« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Ni réseau, ni magie, ni amis... Seulement l'étrange personnage qui m'avait conduit ici et des hallucinations que je n'allais peut-être pas gérer longtemps selon leur persistance. Tout ça pour se débarrasser des effets indésirables de pouvoirs inconnus. Je ne savais pas exactement de quoi retournaient les siens si ce n'était dans la forme mais d'après son comportement, ça ne présageait rien de très bon pour moi. L'idée d'avoir de l'encre magique en moi me faisait frémir, me rendait mal. Qu'est-ce qu'il pouvait encore cacher après ça ? J'aimerais dire qu'il n'y a rien d'autre mais ce serait sûrement trop naïf de ma part, c'est d'ailleurs pour ça que malgré tout je restais sur mes gardes. Il était important que j'en sorte indemne à la fin. Storybrooke ne devrait même plus avoir de secrets pour moi quant aux ordures qu'il cache.
Je jurais que si mes pouvoirs ne me faisaient pas faux-bons ici, je l'aurais déjà plaqué au plafond de cette grotte, le laissant s'auto-détruire avec ses illusions. Mais non. Au lieu de ça, je contrôlais mes propres démons ainsi que ma respiration pour rester calme face à ses surnoms stupides. J'avais pris de l'avance, ne l'ayant plus dans mon champ de vision et pouvant me concentrer sur notre destination ainsi que sur les voix qui commençaient à s'élever dans mon dos. À plusieurs reprises, je m'étais retournée pour voir qui c'était et quand j'avais compris que ce n'était ni le garçon, ni aucune autre présence indésirable, je fis le lien avec le reste et nota une hallucination auditive. J'arrêtai donc de me retourner et je tentai également de ne pas écouter - chose difficile. Non... Je ne passerais pas des jours ici. Je ne tiendrais pas...
C'est alors que le blond s'avança vivement devant moi, grattant avec forces ses bras rougis par la pression de ses ongles sur sa peau. À quoi jouait-il ? Je le fixais d'un air totalement perplexe et perdu le temps de comprendre qu'il essayait de cacher quelque chose qui n'était pas réel. L'observant paniquer tout seul par divers vifs mouvements, je finis par m'avancer prudemment pour atteindre son poignet que j'attrapai et avançai vers moi. Son bras, marqué de ses propres griffures, ne montraient rien d'autres qui pouvait l'inquiéter et c'est en le laissant se dégager de mon étreinte que je redressai un regard calme et témoin pour le lui faire comprendre. Il semblait persuadé que quelque chose était là, sur lui. J'hochai la tête de droite à gauche avant d'hausser les épaules.
"Voir quoi ?"
Il n'y avait rien à voir si ce n'était son état. Heureusement, celui-ci se stabilisait peu après qu'il réalisa l'illusion. Le garçon reprit ses esprits, attacha ses cheveux qui étrangement s'étaient fait plus longs depuis notre arrivée puis poursuivit sa marche. Qu'est-ce que ça voulait dire cette transformation physique ? C'était courant de faire ça ? Devais-je poser la question ? Même si ce ne fut pas le cas, elle resta intérieurement en suspend et une autre pris sa place sur le devant de la scène tandis que l'individu avançait devant moi.
"Dis... Tu m'as pas dit ton nom, d'ailleurs -"
J'aurais souhaité pouvoir mettre une identité sur ce type et peut-être aurais-je du demander avant que nous nous retrouvions embarqués dans cette aventure, car il ne trouvait même plus le temps de me répondre. C'était tout juste s'il le trouvait pour me dire de le suivre. Non, à la place, il m'agrippait violemment le bras - je sentais la marque y rester - et m'emportait à l'écart du chemin dans un endroit plus sombre sans me laisser comprendre. Évidemment, je lui avais demandé de me lâcher tout en notant ses manières brutales et sauvages de faire suivre les siens sans demander permission. Il avait pas l'air de réaliser de son côté que je ne fonctionnais absolument pas comme ça.
