Tandis qu’il montait quatre à quatre de l’escalier de la bâtisse située au coin de l’impasse de la plus petite boulangerie de Storybrooke, Erwin s’interrogeait sur les idées étranges qui habitaient parfois sa propre personne. Par propre expérience, il aurait du savoir que Nick et Nack n’avaient jamais été des lumières. Il était même le mieux placer pour le constater vu leur vécu commun. Alors pourquoi diantre avait-il pris l’initiative d’organiser leur sortie de prison ? Il connaissait que trop bien la réponse. Par une sorte de fidélité et de sécurité. Les jumeaux avaient nombre de défauts mais ils avaient une qualité viscérale dont il pouvait être certain. Ils étaient dévoués. Depuis leur rencontre jusqu’à leur séparation, pas une seule fois, leur fidélité n’avait déviée de ses commandements. « Mais il y avait eu de nombreux couacs, aussi, à cause d’eux ». Les jumeaux ne constituaient pas les meilleurs hommes de main qu’un homme de la trempe de Preminger pouvait espérer. Ils constituaient le cliché des sbires idiots, un poncif un peu trop éculé des contes de fées. Nack encore… ça passait. Il était moins stupide qu’il ne laissait présager, Erwin le savait parfaitement quand bien même ce dernier se donnait du mal pour le dissimuler. Ce qui était tout bonnement idiot. Bien évidemment qu’il avait conscience que Nack avait du potentiel, sinon pourquoi l’aurait-il sélectionné ? Nick, en revanche, ne consistait qu’en un effet secondaire gênant, indésirable avec lequel il avait fallu composer. Tant que Nack tenait son frère, la compagnie de cet imbécile heureux était tolérable. Après tout, il avait fait un excellent minier à l’époque. Le travail de l’extraction de l’or ne demandait pas de l’intelligence, seulement des muscles et il y avait donc un avantage à posséder dans sa manche un atout qui ne souffrait d’aucune prétention. Lorsque Nick s’attachait à quelqu’un, il le faisait foncièrement… Nack était plus intéressé. Mais insuffisamment pour inquiéter le ministre. Il savait ce qu’il leur devait non ? Et il avait toujours manifesté la plus grande largesse d’esprit à leur égard, jusqu’à leur permettre d’officier comme témoins à son mariage, ce qui était une récompense inestimable à ses yeux qu’être aux premières loges de son ascension au pouvoir. Après tout, ils avaient été les instruments de sa réussite ;
Peut-être que c’était cela qui l’avait motivé à tenter de les avoir à ses côtés. Ca et la réapparition fortuite d’Erika et son incapacité à localiser Anneliese et cet imbécile d’avorton de Julian. Que ces imbéciles se croient donc en sécurité… Lorsqu’il frapperait, la surprise n’en serait que plus grande. Il traversa le corridor étroit qui menait à l’escalier principal des appartements, devant une multitude de boîtes aux lettres. L’endroit était propre ; le ménage fait. C’était le minimum qu’il attendait des immeubles qu’il louait. La loge de la concierge était vide, grand bien lui en fasse. Non pas qu’il ne l’appréciait pas, il préférait néanmoins être le plus anonyme possible. Elle était à moitié sourde d’après le dossier qu’il avait lu sur elle. Mieux valait. Ses allées et venues passaient plus inaperçues ainsi. Et avec des locataires comme les jumeaux… Et leur « frère ». Il ne se faisait pas à l’idée qu’Hervé puisse être à présent un humain. Il avait eu ce même recul avec Midas..et l’avait toujours. Le temps avait beau s’écouler, rien n’y faisait, il regrettait son caniche. Il pouvait bien se remémorer des souvenirs factices de son amitié avec Jérémie Daas sur les bancs de la faculté de droit, il savait parfaitement ce qu’il en était en réalité. Son associé n’était pas un humain et ce n’était pas son ami, c’était son animal ce qui était complètement différent. Il avait beau le dissimuler, cette distinction ressortait parfois. Un animal ne pensait pas comme un humain, parce qu’il n’en n’avait que le corps. Et on ne pouvait lui demander le même attachement qu’il avait éprouvé pour son animal.
Il gravit les marches de l’escalier de service, délaissant l’ascenseur. L’appartement n’était pas situé dans les plus hauts étages et la tour d’acier lui rappelait des souvenirs trop frais dans sa mémoire. Il serra le poing dans la poche de son manteau de fourrure, agacé. Il ne voulait pas s’en rappeler à cet instant précis, juste se focaliser sur la raison de sa visite. Raison qui n’était guère plus brillante. Ils allaient l’entendre ! S’ils s’attendaient une simple visite de courtoisie !
Il emprunta le couloir de droite à la sortie de l’escalier, et s’arrêta devant la seconde porte de bois. Frappa élégamment à la porte, trois coups, comme au théâtre. Détourna la tête avec fierté pour le cas où un visiteur impromptu emprunterait le couloir à cet instant précis. N’y trouva personne d’autre que sa ravissante ombre que la lumière de la fenêtre projetait sur le mur principal. Sa silhouette bien qu’agrandie tenait une forme remarquable. Prodigieuse même. En attendant la porte demeurait close. Il pressa la sonnette avec un agacement croissant. Le bruit strident retentit de l’autre côté de la porte… Mais aucune suite ne fut donnée. Peut-être étaient-ils de sortie ? Oubliant toute convenance, il colla presque son oreille sur le bois, semblant percevoir un relent de musique derrière l’interstice. Etait-ce ?
Il posa la main sur la poignée, hésitant à cogner plus fort. Autrefois, l’aurait-il fait sans ménagement, mais ici, quand bien même était-il le propriétaire de l’immeuble, il refusait de se faire remarquer… Pas après l’incident de ce jour. Ils l’avaient suffisamment tourné en ridicule… Par mégarde, sa main s’était appuyée sur la porte, tournant presque la poignée. Il fut surpris de découvrir que celle-ci n’était pas verrouillé. Les idiots ! Sans prendre plus de précaution, ouvrit-il donc la porte à la volé. Put sans encombre pénétrer dans l’appartement. Décidément, même verrouiller une porte était visiblement trop complexe pour eux… Avec tous les secrets qu’ils pouvaient tenir sur sa personne. D’un pas conquérant, il franchit le vestibule, pour effectuer une entrée fracassante à la vue des jumeaux…

- Messieurs, bonjour…Quel merveilleux jour pour des retrouvailles, n'est-ce pas?

Il plissa les yeux cependant dès qu’il les découvrit. Ciel ! Quel cataclysme avait-il bien pu relâcher par mégarde dans la nature ?

Except there's one little problem, boss.

Aujourd’hui c'était un jour exceptionnelle pour les Twins Sacabeu pourquoi ? parce qu’il avait l’appartement à eux tout seul ! Alec avait dû partir faire des courses donc champs libre pour faire l’entrainement quotidien du matin pour Nick… On va pas se mentir… Nack était pas trop réceptif pour ce genre d'entraînement à deux franc cinquante. S’il pouvait s’en passer ça aurait été avec plaisir. Mais qu’est ce qu’on faisait pas pour son petit frère hein ? Donc c’est de bonne humeur que Nick avait mit la musique; Soundtrack : Eyes of the tiger c’est toujours bon de faire un entraînement dans de bonne condition. Et pour cela il avait prit un bon petit déjeuner ! Fait un rapide coucou à ses truites dans le jardin. puis, il avait enfiler un kimono rouge et une ceinture blanche. Voyez l'élégance… Nack avait fait tout autant avec un kimono blanc avec une ceinture verte pour lui faire plaisir. Se mettant en position de combat. Sur le pseudo tatami… Parce que déjà y en avait pas et c’était le sol normal. Délimiter par des coussins. Et ainsi faire 14 méthodes de self défense entre amis. Video

-Premier moyen de self défense quand une personne vous menace d’une arme que faite vous ?
-Euh.. je sais !

