« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Pas de vacances pour les braves. C’était la première année que Violette n’avait pas de vacances en Juillet. Ancienne étudiante, elle avait finalement laissé tomber ses études supérieures. Ce n’était pas fait pour elle. Pourtant, elle était loin d’être bête. Mais il y avait eu trop de chose qui l’avait ralenti dans les études et elle faisait peut-être des blocages internes. Quoi qu’il en soit, Violette avait su rebondir. Elle qui avait confié ses craintes peu de temps après être revenue à Storybrooke à sa sœur de cœur Honey, désormais elle semblait avoir trouvé sa voie. Maintenant elle était policière, sans aucun doute grâce à Quennie et Chris. Violette avait participé malgré elle à une aventure à bord d’un paquebot avec Quennie. Et elle avait été la coéquipière de Chris au sein de la Magic League. Ses qualités et sa condition de super-héros dans son monde avaient sans doute été en sa faveur pour son intégration au sein de la police.
Et Juillet n’était pas de tout repos pour la police de Storybrooke. Plusieurs petites affaires, des délits, des règlements de compte. Mais cette fois-ci c’était du lourd. Ce n’était plus une simple affaire de délits mineurs. Non, là, ils avaient été appelés pour une scène de crime. Et ENFIN Violette allait pouvoir aller sur le terrain pour aider ses collègues. Car oui, la brunette par son jeune âge n’était qu’une apprentie policière. La plus jeune de l’équipe. Mais elle avait à cœur de prouver qu’elle avait totalement sa place au sein de la police. Alors équipée de son gilet pare-balles, de son arme de service et de tout l’équipement qui était obligatoire pour aller sur le terrain, Violette prit place dans la voiture de patrouille. Elle était excitée mais également stressée. Elle avait hâte de mettre en pratique ce qu’elle avait vu et appris ces derniers mois. Mais la brune avait également peur de faire n’importe quoi, de poser les mauvaises questions aux témoins, de compromettre la scène de crime. C’était évident que dans un premier temps, elle se mettrait en retrait.
La destination finale fut le cinéma. Violette n’avait pas tellement eu d’information sur l’appel qu’ils avaient reçu. Combien y avait-il de victime ? Combien y avait-il de morts ? Qui étaient les auteurs ? Avaient-ils fuis ou étaient-ils encore présents dans le cinéma ? Tant de question qui se bousculait dans sa tête mais qu’elle n’osait pas réellement poser. Elle savait parfaitement qu’elle aurait les réponses grâce à ses collègues ou grâce aux premiers interrogatoires à chaud des personnes témoins.
Une fois sortie de la voiture, Violette avait suivi ses collègues à l’entrée du cinéma. Il y avait du monde, dont certains qui semblaient en état de choc. Mais pour l’instant, il ne semblait y avoir aucun blessé. Le regard de Violette se posa alors sur une tête connue : Jean-Balthazar. Cela faisait depuis longtemps qu’elle ne l’avait pas vu…Le concert de rock organisé par la Mairie. C’était la dernière sortie qu’ils avaient faite ensemble. Le voir ici faisait autant plaisir que flipper. Etait-il blessé ? Est-ce qu’il avait vu quelque chose ? De là, elle n’arrivait pas à lire l’expression de son visage, elle n’arrivait même pas à voir s’il était blessé ou pas.
Et puisqu’il fallait bien commencer par quelque part, Violette décida de prendre des initiatives et de se diriger vers JB. De toute façon, elle n’avait pas envie d’aller vers d’autres garçons. Parler à des inconnus de sexe masculin n’était toujours pas quelque chose de facile pour la brunette, même en tenue de police. Quoi qu’il en soit, il fallait faire preuve de professionnalisme et de sérieux. Lui sourire n’était peut-être pas une bonne idée s’il avait été traumatisé. Alors Violette tenta d’avoir une expression neutre mais assez lumineuse, traduisant finalement qu’elle était contente de le voir…même si les conditions n’étaient pas les plus optimales.
« Bonjour JB. Ça fait longtemps ! Tu vas bien malgré tout ça ? »
Il était primordial de lui demander comment il allait, afin de savoir si elle pouvait lui parler ou non, si elle pouvait le questionner. Mais trop curieuse, Violette ne put s’empêcher de lui poser directement quelques questions. « Tu étais sur les lieux ? Tu as vu ou entendu quelque chose ? »
Quel manque de tact. Puis pour le professionnalisme, on repassera. Elle ne connaissait même pas exactement la situation. Peut-être que finalement, elle aurait dû rester avec ses collègues et ne pas foncer tête baissé vers les témoins potentiels de l’affaire de la soirée.
