« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Est-ce que Giselle est trop naïve? Certainement. Et c’est encore un matin comme ce dernier que Robert lui reprocha sa trop grande gentillesse. Si elle s’améliorait, elle restait encore sensible aux jolis mots et aux sourires.
- J’allais sortir la batte de base-ball! Comment cela t’est arrivé, Giselle?! - Euh… Je ne sais pas… Laisse-moi réfléchir…
La journée de la veille, tout s’était passé comme à l’habitude. Elle s’était rendue à sa boutique a pied avec son thé chaud à la main, chantonnant gaiement sur le chemin. Après plusieurs clients et une robe à coudre, la rouquine finit sa journée en enroulant sa jolie écharpe verte autour de son cou. En passant, cette dernière entra dans une petite épicerie pour prendre quelques légumes pour le repas du soir avant de continuer vers la maison. C’est alors qu’une vieille dame semblant sympathique, mais étant fort insistante, lui proposa de boire un bon potage chaud. Touchée par la « générosité » de son aïeule, elle but la boisson en songeant qu’il manquait un peu de sel. La nuit vint rapidement après la cuisine et les devoirs de Morgan qui avaient besoin d’aide. Fatiguée, la mère de famille sombra dans un profond sommeil auprès de son mari. Elle ne s’attendait pas à se faire réveiller, le lendemain matin, par un hurlement de ce dernier qui ne la reconnaissait pas.
- QUI ÊTES-VOUS?! - Mais… voyons, mon amour… C’est moi! - Mais je ne vous connais pas! COMMENT ÊTES VOUS ENTREZ ET QUE FAITES-VOUS DANS MON LIT À LA PLACE DE MA FEMME?! - Quoi? Mais Robert, c’est moi… Giselle!
Présentement, cette dernière est assise sur son lit pendant que son mari faisait les cent pas. Ils en avaient convenus que ce n’était probablement pas un potage, mais une potion qui lui avait donné cette apparence qui n’était pas la sienne. Alors là, elle n’avait clairement pas son corps! Elle ne ressemblait pas à ça d’ordinaire et ses cheveux roux lui manquaient déjà.
- Il faut aller voir une sorcière ou je ne sais pas quoi, dit-il. - Mais et si ça part tout seul? - Je ne suis pas pressé de découvrir la réponse à cette question. Je veux retrouver ma femme, sans vouloir te vexer. - Je te comprends…
La sonnette de la porte retentit. Mettant sn peignoir rose, elle descendit pour aller répondre. Devant elle se trouvait quelqu’un d’étrangement familier.
- HEY! MAIS… C’est moi! On vous a offert un potage à vous aussi? Entrez, entrez! Il faut régler tout ça… Je tiens à vous rendre votre apparence et reprendre la mienne.
Idée originale par Charlie Magne
Axel Oswald
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Personnage abandonné
| Conte : La reine des neiges | Dans le monde des contes, je suis : : Olaf
Comparer à Giselle … Olaf lui n’avait RIEN REMARQUER du tout… Il s’était préparer. Avait remarquer qu’il avait pris du ventre (qui était en réalité sa poitrine mais il n’était pas totalement réveillé quand il avait fait cette observation) et était parti travailler comme à son habitude. En oubliant de fermer la porte de son appartement, mais sans oublier de dire au revoir à ses carottes…
Ce ne fut que quand on lui dit pour la troisième fois « oh vous êtes nouvelles ? » qu’Olaf comprit que quelque chose cloche. C’était une amie à lui qui lui avait utilisé un petit miroir de poche pour lui montrer son visage.
- Oh c’est moi ? Je suis roux !
Son amie lui fit surtout remarquer qu’il était une femme. Il sourit et se mit à remarquer les petits détails qui auraient du lui mettre la puce à l’oreille… comme le fait qu’il avait du mettre plus de cheveux dans sa charlotte. Heureusement il n’était pas encore aller aux toilettes, il était après tout, très tôt. Lui il continuait à préparer l’ouverture de son glacier alors que son amie faisait des va et vient dans la boutique.
- Tu vas fermer le glacier pour aujourd’hui. - pourquoi ? - Axel, tu n’as pas ton corps !
Oui… jusqu’à là, il avait la preuve qu’il n’était pas exactement lui-même … mais son corps d’Axel n’était pas non plus son véritable corps alors… Il sourit quand après des recherches, ne demandez pas comment c’est mieux, son amie lui trouva une adresse en lui disant que son corps devrait se trouver là bas. Elle le poussa dehors et ferma la boutique avec une pancarte « Fermé ».
- Tu sais qu’à force de fermer je n’aurais plus de client.
La jeune femme regarda l’heure avant de dire devoir partir. Elle n’avait rien dit sur le fait de ne plus avoir de clients. Elle savait bien que la plupart des gens ne venaient pas ici pour la glace, mais plus parce qu’ils aiment Olaf. Un câlin plus tard il était devant l’adresse donné. On lui ouvrit tout de suite. Il ouvrit … il s’ouvrit à lui même… ça lui donnait mal à la tête.
- Je m’appelle pas Moi ! Je suis Axel ! Et …
Il réfléchit un instant. Est ce qu’on lui avait donné un potage ? Il ne se souvenait pas mais ce n’était pas impossible. Il n’était pas le genre à dire non… Jamais … donc si quelqu’un lui avait proposé il avait pu le boire et ne plus y penser ensuite.