Démonstration Nack était en train de pointer son revolver de plastique sur la tête de Nick ce dernier leva les mains en l’air !

-Esquive de la tête tournoyante ! dit-il d’un mouvement rapide de sa tête pour faire tomber l’arme au sol. Désarmant ainsi son adversaire. Nick lui donna un coup dans l’estomac juste après, Nack se plia un léger moment ce con ne retenait pas ses coups ! Puis après Nick fit la technique du tigre bondissant.

-deuxièmement, une personne vous pointe une arme sur vous que faites vous ?

Nack continuait encore de pointer son arme qu’il avait récupérer un peu plus loin pour menacer son frère après s'être remis de son coup dans l’estomac. Rapidement Nick, relève les mains attrapant ainsi le revolver avec la bouche cette fois-ci, il pivota la tête sur le côté donnant une attraction au revolver et Nack pour lui montrer que son frère était très fort dans ses rêve bien sur. Nack fit donc une pirouette. Seconde option réussi il lança le pistolet en l’air pour le rattraper. Le troisième mode de self contrôle: The Backward slice Nack se retrouve avec un revolver après s’être relevé, Nick sort de sa poche un couteau. S'enchaîne un duel sans queue ni tête dos à dos puis ils avancent, Nick trichant à moitié toujours derrière Nack. Ce dernier se retourne et Vlan Nick fait semblant de lui trancher la gorge, Nack tombe donc au sol. Position du tigre bondissant dans toute sa splendeur. 4ème méthodes de self défenses: The Check your windows Limite s'était video gage leur merde. On pourrait penser que c’était un jeu pour que Nick ne se fait pas chier. Heureusement qu’il a un frère comme ça… Donc nous reprenons Nack s’était relever comme un chef, avec le fameux revolver pointé sur Nick. Ahaha le petit débile ne se laissait pas démonter et appuya sur le cran pour ainsi faire tomber le chargeur comme ça plus de balle. Nack regarda le truc tomber, et Nick en profita nouveau coup dans l’estomac et paf un autre coup dans la gueule. Décidément… Nack prenait cher sur le coup. L'entraînement pour que son frère puisse se défendre seul... Fallait en payer le prix. Pour finir position du tigre comme quoi Nick était trop fort. Les rôles s'inversent donc

5ème méthode : Make It rain Nack pointa son revolver sur Nick quand ce dernier leva les mains l’air. Nick pointa son regard sur le revolver encore tout se passait un peu au ralenti Nick avait eu une idée... il en profita pour se saisir de l’arme en question pointant donc l’arme sur son frère qui paniqua quoique heureusement que le chargeur était vide… avec Nick fallait s’attendre à ce qu’il appuie sur la gâchette sans faire exprès. Bref, Nack fit mine de paniquer donc tout en lui donnant son portefeuille avec de l’argent à l'intérieur. Nick regarda à l'intérieur et prit les sous tandis que Nack recula avec le revolver pointé sur lui. C’était amusant à regarder… Nick regarda les billets les jeta au sol. avec la pose du tigre et ainsi de suite jusqu’au 14 : The Slow-mo Takedown ou l’action se passa au ralenti complet Et c’était à ce moment-là que le boss arriva … Ah pour être fameux c'était fameux. Nick se retrouvait au sol à faire des ralenti un peu à la con pendant que Nack restait sur place. Pour finir Nick donna un coup à Nack qui tomba au sol.

Messieurs, bonjour…Quel merveilleux jour pour des retrouvailles, n'est-ce pas? Hmm… c’était embêtant la.. le boss avait vu cette scène quelques peu gênante. Nack s’était relever rapidement et Nick tourna la tête en étant au sol

-Monsieur Preminger…
-Oh Salut Boss… vous venez vous entraîner avec moi ?

Nick se releva rapidement à son tour, il avait fait un dessin pour son boss mais, il fallait qu’il aille le chercher. Sur ce Nick s’était approcher rapidement d’Erwin.

-Vous m’avez manquer patron dit-il en pétillant des yeux, tandis que Nack remettait simplement ses cheveux en place.




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Ce que Preminger remarqua en premier dès son entrée c’était la musique tonitruante qui rugissait dans tout l’appartement, de quoi faire trembler les murs ! « Eyes of the tiger », sa culture Storybrookienne lui donnait la référence même s’il avait toujours eu mieux à faire qu’observer des hommes se cogner dessus à grands coups de gants de boxe, jusqu’à se défigurer. Il sourit à cette pensée, Gajeel n’aurait pas été content, nul doute que Rocky devait être si ce n’est une idole sinon un personnage connu de son imaginaire. Nonobstant ce fait, c’était un véritable tintamarre et ses précieuses oreilles ne supportait pas un tel boucan. Il chercha donc instinctivement l’origine du son, prêt à se jeter sur la télécommande pour faire cesser ce son ou à abaisser le bouton de la radio. Quel manque de savoir vivre ! Pourquoi aurait-il été surpris ? C’étaient des enfants de la plèbe après tout, sans éducation autre que celle qu’il leur avait donné bien malgré lui en les employant, des rustres.
Le son étourdissait presque ses tympans, qu’il en fermait presque les yeux, manquant de perdre l’équilibre contre un coussin qui ornait le sol. Il se rattrapa de justesse à l’angle de la porte et écarquilla les yeux devant le spectacle qui s’étalait devant lui. Lamentable spectacle à vrai dire et pourquoi en aurait-il été autrement. Qu’avait-il pu penser ? Que la malédiction les doterait non pas de deux-moitiés de cerveau mais chacun d’une intelligence individuelle ? Vraiment ? Il y avait cru ? Pas du tout. Mais son existence s’était incroyablement habituée à ne plus être saisie par leur stupidité, surtout depuis des années d’absence. Incroyable comme quelques secondes pouvaient le projeter subitement des années en arrière. Il observa Nick au sol, mimant des gestes incohérents, le tout en ralenti comme dans un mauvais film hollywoodien et Nack à peine plus correct. Enfin, il supposa qu’il s’agissait de Nack, curieusement la Malédiction de Regina avait décidé de réduire leurs différences au strict minimum car les jumeaux abordaient à présent la même couleur de cheveux, un carotte vif. Il espéra sincèrement que la Malédiction n’ait pas eu l’outrecuidance d’emporter avec elle le peu de cerveau dont bénéficiait Nack à l’époque, sinon toute cette démarche n’aurait servi à rien.
- Piètre démonstration, messieurs. Sauf à ambitionner postuler pour le cirque communal, commenta-t-il d’un ton désabusé, Et éteignez-moi cette musique, intima-t-il tandis que le chanteur hurlait « So many times, it happens too fast ; You trade your passion for glory ; Don't lose your grip on the dreams of the past ». Moui… Ce n’était pas totalement faux. Mais quand bien même.
Il posa le regard vers celui qui avait estimé être Nick. Il en était totalement certain à présent. Plus que son instinct, ce regard luisait toujours de bêtise et de dévotion lorsqu’il croisait le sien.
Il eut une moue dégoûtée lorsque ce sombre imbécile lui proposa de s’entraîner avec lui :

- Regarde-moi. Je suis un homme renommé, réputé même. M’imagines-tu réellement là ? M’abaissant à me vautrer par terre comme un voyou, comme un vulgaire sans-le-sou ? Je préfère laisser ça à ceux qui le font si bien.

