« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Family portrait ♛ Aryana

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Victoire Adler
« T'es qu'une putain d'armoire, Commode ! »

Victoire Adler

Family portrait ♛ Aryana Heradam04

I'll be with you from Dusk till Dawn





Family portrait ♛ Aryana Dujd
Edition Août-Septembre 2020

| Conte : Intrigue divine
| Dans le monde des contes, je suis : : Hera, déesse du mariage, des femmes et des enfants

Family portrait ♛ Aryana 5ys2

| Cadavres : 722



Family portrait ♛ Aryana _



________________________________________ 2020-01-07, 23:59 « T'es qu'une putain d'armoire, Commode ! »


Let's play pretend, act like it goes naturally
C’était de la folie... de la pure folie... même dans ses rêves les plus fous, jamais elle n’aurait imaginé une telle chose possible. Bien sûr, elle avait profité de ses premiers moments sur terre pour découvrir différents pays et différents univers... et le monde de la nuit était de loin un de ceux qui l’émerveillait le plus. La musique lui bourdonnant dans les oreilles, elle laissait ses yeux divaguait au rythme des différents lasers, parfois biaisés par les stroboscopes qui semblaient créer de véritables failles dans le temps. C’était jouissif. La nuit, tous les chats étaient gris et tous les humains étaient démunis. Démunis face à la folie grisante qui s’emparait d’eux, c’était plein de fête, d’état d’ébriété, d’histoires rocambolesques, de secrets avoués, de silences abîmés et de sexe... ooooh oui le sexe... c’était peut-être pour ça qu’elle s’était enfuit ici... dans cette boîte de nuit, à Macao… la ville de tous les vices.

Alors qu’elle ne quittait pas sa cible des yeux, posée un peu plus loin dans l’ombre, elle n’avait pu s’empêcher de remarquer à quel point cette ville lui correspondait : elle était pleine de joie, de dorures et d’excès, un vrai lieu de débauche qui n’était qu’une vaste façade qui avait englouti le port d’antan, tout ce qui aurait pu rester de traditionnel ou d’authentique. Oui, cet endroit était une pure représentation de ce qu’était Aphrodite, un monstre gluant et englué, hors du temps. Tout comme elle, on avait l’impression de voir Macao comme une amie, une félicité avec ses jolies lampions et ses luxueux casino mais on finissait misérable, sans le sous, un enfer sur Terre qui transformait, derrière ses parures plaquées or tout ce qu’on touchait en cendre. Et elle était là, à se dandiner, ses longs cheveux blonds et soyeux flottant au vent tandis que les hommes ne pouvaient décoller leur regard. Elle la dégoûtait… mais ces hommes la dégoûtaient encore plus, en proie à leur fantasme, une gorgone au visage d’ange.

- Tu danses ?


Victoire avait quitté Aryana des yeux une fraction de secondes pour observer l’homme qui peinait à tenir debout dedans elle. Il lui présentait une main tremblante, sans aucun doute alourdie par l’alcool, de façon totalement gauche et la déesse se contenta de l’observer de haut de bas en ne bougeant rien d’autre que ses yeux les jambes croisées. Avec un sourire forcé, elle finit par lui hurlé :

- Oui, mais pas ce soir et pas avec toi ! Bonne soirée !

Un peu décontenancé, l’homme s’était figé sur place, cherchant sans aucun doute ses mots, ce qui laissa suffisamment de temps à Hera pour déguerpir avant même qu’il ne puisse réaliser qu’il était seul. Elle lui était passée dedans, enjambant une table basse, pour rejoindre un coin du bar où Aphrodite était désormais accoudée, toujours entourée de quelques admirateurs. Elle semblait presque aussi fraîche que la rosée du matin et ceux malgré ces pas de danses… Cette réflexion donna le sourire à la brune, un sourire emplit d’une nostalgie sincèrement pour son ancien état d’humaine. Elle se revoyait, dégoulinante de sueur, fêter la première nuit du reste de sa vie, maintenant qu’elle était libre… enfin libre…

***

Il y a bien longtemps…

- Je t’en prie… laisse-moi y aller.

