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Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
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 Chez les monstres, la vengeance est un plat qui se mange chaud ! } feat Victor & Dewenty

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Aguistin R. Marban
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Aguistin R. Marban

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Chez les monstres, la vengeance est un plat qui se mange chaud ! } feat Victor & Dewenty _



________________________________________ 2020-06-12, 16:56



Jack & Aguistin & Dewenty
Chez les monstres, la vengeance est un plat qui se mange chaud !


Aguistin n’en revenait toujours pas. Jean Balthazard, Viktor et Marceline étaient morts. Dead. Froids comme de la pierre. C’était … inimaginable. Il ne l’avait d’abord pas cru, quand il s’était mis à saigner du nez et des oreilles en pleine réunion. Zara l’avait regardé avec étonnement puis avec frayeur quand elle l’avait accompagné dans les toilettes et qu’il s’était mis à hurler. Ils avaient vu ses amis, sa famille même, à la vue de comment il les considérait, morts, à cause d’humains ! C’était quoi encore cette histoire ! Il avait pensé au début que sa vision était fausse. Cela faisait longtemps qu’il n’en avait pas eu, la dernière remontait à quelques années, quand Madame la Mort avait réussi à passer à travers les frontières de ce monde pour l’avertir que le fragile équilibre qu’elle essayait de maintenir allait totalement s’écrouler, à cause encore une fois, des humains. Mais là … c’était si soudain … Si Aguistin pouvait comprendre que leur monde aille mal à cause de la malédiction de Régina qui avait entraîné de nombreux changements, ce n’était pas le cas pour ces trois comparses. Il était allé voir Livio en urgence, pour lui expliquer ce qui se passait, ce dernier n’ayant eu aucun mal à deviner vu qu’il continuait de pisser le sang, ce qui impliquait d’autres morts. Un bain de sang littéralement parlant. Il avait essayé de le calmer, mais il était bien trop excité et énervé pour ça. Malheureusement, les vampires n’étaient pas immortels. Certes ils pouvaient sembler l’être mais ce n’était pas le cas. Aguistin avait hurlé que ce n’était pas le cas de JB, et Livio lui avait tout simplement répondu que beaucoup de choses avaient changés depuis qu’ils étaient dans ce monde. Ils n’étaient plus le rouage essentiel du fonctionnement de la société comme avant. Ils n’étaient plus cet imaginaire collectif qui leur accordait une place non négligeable dans l’esprit de l’humanité. Ils faisaient maintenant parti eux même de l’humanité, et l’ancien corbeau était bien placé pour savoir que la vie de l’humanité ne se réalisait que dans sa mort. Dépité, déboussolé, il avait du alors faire son travail, qu’il considérait comme primordial. Surtout qu’ils retourneraient certainement auprès de Madame la Mort. C’était ça, les paroles de Zara, emplie de sagesse antique, qui avait réussi légèrement à l’apaiser pour que lui même, puisse aller parler directement avec cette partie d’humanité qu’ils avaient gagnés à cause de cette putain de malédiction. Au moment où il s’était téléporté, Aguistin avait compris que c’était lui qui commettraient les autres meurtres. Certes, cela allait à l’encontre de ses fonctions. Il n’était pas un faucheur lui, il ne l’avait jamais été mais la rage qu’il ressentait au moment où il avait posé le pied sur le sol de la mine lui indiquait qu’il devait le faire. Madame la Mort ne pourrait lui reprochait ce genre d’actions si elle avait été présente. Bien entendu, JB et Viktor n’avaient pas pensé qu’il venait pour eux, et sa voix s’était brisée à l’annonce du verdict. C’était bien pire que quand il avait du faire comprendre à Dolorès que le faucheur allait arriver d’un moment à l’autre. Voir leurs visages se décomposer … étaient tellement difficiles. Oh non, cela ne resterait pas impuni. Il avait pu les saluer une dernière fois au moins, ce qui n’était pas le cas des autres membres d’Halloween Town. Aguistin l’avait en travers de la gorge et il laissa ses pouvoirs se déchainer sur les pauvres humains qui étaient présents, une vingtaine de minutes après qu’il avait dit l’adieu funeste. Il lui avait été facile d’aller d’ombres en ombres pour trouver ce qu’il cherchait. Des explosifs. Ces compagnons ne seraient pas les seuls à souffrir. Il leur avait juré. Il traquerait jusqu’au dernier ceux qui avaient osés les toucher. Comme il avait fait avec Finkelstein. Il avait surpassé sa peur. Aujourd’hui, il surpasserait son chagrin. Les âmes de ces pêcheurs ne trouveraient aucun repos éternel. L’explosion de la mine n’était que le début du chaos qu’il allait engendrer. Il était né du chaos, des angoisses existentielles que les humains pouvaient ressentir, et quand lui même les ressentait, cela n’augurait absolument rien de bon. Mais avant, il avait un autre devoir important. Une chose qu’il leur avait aussi promis. Un enterrement digne de ce nom.

Cela avait fait beaucoup de remous dans la communauté d’Halloween Town. Aguistin avait lancé un appel, réunissant le soir même tout le monde dans le bar de Greg et Sheitan, la pleine Lune pour annoncer la tragique nouvelle et la date de l’enterrement qu’il était entrain de préparer avec grand soin. Il y mettait toute son énergie, faisant ressortir un coté perfectionniste qu’il ne montrait qu’à de très rares occasions. Puis il était allé voir Jack. Il avait toujours trouvé ça marrant que la malédiction est appelée Jack et Ted de la même manière vu qu’après tout, Jack était mine de rien à l’origine de la naissance de Ted. Sans le fait d’avoir voulu voler Noël, Livio n’aurait jamais voulu créer une peluche pour les enfants. Certes, il y avait eu un dessein derrière, qu’Aguistin avait appris bien plus tard, vu que Livio voulait en faire un espion à sa solde pour traquer les vampires qui cherchaient à vaincre Madame la Mort. Néanmoins, il lui avait paru essentiel de le voir en privé, pour lui raconter dans les détails ce qui s’était passé. Cela faisait un moment qu’il ne lui avait pas parlé, et il regrettait un peu que ce soit pour des mauvaises nouvelles qu’il l’approche. Malheureusement, il n’avait pas pu continuer la discussion ce soir là, car bien des membres de la grande famille d’Halloween Town le cherchait et Sheitan avait bien du mal à les retenir. Il lui avait promis de discuter de l’idée qu’il avait eu dans la semaine, or les préparatifs de la cérémonie lui avait pris tout son temps. Il s’était occupé personnellement d’aller voir tous les gens que le trio connaissait et il y en avait du monde. Puis il avait fait passer l’annonce dans le journal de la ville, un grand encart dans la rubrique nécrologie. Certains de ses employés voulaient l’aider, or ils avaient bien vite compris, qu’il ne s’agissait pas d’un enterrement comme les autres. Qu’en vérité, jamais cela n’aurait du arriver. C’était unique, et Aguistin espérait bien que ce serait la dernière fois qu’il aurait à enterrer l’un des siens. De plus, il était allé chercher dans les décombres de la mine, les dépouilles de ses camarades. Malheureusement, il ne restait plus rien. Viktor et Marceline n’étaient plus que des petits tas de cendres, quant à JB, il était une sorte de poussière grisâtre. Ils les avaient quand même ramassés, les mettant chacun dans des magnifiques urnes une fois revenus au bâtiment des pompes funèbres.

