« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Tu marches comme un canard Comment refuser ? •••- Fauteuil et boisson. Je le note bien.
Parce que sinon Preminger allait lui faire un cake. Il n’arrivait pas à définir son visage pour le moment, mais il se doutait qu’il faisait une moue à demi dégouté… Au moins ça c’était intéressant à observer… Une petite passion nouvelle… qui ne venait clairement pas du monde des contes. Alec se mit à rire sur la question de son ancien travail.
- je pense que même le dire risque de te faire faire une tête de dégoûté, ça risque de faire des rides. Il vaut mieux éviter.
J’étais une prostituée ET un vendeur de drogue … comment dire que ce n’était pas trop possible de faire plus … indigne de l’homme en face de lui que ça… Alors ça le faisait rire. Imaginant perminger dans les bordels pour lesquelles il avait travaillé.
- Dans ce monde, elle n’a pas la même odeur que dans l’autre monde. Il faudrait quelque chose avec l’odeur qu’elle a dans ce monde, si je veux pouvoir la trouver ici.
C’était pourtant logique, mais il réexpliqua calmement à son patron, sans lui dire que lui trouvait ça tellement logique que c’était un peu ridicule de devoir donner des explications.
- je t’ai reconnu à ta manière de marcher. Parce que j’ai eu le temps d’observer. La princesse je ne l’ai pas revu depuis que la reine m’a donné.
Il aurait préféré rester à la reine, ou à la princesse qu’à Erwin … quoi qu’il n’aurait pas connu ses frères sinon, et ça, ça lui aurait fait un manque sans pouvoirs le comprendre.
- mais cela sera fait selon vos désirs. Les oiseaux auront plus de faciliter à la trouver, alors je vais m’y atteler.
Les oiseaux ne seront jamais d’accord de donner une gentille personne … mais ce n’était pas grave. Il fallait bien leur mentir un peu pour avoir ce qu’on veut. Il n’était pas sur qu’il donnerait Anneliese. Il ne montrait rien et juste fit un oui de la tête d’une manière grave. Il avait dû mal à penser faire du mal à la reine, c’était plus fort que lui.
- je ferais tout pour la retrouver. Tu peux me faire confiance.
Ou pas. L’avenir nous le dira après tout …. Il avait retourné sa veste à la fin du film, qui ne dit que ça n’allait pas faire pareil ici… ️ 2981 12289 0
Erwin Dorian
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Incroyable comme les mortels pouvaient faire un monde de satisfaction d’une broutille. Etre capable de lui fournir fauteuil et boisson semblait être source d’une grande fierté… Affligeant. Contrairement à ce l’équipé bipède pensait, non il ne développait aucune affection particulièrement pour une boisson quelconque mais se sentait juste obligé de rappeler que la bonne conduite exigeait que l’on propose un rafraîchissement à son hôte. Qui plus est, il refusait de lui donner son ancien métier, en riait même et l’idée d’être l’objet d’une blague douteuse de son ancien destrier l’agaçait prodigieusement :
- « Des rides ? Pitié ça ne me concerne pas… » soupira-t-il en haussant les épaules comme si on avait évoqué la varicelle ou une maladie infantile « En revanche, tu sais que je peux le savoir… Et en refusant de me le dire, tu attises doublement ma curiosité… Oh tu sais, nul besoin de jouer l’effarouché, je me doute bien que ce ne devait pas être reluisant, je ne m’attends pas à un métier honorable de ta part... »
Même s’il avait du mal à le voir poubelleur avec sa grande carrure, évidement ça ne devait pas être plus recherché que ça… Vu que visiblement cela l’amusait… Avait-il eu vent de sa fâcheuse aventure à Amazon ? A présent, la simple vue du colis lui donnait parfois de l’urticaire…Rien qu’à repenser tenir un balai brosse, un frisson d’horreur lui parcourait la nuque. Brr… Mais visiblement en attendant, il devait faire avec des notions risibles d’odeurs différentes d’un monde à l’autre… Comme s’il était nez de parfumerie.
