Surnom(s) → Dieu.    
Age → 26 ans  
 

Occupation / Emploi → Vétérinaire et comptable pour la mafia    


Votre personnage est-il tiré d'un conte ? : Oui, Alice au pays des merveilles    

Si oui, lequel et qui est-il dedans ? : Dinah, le chat trop mimi d'Alice    

   Caractère → Mégalomane ¤ Hautaine ¤ Extravertie ¤ Loyale ¤ Passionnée ¤ Rebelle ¤ Intelligente ¤ Séductrice ¤ Ambitieuse ¤ Douce (avec les animaux) ¤ Compétitive ¤ Envieuse ¤ Autoritaire ¤ Susceptible ¤ Déteste avoir tort ¤ Pessimiste ¤ Colérique ¤ Excessive ¤ Rancunière ¤ Émotive ¤ Bornée ¤ Versatile ¤ Impatiente ¤ Créative ¤ Solitaire ¤ Populaire    

Une Particularité ? → Dinah souffre d'un véritable complexe de supériorité. Elle a besoin de se sentir admirée, de juger les autres, de se sentir supérieure à eux et de critiquer tout ce que les autres font. Mais cette attitude est en réalité un système de défense face à toute la pression qu'elle ressent : depuis petite elle ne s'est jamais sentie à sa place et ses parents lui ont toujours demandé plus. Mais, bien qu'elle soit douée dans beaucoup de domaines, elle ne parvint à exceller nulle part, se sentant toujours inférieure aux autres. Pour compenser ça, elle a développée ce complexe de supériorité qu'elle affiche devant tout le monde sans exception.    

   Ma magnifique personne est née d'une portée de chats il y a de ça de longues années. Je n'eus pas beaucoup le temps de profiter de ma famille, puisque, à peine l'âge d'être adopter arrivait qu'un couple marié vint pour me récupérer. Je ne voulais pas quitter ma mère, mais elle m'avait expliquée que c'était comme ça que les choses devaient être. En arrivant dans leur maison, j'ai rapidement remarqué que je n'étais pas tombé sur la famille la plus pauvre. Ils vivaient dans une grande maison, et avaient deux filles : Alice et sa sœur. Autant je me suis rapidement attachée à Alice, autant avec sa sœur c'était plus compliqué. Alice était la plus jeune, et nous grandissions ensemble. Elle passait son temps à s'occuper de moi et faisait tout pour que je sois heureuse. Sa sœur, en revanche, était beaucoup plus froide et ne faisait pas spécialement attention à moi. Elle avait l'air de bien m'aimer, mais sans plus. Encore une idiote qui préférait les chiens sûrement...  

Un jour, alors que j'étais avec Alice et sa sœur dans le jardin, Alice partit à la poursuite d'un lapin blanc avec une montre à gousset et un veston, laissant sa sœur lire la leçon seule. Je l'avais suivie, intriguée par ce qu'il se passait jusqu'à qu'Alice tomba dans un terrier. Le terrier du lapin. Je la vis tomber. C'était étrange, le terrier semblait interminable. Au début je ne me suis pas inquiétée, attendant que ma maitresse revienne en faisant une petit sieste. Mais, à mon réveil, elle n'était toujours pas de retour. Je ne pouvais pas la laisser sans rien faire et décida de plonger dans le terrier. De plus Alice était très jeune à cette époque, étant donnée que c'était la première fois qu'elle mettait les pieds à Wonderland. Si seulement j'avais su ce qui allait m'arriver ensuite...

Arrivée au fond, je me rendis compte que cet endroit n'avait rien à voir avec un véritable terrier. J'étais dans une salle avec une toute petite porte, déjà ouverte. Alice était probablement passée par là, même si je me demandais bien comment elle avait pu passer cette porte. Pour un chaton comme moi, ce fut simple. Je me suis donc retrouvée dans un jardin. C'est là que je fis la plus étrange des rencontres. Un autre chat vint à ma rencontre en flottant. Il avait d'énormes yeux bleus et un sourire très étrange. A ma grande surprise, je vis que je pouvais parler ici, comme n'importe quel humain. Ne ressentant aucune peur face à cette étrange chat, je lui demandais où je pouvais bien me trouver. Il m'expliqua tout ce qu'il y avait à savoir sur cet endroit fascinant qu'était le pays des merveilles. Ce chat et ses folles histoires me firent oublier pourquoi j'étais venu ici à l'origine. Puis, il me tira de mes pensées pour me dire qu'il devait partir "pour guider Alice". Alice ! J'étais venue la sauver. Avant même que je puisse dire quoi que ce soit, le chat disparut. Tant pis, il allait falloir que je retrouve Alice moi même.

