« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Chez les monstres, la vengeance est un plat qui se mange chaud ! } feat Victor & Dewenty
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Aguistin R. Marban
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| Conte : Folklore européen ۩๑ L'étrange Noël de Mr Jack | Dans le monde des contes, je suis : : Le Porte-Parole de Madame La Mort & sa personnification ☘ La muse d'Egdar Allan Poe ☘ Le porteur de poisse ☘
Cela faisait déjà quelques minutes que je me tenais devant m glace, essayant de réajuster mon nœud papillon de circonstances. Les nouvelles qui avaient secoué notre communauté d’Halloween Town nous avaient tous laissés sans voix. Personnellement, j’avais été profondément choqué de la nouvelle du départ de trois de mes sujets. Cela m’avait immanquablement ramené aux jours funestes du règne du docteur Finklestein. Je me rappelais alors la culpabilité que j’avais ressentie lorsque j’avais appris qu’il avait torturés tant de mes amis alors que j’en étais indirectement responsable. Ce jour-là, je m’étais promis de veiller avec d’autant plus d’attention sur les nôtres. Je leur devais bien ça. Après tout, n’étais-je pas le roi des citrouilles ? L’Empereur même de la fête d’Halloween ? Mais force était de constater que j’avais échoué une fois de plus et cette situation me mettait absolument hors de moi. Bien évidemment que je rêvais de vengeance. Même si j’ignorais encore les circonstances de leur mort, je savais que les responsables ne s’en tireraient pas à si bon compte. Il en allait de notre réputation et aussi horribles et dangereux pouvaient-ils être, ils n’étaient clairement pas prêts à faire face à notre bande de monstres experts de tortures en tous genres. Mais cela serait-il réellement possible ?
Bientôt, je sentis une truffe toute mouillée me caresser la main. Mon brave Zéro se tenait à mes côtés, me soutenant avec toute la diligence dont il pouvait faire preuve dans son corps de chien. Mon brave compagnon avait d’ailleurs beaucoup changé depuis le monde des contes. Délaissant son drap blanc pour un magnifique pelage blanc, il était sans doute l’un des plus beaux bergers suisses du monde. Lui aussi semblait partager mon deuil, connaissant mes amis de loin sans jamais réellement les côtoyer. Mais il était là, soutenant son maître terriblement déprimé avec une fidélité sans faille. Je réfléchirais sans doute à un moyen de le remercier lorsque l’occasion s’y prêterait. Finissant d’attacher mon nœud papillon, je m’adressais à mon chien.
« Qu’en penses-tu Zéro ? Je suis présentable ? »
Pour toute réponse, mon brave compagnon se contenta de japper joyeusement. Je devais donc très certainement en conclure qu’il approuvait mon choix vestimentaire. Il n’y avait rien de plus naturel que cela ! Après tout, mon costume noir à rayure m’avait accompagné durant tout le temps de mon règne à Halloween Town. Je le portais à chaque grande occasion et à chaque fois qu’un service solennel lié à mes anciens sujets avait lieu. Soupirant une dernière fois devant mon miroir, je retrouvais un peu de courage nécessaire à cette délicate épreuve.
« Bon allez, il est l’heure à présent ! »
Je ne me sentais pas des plus paisible lorsque nous nous trouvions au cimetière quelques minutes plus tard. La mort était peut-être un processus habituel chez les humains mais pour nous elle révélait de l’exception. Ce n’était pas normal pour l’un d’entre nous de partir de cette manière. Il n’était pas normal pour nous de devoir traverser ce genre d’épreuves. Des sentiments se bousculaient à l’intérieur de ma tête et de mon cœur desséché sans que je ne puisse réellement les identifier ou même les supporter. Saluant tour à tour chacun de mes amis, et certains habitants de la ville avec lesquels nos trois compères s’étaient liés d’amitié. Je m’étais alors arrêté plus longuement vers Aguistin qui avait été le premier à apprendre la nouvelle de leur disparition. Un air d’autant plus compatissant marqua alors mon visage. Je réalisais alors que de nous tous, l’épreuve devait être encore plus pénible pour lui. Je ne manquais alors pas de poser une main sur son épaule en signe d’amitié.