Et le jour J arriva enfin. La cérémonie avait lieu à 10h30 mais Aguistin était prêt avant même que le soleil ne se lève. Il faisait preuve d’un calme olympien, et cela était si étrange que même Ambroise n’avait pas osé lui adresser la parole. Le fantôme était resté en compagnie de Dolorès, qui n’arrêtait pas de pleurer. Il réfléchissait, sans arrêt, à ce qu’il allait bien pouvoir faire. À comment il allait procéder. Il savait que tous les membres n’étaient pas morts, et que certains s’étaient même échappés de la mine. Mais avant, il fallait que tout soit parfait pour honorer la mémoire de leurs anciens amis, camarades, frères ! Il était le chef de cérémonie. Il était le chef de tout en vérité quand ça concernait la mort dans son état le plus brut. Vêtu de son costard aussi noir que ses ailes et d’une chemise d’un blanc immaculé, Aguistin avait fait de nombreux aller retour entre les pompes funèbres et le cimetière. Il avait récité son discours qu’il connaissait par coeur dans sa voiture et il s’était posté devant l’entrée principale à la vue de l’heure qui avait filé à toute vitesse. Il se devait d'accueillir comme il se devait les premiers participants à la cérémonie. Posté comme un garde, il n’arriva pas à rester en place, bougeant encore une fois les deux tables, où les deux livres de condoléances étaient posés. Son sourire était faux, et ses gestes étaient moins cordiaux que d’habitude. Ce n’était pas la même chose, quand la mort frappait directement à sa porte. Il essayait, d’être sérieux, bienveillant, mais c’était beaucoup plus difficile. Il saluait d’un geste de la tête les habitants de Storybrook qui étaient venus. Il en connaissait certains de vue, d’autres non, des amis de JB, de Viktor et de Marceline. Puis quand enfin les habitants d’Halloween Town arrivèrent ensemble, comme un seul homme, Aguistin poussa un soupir. Ils étaient bruyants, mais après tout c’était normal. C’était leur nature. Et eux non plus, ne comprenaient pas comment cela avait pu arriver. Ils leurs rendaient hommage à leur façon. Quand il vu Victor, Aguistin s’approcha de lui, faisant mine de lui serrer la main pour se pencher à son oreille.

“Il faut que je te voye après la cérémonie. Au moment où on ira au restaurant d’accord ? J’ai appris un truc important.”

Ils se regardèrent dans le blanc des yeux, Aguistin lui faisant un signe de la tête avant de lui taper l’épaule et de le laisser rejoindre la troupe chahuante des anciens monstres pour continuer d’indiquer à ceux qui voudraient venir, l’endroit de la cérémonie. Puis, dans la foule des badaux, Aguistin la vit. Son sourire s’illumina et il se mit à trépigner d’impatience.

“Dew !”

Dès qu’elle fut à porter, il alla se jeter dans ses bras, la serrant fortement. Ils s’étaient appelés rapidement pendant le week end. Il voulait lui dire ce qu’il ressentait, il voulait se laisser aller à l’émotion. Il enfouit sa tête contre sa poitrine et il respira un grand coup. Ce n’était pas le moment de se laisser aller justement. Il devait tenir. Il devait être fort. Pour tous.

“Merci d’être venu !”

Il la serra encore une fois dans ses bras avant de lui claquer une bise bruyante. D’un geste de la main, il lui indiqua où aller avant de regarder sa montre. 10h40. Ça allait. Il n’avait que dix minutes de retards, sachant que de toute façon, ce genre de cérémonie en avait toujours. Des gens continuaient à affluer. Ils n’auraient qu’à suivre le son de sa voix une fois qu’il aurait commencé son discours. Contournant l’allée principale, connaissant le cimetière comme sa poche, il se rendit dans le petit bâtiment en pierre qui abritait l'accueil et une autre pièce.

“J’y vais. Vous les apportez dans cinq minutes.”

Une musique douce retentit alors dans le cimetière. Pour une fois, Aguistin avait choisi de faire la cérémonie directement dedans; Il aurait pu aller à la chapelle, où même dans la salle omniculte mais les personnes qu’il célébrait étaient différentes. C’était des monstres, des créatures des ténèbres et il refusait de les amener dans ce type de lieu. Il avait alors aménager avec son personnel une petite estrade directement dans le cimetière, à coté des colombariums, là où les urnes seraient placés. Il avait mis des chaises pour les personnes les plus vulnérables, et les autres se tiendraient debout. De toute façon, la cérémonie ne durerait pas longtemps. Malgré la musique, un silence de plomb régnait et Aguistin déglutit. Il était rare de voir toute la communauté d’Halloween Town réunit, et surtout aussi silencieuse. La dernière fois qu’une telle chose avait été faite remontait au temps où Jack avait annoncé son intention de s’accaparer la fête de Noël. Un temps joyeux, où lui même s’amusait sous l’oeil bienveillant de Madame la Mort et Livio, avec Zara, Greg et Jean Balthazard. Un temps heureux. Pas comme aujourd’hui. Grimpant sur l’estrade, il avait le stress. Pourtant, il faisait ça depuis des années, et il aimait faire ça mais aujourd’hui …

“ Mes chers amis, C'est avec tristesse que nous nous réunissons maintenant. Nous sommes ensemble aujourd'hui en l'honneur et pour célébrer la mémoire de Jean Balthazard, Vikor et Marceline..Je pense particulièrement à la peine ressentie par leurs proches parents et leurs amis ici présent.”

Aguistin fit une petite pause. Il s’y incluait totalement dedans et avoir la distance nécessaire pour faire ça était épuisante. Sa voix apaisante résonna quand même dans le cimetière, surtout pour calmer la peine que tous pouvaient avoir.

“Ils irradiaient de et par leurs présence les êtres qui avaient la chance de les côtoyer. Leurs qualités que nous avons tous appréciaient leur permettaient notamment d'apporter aux autres joie, calme et sérénité. Jean Balthazard était cette joie de vivre, tout comme Marceline, tandis que Viktor incarnait la sagesse. J'en veux pour preuve le jour où Viktor a aider Greg à comprendre que se plaindre sans arrêt était vain. Où JB a été gentil avec tous les habitants d’Halloween Town sans aucune exception. Où Marceline a ouvert la porte de sa boutique pour aider Sheitan à développer son bar dans les premiers temps. Mes chers amis. Nous célébrons aujourd'hui ... une énorme perte, et le vide qu’ils laisseront dans nos coeurs n'est pas près d'être comblé. Oui je sais que l'on dit souvent par dérision, ou peut-être est-ce pour aller de l'avant, que les cimetières sont remplis de personnes indispensables, et pourtant eux l'étaient réellement. D'ailleurs nous ne tarderons malheureusement pas à nous en apercevoir rapidement.C'est Lamartine qui traduit le mieux mon état d'esprit quand il dit : « un seul être vous manque et tout est dépeuplé ». Là nous n’en avons pas perdu un … mais trois en même temps ! C'est pourquoi par notre attitude, nos dires et nos écrits nous devrons entretenir leurs mémoires, et nous y référer souvent. Puisse-t-ils nous inspirer de là où ils se trouvent. Je suis persuadé que Madame la Mort les as accueilli comme il se doit. Comme les martyr de la cause qu’ils sont.”