Il dodelina de la tête avec grâce, ignorant superbement l’émotion manifestée par Nick. A vrai dire, c’était le regard de Nack qu’il cherchait à croiser. L’autre n’était rien d’autre qu’un.. comment aurait-on bien pu le qualifier ? Un divertissement ?

- Alors Nack, on fait joujou avec les armes à feu ? Persifla-t-il en ramassant l’arme abandonnée sur le sol par Nick, on s’amuse avec le matériel professionnel ? On gaspille ma généreuse gratification ?

Il forçait à peine sur le ton acerbe mais royal qu’avait pris sa voix, tandis qu’il observait les balles qui jonchaient le sol. Des incapables. Inconscients. Avaient-ils la moindre idée de ce qu’un coup de feu pouvait déclencher ici ? De l’éventuelle émeute dans le quartier ? Dans d’autres circonstances, peut-être aurait-il pu considérer qu’ils n’étaient pas familiers avec le concept d’armes mais les armes à feu et la poudre existait déjà à leur époque historique, bien que pas aussi trouvable sur le marché.
Déblayant le passage d’un coup de pied, il força son chemin jusqu’au canapé de la maison et s’y installa avec panache, ses yeux contemplant avec mépris le spectacle pathétique qui s’étalait devant son regard. Une...séance de prise de combat ? Qui avait eu cette idée stupide ? Avec la bêtise de Nick et l’incapacité de Nack à canaliser son frère, il n’y avait pas pire suggestion pour provoquer une catastrophe. Visiblement, vu la présence du revolver, on n’était pas passé loin d’une grande catastrophe même. Nack était trop faible face à Nick, cela avait toujours été un problème. Autrefois il avait pris les jumeaux tels qu’ils étaient, comme un package indissociable qu’il pouvait gérer sans peine. Aujourd’hui ? Il le pouvait encore sûrement mais la technologie de ce monde rendait l’inconsistance de Nick plus imprévisible.

- Alors messieurs ? Qu’attendez-vous donc pour mettre de l’ordre ici ? Faites-donc honneur à votre hôte.

Except there's one little problem, boss.

A dire vrai les deux frangins n’avait pas écouté au début leur chef, déjà parce que Nick était rarement ce qu’il disait, lui il avait l’attention d’un poisson rouge, limite il voit une mouche voler que ses pas l’ont déjà portée pour aller attraper la mouche qui vole. Donc autant dire qu’on ne pouvait pas compter sur Nick pour nous sauver d’une situation périlleuse. Déjà parce qu’il n’en a rien à faire, et peut-être pour un paquet de bonbon Nick pouvait faire un effort. Pour la moindre chose fallait d’abord demander à nakc s’était beaucoup plus prudent. Nack prit une position beaucoup plus adéquate. QUand à Nick, de par terre, il s’était mise en position assise.

“Faut dire que Nick à les qualités requise pour faire parti d’un cirque”
“Ca c’est vrai ! Je devrais m’engager ! peut-être qu’il sont besoin d’un sorcier ou un dompteur de lion !”

Comment vous dire que… Nick se ferait manger par le gros minou avant de dire assis. Nack en avait donc profité pour éteindre la musique pour faire un peu de silence. Parce que avec tout ce vacarme… ce n’était pas réellement possible. Établir ne serait une communication avec Nick relevait du miracle déjà il ne tenait pas deux secondes que ce dernier était déjà passé à une autre activité. Donc qu’Erwin daigne lui adresser la parole était déjà une grossière erreur de la part du boss. Il fallait toujours passer par son interprète c’est à dire Nack ou même par Alec à la rigueur. Nick le regardait simplement, le trouvant relativement beau et fascinant un peu comme une crêpe au nutella. Oui vous avez très bien compris Nick compare son patron à de la nourriture.

“Oh… oui… vous pouvez toujours essayer peut-être que vous allez vous découvrir une passion boss ? Je suis très souple comme un anguille mais vous savez boss je vous ai fait un cadeau !” Après ça, Nick c’est relever d’un coup. Pour courir dans la pièce. Nack porta son attention sur le boss, laissant se dessiner un sourire sur ses lèvres. Il fallait bien qu’il apprenne le frangin à se défendre un jour… bon cela dit.. pour le coup, c’était simplement pour qu’il se divertisse un peu. Parce que bon… c’est pas tout mais, fallait le supporter l’enfant qui se prenait pour un sorcier… voulait recueillir toutes les truites du quartier. On voit bien que c’est pas Preminger qui se le coltine à longueur de temps.

“Et bien… oui… j’essai de l’occuper un peu…” dit-il en suivant du regard ce qu’il faisait “Par chance.. j’ai retirer les balles, loin de la de s’amuser… mais il faut bien entraîner Nick, bon cela dit… y a encore du boulot pour qu’il soit plus vif…”

Nick était toujours porté disparu dans l’autre pièce à la recherche du fameux cadeau pour Erwin, on espère pour lui qu’il ne retrouve jamais ce cadeau. Nack était en train de ranger le désordre pour ne pas qu’Alec qui à son retour. Parce que un Nick qui pleure c’était encore pire qu’un Nick heureux surtout pour les oreilles et ça aurait donné des idée de noyade. Oui, il avait parfois du mal à le canaliser c’était vrai. Sauf que, on pouvait pas faire autrement avec lui. Toute personne qui se respect aurait du mal avec lui. Heureusement que Nack était patient, voir son boss poser son gros cul sur le canapé à attendre on ne sait quoi arriver… Un coussin ? Nan il attendait qu’on le sert comme d’habitude pourtant Nack n’en laissa rien paraître par respect pour son frère qui adorait son boss.

“Tout de suite monsieur Preminger !” dit Nack avec un grand sourire “de quoi avez vous besoin ? d’un verre de vin ? du thé ? tout ce qui vous ferait plaisir ?”

Nick était en train de revenir en courant découvrant donc un Preminger dans toute sa splendeur installer sur le canapé. Il s’approcha donc avec une feuille. Visiblement il lui avait fait un dessin le représentant. Ouch.. c’était du lourd, en plus d’être pas fini… il était mauvais dessinateur. Au moins ila vait essayer.

“Tenez boss c’est pour vous”

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Preminger leva un sourcil circonspect à l’entente de la proposition de Nick. Il l’imaginait déjà être peu de choses mais certainement pas un sorcier ou encore moins un dompteur de lions…

- Quant on n’est même pas parvenu à dompter le chat d’une princesse, laisse-moi en douter...persifla-t-il entre ses dents avant de pincer les lèvres, mais avec tes talents de maquillage, peut-être pourrais-tu viser clown.

