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 La nuit avant pâques, on dit Joyeux Noël. [Fe]

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Jack Frostenson
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Jack Frostenson

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Tout se casse la gueule, de partout. Mais j't'assure. Ca va très bien!

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| Conte : Les Cinq Légendes
| Dans le monde des contes, je suis : : Jack Frost

| Cadavres : 197



La nuit avant pâques, on dit Joyeux Noël. [Fe] _



________________________________________ 2021-03-31, 15:05


           


Dernier round
Joyeux Noël Pâques !









Précédemment.

« Je pensais que tu étais encore amoureux d’Alexis. Tu sais…Alexis c’est mon amie…et tu es son ex…Je…sais pas si c’était une bonne idée ce baiser. »


Je me figeais. J’étais au milieu de la route, mon bâton à la main. Je la regardais. Sans rien dire. J’avais pris une gifle. Qu’est ce qu’elle en savait ? Que j’étais amoureux ? Et qu’est ce que ça pouvait bien lui faire ?
Ma mâchoire se contracta. De déception, de mépris, et même de rage. Je baissais la tête et j’enfilais la capuche de mon manteau bleu ciel. Mon bâton scintilla et la neige commença à tomber.

« T’en sais rien. T’as juste la trouille. Dans la vie, on avance. »


Puis, sans un mot de plus, j’avais désigné la route avec mon bâton. L’air se faisait de plus en plus froid. Mais j’en avais besoin pour me sentir bien. Je me moquais pas mal que Violette ait froid.

« Storybrooke, c’est tout droit. »


Puis, sans un mot, je m’étais élancé dans les bois. Sautant dans les airs, j’avais fait apparaître une piste glacée et j’avais disparu dans les bois plus vite que le vent.
J’avais couru, j’avais glissé. Longtemps. Combien de temps, je n’en savais rien du tout. Au bout de quelques temps, je me rendis compte que je m’étais perdu. Il faisait nuit. Seul la lune brillait au dessus de ma tête. Ronde, je l’observais, les genoux joints devant moi.

« J’ai donc pas l’droit à un peu d’bonheur ? »


Dimanche 4 Avril, en plein milieu de la nuit.


Le plus dur quand vous voulez faire une blague, c’était d’aller au bout. Nous étions en pleine nuit, et je devais aller vite. Aussi je m’étais bien préparé. Non loin du magasin d’Aster, j’avais commencé par installer un espèce d’enclos, avec des barrières métalliques provisoires. Au premier abord, elles ressemblaient à celles de la mairie, et vu qu’on était sur la voie public, cela n’aurait pas choqué. Pour la suite j’avais du aller très vite. J’étais arrivé, avec beaucoup de décorations de Noël, que j’avais installé un peu partout autour de l’enclos. Des guirlandes, des pères noël, des boules et des sapins. Le tout sous une neige que je m’étais efforcée de créer avec ma magie. Ca aurait pu être magnifique, sans le clou du spectacle.
Après avoir réussi à négocier avec le Zoo de Storybrooke, qui avait trouvé la blague plutôt drôle, j’arrivais avec un Renne, bride à la main, et je le mis dans l’enclos. Regardant ma montre, je remarquais qu’il était encore très tôt. Aster ne devrait pas tardé à arriver pour commencer sa journée de travail. D’ailleurs, il était peut être à l’intérieur en train de finir les préparatifs avec Anna. Mettant le Renne, qui s’appelle Rudy dans l’enclos, je me mis à la rambarde et j’observais mon petit spectacle d’un air ravi.

« Bon c’est pas trop mal. Ca va pas gâcher la fête et il va avoir une super vue depuis sa vitrine ! »


Caressant Rudy, d’un air rêveur, je l’observais tout en lui chatouillant le dessous du cou. Cette année, je n’étais pas aller trop loin. Juste un petit stand illégal avec un vrai Renne, devant la boutique d’Aster. Un Pro Noël, et un Anti-Pâques. De quoi le mettre de bonne humeur pour la journée.
Soudain, une tape me fit me retourner. D’abord je m’étais mis à sursauter. Si c’était Anna, ou pire, Aster, j’étais mort ! Finalement je fus presque soulagé de voir qu’il ne s’agissait que… de Violette.

« Ah. C’est toi. »


C’était presque dédaigneux. Je lui avais tout de suite tourner le dos. J’étais très boudeur, un peu comme un enfant. J’étais encore vexé d’avoir pris un râteau. Pire, j’étais encore vexé qu’elle ait mis ça sur le dos d’Alexis. Pourquoi ne pas avoir simplement dit que je ne l’intéressais pas.

