« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Une année de sable s'était écoulée dans le sablier de la destinée. Une année que tu avais démontré ta loyauté envers ton vieil ami disparu, en gardant les règnes de sa cause. Que tu veillais sur son palais engloutit sous l'Hotel de Gravity Falls. Et que tu guettais sur celle qui détenait un pouvoir que tu convoitais peut-etre , car tu rêvais et l'enviais. Tu souhaitais sans doute etre a sa place. Mais pour exaucer ce souhait , de l'être , il fallait que tu lui dérobes ou tu demandes a tes acolytes de se salir les mains pour voler cet artefact. Mais un Djinn connait l'importance et sa faiblesse : Sa lampe et celle-ci était bien cachée. Ou ? Seul la gardienne de sa lampe et lui possédaient ce secret . Mais ton vieil ami avait quand même confiance en toi car en tant que Vizir du légendaire héro, tu avais accès a beaucoup de secrets parcheminés. Tu pouvais meme t'enrichir de connaissances et objets magiques provenant du Royaume Doré, car ton vieil ami était un collectionneur de babioles. Et dans son palais, tu pouvais t'émerveiller et venerer le pouvoir qui se faisait ressentir dans cet endroit . Mais attention au prix a payer , si tu touchais. Un voleur mérite le chatiment de perdre une main !
Mais revenons a sa disparition , la dernière fois que tu avais apercu le héro c' était la veille du jour de la Toussaint. Ce jour que tu ne pourrais jamais oublier , car une rose empoisonnée était venue te poignarder une épine dans le coeur de ton mariage avec ta Reine. Donc trop préoccupé par cet être qui charmait ta dame. Tu n avais pas remarqué la disparition du Sultan . Ni de deux de ses trois enfants , car le Donjuan était un bon divertissement , et le meurtre avait été bonne couverture a une vengeance. Mais ce jour n'était pas qu' une libération pour le mal . Mais aussi un jour une des nombreuses prophéties Agrabanaises étaient née car quand le vent vient de l'Est et que le soleil est a l'Ouest. Et s'endort dans les sables d'or . C'est l'instant envoûtant ou le Scarabée vole en tapis volant vers la magie des nuits d'Orient, avec sa sorcière ensorcelée par une magie ancienne, que seul l'amour peut libéré durant cette nuit. Mais au huitième coup de minuit, un frère maléfique serpente dans les rues de le Royaume des histoires racontés : Storybrooke , pour sa vengeance avant d'être nouveau prisonnier de sa cage qui se trouvait dans le sous-sol de l'Orphelinat. Oui un puissant mage de la mort était logé la bas, derrière une porte scellée par la magie du sang. Et celui-ci attendait chaque vieille de Toussaint avec impatience pour se venger, car pendant une année il cogitait toujours a un plan pour nuire a son frère. Et cette année, son frere avait été piégé, car il faisait trop confiance a l'amour, mais l'amour est fatale.. Le frère Maléfique avait réussit son mauvais tour grace a l'enfant maudite: Kenza Alienore Nacer.
Car pendant que l'enquête suivait son cours pour découvrir la fin de l'histoire. Le héro Aladdin mettait au lit sa descendance,car il devait s'envoler sous le ciel de cristal ou on vire délire et chavire dans un océan d'étoiles avec sa sorcière, car il avait qu'une nuit parmi milles nuits avec elle. Mais il tenait toujours sa promesse de chaque soir , a l'heure du couché , sa fille ainé avait le droit a une histoire. Elle avait le droit de raconter une des nombreuses aventures que son père avait vécu. Et donc elle espérait un jour, vivre avec lui l'une de celle-ci , car c'était son moment privilégié avec son paternel, car son petit frère prenait beaucoup de temps et d attention de son père. Ce qui déplaisait a l'enfant maudite. Et le frère maléfique le savait..