- « Georgia...ma femme » se sentit-il obligé de préciser « a encore les affaires d’enfance de sa fille quelque part dans le grenier, mais comme cette enfance ne s’est pas réellement déroulée, peuvent-elles te servir ? »
Lui qui songeait à encourager sa femme à vendre ces vieilles fripes inutiles… Il ne comptait pas avoir d’enfant et celui-là était officiellement mort donc à quoi bon s’embarrasser de chiffons encombrants ?
- « Ma manière de marcher ? Oui, tu as remarqué ? J’ai toujours ce style, cette classe » presque malgré lui, les quelques gestuelles de la Cour ressortait à ce moment-là, des effets de manche, d’allure « Oh tu sais, elle est quelconque, comme sa mère dans la tenue. Droite, digne, sans autre particularité… C’est assez banal, je comprendrais que tu ne te souviennes ni de l’une ni de l’autre »
Après tout, avait-il aperçu plus de trois minutes l’une d’entre elles ? Elles ne devaient pas marquer. Sauf l’objet doré qui ornait leur front…. Lui ne voyait que ça… C’était un appel plus féroce que tout…
- « Oh les oiseaux comme c’est adorable » le mot ne parvenait même pas à sonner de manière mignonne lorsqu’il sortait de sa bouche, tout juste se trouvait-il teinté de fiel « oui, les oiseaux… Peut-être a-t-elle suivi un rossignol. Tout aussi intelligente que Genevieve pouvait trouver sa fille, elle n’en demeurait pas moins sottement attendrie par le moindre animal se posant dans son champ de vision... »
Et puis les oiseaux possédaient des qualités que d’autres animaux ne possédaient pas. La capacité de voler en faisait partie. En attendant, il fit volte-face pour jauger Alec d’un regard condescendant :
- « Ce n’est pas une question de confiance, c’est un ordre. Et sauf erreur de ma part, à quel moment crois-tu que nous avons dépassé le stade des familiarités au point de me tutoyer? »
Alec Sacabeu
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Tu marches comme un canard Comment refuser ? •••-les rides concernent tout le monde malheureusement. Ici on vieillit, à voir jusqu’à quel point.
Il se demandait … parce que la malédiction s’est arrêté il y a que 6 ans … mais depuis, il avait changé, son corps avait vieillit, il l’avait vu… alors s’il continue comme ça … il pourrait devenir un vieux papy … quoi qu’il était même sûr que vieux, il serait toujours un étalon capable de tout… cela ne changerait pas … mais pour Erwin qui se tassait dans ce qu’il a déjà … un jour, il allait manquait de quelque chose très certainement. Il avait envie de le taper d’un coup quand il parla de métier reluisant. Il était né avec une cuillère d’argent dans la bouche et en a fait du diamant. Pas Alec. Il eu un sourire.
- Je suis dans le commerce de sexe et de drogue. Pas reluisant certes, mais pour une pipe dans un wc crade je gagnais assez pour plusieurs mois. Et j’étais le meilleur. Je le suis toujours d’ailleurs, mais je suis sur que tu n’apprécierais guère les services que je peux propose.
Alec sourit… Il imaginait TELLEMENT PAS Erwin en train d’avoir un orgasme, ou autre. Il le verrait plus comme un effarouché du kiki. Et cette image eue de quoi passer sur toutes les insultes qui pourrait lui dire à l’avenir.
- je ne sais pas. Il faut essayer pour vérifier si ça peut fonctionner. Peut être que oui, si la malédiction a pensé à tous les détails alors peut être au fait de donner la même odeur aussi.
Parce que … la malédiction était maligne … Par exemple, il lui manquait toujours un rein. Pas que ça le dérange outre mesure, mais il lui en manquait bien un… et ça c’était passé pendant la malédiction. Alec se permit de réfléchir sur sa manière de marcher … il aurait plutôt dit qu’il a un balai dans le cul quand il marche, mais ça pouvait se voir différemment il imagine … Et il se souvenait très bien de la reine. C’était du naturel chez elle d’être gracieux. Pas comme Preminger qui ne pensait qu’à se montrer. Il pourrait peut être la reconnaitre en effet. Il ne répondit pas sur les animaux, ni sur le fait que la reine est « sotte ». Son allégeance allait d’abord à la reine, bien qu’il ne faisait rien pour elle parce qu’il ne savait pas quoi faire …. Mais si Erwin l’a blessé, ou la trompé ( :p ) alors il serait lui reprendre.