« T’es bien rentré à ce que je vois. »


Un léger sourire en coin, goguenard, apparut sur mon visage. Comme s’il comprenait la situation, Rudy me mit un petit coup de museau sous le bras, réprobateur.

« Quoi, on a le droit d’emmerder les lapins mais pas les jeunes demoiselles qui jouent les farouches ? »


Rudy me remit un léger coup. Affectif. La neige lui faisait quand même du bien, étant plus dans son milieu naturelle. Donc il m’avait vite apprécié. Toujours de dos, je le caressais.

« Qu’est ce que tu viens faire ici ? Me dire que c’est interdit de faire des manifestations publics sans autorisations ? Ou me briser le coeur encore une fois ? »


J’allais droit au but. Ma mâchoire se serra, et la neige tomba un peu plus sur nos têtes. J’essayais de limiter le périmètre. Si je l’étendais, Pâques allait être gaché. Et pour Anna, je ne pouvais pas faire ça une deuxième fois. J’aurai brisé des heures de travail. Aussi, je me calmais un peu, et la neige diminua rapidement autour de nous, pour n’être ciblé que sur l’enclos.

« Faut que j’allume les guirlandes. »


Attrapant deux cables, je les connectais. L’instant d’après, un immense « JOYEUSES PAQUES DE NOEL LAPINOU » scintilla en rouge devant l’enclos.

« J’espère que tu cours vite. »





*Violette Parr
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*Violette Parr

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*Quelle belle bouche. STOP ! ARRETE DE PENSER*

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La nuit avant pâques, on dit Joyeux Noël. [Fe] _



________________________________________ 2021-04-08, 23:39

La nuit avant Pâques, on dit Joyeux Noël.
ft. Jack Frostenson


C’était Pâques ! Catastrophe ! Non pas que Violette n’appréciait pas cette fête. Au contraire, elle adorait le chocolat. Elle adorait en recevoir. Sauf que là, c’était aussi à elle d’en offrir, notamment à son petit frère qui continuait à faire la chasse aux œufs dans la maison. C’était un peu la catastrophe. Surtout que Violette avait remarqué cet oubli dans la nuit du samedi au dimanche ! Les magasins seraient fermés ce dimanche, c’était évident. Il ne restait plus qu’à espérer que la chocolaterie de Storybrooke serait ouverte pour les retardataires comme Vio’. C’était pas gagné d’avance. Mais il fallait tenter le coup. Tant pis pour la grasse matinée, Violette allait devoir se lever tôt.

Alors après s’être réveillée en pleine nuit, avec cette horrible information en tête, Violette s’était très vite rendormie en programmant un réveil matinal. Et quelques heures plus tard, l’Indestructible se réveilla, la tête un peu dans le c*l. Elle prit néanmoins le temps de se faire un bon petit déjeuner et surtout à prendre une grande douche chaude, histoire d’être plus fraîche…ou d’essayer de l’être !

Et une fois prête, Violette se rendit au centre-ville de Storybrooke, en bonne compagnie. Car oui, Yodi avait décidé de lui coller aux baskets. Pas étonnant…Il devait sans doute se sentir délaissé depuis quelques temps. Heureusement qu’il y avait Michoko pour lui tenir compagnie. Cependant, la personne avec laquelle il était le plus lié, c’était Violette. Aussi, la jeune femme ne pouvait pas le mettre de côté à chaque fois. Alors cette fois-ci, elle l’emmena avec elle…ce qui l’obligea à prendre son petit sac à dos Cabaïa pour le transporter plus facilement – au cas où il y avait des problèmes.

A cet heure-là, il n’y avait pas grand monde dans les rues, et encore moins un dimanche de Pâques. Aussi, Violette laissa Yodi en liberté. Ca lui faisait tellement du bien de pouvoir se balader tranquillement. La route se passa tranquillement, à pied, à l’air encore bien frais. Mais tout d’un coup, Yodi s’excita, il se mit à courir en direction de la chocolaterie sans aucune raison…apparente. Enfin, si…En se rapprochant à son tour, Violette comprit ce qui avait attiré Yodi : la neige. C’était quelque chose qu’il avait très peu connu…lui était plutôt habitué au sable. De la neige en Avril, c’était peu commun…et dans un seul endroit, c’était complètement impossible…sauf si…Finalement, Yodi revint rapidement vers Violette, la suppliant de le mettre dans son sac. Il semblait apeuré. En regardant mieux la scène, Violette remarqua le renne et un homme de dos. Yodi avait-il eu peur du renne ou de l’homme ?

