entendit les sirènes des pompiers venir éteindre l’incendie qui, selon le dire des journalistes sur place, ne faisait que progresser. Il avait sauté d’entrepôt en entrepôt mais grâce à l’aide de certains magiciens de la brigade, il commençait à être maîtrisé. Il décida de sortir en début de soirée pour voir de ses propres yeux ce spectacle morbide. Puis qui sait, s’il arrivait à se faire arroser au passage par une lance serait une bonne chose. Un petit coup de boost non négligeable. Quand à faire, séduire par la même occasion aussi la personne tenant la lance. Une pierre de coup. Les mains dans les poches, il se rendit sur place. Il y avait une agitation monstre. Plusieurs camions de pompiers, des policiers qui maintenaient un bandeau de sécurité pour ne pas s’approcher. Caly était fasciné par les lances à eau crachant toutes leurs puissances sur les façades calcinées. Se baladant dans la foule, il observa aussi son environnement. Il y avait des pêcheurs, qu’il connaissait, des voisins aussi, des gens pas vraiment fréquentables. Plus loin, des journalistes faisant leurs reportages. Caly focalisa son attention sur les pompiers. Oh il appréciait grandement ce corps de métiers. Ils étaient beaux, musclés et ils travaillaient avec l’eau. Un tiercé gagnant. C’est alors qu’une silhouette attira son attention. Il était plus grand que ses collègues et sa carrure en V était accentuée par son uniforme. Bien. Il avait jeté son dévolu sur lui. La voix grave qu’il entendait donner des ordres lui donna des frissons. S’approchant doucement, il se stoppa net quand l’homme se retourna. Non ! Ce n’était pas possible ! Comment ? C’était l’homme qu’il avait vu un peu plutôt ! Caly était stupéfait et ne comprenait pas vraiment. Se retournant pour éviter qu’il le remarqua, il finit par rentrer chez lui. Dans son canapé qu’il avait trouvé à la déchetterie, il regarda la vidéo qu’il avait faite. Pas de doute. Caly était intrigué. Pourquoi est-ce qu’il faisait ça ? Pourquoi un pompier viendrait mettre le feu ? Il n’avait pas assez de travail comme ça ? Storybrook était quand même la ville avec le plus haut taux de criminalité, Caly en savait quelque chose et cela valait aussi pour le feu. C’était tellement bizarre.

Sa nuit fut quelque peu agitée. Il rêva de l’homme, du feu, de lui éteignant le feu, des sirènes de pompiers, de policiers, de ses faux parents. Nul. Il n’avait donc pas très bien dormi, et il était donc de mauvaise humeur. Quand des pêcheurs le saluèrent sur le bord du quai, il leur fit un signe pas très poli, grommelant avant de remettre ses mains dans les poches. Il fit tomber une petite fille dans le port en lui faisant un croche-pied avant de fuir devant le père en colère. Ça va, il ne l’avait pas noyé alors qu’il en avait eu terriblement envie ! Finalement, il se retrouva non loin des entrepôts qui avaient pris feu. Le calme était revenu. L’on n’entendait que le bruit des bandages de la police flotter dans la brise marine. Caly passa en dessous pour s’approcher. Il voulait voir les dégâts de ses propres yeux. Doucement, il poussa une porte calcinée pour rentrer à l’intérieur.

“Un criminel revient toujours sur les traces de ses méfaits ! Si y a bien un truc que les experts m’ont appris c’est ça !”

Il pointa son long doigt face à l’homme qui était là ! Encore lui. Décidément. Caly arborait un sourire triomphale quand il se retourna.

“Je sais que c’est toi qui a mis le feu ! Alors que t’es pompier ? Mais whesh c’est quoi cette logique ? T’es en manque de taff où quoi ?”

Calypso éclata de rire tandis qu’il dévisageait l’homme. Aussi séduisant de face que de dos, bon point. Maintenant qu’il le voyait de plus près, c’était d’autant plus agréable.

“Bon après moi balek franchement mais pourquoi ? C’est quoi ton kiff en fait ?”

Ça l’avait quand même empêché de dormir, alors vu qu’il était revenu sur ses traces, autant qu’il lui apporte une réponse, peut être qu’il serait de meilleure humeur après.

“Ceci dit, l’uniforme te va vraiment bien. Tu devrais le porter plus souvent … même si c’est sur qu’on te reconnaîtra plus facilement si on te voit foutre le feu.”

Caly éclata de rire avant de faire quelques pas dans l’entrepôt, regardant les considérables dégâts qu’il y avait. Il marcha exprès dans une flaque, avant de se retourner vers le bel inconnu.

“Et ça fait quoi si je le dis ? Genre à tes collègues les pompiers ? Tu crois qu’ils vont rire aussi ?”

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Tel est pris qui croyait prendre

Calypso & Richard

Vous connaissez Richard ? Maiiis si ! Le fameux Richard, super célèbre... Non pas le coeur de lion faut pas confondre non plus. Alors laissez moi vous expliquez qui est Richard. Homme peu célèbre contrairement à ce qu'il peut vous faire croire, ou plutôt dans le mauvais sens du terme. Un grand brun, environ un mètre quatre vingt onze au garrot, on rajoute des sentiments avec les cheveux et oui ! les cheveux c'est important ! Ca rajoute de la classe et de la prestance - surtout des centimètres - On entend souvent parler de Richard mais pas part son prénom plus pour son surnom qui n'est d'autres que Scandal Dans une autre histoire nous entendons son nom aussi sorti de la bouche d'une aussi grande personne, mais plus en mal qu'en bien. Sylvester et lui sont très lié par le sang ou du moins par un demi sang. Parce que bon, on ne va pas vous faire un dessin mais le père de Sylvester à eu un passé Scandaleux... Il aurait fait saute mouton avec une charmante dame du nom d'Eleanor Goldwin, une femme de bonne famille qui aurait succomber au charme du grand Sebastian Cynster. Et aurait donc engendrer cela deux ans avant la naissance de Sylvester. Pas bien... Et pourtant le fruit du hasard à fait que de cette union Richard Goldwin ait vu le jour sans pour autant prétendre au nom de famille de cette grande famille dont l'emblème était un cerf. Maintenant que vous savez qui il est, nous allons continuer dans cette lancé en réalité, Richard ou Rich pour les intimes n'est autres que le oiseau de feu et de lave dans Fantasia. Oui c'est un phénix mais bon on va pas chipoter non plus D'un coup ca en jette vachement une créature aussi fascinante que terrifiante sous des air de pyromane ! Du haut de ses trente huit ans. Et tout en muscle. Maintenant que vous avez toutes les cartes en votre possession nous pouvons continuer.

Richard a donc apprit que son frangin allait revenir d'Ecosse, comment vous dire que ça ne lui a pas fait réellement plaisir. Lui qui de base restait dans son coté pépère de SB en tant que Pompier. Et en plus, avec un mioche... le voilà donc tonton, mais c'est vrai que finalement... Rich avait simplement zappé cette information quand Sylvester lui avait passé le message et envoyer un faire part. Donc lui déjà qu'il voulait récupéré ses droits et bah c'est encore plus râper vu qu'il y avait un descendant ! -Bouhh ouuuuhhh Pauvre Richouné... - Bon ce n'est pas comme s'il allait s'apitoyer sur son sort non, il avait vingt pourcent de l'entreprise Sylver & Gold. Et oui... il se tue à lui dire que ce n'est pas assez surtout quand son nom figure sur l'enseigne de la boite ! Sylvester et Richard s'entend comme chien et chat, parfois il se dit qu'il aurait du finalement le jeter par la fenêtre quand il en avait eu l'occasion. Bien sur s'était dans ses faux souvenirs mais ça reste quand même en mémoire ses choses là.