- je n’ai jamais appris les bonnes manières. J’étais un … canasson ? Donc pour moi tout le monde est « tu » mon respect vient par mes actes pas par mes paroles. Il faudra s’y habituer malheureusement.
Il fit un sourire. Rien qu’un sourire qui ne voulait rien dire … mais Alec savait le genre d’homme qu’était Erwin… et il savait aussi qu’il pourrait l’envoyer voler s’il se retrouve à nouveau sur son dos … métaphoriquement parlant bien sur …
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Preminger avait passé machinalement sa main sur son visage lisse, dénué de toutes rides. Il n’en n’avait jamais eu, n’en n’aurait jamais. D’ailleurs, il avait un visage si jeune qu’il pouvait faire blêmir de jalousie un jeune homme de vingt ans. Il était plus beau que quiconque ne serait jamais. Et il n’avait même pas à s’évertuer à tenter de le rester, il voyait à grand peine QUI pouvait bien tenter de le rattraper, vu qu’il était si supérieur à autrui.
- « Le commun des mortels a des rides.Moi, pitié, ça ne me concerne pas » répéta-t-il sur le même ton, la seconde phrase d’Alec lui arrachant un frisson.
Comment cela, jusqu’à quel point ? Un homme comme lui ne pouvait pas vieillir, ni même mourir. Cela se réservait au commun des mortels, lui était fait dans un autre tissu, plus céleste, plus divin, même. Il vivait juste pour son bon plaisir voilà tout. Mais il examina la mine plutôt banale qu’on avait donné à l’autre, un cheval dans un air perplexe :
- « Tu en as quelques unes, c’est vrai. Etrange, cependant que la nature ne t’a même pas donné un visage chevalin….» un sourire sarcastique découvrit ses dents acérées. « Tu ne souris pas suffisamment pour que je puisse vérifier ta dentition, cela dit... »
Il ricana puis chassa le rire d’un geste de la main, comme si c’était là que se rabaisser que de s’esclaffer devant un cheval de labour. En réalité, il minaudait plus qu’autre chose. Peu lui importait, il ne disait jamais non à un persiflage au détriment d’autrui, encore moins quand ladite personne se trouvait dans la pièce en face de lui à le dévisager de deux yeux benêts. Par curiosité plus que par intérêt, il avait finalement fait l’effort d’exiger connaître la profession à laquelle il se livrait autrefois avant toute rencontre providentielle avec sa beauté sérénissime. Il cilla lorsqu’il la lui livra, puis éclata d’un long rire suraiguë et précieux :
- « Tu ne reniais donc pas tes origines à jouer ainsi à l’étalon » siffla-t-il pompeusement avant que son visage ne se fige dans une moue hautaine et dégoûtée, « Je t’imaginais vivre à proximité des immondices, ce n’était pas éloigné. On peut dire que j’ai fait mouche… Ahaha. Pathétique… »
Il ne retint pas un spasme écœuré lui parcourir le corps, et scruta son ancien cheval d’une moue scandalisée et horrifiée, soupira bientôt en fronçant le nez, portant sa main sur le front comme pour en chasser les images désagréables qui menaçaient de s’incruster dans sa tête :
- « Epargne-moi ces… « détails », tout ceci est déjà assez bien d’un médiocre infect pour que tu ajoutes des images crasseuses à cette situation abjecte par ton langage obscène » cracha-t-il. « Et dire que tu n’as le physique à se pâmer… Mais cela dit, ça n’a rien d’étonnant. Les clients de ce type de….vices se contentent de rien. Ils se jettent sur les moins que rien pour satisfaire leur...dépravation et leurs envies dégénérées...Aaah »»
Il avait eu un instant l’envie de souligner son propos en lui saisissant son menton, mais avait stoppé son geste, avec dégoût, laissant son regard balayer la mine du cheval. Non loin de sa barbe, il trouva qu’il semblait avec un léger bouton et il recula même avec un sursaut. Et s’il avait la petite vérole ? Pouvait-il avoir été contaminé d’une quelconque manière en demeurant avec lui ? En discutant ?