Donc il avait réfléchit a un stratagème . Donc l''enfant maudite était au bazar de légendes. Dans la grande bibliothèque du Palais de son père, elle avait choisit un roman. le pire qu entre tous. Un livre que le frère maléfique avait placé secrètement, avec l aide d un complice de son animal de compagnie Xerses , a l'insu de son frère héro, sachant que la gamine serait attiré par celui-ci , car elle entendait les voix de ce livre dans son esprit , car bébé elle avait été baptisé d'un voeu. Quand elle serait lire sa première histoire, elle pourrait réveiller son don de langue de magique et faire vivre seulement les aventures de son père.
Elle revenait dans sa chambre pour se glisser sous la couette. Sous les senteurs gourmandes de coriandre et jasmin. D'un châle de soie ou de satin , le héro couvrait sa fille de son drap. Et la musique s'installait quand on suit ce dédale, sous le charme de chaque instant, on était pris dans la danse et perdu dans la transe d une nouvelle nuit d'Orient. Ô nuits d'Arabie , au Mille et une folies. Insomnie d'amour. Plus chaude à minuit. Qu'au soleil, en plein jour .Ô nuits d'Arabie Aux rêves infinis. Pays merveilleux .De fièvre et de feu . Secrets mystérieux Ton chemin te conduit vers le mal par le vœu magique que tu détiens , et laisse le mal progresser.. À cet enfant de choisir son destin mais un seul humain peut ici entrer , celui dont l'apparence dissimule la valeur d'un diamant d'innocence. Ô nuits d'Arabie . Mille et une folies viennent t'exalter .Il va s'envoler . Et tout emporter. Ô nuits d'Arabie . Au parfum de velours pour le fou qui se perd au cœur du désert fatal est l'amour. C'est ainsi que l'enfant maudite de sa voix exaucait le voeu de son oncle , celui de capturer le héro , la sorcière, le fils et la fille dans un roman ou l histoire est inversée.. ou le fameux Sauveur d'Agrabah se cache . Regarder ce qu'est devenu le grand Aladdin, dire que tu aurais pu échapper a ce destin. C est quand tu es devenu un héros que tu as commencé a décliner. Et c est toujours ce qui arrive au héro . C est le sort qui leur réserver. Tu donnes et donne. Et pourquoi ? Il cueille les fruits, il coupe les branches. Et tout ce qui reste c est cette source tremblante. C est pour ca que l histoire d un héro ne se termine jamais par cette formule. Et ainsi ils vécurent heureux pour toujours. Une prophétie de Jafar dans ce nouveau monde cree par un voeu...
Pendant ce temps au Royaume des histoires racontés.. Aladdin était il devenu un Prince oublié ? Tant qu'il vivra dans les coeurs, on ne pourra pas l'oublier.
Le jour du Toussaint, le lendemain de ce jour, un vieil homme a l apparence clocharde était venu cogner a la porte avec un turban et le bouquin t'expliquant la situation..C etait Fasir un vieil ami de la famille. Ce turban symbolisait les responsabilités de ton role de Vizir . Veiller sur son héritage de Sultan ! Tandis que Morgariana, une amie d enfance veillait sur sa seconde fille. Et sur son père adoptif, a qui elle avait demandée de continuer a vivre malgré la disparition de son fils. Jusqu'a jour ou le bouquin maléfique , après cette année écoulée se mettait a rayonner et a trembler... Toi Gardien du bouquin comment allais tu réagir ?