Donc, il était a Sb depuis le début, ou faisait des déplacements en Ecosse de temps à autres pour parler de l'entreprise avec son frère, bien sur dès que la malédiction avait été rompu. Comme monsieur n'avait que vingt pourcent des part du l'entreprise, il lui fallait bien un second job non ? C'était pour cette raison qu'il était pompier ! Et oui être pompier ça se paie même si certains son bénévole pas lui. Bon il lui arrivait parfois de sauver la veuve et l'orphelin. Pour l'heure son émotion ce n'était pas trop ça. C'était un mélange de rage et de colère. Il savait que son pouvoir allait resurgir. Sa force n'était que destruction après tout n'était-il pas l'oiseau de feu celui qui détruit tout sur son passage ? Il en avait assez fait les frais avec l'elfe de la nature qui refusait encore et toujours de lui adresser la parole. Il était arrivé donc a un vieil entrepôt, pour libérer sa rage qu'il peinait à canaliser, ça ne lui arrivait pas souvent mais ça arrivait.


Les flammes étaient en train de bruler, bien sur lui ne craignait rien, il était fait de flamme et de lave. Il était en train de regarder les flammes bras croiser. Regardant le feu qui dansait, cette rage s'était son frère qui l'a lui mettait. Soupirant, fortement Richard allait devoir éteindre se feu mais s'était à lui de prendre les risques pas a ses hommes. Heureusement il avait bruler un entrepôt vide ou il y avait peut être de la marchandise illégal mais ça encore il s'en fichait. Concentrer sur le spectacle l'oiseau de feu entendit un bruit, quelques choses qui craquait... Il s'était rapidement retourner apercevant une silhouette puis plus rien. ON l'aurait vu faire ? Non ce n'était pas possible, il faisait toujours en sorte de faire attention pour qu'on ne le reconnaisse pas. Il avait peut-être rêvé ? Puis, il reparti quelques minutes plus tard après avoir passé un coup de téléphone à sa brigade. A chaque fois ça le faisait chier que son pouvoir ne se canalisait pas sous la rage.

Quand son équipe avait donc débarquer, il changea rapidement de tenue pour éteindre l'incendie de l'entrepôt, oui c'était normal d'éteindre sa propre connerie, ça faisait du travail au pompier au moins ça évite peut-être de se tourner les pouces ? Donnant des ordres leur disant de faire attention. Bien sur vous vous doutez bien que le feu a été maitriser. Et encore une fois il avait eu un mauvais présentiment. Etrange mais, il n'y prêta pas plus d'attention que cela. Félicitant ses hommes pour leur travail. Le lendemain en revanche, il s'était dit qu'il allait y retourner pour nettoyer les dernières choses qui restaient. Il savait que personne ne pouvait avoir de preuve contre lui de toute façon. S'était simplement le pouvoir destructeur du phénix. Puis une voix arrivant de derrière lui... le fit serrer les dents. Un criminel revient toujours sur les traces de ses méfaits ! Si y a bien un truc que les experts m’ont appris c’est ça ! De quoi il se mêlait celui là ? Les experts ? Il regardait encore des séries banal ? Se retournant Il n'avait pas le temps de s'occuper des enfants... il n'était pas baby-sitter. Et c'était quoi se sourire d'abruti sur ses lèvres ? Il avait un problème ou fallait-il qu'il lui refasse le portrait façon Picasso ? haussant simplement un sourcil. Je sais que c’est toi qui a mis le feu ! Alors que t’es pompier ? Mais whesh c’est quoi cette logique ? T’es en manque de taff où quoi ? C'était donc lui la veille... Le parasite qui s'était caché... Et oui il était pompier... Sa logique ? Un mode de destruction massif... Pourquoi diable devait-il lui répondre ? C'était un gosse. Ecoute gamin... je vois pas de quoi tu veux parler.. j'étais juste venu inspecter les lieux voir s'il y avait encore des braises, maintenant tu vas passer ton chemin c'est pas pour les enfants ici

Bon après moi balek franchement mais pourquoi ? C’est quoi ton kiff en fait ? Aurait-il un soucis de langage ? Parce qu'il ne comprenait rien à son élocution.. il voulait un traducteur.. Son kiff ? Ses jeunes qui ne savait pas aligné de mots sans bousiller une langue. Et ce rire a irrité un ours polaire... Poussant un nouveau soupire. Il devait calmer son irritation, d'ordinaire il ne brulait pas des êtres humains donc ça devrait aller. Il essayait de décortiquer chaque son et syllabe pour avoir une phrase correct pour lui. Si tu t'en fiche pourquoi m'importuner avec des questions aussi bizarre ? En revanche le kiff... je ne vois pas de quoi tu veux parler

Ceci dit, l’uniforme te va vraiment bien. Tu devrais le porter plus souvent … même si c’est sur qu’on te reconnaîtra plus facilement si on te voit foutre le feu Il était donc formelle s'était bien lui ce petit con caché... Et il maintenait qu'il l'avait vu... Ce qui était plutôt mauvais signe. Il fronça les sourcils, bien sur que l'uniforme lui allait bien, il était a sa taille. Mais il voyait parfaitement ou il voulait en venir. Pourquoi tu es intéresser ? désolé mais on fait pas en taille dix ans... Et qui te dis que c'est moi qui ai foutu le feu ? Comme tu l'a dis, je suis pompier, je n'irais pas délibérément mettre le feu.

Cette fois-ci il éclata de rire... De mieux en mieux, il était tomber sur un fou. Et ça fait quoi si je le dis ? Genre à tes collègues les pompiers ? Tu crois qu’ils vont rire aussi ? Il allait lui faire avaler son sourire de petit minet. S'approchant de lui, il le prit par le col. Ecoute moi bien petit morveux, de un tu ne dira rien parce que tu n'a absolument rien vu, de deux, ce n'était pas moi et de trois, tu laisse mes collègues en dehors de ça ok ?!

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Calypso & Richard

Calypso était ce genre de personne au visage angélique mais au dessein diabolique. Mauvais par nature, où plutôt nature qu’on lui prêtait, il s’en était accommodé. Être gentil c’était pour les faibles et il ne l’était pas. Faible. Mais si ce n’était que ça ! Caly était bien plus complexe en réalité qu’une simple question de bien ou de mal. On aurait pu croire qu’il faisait ça pour le bien de tous, pointer du doigt ce criminel qui avait foutu le feu à l’entrepôt. Absolument pas. Il le faisait pour plusieurs raisons, des idées germant dans sa caboche. Il le faisait aussi parce qu’il s’ennuyait, qu’il avait envie de s’amuser, à ses risques et périls. Suicidaire ? On le lui avait dit. Non, Caly ne se voyait pas lui-même comme suicidaire, surtout que bon, en tant qu’être immortel, ça ne servait à rien. Non, il aimait juste tester les limites, pousser les gens dans leurs retranchements pour voir ce qui allait en sortir. Une sorte de vilaine curiosité qui le tenait en haleine, qui rendait actuellement sa misérable vie un peu palpitante, qui le sortait de sa torpeur. Forcément, dire cash que l’homme qui venait de se retourner était le coupable ne lui apporterait rien de bon. Pas grave, il était sur sa lancée, autant continuer. Il pouffa encore plus de rire quand l’homme se déclara innocent. Oh, il ne voulait pas avouer ? Mais ça allait être encore plus drôle que ce qu’il avait pensé.

“Bien sûr Papy, je te crois je te crois.”

Arrogant. Caly appuya bien sur le papy. Il l’avait appelé gamin, c’était normal qu’il réplique. Il n’était pas du genre à se laisser faire. Douce ironie en sachant qu’il était vieux de plusieurs millénaires. Il continua de parler, lui expliquer qu’en vérité il s’en fichait, et ce n’était pas un mensonge, il pouvait brûler tout ce qu’il voulait ce n’était pas son problème, mais, car il y avait un mais, ça le devenait à partir du moment où de 1 c’était dans son quartier, et de 2 où il y voyait une opportunité.

