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Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 So thanks for making me a fighter (aishaxchatnoir)

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Adrien Agreste
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Adrien Agreste

| Avatar : ∂α¢яє мσитgσмєяу ♥

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S H A D O W S
settle on the place that you left.

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| Conte : мιяα¢υℓσυѕ ℓα∂увυg: ℓєѕ ανєитυяєѕ ∂є ℓα∂увυg єт ¢нαт иσιя
| Dans le monde des contes, je suis : : α∂яιєи αкα ℓє ѕєυℓ єт ℓ'υиιqυє ¢нαт иσιя !

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| Cadavres : 295



So thanks for making me a fighter (aishaxchatnoir) - Page 3 _



________________________________________ 2021-05-14, 13:01

So thanks for making me a fighter.
Et quand on lui demandait, il disait je vais bien. Quand les gens le jugeaient, il disait c'est rien. As-tu été heureux? Il disait c'est loin.

Ton père s'est laissé submerger par des émotions négatives. La vision de Aisha n'était pas tout à fait fausse. C'était la perte, la colère qui avait poussé Gabriel à commettre ce genre d'acte. Il refusait de croire que dans le passé, son père avait été quelqu'un de mauvais. Dans ses souvenirs , son père était un homme parfait. Toujours occupé par son travail mais qui trouvait toujours du temps pour prendre soins de son fils et de sa femme. Il se souvenait de ces moments ou il avait le droit d'être dans les bras de son père pour voir les créations qu'il était en train de faire. Son père avait toujours passé beaucoup de temps dans son bureau sauf qu'avant, la porte était toujours ouverte. Adrien savait que son père avait agis par désespoir. L'homme était capable de beaucoup de choses dans un dernier élan de courage. Le dernier espoir de son père n'avait été que désespoir. Lâcher des émotions négatives sur toute une ville, s'en prendre à des innocents, des jeunes innocents et par dessus tout. Jouer avec l'âme Emilie. Adrien pouvait comprendre que parfois la peine était si lourde que ne rien faire était impossible. Il comprenait ce genre de douleur, il l'avait déjà ressenti mais cela ne pardonnait pas les actes de son père. Il était devenu son ennemi numéro un, l'homme qui avait brisé le sommeil de sa mère. Rester dans le manoir était impossible parce que Adrien était en colère et parce qu'il savait que à tout moment il était prêt à dire des choses blessantes à son père. Des choses qu'ils pourraient regretter tous les deux. Il fuyait ses responsabilités mais il empêchait aussi la famille Agreste de se déchirer un peu plus.

Adrien avait longtemps vu la porte fermé du bureau de son père. Il avait souvent parler derrière cette dernière. Annoncer ses bonnes notes sans avoir de réponse en retour, demander de sa présence sans pour autant le voir après. La lumière dans les yeux de son père avait complétement disparu et Adrien n'avait rien pu faire. Il s'était rapproché de trop prêt de cette porte fermé et son cœur en est mort. Le jeune Agreste sentit la tête de Aisha se poser sur son épaule et une faible chaleur gagna son corps alors qu'il commençait à avoir un peu froid. Il se sentait vide, fatigué, mort. Oui, il avait vraiment l'impression que son cœur s'était déchiré et qu'il n'avait pas survécu à tout ce qu'il venait de voir. Mais une chose était sûr, il n'était pas le seul à avoir un cœur mort. Aisha aussi avait perdue quelqu'un récemment, c'était peut-être pour cela que inconsciemment il était venu chez elle. Adrien savait qu'à sa façon, Aisha trouverait les bons mots pour calmer Adrien. Le blond essuya finalement toutes ses larmes d'un revers de la main avant de pencher sa tête sur le côté afin de la mettre sur celle de la jeune femme. Il fixa la télévision éteinte qui se trouvait devant eux tout en restant silencieux. C'était dur de trouver les mots, de briser le silence. Parfois le silence était la meilleure des réponses.