« Tu t’es très bien débrouillé. Je suis certain qu’ils auraient appréciés l’effort que tu as fait pour eux. »
Je fronçais alors les sourcils lorsque mon ami me confia en toute discrétion vouloir me parler d’une affaire importante.
« Oui bien sûr que nous pourrons nous voir après tout ça. J’imagine qu’il y a pas mal de choses dont nous devons discuter. »
Est-ce que l’idée de venger la mort de nos amis avaient également traversés son esprit ? Je l’ignorais mais ce n’était pas le moment de parler de cela. Nous devions avant toute chose pleurer nos morts afin de débuter notre processus de deuil. Je déglutis difficilement à cette pensée, tant la pensée du départ de nos compagnons m’affectait. Un sourire adressé à Dewenty, je me plaçais alors dans la foule, toute en continuant d’observer les visages autour de moi. Je voyais alors le Père Noël qui pleurait évidemment abondamment. J’avais d’ailleurs beaucoup de peine à supporter de le voir ainsi, lui dont la joie et la bonne humeur avait ressusciter mon vieux cœur brisé à l’époque où j’avais tenté de lui voler la fête de Noël, acte que ce cher Jean-Balthazard n’avait jamais réussi à me pardonner. Le père fouettard lui semblait au contraire totalement stoïque devant la mort de son fils. Une façon de préserver les apparences peut-être ?
Quoiqu’il en soit, j’écoutais alors avec beaucoup de respect les propos terriblement touchants d’Aguistin. C’était réellement un très bel hommage de sa part. Un discours empli d’amour et de reconnaissance pour nos chers disparus. Je fus cependant plus intrigué par la dernière partie de son discours. Qu’entendait-il exactement par reprendre le flambeau ? Était-ce un clin d’œil au sujet dont il voulait m’entretenir quelques instants plus tard ? Il invita alors ses proches à leur rendre un dernier hommage et bien évidemment je n’hésitais pas parler en leur nom.
« Mes chers amis, il n’est pas toujours simple de trouver les bons mots pour apaiser les tourments liés à la mort de nos chers disparus. Pourtant, je joins ma peine à la vôtre aujourd’hui pour vous dire que tous les trois étaient des personnes formidables. Certes, nos relations n’étaient pas toujours des meilleures mais je ne pouvais qu’admirer leurs qualités d’altruisme, leur loyauté et leur dévouement. C’est une grande tragédie à laquelle nous devons à présent faire face. Un terrible drame qui porte en lui tous les ressentiments que l’on peut avoir envers les personnes responsables de ce terrible carnage. Ils ne devaient pas mourir, ils ne le méritaient pas. Ils ont été fauchés dans la fleur de l’âge alors qu’ils auraient pu partager avec nous tellement de bons moments, qu’ils auraient pu nous faire profiter de leur formidable joie de vivre. Mes amis, la seule chose que je puisse espérer, c’est que leur mort ne restera pas vaine. Nous devons garder précieusement en nous les leçons qu’ils ont sus nous enseignées pour trouver la force d’avancer dans nos vies. J’espère que dans un futur proche, nous saurons passer par-dessus cette tragédie pour ne garder que les bons souvenirs. »
Je laissais alors passer un silence et c’est en poussant un dernier soupir que je quittais l’estrade la larme à l’œil.
acidbrain
Dewenty Maanteekor
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Que le spectacle commence...
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chez les monstres, la vengeance est un plat qui se mange chaud !