“Haaawne, Papy ne sait pas ce que ça veut dire kiffer ? Genre kiffer sa vibe ? Humm laisse moi te le dire dans un autre langage. Aimer. Tu as aimer ça ? Détruire. Ce sentiment de puissance.”

Insolent. Caly pouvait être l’être le plus détestable du monde quand il s’y mettait. Il rigola encore. C’est qu’il avait de la répartie le papy ! Bien ! Il appréciait. C’était plus agréable quand en face l’on savait se défendre. C’était comme la noyade. C’était beaucoup mieux quand la proie s’agitait, se défendait, montrer cette lueur de vie qui lui faisait soulever des montages.

“Pourtant ils ont bien embauché en gériatrie alors que clairement on sait que les vieux en fin de vie ne sont pas très … réactifs.”

Ses yeux bleus clairs rencontrèrent les iris foncés de son homologue. Oh il n’était pas content. C’était bien ça. Très bien même. Il s’en délecta, passant sa langue sur ses lèvres.

“En plus, figure toi que j’ai déjà été pompier ! Faut dire que … j’aime bien les grosses lances qui crachent avec puissance.”

Il lui fit un petit haussement de sourcil significatif. Caly avait apprécié son séjour chez les pompiers, quelques semaines avant son départ pour l’Ecosse. Il lui fallait de l’argent, c’était l’une des seules choses qu’il savait faire. Il avait récolté une partie de l’argent en faisant la plonge dans un des restaurants de la ville mais il avait été viré parce qu’il avait inondé l’arrière cuisine en s’amusant, sous prétexte que c’était plus facile de faire la vaisselle la pièce remplie d’eau. Il avait tenu un mois chez les pompiers et on avait aussi fini par le virer, à contre-coeur. Il était apprécié pour ses talents, pour sa magie, mais son comportement, c’était une autre paire de manches.

Enchaînant en rigolant, son idée se mettait en place. Il avait besoin d'argent, il avait la preuve que l’homme avait mis le feu. Il y voyait donc là une bonne opportunité. Il s’amusait dans la flaque avant de relever la tête. L’homme s’était rapproché, en colère, l’attrapant par le col, le soulevant avec une facilité déconcertante. Il aurait pu en avoir peur mais non, un fin rictus se dessina sur son visage pâle.

“Oooh mais c’est que papy est musclé pour son âge.”

Se fichant des répercussions qui pourraient être faites contre lui, Calypso toucha le bras musclé de l’homme qui était entrain de le soulever. Il le tata comme si c’était un simple morceau de viande chez le boucher, qui le satisfaisait amplement.

“Hé bien Monsieur Muscle, ton cerveau s’est transformé aussi en biceps. Tu te rends compte que tu te coupes toi-même dans ta phrase ? Si tu es innocent cela ne serait pas dérangeant que j’en parle mais vu que tu insistes pour que je n’en parle pas … c’est que tu es coupable. No shit Sherlock !”

Echec et mat. Calypso était retord et intelligent. Il aurait pu utiliser cette intelligence à bon escient mais non, c’était trop de boulot pour le flemmard qu’il était. Surtout, il appréciait qu’on le sous-estime, c’était encore plus délectable de voir la vérité éclater.

“Oui. C’est ça que je voulais voir. La colère.”

Sa voix rauque et traînante était comme un délicieux poison engourdissant le corps et l’esprit. En vérité, la raison pour laquelle il aimait pousser les gens à bout était aussi pour qu’ils ressentent ce que lui avait en permanence. La colère. La colère d’avoir tout perdu. La colère d’avoir été transformé pour tout le temps en humain. Il ne voulait pas être seul à subir ces ravages, ce sentiment d’impuissance face à cette malédiction. Alors poussez à bout le soulager un peu. Et là, oh que c’était beau. L’homme en face de lui vibrait de colère et son sourire ne s’en fit que plus gros. Il sentit alors deux mains venir se poser sur son cou gracile. Des mains brûlantes, qui à son contact, émirent de la vapeur. Forcément, son corps était aussi froid que les eaux dans lesquelles il vivait.

"Vas-y. Serre. Je vois bien que tu en as envie ... et tu seras pas le seul à prendre ton pied. Bander comme ça, c'est kiffant.”

Pousser à bout. Toujours plus loin. Dans l'inconscience du danger pour se sentir vivant. Ses yeux translucides ne quittaient en aucun cas ceux de son interlocuteur, se raccrochant même à eux. Il sentait la pression que l’homme exerçait sur sa gorge, sa trachée, l’air commençant aussi à se faire rare. Ce n’était pas pour autant qu’il allait arrêter de parler.

“Dis donc … Monsieur Muscle … c’est qu’on est chaud !”

Ce n’était pas tout ce qu’il sentait. L’homme avait les mains brûlantes. Littéralement. Ce n’était pas la même température qu’un humain -car ce n’était pas la première fois qu’il se faisait étrangler- . Est ce que cela avait un rapport avec l’incendie ? Oooh, Caly avait envie de le découvrir même s’il sentait que là, ça commençait à chauffer pour lui, façon de parler. Il secouait ses jambes, son propre corps usant aussi de cet instinct de survie qu’il appréciait chez les autres. Ses mains virent se poser sur les mains de l’homme, créant, à la surprise des deux, de la vapeur d’eau. Ce n’était pas pour autant qu’il desserra son étreinte. Bon, là c’était beaucoup trop chaud pour lui, et ce n’était pas parce qu’il avait l’impression de voir des flammes commencer à sortir du corps de l’homme. Il détourna le regard de l’homme pour le poser sur la flaque dans laquelle il avait sauté quelques instants auparavant. Ses yeux se mirent à briller et deux secondes après, une vague gigantesque frappa l’homme dans le dos, qui fut emporté par la puissance. Forcément, il lacha Caly qui tomba sur le sol, tandis qu’il appela d’un mouvement de tête la vague vers lui pour le mouiller. Il en avait bien besoin. Il se secoua comme un chien quand l’eau le frappa avant qu’elle ne retourna dans la petite flaque, comme si rien ne s’était passé. Il y avait juste les stigmates sur le sol, comme si un tsunami était passé par là, et l’homme bien entendu, qui se relevait, trempé. Calypso lui accorda alors son plus beau sourire, haussant les épaules et les mains.

“Le feu ça brûle, l’eau ça mouille, l’eau éteint le feu, physique de base, même toi tu devrais comprendre.”

Il lui fit un petit clin d’oeil, tandis que son corps absorbait l’eau de ses vêtements. Caly était aussi sec qu’auparavant et toujours aussi énervant.

“Tu dois être vraiment torride au lit … et pas que façon de parler tu vois. Genre littéralement enflammé”

Oui, Caly cherchait le bâton pour se faire battre, alors qu’il passait inconsciemment les mains sur son cou. Il sentait les marques des mains de l’homme comme s’il avait été brûlé au fer. Un petit tour dans le lac pendant quelques heures et elles seraient parties.

“Donc oui, où en étions- nous. Au fait, moi c’est Calypso. Caly c'est bien. Vaut mieux savoir à qui on a affaire quand on négocie non ?!”

Il s’approcha de lui, faisant une petite moue en voyant qu’il n’y avait plus cette rage dans son regard. Il l’avait éteint. C’était drôle. Les bras croisées, la tête penché, il fit mine de réfléchir avant de reprendre la parole, sûr de lui comme jamais, sa voix étant plus sérieuse qu’au début.