Il y avait quelque chose de presque nostalgique à se remémorer quelques souvenirs du passé quand bien même l’événement en question l’avait sur le moment plongé dans un état de rage fulgurant. Penser vraiment pouvoir le berner en faisant passer Nick pour la princesse ! Déjà Nick n’avait rien de féminin, et même de très loin un aveugle n’aurait pu s’y tromper… Et cela même malgré un maquillage outracier et une serpillière pour guise de perruque ! Avant même de pénétrer dans la pièce, il avait su à quoi s’attendre… Il avait à peine jouer le jeu pour voir à quel point les deux imbéciles qu’il avait sélectionné comme hommes de main pouvaient espérer le berner. Mine de rien, il savait qu’ils n’avaient jamais mis en doute son intelligence mais s’étaient contenté de réagir par automatisme, par peur de sa réaction. Heureusement que son intelligence hors du commun demeurait en toutes situations intacte ! Et ladite intelligence hors du commun lui chuchotait que deux hommes de mains c’était bien, mais intelligents c’était mieux. Hors de question de reproduire les mêmes erreurs qu’autrefois.
Détournant son attention du regard fixe et hébété que posait sur sa personne l’ancien blond sans cervelle, il esquissa un sourire froid à l’encontre de Nack pour avoir fait cesser cette musique tonitruante de ses exquises oreilles. Il détourna néanmoins une nouvelle fois la tête vers Nick à l’entente de sa dernière phrase

- Un cadeau… ? Répéta-t-il avec défiance comme s’il s’était agit d’un mot dangereux. Sais-tu ce dont il s'agit Nack? "

Il ne se faisait aucune illusion, Nick ne maniait pas le vocabulaire comme Erwin aussi pour lui un cadeau devait signifier quelque chose de complètement commun et vide de tout intérêt particulier encore moins pour sa personne. Voir le jumeau bondir vers l’autre pièce renforça ses certitudes et notamment celle que cet individu primaire ne l’aiderait jamais en rien d’autre qu’à suivre bêtement ses ordres. Mais cela dit, cela restait un excellent début. Plus il était simple d’esprit et plus il demeurait manipulable si tenté qu’on lui donna un ordre clair, net et précis et dénué de toute ambiguité.

- Sa vigueur ? C’est vraiment ce qui te préoccupe au point de vouloir l’entraîner ? A t’entendre, je demande lequel d’entre vous est le plus sot ! Claqua-t-il d’un geste désinvolte, avant de sourire aussi innocemment que s’il ne l’avait pas insulté la seconde précédente :Enfin on me propose autre chose que du thé ou du café… Du champagne serait plus d’usage, non ? Après tout, il faut que vous célébriez nos retrouvailles et votre libération. Sinon, un verre de vin me contentera.

Et il regarda le deuxième jumeau d’un regard qui n’exigeait qu’une exécution rapide et instantanée de ses ordres, tout en s’installant plus confortablement dans le canapé. Certaines choses ne changeraient jamais et finalement, il fallait croire qu’il aimait un peu que rien ne changea. Que la dévotion des frères lui soit toujours acquise n’aurait pas du l’étonner mais à vrai dire, il était soulagé de ne pas avoir une énième bataille à mener en plus du Grand Projet qui dictait sa vie depuis le début de son existence. Cela lui permettait de gagner de l’énergie et l’énergie non dépensait préservait sa beauté.

- Cela dit, je ne peux que te congratuler d'essayer de contenir ce charmant énergumène quotidiennement, tout le monde ne le ferait pas...

Mais voilà que le grand dadais revenait déjà… A croire qu’il ne pouvait jamais bénéficier d’un peu de calme d’esprit. Tout au plus jeta-t-il un regard désintéressé vers le document qu’il tenait en main. Un papier ? Il n’avait pas eu le temps de s’interroger d’avantage que le roux lui déposait la feuille sur ses genoux comme s’il s’agissait de la plus grande merveille du monde. Que ? Il prit la feuille, fronçant les sourcils tandis que ses mains se comprimaient autour du dessin. C’était mal fait en plus de ne pas être fini, le papier était gris, vide de couleurs et cela ce n’était que les premiers détails. Sa si belle bouche charnue était de coin, ses cheveux ressemblaient à une perruque, il était...dépourvu de prestance, un pantomime, voilà ! Une caricature ! Même pas lui, non loin d’être lui… Le portrait qui ornait la grande salle du trône avait figé ses traits parfaits dans son éternelle gloire. Et il avait le culot de lui présenter cette ébauche caricaturale en guise de remplacement ?
Il savait pourtant que Nick était dénué de tout talent et d’intention malveillante mais peut-être était-ce le pire, finalement que de voir que le visage qui figurait sur le papier émerveillait visiblement son dessinateur :

- Qu’est-ce donc que cela ? Interrogea-t-il doucereux et sa voix prenait les accents d’un début de montée de colère en saisissant le document entre deux doigts comme si un contact supplémentaire avec le bout de papier l'aurait brûlé, Un chérubin ferait mieux que toi. Osais-tu dire que tu es satisfait de ceci, cette offense à mon charisme ?

Et Il coula vers Nick un regard acerbe et glacial.

Except there's one little problem, boss.

Ce charmant petit Nick ne manquait pas d’idées dans sa tête faut dire, dompteur ou sorcier… aucun des deux n’était fait pour lui, mais Nack voulait qu’il s’amuse alors, autant lui faire croire tout ce qu’il pouvait pour qu’il aille bien et au moins pendant ce temps là, il n'embêtait personnes. Bien qu’il ne savait pas jouer tout seul, faut obligatoirement quelqu’un pour avoir le change. Il n’avait pas tout a fait tort.. Nack se rappelait la fois ou son frère a voulu attirer le chat pour on ne sait quelle raison avec un jouet en souris. Le but était de capturer la princesse et pas son chat, mais l’un n'empêchait pas l’autre d’être accompli. Donc Nack avait prit les devants comme toujours pour faire miauler le chat de façon à ce que la princesse machin chouette descendent pour son chat. Et Bingo la blonde dans le sac. Ou même la fois ou Nick avait flippé en voyant un drap.. avec le chat dessous. Bref des souvenirs qu’on préfère oublier pour la plupart. “...Mais…” Parfois il pourrait éviter d’ouvrir la bouche ça sera beaucoup plus simple comme situation. Nack porta son regard vers leur Boss, en fronçant les sourcils.. c’est ca qu’il lui donne encore des idées plus débile à faire. La prochaine fois, il allait lui laisser toute la journée ça lui ferait les pieds. “Ohhh Mais oui Clown, le patron à une bonne idée ! je vais faire ça dès demain” “la prochaine fois.. évitez de lui donner des idées…”

Ce fameux jour devait être oublié, il avait utilisé les frange d’un balais pour lui faire des cheveux. Ils étaient tombés bien bas pour faire une diversion cela dit… Nick avait eu envie d'être une princesse pour ce fameux jour autant lui faire plaisir, de toute façon foutu pour foutu. Bon par contre Nick avait bien foiré dans ses répliques. Qui vient me déranger pendant mon orteils Sommeil du con.. Mais bon, on pouvait pas revenir en arrière pour tout effacer. Et effectivement Nick n’avait rien de féminin… Pourquoi fallait-il que Nick offre des cadeaux à tous ceux qu’il aimait même les pires genre Preminger.. qui n’allait pas glorifier son talent. Nack hocha donc la tête doucement.. pendant que Nick était parti chercher son cadeau.

“Oui… c’est un dessin…” dit-il simplement levant les yeux au ciel, il voulait bien s’y voir lui à s’occuper de son frère pendant une journée entière parce que aucune crèche ne le voudrait tout ca parce qu’il avait 34 ans. Il aurait pu finir tranquille son activité qui consistait à continuer la décoration pour le bassin. “Je voudrais bien vous y voir à l’avoir toute une journée sans savoir comment bien communiquer avec lui, il faut bien que je l’épuise à la tâche pour qu’il fasse sa nuit.”