Un seul coup de téléphone et le coeur de Dewenty s’était soulevé, la voix de son frère venait de retentir dans son esprit, un besoin de parler. Cette souffrance qu’elle avait ressenti l’avait envahi quand elle avait appris cette terrible nouvelle. Son regard s’était poser sur son bracelet qui était toujours sur la commode, un bracelet d’orchidée qu’elle avait gardé de ce fameux réveillon de noël plutôt étrange qu’elle avait partager avec des inconnus devenant pour certains des amis. Jean Balthazar en faisait parti, elle avait partager une danse avec lui, ils avaient trouvé une porte d’ouverture et une clef ensemble. Elle n’avait pas oublié qu’il avait servi d'échelle quand elle avait voulu la récupérer dans cette horloge. Un léger sourire passa sur ses lèvres, elle n’aurait jamais penser qu’il meurt… lui qui était si bon, elle croyait en lui, il n’était point comme son père mais, plus du côté du père noël. Non elle n’aurait jamais penser qu’il trépasse. Elle écoutait son meilleur ami parler essayant de le réconforter mais, au fond d’elle, elle ne laisserait pas passer cela, sa décision était déjà prise. Elle annonça à Aguistin qu’elle serait là et qu’il pouvait compter sur elle. Un weekend dur en émotion. Elle avait donc au préalable annoncé à Leo que le jour de la cérémonie, elle ne serait donc pas la pour le repas, un ami avait perdu à la vie et elle se devait d’être la-bas. Après ça Dewenty était en train de concocter des poisons sous forme d’aiguille fine qu’elle avait soigneusement rangés des des petits sacoche particulièrement pratique pour le transport, elles étaient plutôt légère donc elle pouvait en avoir à la pelle au cas ou et c’est toujours aussi utile. Le reste de la semaine c’était un peu passé à cran mais, elle avait pris sur elle. Ishanee avait fait quelques essayage de la collection de Dew pour passé le temps, qu’elle avait prit soin de confectionner. Cette demoiselle était plutôt agréable à vivre, elle voyait le bien partout. Alors que Dewenty était plus un démon et Ishanee un ange. Bien qu’elles aient toutes les deux les mêmes origine en quelques sorte. Elle soupçonnait néanmoins qu’Ishanee avait un lourd passé.
Le jour J… Dewenty n’avait pas opté pour des vêtements rouge, mais plus tirer vers le noir, pour un enterrement les couleurs sombres étaient nécessaire de ce qu’elle avait entendu, à son poignet elle avait son bracelet d’orchidée. Celui qu’elle avait porté lors de ce bal de noel. Une robe noir et un maquillage léger néanmoins sa marque de fabrique était le rouge donc, un rouge à lèvre pour cette petite nuance. Ses ailes déployés, elle s’était rendu au cimetière ou il y avait pas mal de mond déjà, ce n’était pas un décès qu’ils allaient célébrer mais trois… Dewenty ne connaissait pas tous le monde certains visage lui était familier car elle en avait côtoyé. Un léger frissons l’avait parcouru, comme on disait parfois c’était les mord qui venait nous apaisé… montrer qu’ils étaient là. Juste une dernière danse avait-elle murmuré. ses pas l’avait conduite vers Aguistin.
-Agui ! dit-elle doucement, elle n’aurait pas manqué ça, surtout pour soutenir son meilleur ami. Je te l’ai dis, je serais toujours là et c’est aussi une façon d'honorer la mémoire de JB, de Viktor et de Marceline.
Elle resserra son étreinte sur Aguistin caressant doucement ses cheveux, cela ne la gênait pas qu’il soit contre sa poitrine, elle l’apaisait du mieux qu’elle le pouvait comme une mère ou une soeur le ferait, il fallait qu’il vide son sac tout ce qu’il avait pour être apaisé, être calme du moins mais pas maintenant. Elle savait qu’il devait se montrer fort pour son discours, bien que dans la tête de Dew c’était déjà une bataille, il allait surement payer ce qu’ils ont osé faire et peu importe ce que cela pourrait couter. Elle répondit à son baiser en lui en déposant un sur la joue aussi. Il aurait bien l’occasion de parler de tout ça. Agui avait à faire. La manticore se trouva donc une place. Son regard avait croisé celui de Victor, elle lui adressa un petit sourire.
