« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
C'était une journée de shopping tout ce qu'il y a de plus naturel dans ma vie. Après avoir fait plusieurs magasins et n'avoir trouvé qu'un charmant collier que je portais à présent au cou j'étais allé boire un thé dans un petit salon parfaitement charmant. J'aimais cet endroit plein de douceur et de bonnes ondes. Les gens y étaient toujours serviables et c'était d'une élégance rare que j'aimais énormément. Je marchais donc pour rentrer chez moi quand j'entendis des cris, des rires , des gamins. Je fronçais les sourcils et m'approcha , de plus cela était sur ma route. Quand je fus alors surprise de voir un pauvre enfant se faire embêter par d'autres. La colère me montait alors que j'approchais . - Non mais c'est quoi tout ça ? Vous n'avez pas honte ? Et quatre contre un en plus ... Non mais vraiment .. Allez filer de là avant que je vous emmène au poste de police ! D'un geste de main qui voulait clairement dire aux enfants de partir - ce qu'ils firent d'ailleurs en ricanant - je me tournais vers le petit gamin . - ça va petit ? demandais je alors poliment , voyant sa lèvre abîmée je compris une partie de ce qu'il venait de se passer. - Aller je te ramène chez toi . Je m'appelle Jasmine et toi ? Après qu'il m'eut dis donc nom je lui souris et c'est dans ma voiture , une belle Audi noire que je ramenais l'enfant chez lui .
Je sortie de la voiture , je voulais être certaine que tout ce passe bien et qu'il n'est pas de soucie avec ses parents. Il m'assurait que ce n'était pas la peine mais j'avais insisté et il avait bien compris que ça ne servait à rien d'essayer de discuter avec moi. Aussi je le conduisit à la porte et sonna. Il affirmait encore que tout allait bien et que je pouvais partir mais la porte s'ouvrit sur un homme. Il avait beaucoup de charme et une élégance qui se faisait rare aujourd'hui , si bien que sur le coup je ne trouvais que dire et ma bouche resta entrouverte un court instant avant que je me ressaisisse. - Bonjour , j'ai trouvé votre fils qui se faisait embêter par d'autres enfants , il a visiblement passé un salle quart d'heure . Je voulais simplement m'assurer que tout irais bien et qu'il rentrerait chez lui sain et sauf ; dis je avec un petit sourire délicat , les mains jointes devant moi hautes avec mes escarpins noirs qui allait parfaitement avec ma robe crayon de même couleur. Mon sourire rouge comme le sang d'élargie un peu alors que je m'apprêtais à partir . :copyright:️ 2981 12289 0
Stefan Vulpesco
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Things are beautiful if you love them.
| Conte : Dracula | Dans le monde des contes, je suis : : Dracula, alias Vlad Teapes
Le vampire répand la nouvelle comme une traînée de sang.
Pendant ce temps, le vampire était assis dans son salon, regardant l’heure sur sa montre, soupirant face au retard du garçon qui devait rentrer pour son repas de la journée. Elle n’allait pas attendre toute la journée cette gentille dame qui avait gentiment proposé de donner son sang avant que la vieillesse l’emporte. C’était déjà dur de trouver une victime consentante pour faire plaisir au garçon… L’homme soupir en posant sa tête contre le son fauteuil et il porta sa coupe de vin à ses lèvres, celle-ci étant remplie d’un liquide rouge et opaque. Effectivement, ce n’est pas du vin même s’il aime en boire de temps en temps. En fond sonore résonnait de la musique classique. Ainsi, dans le décor de la maison vieillotte et l’ambiance générale mise en place, on se serait cru revenir en 1800. Oui, si un vampire sait comment s’adapter, il n’a pas plus de faciliter que les autres pour s’y habituer. Puis pour être honnête, le style moderne manquait de charme à son avis. Même celle des années 50 lui donne plus envie que de mettre du noir et du blanc partout.