“J’ai la preuve que c’est toi notre pompier pyromane, et pas uniquement parce que tu viens d’essayer de me cramer. Tu sais, la technologie de nos jours … j’te donnerais des cours si t’as envie. Comme je disais, ça serait bête que je ne m’en serve pas. De la preuve tu vois. Figure toi que j’ai besoin d'argent. C’est fou ce que les humains ont pu inventer, ce concept des petits billets verts en échanges de choses sympa. À l’époque j’en avais pas besoin, mais maintenant oui. Donc tu me donnes régulièrement de l’argent et promis je ne dévoile pas la vidéo. C’est bien comme deal non ?”

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Tel est pris qui croyait prendre

Calypso & Richard

Angélique cet énergumène ? Pour le moment il n'avait rien d'un ange bien au contraire c'était un monstre ouai un gamin pourri jusqu'à la moelle. Il n'avait rien d'innocent et se moquait ouvertement de l'oiseau de feu qu'il était. Il ne savait pas sa nature mais une fois qu'il le saurait, il comprendrait mieux la raison qu'il le poussait à agir ainsi. Bien quand étant aussi pénible il devait pas capturer autant de proie. Tu avais plus envie de te faire la malle qu'autre chose. Donc ce jeune homme était en train de pousser l'oiseau de feu dans ses dernier retranchement niveau calme. Il ne fallait peut-être mieux pas voir à quel point le phénix pouvait être dangereux. La preuve en était que parfois certains feu ne pouvait être éteins par l'eau. Richard écoutait simplement le gamin continuer sur sa lancé, bientôt c'est ça tête qui allait servir de lance. Richard n'avait pas envie d'avouer que l'auteur de ce feu s'était lui et puis de toute façon, le feu avait été maîtriser ce n'était qu'un simple feu de Hangard que personne n'utilisait ou peut-être pour la contrebande. Rien de bien utile en soit. Bien sûr Papy, je te crois je te crois. Il était sérieux ? Papy ? Ce môme était vraiment exaspérant et encore il pesait ses mots. Bien sur qu'il était bien plus vieux que lui, vu le nombres de réincarnation qu'il avait eu au cours de son existence. Il avait eu deux vie l'une ou il était un oiseau du bien et l'autre devenu plus sombre ce qui restait d'ailleurs de lui. Le feu pouvait être bénéfique mais aussi maléfique tout dépendait de comment on l'utilisait. Papy ? Pour qui tu me prend morveux ? Non vraiment ce gosse lui sortait par les yeux on avait envie de lui mettre des baffes. il était arrogant et n'avait rien pour plaire ! Haaawne, Papy ne sait pas ce que ça veut dire kiffer ? Genre kiffer sa vibe ? Humm laisse moi te le dire dans un autre langage. Aimer. Tu as aimer ça ? Détruire. Ce sentiment de puissance. Richard était de la vieille école, il n'avait pas vécu dans une cité ou une banlieue, même s'il avait pas le rang de Duc, il avait eu une bonne éducation grâce à sa mère parce qu'il ne pouvait pas demander au père, il n'était pas très présent. Bien qu'il lui fournissait le fait d'avoir une bonne éducation. Ce n'était pas parce que s'était un batard qu'il ne devait pas être éduqué comme il se doit. Richard comprenait mieux quand il parlait correctement. Aimer ? On ne pouvait pas dire qu'il avait aimer mettre le feu. S'était sorti sans qu'il contrôle quoi que ce soit. Cependant Richard aimait quand le feu ardent sortait, cette chaleur qui parcourait son corps, le rendait bien plus fort. Le respect on dirait que tu ne l'a pas suivi.. Devait-il lui répondre qu'il avait apprécier au fond de lui puisqu'il n'était une masse de puissance qui ne demandait qu'à sortir. Mais s'il était en train de l'enregistrer ? Après tout n'avait il pas été accusé ? Non je n'ai pas apprécier faire cela.

Pourtant ils ont bien embauché en gériatrie alors que clairement on sait que les vieux en fin de vie ne sont pas très … réactifs. Il avait un sérieux soucis celui là. Ce môme devait-etre suicidaire, il ne voyait pas d'autre explication. Non Richard n'était pas content du tout même que son sang bouillonnait dans ses veines, Le feu du phénix n'allait pas tarder à sortir. En plus, figure toi que j’ai déjà été pompier ! Faut dire que … j’aime bien les grosses lances qui crachent avec puissance. Qu'est ce qu'il en avait à foutre qu'il ait été pompier ? Non mais il était sérieux là ? A parler de lance ? Bien sur ça ne concernait pas celle à eau visiblement rempli de sous entendu. Qu'est ce que j'en ai a faire que tu était pompier ? Tu crois quoi que ça va nous créer un lien ? Que je vais être attendri et te donner ce que tu veux ? Bon certes, il avait eu pas mal de relation divers et en tout genre. Le fait d'être pompier, l'uniforme quoi donnait des fantasmes à plus d'une personnes. Mais là s'était trop pour lui, ce nabot se payait sa tête royal. Alors il s'était avancé pour le prendre par le cou. Et serrer, il aimerait bien lui tordre le cou comme on faisait au poulet sauf que bon, il ne pouvait pas sinon il allait être condamnés et ça il n'avait réellement pas envie. Il pouvait faire passer cela comme légitime défense ? Un emmerdeur pareil fallait le calmer direct. Non clairement il était maso, c'était pas possible, il affichait un rictus. Oooh mais c’est que papy est musclé pour son âge... Il serrait encore, une voix dans son esprit lui disait Crush. Ferme la ! Il haussa un sourcil en sentant ses mains toucher son bras, d'ou il le touchait. Se contact était plutôt froid mais ça ne lui faisait pas grand chose mise à part quil était en train de bouilloner. Hé bien Monsieur Muscle, ton cerveau s’est transformé aussi en biceps. Tu te rends compte que tu te coupes toi-même dans ta phrase ? Si tu es innocent cela ne serait pas dérangeant que j’en parle mais vu que tu insistes pour que je n’en parle pas … c’est que tu es coupable. No shit Sherlock ! Mon cerveau se porte très bien, tu n'as pas remarquer que c'est peut-être toi qui pousse les gens à bout ? T'as pas l'impression d'avoir des neurones griller toi aussi pour être suicidaire ? Pose toi la question merdeux. Je ne suis coupable de rien du tout, tu as peut être inventé tout ça. Oui. C’est ça que je voulais voir. La colère

La colère ?! Il allait l'a voir au bout d'un moment mais, il n'y aurait même pas de retour possible. Il serrait encore ses mains pour qu'il ne parle plus et qu'il ferme sa putin de petit gueule. Vas-y. Serre. Je vois bien que tu en as envie ... et tu seras pas le seul à prendre ton pied. Bander comme ça, c'est kiffant. Même ainsi il continuait son petit jeu, il voulait réellement crever en faite ?! Nouvel haussement de sourcil ? Serrant des flammes étant train de sortir légèrement Dis donc … Monsieur Muscle … c’est qu’on est chaud ! Non s'en blague ? La température corporel de Richard avait dépassé les cinquante degrés. La main du jeune s'était poser sur les siennes créant un effet, de vapeur d'eau. Le chaud et le froid. Ce n'était pour autant qu'il cherchait à desserrer se lien, il l'avait littéralement pousser à bout. Mais il n'avait pas prévu la vague le frapper dans le dos pour ensuite l'attraper, de ce fait il lacha donc Caly. Richard était tremper, on pouvait voir la musculature de sa silhouette. Il avait horeur d'êrte tremper. Le feu ça brûle, l’eau ça mouille, l’eau éteint le feu, physique de base, même toi tu devrais comprendre. Il allait nous chanter la musique des top boy ? de Charly et Lulu ? T'as découvert ça tout seule Einstein ? A moins que tu ne désire de chanter la musique des top boy ? L'eau n'éteignait pas toujours le feu, il pouvait être incontrôlable. Tu dois être vraiment torride au lit … et pas que façon de parler tu vois. Genre littéralement enflammé Il n'avait pas tout à fait tort, oui au lit il était torride un peu trop parfois. Il se rappelait une fois qu'il avait bruler sa compagne. RIP à cette brave Rosalinde. Oui... tu ne sais pas à quel point Il était en train de se redresser, sa chaleur corporel était en train de sécher son corps, on pouvait voir la vapeur sortir de son corps du au fait qu'il éliminait l'eau. Donc oui, où en étions- nous. Au fait, moi c’est Calypso. Caly c'est bien. Vaut mieux savoir à qui on a affaire quand on négocie non ? Ah parce que maintenant on était au présentation ? Depuis quand ils étaient devenu copain ? Il voulait aussi une bouffe au resto ? Négocie ? Il croyait être au super marché ? Il soupira légèrement. Le laissant se rapprocher, donc s'était un être de l'eau... c'était quoi une méduse ? une anémone... nan ça devait être un mollusque... vu son QI.