J'ai rapidement continué mon chemin, arrivant jusqu'à la table du Chapelier Fou. Tous prenaient le thé. En me voyant arriver, ils eurent un petit hoquet de surprise, ne s'attendant sûrement pas à voir un chat, autre que Chester. La surprise passée, ils m'invitèrent à prendre le thé pour fêter mon non-anniversaire. Quel concept étrange. Bien que ces personnages hauts en couleurs semblaient être aussi intéressant que Chester, je refusais leur offre poliment. J'avais déjà perdu beaucoup de temps et perdre Alice m'inquiétait. Je leur demandais s'ils avaient vu passer une petite blonde du nom d'Alice. Ils m'indiquèrent par où elle était partie et je me suis mis en chemin rapidement.

La prochaine étape de mon voyage était le château de la Reine Rouge. J'en suis tout de suite tombée amoureuse. J'adorais le luxe et la place, et on pouvait dire que cet endroit avait des deux. De plus, l'endroit avait l'air très bien gardé, ce qui était parfait pour ma tranquillité. La plupart des gardes ne me voyaient pas, baissant rarement la tête. Mais l'un d'eux eut la mauvaise idée de le faire. Je n'eus pas le temps de faire quoi que ce soit qu'il m'attrapa en criant "Un intrus !" Se sentaient-ils réellement en danger par un chat comme moi ? Il finit par m'emmener dans la salle du trône où je fis la rencontre de la Reine Rouge. Un tout aussi étrange personnage que ceux que j'avais rencontré jusqu'ici. Elle cria qu'il fallait que l'on me coupe la tête. Cela ne faisait pas parti de ce que j'ai prévu, et je comptais bien retrouver ma vie tranquille de chat et non pas mourir ici. J'ai rapidement sauté des bras fins de la carte qui servait de garde. J'aurais pu fuir, en mettant tous mes réflexes à l'affut, mais j'avais une autre idée. Je me suis approchée de la Reine et commença à me frotter contre ses pieds en ronronnant. Bien qu'elle soit assez réticente, elle finit par me faire une caresse. Puis deux. Puis trois. Elle ne pouvait plus s'arrêter. Qui pouvait lui en vouloir ? Mon poil était si doux. Elle commença à comprendre que je n'étais qu'un chat normal et décida de me garder comme animal de compagnie. Je pensais qu'elle me laisserait partir, pas qu'elle me garderait à vie ici ! Et, il serait compliqué de partir maintenant qu'elle ne me lâchait plus.

Le Valet de Coeur arriva, informant qu'une certaine Alice menaçait son règne. Ma Alice ? La Reine envoya ses gardes à la recherche de ma jeune maîtresse, pour lui couper sa tête. Décidément... Puis arriva une invitée. Je n'avais aucune idée de qui elle était, mais la Reine Rouge eut la folle envie d'aller faire une partie de croquet avec elle, me lâchant enfin. Elle partit dans son jardin et je la suivis, me demandant ce qui allait bien pouvoir se passer maintenant. Je reconnus immédiatement Alice. Mais, je suis rester cachée, ne préférant pas qu'elle me voit dans cet endroit. De plus, me voir pourrait faire sauter sa couverture. Heureusement, cela marcha et Alice put repartir d'ici indemne. Je pris un autre chemin, essayant de retourner avant elle dans notre monde. Ce fut le cas. Quant je revins, rien n'avait changé. Je me suis recouché aux côtés de la sœur d'Alice, attendant patiemment le retour de ma maîtresse, et heureuse de mettre cette histoire de pays des merveilles de côté pour de bon.