On parlait littéralement d’un enfant pour le moment, mais c’était un peu ce qu’il était… Nack ne broncha pas, de toute façon tout ce qu’il pouvait dire ne l'atteignent pas vraiment. S’il voulait se marrer qu’il le fasse, il était bon public. Il était pas sûr de pouvoir toucher au bouteille de champagne du bro.. donc, on va éviter pendant qu’il n’était pas la. Nack hocha doucement la tête. “Oui, monsieur naturellement nous avons du vin, je vous l’apporte tout de suite, prenez place sur le sofa. faites comme chez vous” Pauvre tache.. Il partit chercher le vin et le verre de monsieur. En le servant avec raffinement. Pour lui tendre.

Effectivement très peu avait la patience de contenir Nick. Il était le seul à y parvenir, Bien que parfois, il aurait envie de le faire barboter avec les poissons. “Non Effectivement ce n’est pas simple tous les jours, il faut continuellement lui trouver une activité à faire et encore, qui est susceptible de l'intéresser.”

Nick était de retour pour jouer un mauvais tour, avec son fameu cadeau, un portrait de monsieur Preminger façon picasso. Nick était vraiment rayonnant de bonheur, il avait fait un magnifique dessin pour son boss et il en était fière. La 8ème merveille du monde fait par Nick Sacabeu.

“C’est vous patron” dit-il tout content et son sourire était en train de disparaître légèrement au fur et à mesure que le patron parlait. Nack regardait se contenant. “Oui.. c’est un dessin de vous, je me suis appliqué pour le faire. mais, je ne sais pas ce qu’est un chéburin mais, il a peut être plus de notion que moi en dessin.”

Charisme.... Charisme… il ne fallait pas pousser la vieille dans les orties non plus. Nack porta son regard sur Erwin, s’il le faisait pleurer, il aurait intérêt à s'excuser, les critiques c’était bien mais, si c’était pour enfoncer c’était non. Et si Alec apprenait que Nick avait pleurer… on sait tous comment ca pouvait finir. “Il se rattrapera c’est un bon début. Donc vous êtes venu pour quoi patron ? Nous avons une mission en cours ?”

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Preminger étant un être supérieur à n’importe quel membre de l’espèce humaine, bien que l’on ne lui accordait pas la qualification de divinité, ce qui était une honte incommensurable causée par la jalousie excessive qu’il ne pouvait manquer de susciter chez autrui...Aussi, comme un être finement observateur n’avait-il pu manquer de remarquer l’air presque paniqué -qui lui donnait l’air aussi stupide que son frère songea-t-il- qu’avait exprimé Nack lorsqu’il avait évoqué le clown. Il ricana intérieurement du mauvais tour qu’il provoquait ainsi, ne voyant pas pourquoi après tout les deux jumeaux auraient du espérer un degré de sollicitude de sa merveilleuse personne. A toujours l’agacer, ils finiraient par se retrouver sans le sous et démunis, lui qu’il avait encore poussé sa générosité extrême à les choisir comme témoins de mariage. Pas dans ce monde, évidement. Hors de question de s’acoquiner avec des repris de justice pour ce jour si béni qui l’avait vu épouser la reine dans ce monde moderne ! Et dire qu’il ignorait à l’époque qu’il devenait Roi ! Heureux soient ceux qui se trouvaient dans l’ignorance…
Il ne cilla pas devant le regard noir de Nack et à la place opina en direction de Nick :

- Je suis persuadé que le public va t’a-do-rer ! Acclama-t-il de son habituel ton dédaigneux. Un vrai petit prodige en devenir… Quoi, tu n’es pas d’accord, Nack ? Tu ne crois pas en la fibre humoristique de ton frère ? Voilà qui est bien dommage.

Il termina la phrase en pouffant puis profitant que l’ancien grand blond ait quitté la pièce, s’intéressa un instant à la gestuelle de Nack. Il parvenait à les dissocier si facilement, même à présent qu’ils étaient quasi identiques et se rendait compte des changements. Il paraîssait plus fermé qu’avant, moi...dévoué ? Peut-être lui en voulait-il d’avoir pris cinq années avant de les retrouver et de les faire libérer de prison. Alors qu’il ne se rendait pas évidement compte de l’inestimable chance qu’il avait que Preminger, l’Ancien Ministre du Royaume, maintenant ROI continua à s’intéresser aux deux pauvres zouaves qu’ils étaient. Mais cette chance se méritait. A vrai dire, il ne savait pas pourquoi il continuait de s’adresser à eux, peut-être comme une sorte de bonne vieille habitude. Oui, c’était pour ça, cette force nostalgique qui le poussait à rechercher la compagnie de ceux qui avaient connu sa vie. Certes, ces deux idiots n’avaient jamais fréquentés le haut gratin du royaume mais ils avaient touché du doigt la vie qu’ils auraient pu avoir, si la malédiction de la Reine n’’était pas venue tout balayer.

- Oh...C’est si difficile de s’en occuper ? Il suffit pourtant de lui donner un but, je pense qu’il ne doit pas prendre énormément d’initiatives…

A l’entendre, il aurait pu s’agir d’un enfant ou même d’un animal. A vrai dire, quel qualificatif seyait le mieux à Nick ? Il était déficient visiblement mais il n’allait pas s’apitoyer sur le sort de son frère pour autant. S’il ne parvenait pas à le tenir, qu’il prenne les mesures :

- Peut-être faudrait-il l’envoyer chez un psychiatre, pour améliorer la communication entre vous...grinça-t-il avec ironie.

Ledit psychiatre n’en tirerait rien mais fermerait boutique. Ce qui serait doublement amusant. Au final, il se rappelait pourquoi il faisait affaire aux deux frères, ils étaient comme un éternel rappel de sa supériorité sur autrui. En regardant les pires rejetons de l’espèce humaine s’affairer sous ses yeux, rien ne pouvait faire douter de son esprit ultime et unique. Un délice. Il observa Nack agir comme il l’attendait de lui pour lui fournir rapidement le vin qu’il avait exigé tout en lui prodiguant maintes courbettes. Satisfaisant. Il aimait voir le petit peuple à ses pieds.

- Je ne vois pas en quoi l’encourager à me dessiner est une activité à encourager, Nack. Ne penses-tu pas que cela va fortement me désappointer ? Et je suis persuadé que vous ne désirez guère me désappointer ! Après tout, vous me devez tellement.Tous les deux. Ou devrais-je dire tous les trois à présent.

Il posa le revers de son front comme pour chasser une migraine passagère puis riva son attention sur Nick. Comme il l’avait présagé le dessin était tout juste bon à finir à la poubelle. Pour l’offense parfaite qu’il lui témoignait, il méritait presque d’être déchiré devant son auteur.

- Un chérubin est un enfant...Nick...expliqua-t-il d’un ton faussement patient et paternel. Autrement dit une excuse que tu n’as pas.

Il secoua le dessin avec agacement et le plaça à côté de son visage :

- Mais regarde, je vais tâcher de t’expliquer pourquoi.Regarde ce magnifique nez, son arrête droite, sa courbe altière… Ses magnifiques sourcils… Il souriait presque en se décrivant par ailleurs son index glissant sur son visage, et regarde la forme que tu as osé leur donner. Presque larmoyants. Médiocre. Tu ne rends pas à ton modèle tout le prestige qu’il mérite. Ceci est juste un gribouillis sans intérêt pour moi.