Pour toute réponse, il avait choisi la cruauté, celui d’un silence profond, d’une ignorance incroyable pendant laquelle il n’avait même pas daigné tourner les yeux vers elle. Cela faisait des jours, des semaines peut-être que certains de ses frères et sœurs étaient partis. Aphrodite s’était évaporé depuis déjà plusieurs jours, non sans parler du célèbre écrivain auquel elle allait pendre ses bras blancs à son cou. Elle avait parlé des folles nuits de débauche londonienne où elle allait se rendre, où elle rentrerait sans doute en remontant les rues mal éclairées, en passant par Buckingham Palace tout en parlant de sexe avec des amis qui auraient lancés un Action ou Vérité un peu osé. Comme elle aurait voulu y aller elle aussi, découvrir la vie, la fête, elle aurait été prête à en crever.

Alors elle avait tout fait, il lui avait promis d’y réfléchir si jamais elle faisait tout ce qu’l voulait alors comme d’habitude, elle avait fait son devoir. Elle s’était allongé en silence sur le lit, elle n’avait pas bronché, elle avait rempli toutes les tâches qui lui avait demandé, elle avait été gentille, compatissante, compréhensive, elle avait ravalé sa rancœur et ses envies de vengeance et pourtant, une fois encore il semblait bien qu’il lui avait menti. Les larmes au bord des yeux, les lèvres tremblantes, elle s’était à genoux devant lui, prise de folie face à ce rêve qui lui échappé déjà.

- Tu m’avais promis d’y réfléchir…
- Et j’y ai réfléchi…
- S’il te plaît, laisse-moi descendre. Laisse-moi découvrir la danse, la fête, les nuits, rien qu’une fois, une toute petite fois, juste pour voir, laisse-moi juste ce moment de folie et je te jure, je te le JURE, je resterai ensuite raisonnable tout le reste de ma vie…

Il avait alors posé sa main sur sa joue, avec une douceur infinie, une douceur qui précédait à chaque fois la pire des blessures et sans attendre le verdict, elle avait fondu en larme, prisonnière une fois de plus.

***

Victoire avait levé la main et le serveur s’était approché. Alors qu’elle lui tendait un gros billet, elle commandait deux boissons dont une pour la blonde qui n’avait jamais manqué de rien. Pauvre petite fille riche, elle avait perdu l’amour de papa Hypérion, tout le monde autour de son petit monde rose voyait à présent le monstre qu’elle était et elle n’avait rien trouvé de mieux que d’aller draguer dans une boîte de nuit à l’autre bout de la Terre. Victoire l’avait suivi par son aura, cette aura qui était à présent si perceptible pour elle, si perceptible depuis qu’elle avait choisi plus que jamais le chemin de la maternité. La vie était pleine de justice, elle qui aimait tant la justice, elle ne pouvait que savourer ce moment de revanche incroyable. Voilà à présent que la pourrie gâtée se trouvait doté d’un fils apparemment irrécupérable et voilà qu’elle prouvait un peu plus qu’elle était prête à tout pour lui. Elle avait beau la haïr de tout son être, c’était une chose qu’elle comprenait plus que tout, une chose qu’elle avait appris à guider. Si loin de toutes ces femmes pendant des milliers d’années et à présent qu’elle pouvait agir véritablement, leur parler, elle se devait aussi de le faire pour sa « sœur ».

Elle avait alors vu Aryana se retourner vers le barman qui l’appelait en minaudant apparemment ravie d’avoir reçue un petit cadeau mais Victoire manquant de s’étouffer avec son verre de vin lorsqu’elle aperçut, horrifiée, ce que contenait son verre… Il fallait bien avouer que le Martini Pomme avec de VRAIES rondelles de pommes, c’était peut-être pas sa spécialité. Booon ça va, c’était vache, elle le savait, mais bon elle s’était promis de l’aider, pas de l’apprécier. Elle se contenta de lever son verre de vin avec un sourire en coin tandis que le barman lui montrait du doigt la parfaite gentlewoman à l’origine du cadeau. Avant même que l’autre ai pu décider de s’enfuir, elle l’avait rejoint, poussant au passage les prétendants un peu trop gênant.

- Alors princesse, je t’ai manqué? Oui c’est ma petite amie, toutes les deux on s’aime alors bon vent…


Elle avait tourné un regard incendiaire aux derniers des plus courageux qui avait fini par s’éloigner tandis qu’elle reprenait une gorgée de vin.