Quoi qu’il en soit, Violette avait caché Yodi dans son sac. Elle s’approcha complètement du petit stand bizarre, avec une idée bien précise de celui qui en était l’investigateur. L’Indestructible tapota sur son épaule pour le faire retourner, afin d’avoir une confirmation à son hypothèse. Cependant en plus d’avoir eu une confirmation, Violette ne s’attendait pas à se prendre une claque en pleine figure. Façon de parler évidemment. La jeune femme fit les yeux ronds mais ne se démonta pas pour autant. Elle se plaça à côté de Jack, s’accoudant contre la barrière. Il voulait jouer à celui qui allait être le plus sarcastique ? Violette était très forte là-dedans.

« Oui, bien sûr. C’était il y a plusieurs semaines quand même. Merci de t’en soucier maintenant. »

Sarcasme, sarcasme. Violette observa le renne qui semblait heureux avec sa neige qui lui tombait dessus. Mais à quoi tout cela rimait ? Violette fronça les sourcils. Et ses sourcils se froncèrent encore plus lorsqu’il lui demanda ce qu’elle était venue faire ici. Elle pouvait lui retourner facilement la question…s’il n’avait pas tenter de répondre à sa place. Lui faire un rappel à la loi ? lui briser le cœur encore une fois ? Voilà. Enfin elle avait sa réponse !

« Je comprends mieux pourquoi tu n’as pas répondu à mes messages. Si je t’ai brisé le cœur ce n’était absolument pas voulu, bien au contraire. »

Clairement, Violette avait été maladroite et elle en faisait les frais. L’Indestructible leva la tête au ciel, observant la neige qui tombait plus abondamment. Apparemment, il avait vraiment eu le cœur brisé. Et ça peinait réellement la jeune femme. Heureusement, Jack sembla se calmer, au vu de la neige qui tombait en plus petite quantité.

« Allumer les guirlan… »

Violette n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’un immense panneau lumineux indiquant « JOYEUSES PAQUES DE NOEL LAPINOU » illumina la devanture de la chocolaterie.

« Pourqu… ? »

C’est seulement à ce moment-là que les neurones de Violette se connectèrent. Et c’est au moment où elle aperçut une ombre se rapprocher dans le magasin et surtout la poignée de la porte qui s’abaissait que Violette se mit à courir le plus vite possible. Sauf que Violette n’était pas Dash, elle n’avait pas une vitesse de pointe extraordinaire. Le mieux à faire était de se cacher dans une petite ruelle sombre. C’est d’ailleurs ce qu’elle fit. Si Jack aimait courir, ce n’était pas le cas pour Violette…enfin pas dans ces circonstances ! Alors elle l’attrapa par le bras et l’entraîna dans la ruelle la plus proche d’eux.

« Oh ! Ça me rappelle quelque chose ça ! » plaisanta Violette en rougissant légèrement.

Leur aventure à Poudlard, évidemment ! D’ailleurs, les choses semblaient se répéter…concernant le vomi. Là, ce n’était pas Violette qui se sentait mal, mais Yodi, dans le sac. Il faisait des bruits bizarres. Aussi, Violette déposa son sac au sol et laissa sortir la créature des sables. Et la seconde d’après, du liquide violet avec quelques morceaux de grenouille était étalé au sol…Quelques gouttes avaient touché Jack.

« Oups…j’aurais préféré que les présentations se fassent d’une meilleure façon. Jack, je te présente Yodi. »

Bon. De toute façon, s’il avait vomi, c’était entièrement la faute de Jack non ? Alors avant qu’il ne rouspète, Violette allait mettre les choses au clair.

« Bon. Je t’interdis d’en vouloir à Yodi. D’abord parce qu’il est trop mignon ! Et surtout parce que c’est de ta faute. Tu nous fais courir là alors que c’était pas prévu. Pâques est une fête géniale, autant que Noël ! Dans les deux il y a du chocolat, alors c’est génial ! » expliqua Violette avant d’écarquiller les yeux en mettant les deux mains devant sa bouche bée. « Oh ! Les chocolats ! »

Comment Violette allait-elle pouvoir acheter du chocolat dans la seule boutique ouverte ce jour…alors que son propriétaire avait certainement dû la voir et la considérer comme coupable de cette mauvaise blague. Violette plissa les yeux, les bras croisés contre sa poitrine. Elle secoua de gauche à droite sa tête.

« On va avoir un problème. »

Oh oui ! Violette osait utiliser le « on » car elle comptait bien mettre Jack dans ses problèmes

☾ ANESIDORA
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________________________________________ 2021-04-16, 17:25


           


Dernier round
Joyeux Noël Pâques !