Faisant une petite pause, il scruta tous les visages présents au premier rang. Dolorès, Greg et Zara n’arretaient pas de pleurer. Livio et Sheitan étaient aussi dur que du marbre. Il entendait des reniflements par ci, par là, mais tout le monde était plutôt calme dans l’ensemble, signe que son pouvoir marchait. Il le sentait. L’utiliser sur un nombre aussi elevé de personnes lui drainait son énergie mais il continuerait.

“Nous saurons également tirer profit de leurs exemples pour lutter dans nos vies. Nous reprendrons le flambeau de leurs causes ...nous aurons alors peut-être la chance de les sentir à nos côtés, et de nous sentir accompagnés ainsi dans notre quête, pour poursuivre leurs oeuvres.”

Aguistin regarda particulièrement Jack, lui faisant comprendre que la mort de ses anciens sujets et amis ne seraient pas vaines.

“Mes chers amis, ne soyez pas tristes, ne soyons pas tristes car je suis persuadé qu’un jour nous les reverrons. Je suis sûr qu'ils nous attendent déjà dans notre ancien lieu de villégiature. Je propose maintenant, que ceux qui veulent dire un dernier mot en l’hommage de JB, Viktor et Marceline, me rejoignent sur l’estrade, avant que nous procédions au recueillement devant leurs dépouilles.”

Effectivement, quand il était arrivé sur l’estradre, au début de son oraison funèbre, ses employés avaient placés les trois urnes magnifiques sur trois pieds d’estales. Aguistin se décala légèrement pour faire comme il avait dit. Faire parler ceux qui en avaient envie avant que la cérémonie ne continue.


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Victor J. Lovecraft
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Chez les monstres, la vengeance est un plat qui se mange chaud ! } feat Victor & Dewenty 14rz

"Il était une fois dans le royaume des fêtes un noël pas comme les autres"

Chez les monstres, la vengeance est un plat qui se mange chaud ! } feat Victor & Dewenty Ulzk

| Conte : L'étrange Noël de Monsieur Jack & Folklore Irlandais
| Dans le monde des contes, je suis : : Jack Skellington & Jack O'Lantern

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Chez les monstres, la vengeance est un plat qui se mange chaud ! } feat Victor & Dewenty _



________________________________________ 2020-06-14, 22:39


Farewell my friends
La vengeance est un plat qui se mange chaud !

Cela faisait déjà quelques minutes que je me tenais devant m glace, essayant de réajuster mon nœud papillon de circonstances. Les nouvelles qui avaient secoué notre communauté d’Halloween Town nous avaient tous laissés sans voix. Personnellement, j’avais été profondément choqué de la nouvelle du départ de trois de mes sujets. Cela m’avait immanquablement ramené aux jours funestes du règne du docteur Finklestein. Je me rappelais alors la culpabilité que j’avais ressentie lorsque j’avais appris qu’il avait torturés tant de mes amis alors que j’en étais indirectement responsable. Ce jour-là, je m’étais promis de veiller avec d’autant plus d’attention sur les nôtres. Je leur devais bien ça. Après tout, n’étais-je pas le roi des citrouilles ? L’Empereur même de la fête d’Halloween ? Mais force était de constater que j’avais échoué une fois de plus et cette situation me mettait absolument hors de moi. Bien évidemment que je rêvais de vengeance. Même si j’ignorais encore les circonstances de leur mort, je savais que les responsables ne s’en tireraient pas à si bon compte. Il en allait de notre réputation et aussi horribles et dangereux pouvaient-ils être, ils n’étaient clairement pas prêts à faire face à notre bande de monstres experts de tortures en tous genres. Mais cela serait-il réellement possible ?

Bientôt, je sentis une truffe toute mouillée me caresser la main. Mon brave Zéro se tenait à mes côtés, me soutenant avec toute la diligence dont il pouvait faire preuve dans son corps de chien. Mon brave compagnon avait d’ailleurs beaucoup changé depuis le monde des contes. Délaissant son drap blanc pour un magnifique pelage blanc, il était sans doute l’un des plus beaux bergers suisses du monde. Lui aussi semblait partager mon deuil, connaissant mes amis de loin sans jamais réellement les côtoyer. Mais il était là, soutenant son maître terriblement déprimé avec une fidélité sans faille. Je réfléchirais sans doute à un moyen de le remercier lorsque l’occasion s’y prêterait. Finissant d’attacher mon nœud papillon, je m’adressais à mon chien.

« Qu’en penses-tu Zéro ? Je suis présentable ? »


Pour toute réponse, mon brave compagnon se contenta de japper joyeusement. Je devais donc très certainement en conclure qu’il approuvait mon choix vestimentaire. Il n’y avait rien de plus naturel que cela ! Après tout, mon costume noir à rayure m’avait accompagné durant tout le temps de mon règne à Halloween Town. Je le portais à chaque grande occasion et à chaque fois qu’un service solennel lié à mes anciens sujets avait lieu. Soupirant une dernière fois devant mon miroir, je retrouvais un peu de courage nécessaire à cette délicate épreuve.

« Bon allez, il est l’heure à présent ! »


Je ne me sentais pas des plus paisible lorsque nous nous trouvions au cimetière quelques minutes plus tard. La mort était peut-être un processus habituel chez les humains mais pour nous elle révélait de l’exception. Ce n’était pas normal pour l’un d’entre nous de partir de cette manière. Il n’était pas normal pour nous de devoir traverser ce genre d’épreuves. Des sentiments se bousculaient à l’intérieur de ma tête et de mon cœur desséché sans que je ne puisse réellement les identifier ou même les supporter. Saluant tour à tour chacun de mes amis, et certains habitants de la ville avec lesquels nos trois compères s’étaient liés d’amitié. Je m’étais alors arrêté plus longuement vers Aguistin qui avait été le premier à apprendre la nouvelle de leur disparition. Un air d’autant plus compatissant marqua alors mon visage. Je réalisais alors que de nous tous, l’épreuve devait être encore plus pénible pour lui. Je ne manquais alors pas de poser une main sur son épaule en signe d’amitié.

« Tu t’es très bien débrouillé. Je suis certain qu’ils auraient appréciés l’effort que tu as fait pour eux. »

Je fronçais alors les sourcils lorsque mon ami me confia en toute discrétion vouloir me parler d’une affaire importante.

« Oui bien sûr que nous pourrons nous voir après tout ça. J’imagine qu’il y a pas mal de choses dont nous devons discuter. »

Est-ce que l’idée de venger la mort de nos amis avaient également traversés son esprit ? Je l’ignorais mais ce n’était pas le moment de parler de cela. Nous devions avant toute chose pleurer nos morts afin de débuter notre processus de deuil. Je déglutis difficilement à cette pensée, tant la pensée du départ de nos compagnons m’affectait. Un sourire adressé à Dewenty, je me plaçais alors dans la foule, toute en continuant d’observer les visages autour de moi. Je voyais alors le Père Noël qui pleurait évidemment abondamment. J’avais d’ailleurs beaucoup de peine à supporter de le voir ainsi, lui dont la joie et la bonne humeur avait ressusciter mon vieux cœur brisé à l’époque où j’avais tenté de lui voler la fête de Noël, acte que ce cher Jean-Balthazard n’avait jamais réussi à me pardonner. Le père fouettard lui semblait au contraire totalement stoïque devant la mort de son fils. Une façon de préserver les apparences peut-être ?