Elle écoutait son discours aussi prenant, beau et triste à la fois. Elle comprenait sa peine, son regard passait d’Agui à toute les autres personnes, elle avait pu voir le père noël en chair et en os qui avait l’air tellement triste, lui qui était si joyeux, le père de Jean Balthazar dit le père fouettard restait fidèle à lui même. Voulait-il garder une apparence ? Après tout JB était son fils… elle pouvait comprendre sa détresse. Il avait un point commun avec son père qui ne montrait aucun signe de faiblesse… Il s’entendrait bien. Elle était en train de tourner son bracelet d’orchidée. Un jour… ils se retrouveraient tous mais avant… beaucoup de personnes allaient tomber. Elle écoutait le discours de Victor, un bel hommage aussi. Les pas de la manticore l’avait donc mener aussi à l’estrade, elle n’était pas réellement très doué pour les long discours après tout elle était autrefois une manticore et une manticore ça parlait pas réellement. s’humectant les lèvres avant de prendre la parole.
-C’est le coeur lourd que je prend la parole devant vous, je ne les connaissait pas comme j'aurais voulu les connaître, le temps m’a arracher cette chance, ils étaient de bon amis. Que j’ai aimé rencontré. Je ressens la peine que vous avez, ils ne sont pas réellement parti, ils vivront en chacun d’entre nous, nous parlerons des bons souvenirs avec chacun d’eux. Je connaissais d'avantage Jean Balthazar que j’ai rencontrée lors de ce réveillon de noel, une personne agréable qui était adorable et avait le coeur sur la main. Il a été mon cavalier pour cet événement, j’ai pu échanger des mots avec lui. Et je ne l'oublierai pas. Nous avons donc été lié grâce à un bracelet et lui une petite broche surmonter par une orchidée blanche que je porte en cet intant dit-elle puis elle s'adressa en quelques sortes à JB. Tu as fait un travail remarquable cet fameuse nuit redonné la joie dans ce pays avec le sceptre qui t’avait été accordé grâce à lui j’ai pu avoir des ailes de glaces en débit de mes véritable ailes, je lui en serai toujours reconnaissante à ce petite sucre d’orge. Quand je te rejoindrais… accorde moi une dernière danse… mais pas tout de suite. Avant il y a encore des choses à faire. Marquant une courte pause. Ceci ne sera pas vain... Je vous le jure
Dewenty se recula soufflant un coup, les larmes aux yeux aussi. Son rythme cardiaque se calmait légèrement, se tenant à côté de Victor, calmant ses émotions.
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La cérémonie d’adieux adressée à nos amis avait été très touchante. S’ils avaient été là, cela leur aurait certainement plu de savoir tout l’amour qu’avaient pour eux leurs proches et leur famille. Mais c’est ce qui a de tragique avec la mort, les gens ne parlent presque jamais des sentiments qu’ils ont pour les autres. Lorsqu’ils pourraient enfin l’entendre c’est trop tard… les principaux concernés ne sont plus là pour entendre ces discours poignants.
Une fois que la cérémonie fut terminée, Aguistin convia tout le monde dans le restaurant où devait se tenir la réception d’adieu. En grand professionnel, j’imaginais qu’il avait dû faire ça avec une grande élégance et malgré l’horreur de la situation, je me réjouissais de pouvoir nous retrouver tous ensemble pour leur rendre hommage et également en profiter pour renouer avec des connaissances que l’on avait plus recroisées depuis longtemps.