Il se contenta alors de prendre délicatement la main de Aisha dans la sienne, profitant de ce contact pour se calmer. Il se concentra sur la respiration de son amie pour calmer la sienne. La chaleur de la jeune femme lui faisait clairement comprendre qu'il n'était plus seul ce soir. Parler de sa mère avait été difficile mais en même temps, cela l'avait libéré d'un poids. Il se sentait un petit peu mieux maintenant. Adrien ferma les yeux quelques secondes avant de finalement prendre la parole.

« Merci pour l'invitation. Et désolé d'avoir mit de l'eau dans ton salon. Je nettoierai mes bêtises, je te le promets. »

Son regard se posa sur Plagg qui était assis en face d'eux, sur le tapis. Il ne disait rien, il se contentait de fixer les deux humains qui se tenaient devant lui. Parfois, Adrien se disait que c'était dommage qu'il soit le seul à comprendre le félin. Au fond, il savait que Plagg aimait bien Aisha et inversement. Dommage qu'ils ne puissent pas se comprendre. Le kwami fixa un moment la jeune femme avant de vaquer à ses occupations. Adrien avait presque cru entendre un merci sortir de la bouche de Plagg. Le jeune Agreste redressa légèrement son visage avant de respirer un bon coup.

« Je penses rester un peu chez toi... Je suis désolé de te déranger. Je peux dormir dans un hôtel sinon. »

Il baissa son regard une nouvelle fois lâchant doucement la main de Aisha pour jouer nerveusement avec ses mains. Il n'aimait pas s'inviter chez elle mais il se sentait pas prêt de voir les autres. En temps normal quand cela devenait trop étouffant dans le manoir, il passait une nuit ou deux chez Nino et Alya. Mais il n'avait pas envie de les voir actuellement. Il n'avait envie de voir personne. Il voulait faire croire au monde entier que tout allait bien encore et qu'il était heureux. Adrien ne pouvait pas se permettre de revivre sa vie comme si de rien été. En temps normal, c'était facile d'enfiler son masque de garçon parfait mais maintenant... Tout avait changé.

« Je crois que ça va être difficile pour moi de vivre ma vie normalement. Les cours, les amis, Ladybug... Tout ça semble si lointain. Je ne sais pas comment l'expliquer mais j'ai l'impression de ne plus être capable de vivre ma vie de d'habitude. »

Adrien arrêta subitement de jouer avec ses mains, il tourna ses paumes vers son visage sans rien faire d'autre. Ses yeux verts fixaient ses mains tremblantes. Ce n'était pas le fait d'avoir froid qui le faisait trembler de la sorte. Son corps souffrait tout comme son cœur. C'était difficile de se forcer à croire que tout allait bien. Difficile de porte le costume de Adrien Agreste après tout ça. Pourtant sa mère lui avait fait une dernière demande, elle n'arrêtait pas de tourner en boucle dans son esprit. Une demande qu'il ne pouvait pas remplir.

« Avant de disparaître, ma mère m'a fait une demande. J'ai toujours écouté ma mère, elle avait toujours de bon conseil. Mais sa dernière demande, je n'ai pas pu m'empêcher de penser que c'était hypocrite de sa part de me demander ça. Pardonner mon père. » Un petit rire nerveux sortit de sa bouche. « Je ne peux pas... Comment je peux le pardonner après tout ce que... »

Un soupir sortit de sa bouche tandis qu'il arrêta de parler pendant quelques secondes. Il n'avait pas envie de se remettre à pleurer. Alors il se contenta de s'enfoncer un peu plus dans le canapé. Il ne voulait juste plus rien faire, il était épuisé. Ses ambitions, ses rêves, ses efforts n'avaient rien changés. Alors pour la première fois de sa vie, il voulait tout foutre en l'air. Sa vie, il voulait la balayer d'un simple revers de main.