Ce que j'étais loin de savoir, c'était que Alice y retourna, alors qu'elle avait dix-huit ans. Cette fois, je dormais tranquillement dans la maison. A mon réveil, je partis dans la chambre d'Alice, pour la retrouver mais elle n'était pas là. Je fis le tour de la maison, puis du jardin, sans succès. Elle avait disparue. Sa famille n'avait pas l'air plus inquiète que ça. Toutes les voitures étaient ici et je savais très bien qu'Alice ne partait pas de la maison sans me rassurer auparavant. Tout cela me paraissait bien étrange. Puis, en me promenant dans le jardin, je suis tombée sur le terrier du lapin, que je n'avais pas vu depuis des années. Il avait été ouvert de nouveau, et avec lui le passage jusqu'au pays des merveilles. Voilà où Alice était donc partie. Sans y réfléchir davantage, je sautais dans le terrier. Mais, il était déjà trop tard. J'ai accouru pour trouver quelqu'un, sans succès. Puis, je réussis à les trouver, ils étaient sur un champ de bataille. Du moins, tous sauf Alice. Chester m’accueillit, m'expliquant tout ce qui s'était passé. C'est alors que j'entendis les pas du Bandersnatch. Alice arriva fièrement, chevauchant le Bandersnatch. Je me suis cachée rapidement derrière le Chapelier, ne voulant pas la bouleverser en me voyant alors qu'elle allait accomplir sa destinée. Elle s’élança, l'épée Vorpaline en main, mais un nuage violet nous recouvra...    

   Depuis sa naissance, Dinah a toujours sentie une énorme pression sur ses épaules. Étant née dans une grande famille noble à Londres, ses parents ont toujours attendue beaucoup d'elle. Elle était fille unique mais cela ne l'empêcha pas de ne jamais vraiment se sentir à sa place dans cette famille, ne se considérant pas spécialement comme une noble, et n'étant définitivement pas à la hauteur des attentes de ses parents. Elle faisait de son mieux pour les combler, mais ce n'était jamais suffisante. Dinah n'était pas mauvaise, autant à l'école que dans ses activités extrascolaires, mais elle n'excellait dans rien. Elle avait l'impression qu'aucun domaine ne lui correspondait. Elle trouvait toujours meilleure qu'elle, quelqu'un qui y arrivait sans même essayer, qui avait du "talent". De son côté, elle devait travailler jours et nuits pour réussir à atteindre la moitié du talent de ces personnes. Elle essayait tout ce qui était humainement possible : des mathématiques à l'équitation, elle voulait absolument trouver la domaine dans lequel elle excellerait. Même l'allemand était un terrain difficile pur Dinah. Et c'était pourtant ce sur quoi sa mère, en tant qu'autrichienne, insistait le plus.

Tout le mal être qu'elle accumulait ne faisant que s'accentuer quand elle rendait visite à sa cousine, restée en Autriche avec sa tante. Wilhemina était très douée, en particulier en danse. La danse pour Dinah, c'était l'une de ses activités favorites. C'était la seule activité où elle était la meilleure de son club. Pourtant, sa cousine parvenait toujours à être meilleure qu'elle. Un jour, alors qu'elles dansaient toutes les deux, Dinah décida de mettre sa vengeance à exécution. Si elle ne pouvait pas être la meilleure grâce à tous ses efforts, elle le serait par élimination. Peu importe ce que cela lui coûtait. Elle fit violemment tomber sa cousine qui se blessa. Pendant quelques mois elle ne fut pas capable de danser, heureusement. Je n'eus pas le temps de la voir danser de nouveau qu'il était temps de rentrer chez nous (l'été était terminé, il fallait donc que je rentre pour continuer l'école). Mon enfance continua et j'étais tout aussi malheureuse.