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L'après-midi cinéma avait été écourtée. Et pas pour le mieux. La prise d'otage que j'avais subi me laissait encore un peu tremblant alors que je cherchais Viktor du regard. Il avait géré l'assassin mais je l'avais perdu de vu avec l'arrivé des forces de l'ordre. Il y avait deux cadavres dans le cinéma dont l'une totalement vidée de son sang grâce à mon ami. J'inspirais profondément alors que je suivais le mouvement dans le hall d'entrée, un peu hagard, je tournais la tête lorsque mon prénom fut prononcé. J'avisais Violette et lui adressais un petit sourire hésitant.
"Salut Violette."
Je la détaillais dans sa tenue de policière et mon sourire s'agrandit légèrement.
"Ça peut aller."
Au vu des circonstances, ça allait. Je n'avais rien, je n'avais pas été blessé et j'aurais pu avoir bien pire. Sans Viktor, je serais sans doute mort et c'était important d'évoquer la légitime défense pour qu'il ne lui arrive rien. Je hoche la tête pour confirmer, un peu surpris qu'elle ne sache pas encore ce qui s'était passé.
"J'étais sur les lieux oui. C'est moi qui... Enfin avec Viktor, on a découvert le cadavre du projectionniste."
J'esquissais un demi-sourire avant de frissonner en essayant de me rappeler des détails. Nous avions vécu bien pire à Halloween Town mais tout de même. Je cherchais encore mon ami des yeux avant de le voir discuter avec l'un des policiers. Je soupirais de soulagement avant de reporter mon attention sur Violette.
"On a prévenu l'accueil qui a prévenu la sécurité mais... le tueur était encore là. Il... Il m'a pris en otage et après... c'est un peu flou. Je ne me souviens pas bien. Je sais juste que Viktor m'a libéré de son emprise et après..."
Je haussais les épaules comme pour montrer que je ne savais plus vraiment ce qui avait eu lieu.
"Je ne sais pas vraiment... Mais il travaille avec la criminelle, il a l'habitude de gérer ce genre d'affaire."
J'esquissais un sourire, il n'arriverait rien à Viktor, il était du métier, tout comme Queenie. Je soupirais et reportais mon attention sur la jeune fille.
"Alors comme ça, tu es apprentie policière ? C'est bien."
Je lui adressais un sourire un peu plus franc alors que mon regard se perdait un petit peu dans le vague.
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Le carnet à la main, Violette prenait des notes. Elle écoutait attentivement les brides de récit que lui racontait Jean-Balthazar. Même s’il avait dit qu’il allait bien, Violette arrivait à percevoir qu’il était en état de choc. La preuve, il ne se souvenait pas de tout. Et c’était bien dommage, car derrière cette affaire, Violette allait certainement devoir rédiger son tout premier rapport, avec l’aide de ses collègues plus expérimenté, évidemment ! Néanmoins, elle ne pouvait pas en vouloir à son ami. C’était tout à fait normal d’être en état de choc après la découverte d’un corps sans vie. Le cadavre du projectionniste. Il fallait bien prendre en note. De plus dans l’histoire, JB n’était pas tout seul. Il y avait un certain Viktor.
« Bien. Est-ce que vous avez touché quelque chose à l’endroit où vous avez trouvé le corps ?! »
Il était important de savoir si la scène de crime avait été compromis ou pas. Mais surtout, qu’il ne fallait pas porter des accusations sur les deux jeunes hommes si des empreintes se trouvaient à l’endroit où le corps avait été trouvé. Toujours le carnet de note en main, Violette continuait à écrire, à souligner plusieurs fois le même mot. Prise d’otage. Mais où était le preneur d’otage ?!
« D’accord. Je vois. Et ce preneur d’otage, que lui est-il arrivé ? Vous avez réussi à le maîtriser ? »
Question quelque peu idiote, puisque si cela n’avait pas été le cas, JB ne serait pas là en train de faire la causette à Violette. Néanmoins la jeune policière avait besoin de plus d’information, ne serait-ce que pour comprendre toute l’histoire mais également pour renseigner ses collègues lorsqu’ils feraient l’enquête et le rapport.
Un détail dans les explications de JB intrigua quelque peu la jeune femme. S’arrêtant d’écrire, elle releva la tête, plongeant son regard – dont les sourcils étaient froncés – dans celui de JB.