« If the crown should fit, then how can I refuse? »
| Avatar : Rufus Sewell
- Pour ma victoire? C'est adorable, trésor... Même si en toute modestie, je dois admettre, qu'au-delà de cela, je suis un prestigieux modèle pour mes concitoyens"
(Alexis pense-t-elle qu'il est parti trop loin? Sûrement! On approuve)
| Conte : Coeur de Princesse/Le Prince et le Pauvre | Dans le monde des contes, je suis : : Preminger
Vivre dans les toiles d’un mensonge consistait une existence bien ternie par le manque de sincérité. Il paraissait que les personnes qui l’éprouvaient en souffraient au point de remettre en cause leur appétit pour ce monde. Encore fallait-il en être conscient. Eprouver et percevoir la toile qui nous engluait...Souvent sa découverte causait bien pire maux que son étreinte. Pour ses victimes, cela équivalait à émerger d’un rêve pour ne découvrir que du vide d’une profondeur si affligeante qu’il les effrayait. Tellement que parfois certains ne formulaient qu’un souhait, celui de se rendormir dans leur quotidien qui les étreignait. Sa familiarité les rassurait, l’inconnu qu’il dissimulait leur donnaient le vertige. Leur causaient une trop grande peine. Ils rêvaient éveillés et s’abimaient dans leurs mensonges. Pour celui que la vie avait fait Ministre puis Roi, les mensonges possédaient l’apparence de vieux amis, il ne s’y empêtrait pas, il les tissait autour de lui comme un orfèvre puis les disposait à sa guise sous l’apparence d’innocents rubans qui venaient se nicher autour des êtres qu’il fréquentait. Parfois, lorsqu’il contemplait le fruit de son labeur, de ses manigances il lui semblait être un marionnettiste, un être divin supérieur capable de faire valser les vies à sa propre guise d’un geste ou d’une parole. Cependant, malgré la quasi toute puissance dont la vie l’avait comblée, il demeurait un point pour lequel il se jugeait objectivement insatisfait. Oh, connaissant l’homme, son existence entière se dévorait d’insatisfactions nouvelles qu’il comblait jusqu’à ce que d’autres, différentes apparaissent et cela dans un cercle sans fin. Preminger était un homme dévoré par l’Ambition. Le désir de posséder et l’absolue conviction de mériter chaque demande qu’il faisait chaque jour à la vie. S’il avait possédé un pouvoir ultime, il n’y aurait eu requête qui n’eut pas trouvé grâce à ses yeux. Il aurait volé l’éclat du soleil pour s’en dorer la peau, parfumé ses apparats des mille senteurs de ce monde, subtilisé la blancheur d’albâtre lunaire pour en resplendir son apparence. Il aurait désiré et obtenu chaque pierre de l’univers, dédaigné la poussière pour exiger l’or et aurait souhaité la poussière lorsqu’il aurait possédé tout l’or. Perpétuellement plongé dans cette quête et ce besoin d’absolu que son être si chéri exigeait. Mais tout cela ne se pouvait qu’à condition de posséder ce qu’il n’avait pas. Le pouvoir. O à son coeur défendant, il tenait le pouvoir par les ruses de son intelligence. Mais la magie lui avait été refusée. De par la faute d’être né dans un monde qui en était dépourvu, il ne pouvait prétendre à la saisir ou s’en rendre maître. Mais il était une légende qui contait l’histoire d’une lampe merveilleuse et de ses vertus. Gardienne d’un secret enchanté et de trois souhaits offerts à qui l’obtiendrait. Preminger connaissait cette histoire pour l’avoir lue dans son enfance comme un lot d’autres contes de fées que ses parents gardaient dans un ouvrage d’enfants. Le mythe n’était pas méconnu. Il avait traversé les déserts et les continents pour répandre sa magie et sa chaleur dans chaque oreille suffisamment à l’écoute pour le percevoir. Erwin ne croyait pas spécialement aux fables mais lorsque la ville qui vous abritait faisait corps et chair de ces odyssées, comment ne pas espérer ? Plus encore lorsque le protagoniste de cette dernière se trouvait là à portée de main. Plus que par nécessité, l’ancien Premier Ministre tendait vers cette source de mystère par simple caprice. Mu par cette absolu amour qu’il se portait à lui-même, subjugué par sa propre beauté, il voulait s’accorder toutes les beautés que l’existence prodiguait en ce monde, il voulait s’offrir le Monde. Parce qu’au delà de son enveloppe charnelle, faite du prodigieux attrait qu’on ne pouvait nier, son âme se livrait à la Vanité. Ce fut la raison pour laquelle, il broda une superbe toile à l’effigie du Prince du Désert et prit plaisir à l’enrouler plus encore étroitement à chaque entrevue qui lui fut donner de faire en sa compagnie. Le Scarabé d’Orient et Lui-Même possédaient des facettes similaires qu’il n’eut qu’à mettre en lumière pour provoquer l’amitié qui se développa entre eux, prenant grand soin de maintenir cachées les ombres de sa propre personne pour n’éveiller chez son ami qu’une franche confiance. Le possesseur de la Lampe et son Serviteur étant à présent fusionné, il ne lui avait pas fallu énormément de temps pour comprendre qu’il ne la possédait plus. Le Roi d’Agrabath était Serviteur d’une main qui n’avait qu’à frotter et exiger pour qu’il soit tenu à ses demandes. « En lieu sûr ». La seule localisation qu’il avait pu soutirer de la bouche du souverain de l’Empire des voleurs -titre qui aurait dû lui échoir – était cette vague précision. Autrement dit, la certitude qu’il avait confié la lampe entre des mains amies qui n’étaient pas les siennes.