"Bordel, tu fais mal ! M'énervais en m'extirpant de sa poigne d'un coup sec, juste au moment où il passait son doigt devant ma bouche pour me demander de me taire. T'as deux secondes pour retirer ton doigt..."
C'était plus simple de menacer avec la magie mais je saurais aviser s'il n'écoutait pas. De toute manière, il semblait véritablement me protéger d'un problème que j'ignorais et qu'il ne m'expliquait que maintenant. Comment exprimer ma joie quand il balançait ces petits détails au pire moment ?
"Tu te fiches de moi ? Maugréais-je. C'était pas assez important à rappeler pour toi, peut-être ?"
Puis, lasse, je soufflais en tentant de me concentrer sur les bruits alentours qui pouvaient ressembler aux grognements ou aux griffes d'un chien - même s'il ne laissait pas entendre qu'ils étaient communs. Mon cœur battait déjà à cents à l'heure sous la pression du silence mais la main du garçon posée sur ma cuisse n'arrangea absolument rien. Par réflexe, je m'étais vivement reculée sous l'électrochoc du toucher avant de remonter un regard dégoûté vers le coupable.
"T'es complètement malade ! Ma jambe était recouverte d'encre et même si l'excuse prenait un sens, son geste était de loin déplacé et... imprévu. Je grimaçais, agacée, fatiguée de lui, et bien peu préparée pour la suite des événements. Une "viande fraiche" ? Lançais-je d'un regard noir. Mais vas te faire voir ! C'est trop te demander de te comporter normalement ! On ne touche pas les gens comme s'ils étaient des animaux, je ne suis PAS un animal, ok ?! Même un chien ça se respecte plus que ça, sérieusement..."
Je dégoulinais de son... sang - ? - sur toute une jambe, maintenant. Comme quoi, ce n'était pas suffisant d'en avoir en moi, il fallait aussi que j'en soit recouverte. J'avouais être sur les nerfs mais j'avais toutes les excuses possible avec cet idiot. Arrangeais-je mon cas pour autant ? Ce n'était pas comme si je m'étais défendue avec la plus grand discrétion qu'il soit et ça, le garçon ne pouvait pas se priver de me le faire remarquer. Allez, ça allait me retomber dessus tout simplement parce que j'avais tenu à ma fierté. Désormais, ma position était totalement découverte et attirait l'attention d'un animal que j'avais peut-être vexé en parlant de son espèce. Un regard angoissé croisa deux immenses billes rouges sur un corps au pelage noir et... fumeux. Deux imitations parfaites, à la mâchoire acérée, salivant à grosses gouttes, se positionnèrent au côté du premier. Je déglutissais.
"Je ne sais pas, dis-je à voix étouffée, ce qui est le pire entre l'encre d'un corps et la salive de ces monstres."
Totalement pétrifiée dans la peur de déclencher la course des trois bêtes qui pour le moment ne faisaient qu'intensément me fixer, j'osais tout juste décaler ma tête vers celui qui m'accompagnait et avait, plus tôt, tenté de m'aider. Il devait bien en rire maintenant, du fait que je ne m'étais pas laissée faire. Je le haïssais autant que je me haïssais moi-même sur le moment. Levant les yeux au ciel par une fierté déplacée de cette situation absurde, je comprenais que de lui à moi, j'étais celle qui "avait besoin d'aide". Mais... Je n'allais pas lui en demander. C'était mon erreur, j'allais la réparer. Comment ? Très très bonne question.