« Viktor travaille avec la criminelle ? C’est-à-dire ?! »
Connaître les détails était importants selon Violette. Peut-être que cela ne servirait à rien, mais au moins elle ne passait pas à côté de quelque chose ! Mais la conversation dévia soudainement sur le nouveau métier de Violette. Une petite moue s’afficha sur son visage lorsque JB prononça le mot ‘apprentie’.
« Cela se voit tant que ça que je suis apprentie ?! »
Posait-elle les mauvaises questions ? Faisait-elle trop jeune pour être policière à 100 % ? Violette avait l’impression de ne pas être crédible dans son nouveau travail. Et pourtant elle se donnait complètement dans la police.
« Mais sinon, oui. Je suis entrée dans la police peu de temps après notre super croisière. J’ai oublié de te le dire au concert…Disons que nous avions été un peu occupé avec ces robots ! Puis après…bah j’étais portée disparue. Mais tu vois, je suis bien là, en chair et en os. »
Violette lui adressa un franc sourire. Il fallait dire que ces derniers mois n’avaient pas été de tout repos. En y repensant, Violette n’avait passé aucun mois sans un événement bizarre dans sa vie. Dernièrement, c’était sa disparition/mort/retour à Storybrooke après la bataille dans l’Univers Perdu qui avait fait couler de l’encre. Est-ce que JB avait été à son enterrement ? Ce n’était pas réellement une question à poser. Mais désormais, elle se le demandait.
« Et toi, qu’est-ce que tu fais maintenant ? Entre temps, tu as changé de boulot ?! »
Bon. Elle s’éloignait un peu de la raison de sa présence ici. Discuter avec JB était très plaisant. Il était un des rares garçons qu’elle appréciait réellement. Mais il ne fallait pas qu’elle oublie qu’elle était là pour en savoir davantage, pour retracer la chronologie des événements.
« Revenons à nos moutons. Ce que je vais te demander risque d’être un peu dur, mais tente quand même d’y répondre. »
Tournant une page de son calepin, Violette s’arma de nouveau de son stylo pour griffonner quelques mots au haut.
« A quelle heure à peu près as-tu trouvé le corps du protagoniste ?! »
Pourquoi n’avait-elle pas posé cette question plus tôt ? Tout simplement parce qu’elle n’y avait pas pensé. Heureusement que Chris n’était pas à ses côtés pour voir comment elle se débrouillait…car clairement, elle devait lui faire honte, le pauvre !
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Touché à quelque chose ? Est-ce que nous avions touché quelque chose ? Il fallait que je me rappelle ce que nous avions fait, ce qu'il s'était passé. Je secouais la tête, je ne me souvenais plus, tout était si flou. Je me passais une main lasse sur le visage avant d'inspirer profondément. Je me repassais le film dans la tête.
"Non. Nous n'avons touché à rien. C'est le... le gars du cinéma qui a ouvert la porte avec sa clé."
Je frisonne en revoyant le corps sans vie du projectionniste. Tout ce sang... Et pourtant, j'avais presque l'habitude de l'horreur à Halloween Town alors ce n'était presque rien. Et quand elle pose la question sur le preneur d'otage, je ne sais pas quoi répondre, il avait disparu. Je ne savais plus, tout avait été si vite. Je me mors la lèvre inférieure, incapable de répondre à cette question.
"Je ne... Je ne sais pas pour l'assassin. Je... J'ai... Je me suis caché alors..."
Je hausse les épaules d'impuissance, pourquoi fallait-il que ce soit moi qu'on interroge de cette façon alors qu'ils auraient mieux fait de s'en prendre au vrai coupable. Je ferme les yeux et soupire, rouvrant les paupières quand elle évoqua Viktor. Forcément, il fallait que ce soit ça qu'elle relève.
"Il est criminologue."
Et espion. Mais ça, je me gardais bien de lui dire. Je lui adressais une petite moue gênée. Elle ne l'avait sans doute pas encore rencontré. J'esquissais un sourire amusée alors qu'elle semblait gênée que j'ai relevé qu'elle était apprentie. Je secouais la tête sans arrêter de sourire.
"C'est juste que... et bien tu es un peu jeune pour être titulaire."
Ce n'était pas pour la blesser et même pour la rabaisser. C'était simplement un fait. Et je souris lorsqu'elle confirme mes propos. J'avais effectivement appris qu'elle avait disparu et qu'elle était revenue. J'avais été à son enterrement, j'avais vu son père pleurer, son frère aussi.
"J'ai été heureux d'apprendre que tu n'étais pas vraiment morte."
Je pose un regard compatissant sur elle. Tout le monde avait été soulagé de la nouvelle. A nouveau, je hoche la tête alors qu'elle change de sujet.