Il s'était penché vers lui. J’ai la preuve que c’est toi notre pompier pyromane, et pas uniquement parce que tu viens d’essayer de me cramer. Tu sais, la technologie de nos jours … j’te donnerais des cours si t’as envie. Comme je disais, ça serait bête que je ne m’en serve pas. De la preuve tu vois. Figure toi que j’ai besoin d'argent. C’est fou ce que les humains ont pu inventer, ce concept des petits billets verts en échanges de choses sympa. À l’époque j’en avais pas besoin, mais maintenant oui. Donc tu me donnes régulièrement de l’argent et promis je ne dévoile pas la vidéo. C’est bien comme deal non ? Il le regardait... que pouvait-il faire ? flamber son téléphone ? Ca la technologie, il connaissait... Il en avait un aussi. besoin d'argent ? Il le faisait chanter ?! Il le fusillait du regard. Si tu me dis que tu as cette preuve... montre moi que ce n'est pas un mensonge parce que t'es plutôt pas mal dans ton genre merdeux. Au moment ou il allait voir le téléphone, il allait bruler à distance le téléphone avec la chaleur qu'il pouvait dégager. Le fait qu'il soit pencher, il pouvait très bien le déshydraté intérieurement avec une forte chaleur tout finissait par mourir sous son passage. Sa main se posa sur sa nuque et il se redressa pour poser ses lèvres sur les siennes, prenant le téléphone pour le faire fondre. C'était une créature de l'eau s'était même sur qu'on ne le ferait pas chanter. Retirant ses lèvres des siennes, le chaud et le froid. L'eau et le feu. Les contraire satire ?. Richard dégageait une forte chaleur. Tu ne me fera pas chanter... Caly... Au fait moi c'est Scandal Utiliser son surnom c'était bien non ? le lachant.

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Tel est pris qui croyait prendre

Calypso & Richard

Calypso aurait pu s’en tenir là. Il avait bien senti les mains de l’homme se refermer sur son cou. Il avait vu dans son regard qu’il n’aurait pas hésité une seule seconde à le tuer. Après tout, il l’avait cherché et l’homme avait sauté les deux pieds joints dans son piège macabre. D’abord l’agacer, l’énerver, monter en puissance. Jouer sur l’âge, les tabous, être irritant au possible. Manier le cynisme de la même manière qu’il aurait manié une arme. Lui renvoyer face à face ses propres contradictions et ses propres sentiments. Calypso était passé maître dans l’art de faire sortir les rivières de leurs lits et pas qu’à proprement parlé. Même s’il passait pour un idiot, un gamin des rues qui ne faisait que traîner, pas capable d’avoir un job plus de deux mois consécutifs, tout n’était qu’illusion. Il n’aimait pas travailler mais il aimait mettre son intelligence au service de choses douteuses. Moralement. Éthiquement. Il pouvait être retord et analyser rapidement la personne qu’il avait en face. Ça ne datait pas d’aujourd’hui. Il avait toujours dû faire preuve d’un grand jugement. Alors même si l’homme lui disait le contraire, lui avouant aussi par la même occasion qu’il était bien l’auteur de l’incendie, il savait qu’il avait apprécié. Il avait vu son regard la veille. Il aurait beau lui dire tout un tissu de mensonges. Caly n’était pas dupe. Il savait qu’au fond, cet homme était aussi mauvais que lui et c’était sans doute ça qui lui plaisait. Il avait toujours apprécié la force brute et là, il en avait une belle démonstration. Mais Caly n’était pas un être domptable. Ceux qui avaient essayé avaient eu des gros ennuis. Alors quand l’homme lui ordonna de se taire, il ne le fit pas, continuant son horripilant manège. C’était drôle, il n’avait toujours pas compris qu’il faisait ça pour s’amuser, par ennui. Comment aurait-il pu d’ailleurs ? Surtout qu’il avait d’autres choses à gérer. Le fait que Caly savait et que sa défense était médiocre et la vie aussi dudit Caly, qui malgré son sourire arrogant commençait à manquer d’air. Alors il fit ce qu’il savait faire et se libéra en un clin d’oeil, s’éloignant de quelques pas de l’homme trempé. Il en profita pour enfoncer le clou. Certes, il s’amusait comme un petit fou mais il ne fallait pas oublier l’objectif principal qui avait germé dans son esprit malsain. L’argent.

“C’est pour être à ton niveau. Je sais que les vieux n’ont plus tous leurs neurones. J’adapte mon discours. Trop sympa de ma part.”

Caly embrassa le doigt de sa main avant de prendre un air supérieur, comme s’il avait vraiment fait une bonne action;

“Top Boy ? C’est quoi ça ? Le surnom de tes acteurs pornos favoris ?”

Il continua sur sa lancée, lui faisant un petit clin d’oeil en passant ses mains sur son cou avant de se présenter. C’était la moindre des choses. Caly bougeait énormément et il s’était à nouveau rapproché de l’homme, gigotant sur ses pieds avant même de se pencher tout en lui expliquant ce qu’il comptait faire avec un sourire mutin. Oh. Il avait fait une touche ! S’il n’avait besoin que de ça pour devenir sa future banque, il le ferait avec plaisir. Il commenterait même les actions qui défileraient sur l’écran.

“Okay ! J’te montre alors vu que Monsieur Muscle a besoin d’être rassuré. Enfin … je veux dire rassuré que je ne sois bien un vrai maître chanteur. Bon c’est vrai que c’est pas ma tasse de thé, d’ordinaire, quand je prends de l’argent, ils sont déjà morts.”

Caly eut un petit rire, haussant les épaules. C’est vrai que c’était la première fois qu’il allait faire ça et c’était assez excitant. Il pensait avoir vu assez de séries pour s’en sortir. L’homme se rapprocha aussi et Caly sortit son téléphone pour lui montrer la vidéo.

C’est alors qu’il eut un retournement de situation qu’il ne vit pas venir. L’homme l’attrapa mais pas de la même manière que quelques instants auparavant. Il put sentir cette main brûlante venir se poser sur sa nuque et le tirer à lui de manière brutale pour l’embrasser. C’est ça ! Monsieur Muscle était en train de l’embrasser et clairement, il n’y aurait pas pensé. Les sous entendu qu’il faisait depuis tout à l’heure auraient ils porté leurs fruits ? Il l’aurait séduit sans même utiliser son pouvoir ! Cool ! Bien entendu, Caly lui rendit son baiser mais au moment où il allait l’approfondir, obnubilé par le désir qui commençait à poindre le bout de son nez, l’homme se recula, son téléphone en main, qu’il réduisit en cendres.

“Putain mais quel enculé ! Mon téléphone ! Oh tu sais combien ça coûte ça sérieux ? Si je te demande de l'argent c'est que j'en ai déja pas beaucoup !”