- Fais pas cette tête, moi aussi ça me dégoûte… mais dans la mesure où à présent tu es sans doute aussi détestée que moi par tes paires et bieeeen disons… que tu devrais être un peu plus gentil avec les derniers qui te tendent la main et qui vont essayer de comprendre le peu de cerveau qu’il y a sous cette épaisse chevelure blonde.

Le sourire était mauvais mais le regard qu’elle plongea dans le sien était parfaitement sincère. Oui, la vie était pleine de justice et pleine de leçon. Si on lui avait dit un jour que celle qu’elle avait toujours jalousé serait encore plus rejeté qu’elle… et si on lui avait dit qu’elle lui tendrait la main…

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________________________________________ 2020-03-05, 18:12



When you see my face, Hope it gives you hell
When you walk my way, Hope it gives you hell.
◈ ₪ ◈

Le point positif, quand il ne reste plus rien, c'est que l'on peut compter ce qu'on a encore sur les doigts d'une seule main. Une façon comme une autre de faire une sélection par le vide. Un grand nettoyage dans sa vie.

Il me restait la santé. La beauté. Le talent. Le Marteau. Désabusée, je levai le pouce en l'air, dans l'atmosphère lourde et enfiévrée du bar. Il me manquait une cinquième chose pour compter tous les doigts de ma main. Ca me contrariait. J'aimais quand certaines choses étaient carrées. Lorsque tout part en vrille, c'est appréciable de pouvoir se reposer sur des bases solides.

Le barman posa un verre devant moi. Aussitôt, je trouvai la chose manquante : le charme, évidemment. Tant que j'étais en possession de tout ceci, il ne pouvait rien m'arriver de fâcheux. Ajoutons à cela ma "collaboration" avec Phobos, et j'étais presque intouchable. Certes, j'avais perdu le soutien de ma famille, je les avais déçus -certains considéraient même que je les avais trahis- mais j'oeuvrais dans l'ombre dans un but bien plus grand. Un jour, ils me remercieraient. Tous.

En attendant, je m'apprêtais à siroter un cocktail offert par un beau mâle de passage. Je portai le verre à mes lèvres mais stoppai net en reconnaissant l'odeur sucrée de la... pomme. D'ailleurs, le récipient en contenait quelques morceaux, tellement repoussants dans toute leur rondeur. Poussant un petit cri terrorisé, je jetai le verre au loin. Ce dernier heurta l'étagère située derrière le comptoir, évitant de peu un serveur.

"Ca va pas la tête ?"
s'écria celui-ci tout en me jetant un regard interdit.

Je ne me donnai même pas la peine de m'expliquer. Tout compte fait, je ne m'amusais pas, dans cet endroit. Macao avait été une mauvaise idée. Le coeur battant, je me détournai avec une moue, et tressaillis en apercevant un visage familier non loin. Il ne manquait plus qu'elle pour faire de cette soirée un véritable calvaire... La mine sombre, je la rejoignis, après que le barman m'ait indiqué que le Martini Pomme était de sa part à elle. Héra. Evidemment, elle se montra condescendante. Evidemment, j'ignorai superbement ses piques, passant une main dans mes cheveux doux et magnifiques.

"Ma pauvre, je me demande comment tu fais pour oser mettre le nez dehors avec cette paille sur ta tête." dis-je tout en battant des cils, faussement compatissante. "Tu devrais essayer un après-shampoing réparateur."

Elle n'y pouvait rien si elle n'avait pas été gâté par la Nature. On n'avait pas tous gagné à la loterie génétique. Apollon et moi avions raflé tous les premiers prix.

"C'est très aimable de ta part de t'inquiéter, mais je vais très bien."
ajoutai-je avec beaucoup plus de mordant. "Je me porte même à merveille. Pourquoi voudrais-tu essayer de me comprendre ? On n'a jamais réussi à s'entendre, toutes les deux. Ca ne risque pas de changer, même avec un miracle. On ne joue pas dans la même catégorie, toutes les deux."

J'esquissai un sourire parfaitement hypocrite tout en l'observant. La seule raison qui me poussait à rester dans son périmètre était de découvrir ce qui l'avait faite venir. Que voulait-elle, en réalité ? Une alliance ? Une baffe ? Une simple discussion ? Etrangement, cette entrevue redonnait un certain intérêt à cette soirée décevante.