L’homme fut dérangé par un coup à la porte et il soupira, apportant le verre dans le mini frigo caché sous un drap noir (il faut bien cacher les preuves). Il s’empressa de jeter un coup d’œil vers la porte de la cave où il avait installé la victime, actuellement en état léthargique et comme il avait bien fermé et verrouillé, il ouvrit à celle qui se trouvait derrière le battant ce l’entrée. Son regard croisa tout d’abord celui de la jolie humaine face à lui et il eut une certaine soif en imaginant le goût de l’élixir de vie qui circulait dans ses veines. Il lui sourit de la manière la plus charmeuse possible et il leva son bras posé sur le cadre de porte pour laisser le garçon courir à l’intérieur. Il savait qu’après les remerciements de bienséance, elle voudrait partir, mais il avait bien envie de l’inviter. Boire la déguster ou seulement un peu de compagnies, il n’avait pas encore choisi.
- Et bien, je tiens à vous remercier, mademoiselle. Damian est… Disons, souvent dans ce genre de situation. Je ne sais pas si vous avez pu vous en rendre compte, mais il est plus brillant que la plupart des enfants de son âge, ce qui emmène un énorme écart social entre lui et eux, j’en ai bien peur. Dans tous les cas, merci d’avoir été là pour lui, dit-il avant de poursuivre sans lui laisser le temps de partir. J’imagine que vous avez peut-être mieux à faire, mais… voudriez-vous quelque chose à boire? C’est la moindre des choses pour vous remercier. Vin, champagne, café, thé… J’ai quelques petites choses pour vous alimenter.
(c) DΛNDELION
Jasmine Alliba
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| Conte : Aladdin | Dans le monde des contes, je suis : : Jasmine
Voilà que je venais ramener un enfant que j'avais aidé. Il avait eu pas mal de soucie. Devant la porte j'attendais que la porte s'ouvre ce qui se fit sur un homme charmant et élégant à souhait. Il avait un sourire intrigant et quelque chose que je ne savais expliquer mais qui m'attirait ce que je ne savais pas c'est que cela ne venait pas de moi mais de lui. Les vampires étant doués d'un charme qui poussent leurs victimes à les suivre où que ce soit. Néanmoins il m'expliqua que ce n'était pas rare que le petit se fasse ennuyer - Mademoiselle Alliba .. Mais appelez moi Jasmine. Il faudrait peut être lui apprendre à ce défendre. Pas que je favorise la violence mais ... enfin ça pourrait lui éviter des soucies futurs. Et ne me remerciait pas c'est tout naturel. J'étais certaine qu'il était important de savoir se battre. C'était même la chose peut être la plus importante dans le cas du garçon.
J'étais sur le point de partir quand il me proposa de prendre un verre et pourquoi pas manger quelque chose. J'hésitais un instant. Je ne connaissais pas ce père de famille et ce n'était pas prévu dans ma soirée. Et puis j'avais faillit être tuée peut être était il Jafars sous une autre apparence. Ce sorcier était bien plus malin que je n'avais voulu le croire , au final je devais m'en méfier plus encore qu'autrefois. Tout était différent aujourd'hui. Je le regardais un cours instant comme essayant de voir dans son âme mais ce fus presque impossible alors je décidais de le suivre. Après tout ... - Quelle femme refuserait une coupe de champagne ? dis je avec un sourire charmant. Le champagne j'avais pris l'habitude de l'aimait dans ce monde. Pourtant autrefois j'étais plus adepte du thé , thé à la menthe principalement mais le champagne était d'un tel délice.
J'entrais alors avec calme; ne sachant pas encore que j'étais entrain d'entrer dans la gueule du loup . Quelle idiote je faisais. Pourtant pour le moment je n'étais que sourire regardant les meubles et la décoration ancienne autours de moi. Enveloppée dans cette douce musique classique que j'aimais énormément. Nous avions donc les mêmes goûts . Pourtant je n'avais trouvé qu'un grand appartement moderne où je ne me sentais pas vraiment au mieux. - C'est vraiment élégant chez vous. J'aime beaucoup. dis je en me tournant vers lui avec un sourire tout aussi sincère. Je ne savais pas encore où j'étais et si je l'avais su jamais je ne serais entrée. Pourtant j'étais là mais la vraie question était est ce que j'en sortirais ?
Je le regardais un instant de mon regard océan avant de lui demander - Je ne crois pas que vous m'aillez dis votre nom. Monsieur ..? Je me souvenais pourtant de l'indication que m'avait donné son fils de le laisser mais pour moi il était certain qu'il avait dis ça pour éviter de parler de l'agression à son père. Ce qui était courant chez les enfants de son age c'est pourquoi je ne l'avais pas écouté mais j'aurais peut être du.