Quoiqu’il en soit, j’écoutais alors avec beaucoup de respect les propos terriblement touchants d’Aguistin. C’était réellement un très bel hommage de sa part. Un discours empli d’amour et de reconnaissance pour nos chers disparus. Je fus cependant plus intrigué par la dernière partie de son discours. Qu’entendait-il exactement par reprendre le flambeau ? Était-ce un clin d’œil au sujet dont il voulait m’entretenir quelques instants plus tard ? Il invita alors ses proches à leur rendre un dernier hommage et bien évidemment je n’hésitais pas parler en leur nom.

« Mes chers amis, il n’est pas toujours simple de trouver les bons mots pour apaiser les tourments liés à la mort de nos chers disparus. Pourtant, je joins ma peine à la vôtre aujourd’hui pour vous dire que tous les trois étaient des personnes formidables. Certes, nos relations n’étaient pas toujours des meilleures mais je ne pouvais qu’admirer leurs qualités d’altruisme, leur loyauté et leur dévouement. C’est une grande tragédie à laquelle nous devons à présent faire face. Un terrible drame qui porte en lui tous les ressentiments que l’on peut avoir envers les personnes responsables de ce terrible carnage. Ils ne devaient pas mourir, ils ne le méritaient pas. Ils ont été fauchés dans la fleur de l’âge alors qu’ils auraient pu partager avec nous tellement de bons moments, qu’ils auraient pu nous faire profiter de leur formidable joie de vivre. Mes amis, la seule chose que je puisse espérer, c’est que leur mort ne restera pas vaine. Nous devons garder précieusement en nous les leçons qu’ils ont sus nous enseignées pour trouver la force d’avancer dans nos vies. J’espère que dans un futur proche, nous saurons passer par-dessus cette tragédie pour ne garder que les bons souvenirs. »

Je laissais alors passer un silence et c’est en poussant un dernier soupir que je quittais l’estrade la larme à l’œil.

acidbrain


Dewenty Maanteekor
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Dewenty Maanteekor

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Que le spectacle commence...

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| Conte : Folklore & Mythes
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Chez les monstres, la vengeance est un plat qui se mange chaud ! } feat Victor & Dewenty _



________________________________________ 2020-06-15, 17:30

chez les monstres, la vengeance est un plat qui se mange chaud !


Un seul coup de téléphone et le coeur de Dewenty s’était soulevé, la voix de son frère venait de retentir dans son esprit, un besoin de parler. Cette souffrance qu’elle avait ressenti l’avait envahi quand elle avait appris cette terrible nouvelle. Son regard s’était poser sur son bracelet qui était toujours sur la commode, un bracelet d’orchidée qu’elle avait gardé de ce fameux réveillon de noël plutôt étrange qu’elle avait partager avec des inconnus devenant pour certains des amis. Jean Balthazar en faisait parti, elle avait partager une danse avec lui, ils avaient trouvé une porte d’ouverture et une clef ensemble. Elle n’avait pas oublié qu’il avait servi d'échelle quand elle avait voulu la récupérer dans cette horloge. Un léger sourire passa sur ses lèvres, elle n’aurait jamais penser qu’il meurt… lui qui était si bon, elle croyait en lui, il n’était point comme son père mais, plus du côté du père noël. Non elle n’aurait jamais penser qu’il trépasse. Elle écoutait son meilleur ami parler essayant de le réconforter mais, au fond d’elle, elle ne laisserait pas passer cela, sa décision était déjà prise. Elle annonça à Aguistin qu’elle serait là et qu’il pouvait compter sur elle. Un weekend dur en émotion. Elle avait donc au préalable annoncé à Leo que le jour de la cérémonie, elle ne serait donc pas la pour le repas, un ami avait perdu à la vie et elle se devait d’être la-bas. Après ça Dewenty était en train de concocter des poisons sous forme d’aiguille fine qu’elle avait soigneusement rangés des des petits sacoche particulièrement pratique pour le transport, elles étaient plutôt légère donc elle pouvait en avoir à la pelle au cas ou et c’est toujours aussi utile. Le reste de la semaine c’était un peu passé à cran mais, elle avait pris sur elle. Ishanee avait fait quelques essayage de la collection de Dew pour passé le temps, qu’elle avait prit soin de confectionner. Cette demoiselle était plutôt agréable à vivre, elle voyait le bien partout. Alors que Dewenty était plus un démon et Ishanee un ange. Bien qu’elles aient toutes les deux les mêmes origine en quelques sorte. Elle soupçonnait néanmoins qu’Ishanee avait un lourd passé.

Le jour J… Dewenty n’avait pas opté pour des vêtements rouge, mais plus tirer vers le noir, pour un enterrement les couleurs sombres étaient nécessaire de ce qu’elle avait entendu, à son poignet elle avait son bracelet d’orchidée. Celui qu’elle avait porté lors de ce bal de noel. Une robe noir et un maquillage léger néanmoins sa marque de fabrique était le rouge donc, un rouge à lèvre pour cette petite nuance. Ses ailes déployés, elle s’était rendu au cimetière ou il y avait pas mal de mond déjà, ce n’était pas un décès qu’ils allaient célébrer mais trois… Dewenty ne connaissait pas tous le monde certains visage lui était familier car elle en avait côtoyé. Un léger frissons l’avait parcouru, comme on disait parfois c’était les mord qui venait nous apaisé… montrer qu’ils étaient là. Juste une dernière danse avait-elle murmuré. ses pas l’avait conduite vers Aguistin.

-Agui ! dit-elle doucement, elle n’aurait pas manqué ça, surtout pour soutenir son meilleur ami. Je te l’ai dis, je serais toujours là et c’est aussi une façon d'honorer la mémoire de JB, de Viktor et de Marceline.

Elle resserra son étreinte sur Aguistin caressant doucement ses cheveux, cela ne la gênait pas qu’il soit contre sa poitrine, elle l’apaisait du mieux qu’elle le pouvait comme une mère ou une soeur le ferait, il fallait qu’il vide son sac tout ce qu’il avait pour être apaisé, être calme du moins mais pas maintenant. Elle savait qu’il devait se montrer fort pour son discours, bien que dans la tête de Dew c’était déjà une bataille, il allait surement payer ce qu’ils ont osé faire et peu importe ce que cela pourrait couter. Elle répondit à son baiser en lui en déposant un sur la joue aussi. Il aurait bien l’occasion de parler de tout ça. Agui avait à faire. La manticore se trouva donc une place. Son regard avait croisé celui de Victor, elle lui adressa un petit sourire.

Elle écoutait son discours aussi prenant, beau et triste à la fois. Elle comprenait sa peine, son regard passait d’Agui à toute les autres personnes, elle avait pu voir le père noël en chair et en os qui avait l’air tellement triste, lui qui était si joyeux, le père de Jean Balthazar dit le père fouettard restait fidèle à lui même. Voulait-il garder une apparence ? Après tout JB était son fils… elle pouvait comprendre sa détresse. Il avait un point commun avec son père qui ne montrait aucun signe de faiblesse… Il s’entendrait bien. Elle était en train de tourner son bracelet d’orchidée. Un jour… ils se retrouveraient tous mais avant… beaucoup de personnes allaient tomber. Elle écoutait le discours de Victor, un bel hommage aussi. Les pas de la manticore l’avait donc mener aussi à l’estrade, elle n’était pas réellement très doué pour les long discours après tout elle était autrefois une manticore et une manticore ça parlait pas réellement. s’humectant les lèvres avant de prendre la parole.