Il lâcha la feuille qui flotta avant de glisser lentement sur le sol, comme un instant suspendu dans le temps. Belle illusion poétique, d’ailleurs. Il ne s’abaisserait pas pour le ramasser et but à la place une gorgée de son verre de vin en croisant les jambes dans le fauteuil, tel un roi venu être diverti, son attention passant de l’un à l’autre avec une indifférence dédaigneuse.

- Ce qui m’amène ? Oh et bien, je pensais initialement que les retrouvailles avec mes sbires seraient fondées sur l’allégresse de ma grande générosité et mon ingéniosité décuplée à obtenir votre grâce… Malheureusement, il faut croire que non capables de vous tenir à carreau vous ayez déjà réussi à attirer l’attention sur vous...pour...oserai-je le dire ? Une truite. Voyez-vous, j’ai eu vent d’un fâcheux vol dans le bassin de la mairie et dont les officiers tiennent pour responsables...Quel signalement était-ce déjà ? « Deux identiques grands benêts roux dont un si stupide qu’il pensait retirer le poisson à mains nues et s'enfuir avec ainsi » je suppose que la description parle d’elle-même.

Except there's one little problem, boss.

Adorer ? Nack avait quelques doute la dessus, pas qu’il ne croyait pas au capacité de son jumeaux, mais, il ne voulait pas qu’on se moque de lui déjà que la vie de Nick n’était pas évident. Alors en plus s’il était clown, il osait même pas penser la tete qu’allait faire Alec à ce propos. Il n’en avait rien dit mais n’en pensait pas moins le fait que Erwin le fasse passé pour ce qu’il n’était pas lui plaisait pas non plus. Il était peut-être l’un des seul qui pouvait croire qu’on pouvait tirer quelques choses de lui. Le seul à être constamment avec lui dans les bonnes et les mauvaises action. Nick était tout content, une nouvelle carrière pouvait s’offrir à lui. Il l’avait donc noter dans sa tête pour le moment, en plus d'ajouter sorcier, dompteur de truite, clown, pilote de formule 1… oui pour la faut pas chercher..Nack pour toute réponse à Preminger, il haussa les épaules. “Bien sur que si que je crois en lui.. et tu sais quoi Nick.. le patron va même te payer les cours d’humoriste et sera ton premier public pour chaque spectacle…” Nick était enchanté de cette nouvelle le boss allait écouter chacun de ses spectacle voilà qui était parfait pour lui. Quant à Nack un fin sourire sur les lèvres était apparu, il ne voulait pas être le seul à encourager son frère, Preminger sera de la parti.

Enfin une chose de faites, mais, il ne suffisait pas que d’un but pour tenir Nick en haleine. Il n’était pas comme tout les autres, certaines activité ne lui plaisait pas et il était difficile de l’en convaincre. Il pouvait être têtu parfois. Heureusement Nack avait toujours une solution qui pouvait le motiver. “Il ne suffit pas de lui donner qu’un but, il faut que cela le motive. Oh détrompez vous il en prend des initiative mais, peut être pas celle que vous apprécierez…”

Comme le fait de faire le portrait d’Erwin.. ou même celui d’aller chercher cette truite dans ce bassin..ou de creuser une galerie souterraine avec une cuillère. Le fait d'apprendre une quatrième langue ? A vous n’etes pas au courant ? et bien Nick est en train d’apprendre le morse. Mais pour le moment ce n’était pas le moment de l’annoncer. Nick était plus proche d’un enfant que d’un animal vu qu’il savait compter quand même. Et oui ! Nick sait compter étonnant hein ? et il sait lire ! Même Nack et Alec lui avaient apprit.

“Pour le psy.. on cherche la personne la plus approprié pour le comprendre.” dit Nack, il ne voulait pas d’un charlatan et pour comprendre Nick, il fallait quelqu’un de pire que patient.. peut être allait-il trouver la personne adéquate. “Mais merci de l’idée…”

Nack servait encore et toujours monsieur Preminger tel était le deal entre eux mais surtout pour faire plaisir à son petit frère, et puis c’était grâce à lui qu’ils étaient dehors.

“Je trouve que ça vous ressemble beaucoup patron.. je vous ai fait pourtant la même stature et la même prestance votre nez est le même sur sur le dessin, je ne comprend pas pourquoi cela ne vous sublime pas…” dit Nick a deux doigts de pleurer.

Il n’avait pas fait qu’à du terme employé avec le chérubin de toute façon au bout de deux secondes, il aurait déjà oublié. Nick s’avança pour récupérer son dessin en plein vole, vous imaginez la scène ? Aller on va vous faire les détails, déjà vous pouvez imaginer un sublime ralenti digne des plus grand effet spéciaux avec la voix qui dit “nnnnnnnoooooooooooonnnnnnnn” puis après le saut de l’ange plantant tel un aigle solitaire. sauf que, le final c’est hop atterri direct sur le patron. Bien sûr tout ça a eu lieu juste après le discour sur sa venu ici.. Et donc Nick avait terminé sa course sur Premini au plus grand plaisir de ce dernier. Y a de l’idée mais ça tombe à plat.

Nack se racla la gorge. Nick était toujours sur le boss. “Mais Patricia se sentait si seule dans ce bassin à la mairie.. je me devais de lui porter secours patron” Oui, la carpe avait un nom désormais, on ne l’oublie pas.. Nick parle couramment 3 langues, la baleine, la truite et la carpe ! Nack visiblement ne pouvait pas démentir les faits.. il avait dû rattraper Nick qui avait prit pas mal d’avance ce jour la. Il n’avait pu que le réceptionner à la fin.

“Nick voulait cette carpe…” dit-il, cela dit c’était l’idée d’Alec au debut de mettre Petunia ou Clarabelle, du moins lui il avait oublié leurs prénoms.. - Peoni et Clarys -


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Erwin avait balancé l’idée du clown comme chaque méchanceté qu’il balançait quotidiennement, sans y prendre réellement garde. Il finissait par ne même plus mesurer ce qu’il disait, sans s’intéresser à si l’impact de ses paroles pouvait être perçu comme méchant, cruel ou juste potentiellement blessant, il parlait voilà tout, et c’était déjà un grand point de sa part que d’accepter d’adresser la parole à un imbécile heureux et son frère guère mieux loti. Alors quand ce dernier affirma à grande voix qu’il financerait les cours de son incapable de frangin, il cilla.

- Certainement pas. J’ai déjà payé la caution et investi dans cet endroit, je n’investirais plus un centime supplémentaire à votre profit tant que vous ne m’aurez pas prouvé votre rentabilité, articula-t-il avec hauteur, les lèvres pincées, vous êtes à mon service, je ne paye pas vos petits caprices pour le simple et très hypothétique plaisir de votre compagnie, je m’en passerai. Aussi, tu financeras les cours de ton cher frère sur le salaire que je te verserai, lorsque vous m’aurez prouvé votre loyauté et lorsque j’aviserai le fruit de votre labeur. Labeur inexistant actuellement.