D’ailleurs, en parlant de ça, Aguistin se rapprocha rapidement de nous. Il semblait impatient de nous parler de cette chose qui lui trottait dans la tête depuis longtemps. Bien évidemment, je ne m’en fis pas prier. Je savais quels seraient les propos qu’il nous tiendrait. Nous allions certainement parler vengeance et j’imaginais que l’ancien corbeau savait parfaitement contre qui elle devait s’exercer. Mais tout d’abord, il ne put s’empêcher de nous féliciter pour le vibrant hommage que nous leur avions rendu. Je hochais alors la tête dans un mouvement somme toute assez modeste et inhabituel de la part d’un squelette qui comme moi était très attaché au théâtre et au goût du spectacle.
« Merci pour le compliment mais ils le méritaient bien. J’aurais voulu pouvoir en faire plus pour eux du temps de leur vivants. »
Un sourire triste passa alors sur mes lèvres. Je détestais me sentir si impuissant et c’était exactement la situation devant laquelle leur mort me plaçait. J’étais furieux contre eux de ne pas nous avoir parler de la situation dans laquelle ils se trouvaient. Peut-être que nous aurions pu faire quelque chose afin d’empêcher un tel drame de se produire. Mais j’étais encore plus furieux contre moi. Aurais-je simplement pu les protéger ? C’était une question qui me trottait dans la tête tout le long qu’avait duré mon règne sur Halloween Town. Une interrogation somme toute légitime pour tout monarque qui se respectait. Ces évènements me plaisaient donc devant la plus grande de mes hantises et je me sentais dans l’obligation de faire quelque chose pour eux. Même s’il s’agissait d’une bien maigre consolation, c’était mieux ça que rien !
Aguistin se lança alors dans ses explications et j’écoutais avec attention tout ce qu’il avait à nous dire. Je ne pouvais m’empêcher de froncer les sourcils au moment où il précisa que la personne derrière tout ça n’était autre que des humains. C’était toujours assez effrayants de savoir que des personnes sans pouvoirs particuliers étaient capables de nous réduite à néant. Les informations qu’il débita par la suite n’étaient pas non plus des plus rassurantes. Décidemment, cette secte ne me rassurait pas du tout. Au moins, la seule chose qui me plaisait avec cette communauté des « Portes du Paradis » c’était que nous nous retrouverions face à des adversaires de valeur à battre. C’était toujours plus réjouissant que d’avoir à combattre de vulgaires criminels.
« Très sympathique cette secte dis-moi… mais quel est le rapport avec nos amis exactement ? Tu parles de projet je veux bien te croire, mais c’est quoi son but exactement ? »
Tandis que notre ami nous donnait différentes à ces questions, je sentis un violent frisson lorsqu’il déclara que Latoya disposait du même système que Finkelstein concernant la suppression de nos pouvoirs. Je laissais alors un rictus apparaître sur mes lèvres tout en rajoutant.
« Eh bien, cela signifie que nous devrons prévoir le coup en comptant sur autre chose que sur nos pouvoirs lorsque nous les affronterons. Il va nous falloir des armes. »
J’avais lancé ça le plus simplement du monde, comme si nous parlions de ce que nous devrions emporter avec nous pour le prochain pique-nique dominical. Comme quoi autre communauté, autres mœurs ! J’étais en revanche bien plus préoccuper par le fait que l’ancien savant fou avait travaillé avec notre ennemi.
« Mais quelle que soit la bonne version, cela signifie également que nous devons nous montrer prudent. On ne sait pas ce qu’il a pu lui raconter sur nous. Peut-être est-il au courant de nos différentes forces et faiblesses ? »
Je levais alors un sourcil circonspect tout en sentant mes poings se serrer. Bien évidemment que je savais qui était Finkelstein. Il avait su tellement bien y faire en s’intégrant dans cette ville, qu’il avait même réussis à duper son roi. Je le croyais mon ami et je lui avais même faciliter ses retrouvailles avec certains de mes sujets. Je me sentais suffisamment coupable pour qu’il n’ait pas à revenir sur le sujet et tourner le couteau dans la plaie. Les explications qu’il nous donnait à présent étaient certes douloureuses mais nécessaires pour nous aider à prendre l’entière mesure de la situation. Elles étaient d’autant plus légitimes que j’imaginais que Dewenty ne les avait jamais entendues. En tout cas, si Latoya était une sorte de FInkelstein alors il allait effectivement nous donner du fil à retordre. D’ailleurs je ne pouvais m’empêcher de me demander si Aguistin avait déjà un plan en tête pour ce qui allait être notre vengeance à nous.