- « Je…. » il tira de son pantalon, une dose de son parfum, s’en vaporisa sur les mains de manière énergique- cela restait de l’alcool malgré tout- « Voilà qui est mieux… La prostitution… de tout genre qui plus est… Pitoyable… Des gens sans vertu qui payent autrui pour assouvir leurs penchants immoraux. J’avoue que je te pensais pas, mais je ne pensais guère que tu sois si…souillé ».
Mais que s'attendre d'un canasson? Il étudia ses épaules larges, son allure imposante, et le rire qu'il avait stoppé revint aisément poursuivre ses méchancetés:
- « Le MEILLEUR ? Pour des prestations obscènes qui rassasieraient n’importe quel gueux soumis à de triviales pulsions, quelle fé-li-ci-té ! Comment ta vie est enviable ! » ricana-t-il sans pour autant que son visage ne chasse la répulsion inscrite dans ses traits, puis à la proposition, il hoqueta comme s’il venait d’être giflé « Jamais. Pour qui me prends-tu ? Ces pratiques…. Ces...écoeurants dévergondages libidineux et immoraux…. Peeeuffff ! »
Il leva le nez très haut, outré. Mais qui le prenait-on ? Pour QUOI le prenait-on ? Il n’était guère personne à se vautrer dans ces viles bassesses, il était haut de dessus de ça. Et que le Ciel l’en préserve ! Diantre, quelle horreur ! Beurk. Contre nature en plus…
- « J’ignorais que tu puisses être de ceux qui sont faibles par leur corps. Quoique tu restes un animal, à quoi s’attendre d’autre ? Evidemment que tu comprends ces pulsions quelque peu bestiales qui frappent le commun des mortels… A quoi s’attendre d’autre ? Les Hommes sont primitifs. Ils aiment se vautrer dans une vie d’immondices, dans la saleté. La prostitution quel répugnant et pourtant si florissant commerce, on y trouve de tout mais assurément ceux incapables de susciter ou de combler autrement leurs envies qu’en échange d’une monnaie. Ils ne peuvent prétendre à rien et se satisfont de rien. Un bout de chair est un bout de chair…. Quelle décadence. »
Néanmoins, il prit sur lui-même et se força à reprendre une discussion claire et posée. Le vaurien réclamait des affaires de cette idiote d’Anneliese et haussa les épaules :
- « J’ignore si cette idée d’odeur peut avoir un sens réel, elle a disparu enfant dans cette réalité… Alors, ces objets auront-ils une odeur, ce n’est pas certain. Néanmoins, il faut essayer. Si tu le désires, je pense pouvoir obtenir… Ma femme évite tellement cet endroit qu'elle ne remarquera rien. De toute manière, sinon, se contente-t-elle d'ouvrir un carton et de pleurer tout son saoûl sur la première étoffe aperçue, puis elle referme bêtement le couvercle. Sûrement une robe ou autre… Je ne veux pas savoir ce que tu en feras ensuite… » ajouta-t-il en plissant le nez une nouvelle fois en détournant les yeux.
Il avait enchaîné en discourant fort aisément sur sa démarche puis en attaquant gratuitement cette chère Geneviève, ce à quoi, l’imbécile n’avait rien trouvé à répliquer. Comment aurait-il seulement pu ? Il dodelina de la tête, l’entendant parler et le tutoyer :
- « Tu as décidément été mal dressé par le passé. J’ai fait une erreur sûrement en te confiant à ces deux incapables, j’aurais du m’assurer que ton allégeance entre dans ta peau jusqu’à la déférence…. Je te laisse juge de tutoyer qui te semble bon mais mais je te l’interdis, est-ce clair ? Je ne suis pas un de tes….patrons ordinaires qui surveillent tes écoeurantes passions clandestines.. Si tu veux sortir de ta médiocre condition, tu devrais savoir que je suis le seul susceptible de t’aider... A moi, tu obéiras sans discuter. J’ai toujours été un homme généreux, je suis juste...disons difficile à satisfaire. »
Alec Sacabeu
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Tu marches comme un canard Comment refuser ? •••Preminger avait des rides… pas les rides des sourires, c’était quelque chose de sur, mais il en avait … plein .. sur toute la face … et c’était ça que pensa Alec alors que l’homme touchait son visage … au fait qu’un jour il en aurait autant … bien sur, par un très grand esprit de conservation et de survie, il ne le dit pas et garda cela pour lui…. Bien bien profondément dans son esprit … même s’il savait qu’un jour, il faudrait dire la vérité à son patron … Oh pas pour le moment, il n’en avait pas l’envie. Il lui avait dit une fois, et le déni de l’homme était trop fort pour s’y essayer une seconde fois …
- Il fallait que, pendant la malédiction, on ne puisse pas voir la vérité, cela explique mon visage. Mais je suis bien battit pour le reste.