"Oui, je travaille chez Airgoon maintenant. J'ai laissé tomber mon père. Enfin pas complètement, j'ai encore des parts de l'entreprise."
Je ris doucement, travailler pour Théodore était une bouffée d'oxygène mais l'angoisse que mon père provoquait en moi était elle encore bien trop présente. Je perds mon sourire lorsqu'elle reprend son air sérieux en tournant une page de son calepin. Je hoche la tête et inspire profondément en tentant de me souvenir.
"Et bien... la séance était à quinze heure. Et on a vu le début avant que l'image ne commence à sauter. On avait le son et un écran noir. Et ensuite tout à coupé. Tout le monde est sorti et Vik a senti quelque chose. Il m'a demandé d'aller chercher quelqu'un à l'accueil et quand on a ouvert, on a trouvé le corps du projectionniste. Il était peut-être seize heure. Je ne sais pas trop, je n'ai pas regardé l'heure."
Je me mors la lèvre inférieure un peu anxieux. Il espérait ne pas avoir fait d'impairs ou ne pas avoir dit quelque chose qui pourrait mettre son ami dans une situation délicate.
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Il y avait du positif et du négatif dans ce que JB disait. La scène de crime n’avait pas été souillée. Violette nota l’information sur son calepin. C’était une donnée essentielle qu’elle communiquerait dès que possible à ses collègues…bien qu’à l’heure actuelle, la scène devait déjà être passée au peigne fin par les équipes spécialisées. Malheureusement, dans ses réponses, JB venait d’apporter une mauvaise nouvelle. Il n’avait rien vu pour l’assassin. Face à cette annonce, Violette ne put s’empêcher de froncer les sourcils, interloquée.
« Je pensais que tu l’avais vu…tu m’as dit que tu avais été pris en otage. Et que c’est Viktor qui t’a libéré de son emprise. Qu’est-ce que ça veut dire d’ailleurs ? Qu’a-t-il fait concrètement ?! »
L’histoire à partir de la prise d’otage était floue. Mais Violette venait de griffonner le nom de Viktor sur son calepin. Il était un élément clé dans cette affaire et clairement elle espérait que ses collègues étaient en train de l’interroger en ce moment même. Criminologue. C’était un boulot peu commun, mais chacun son métier.
La brune passa une main dans ses cheveux, affichant un sourire quelque peu gênée. Oui. Elle n’avait que 19 ans, elle faisait jeune et peu crédible dans son nouveau boulot. La preuve, JB venait tout juste d’avouer qu’elle faisait jeune pour être titulaire. C’était tellement dommage de juger sur l’âge car Violette était persuadée d’avoir bien plus vécue de chose terrible que la plupart de ses collègues. Elle avait déjà sauvé des mondes. Elle avait déjà vu la mort en face. Elle avait déjà subi des agressions. Bref, elle avait l’impression d’être légitime dans son boulot. Maintenant il ne restait plus qu’à le montrer aux autres.
« Oui, jeune mais pas pour autant inexpérimentée. J’arriverais à prouver que même les jeunes peuvent réussir à se faire une place dans la police, en ayant les bonnes compétences ! »
Et quelques aides. Clairement, ses dons lui permettaient de se sortir de quelques situations dangereuses parfois, lors des entraînements. Mais comme Lagertha lui disait, il fallait qu’elle apprenne à se défendre et à attaquer sans ses dons, comme un policier lambda. Ses supérieurs attendaient ça d’elle, également.
Lorsque JB lui avoua qu’il était heureux qu’elle ne soit pas morte, la brune ne put s’empêcher d’avoir un grand sourire sur son visage. Cela faisait toujours plaisir de savoir que l’on est apprécié et qu’elle pouvait compter JB dans ses amis. Et lorsqu’il continua à répondre aux questions de Violette, le sourire se fit plus grand. Elle était ravie de savoir qu’il ne travaillait plus avec son père. Au fil des discussions, la brunette avait appris que les relations entre son père et JB n’étaient pas les meilleures du monde. Trop de pression. Alors de savoir qu’il travaillé dans un autre domaine rendait Violette joyeuse.
« Oh mais c’est une très bonne nouvelle ! C’est quoi Airgoon ?! »
Autant se renseigner. Cela lui permettait de se mettre à la page sur JB, qui était quand même son ami. C’était important d’entretenir ses relations, amoureuses ou amicales. Et sur ce point-là, la Violette solitaire avait encore du pain sur la planche. Cela viendrait sans doute petit à petit. La brune était pleine de bonne volonté.