Je la laissais m’entraîner dans une ruelle. J’étais un peu bougon. Quand son espèce de créature vomit, je me reculais légèrement et je me mis à ricaner de façon espiègle.

« Il me fait penser à sa maîtresse. Il est tout aussi mignon qu’elle quand il fait ça... »


Je ricanais encore. Oui, je me moquais d’elle. Mais en même temps, j’avais la nette impression, qu’avec elle, c’était comme si on se rencontrait pour la première fois. Elle avait oubliée qu’elle m’avait mis un rateau visiblement. Moi j’avais pas oublié. Les bras croisés, je la toisais du regard.

« Le chocolat, si tu veux mon avis, tu devrais t’en passer. »


Je continuais mon numéro, mon regard se porta sur ses hanches. Bon, elles étaient parfaites et à mon goût. Mais ça, j’avais envie que ça change au moins dans son esprit. J’étais l’esprit de la joie, mais je pouvais être farceur et mauvais si j’en avais envie. Mordant, comme le froid de l’hiver.

« Qu’est ce que tu attends de moi, dans cette ruelle ? Tu veux m’embrasser par la force ? Tu fais ça et je hurle ! »


Je l’avais pointer du doigt. Yodi quand à lui, était venu me voir. Je m’étais accroupi pour le prendre dans mes bras et le caresser. Avec les bêtes de Sab, comme son Nifleur, je n’étais pas du tout impressionné de voir des créatures sorties d’ailleurs. Levant un sourcil, je l’observais.

« Qu’est ce que tu me dis ? »


Je me penchais, faisant semblant d’entendre quelque chose. Comme s’il parlait. Bien évidemment, il ne parlait pas. Il était encore un peu patraque d’avoir vomi. Je regardais alors Violette d’un air offusqué.

« Tu es en train de me dire que certaines personnes n’ont pas le courage de s’engager dans des relations amoureuses et qu’elles trouvent des prétextes d’amitié idiots avec des exs ? NON ? T’es pas sérieux Yodi ? »


Je m’étais redressé, puis j’avançais vers elle. Je lui mis Yodi dans les bras, de manière assez sèche. J’avais un rictus mauvais. Je savais que je méritais des baffes quand j’étais comme ça. Mais je restais quand même l’esprit de l’hiver. Il ne fallait pas trop me blesser. D’un air assez triste, je la regardais dans les yeux.

« Tu pensais quoi ? Qu’on allait passer encore une belle aventure tous les deux ? Que j’allais oublier ce que tu m’avais dit ? On est peut être dans un monde des contes, mais justement. On n’est PAS dans un conte de fée. »


Je m’étais reculé, lui laissant Yodi dans les bras. Je levais le nez d’un air un peu supérieur. Hautain et agacé. Finalement, je détournais le regard, et je continuais à lui faire mal. Parce que j’avais mal. J’étais encore blessé de ce qu’elle m’avait dit.

« C’est pas si facile. Et je me suis renseigné. Je pense que c’est toi, qui a du mal à tourner la page. »

Je l’avais regardé dans les yeux. Bon, ça c’était un véritable coup de bluff. Mais en même temps, d’après mes sources, son ancien amour ne s’était pas non plus bien passé. Peut être que sur le moment, elle n’avait pas été prête et qu’elle avait préféré rejeté la faute sur moi. Si c’était le cas, c’était méchant. Si ce n’était pas le cas, c’était aussi méchant de m’avoir dit ça. Oui, j’étais vexé comme un enfant de six ans. Je serrais les dents. Maintenant je m’en voulais.
« Je… J’aurai pas du dire ça. »


Je m’étais un peu reculé, me rendant compte peu à peu de la hauteur de mes propos. Sortant mon sac à dos, je lui sortis un œuf énorme en chocolat, que j’avais volé la veille. Je comptais l’offrir à Sab, mais du coup, j’allais l’offrir à Violette.

« On est parti du mauvais pied ! Je me suis emporté ! Euh… Euh… Tu es pas si grosse que ça. Tu es très belle même. Et j’avoue que ça fait longtemps que j’avais pas ressenti quelque chose pour quelqu’un comme ça et… euh… tu es gentille, et pas méchante, et euh... »


Je m’enfonçais. J’étais totalement incohérent… Pour dire des choses méchantes, j’étais audible… Mais pour m’excuser et dire des trucs gentils, beaucoup moins… D’instinct je reculais d’un pas. Dans certaines situations semblables, autrefois, j’avais pris une gifle. Ca pouvait bien arriver.




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