Il n’avait pas envie de lui faire un dessin mais c’était assez claire qu’il avait de quoi être proche du cheval vu ce qu’il trainait avec lui entre ses jambes … mais il n’était pas sur que l’homme de bon famille qui était en face de lui comprenne… il n’était même pas sur que Preminger savait comment s’envoyer en l’air … Il voulu imaginer l’homme pendant des actes sexuels … mais rien à faire, il ressemblait à une statue … et il espérait bien que la reine avait nombre d’amant pour réchauffer ses nuits que ce frigide … il irait peut être poser sa candidature … Il sourit à l’homme pour lui montrer ses belles dents, blanches, droites, et qui n’avait rien à envier à toutes les dents que l’on pouvait voir pour des pubs de dentifrice. Le rire de l’homme ne le vexa pas du tout, il s’en fichait royalement et sourit même de plus belle.
- Pourquoi changerais-je quelque chose qui fonctionne et me rapporte ? Vivre prés des immodices me permet de passer inaperçu, de ne pas me faire remarquer, et qu’on puisse parler avec moi à côté sans jamais me prendre pour une menace.
Les confessions sur l’oreiller, appelons cela ainsi, étaient monnaie courrante, et permettait de savoir bien plus de choses que le chantage, ou l’écoute intrusif … et en plus, elle était donné avec bon cœur … de quoi faire de lui une commère, une gossip ou même d’autres noms bien incroyable. Il rit encore de sa réaction, pour le moins sainte nitouche … ou clairement au pieu Preminger devait être un piètre amant … La preuve qu’il n’était pas parfait, il n’excellent pas dans tout … Il ne préféra rien dire, et laissa son attaque dans le silence pour passer à la suivante.
N’empêche qu’il avait trouvé un domaine ou Preminger n’était qu’un novice sans expérience, et qu’il ne pouvait que difficilement cacher ce sourire de satisfaction. Alec haussa même les épaules.
- Être souillé, c’est y être obliger. Je le fais parce que je le peux.
Il avait été souillé, sale, détruit par sa mère dans les faux souvenirs qui l’avaient utilisée. Maintenant, celle ne pouvait plus l’utiliser, étant morte archi morte méga morte … Il était sale par ses actes à elle … le reste ne lui donnait pas de la saleté, parce qu’il le faisait comme il l’entendait, et avec toutes les protections requises.
- Oh, oui je suis le meilleur, mais tu ne sembles pas trouver de raisons d’utiliser mes services. Saches qu’il est humain de vouloir se faire du bien. Ne pas le vouloir serait de l’ordre de l’asexualisation, ce qui est une maladie mentale qui ne donne pas d’envie sexuelle. Serait tu malade ?
Il pourrait entendre une touche de moquerie, mais surtout de l’inquiétude… Après tout, si Preminger venait à se prendre en pleine tête qu’il avait peut être un pet au casque, il risquerait de se jeter de sa place de roi … ou de s’y accrocher encore plus fort ? Alec ne dit rien de plus sur ça … mais vouloir avoir de la chaleur dans son lit le soir n’était qu’une chose normal pour lui, et étrangement ça ne le choquer pas plus que ça que Preminger n’avait toujours pas enlevé le balai qu’il avait dans son derrière. Alec continua de l’écouter mais que d’une oreille. Il lâcha un « mmhh » compréhensif alors que …non pas du tout… Il ne voyait pas forcément la prostitution comme ça.