-C’est le coeur lourd que je prend la parole devant vous, je ne les connaissait pas comme j'aurais voulu les connaître, le temps m’a arracher cette chance, ils étaient de bon amis. Que j’ai aimé rencontré. Je ressens la peine que vous avez, ils ne sont pas réellement parti, ils vivront en chacun d’entre nous, nous parlerons des bons souvenirs avec chacun d’eux. Je connaissais d'avantage Jean Balthazar que j’ai rencontrée lors de ce réveillon de noel, une personne agréable qui était adorable et avait le coeur sur la main. Il a été mon cavalier pour cet événement, j’ai pu échanger des mots avec lui. Et je ne l'oublierai pas. Nous avons donc été lié grâce à un bracelet et lui une petite broche surmonter par une orchidée blanche que je porte en cet intant dit-elle puis elle s'adressa en quelques sortes à JB. Tu as fait un travail remarquable cet fameuse nuit redonné la joie dans ce pays avec le sceptre qui t’avait été accordé grâce à lui j’ai pu avoir des ailes de glaces en débit de mes véritable ailes, je lui en serai toujours reconnaissante à ce petite sucre d’orge. Quand je te rejoindrais… accorde moi une dernière danse… mais pas tout de suite. Avant il y a encore des choses à faire. Marquant une courte pause. Ceci ne sera pas vain... Je vous le jure

Dewenty se recula soufflant un coup, les larmes aux yeux aussi. Son rythme cardiaque se calmait légèrement, se tenant à côté de Victor, calmant ses émotions.

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Aguistin R. Marban
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________________________________________ 2020-07-18, 12:11



Jack & Aguistin & Dewenty
Chez les monstres, la vengeance est un plat qui se mange chaud !


Aguistin avait ravalé ses sanglots, en bon professionnel qu’il était. Clairement, la mort était plus douloureuse quand elle touchait de plein fouet. Il avait beau la côtoyer tous les jours, habiter même avec, aujourd’hui était un jour spécial. Un jour qui resterait dans les annales tant par la douleur qu’il provoquait que par les décisions qui allaient être prise par la suite. Le maître de cérémonie qu’il était, venait de terminer la belle oraison funèbre. Il voyait dans le regard de ses amis, et même dans celui des inconnus qu’il avait fait mouche et cette fois, ce n’était pas pour se lancer des fleurs, s’auto gratuler sur le fait qu’il savait parfaitement toucher le coeur des gens. C’était sincère. Il aimait JB, Viktor et Marceline, et leurs absences se faisaient ressentir à chaque minute. Descendant de l’estrade, il laissa place à Jack, allant se mettre à coté des chaises, droit comme un i. Il l’écouta avec attention. C’était vrai, qu’en le regardant ainsi, il avait toujours ce charisme de leader. Ce qu’il avait fait, juste avant que la malédiction ne frappe était stupide. Il avait tout perdu pour une lubie soudaine, qui l’avait fait choir, aux vus et aux sus de tout le peuple d’Halloween Town. Or maintenant, il était peut être temps de tourner la page, d’écrire un nouveau chapitre. Aguistin savait que les habitants appréciaient Jack, tout comme lui d’ailleurs, mais il devait se montrer digne d’eux, sous peine de continuer à être en marge de sa propre communauté.

C’était bien, Jack reconnaissait qu’il n’avait pas toujours été là quand il aurait du et son discours était poignant. Il était triste, que JB n’ai pu se réconcilier avec lui. Il savait qu’il avait toujours cette rancoeur pour Jack, qui avait voulu voler le travail de son oncle, et Aguistin savait oh combien JB aimait son oncle. Peut être encore plus que son propre père. Même si JB était différent des autres à Halloween Town, qu’il avait cette naïveté en lui des enfants émerveillés, tout le monde l’appréciait. S’ils avaient pu discuter, les deux, Aguistin était sur que JB aurait pu comprendre pourquoi Jack avait fait ce qu’il avait fait. Lui avait mis du temps aussi, des années après la levée de la malédiction même, alors c’était sur que pour un membre de la famille du Perce Oreille, la pilule était plus dure à avaler. Viktor avait toujours essayé d’aller dans ce sens là. Il l’avait souvent entendu parler, de réconciliation, de pardon et de remerciement. Une sage personne dans un monde de fou.

Plusieurs personnes se succédèrent sur la tribune pour parler tour à tour de ce qu’ils connaissaient et après qu’un homme ait chanté les louanges de Marceline, de sa joie de vivre et de son franc parlé, Dewenty arriva sur scène. Aguistin bougea légèrement, se reconcentrant pleinement tout en lui lançant un petit regard. Il avait appris qu’elle connaissait JB, qu’elle avait même été avec lui à un bal de Noël, quand tout le monde s’était demandé où il était encore passé. Viktor était même venu au cimetière pour le chercher mais il n’y avait que les Marban et Livio qui étaient présent. Finalement, il était réapparu quelques heures plus tard et il avait tout raconté. Puis quand lui même avait rencontré Dewenty, au détour du cimetière, il s’était rendu compte que c’était la jeune femme dont JB lui avait parlé. Comme quoi, parfois Storybrook pouvait être aussi petit qu’un village, alors qu’à des moments, elle était plus grande que New York City et il était impossible de retrouver des personnes chères. Aguistin eut un petit sourire en voyant la broche qu’elle portait. Une orchidée, c’était bien le genre de JB aussi. Cette douceur dans ce monde de brute allait vraiment lui manquer. Il hocha la tête quand Dewenty sous entendu que sa mort ne serait pas veine. Elle avait compris son message, tout comme Jack et il en était content. Ses pensées dérivèrent sur les éléments qu’il avait récolté grâce à Walter sur le fameux Latoya mais il revint vite à la cérémonie en voyant l’émotion de Dewenty. Quand elle passa à ses cotés, il frôla sa main en baissant la tête, lui signifiant qu’il était là. Le bal des oraisons continuaient pendant un moment. Famille, amis, connaissances, et même anciens patients de Viktor se bousculaient pour venir dire un petit mot. Aguistin regarda sa montre et attendit que la dernière personne passe pour reprendre sa place. La cérémonie avait pris un peu de retard et il savait qu’ils ne seraient pas pour midi au restaurant.

“Merci à vous tous pour ce bel hommage. Si vous voulez bien me suivre, nous allons procéder à la mise en caveau. Je prierai la famille de se ranger derrière moi pour déposer les roses dans le columbarium.”