La discussion était redevenue sérieuse. Le travail d’abord. Même si elle aimait apprendre de nouvelles choses sur JB, elle devait rassembler le plus d’information possible. 15H, séance. 16H. à peu près pour la découverte du corps. Cela laissait une bonne heure de battement.
« Hum. Je vois. Merci. »
Griffonnant de nouveau sur son calepin, Violette fit une petite moue. Maintenant qu’elle avait des informations sur le début de l’histoire, il lui en fallait sur la prise d’otage. Cela risquait d’être douloureux de parler de ça, puisque ça l’obligerait de se souvenir d’événement traumatisant. C’était un peu comme si on demandait à Violette de raconter son viol. Impossible. Mais la brunette se risquait quand même de lui demander.
« D’accord. Donc vers 16H, Viktor et toi, vous avez découvert le corps du projectionniste. Mais qu’est-ce qui s’est passé ensuite ? Comment vous vous êtes retrouvés nez à nez avec le tueur ? Comment est-il passé de tueur à preneur d’otage ? Est-ce que tu peux me donner tout ce que tu peux, ce que tu te souviens, depuis le début de votre rencontre avec le tueur ? »
Pour l’instant elle s’intéressait à JB, puisqu’elle l’interrogeait lui. Mais elle savait qu’il serait important de faire de même avec Viktor, si cela n’était pas déjà fait. Gardant sa petite moue désolée, elle tenait son stylo, prête à prendre toutes les notes importantes par rapport à ses prochaines réponses.
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A ne pas vouloir en dire trop, je m'embrouillais et j'en devenais incohérent. Je me mordais la lèvre alors que Violette relevais ma petite bourde. Je passais une main un peu tremblante dans mes cheveux courts. C'était bizarre de ne plus les avoir mi-longs. Nouvelle vie, nouvelle apparence. Ce n'était pas pour me déplaire mais parfois, j'étais encore un peu perturbé par ce que le miroir me renvoyait.
"Je... Tout a été très vite. Je... C'est un peu flou."
J'inspirais profondément avant de tenter un changement de sujet peu subtil mais qui fonctionna. Je ne voulais pas la froisser ou même appuyer sur son inexpérience et je hochais la tête alors qu'elle affirmait qu'elle montrerait de quoi elle était capable. Je n'en doutais pas, bien au contraire.
"Oui, bien sûr. Je suis certain que tu réussiras brillamment."
Elle était déjà très forte pour une fille de son âge et elle avait déjà beaucoup d'expérience visiblement. Je lui adressais un grand sourire, c'était déjà génial qu'elle sache ce qu'elle voulait faire de sa vie. Beaucoup de jeunes de son âge se cherchaient encore. C'était difficile parfois de trouver sa voie. J'aurai aimé pouvoir avoir le droit de choisir la mienne mais aujourd'hui, je ne me plaignais pas. J'avais des conditions de travail idéales. Théodore était un patron génial même si parfois exigeant mais après tout, s'il voulait obtenir ce qu'il cherchait c'était parfois nécessaire. Je fus surpris que Violette s'intéresse à ce point à mon nouvel emploi et je souris amusé à sa question.
"C'est une grosse entreprise de nouvelles technologies. Principalement tournée vers l’aéronautique mais aussi vers les technologies de demain. Nous travaillons principalement pour l'armée mais aussi pour de grosses entreprises de téléphonie ou de robotiques."
C'était un domaine assez complexe à comprendre même pour moi. Je ne captais pas toujours toutes les subtilités de tous les postes. J'étais parfois un peu perdu sur les recherches pointues qui étaient réalisées au sein de l'entreprise.
"Je suis le directeur des ressources humaines."
Je gérais tout le personnel, le recrutement, le management des projets et des équipes. C'était un poste beaucoup plus intéressant à réaliser chez Airgoon qu'à la conserverie. Et la paye était bien meilleure également, même si je n'avais jamais eu à me plaindre de ce côté. L'argent n'avait jamais été un problème dans ma famille. Et la discussion dériva à nouveau sur l'enquête comme si la jeune femme se souvenait qu'elle avait un métier et qu'il lui fallait le réaliser correctement. Je poussais un petit soupir et m'obligeait à lui raconter tout ce dont je me rappelais. Le plus fidèlement possible.