« Je ne sais plus quoi faire de me monde à l'envers. J'ai l'impression d'étouffer. Tout vas mal et c'est pas normal. Peut-être que j'en fais trop et que je deviens un peu fou mais je peux pas faire ce que ma mère me demande. Je peux pas vivre ma vie comme avant. Je ne pourrais pas gérer la pression social en plus. Tu penses que c'est mal si je disparais un moment ? » demanda Adrien en se tournant vers Aisha.


Aisha d'Andros
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Aisha d'Andros

| Avatar : Kiana Ledé


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If I could fly across this night
Faster than the speed of light
I would spread this wings of mine
Through the years and far away

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| Conte : Winxclub
| Dans le monde des contes, je suis : : Layla d'Andros, fée des fluides

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________________________________________ 2021-06-06, 00:27

The street of broken hopes
Ft. Chat Noir


Je n'avais absolument jamais vu Adrien dans un tel état, même lorsque je ne le connaissais qu'avec un masque et ses grands airs de chat-rmeur, je ne l'avais jamais... Vu... Aussi détruit. Chaque regard qu'il me tendait froissait mon cœur comme si on l'écrasait à deux mains. Non pas que je pouvais imaginer une seule seconde ce qu'il avait vécu, mais dès lors, j'avais cette horrible impression de ne pas pouvoir l'atteindre là où il se trouvait. Paraître si proche de lui mais en même temps si loin me rendis impuissante... Je ne savais pas quoi faire. Comment avait-on pu autant le bouleverser en quelques nuits ? Je l'avais vu il n'y a pas si longtemps que ça et il n'était certainement pas dans cet état. Il avait appris tant de choses d'un seul coup, plusieurs coups de poignard dans des points sensibles et maintenant...

J'avais observé l'écran de la télévision éteinte en espérant y voir à travers la silhouette du garçon sur lequel j'avais délicatement posé ma tête. Cependant trop opaque, je ne puis vraiment m'y fier. Je n'avais donc aucun moyen de savoir comment il allait. Ni par ses mots, ni par l'expression qu'il me cachait - impossible de savoir ce qui lui traversait la tête. Impossible de l'atteindre. Je ne savais pas si mon geste le rassurait et je doutais à me redresser par peur de rater quelque chose lorsque soudain, Adrien prit ma main dans la sienne. Je souris... Puis fermai les yeux, comme réconfortée qu'il ne m'échappe pas grâce à ce contact. À défaut de pouvoir le voir, alors, je réussissais au moins à ne pas le laisser seul. Quelques secondes plus tard, j'entendais sa voix.

"Tu n'as fait aucune bêtise, Adrien. Ce n'est que de l'eau, ne t'en fais pas pour ça."

Il redressa son visage et alors, préparée à pouvoir le voir, je redressai le mien vers lui. Ses yeux étaient toujours rougis et j'avais peur qu'il s'enrhume à cause de la pluie. Au moins, seulement, j'avais l'impression qu'il revenait vers moi - un peu du moins - j'avais l'impression que peu à peu, le temps reprenait son cours. Depuis son arrivée, c'est vrai, il semblait s'être supsendu.

"Ne dis pas de bêtise, tu ne vas pas te prendre un hôtel car tu ne te sens pas bien chez toi... Tu ne peux pas être seule, je refuse. Tu restes ici le temps qu'il faudra, point final."

Hors de question qu'il en soit autrement dans l'état auquel il était. Je ne pouvais même pas le laisser douter une seconde. Il ne dérangeait pas, j'étais seule en général - si on ne comptait pas Kot qui passait de temps à autres -, d'ailleurs je réalisais qu'en hébergeant Adrien, ce n'était pas que lui que j'hébergeais au passage... J'allais avoir d'autres poils de chats à gérer. Qu'importe, ce n'est pas la question pour le moment, je devais me concentrer sur mon ami, celui qui avait quitté ma main pour se refermer à nouveau sur lui-même. Pour le peu de fois où nos regards se sont croisés, je commençais à comprendre pourquoi porter un masque pouvait être utile de temps en temps. On dit que nous portons un masque pour nous cacher, et au fond, n'est-ce pas tant le cas ? Chat Noir me disait qu'il fallait qu'il dissimule son identité pour protéger son entourage de ses ennemis. Je remarquais aujourd'hui qu'il était plutôt simple, surtout, de se protéger soi-même grâce à ça. Je n'y avais jamais songé pour ma part, mettant - il est vrai - la plupart de mes proches en danger sans même réaliser à quel point. Mais je n'avais jamais cru qu'il me serait plus simple... De me cacher. On nous apprenait, à l'école, à aider les autres en tant que fées et au nom de notre royaume. Notre famille faisait aussi notre réputation.