Caly écarquilla les yeux de surprise. Okay. Joli coup. Il devait le reconnaître. C’était bien pensé que de le manipuler de cette façon là. Mais il le sous estimé vraiment, et ça c’était encore plus fun. Même s’il était en colère parce que oui, c’était son téléphone et il ne roulait pas sur l’or pour pouvoir s’en racheter un de suite, il ne put s’empêcher d’éclater de rire à l’évocation du ‘nom’ de l’homme.

“Scandal ? Omg mais non ! J’y crois pas ! C’est encore mieux que la vidéo. T’es quoi ? Une vieille drag queen sur le retour ?”

Il continua de rigoler pendant un moment, devant l'incrédulité de l’homme. C’était trop bon. C’était quoi ce surnom à deux balles ? Ah non mais ça, c’était bel et bien la meilleure. Là non plus il ne s’était pas attendu à ça, ‘Scandal’ était vraiment rempli de surprises.

“Oh non je sais, t’as joué dans une télé réalité et on t’as surnommé comme ça parce que tu kiffais créer des conflits.”

Caly se recula légèrement tout en faisant mine de réfléchir avant de pointer son bras vers lui.

“Tu vois, au final on est pareil. J’adore le conflit ! Que ça soit entre les autres, ou entre moi et les autres. C’est fun, ça met du piquant dans la monotonie de la vie. Si tu te fais appeler Scandal, parce que bon j’suis pas sur que ça soit écrit sur ta carte d’identité, c’est que tu aimes le scandale… et c’est quoi le scandale ? Des affaires bruyantes qui soulèvent l’indignation et le choc dans la population.”

Il haussa les sourcils, son rictus étant revenu au fur et à mesure qu’il lui parlait, qu’il le confrontait.

“Donc si c’est ton surnom, c’est que tu aimes en faire. Des scandales. Tu vois. Point commun.”

Caly rigola tandis qu’il avait changé de place, tournant autour de lui.

“Et bien entendu que si, mon cher Scandal je vais te faire chanter. T’as cru que j’étais vraiment idiot au point de n’avoir la vidéo que sur mon téléphone ?”

Il tapa dans ses mains, s'applaudissant de ce coup.

“Alors ouais, ça me gave parce que putain on t’as pas appris à pas abîmer les affaires d’autruis mais sinon … tu auras beau chercher, brûler tous les terminaux que tu trouves, elle restera dans le Clouuuud. Il me suffit d’un clic pour qu’elle soit publiée et tu ne pourras pas être sur mon dos à longueur de journée. Pas que ça me dérange hein …”

Voila ! Il avait appris des plus grands ! Il savait qu’un jour le fait de regarder des séries policières lui rendraient service. Il avait bien étudié les plans des méchants, qu’il trouvait toujours plus intéressant et il s’en servait avec maestro. Néanmoins, ce n’était pas tout. Il était vraiment attaché à son téléphone. C’était Jamie qui lui avait donné et même s’il faisait tout pour se faire détester de l’assistant social, il avait trouve ça gentil. Son téléphone méritait vengeance.

“Tu sais, tu devrais vraiment me donner ce que je veux maintenant où ça va mal tourner pour toi. Piouuu, je ne sais pas ce qui m’arrive aujourd’hui mais wala j’suis trop gentil. En général je ne préviens pas mes victimes. T’es un p’tit veinard en fait !”

Bien sur que non, il ne prevenait pas. C’était grotesque. Il n’allait pas voir les futurs noyés en leur disant qu’il allait les transformer en marionnette et qu’elles se jetteraient elles même dans l’eau. Ce n’était pas drôle. Et là, visiblement, Monsieur Muscle -surnom qu’il préférait à Scandal- ne le croyait pas. Pire, il arborait lui aussi un rictus. Très bien tant pis pour lui. Caly se rapprocha de lui sans aucune crainte. Il posa sa main sur son torse si musclé avant de relever la tête. Dès que leurs regards se croisèrent, l’homme était foutu. Les yeux bleus du jeune homme luisait d’une luminosité forte, étrangement attirante, comme la lumière des poissons des grands fonds. D’ordinaire, Caly n’avait besoin de quelques secondes pour prendre le contrôle d’une personne et encore, il en voulait à cette malédiction de l’avoir privé de toute sa puissance. À l’époque, un simple regard, même un simple contact avec lui était dangereux.

“Ne résiste pas. Laisse-toi aller. On sait tous les deux que tu veux être avec moi.”

Sa dangeureuse mélodie était en place. Il n’utilisait sa voix que pour les gens forts et il voyait bien que l’homme luttait, mais dès qu’il sentit des mains sur lui, il savait qu’il avait gagné. Il était à lui. Sous son contrôle et c'était comme souvent très grisant pour le jeune kelpie.

“Bien babe. Donne-moi ton portefeuille et le code de ta carte bleue.”

L’homme se recula de quelques centimètres, fouillant dans sa poche pour en sortir un portefeuille en cuir qu’il tendit à la peste en face de lui, qui se délectait particulièrement d’avoir réussi à soumettre un homme de cette force mentale. Il enregistra le code mentalement, souriant en voyant les gros billets qu’il y avait dedans avant de combler à nouveau l’espace entre eux. Il se mit sur la pointe des pieds pour l’embrasser langoureusement avant de déposer quelques baisers sur sa mâchoire carrée et de lui murmurer à l’oreille.

“Good Boy. Maintenant tu vas à l’entrée du port, et tu vas t’y jeter. Oh ne t’en fais pas, je serai là pour t’accompagner dans ce doux voyage qui sera ton dernier.”

Changement de plan, il n’allait plus le faire chanter vu qu’il avait sa carte bleue. Non il allait le tuer, comme lui avait essayé de le faire au moins une demi-heure avant. Il n’y avait pas que le téléphone qu’il vengeait mais les marques de son cou. C’était puéril. C’était Caly. L’homme hocha positivement avant de sortir de l’entrepôt et de prendre la direction que Caly lui avait indiqué. Il marchait en sifflotant derrière, plus qu’heureux de son coup. Cela faisait un petit mois qu’il n’avait pas effectué de noyade et là, il sentait que ça allait être spectaculaire. Sauf que tout ne se passa pas comme prévu. Quelques minutes après, l'homme s’arrêta et se retourna vers Caly qui avait trouvé une sucette dans la poche de sa veste et qui pianotait sur son téléphone, enregistrant la carte bleu de sa victime. Caly releva la tête puis la pencha sur le côté avant de sortir la sucette de sa bouche.

“Ça marche plus c’est ça ? Putain. Bravo Monsieur Muscle. Tu es le premier qui arrive à se défaire de mon emprise seul. Chapeau. Et je crois que c’est le moment où je dois courir c’est ça ?”

Effectivement, Monsieur Muscle avait l’air très en colère, encore plus que tout à l’heure. Oh Caly pouvait comprendre à vrai dire, se faire rouler par plus petit que soi, ça fout le boules. Il fit une petite moue, reculant d’un pas avant d’hausser les sourcils et de se retourner pour courir très rapidement. Il avait l’avantage de connaître le terrain et de courir vite. C’était dans sa nature tout comme la séduction où le meutre. Il faisait aussi tomber des choses derrière lui pour le semer, mais il entendait qu’il était toujours à ses trousses. C’était excitant ! Pour une fois que c’était lui qui était chassé et pas l’inverse. Finalement, après un bon quart d’heure de course, Calypso plongea dans le port, seul endroit qu’il savait où l’homme n’irait pas. Pas vraiment parce qu’il avait saisi la nature de ce qu’il était mais plus parce qu’il pensait qu’il avait un instinct de survie. Il lui avait ordonné de s’y jeter, c’était bien pour une raison. L’homme arriva quelques secondes après qu’il ait fait plouf. Caly avait mis ses mains derrière sa tête, barbotant tranquillement, comme si de rien n’était. Il s’approcha du bord, faisant à nouveau une petite moue.