"Ensuite et bien... Le gars de l'accueil a été vomir dans la poubelle et il a appelé la sécurité qui a débarqué dans la salle. Nous on s'est mis un peu à l'écart avec Viktor. Et après... J'ai eu envie d'aller au toilette. Sauf que le tueur s'était planqué là-bas alors... Bah il m'a menacé de son arme, en le mettant sur ma gorge et il m'a enfermé dans une pièce avec lui dedans après. Il disait qu'il allait me tuer si je bougeais ou que je parlais. Viktor nous a retrouvé et ils se sont battus. J'avoue que... j'ai gardé les yeux fermés tout du long alors... quand je les ai rouvert Viktor m'aidait à me relever et la police était dans le Hall. Je sais pas. Je sais pas où est le tueur. Et comme dit, Vik a l'habitude de ce genre de problème. Il a dû le gérer. Tes collègues sont déjà en train d'en discuter avec lui, je les ai vu partir avec lui y a quelques minutes."
Je me dandinais d'un pied sur l'autre. J'étais presque sûr que le tueur était mort. A partir du moment où il s'en était pris à moi, il était devenu un homme mort. Un en-cas pour vampire.
*Violette Parr
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C’était toujours plaisant d’entendre les encouragements des personnes que l’on apprécie. Et JB en faisait partie. Alors lorsqu’il lui notifia qu’il était certain qu’elle réussirait brillamment, Violette ne put s’empêcher d’afficher un large sourire sur son visage. On pouvait lire la fierté dans ses yeux. Elle était fière d’elle et de l’image qu’elle pouvait renvoyer. Sur le visage de Jean-Balthazar c’était plutôt la surprise que l’on pouvait voir. Pourquoi l’était-il ? Parce que Violette s’intéressait à sa vie ? C’était ce que les amis faisaient non ? Ou alors, elle avait vraiment beaucoup à apprendre ! Mais Violette laissa cette surprise de côté afin d’écouter attentivement les explications du brun sur son boulot. Et c’était vraiment intéressant ! Les yeux grands ouverts, agréablement surprise par l’entreprise que JB lui décrivait, Violette hochait la tête.
« Et bah ouawh ! C’est pas une entreprise inutile ça ! »
Et le fait qu’il soit carrément directeur montrait les qualités de JB.
« Félicitation Mr le directeur ! »
Ca ne devait pas être un boulot facile. Il devait sans doute y avoir énormément à gérer. Mais c’était comme tous les métiers. Il y avait à chaque fois des facettes plus faciles et des facettes plus difficile. Et dans le métier de Violette, ce qui était le plus difficile c’était de rester neutre et l’esprit frais malgré les circonstances. Là, par exemple, il fallait qu’elle parvienne à finir d’interroger Jean-Balthazar alors qu’elle n’avait qu’une seule envie, c’était celle de rattraper son retard de plusieurs semaines sur la vie de son ami. Mais le travail avant tout. Alors Violette secoua nonchalamment la tête pour chasser toutes les pensées de sa tête et n’écouter que les paroles de JB.
« Le tueur s’est planqué dans les toilettes. Intéressant. »
Il fallait donc rajouter ce lieu dans l’enquête. Peut-être que le tueur/preneur d’otage avait laissé des indices. Puis lorsqu’il évoqua une nouvelle fois Viktor, Violette ne put s’empêcher d’entourer plusieurs fois ce prénom. Il était de plus en plus suspect et devait forcément savoir plus de chose que JB. Cela n’était pas étonnant que Viktor se fasse emmener par ses collègues. Surtout s’il y avait un deuxième corps. Et vu comment JB gigotait, il semblait s’inquiéter ! Mais de quoi ? Que Viktor soit emmené par la police ? Ou d’autre chose ? Encore beaucoup de question qui restaient en suspens.
« Donc Viktor s’est battu avec le tueur ! Et l’issue du combat t’est inconnue ? Ou …. Tu penses à quelque chose ?! »
Violette observa les alentours. La scène de crime se vidait. Et alors qu’elle s’attendait à voir un brancard avec un sac noir, elle en vue deux ! La brune eut la bouche bée face à cette scène. Elle reporta rapidement son attention sur JB.
« Je comprends mieux pourquoi ils ont emmené ton ami. Je crains qu’il soit passé de témoin à suspect. »
La petite moue de Violette traduisait son embêtement face à la situation. Après tout, c’était quand même l’ami de JB. Malheureusement il n’y avait aucun traitement de faveur, pour personne. Toujours la petite moue gênée, Violette referma son calepin.
« D’ailleurs, je pense qu’il faudrait aussi qu’on aille au poste de police. Ne t’inquiète pas. Tu n’es pas suspecté dans cette affaire. Tu es simplement une victime…et un témoin clé. Du coup, il me faut ta déposition officielle. »
Cependant, il ne fallait pas oublier qu’il avait sans doute vécu quelque chose de traumatisant. Avait-il envie d’aller au poste là, maintenant ? Préférait-il peut-être passer une nuit, se reposer pour avoir les idées claires et un peu moins de traumatisme.