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________________________________________ 2020-03-27, 23:37 « T'es qu'une putain d'armoire, Commode ! »


Let's play pretend, act like it goes naturally
Victoire avait eu un petit pouffement de rire avant l’observer en sirotant son verre lorsqu’elle avait parlé de ses cheveux. Elle était en forme. Digne des stupidités qu’elle avait l’habitude de lui lancer. Comme quoi certaines choses ne changeaient pas et en somme ça faisait parfois du bien, ça avait iun côté rassurant. Etrange de penser que la méchanceté d’une personne pouvait être rassurante, s’il avait encore eu des doutes, il n’était désormais plus question de douter : nous n’étions plus dans une période normale. D’un air faussement concerné, elle avait fini par toucher ses cheveux et lui répondre avec la même mine aussi faussement concerné, dite du pire des effrontés.

- Oh tu crois ? Je vais essayer alors, merci du conseil.

Non. Elle n’allait pas bien. C’était une évidence vu la puissance avec laquelle elle lui avait répondu. Victoire s’était contenté de la toiser du regard, le sourire goguenard, attendant sans aucun doute une once de franchise qui ne se décidait pourtant pas à venir. Toujours aussi têtue, toujours aussi lâche. Pour les petits coups en douce, elle répondait toujours présente, avec de grands sourires et de grandes intentions par devant, coupler de ses grands yeux de biches, mais lorsqu’il fallait parlait honnêtement, jouer franc jeu ou parler carte sur table, les absents se comptaient aisément. La réaction était loin d’être étonnante, Hera ne pouvait pas lui en vouloir. Après tout, elles n’avaient jamais entrenus de bons termes, sa réaction était plus que logique. Avec patience, elle se contenta de préciser :

- Avec Phobos non plus tu ne joues pas dans la même catégorie... ce qui ne vous a pas empêché de faire les vilains garnement et d’énervé papa...

Elle n’avait pas pu s’en empêcher, elle s’était délectée de chacun des mots qu’elle avait dit avec un sourire en coin qu’elle ne parvenait même plus à réprimer. La situation était tellement jouissive et pourtant, il fallait bien qu’elle apprenne à mettre de l’eau dans son vin car si aucune des deux ne décidait de passer outres les armes tendues dans la direction, elles n’iraient nulle part et tout ceci n’aurait été qu’une perte de temps. Et Héra avait horreur de perdre son temps, elle l’avait déjà bien trop perdu. Elle soupira avant de préciser :

- Ce que je veux dire, c’est qu’on a pas spécialement besoin de s’apprécier ou de jouer dans la même catégorie pour reconnaître la douleur quand on la voit... ou lorsqu’on la ressent. J’ai compris ce que tu avais fait et pourquoi tu l’avais fait. Que tu le veuilles ou non, ton lien avec moi s’était décuplé quand tu es devenue mère. La première fois que tu as posé les yeux sur lui. Sa première fois à vélo, son premier Noël, sa première peur, son premier chagrin... Tout ça est au fond de toi, tout ce que je comprends mieux que personne parmi les nôtres. On est pas obligé de tomber dans les bras l’une de l’autre mais on reste une famille... plus que jamais maintenant que ton fils est voué à devenir ce qu’il est censé devenir et que ça crée autant de remous auprès de tous. Je veux te comprends et je veux sincèrement te tendre la main parce que je ressens cette douleur de mère qui ferait n’importe quoi pour aider et protéger son fils, même à faire le pire... comme s’approcher de quelqu’un que tu n’apprécies pas, blesser ceux que tu aimes et... parler à ceux que tu as toujours mépriser.

Avec un grand geste théâtral, elle avait pointé ses mains vers sa propre poitrine pour bien lui signifier qu’elle parlait d’elle-même. Elle savait qu’en d’autres circonstance, elle ne lui aurait sans aucun doute donné aucun crédit, se contentant de s’en aller avant de la laisser parler et pourtant, elle était toujours là à l’écouter. Elle avait même cru percevoir que la lueur d’ennui dans ses yeux, qu’elle avait depuis son entrée dans ce bar, s’était estompé avec les premières minutes de leur conversation. Victoire avait hésité un instant avant de préciser :

- Tu n'es pas obligée de rester seule avec lui... On peut être plusieurs à tenter une solution...

Ou d'autres solutions...

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