“Bon. Allez on est à égalité. T’as essayé de me tuer, moi aussi, regarde on est quitte. J’ai pris l’argent pour mon téléphone que tu m’as cassé parce que j’ai pas d’assurance.”

Il eut un petit gloussement avant de se redresser pour regarder l’homme qui se tenait sur le bord du quai.

“Avoue, c’était drôle ! Même toi j’suis sur ça t’a sorti de ta routine métro - boulot - fuego - dodo.”

Caly savait qu’il devrait apprendre à se taire mais il n’y était jamais arrivé et ce n’était pas maintenant qu’il allait commencer.

“Mais sinon, c’est quoi ton vrai nom ? Non parce que Scandal, soyons honnête c’est vraiment nul. Allez soit cool ! Moi j’tai dis le mien ! Genre la politesse c’est que tu me dises le tien aussi !”

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Tel est pris qui croyait prendre

Calypso & Richard

Il aurait peut-être mieux fait que ce charmant Caly s'en tienne la mais... visiblement il n'écoutait rien du tout. Richard lui faisait clairement comprendre qu'il n'avait pas réellement peur de serrer d'avantage son étreinte. Il était juste sous les effet de la colère, le jeune l'avait pousser à bout. On pouvait donc sentir la force brute de Richard. L'oiseau de feu voyait pour le moment qu'un idiot qui voulait le faire chier pour la journée. Il n'avait pas vraiment chercher plus loin pour le voir qu'il essayait de le pousser a bout. Richard aussi sous estimait pas mal Calypso... parce qu'il ne le voyait pas comme quelqu'un de réfléchit au vu de ses tendances à provoquer les pulsions meurtrière des autres. En revanche il pouvait reconnaître qu'il savait ou frapper pour déclencher la colère des personnes. Richard n'allait pas se mentir à lui même, il était quand même un menteur dans l'âme, mais mentir à ce dernier ne lui posait pas réellement de problème, il ne le connaissais pas et n'avait pas réellement de feeling. Le pire s'est que tout cela avait sacrément mal commencer pour partir sur une douce et bonne amitié. De toute façon s'était vite vu, Richard n'avait pas grand monde dans son entourage. Son demi frère il ne le comptait même pas son môme bof. Il n'y avait que Lucifer qui pouvait le comprendre dans certains moment. Même si parfois Luci l'exaspérait aussi quand il se foutait sa gueule a croire que personne ne prenait au sérieux. - Tout ça est Scandaleux monsieur... Scandal... - L'oiseau de feu était devenu mauvais avec le temps, et ça s'était changer en force, la moindre chose qui le faisait chier, Richard voulait l'anéantir, frapper ou tout bruler pour calmer sa rage, la colère qu'il avait en lui. C'était pour cette raison qu'il laissait parler sa rage dans un lieu ou il n'y avait personnes. Il ne voulait pas avoir des morts sur la conscience, pas que ça l'aurait rendu triste... non juste parce qu'il ne voulait pas porter tous les torts. S'il passait à l'acte, il n'y aurait surement plus rien. Mais il tenait pas mal à son boulot, être pompier s'était une choses qu'il appréciait grandement. C'était un homme du feu, une manière à lui d'avoir une reconnaissance, il était le seul pompier a ne pas sentir la chaleur ou le feu. Donc tout benef pour lui quand il devait affronter le danger, lui n'avait pas réellement peur de mettre sa vie en danger de toute manière. C’est pour être à ton niveau. Je sais que les vieux n’ont plus tous leurs neurones. J’adapte mon discours. Trop sympa de ma part Il leva les yeux au ciel en toute réponse. Trop aimable de ta part... mais c'est quand plus tu te crois comique ? Tu aide aussi la veuve et l'orphelin ? Autant continuer sur la lancé d'être trop aimable. C'est pas la modestie qui d'étouffe en tout cas.

Cet enfant continuait encore, il n'était jamais épuisé ? Il a été fait sous quel stupéfiant ? Marchait-il avec des piles duracell ? Fallait lui retirer pour qu'il se mettent en mode off. Top Boy ? C’est quoi ça ? Le surnom de tes acteurs pornos favoris Vous sentez l'air blasé un peu sur le visage de Richard ? Nan mais franchement, Richard était en train de puiser dans ses réserve de patience. Il ne prit même pas la peine de lui répondre à cela. Il ne fallait mieux pas, Faut pas parler aux cons, ça les instruit. Le clin d'oeil, il s'en serait bien passé... Levant une nouvelle fois les yeux au ciel. Calypso... c'était pas un nom de déesse ça ? Une déesse païenne ou une Nymphe.. bon il s'en fichait pour le coup. Okay ! J’te montre alors vu que Monsieur Muscle a besoin d’être rassuré. Enfin … je veux dire rassuré que je ne sois bien un vrai maître chanteur. Bon c’est vrai que c’est pas ma tasse de thé, d’ordinaire, quand je prends de l’argent, ils sont déjà morts. Ohh parce que tu deviens magnanime maintenant ? Tu fais des don au bonne oeuvre aussi ? Et c'est sur cela que Richard s'était mit à jouer, jouer les charmeurs s'étaient aussi son dada, il avait déposer ses lèvres sur les siennes pour avoir une main sur le téléphone pour le bruler. Ric n'avait pas le moins du monde preter son attention au allusion ou pas tellement vu la colère. En d'autre lieu peut-être, il aurait surement parler avec des sous entendu, provocateur. Putain mais quel enculé ! Mon téléphone ! Oh tu sais combien ça coûte ça sérieux ? Si je te demande de l'argent c'est que j'en ai déja pas beaucoup ! L'oiseau de feu n'était pas réputé dans la dentelle, oui s'était un enculé quand il s'y mettait, mais fallait pas le chercher. Qu'est-ce que j'en ai a carré de combien il a pu gouter ? Et bien il ne fallait pas me faire chanter petit. En d'autre circonstance je t'en aurais peut-être donné mais la tu vois, je n'en ai pas l'envie ni la patience, on ne me film pas à mon insu.

Scandal était le surnom que son demi frère lui avait donné, et puis s'était un excellant pseudonyme. Scandal ? Omg mais non ! J’y crois pas ! C’est encore mieux que la vidéo. T’es quoi ? Une vieille drag queen sur le retour ?” Il pencha la tête légèrement pour le regarder, il était sérieux lui ? Nouvel air blasé sur le visage, on laissait tranquille les copines de Luci. Je ne crois pas non... On ne joue pas réellement sur le même territoire.

Il pouvait pas la bouclé un peu ? Oh non je sais, t’as joué dans une télé réalité et on t’as surnommé comme ça parce que tu kiffais créer des conflits. La mettre en veilleuse pendant environ trois mille ans ? C'était bien ça trois mille ans. Bon certes il avait eu ce surnom à cause de son frère parce qu'il était toujours le sujet des potin scandaleux. L'homme au mille et une conquêtes, celui qui avait flamber sa compagne, bon ça personne le savait c'est un peu ce qui a déclencher chez les personnes les combustion spontané. Ouai... c'était sa faute. Par contre il ne s'était pas attendu à être qualifié de pareil avec ce merdeux. Il n'avait pas tout à fait tort, il aimait être le sujet des potin scandaleux, qu'il fasse parler de lui et qu'il n'entendent pas le nom de son frère. Non en effet sur sa pièce d'identité il y avait écrit autre chose. Richard, Cain, Neron Goldwin. Et oui dans la famille Cynster les second prénom était toujours en rapport avec un personnage de la bible. Ironique hein ? Toi et moi pareil ?, je ne suis pas aussi casse-couille que toi...Et qui te dis que ce n'est pas mon réelle prénom ? On sait pas peut-être que ma mère à juger bon de m'appeler ainsi ? Et que je suis a l'origine du terme Scandale ? Ohh tu es bien curieux... Tu crois que je vais te le dire alors qu'on se connait depuis quoi... Une journée ? Et que tu désire me faire chanter... nan on est pas assez intime pour ça.