« Toutes ces explications sont intéressantes, Aguistin, mais je voudrais savoir quel sera notre rôle dans l’histoire. Est-ce que tu sais comment nous pourrions le retrouver ? Est-ce que certains de ses fidèles pourraient être des taupes infiltrées ? Tu crois qu’il pourrait y en avait certains parmi les proches de nos trois amis ? »
C’était une question un peu fantasque, en tant que roi d’Halloween j’étais très doué pour imaginer ce genre de complot. L’hypothèse méritait cependant peut-être d’être avancée, non ? Notre ami nous proposa alors d’aller manger et je sentis mon estomac commencé à entendre mon estomac rouspété.
« Tu as bien raison, nous réfléchirons mieux l’estomac plein. »
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Dewenty Maanteekor
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| Conte : Folklore & Mythes | Dans le monde des contes, je suis : : Manticore
chez les monstres, la vengeance est un plat qui se mange chaud !
La cérémonie s'était poursuivie, elle avait senti les doigts D’agui contre sa main, ça l’avait un peu rassurer et elle lui avait fait un faible sourire, elle était la aussi pour lui. Écoutant les autres discours qu’il y avait eu pour ensuite poursuivre. Elle s'était ce que c’était de perdre un être cher, elle même en avait perdu un, l’incapacité d’avoir pu l’entendre crier ou même pleurer. Un songe… rien qu’un rêve parfois, il lui arrivait de se demander ce qui aurait pu se passer si elle avait survécu.. sa vie ne serait pas la même. Elle n’aurait consacré sa vie qu’à elle seule. Et pourtant le destin en avait décidé autrement une histoire qu’elle racontait pas. Juste un cauchemar qui ne se terminerait jamais. Et pourtant, elle se trouvait quelques par ici.. son nom était présent parmis toute ses tombes. Protège la.. Peut-être que madame la mort aurait pu faire quelques choses.. épargner cette vie, si elle aurait su ? Agui aurait peut-être pu faire quelques chose ? Faire passé la balance de l’autre côté, si ce simple nom aurait été assimilé au sien… née en 2014 morte… en 2014…
Puis vain le moment ou les personnes s’en allait pour aller au lieu du repas, certain demeurait encore la pour leur faire un dernier adieu. Visiblement Agui voulait leur parler de quelques choses et visiblement, ils avaient eu le même ressenti celui que leur mort ne serait pas vaine. Elle allait donc monter en voiture avec Agui, Dolores et Victor. Tiens même ce nom lui donnait des frissons. Un passé lointain et pourtant si proche. Mais l’heure n’était pas à la lamentation, elle avait déjà assez versé de larmes. L’heure était venu de garder la tête haute. Elle avait accepter l’accolade de Dolores, avec un petit sourire.