Ce qui était certain, c'est que mon immobilité n'allait pas être imité par les chiens de garde pour toujours. À tout moment, ils pouvaient bondir sur moi et me décortiquer d'un seul croc. Il fallait donc... Que je parte en première. D'un vif élan, donc, je me mis à tracer à tout vitesse dans la direction opposée à celle que nous prenions initialement. Tant pis, je trouverais un autre chemin, s'il le fallait. C'est au même instant que les trois bêtes se mirent également à me poursuivre à grande élancées, ignorant totalement l'individu d'encre. C'était prévisible. J'accélérais la cadence tout en sachant pertinemment ne pas pouvoir tenir la longueur longtemps. Le tout était que j'ai assez de temps pour effectuer un enchaînement... Ce n'était pas la première fois que je me battais contre de tel monstre. Je n'avais pas besoin de pouvoirs ou d'aides. Peut-être que des armes auraient été utiles, néanmoins ?
"Ok... Tentons le coup..."
Je m'arrêtai vivement de courir et fit demi-tour sur moi-même. Trois têtes noires baveuses étaient sur le point d'ouvrir leur gueule pour m'y enfermer mais alors qu'ils s'approchaient, je bondis sur le museau de celui du centre, prenant à nouveau appui pour achever un salto et terminer sur son large dos. Les deux autres qui l'accompagnaient prirent le relais pour se jeter sur lui et donc - sur moi. C'est à un bon timing que je me remis à sauter de justesse pour les éviter et les faire se rentrer dedans. Ils se débattaient sur le dos du milieu qui donna un coup de pattes sur l'un pour qu'ils se dégagent. J'avais déjà pris de la marge à reprendre ma course inverse mais jetais toujours un œil derrière mon épaule pour voir si les chiens de garde reprenaient plus ou moins vite la chasse. C'est ainsi que je rentrai dans le garçon à encre sans vraiment le vouloir. À peine l'eus-je identifié que je l'empoignais pour continuer la course.
"Dépêche-toi, on doit s'éloigner le plus possible avant qu'ils ne me repèrent à nouveau !"
Je ne comptais m'excuser de rien quant à ce qu'il s'était passé car c'était de sa faute. Tout simplement. De plus, je m'étais très bien débrouillée sans son aide, preuve que je n'avais pas besoin de lui et que j'étais loin d'être le "papillon" qu'il décrivait. Empruntant un virage, une voix dans ma tête me stoppa net dans mes mouvements. Elle me disait - répétait - de prendre à droite.
"Je... Je crois qu'il faut que nous prenions à droite."
Je n'avais pas attendu une permission. N'écoutant que cette voix familière, je courus vers la direction demandée.
J’ai vu tes peurs se cacher près de notre passé. Et laisse-moi seul, laisse-moi loin de tes côtés. Mais oublie-moi, parcours ces flots, efface mes pas...
Pando
Bendy Williams
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Oh ! Alors ton idée pour m'arrêter c'est de mettre des collants ?
Je pensais qu'on allait sur Netflix mais si tu le demandes...
| Conte : Bendy & the ink machine | Dans le monde des contes, je suis : : Le Grand Bendy
Un sourire mauvais s'étira sur les lèvres du toon. Il l'avait pourtant prévenu de ne pas faire de bruit. Pourquoi le commun des mortels n'acceptaient pas de suivre les conseils qu'il donnait ? C'était pourtant évident ! Comme le complot des jeux de bars dirigé par l'Etat dans le seul but de soutirer de l'argent au petit peuple, afin d'enrichir les caisses. Aucun ticket n'était réellement gagnant. Enfin, là n'était sans doute pas le sujet du moment, puisqu'ils, enfin plus elle, risquait de se faire dévorer par les toutous préférés de la toon magicienne.
Quelle était l'objectif de courir comme une idiote devant des chiens. Elle ne savait pas que cela les existaient plus qu'autre chose ? Elle aurait gagné plus de temps à ne pas bouger, et le laisser faire. Ces êtres féeriques étaient tellement écervelé, il n'y avait qu'à voir son regard jugeant à chaque moment. Bon sang, devait-il vraiment l'aider à s'en sortir ou pas ? Quel était le meilleur choix ? Qu'est ce qu'il détestait devoir se creuser la tête sur la vie d'une autre personne alors que la sienne même pouvait être mise en danger.