Et bien entendu que si, mon cher Scandal je vais te faire chanter. T’as cru que j’étais vraiment idiot au point de n’avoir la vidéo que sur mon téléphone ? Il pouvait toujours tenter, il n'y parviendra pas. On ne faisait pas chanter Richard ! Alors ouais, ça me gave parce que putain on t’as pas appris à pas abîmer les affaires d’autruis mais sinon … tu auras beau chercher, brûler tous les terminaux que tu trouves, elle restera dans le Clouuuud. Il me suffit d’un clic pour qu’elle soit publiée et tu ne pourras pas être sur mon dos à longueur de journée. Pas que ça me dérange hein Il serra les mâchoires, il pourrait toujours faire cramer le truc qui héberge le Cloud ? Ou détruite le réseau tout entier qu'était internet. Tu crois que ça va me faire pleurer ou mal dormir ? Désolé pour toi mais j'ai aucun remord.. on m'a toujours appris à prendre ce qui n'est pas a toi et de le détruite... En vrai... ca le faisait pas tant chier que ça... qu'il Publi sur les réseaux en fait... c'est juste par principe ! Il n'aimait pas qu'on le fasse chanter ! Bien qu'il savait pertinemment qu'après ça il allait être sous le feu des projecteur comme toujours. En revanche, il avait hausser un sourcil au sujet d'être sur son dos à longueur de journée. Oh parce qu'en plus, il voulait de sa compagnie ? Tu sais, tu devrais vraiment me donner ce que je veux maintenant où ça va mal tourner pour toi. Piouuu, je ne sais pas ce qui m’arrive aujourd’hui mais wala j’suis trop gentil. En général je ne préviens pas mes victimes. T’es un p’tit veinard en fait Et puis quoi encore ? Et capituler face à ce gosse ? Non ! Il n'allait pas capituler. Non.. Pour que tu ai encore se sourire satisfaisant sur ta gueule d'ange ? Je préfère pas... Qui te dis que ça ne va pas plutôt mal tourner pour toi ? Tu veux que je te donne un sucre pour récompense de gentillesse ? Veinard ? Pas vraiment vu que tu me fait chier depuis tout à l'heure.

Le voila qu'il se rapprochait de lui une nouvelle fois. Décidément, c'était quoi un aimant à embrouille ? Son sourire de petit con sur les lèvres. Posant sa main sur son torse, il voulait quoi lui ? D'où il se permettait de le toucher ? Son regard s'était poser sur Richard, et des que son regard croisa celui de Caly, il s'était senti comme envouter. Bien qu'il ai déjà de beau yeux. Il n'était plus libre de ses mouvements. Ce qui ne l'empêchait pas de résister. Ne résiste pas. Laisse-toi aller. On sait tous les deux que tu veux être avec moi. Cette voix était si mélodieuse... - Bwarf ferme la ! Reprend toi Ric ! - Les mains de Richard s'étaient déplacé, il avait envie de le toucher de rester auprès de lui. Bien babe. Donne-moi ton portefeuille et le code de ta carte bleue. Sans réellement attendre Richard s'était reculer de quelques centimètre pas trop il ne voulait pas couper le contact et il en avait sorti son porte feuille tout en lui donnant le code de sa carte, il le lui avait filer. Mais il était con, il n'aurait jamais fait ça, mets toi des claques du con ! Caly s'était mit sur la pointe des pied pour l'embrasser, sen changeant en baiser langoureux. Sans que ce dernier ne flambe d'ailleurs. Sentant des frissons a chaque baiser sur sa mâchoire. Pour lui murmurer lentement. Good Boy. Maintenant tu vas à l’entrée du port, et tu vas t’y jeter. Oh ne t’en fais pas, je serai là pour t’accompagner dans ce doux voyage qui sera ton dernier OUuhhh la on va se détendre pardon ?!. Il était hors de question que l'oiseau de feu mettent les pieds dans le port ! Encore moins pour s'y jeter. Aller Ric faut que tu te bouge et que tu te réveille surtout. Ne perds pas la face ! Surtout pas pour un môme. Le corps de Richard ne répondait pas pour le moment, il s'était donc mit à marcher en direction du port. Son esprit était encore en train de lutter, se fut sa main qui bougea discrètement en premier puis son bras et son corps était de nouveau en fonction mais il laissait croire à Caly qu'il était encore sous son emprise, ce qui lui avait permis de sortir son téléphone pour bloquer sa carte et empêcher la moindre transaction pour son argent tant pis... Ou il pourrait toujours faire une déclaration de vole. Une fois tout cela fait. Ric s'était arrêter subitement, pour se retourner et faire fasse à Caly. C'était dommage pour lui mais s'était comme ça ! On ne contrôlait pas le feu. Ça marche plus c’est ça ? Putain. Bravo Monsieur Muscle. Tu es le premier qui arrive à se défaire de mon emprise seul. Chapeau. Et je crois que c’est le moment où je dois courir c’est ça ? La colère était toujours en train de pulser en lui. Et non ton jouet et cassé !

Il n'était pas n'importe qui ! Le premier et le dernier ! Il ne voulait pas que les autres y parviennent s'était son défi ! Même si pourtant, il avait envie qu'il continue. Faisant craquer sa nuque. Oui c'est le moment de courir... La colère de Richard était légitime ! On l'avait fait chanter et on a tenter de le tuer en le manipulent de force par une voix enjôleuse ! Richard avança dans le but de lui peter les rotules et Caly se recula d'un pas. Pour finalement courir très vite, il n'allait pas lui échapper bien longtemps. Richard parti à sa poursuite. Caly n'allait pas lui échapper éternellement à un moment donné ou un autre. Qui vient à point à qui sait attendre. Finalement il avait réussi à plonger dans l'eau... Richard n'allait pas suivre à ce point, il n'était pas fou. Il était en train de barboter dans sa marre comme si rien ne s'était passé. L'oiseau de feu était toujours en rogne contre lui mais il devait avouer... qu'il n'était pas inintéressant. Bon. Allez on est à égalité. T’as essayé de me tuer, moi aussi, regarde on est quitte. J’ai pris l’argent pour mon téléphone que tu m’as cassé parce que j’ai pas d’assurance. Il haussa une nouvelle fois un sourcil, bien sur et il avait toujours en mémoire le code de sa carte. Heureusement que Richard a prit les devant pour faire opposition à sa carte. Il ne méritait pas qu'il lui accorde autant de clémence, il a essayer de le tuer, il l'avait manipuler et voler ! Caly s'était redresser pour se rapprocher du bord. Richard se tenait non loin. Drôle ? Pas vraiment juste une perte de temps, pour le sortir du quotidien ce n'était pas bien difficile. Drôle ? Pour toi peut-être, tu as tenter de me faire chanter maintenant tu vas effacer cette putain de Video Il s'était donc accroupi. Mais c'est sur que des routines comme celle faut pas en avoir tout les jours des quand même vachement casse couille.

il devait reconnaître que c'était même le roi des casses burne et pourtant il ne pouvait s'empêcher de le trouver charmant. Mais sinon, c’est quoi ton vrai nom ? Non parce que Scandal, soyons honnête c’est vraiment nul. Allez soit cool ! Moi j’tai dis le mien ! Genre la politesse c’est que tu me dises le tien aussi ! Nul ? C'est un nom comme un autre. Tu adore la politesse ? Ca ne t'as pas empêcher de vouloir me faire chanter. Mais je dois reconnaître même si t'es un casse couille de première tu es plutôt charmant. Tu veux mon nom en version longue genre comme le seigneur des anneaux ou la version courte ?

Il sentait encore un peu des picotement sur les lèvres. Se contact froid n'était pas désagréable.

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