-Je te remercie Dolores, profite ce n’est pas souvent que je fais des câlins
Il est vrai que Jack, elle préférait mieux le nommer ainsi dans son esprit. Il avait fait un beau discours lui aussi, bien qu’elle ne le connaissait pas réellement, elle ne portait pas de jugement. Même s’il portait le même prénom que son C****** d’ex. Les prénoms ne détermine pas réellement qui nous sommes de toute manière, heureusement pour lui d’ailleurs. Elle grimpa donc dans la voiture. Écoutant donc la charmante pas trop charmante petite histoire d’Agui au sujet de ce qu’il s’était passé. Au premier abord, elle ne connaissait pas réellement qui était ce Latoya ou ce Finkelmachin. Juste des personnes qu’il fallait éliminer au plus vite ! Elle serra les dents en entendant qu’ils avaient torturé des pauvres enfants innocent pour ensuite les sacrifier. Bien que Dew soit une manticore, elle n’avait pas dévorer d’enfant au cours de sa vie de bête sanguinaire, juste des adultes y en avait eu 1 billiard 288 billions 269 milliards 950 millions 42 mille 115 à proximité, parce que elle ne les avaient pas tout compté. Reprenant donc le fil de la conversation, c’était une secte vraiment pour les abrutis… les portes du paradis… les mortels étaient bien des attarder.
-Un système anti magie ?
Voilà qui changeait un peu la donne, cela dit, la manticore n’avait pas réellement un brin de magie, elle n'était que du poison pur en elle… reste à doser le reste pour avoir des effets particulier. Si seulement elle aurait pu avoir ne serait-ce que son apparence de manticore, le problème aurait été réglé beaucoup plus vite. Elle les aurait tous bouffer d’une seule bouchée… au vu de sa grandeur.. ça n’aurait pas été bien difficile et comme on ne contrôlait pas de manticore.. ou du moins seulement par le biais d’un dragon. Mais, les dragons ne courait pas les rues très souvent, enfin sauf à SB. Dewenty comprenait mieux pour qu’elle raison, il avait réussi à avoir JB, Viktor et Marceline.
Pour les armes en revanche, elle avait quelques truc en réserve et le reste se trouvait chez elle. Bah oui dans sa pièce secrète ! Quoi Vous pensez tout de même pas que De n’avait rien ? Elle est quand même garde du corps… Nan c’est pas la batcave.. ça c'était chez Ishanee… oups.. fallait pas le dire ? Bon tant pis..
-Si je peux aider, j’ai mes aiguilles à poisons.. et chez moi j’ai quelques armes qui pourrait faire l’affaire mais, faudra peut-être faire un détour… à moins que tu ais de quoi faire…
Jack avait une bonne proposition pour les armes et la manticore marchait aussi pour le petit pique nique. En ce qui concerne les faiblesses et autres, Dew haussa simplement les épaules. Elle n’était pas sur qu’il ait entendu parler d’elle et puis elle se faisait tellement petite.
-Hmm.. ça se tiens, mais sur moi ils ne doivent rien à voir, je ne suis pas du même monde que vous…
Elle écoutait le lourd passé de certain, elle savait qu’Agui n’aimait pas parler de son passé, et elle ne l’avait pas forcé certains secret vaut peut-être mieux rester enterré… Elle était peiné d’apprendre qu’on ai pu l’utiliser.. ca la remontait encore plus contre le genre humain et savant fou.. Elle écoutait, il fallait toujours réfléchir à un plan bien que la manticore fonce direct sans se poser de question.. lors de leur mission pour noel… elle n’avait pas supporter etre enfermer, elle s’était agité mais, elle pouvait même pas les frapper, elle était devenu un ange de porcelaine, le truc qu’on accroche au dessus des sapin à noël. Elle ne pu s'empêcher de sourire à l’idée de Dolores… effectivement les manger vivant était une charmante option de plan !
-Je serais ravi qu’ils me servent de buffet !
L’heure du dîner avait sonné ? La manticore avait une faim de loup.. elle pourrait manger tout un village entier comme plat d’entrée. Elle pris la main de Agui et la serra doucement. Pour montrer qu’il pouvait compter sur elle. Personne n’avait à faire mal à son frère Personne !
-Oui.. je meurs de faim… et pour en revenir au sujet.. les manticore possède un odorat très fin.. si.. jamais vous avez l’odeur… Je pourrais … la retrouver
Non c’était pas un chien truffier… interdiction de l’appeler toutou non plus.