« Mais ça peut attendre après tout…Si tu veux, tu peux passer demain. C’est toi qui voit après tout ! »
Peut-être qu’elle ne respectait pas vraiment le protocole. Mais tant pis, il n’y avait plus grand monde pour vérifier. Il n’y avait plus que son collègue, qui interrogeait les derniers témoins, clients du cinéma, Violette et JB.
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Y avait-il réellement des entreprises inutiles ? Pourtant, je ne pus m'empêcher de rougir de plaisir sous les félicitations de Violette. C'était vrai que c'était un travail exigeant mais j'aimais ce que je faisais. Ce n'était pas toujours facile d'être intransigeant et sévère quand il fallait l'être mais j'étais toujours juste. Du moins, je l'espérais. Mais je fus rapidement ramené à la réalité par la jeune femme. Je racontais donc alors qu'elle notait dans son calepin. Je poussais un petit soupir tout en hochant la tête. Oui oui, dans les toilettes. Et puis tout tourna autour de Viktor et plus je tentais de le défendre, plus je l'enfonçais. Et à ce moment, deux sacs noirs furent emmenés et je compris que ce que je tentais de cacher venait de toute manière d'être découvert.
"C'était de la légitime défense. Rien de plus. Il m'a sauvé la vie. Ce... ce malade allait me tuer si Viktor n'était pas intervenu."
Et après et bien... Il avait dû se laisser emporter parce qu'il avait eu peur pour moi. Tout comme ses lèvres sur les miennes après. C'était sans doute juste... une erreur ? De la peur ? Trop d'espoir pour que je laisse les choses en rester là. Et clairement, je ne pouvais pas enfoncer Viktor. Pas après tout ce qui s'était passé. Je ne pouvais pas lui faire du tort alors que j'avais tant de fois tenté de resserrer nos liens. C'était trop bête.
"Je n'ai pas particulièrement envie d'aller au poste mais j'imagine que je n'ai pas le choix."
Je poussais un soupir en passant une main lasse sur mon visage avant de jeter un coup d'oeil à Viktor alors qu'il passait à côté de moi. Je lui adressais un petit sourire alors qu'il semblait prendre la direction du poste de police aux côtés d'un officier. De son plein gré. Ce qui était une très très bonne chose.
"Au point où j'en suis... autant y aller maintenant. Ce sera fait."
J'adressais un sourire à Violette avant de la suivre jusqu'à sa voiture de fonction. J'allais même avoir le droit à un tour en voiture de police. Youpi. Est-ce qu'elle allait mettre les gyrophares ? Ce serait amusant. Sinon, je pouvais nous y emmener en un clin d’œil. Ce serait plus simple et plus rapide. Et puis... elle était déjà au courant de mon pouvoir depuis notre aventure dans le Pacifique.
"Tu veux que je nous téléportes jusque là-bas ?"
Je tends la main vers elle avec un petit sourire pour qu'elle la prenne. Elle pouvait tout aussi bien refuser. C'était comme elle voulait. Et j'en tirais la conclusion que mon rencard avec Viktor était définitivement foutu.
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*Quelle belle bouche. STOP ! ARRETE DE PENSER*
| Conte : Les Indestructibles | Dans le monde des contes, je suis : : Violette Parr
Violette l’espérait sincèrement. Elle espérait sincèrement que Jean-Balthazar disait vrai, que ce deuxième corps résultait d’une légitime défense. Seule l’enquête le prouverait. Il était impossible de croire simplement la parole de deux hommes. Mais Violette ne voulait pas le faire plus déprimer ou le faire stresser. Elle se retient alors de faire une petite moue. Elle parvint à la transformer en un léger sourire réconfortant. « Je te crois. »
Mais là, c’était Violette qui parlait. La policière en elle ne pouvait pas le croire sur parole, surtout qu’il y avait surement des preuves contre Viktor. Et bien souvent, on disait que sans preuve, tout le monde était innocent. Mais là, ce n’était plus de la culpabilité de Viktor qu’il allait falloir débattre via des reconstitutions mais bien du fait de légitime défense ou non.
Hochant la tête, Violette marcha aux côtés de son ami pour se diriger vers la voiture. Elle n’était pas venue seule, mais avec son collègue…qui ne semblait pas encore avoir fini. Mince. Violette n’avait pas non plus envie de faire attendre JB. Alors lorsqu’il lui proposa de la téléporter là-bas, la jeune policière ne put qu’apprécier l’idée !