Lorsqu’Halloween 2019 se profila à l’ombre de leurs vies, elle jeta sa cape de maléfices individuelles dans les existences qu’elle croisa ce soir-là. La vie du notaire se gorgea de jalousie tandis que la puissance du langage avait raison de son ami de circonstance. Tout occupé au sang, à la colère et aux maux qui emportent le corps et la raison, Erwin ne l’avait pas remarqué. Pour ainsi dire, il l’avait évité. Ce n’était qu’aux aurores du jour suivant que l’information s’était déplacée jusqu’à lui. Un gueux à sa porte, il avait manqué de refermer sauvagement, tout méfiant et craintif qu’il était face à la démonstration humaine de la pauvreté. Cependant, quelque chose l’en avait dissuadé. Il n’aurait pas écouté le discours du clochard s’il n’avait pas vu le turban et le livre que ses mains comprimaient. Et ainsi, écouta les oraisons que l’on lui livra, et s’empara des objets maudits que l’on lui tendait avec une certaine réticence. Un turban. Ses envies de pouvoir ne se tournaient pas vers l’Orient spécialement, mais il ne put résister à l’envie d’essayer de le mettre sur sa tête, une fois calfeutrée dans un lieu connu par lui seul. Comme il fallait s’y attendre, cela lui seyait. Beau à faire pâlir mille et une danseuses orientales. Il tenta de s’imaginer calife, jonché sur un chameau ou un éléphant, paradant dans les rues commerçantes…. De son ancien monde, le monde dont venait Ali existait pour lui, la magie n’était que légende mais les alentours bien réels. Ils ne l’attiraient pas spécialement, peu friand des costumes trop simples et dénudés qu’offraient ces coutumes. Mais il ne lui déplaisait pas d’en être le Roi également. Son «ami » et l’ensemble de sa famille étant enfermés dans la reliure d’un ouvrage, c’était tout comme. Il avait investi son Palais secret pour tenter d’en tirer l’ensemble de ses mystères, se rassasiant de l’ambiance ancestrale qui y régnait. Pour un fils de paysan, l’aura du pouvoir se ressentait dans chaque pore de son être, ici au coeur de l’essence des djinns, c’était autre chose qu’il percevait. Une autre source de supériorité, quelque chose d’inaccessible. Il avait passé des soirs à fouiller chaque pièce à la recherche de la lampe. Vaine quête, vaines escapades infructueuses. Cependant, n’en n’était pas ressorti aussi pauvre en connaissances qu’on aurait pu le croire. Faute d’exercer la magie, il s’était documenté sur les moyens de la saisir. Avait dévoré chaque bouquin, chaque ouvrage des lieux, les avaient photocopiés également afin que chaque parchemin demeure en copie dans ses archives personnelles. Ce qu’il avait saisi une fois demeurait à jamais siens. Il avait fait expertisé quelques objets sans parvenir néanmoins à s’assurer de leur usage à son profit. Trop méfiant d’un éventuel retour de son ami et prince des sables. Parfois y songeait-il le livre maudit hermétiquement clos sur ses genoux. La tentation de le laisser aux proies des flammes se présentait à lui. Éliminés ainsi, jamais plus leurs retours impromptus ne viendraient gâcher ses plans et de facto il régnerait sur cet empire. Ceci dit, plusieurs choses avaient arrêté son geste avant que sa main ne vienne à faire tomber l’ouvrage dans la fournaise. Avaient-ils brusquement ressentis la chaleur ? Peu importait, il ne l’avait pas fait. Non pas que la notion d’amitié ait réellement produit effet dans le coeur du ministre mais… En réalité, il ignorait les conséquences de ses actions. Et plus encore, Ali demeurait