Pour qui le prenait-il ? Pour leur larbin ? Non il était leur patron aujourd’hui comme autrefois et à présent leur Roi. Et ils travaillaient pour lui. Inconcevable qu’ils puissent encore daigner s’adresser à lui sans ramper avec décence à ses pieds. A quel moment les employés se révoltaient-ils ainsi ? La faute à cette société pervertie qui avait enveloppé l’égoiste des manants en leur promettant monts et merveilles. A présent tous les hommes demeuraient égaux en droits. Une idée qui l’écoeurait profondément même à l’époque de sa fausse vie, sur les bancs de l’université. Erreur grossière qui ne faisait que faire croitre dans les villes les richesses de ceux qui ne la méritaient pas, empêchant leur véritable propriétaire d’user de stratégies diverses pour s’en emparer. Une utopie destructrice qu’il vaincrait un jour. Le peuple devait être gouverné. Quoique tout à chacun n’avait que faire de leur supposée liberté….

- Justement, Nack… Je n’ai que faire des initiatives qu’il prend tant qu’elles ne me sont pas défavorables, si elles parlent contre moi, tu comprendras en revanche, que je doive t’avertir de mieux le tenir.

Lorsqu’il s’était chargé de piller la mine, il fallait dire qu’il n’avait pas été mauvais, sûrement parce que le plan consistait en une tâche répétitive et bête, sans la moindre réflexion, Preminger étant celui qui les ordonnait. A présent qu’il s’offrait à nouveau le service des jumeaux, il devrait trouver une tâche à la hauteur du cerveau de Nick… C’est-à-dire dénuée de tout intérêt et de difficulté et sans le moindre risque pour la réussite du plan.

- Je doute que le psychiatre idéal existe pour lui, finit-il par affirmer.

« Ou sinon, je ne donne pas cher de la santé mentale de ce dernier ». Au moins graciaient-ils tous les psychiatres de Storybrooke si Nack était suffisamment malin pour ne pas jeter son frère dans les bras de tous les spécialistes.
Nick étant incapable de comprendre la délicatesse divine de ses traits et visiblement de comparer l’oeuvre spectaculaire qu’il incarnait avec le ramassis médiocre et insultant qu’il avait produit.

- Oh tu ne comprends pas ? Répéta-t-il d’un ton doucereux qui laissait présager souvent que le pire était à venir, peut-être parce que tu ne comprends pas grand-chose, Nick… N’est-ce pas ?

Cela dit, il y avait quelque chose de réjouissant dans toute cette scène et elle se reflétait dans les yeux du grand dadain. Des larmes. Là où les larmes perlaient, le pouvoir résidait et il était sien. Si une simple petite remarque futile faisait jaillir la honte et la tristesse, alors il demeurait maître de leurs destins et c’était là, tout ce qu’il recherchait seulement.

- Tu veux savoir pourquoi cela ne me sublime pas ? Tout simplement parce que le dessinateur est mauvais.

Et il laissa tomber la feuille avec la pose dramatique que l’on lui connaît, accro à lui-même et sa propre mise en scène dans l’espace, comme éternellement. Preminger prévoyait énormément de choses mais pas l’idiotie. Ou du moins pas un niveau élévé d’idioties, aussi vit-il presque trop tardivement, trop occupé à expliquer à Nack le pourquoi de sa visite, la silhouette de Nick s’approcher dangereusement de lui. Que, diable, faisait-il ?

- Ah !

Exceptionnellement, il cria avant même d’analyser la situation. Peut-être parce qu’il avait l’impression de subir une attaque, de mourir et crut même manquer de souffle sous le poids de la masse de ce bougre d’imbécile qui osait lui faire l’affront de lui tomber dessus pour récupérer un minable petit dessin. Que ne l’avait-il déchiré ? En attendant, il se retrouvait bloqué, les poumons comprimés par cet idiot qui pesait son poids, alors que son cerveau ne devait pas valoir un petit poids. Et il continuait bêtement à discourir sur le devenir d’une carpe ? Sérieusement ?

- Imbécile ! Relève-toi tout de suite.

Cela aurait été peu dire qu’il avait crié, en réalité il avait plutôt hurlé, tout en se démenant pour parvenir à s’extirper de cette masse. S’il ne bougeait pas, peut-être pouvait-il en mourir ? Et si ce misérable petit avorton lui avait cassé quelque chose ? Ou froissé un membre ? Ou abîmé son costume ? Sa jambe droite lui faisait atrocement souffrir et sa cage thoracique se trouvait si comprimée, qu’il fut obligé de reprendre de l’air. Une tâche humide se formait sur son coeur… Comment ? Du sang ? Mon Dieu, il ne laisserait pas cet énergumène avoir raison de lui. Il imaginait à quel point cela aurait l’air ridicule dans les journaux et ne voulait pas ajouter un sourire sarcastique à certaines personnes, à la lecture de ce misérable fait divers. Il ne ferait pas ce plaisir… Une odeur d’alcool flottait dans l’air et il identifia avoir sans peine l’explication de la sensation de froideur qui se dégageait de sa poitrine. L’imbécile en retombant sur lui avait renversé son verre de vin qui visiblement...avait tâché sa chemise et la sensation oppressante devait être le verre qui se trouvait comprimé. Comment en aurait-il pu en être autrement ? Il était Preminger. Personne n’aurait raison de lui, personne n’en possédait le pouvoir et certainement pas un pathétique fléau comme Nick. Non  il ne mourrait pas, le fauteuil était, fort heureusement confortable, si on cherchait les points positifs et ne s’était pas brisé sous le poids du dégingandé. En se tortillant, avec toute la force qu’il pouvait contenir dans ses mains, il repoussa Nick par les épaules, ses ongles s’enfonçant sans ménagement dans les épaules de l’ancien blond.

- Relève-toi !

Il était rare pour Erwin de laisser exploser son contrôle mais il l’avait déjà fait avec eux et une fois plus récemment avec une autre personne, sans réellement comprendre pourquoi certaines situations le faisaient réagir plus violemment que d’autres. Mais il savait que dans ce genre de situations, il se sentait dangereux d'une manière autre. Capable de tuer ou de faire souffrir, en proie à ses plus bas instincts. Peut-être parce qu’il n’abaissait pas son contrôle mais se trouvait à chaque fois dans des cas où il n’en n’avait pas. Mais là n’était peut-être pas le moment de philosopher et de faire fonctionner son magnifique et ingénieux petit cerveau ? A la place, il tenu le blond à distance avec suffisamment de vigueur pour entraîner sa chute à terre, sur son merveilleux petit dessin d’ailleurs. Il se releva furieux face à Nack qui regardait encore la scène, dans un éclat de verre brisé et posa un regard rageur sur les deux abrutis qui lui faisaient face, l’un piteusement avachi sur le sol, l’autre médusé.
Le vin dégoulinant sur ses vêtements laissaient présumer du massacre que devait être son allure et sa prestance, même si rien ne pouvait altérer sa beauté, on avait visiblement bien tenté d’y porter atteinte. Il passa la main dans ses cheveux éparpillés, pour en savourer la douceur puis pointa du doigt alternativement sur les deux frères :

- Je...Comment osez-vous ! Je...Je..J’exige un miroir !

C’était la première exigence qui lui venait à l’esprit, il avait besoin de se ressaisir et pour ce faire, de se regarder. Chacun ses petits désirs. Au moins cela lui évitait de céder à l’envie de ressérer ses deux mains sur les gorges de ses larbins. Il détendait ses jambes, presque rageur suite à la souffrance subite éprouvée, même s'il ne semblait rien n'avoir de cassé! Fort heureusement

- Regardez dans quel état est mon allure ! Mon magnifique costume Armani, gaspillé ! Et vous osiez me parler des carpes ! Je vais vous les faire manger! Avec les arrêtes ! Bandes d’incapables! Tu vois le résultat de lui apprendre la lutte, il m'a fêlé une côte! !