Mais, tout changea quand un cirque arriva en ville. La Monstrueuse Parade. Mes parents insistèrent pour y aller, pour étendre ma culture aux arts du cirque disaient-ils, alors que je n'avais qu'une seule envie : m'enfermer dans un endroit où personne ne me retrouverait jamais. Je finis par y aller, n'ayant pas vraiment le choix et ce fut le déclic. Toutes ces personnes avaient quelque chose qui les réunissaient, comme une véritable famille. Le cirque m'inspira énormément et après la représentation, je leur ai fais une petite visite (expliquant à mes parents que je voulais en savoir plus sur leur métier pour ma culture personnelle). Un jeune homme, d'à peu près mon âge, Thomas, m'expliqua en long en large et en travers le fonctionnement du cirque, le rôle de chacun, ce que ça faisait de vivre ici, etc. Tous les soirs après les cours, je passais le voir, et nous devinrent de véritables amis. Alors que je passais tout mon temps à me créer une façade de fille parfaite et hautaine, j'arrivais enfin à être moi-même avec lui et les autres personnes du cirque.

Mais, vint le jour où le cirque dut partir, pour continuer sa tournée. Je savais déjà ce que j'allais faire. Je pris quelques affaires de première nécessité et fugua de la maison pour me diriger jusqu'au cirque. Ce n'était pas comme si je manquerais à mes parents de toute façon. Ils seraient sûrement mieux sans moi. Thomas m'accepta tout de suite dans la troupe, et en parla même à Angus, le propriétaire du crique, qui accepta que je les rejoigne. J'avais enfin trouvé une nouvelle famille qui m'accepterait telle que j'étais. J'appris en quelques mois les plus belles figures acrobatiques du cirque et devin rapidement trapéziste. La troupe malheureusement traversait une mauvaise passe puisqu'elle se réduisait petit à petit, ne laissant plus que les "monstres". Par chance, Thomas restait toujours à mes côtés. Puis, il y eut la nouvelle de la mort d'un de ses proches. Nous nous rendîmes en Irlande, lieu où avait grandi Thomas. Il hérita de la fortune de son amie et eut une idée des plus surprenantes. Il m'en fit part rapidement : Racheter le cirque à Angus. Je l'ai encouragée dans son idée, sachant très bien qu'il ferait un bien meilleur propriétaire qu'Angus. Ce dernier accepta. Nous continuâmes alors à faire le tour de l'Europe, avec tous les changements que Thomas mit en place.

Puis, arriva le jour où nous nous rendîmes en Autriche. Dans une ville que je connaissais particulièrement bien. Celle où habitait ma tante et ma si parfaite cousine. On devait s'arrêter ici pour faire quelques performances. L'un des soirs, j'aperçus ma cousine dans le public. Elle représentait tout ce que j'essayais de mettre derrière moi. Elle était là, assise tranquillement, à me regarder faire mes acrobaties. C'est à ce moment que le destin décida de me punir pour e que j'avais fait à ma cousine, des années auparavant. Particulièrement déconcentrée par la présence de Wilhemina, je loupais la grande acrobatie. Celle que je faisais depuis presque trois ans. Il y avait de cela longtemps que le filet avait été enlevé, pour rajouter de la tension dans le public et parce que Thomas croyait parfaitement en mes capacités. mais ce soir là, ce ne fut pas le cas. Je m'étais écrasé sur le sable du cirque. Tout le public se leva, choquée par l'événement. Thomas sortit des coulisses et se précipita à mes côtés. Je ne sentais plus mes jambes. Quelqu'un appela les urgences et on me prit en charge rapidement, fort heureusement.

Thomas resta quelques semaines à mes côtés en attendant que je me rétablisse, mais il fut obligé de repartir sans quoi le cirque ferait faillite et il perdrait tout. Pendant ce temps, ma chère tante avait prévenue mes parents que j'étais en Autriche, ils vinrent à ma rencontre. Leur première réaction en me voyant fut de me frapper et de m'insulter pour être parti autant de temps sans donner de nouvelles. Comme s'ils en avaient quelque chose à faire. Ils me ramenèrent en Angleterre, car les soins y étaient meilleurs, apparemment. Au bout de quelques mois, j'étais de nouveau sur pied, après quelques temps à être constamment dans un fauteuil roulant. Mais le médecin me prévenu tout de suite : je ne serais plus en état de faire quoi que ce soit avec mes jambes de ma vie. Adieu la danse, le trapèze, même la course. C'était déjà un miracle que je puisse marcher, il ne fallait pas trop que je pousse sur mes jambes. Il me conseilla aussi d'utiliser une canne, en particulier au début, et que je devrais garder le fauteuil roulant en cas de problèmes.