Oh bien sur c’était le fait de se vendre pour une partie de jambe en l’air, mais … ce n’était pas si illogique que ça qu’elle existe, et elle existe depuis la nuit des temps, et certainement que ça existera encore dans des années… la terre ne sera plus peuplé d’humain que la prostitution continuera d’être bien là.
- Une robe cela pourrait être parfait, ou un chapeau.
Il pensait à l’odeur d’Anneliese dans le monde des contes … pas sur qu’il la reconnaisse ici, ça faisait tellement longtemps. Mais une robe était une idée … De préférence un vêtement non lavé, mais Alec pensait que s’il osait proposé cela … Preminger tombe dans les pommes … ça serait drôle tiens pour pouvoir lui faire du bouche à bouche et que Preminger se sente souillé à jamais …. Il ne pourrait pas le faire réellement, mais ça le fit sourire d’y penser.
- Tu es le seule patron que je possède, mais d’accord, je te vouvoierais si ça peut te faire plaisir.
Dit il sans même remarquer qu’il continuait de le tutoyer dans la phrase juste au dessus avec toute l’innocence du monde … lui en tout cas ne le remarqua pas … la créa faisait bien attention de le dire juste pour s’amuser un peu… Il n’avait après tout plus de patron depuis que sa mère était parti en asile …il en avait bien eu d’autres après … mais il ne pouvait pas réellement les voir comme un patron, plus comme des personnes là pour l’aider.
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- Pour ma victoire? C'est adorable, trésor... Même si en toute modestie, je dois admettre, qu'au-delà de cela, je suis un prestigieux modèle pour mes concitoyens"
(Alexis pense-t-elle qu'il est parti trop loin? Sûrement! On approuve)
| Conte : Coeur de Princesse/Le Prince et le Pauvre | Dans le monde des contes, je suis : : Preminger
La malédiction n’avait que faire de dissimuler l’initiale vérité, contrairement à ce que pouvait penser cet Alec. Personne autrefois n’aurait imaginé qu’un homme puisse être initialement un cheval, quelque soit son visage…. Son argument ne tenait pas. Mais à quoi s’attendre d’un individu tel que lui ? Tout ce à quoi il était bon c’était ramener l’information à….ses insinuations proches de besoins primaires… - « Formidable… Tu m’en vois ravi... »
Il n’avait pas cru bon de descendre le regard, il avait suffisamment compris cette...insinuation animale, se bornant à inscrire à un sourire ironique sur son visage hautain. Comme était bas celui qui se gargarisait de ses attributs en pensant être fin et pertinent. Il ne faisait qu’affirmer davantage sa médiocrité… Au moins, Midas n’avait pas gardé cela. Mais Midas était un chien intelligent, supérieur. Parce qu’il était SON chien, il avait vécu à son contact, dormi dans les mêmes appartements, mangé les meilleurs plats qu’il avait pu lui offrir. Lui…. Pouvait-on s’en étonner lui qui avait croupi dans la médiocrité depuis l’origine ? Il avait écouté le reste, sceptique, une moue figée sur le visage.
- « Tu penses donc n’avoir aucun autre talent visiblement…. Et c’est peut-être le cas…. Au moins, serviras-tu de petite main, d’observateur dans ce milieu… Allez… Faisons un test. Apprends-moi quelque chose que j’ignore. Quelque chose d’utile à mes affaires et que tu as appris grâce à ce métier…Je ne doute pas que les confidences sur l’oreiller soient légions, les gens sont si...dénués de bon sens, j’ai juste besoin de savoir QUI est susceptible de les faire…. »
Il le demandait sans réelle agressivité. Si cela pouvait avoir un quelconque intérêt alors il le saisirait, il le prendrait. De toute manière les endroits où trainait le cheval n’avaient pas d’importance pour lui. Il les désapprouvait, les trouvait rebutants, sources de maladies, de décadence d’immoralité mêlées à la saleté mais peu importait tant qu’il ne s’y trouvait pas mêlé. De toute manière, les Docks étaient vastes mais cette ruelle là jouxtait les habitants de certaines mafias peu claires. Si cela lui permettait d’obtenir des informations sur les clans rivaux de ce quartier, aussi les dominerait-il tous. Il avait craché au cheval sa médiocrité mais ce dernier s’en était félicitait, persistant dans ce délire pitoyable…. Il avait besoin d’être félicité visiblement, sûrement quelque chose à compenser de ce côté là… Lui qui ne s’était jamais lamenté de rien concernant son apparence physique, voilà qui le laissait à la fois perplexe et moqueur. Il ne comprendrait jamais les méandres du manque de confiance en soi ni de la dévaluation mais il ne pouvait que considérer ceux qui s’en trouvaient victimes avec moquerie, puisqu’ils ne possédaient rien qu’il ne possédait lui.