Les employés des pompes funèbres prierent délicatement les urnes tandis que Zara et Willie distribuaient des roses noires aux proches des victimes. Puis Aguistin passa en tête de cortège, allant directement à l’endroit réservé aux urnes pour clôturer la cérémonie. Attendant que tout le monde l’ait suivi, il se saisit de chacune des urnes pour les déposer dans le petit endroit, tournant les trois faces à l’assemblée. Il se décala pour que tout le monde puisse dire un dernier adieu dans un silence de mort. Il n’y avait pas un bruit et même Eustache, le grand corbeau noir s’était posé en silence sur l’épaule du croque mort, frottant sa tête contre sa joue dans un moment de communion. Une fois toutes les roses misent, deux employés posèrent la grande plaque de marbre, où était écrit en lettres d’or et de sang les nom et prénoms des défunts. Les gens commencèrent à partir tandis que la communauté d’Halloween Town restaient encore un peu pour regarder le columbarium et reprendre les discussions.

“Bon, on se retrouve tous au restaurant. Vous avez bien l’adresse ?”

Le brouhaha était intense mais Aguistin arrivait à comprendre que oui, tout le monde savait où il fallait aller. Enfin certains commençaient à râler et il eut un petit rire. Au final, ils étaient comme n’importe quelle famille.

“Aguiii, je peux venir avec toi dans la voiture ?”
“Non Greg je suis complet ! Va avec ta fratrie.”

Il eut un sourire mauvais en voyant Zara se facepalmer et Sheitan qui tirait Greg par le col de sa veste noire. Dolorès arriva, glissant sa main dans la sienne au moment où il se tournait vers Dewenty et Jack.

“Vous venez avec moi, faut qu’on parle comme on a dit !”


Eustache croissa fortement avant de s’envoler vers la demeure au fond du cimetière. Pour lui aussi c’était l’heure de manger et Aguistin lui laissait toujours la fenêtre ouverte pour qu’il puisse rentrer à son bon vouloir. Prenant la direction du parking devant le cimetière, il attendit ses amis dans le 4*4. Une fois tout le monde installé, il poussa un petit soupir tout en faisant gronder le moteur.

“C’était des beaux discours les amis. Très émouvant.”
“Oh oui ! C’est vraiment très bien ce que tu as fais Jack, et Dew, j’ai envie de te faire un calin !”

Aguistin lança un petit regard à Dolorès qui s’était retourné et qui discuté avec les deux passagers.

“Bon. Comme on l’a sous entendu à tout le monde, on va pas se laisser faire. Ces humains nous ont déclaré la guerre, on va répondre. Ils ont justement peut être gagné une bataille mais nous nous laisserons pas faire.”

Jetant un coup d’oeil au gps pour savoir où il allait, il roulait plutôt rapidement, appréciant la vitesse, mais tout en restant prudent. Il ne manquerait plus qu’ils se tuent tous dans un accident de voiture. Bon, pour le coup, il savait que cela ne les affecterait pas. Ils auraient mal, mais ils ne décéderaient pas. Ils étaient des créatures de la nuit tout de même !

“J’ai mis Walter sur le coup et il m’a chopé des bonnes informations. Isis Latoya, l’homme à l’origine de tout ça est un gourou. Il a fondé une secte d’abord au Texas pour ne pas éveiller les soupçons qui s’appelle les Portes du Paradis et qui croit en la réincarnation dans un astre de l’univers où tous les pêchés commis sur terre seraient absous. Pour cela qu’ils en commettent d’extrême pour que leurs âmes atteignent un certain niveau spécifique, validé par un grand prêtre. Chaque niveau s’obtient en commettant des crimes. Walter m’a montré des vidéos où ils torturent des enfants… parce qu’en gros, ils constituent l’un des derniers niveaux de sacrifices grâce à leurs âmes pures. Ils sont d’abord torturés pour passer les premiers niveaux, permettant aux nouveaux membres de s’intégrer et ils sont ensuite tués dans une longue cérémonie après des mois ou des années de tortures pour pouvoir donner une sorte de pouvoir pour ouvrir la porte du vaisseau.”

Quand le détective privé lui avait raconté ça, Aguistin avait juste éclaté de rire. Qu’est ce que les humains pouvaient être cons franchement. C’était juste une bande de psychopathes, qui s’adonnaient à leurs plaisirs morbides en essayant de ne pas culpabiliser.

“Et cette secte a été crée à la suite des faux souvenirs de la malédiction. Viktor en a fait parti quand il était petit, comme objet et c’est certainement pour ça que ce Latoya voulait l’éliminer une fois son projet atteint.”

Viktor ne parlait jamais de ces faux souvenirs. Il l’avait dit une fois, à Livio, quand il avait du lui expliquer qu’ils étaient deux, et que Marceline partageait son corps. Sinon, c’était le silence absolu.

“Latoya a réussi à les tuer parce qu’il avait le système anti magique que Finkelstein avait crée pour m’obtenir.”

Cette annonce jeta un froid dans la voiture. Si Viktor ne parlait pas de ses faux souvenirs, Aguistin ne parlait jamais de ce qui s’était passé, quelques années auparavant avec le savant fou d’Halloween Town. Serrant un peu le volant, il tourna trop brusquement pour faire comme si de rien n’était.

“Pour moi, ça ne peut pas être une coïncidence. Finkelstein cherchait aussi l’immortalité, travaillait aussi sur les âmes et comme par hasard, Latoya a le même système ? Non … Je pense que malheureusement, Latoya n’est qu’une ramification de Finkelstein.”

Quand Walter lui avait donné ces informations, Aguistin en avait déglutit. Certes, il avait vaincu sa peur en le tuant, mai sil fallait croire qu’il était un hydre dont les têtes repoussaient sans arrêt.

“Nous avons deux possibilités. Soit Latoya n’était qu’un sous fifre aux ordres de Finkelstein, qui se servait de lui comme une sorte de testament s’il venait à lui arriver quelque chose. Il a du lui donner des éléments au compte goutte et la folie humaine à fait son oeuvre. Soit, Latoya était l’associé de Finkelstein, une sorte de recruteur pour qu’il puisse assouvir son désir de savoir. Perso’, je penche plus pour la première option. Je ne vois pas Finkelstein faire confiance à quelqu’un de la sorte. Il avait bien Clark, mais c’était son assistant.”


Il laissa le temps à Jack surtout, de digérer l’information. Après tout, lui aussi le connaissait, il avait peut être un point de vue sur l’affaire. Arrivant devant le restaurant, où il y avait déja quasiment toutes les voitures, Aguistin se gara mais resta dedans, se tournant vers Dewenty.

“Finkelstein était une sorte de scientifique dans notre monde. On a jamais bien su comment il était arrivé à Halloween Town et ce qu’il y faisait. Un jour, il m’a capturé et il m’a transformé en une chose sans nom. Un mix entre un enfant et un oiseau. Madame la Mort n’était pas contente, mais ne pouvant le tuer, elle lui a juste arracher la colonne vertébrale et la laisser en fauteuil. Après cet évènement, il s’est calmé un peu, s’intégrant à la vie de la cité, trompant son monde alors qu'il continuait à faire des expériences sordides.”

Aguistin fit une petite pause, sentant la main de Dolorès sur la sienne. Discuter de ça n’était clairement pas évident mais c’était du passé, et lui, allait de l’avant.