Puis, je finis le lycée avec les quelques années de retard que j'avais pris. C'était l'occasion pour moi de fuir de nouveau de mes parents. J'étais restée en contact avec Thomas, il était maintenant aux États-Unis et décida donc de le rejoindre. Je rejoins donc le cirque de nouveau, plutôt là en tant que soutien émotionnel puisque je ne pouvais malheureusement pas faire grand chose. Au moins, cette fois, j'avais encore l'argent de mes parents puisque j'étais parti avec leur accord, donc je pouvais subvenir à mes propres besoins. A côté je m'inscris pour des études de vétérinaire à distance. Puis, arriva le jour où nous sommes arrivés à Storybrooke, et où la malédiction fut levée.    

   Me rappeler de ma vie dans le monde des contes ne changea pas grand chose pour moi. J'étais ravie de savoir que Thomas était en réalité Chester, qui était déjà mon ami aux pays des merveilles. J'avais souhaité rechercher les autres membres de Wonderland, en particulier Alice durant des années. Je me désinscris des cours à distance et m'inscrit à la place à l'université de Storybrooke, maintenant que le cirque restait dans la ville, je fis la même chose. J'avais aussi trouvé un petit travail, dans lequel je me rendais après les cours. Je n'avais pas spécialement besoin d'un salaire, mais j'avais besoin de m'occuper. La vie suivait son cours. Rester à Storybrooke me fit le plus grand bien. J'avais l'impression d'être avec des personnes qui pouvaient comprendre qui j'étais.

Je commençais à m'ouvrir un peu plus au monde extérieur, essayant d'être moins méchante avec les autres qu’auparavant. Je finis même par tomber amoureuse. Un superbe homme, qui prenait soin de moi et qui m'acceptait comme j'étais. J'adorais passer du temps avec lui. Alors que nous étions bientôt à notre première année de relation, il fut porté disparu. J'étais certaine qu'il reviendrait, qu'il était juste parti quelque part et s'était perdu. Au bout de quelques semaines, l'espoir commença à disparaitre petit à petit. Pile deux semaines suivant la publication de sa disparition, j'entendis sonner à ma porte. Un colis. Personne. Étrange. Excitée à l'idée qu'il pouvait contenir des nouvelles de son petit-ami, je n'ai pas hésité à l'ouvrir. Je l'ai relâchée à la seconde où j'ai vu ce qu'il contenait et vomit sur le coup. Une tête. Celle de mon copain. Je commençais à pleurer tout ce qui pouvait humainement sortir de mon corps, sur le pas de ma porte. Quelqu'un vit la scène et vient à ma rencontre. Le pauvre ne souhaitait que m'aider mais je n'avais envie de voir personne. Je le repoussais, mais il était coriace. Il resta à mes côtés. Il regarda dans le colis, à son tout, alors que j'essayais de lui expliquer ce qu'il s'était passé, et vit qu'en plus de la tête découpée de mon copain, il y avait un mot. Il me le lit : "Ce n'est que le début..." Mes larmes continuèrent à couler, encore plus vite. Qu'avais-je bien pu faire pour mériter ça ? Je savais que je n'avais pas toujours été un ange, mais de là à tuer la personne qui comptait le plus à mes yeux ? Je ne comprenais pas...

Les jours qui suivirent furent les plus endurants. Je m'étais enfermée chez moi, sans en sortir pendant au moins une dizaine de jours et refusant toute visite. Je mangeais à peine, seulement pour survivre. Je n'avais la force pour rien faire, j'étais trop occupée à culpabiliser. Ce qui était arrivé à mon copain était entièrement de me faute. Quelqu'un m'en voulait et s'était vengé sur celui qui m'était le plus cher. Mais, j'ai été lâche. Je pris tous les médicaments que j'avais et les avala tous en même temps. Je voulais en finir. Ce qui se passa ensuite était flou. Je me suis réveillée sur un lit d'hôpital, Thomas à mes côtés. Il avait l'air particulièrement inquiet. Tout cela me donnait un air de déjà-vu. Le médecin arriva m'expliquant ce qui s'était passé, que je m'étais évanoui après avoir avalé tous les médicaments. Fort heureusement, le mélange n'avait pas laissé de séquelles et Thomas m'avait retrouvé rapidement. Depuis qu'il avait su pour mon copain, il passait souvent chez moi, si ce n'est juste pour entendre ma voix et vérifier que j'allais bien, puisque je ne voulais voir personne. mais si je l'envoyais bouler, c'était déjà une victoire pour lui. Cette fois, il ne m'entendit pas et rentra dans la maison pour me voir évanouie sur le sol. Il m'avait sauvé la vie.