Except there's one little problem, boss.

Preminger n’aurait pas dû balancer un tel truc anodinement… parce que ça ne tombait pas dans l’oreille d’un sourd pour le petit Nick. Lui tout ce qui pouvait sortir des lèvres de son boss, il avalait tout ! Il buvait ses paroles comme il sirotait un soda. Ca en devenait même maladive limite. Et quand c’était des choses forte comme le fait de le descendre comme un pauvre petit canard, bah le pauvre petit en pâtissait, pauvre petit Nick. Nack devait donc à chaque fois réparer les pots cassé, Nick était bien trop sensible, du fait de tout ce que disait Erwin. D’ailleurs Nack le soupçonnait de lui vouer un culte dans la chambre quand il finissait par s’endormir, mais, il n’avait rien pu prouver pour le moment. Cela dit, il se posait aussi la question si son frère n’exprimait pas des sentiments amoureux à l’égard de leur boss. Bien qu’il soit stupide cela ne l'étonnerait pas finalement. Bien que Nick n’ait peut-être aucune idée de ce que pouvait dire aimer mais, bon il exécutait tout ce que Preminger commandait sans poser réellement de question.

Nack leva les yeux au ciel, bon visiblement il ne voulait même pas payer les cours d’humoriste catégorie clown à Nick. Cela dit ça se tenait, Preminger les avaient sorti de prison et avait investi dans la maison… fallait peut-être pas en demander d’avantage pour le moment ? Bon après c’était Nick qui voulait ses cours la en plus de suivre son apprentissage de sorcier. Nack était toujours autant impressionné de la motivation de sa connerie, à lui tout seul, même si cela n’avait ni queue ni tête, fallait avoué qu’il manquait pas de ressource. Entre le fait de devenir sorcier… Clown ou humoriste, apprendre des langues aquatiques à deux balles. Nan franchement on avait un spécimen rare là. S’il pouvait être aussi déterminé dans les missions qu’on pouvait lui donner ca serait bien, du moins plus dans la réussite des plans… ça en revanche c’était autre choses.

-Faut quand même le reconnaître qu’il manque pas de motivation dans ce qu’il entreprend. Hmm ce n’est pas à moi qui faut le dire mais plus à lui. On s'investit avec les moyens que nous pouvons avoir à notre disposition monsieur Dorian. Disons que cette ville n’apporte pas autant qu’elle apportait dans celle que nous étions. Vous ne pourrez pas être roi avec la mine royal qui n’existent plus… et cette reine que vous avez épousé ne possède même plus de royaume. Non.. je crains que nous devrions plus visé plus haut…

Il faisait donc plus référence du coté de la mairie… StoryBrooke n’était pas une ville qui apportait quoique ce soit à Nick, il avait réellement préféré New-York..mais, il ne partirait pas, ne voulant pas laisser ses frères seul. Donc il continuait d’être au service de leur bienfaiteur, Gloire à Preminger comme on pourrait le dire.

-C’est déjà beaucoup ce que vous ne faites monsieur Preminger et nous en vous en sommes très reconnaissant, heureusement que vous êtes la pour nous venir en aide.. tous vos plans seront exécuté selon vos ordres.

Mieux le tenir ? C’était plus facile à dire qu’à faire, il n’était pas sa mère, en l'occurrence heureusement parce qu’elle était un monstre avec eux. D’ailleurs heureusement qu’elle était morte…

-Je le tiendrais comme il se doit ne vous en faites pas… Ce n’est pas un mauvais bougre pour autant, il fait ce qu’on lui dit. Le psy qui lui faut pourra peut-être l’aider de toute façon, nous n’avons rien à perdre à trouver quelqu’un ? Nous avons toute à y gagner de toute évidence.

-Mauvais ? Mais, j’y ai mit tout mon âme pour fournir ce jolie dessin pour vous faire plaisir. Et ce que pouvait dire Erwin l'affectent beaucoup, des larmes étaient en train de jaillir de ses pauvres petits yeux. Nack n’avait


Nick entre temps était revenue pour tomber sur sa principauté Erwin, toujours est-il qu’il était sous le charme de son boss. Il buvait toute ses paroles. Comme un gros niais. Donc non il ne comprenait pas réellement l’état des choses, il était pas très malin. Bah oui visiblement il avait plongé pour récupérer ce dessin. Nack n’avait pas eu le temps d’intervenir, il échangeait avec Preminger sur la suite des plans. Donc ce qui se passa n'était pas de la faute de Nack. Juste l'effet boule de neige de l'échange Nick et Erwin. Nack se retenait de rire à ce spectacle d’ailleurs, soyons sérieux un peu heureusement que personne ne rentrait, ils pourraient mal interpréter les choses. Nick était donc tomber sur le prince charmant… pas si charmant. Imbécile ! Relève-toi tout de suite. Il avait hurlé en disant cela. Nick aurait pu très bien lui casser quelques choses, en d’autre terme Nack s’en moquait un peu mais, avec l'énergumène il y en aurait pour des décennie encore. En revanche Nick il était bien sur lui, Preminger était plutôt confortable… S’il avait un membre froisser, il pourrait très bien lui remettre en place avec le sortilège Episkey… - La magie n’est pas avec toi mon petit cas - Alors on imagine bien Preminger hurler en sentant que Nick lui remettrait en place les vertebre. L’ancien blond n’avait même pas senti les ongles de Preminger se planté dans ses bras. insensible à la douleur ? non juste plus tolérant au douleur. Il se redressa. Perdant l’équilibre quand Preminger le repoussa entraînant donc sa chute au sol sur son pauvre petit dessin. Bourot d’enfant ! Nack en revanche n’avait pas perdu une seule miette du spectacle qui se déroulait sous ses yeux, d’ailleurs Preminger lui avait bien fait ressentir d’un seul regard. Il haussa simplement les épaules médusé par ce qui venait de se passer. Regardant son frère au sol.

-Nick debout ! Osez vous ? Je n’y suis pour rien.. c’est votre action qui à déclenchez cela, si vous voulez bien m’excusez je vais vous chercher de quoi vous admirer. Aussi vite Nack quitta la pièce pour chercher un miroir pour le roi. Nack revint avec le dit miroir. Nick s’était relever rapidement

Et voilà, que le vin coulait du costume du pauvre petit… Un costume fichu.. Nack était en train d'écouter le boss parler et Nick avait suivit le regard de son frère, qui lui avait intimé de chercher de quoi nettoyer. Même plus besoin de parler.

-Nous nous excusons monsieur Preminger pour le costume, Nick fera en sorte de vous le rembourser.. ou prendre votre costume pour l’emmener dans un pressing. Pour que votre costume soit comme neuf. Il avait l’air plus gêné que Nick. A l’avenir je ferais en sorte qu’il ne vous approche pas pour pas vous feler de côte. Je suis confus.

Il regarda son frère et lui mit un coup sur la tête de Nick.

-Excuse toi imbécile ! Tu devrais avoir honte, Tu as sali le costume du boss après tout ce qu’il a fait pour toi !
-Pardon, monsieur Preminger.. j’ai dérapé, je.. ne le ferais plus…

Aussi sec, il nettoya le sol puis les chaussures de son altesse ou il y avait des taches.


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