“À Storybrook, Finkelstein était un pharmacologue très réputé. Il avait un gros laboratoire à l’entrée de la ville, et son entreprise était coté en bourse. L’homme bien sous tout rapport avec femme et enfant. Puis il y a quatre ans environ, il m’a kidnappé grâce à une vieille ruse. Je suis resté près de trois semaines enfermés dans une sorte de caisson rempli de formol, où il m’en sortait pour faire ses expériences morbides. Il m’a dépecé un nombre incalculable de fois et il me maintenait grâce à ses bracelets. Il me les enlevait pour que je puisse me régénérer avant de me les remettre. Ces braceletes nous rendent totalement humain, sans aucun pouvoir, sans ce qui nous constituent. Il y avait avec moi une jeune femme dont Fink pensait qu’elle possédait plusieurs âmes en elle mais … ses expériences étaient plus personnelles pour le coup car la violer n’allaient en rien faire avancer la science.”

Le ton d’Aguistin était devenu plus froid, et un voile noir commençait à sortir de ses mains. Il fallait qu’il se calme, qu’il ne laisse pas ses angoisses prendre le dessus.

“Nous avons réussi à nous enfuir un jour qu’il nous avait laissé pour presque mort mais ce qu’il ne savait pas ce qu’avant de partir, j’ai pris toutes les cassettes de vidéo surveillances et ces rapports. Je l’ai fais chanter pendant un an avant de décider d’aller le tuer avec Livio. C’était le bon moment. Madame la Mort me l’a dit.”

Cette nuit là avait été sanglante et le vrai visage de Fink avait été dévoilé. Le lendemain, Aguistin l’avait dit à Jack et aux autres membres d’Halloween Town sans rentrer dans les détails.

“Pour revenir à notre affaire, on sait que leur repère à Storybrook était dans les vieilles mines mais je les ai faite s'effondrer. Latoya s’est échappé avec une dizaine de fidèles qui se trouvaient à l’extérieur. Walter est sur ces traces en ce moment même. Nous devons réfléchir à un plan d’attaque.”
“On va les manger vivants !”

Un fin sourire apparut sur ses lèvres quand Dolorès avait levé le poing en disant ça.

“En parlant de manger, je pense qu’on nous attend ! On pourra continuer d’en discuter pendant le repas vu qu’on peut se mettre à coté !”



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________________________________________ 2020-07-19, 19:20


Farewell my friends
La vengeance est un plat qui se mange chaud !

La cérémonie d’adieux adressée à nos amis avait été très touchante. S’ils avaient été là, cela leur aurait certainement plu de savoir tout l’amour qu’avaient pour eux leurs proches et leur famille. Mais c’est ce qui a de tragique avec la mort, les gens ne parlent presque jamais des sentiments qu’ils ont pour les autres. Lorsqu’ils pourraient enfin l’entendre c’est trop tard… les principaux concernés ne sont plus là pour entendre ces discours poignants.

Une fois que la cérémonie fut terminée, Aguistin convia tout le monde dans le restaurant où devait se tenir la réception d’adieu. En grand professionnel, j’imaginais qu’il avait dû faire ça avec une grande élégance et malgré l’horreur de la situation, je me réjouissais de pouvoir nous retrouver tous ensemble pour leur rendre hommage et également en profiter pour renouer avec des connaissances que l’on avait plus recroisées depuis longtemps.

D’ailleurs, en parlant de ça, Aguistin se rapprocha rapidement de nous. Il semblait impatient de nous parler de cette chose qui lui trottait dans la tête depuis longtemps. Bien évidemment, je ne m’en fis pas prier. Je savais quels seraient les propos qu’il nous tiendrait. Nous allions certainement parler vengeance et j’imaginais que l’ancien corbeau savait parfaitement contre qui elle devait s’exercer. Mais tout d’abord, il ne put s’empêcher de nous féliciter pour le vibrant hommage que nous leur avions rendu. Je hochais alors la tête dans un mouvement somme toute assez modeste et inhabituel de la part d’un squelette qui comme moi était très attaché au théâtre et au goût du spectacle.

« Merci pour le compliment mais ils le méritaient bien. J’aurais voulu pouvoir en faire plus pour eux du temps de leur vivants. »

Un sourire triste passa alors sur mes lèvres. Je détestais me sentir si impuissant et c’était exactement la situation devant laquelle leur mort me plaçait. J’étais furieux contre eux de ne pas nous avoir parler de la situation dans laquelle ils se trouvaient. Peut-être que nous aurions pu faire quelque chose afin d’empêcher un tel drame de se produire. Mais j’étais encore plus furieux contre moi. Aurais-je simplement pu les protéger ? C’était une question qui me trottait dans la tête tout le long qu’avait duré mon règne sur Halloween Town. Une interrogation somme toute légitime pour tout monarque qui se respectait. Ces évènements me plaisaient donc devant la plus grande de mes hantises et je me sentais dans l’obligation de faire quelque chose pour eux. Même s’il s’agissait d’une bien maigre consolation, c’était mieux ça que rien !

Aguistin se lança alors dans ses explications et j’écoutais avec attention tout ce qu’il avait à nous dire. Je ne pouvais m’empêcher de froncer les sourcils au moment où il précisa que la personne derrière tout ça n’était autre que des humains. C’était toujours assez effrayants de savoir que des personnes sans pouvoirs particuliers étaient capables de nous réduite à néant. Les informations qu’il débita par la suite n’étaient pas non plus des plus rassurantes. Décidemment, cette secte ne me rassurait pas du tout. Au moins, la seule chose qui me plaisait avec cette communauté des « Portes du Paradis » c’était que nous nous retrouverions face à des adversaires de valeur à battre. C’était toujours plus réjouissant que d’avoir à combattre de vulgaires criminels.

« Très sympathique cette secte dis-moi… mais quel est le rapport avec nos amis exactement ? Tu parles de projet je veux bien te croire, mais c’est quoi son but exactement ? »

Tandis que notre ami nous donnait différentes à ces questions, je sentis un violent frisson lorsqu’il déclara que Latoya disposait du même système que Finkelstein concernant la suppression de nos pouvoirs. Je laissais alors un rictus apparaître sur mes lèvres tout en rajoutant.

« Eh bien, cela signifie que nous devrons prévoir le coup en comptant sur autre chose que sur nos pouvoirs lorsque nous les affronterons. Il va nous falloir des armes. »

J’avais lancé ça le plus simplement du monde, comme si nous parlions de ce que nous devrions emporter avec nous pour le prochain pique-nique dominical. Comme quoi autre communauté, autres mœurs ! J’étais en revanche bien plus préoccuper par le fait que l’ancien savant fou avait travaillé avec notre ennemi.

« Mais quelle que soit la bonne version, cela signifie également que nous devons nous montrer prudent. On ne sait pas ce qu’il a pu lui raconter sur nous. Peut-être est-il au courant de nos différentes forces et faiblesses ? »

Je levais alors un sourcil circonspect tout en sentant mes poings se serrer. Bien évidemment que je savais qui était Finkelstein. Il avait su tellement bien y faire en s’intégrant dans cette ville, qu’il avait même réussis à duper son roi. Je le croyais mon ami et je lui avais même faciliter ses retrouvailles avec certains de mes sujets. Je me sentais suffisamment coupable pour qu’il n’ait pas à revenir sur le sujet et tourner le couteau dans la plaie. Les explications qu’il nous donnait à présent étaient certes douloureuses mais nécessaires pour nous aider à prendre l’entière mesure de la situation. Elles étaient d’autant plus légitimes que j’imaginais que Dewenty ne les avait jamais entendues. En tout cas, si Latoya était une sorte de FInkelstein alors il allait effectivement nous donner du fil à retordre. D’ailleurs je ne pouvais m’empêcher de me demander si Aguistin avait déjà un plan en tête pour ce qui allait être notre vengeance à nous.