Depuis, j'ai réussie à avancer, sans vraiment avoir de nouvelles de la personne qui avait tué mon petit-ami. La police avait fermé l'affaire, par manque de preuves. Mais moi, j'avais décidé de ne plus jamais laisser personne rentrer dans ma vie. Tout le travail que j'avais fait sur moi depuis que j'étais arrivé dans cette ville partit en fumée, j'étais redevenue celle que j'étais avant : une personne envieuse, colérique, mégalomane et méchante. Mais, je ne faisais cela que pour me protéger. Et pour protéger les autres. Je m'éloignais même de Thomas, qui avait été pourtant toujours là pour moi, trouvant une excuse pour briser son amitié. J'étais certaine qu'il n'y avait pas cru une seule seconde, mais je voulais m'éloigner du plus de personnes possible. Je ne voulais jamais ressentir la peine que j'avais ressenti auparavant. En parralèle, je finis mes études de vétérinaire et ouvrit mon propre cabinet de vétérinaire. Bien qu'au début, la clientèle n'affluait pas, je réussis à me faire un nom dans le métier, en particulier grâce à la mafia qui m'avait racheté le cabinet (que je pouvais diriger comme je l'entendais) en échange d'un peu de blanchiment d'argent. Tout commençait à enfin aller un peu mieux pour moi.

CREDIT

Administration    → Célébrité de votre Avatar : Emma Roberts aka la meilleure actrice de tous les temps    → Est-ce un poste vacant ? : Nooop    → Multicompte ? : Yas queen     Entre nous    → Pseudo / Prénom : Antonin, l'homme le plus beau de la terre et du monde entier    → Votre avis sur le forum : still the same old question !    → Comment l’avez vous découvert : ça te regarde ?    → Si vous deviez choisir entre héros, vilain, magique, prince(sse), ancien animal, rebelle ou divin pour votre team vous choisiriez quoi ? : Ancien animal, of course !    → Le mot de la fin : Meow ?

Re-bienveeeeenuuuue !!!

Citation :

Surnom(s) → Dieu.

Au moins c'est clair !

Mdrrrr j'avoue

Re-Bienvenue à toi

Merci vous deux

Faut tout de suite poser les bases Au moins ils savent tout de suite à qui ils ont affaire

Mon Diiiieeeuuuuuuuu Dinaaaaaah ! À chaque fois que je lis ce nom, je le lis avec la voix d'Alice qui l'appelle

J'adore ! Rebienvenuuuue

Mais ouiii Alice est beaucoup trop fan de son chat Logique en même temps, quand on sait que le chat c'est moi

Content que ça te plaise De toute façon après avoir joué tous les personnages de Wonderland, il me restait plus que Dinah Merciiii

Ma chère cousine préférée est lààà Je t'aime déjà grosse peste

Crève Avec tout l'amour que j'ai pour toi bien sûr

ELLE EST ARRIVEEEEEE


Bon tu le sais je suis hyper contente que tu rejoignes la team wonderland (oui y a que moi dedans mais elle va s’agrandir Jette un regard du coté de Licia ) et en plus en prenant Dinah

J'aime cette petite chatte (dis comme ça c'est particulier ) elle est tellement choupi et trognon et biiiiitch Pas pour rien qu'on se ressemble

Alors si tu as des questions n'hésite surtout pas et je te souhaite la Reee Bienvenu parmi nous

Tout cette excitation ça me fait super plaisir Je suis ravi d'arriver aussi

Merci beaucoup en tout cas Impatient que la team s'agrandisse et qu'on fasse plein de trucs géniaux tous ensemble

Alors comme ça on aime les chattes ?