D'un pas, non véritablement pressé, et toujours en réflexion sur la vie et la mort de la situation, Bendy suivit de loin Aisha. Peut être que si elle mourrait, cela avait la possibilité de lui faire une vie en plus... leur magie était foncièrement opposé mais s'il apprenait à la maîtriser, où à la fusionner avec son corps, il deviendrait encore plus puissant. Son fluide rose, semblait s'avérer utile en plus... Mais malheureusement il n'aurait pas la réponse avant de voir la sorcière. Et si elle se décidait, elle, de le tuer avant ? Non, c'était impossible, elle était bien trop empreinte à des notions comme "la bonté et l'amitié", enfin des notions bien trop écœurante pour une personne de son rang. En même temps, elle avait quelque chose dans son regard, qui lui signifiait qu'elle lui voulait du mal. Voulait-elle, elle même exploiter ses dons ? Après tout, l'encre n'avait pas l'air de la faire souffrir tant que ça ? Peut être qu'elle le maîtriserait plus ? Mais dans ce cas, voudrait-elle l'éliminer ? Ca, il n'en était pas question pour le chat noir. Il lui couperait les ailes s'il le fallait, mais il ne se laissera pas avoir par ses petits tours de passe passe. Et puis, juste avant, ne lui avait-elle pas demander son nom lorsqu'il était recouvert de faux trous sur sa chair ? Voulait-elle, prendre son identité ?
Visualisant le champ de bataille de loin, au vue de la taille des molosses, Bendy observa d'un oeil attentif les gestes souples de la jeune femme. Elle était douée en combat, ça il ne pouvait le nier. Mais était-elle aussi forte que lui s'ils se battaient ? Cela restait encore à prouver.
Sans regarder devant elle, Aisha se cogna contre la poitrine dénuée de musculature du toon. Saisissant sa main, comme il avait pu le faire précédemment avec elle, elle courut dans le sens opposé de la direction qu'elle avait prise. Pourquoi rebrousser chemin alors qu'ils avaient avancés d'un côté ? Certes, Bendy n'avait aucune idée d'où il allait, mais ce n'était pas une raison pour faire n'importe quoi.
- Pourquoi veux-tu absolument toujours tourner à droite ? Se demanda quand même l'ancien chat noir au bout de la quatrième fois. Nous tournons légèrement en rond.
Ne daignant pas répondre, et préférant courir vers l'inconnu. Bendy réitéra sa question lorsqu'ils arrivèrent dans ce qui semblait être un jardin de statuette. Finalement, ils n'avaient peut être pas tant tourner en rond que ça. Grincheuse, la fée se décida à lui répondit qu'une voix familière l'avait guidé jusqu'ici.
- Oh... toi aussi tu entends des voix ? Tu sais, mon psychiatre me dit souvent que ce n'est pas bon signe lorsque c'est le cas, où alors... Il se rapprocha de son oreille, redevenu taquin. C'est l'oeuvre de Moïra, et tu as foncé dans son piège tête baissé.
Repartant dans un rire espiègle, le toon se concentra sur les diverses statues qui se trouvaient autour d'eux. Il, sentait, leurs regards sur lui. Voulant le narguer de leur position figée.
(c) oxymort
Aisha d'Andros
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| Avatar : Kiana Ledé
If I could fly across this night
Faster than the speed of light I would spread this wings of mine
Through the years and far away
| Conte : Winxclub | Dans le monde des contes, je suis : : Layla d'Andros, fée des fluides
J'avais suivi une voix dans ma tête sans vraiment savoir si elle provenait vraiment de l'intérieur... Ou bien d'une illusion donnée par la sorcière. Évidemment, j'y avais songé. Mais celle-ci me semblait si particulière, si douce, si réconfortante... Je m'étais forcément dit qu'elle pourrait nous aider et nous sortir de là. C'est au bout d'un moment, lorsque le garçon me laissait entendre que je ne faisais que tourner à droite que je le réalisai à mon tour. Depuis un moment, la voix ne faisait que se répéter sur une même intonation et je commençais alors à douter. Et si cette voix n'était qu'un enregistrement qui défilait pour que je suive une route toute tracée ? Lorsque nous arrivions dans un jardin fermé décoré de statuettes, la voix s'arrêta alors pour ne laisser que celle de mon partenaire qui faisait part, railleur, de mon erreur.