Mais Adrien et moi n'étions pas du même monde. Il m'expliquait sous mon écoute attentive qu'il ne pensait plus pouvoir vivre normalement - du moins plus comme avant. Je le comprenais, sa vie avait été bouleversée par ce à quoi il tenait le plus. Même si être Chat Noir, ce n'était pas être lui, ça ne signifiait pas qu'il pouvait tout simplement le rester et laisser Adrien Agreste sur le côté. Les deux restaient liés... Et impactés des événements qui pouvaient leur tomber dessus. Je voyais son regard se perdre sur ses mains, comme s'il se cherchait en elles. Je l'observais faire sans rien dire, jusqu'à ce qu'il traite à nouveau de sa mère décédée, dont les souvenirs ravivés avaient du être si dur à revoir. Il me parlait d'une promesse qu'elle avait faite, mais je semblais manquer une étape car moi-même j'hésitais à réellement comprendre de quoi il était question.

Pardonner quoi ? Sa mère ne pouvait pas savoir ce qu'avait fait son père si elle était morte, non ? Et, ce qu'il avait vu d'elle n'était qu'un corps en décomposition sans vie... J'avouais perdre le fil pendant un instant mais avant de formuler une question à peu près sensée, c'est Adrien qui reprit avec bien peu d'énergie, et je me restreignis de manifester mon problème de compréhension. Il y en avait des plus graves pour le moment.

"Non, non ! Lançai-je vivement en hochant négativement la tête de droite à gauche. Non, bien sûr, tu as le droit de... De t'échapper. Si c'est ce que tu penses le mieux et qui te permettra de revenir en forme, personne ne doit t'en empêcher au contraire, ils comprendront. Adrien, repris-je, pardonner, ce n'est pas quelque chose qui se décide. On ne prend pas la décision de pardonner, il faut déjà le pouvoir. C'est beaucoup plus que dire je te pardonne et c'est fini ! Non. Tu pourras pardonner lorsque tu t'en sentiras prêt, lorsque ton cœur le voudra. Jusqu'alors, et bien... Oui, il est peut-être préférable que tu penses à te retrouver toi-même déjà. À remettre tes idées en place..."

Je posai une main sur son épaule, portant mon regard sur Plagg, puis à nouveau sur mon ami.

"Et nous serons là pour t'aider - si tu le veux bien."

Je ne savais pas à quel point il comptait disparaître mais je ne pouvais que le soutenir pour le moment, au moins je savais qu'il allait bien. Égoïstement, c'est vrai, sachant que j'étais la seule probablement au courant de ses intentions, je n'hésitai pas à lui donner mon appui, mais après une vague réflexion, je comprenais que ce choix n'était pas à moi et que si ça avait été quelqu'un d'autre à ma place... J'aurais été celle que nous n'aurions pas contacté. J'aurais été celle qui aurait vu Adrien disparaître pendant un temps incertain et je me serais inquiétée. Finalement, il y avait peut-être un détail ou deux à revoir avant de se mettre dans cette phase d'absence.

"Je pense que tu devrais prévenir Ladybug. Elle est ta partenaire et tu es très proche d'elle...
Je me rappelais ce qu'il m'en avait dit. Si j'étais à sa place, je serais sûrement très inquiète de ne plus avoir de nouvelles de toi. Est-ce que... Tu veux que je me charge de la contacter ? Il doit y avoir un moyen, non ?"

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