« Très bonne idée ! Ça ira plus vite ! »
Violette fit un signe à son collègue avant de lui crier des paroles pour qu’il comprenne ce qu’il en était.
« Je te laisse la voiture ! On se retrouve au poste ! A toute ! »
De toute façon, ce n’était même pas elle qui avait les clés. Sans doute ne faisaient-ils pas encore assez confiance à Violette pour lui laisser conduire la voiture de police. Qu’importe, la téléportation de JB permettrait un gain de temps considérable ! Et à Storybrooke, les pouvoirs, les histoires extraordinaires et les moyens de transports loufoques étaient monnaie courante. Son collègue n’y verrait donc pas d’inconvénient. Bien qu’au final, il pourrait très bien la transporter totalement ailleurs. Mais Violette faisait confiance à Jean-Balthazar. Elle se retourna d’ailleurs vers lui.
« Plus vite on aura terminé, plus vite tu seras débarrassé de tout ça. »
Et c’est après ces bonnes paroles que Violette prit la main que lui tendait gentiment JB. Elle en profita également pour fermer les yeux. Les trucs de téléportation et autre, elle n’en avait pas réellement l’habitude, cela lui donnait légèrement mal au cœur. Fermer les yeux la soulageait quelque peu.
Lorsqu’elle ré-ouvrit les yeux, elle se retrouva au poste de police de Storybrooke. Du moins, c’était l’impression qu’elle avait. Peu de moyen de confirmer parce qu’en fait, ils se trouvaient en plein dans une cellule vide et fermée.
« Euuuuh. Petit problème de destination ? Il était pas prévu qu’on t’enferme dans une cellule ou qu’on prenne ta déposition ici, hein ! »
C’était pas très accueillant comme endroit. Et évidemment, il n’y avait personne dans les parages, puisque personne n’était censé se trouver en cellule. Violette s’avança vers les barreaux de la prison. Elle y colla sa tête avant de prendre en main deux barreaux.
« Je n’avais pas encore fait cette expérience-là. Mais je dois avouer que je n’aime pas ça du tout ! »
Et si Papa Indestructible était là, il aurait déformé les barreaux en quelques instants. Malheureusement, il n’y avait que JB et Violette. D’ailleurs, y avait-il quelqu’un d’autre dans le poste de police ? L’appel de ce double meurtre avait mobilisé la plupart des équipes…En tout cas, dans cette situation la brunette était totalement inutile. Et même si elle avait une petite idée en tête pour les sortir de là, elle avait bien évidemment un très mauvais souvenir de leur dernière fois enfermé tous les deux : la fois dans le sauna où ils avaient implosés ou explosés, c’est à voir.
☾ ANESIDORA
Jean-Balthazar Trapp
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Liam Hemsworth
*Laisse moi faire quelque chose pour toi pour une fois...*
*bug...*
| Conte : L'étrange Noël de Monsieur Jack et les légendes urbaines | Dans le monde des contes, je suis : : Le fils du Père Fouettard
Bon... C'était pas normal. Je n'aurais pas dû me retrouver dans... Je ne savais même pas dans quoi j'étais. Une cellule ? Une cave ? Je m'étais pourtant concentré sur le commissariat. Ou alors... Merde.
"Bon... la bonne nouvelle c'est que nous sommes vivants. La mauvaise... C'est que nous ne sommes pas au commissariat."
J'avais regardé ce film d'horreur là avec des zombies et des cellules et des prisonniers. Et il se pouvait que potentiellement je me sois légèrement trompé de destination en pensant à mon point d'arrivé. Repensant à ce film chelou. Le truc étant que je ne savais absolument pas comment faire pour sortir d'ici ou ce qui nous attendais dans les minutes qui allaient suivre...
"Hum... je peux essayer de nous renvoyer dans le bon endroit ? Je me concentre correctement cette fois-ci."
Parce qu'il manquait plus que des morts-vivants sortent de je ne savais où. Cela dit, on était sans doute très certainement juste dans le lieu de tournage. Ou alors un manoir creepy de Storybrooke avec des truc qui faisaient peur. Quand un bruit de porte qui claque se fit entendre et me glaça le sang.
"Tu as entendu ?"
J'attrapais la main de Violette et la serrait très fort. On allait tous mourir. C'était horrible. Je ne voulais pas. J'étais trop jeune pour mourir. Oh mon dieu. Oh mon dieu. Oh mon dieuuuuuuu. Je ne voulais pas voir ça. Je fermais les yeux prêt à affronter mon destin.