plus utile vivant que mort, pour l’instant. Il lui faisait confiance, ce qui était un tort pour le premier mais un inaltérable profit pour le second. Au pire ne reviendrait-il jamais au mieux, il reviendrait plus confiant qu’autrefois dans sa loyauté. Il avait dissimulé le livre à son épouse, trouvant que seul les dédales du palais d’Aladdin offraient la sécurité nécessaire à sa conservation. Il ne voulait pas que Georgia le trouve et se mette à poser des questions auxquelles il aurait été bien en mal de répondre. Ou peut-être aurait-elle cru l’ouvrage ordinaire ou vide d’intérêt et en aurait fait cadeau à une bonne œuvre. Bien évidemment, l’idée de se confier à elle au sujet du périple du Prince des sables n’effleurait pas ses esprits. Elle reprocherait qu’il n’ait pas tenté plus pour l’en délivrer et aurait eu tôt fait d’ameuter le quartier. Peut-être cela aurait dû être la réaction appropriée. S’il s’était trouvé piégé dans un livre, la pensée de ne pas être secouru aurait été insupportable. Mais, il n’avait pas été sot pour s’y faire piégé. D’ailleurs, il ne savait absolument pas quoi faire pour solutionner la situation. Il avait parcouru le livre, tenté d’écrire à l’intérieur rien n’y avait fait. Il fallait attendre.
Alors, le temps s’était écoulé. A vrai dire, hormis la connaissance nouvelle qu’il avait accumulée, Erwin n’avait que très peu de minutes à consacrer au sort du diamant d’innocence. Sa propre existence et ses péripéties le détournaient de cette quête qui ne le concernait pas réellement. Et aux jours succédèrent aux heures puis les mois vinrent. Petit à petit, l’esprit du ministre occultait presque le sort de son ami. Aussi fut-il fort surpris lorsqu’un soir d’avril, tandis que le soleil avait couché ses rayons sur la journée passée, alors qu’il arpentait le palais magique dans la consultation d’un grimoire, un éclat doré éclaira la pièce. Puis s’intensifia. Preminger accouru jusqu’à l’ouvrage qui s’était mis à trembler avant de reculer d’un pas, comme pris d’une insurmontable terreur. Quelque chose était en train d’arriver. Mais qu’était-ce ? Avait-il provoqué un maléfice à la lecture de ce parchemin dédié à d’obscures pratiques ? Si cela était le cas, cela était arrivé bien malgré lui. Si c’était autre chose… Le bouquin semblait s’illuminer plus encore, secondes après secondes, trembler gronder comme s’il tentait….de libérer quelque chose. Ou quelqu’un… Ali ? Ou un ennemi ? Le livre barrait la route vers la porte qui lui assurait la sécurité, alors se borna-t-il à brandir pour protection un fin poignard fuselé que le roi des voleurs conservait dans sa caverne et que le Roi trouvait à son propre goût. Un éclair fusa….La pièce éclata d’une lumière si intense qu’il s’en protégea les yeux dans un geste vif. Puis tout revint à la normale… Excepté…. Que d’autres personnes se trouvaient à présent avec lui. Le royaume d’Agrabah retrouvait sa royale parenté tandis que Preminger perdait ses dernières secondes de toute puissance. Abaissant quelque peu le poignard, il contempla l’ancien fils des rues :
- Oh…. Alors ainsi, vous revoici tous, mon ami….
Le choc et la surprise l’empêchaient de développer plus intimement son sentiment global et à vrai dire, il ne savait pas s’il en était doté. Ne savait qu’en penser. Il baissa les yeux sur la tenue d’Ali, sur son état, sa mine puis renchérit :
- Souhaitez-vous un petit remontant ? Ou vous sentez-vous prêt à m’expliquer cette étrange mésaventure ?