- « Quoi donc te veeeeendre ? Je connais personne qui s’en gargariserait hormis toi… » répliqua-t-il avec un ricanement rauque.
Le cheval se congratulait visiblement. Il le voyait dans ses yeux. Il se satisfait de ses prétendues expériences lui qui se repaîtrait dans le vice. Amusant comme il l’écouta continuer, se vanter de ses prétendues qualités, fronçant le nez lorsqu’il entra dans les détails. Grand Dieu, jamais il ne ferait appel à ses services….quelle ignominie. Pire que ça… Il ne ferait nullement appel à quoique ce soit dans ce milieu, il n’en ressentait nullement le besoin. Il détestait cela. La vulgarité. La concupiscence grossière faite chair dans laquelle se jetait la société. Viles et bestiales créatures primates qu’étaient ceux qui ne raisonnaient qu’ainsi…. A suivre leurs instincts décadents sans parvenir à la maîtrise. Il les méprisait tandis qu’Alec continuait sa litanie vulgaire, concluant sur une interrogation osée. «Serais-tu malade ? ». Preminger avait éclaté d’un rire sonore et théâtral ; la main sur le coeur :
- « Quel insolent petit sot, tu fais… » persifla-t-il sans colère « Laisse-moi t’entretenir de quelque chose, très cher… Moi je suis AU DESSUS de tout cela. Je suis celui qu’on désire, je suis celui qu’on veut. Un Modèle, un Fantasme, je suis Absolu, on ne m’atteint jamais. Je pourrais avoir ce que je veux, qui je veux, comme je veux. Il faut juste que j’en possède l’envie. Et pour que cela soit, il faut le mériter… C’est la raison pour laquelle mes envies sont plus...élevées que ces préoccupations primaires, encore plus lorsqu’elles s’effectuent dans ton milieu. En revanche, toi, tu es... une vile et contre-nature fringale. Satisfaisant sur le moment, mais honteux ensuite. Ils te voient et jettent comme ce que tu es. Consommable, interchangeable, jetable, sans valeur. »
Il avait relâché son attention, opinant de la tête… Si c’était cela, il lui donnerait.
- « Tu auras donc une robe… Je t’en fournirais une…. Dès que possible. »
Pour cela, il était prêt… Il avait hâte. Il devait savoir. Où se trouvait la princesse. Etait-elle ici ? Si oui, OU. Il avait fouillé chaque mur, chaque pierre de cette ville, s’était mis en retrait pour ne pas risquer de s’exposer à elle, où se trouvait cette sale petite garce ? Il fallait qu’il assure sa couronne. Une fois ce pion éjecté de l’échiquier, il serait définitivement Roi et unique Roi de ce royaume. A jamais. Il avait opiné une nouvelle fois, regardant sa montre avec attention :
- « Je ne tarderai pas, ma femme m’attend pour dîner. Le prochain rendez-vous se fera avec les jumeaux. Je veux mon équipe au complet… Comme jadis.»
Cela l’éviterait aussi d’être vu avec ce dépravé seul. Qui sait qui pourrait raconter des obscénités à son encontre ? Bien évidemment, il s’en désintéressait totalement – cela le rebutait seulement - mais les oreilles de Geneviève restaient ouvertes aux commérages et la populace de Storybrooke également. Il devait préserver son image intègre, son statut de politicien dévoué, l’homme de la situation. Quitte à choisir, il préférait se farcir la compagnie des jumeaux, plus sots mais bien moins reliés à tout ce que le commun des mortels mettait au ban de la société. Alec le disait lui-même, il était l’homme de l’ombre. L’homme des confidences… L’observateur.