"Je... Je ne sais pas. Hésitais-je à mon tour en haussant les épaules. J'ai simplement suivi, je -..."
Je ne pouvais pas dire que j'avais suivi mon instinct, c'était mentir. On m'avait sûrement trompé, il avait raison. Et à cause de moi, nous tombions directement dans le piège de sa Moïra. Qui était cette femme ? Je comprenais qu'elle puisse en vouloir à ce démon - pourquoi pas - mais à moi, par contre, je ne lui avais rien fait. Et si elle nous observait vraiment, c'est qu'elle ne devait pas me penser tant l'alliée du garçon qu'il pouvait le laisser croire. Je souhaitais juste terminer cette "mission" et rentrer chez moi au plus vite. Sous cet élan d'énergie de tout à l'heure puis les virées que j'avais pu prendre à l'écoute d'une hallucination auditive, je ne me sentais plus dans un état à faire quoique ce soit. Sûrement pouvait-on le voir, mais je pâlissais à vue d'œil. Était-ce le sang du démon qui réagissait à ma magie ?
"Je ne me sens pas super bien... Fis-je réaliser au jeune blond alors que j'observais les alentours à la recherche d'un endroit ou m'asseoir. Je ne sais pas ce que tu as fait à cette femme mais c'est à toi de résoudre le problème, je trouvais un banc en pierre sur lequel je m'allongeais, recroquevillée sur moi-même, une main posée sur mon front. C'est toi qu'elle ne veut pas voir, je n'ai rien à voir avec ça...-"
Je me sentais faible, tremblante, mais ne comprenais pas pourquoi. Après tout, je n'avais pas utilisé ma magie depuis la grotte ? Si Stella avait été là, j'aurais compris que par un manque de lumière elle pouvait perdre ses esprits. Elle n'était pas la fée du soleil et de la lune pour rien, après tout. Ces énergies lui était vital. Pour ma part, je n'avais besoin que de liquides à base d'eau et je doutais que ça soit le cas de son encre nocive.
"Ton encre absorbe tout le reste, espèce de -... Je soufflais. Mon regard quasi-absent ne fixait que le sol à carreaux qui, tout d'abord, semblait divaguer dans mon champ de vision. J'expliquais cela à, sûrement, une autre hallucination, mais lorsque le sol se déroba alors derrière le garçon, je paniquai. Derrière-toi !"
Une main s'était posée sur ma bouche - froide et dure comme... la pierre. Je tentai de me dégager mais malheureusement, ils n'étaient pas seuls à vouloir m'immobiliser sur le banc alors que je pouvais tout juste observer le maudit encrier éviter de tomber dans les limbes. Les carreaux de pierre qui nous servait encore de pieds à terre tombait l'un après l'autre dans un trou profond, noir, que j'espérais ne jamais avoir à le rencontrer de près. Le banc de pierre, encore, se trouvait dans l'herbe, une zone qui semblait sauve si on ne se concentrait pas sur les statues menaçantes qui empêchaient nos mouvements. Aucun ne parlait mais c'était limite s'il ne nous étranglait pas pour que nous, nous parlions.
"Fais quelque chose - ! Je réalisai ne pas connaître son nom. Comment ça se fait que je ne sache toujours pas comment tu t'appelles ?!"
Ce n'est pas comme si je ne lui avais pas posé la question ! Difficile de discuter de ce manque d'informations dans une situation pareille.
J’ai vu tes peurs se cacher près de notre passé. Et laisse-moi seul, laisse-moi loin de tes côtés. Mais oublie-moi, parcours ces flots, efface mes pas...