- Je veux bien de l’aide parce que je ne sais pas comment faire moi s’il te plait.
Il lui fit un nouveau sourire. Il ne se sentait pas différence alors qu’i!l souriait en plissant ses yeux d’une manière adorable. Même si voir son corps était bizarre, il n’y avait pas de raison de ne pas être poli.
:copyright:️ Belzébuth
Giselle Philip
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Ma famille
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Mon prince
| Conte : Il était une fois | Dans le monde des contes, je suis : : Giselle
Giselle ouvrit la porte en grand, laissant entrer cette autre Giselle. C’était assez étrange de se voir en dehors d’un miroir, entrer dans sa propre maison et dire qu’elle s’appelle… Axel?
- J’imagine que jusqu’à ce que l’on trouve une solution, c’est moi Axel et vous êtes Giselle. C’est extrêmement perturbant! - Ça me donne mal à la tête…
Robert, assis à la table de la cuisine en pyjama, se massait les tempes. La vraie Gigi alla rejoindre l’armoire pour prendre les médicaments contre les maux de crânes et prendre un verre d’eau qu’elle posa devant son chéri.
- Pauvre Robert. Il a du mal avec la magie, voyez-vous il n’a jamais connu ça jusqu’à ce qu’on se rencontre! dit-elle en riant. Il commence à s’y faire, mais, ce genre d’expérience, il n’a jamais vu ça avant. Va te coucher chéri, on va régler ça. Dis à Morgan que je rentrerais que ce soir. Monsieur Axel, installez-vous en attendant. Voudriez-vous du thé glacé, du café, de l’eau, du jus, du chocolat chaud?
La mère de famille se mis à se préparer sa tasse de thé en chantonnant, mélodieusement ou pas selon la voix de ce nouveau corps avant de s’installer en face de son interlocuteur.
- Wahhhh! Je n’ai jamais eu un tel point de vue de moi-même! Ça me va bien le pantalon, je devrais en mettre plus… Je me disais, ce matin, que mon pyjama semblait me faire une deuxième peau, je comprends mieux pourquoi vu que je suis vous et vous êtes moi. Je n’ose même pas l’enlever! Enfin bref… Pour retrouver la sorcière qui nous a fait ce petit tour, il faut se rappeler de ce qu’on a fait hier. Je sais que je sortais de l’épicerie quand une dame m’a proposé de boire un potage. C’est la seule chose que j’ai bue que je n’ai pas cuisinée moi-même. Vous vous souvenez de ce que vous avez fait hier? Avez-vous croisé quelqu’un d’étrange? Une vieille dame? Un chaman? Une petite fée? N’importe quel indice pourrait nous aider! Vous travaillez où? Nous avons peut-être pris le même chemin!
Axel Oswald
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Personnage abandonné
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Axel sourit alors que lui… rien ne le perturber, après tout, il aurait bien commencer sa journée comme ça qu’il n’en aurait eu rien à redire du tout lui. Il sourit encore plus quand il rencontra un homme qu’il ne connaissait pas. Penchant la tête sur le côté il essayait de comprendre comment faire pour redevenir lui.
- Je ne suis pas Giselle, je suis Axel mais dans le corps de quelqu’un d’autre.
Il n’avait pas encore percuté que Giselle c’était la femme dans son corps à lui, et pour le moment il n’était pas sur de vouloir percuter. Son cerveau était en train de penser à son glacier fermait pour la journée à cause d’une histoire magique, il avait vraiment besoin d’un employé …
- La magie est pourtant partout, même pendant la malédiction elle était là mais on ne pouvait juste pas la voir !
Il s’assit alors qu’il répondit qu’il voulait bien du chocolat chaud … qui dirait non à du chocolat chaud ? Il aurait bien voulu rajouter avec de la guimauve mais il était déjà en train de squatter sa maison et son corps, alors il préféra ne rien dire et attendre dans un presque silence.
- Pourquoi vous n’osez pas l’enlever ? Je n’ai pas de problème de peau ou de cicatrice triste vous savez, sauf celle sur le coude, mais elle est toujours à la vue.
Lui, il aurait été choqué de ne rien trouver dans son pantalon s’il avait été aux toilettes, mais pour le moment, il ne voyait pas en quoi l’enlever serait mal. Il haussa les épaules en l’écoutant avant de mettre un doigt sur son menton et de regarder le plafond.
- Hier j’ai bu quelque chose qu’une femme m’a proposé. C’était une femme sur le banc dans un parc à côté de là où je travaille. Elle m’a dit « Axel, tu travailles beaucoup trop, ne veut tu pas t’amuser un peu ? ». J’ai répondu que je préférais faire des câlins et que mon travail m’amuser, et elle m’a demandé si j’avais soif, elle m’a offert ensuite une soupe de carotte et j’adore les carottes… ensuite j’ai fait d’autres choses mais c’est la seule chose que j’ai mangé de la journée
Oui, s’il s’en souvenait aussi bien c’était parce que Monsieur avait un peu de mal avec le principe de repas équilibré et tout ça …Un tout petit peu. Mais il ne le dit pas alors qu’il regarda son lui et qu’il fit un nouveau sourire dévoilant toutes les dents blanches de la jeune femme.
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[Libre] Nous aurions pas dû accepter ce drôle de potage d'une vieille sorcière louche