« Toutes ces explications sont intéressantes, Aguistin, mais je voudrais savoir quel sera notre rôle dans l’histoire. Est-ce que tu sais comment nous pourrions le retrouver ? Est-ce que certains de ses fidèles pourraient être des taupes infiltrées ? Tu crois qu’il pourrait y en avait certains parmi les proches de nos trois amis ? »

C’était une question un peu fantasque, en tant que roi d’Halloween j’étais très doué pour imaginer ce genre de complot. L’hypothèse méritait cependant peut-être d’être avancée, non ? Notre ami nous proposa alors d’aller manger et je sentis mon estomac commencé à entendre mon estomac rouspété.

« Tu as bien raison, nous réfléchirons mieux l’estomac plein. »

acidbrain


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Que le spectacle commence...

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________________________________________ 2020-07-20, 17:11

chez les monstres, la vengeance est un plat qui se mange chaud !


La cérémonie s'était poursuivie, elle avait senti les doigts D’agui contre sa main, ça l’avait un peu rassurer et elle lui avait fait un faible sourire, elle était la aussi pour lui. Écoutant les autres discours qu’il y avait eu pour ensuite poursuivre. Elle s'était ce que c’était de perdre un être cher, elle même en avait perdu un, l’incapacité d’avoir pu l’entendre crier ou même pleurer. Un songe… rien qu’un rêve parfois, il lui arrivait de se demander ce qui aurait pu se passer si elle avait survécu.. sa vie ne serait pas la même. Elle n’aurait consacré sa vie qu’à elle seule. Et pourtant le destin en avait décidé autrement une histoire qu’elle racontait pas. Juste un cauchemar qui ne se terminerait jamais. Et pourtant, elle se trouvait quelques par ici.. son nom était présent parmis toute ses tombes. Protège la.. Peut-être que madame la mort aurait pu faire quelques choses.. épargner cette vie, si elle aurait su ? Agui aurait peut-être pu faire quelques chose ? Faire passé la balance de l’autre côté, si ce simple nom aurait été assimilé au sien… née en 2014 morte… en 2014…

Puis vain le moment ou les personnes s’en allait pour aller au lieu du repas, certain demeurait encore la pour leur faire un dernier adieu. Visiblement Agui voulait leur parler de quelques choses et visiblement, ils avaient eu le même ressenti celui que leur mort ne serait pas vaine. Elle allait donc monter en voiture avec Agui, Dolores et Victor. Tiens même ce nom lui donnait des frissons. Un passé lointain et pourtant si proche. Mais l’heure n’était pas à la lamentation, elle avait déjà assez versé de larmes. L’heure était venu de garder la tête haute. Elle avait accepter l’accolade de Dolores, avec un petit sourire.

-Je te remercie Dolores, profite ce n’est pas souvent que je fais des câlins

Il est vrai que Jack, elle préférait mieux le nommer ainsi dans son esprit. Il avait fait un beau discours lui aussi, bien qu’elle ne le connaissait pas réellement, elle ne portait pas de jugement. Même s’il portait le même prénom que son C****** d’ex. Les prénoms ne détermine pas réellement qui nous sommes de toute manière, heureusement pour lui d’ailleurs. Elle grimpa donc dans la voiture. Écoutant donc la charmante pas trop charmante petite histoire d’Agui au sujet de ce qu’il s’était passé. Au premier abord, elle ne connaissait pas réellement qui était ce Latoya ou ce Finkelmachin. Juste des personnes qu’il fallait éliminer au plus vite ! Elle serra les dents en entendant qu’ils avaient torturé des pauvres enfants innocent pour ensuite les sacrifier. Bien que Dew soit une manticore, elle n’avait pas dévorer d’enfant au cours de sa vie de bête sanguinaire, juste des adultes y en avait eu 1 billiard 288 billions 269 milliards 950 millions 42 mille 115 à proximité, parce que elle ne les avaient pas tout compté. Reprenant donc le fil de la conversation, c’était une secte vraiment pour les abrutis… les portes du paradis… les mortels étaient bien des attarder.

-Un système anti magie ?

Voilà qui changeait un peu la donne, cela dit, la manticore n’avait pas réellement un brin de magie, elle n'était que du poison pur en elle… reste à doser le reste pour avoir des effets particulier. Si seulement elle aurait pu avoir ne serait-ce que son apparence de manticore, le problème aurait été réglé beaucoup plus vite. Elle les aurait tous bouffer d’une seule bouchée… au vu de sa grandeur.. ça n’aurait pas été bien difficile et comme on ne contrôlait pas de manticore.. ou du moins seulement par le biais d’un dragon. Mais, les dragons ne courait pas les rues très souvent, enfin sauf à SB. Dewenty comprenait mieux pour qu’elle raison, il avait réussi à avoir JB, Viktor et Marceline.

Pour les armes en revanche, elle avait quelques truc en réserve et le reste se trouvait chez elle. Bah oui dans sa pièce secrète ! Quoi Vous pensez tout de même pas que De n’avait rien ? Elle est quand même garde du corps… Nan c’est pas la batcave.. ça c'était chez Ishanee… oups.. fallait pas le dire ? Bon tant pis..

-Si je peux aider, j’ai mes aiguilles à poisons.. et chez moi j’ai quelques armes qui pourrait faire l’affaire mais, faudra peut-être faire un détour… à moins que tu ais de quoi faire…

Jack avait une bonne proposition pour les armes et la manticore marchait aussi pour le petit pique nique. En ce qui concerne les faiblesses et autres, Dew haussa simplement les épaules. Elle n’était pas sur qu’il ait entendu parler d’elle et puis elle se faisait tellement petite.

-Hmm.. ça se tiens, mais sur moi ils ne doivent rien à voir, je ne suis pas du même monde que vous…

Elle écoutait le lourd passé de certain, elle savait qu’Agui n’aimait pas parler de son passé, et elle ne l’avait pas forcé certains secret vaut peut-être mieux rester enterré… Elle était peiné d’apprendre qu’on ai pu l’utiliser.. ca la remontait encore plus contre le genre humain et savant fou.. Elle écoutait, il fallait toujours réfléchir à un plan bien que la manticore fonce direct sans se poser de question.. lors de leur mission pour noel… elle n’avait pas supporter etre enfermer, elle s’était agité mais, elle pouvait même pas les frapper, elle était devenu un ange de porcelaine, le truc qu’on accroche au dessus des sapin à noël. Elle ne pu s'empêcher de sourire à l’idée de Dolores… effectivement les manger vivant était une charmante option de plan !

-Je serais ravi qu’ils me servent de buffet !

L’heure du dîner avait sonné ? La manticore avait une faim de loup.. elle pourrait manger tout un village entier comme plat d’entrée. Elle pris la main de Agui et la serra doucement. Pour montrer qu’il pouvait compter sur elle. Personne n’avait à faire mal à son frère Personne !

-Oui.. je meurs de faim… et pour en revenir au sujet.. les manticore possède un odorat très fin.. si.. jamais vous avez l’odeur… Je pourrais … la retrouver

Non c’était pas un chien truffier… interdiction de l’appeler toutou non plus.

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