Quel est ton goût de glace préféré ? (avec Midnight)

________________________________________ 2019-06-05, 00:30

Quel est ton goût de glace préféré ?

Nous avons fraise, chocolat, pistache, menthe, schtroumpfs, ... etc.

Axel regardait à nouveau la jeune femme assise sur la banquette la plus éloignée. Il servait une personne à la fois … tranquillement et avec toujours un sourire, une phrase gentille et de la bonne humeur … Il n’était pas payé pour donner de la bonne humeur aux clients. Il n’était même pas payé pour être de bonne humeur d’ailleurs … jack ne vérifiait que peu son travail … mais quel importance ? Tout le monde pouvait deviner qu’Axel ne faisait pas ce boulot que pour l’amour de la glace… mais aussi pour l’amour qu’il peut donner aux gens. Il était fait pour ça. Et il aimait croire qu’il était bon dans son travail.

Sauf pour la fille sur la banquette la plus éloignée. Il n’avait pas trop osé lui parler …. Mais plusieurs fois il était venu s’assoir en face d’elle, en souriant. Il lui avait aussi plusieurs fois changer sa glace. Il avait changé les goûts, les couleurs. Il avait fait des visages qui sourit, qui rit, qui tire la langue. Il avait même essayer de se faire une version de lui en bonhomme de glace… mais il n’avait jamais réussi à avoir l’attention de la jeune femme… elle restait simplement assise là. Eloignée de tous, seule… et à regarder dehors.

Axel n’était pas le genre à se mêler de la vie des uns et des autres. Bien sur, il se portait toujours volontaire pour un câlin, pour un conseil ou même pour un sourire … mais il ne se mêlait pas. Il n’avait pas envie de savoir qu’un tel avait trompé un tel pendant qu’un autre avait fait tel chose à un autre. Il ne voulait pas « apprendre » les choses. Il ne désirait pas être au milieu d’une histoire où l’on ne l’avait pas invité… Sauf bien sur dans le cas où il y a un danger pour la personne.

Sinon, il ne se mêlait pas. Il attendait juste qu’on le mêle. Qu’on finisse par lui parler, par lui sourire, par rire de ses âneries qu’il avait pris tant de plaisir à découvrir. Par exemple, maintenant il savait tirer la langue. Oh bien sur, il savait le faire avant le levé de la malédiction… Mais il ne fallait pas oublier qu’il était un bonhomme de neige. Alors était ce nouveau pour lui de tirer la langue. Non ? Un bonhomme de neige ne possède pas de langue. Donc pour tirer la langue … Il avait vite appris l’art subtile du tirage de langues aux enfants sans que leurs parents le remarquent… Et cela faisait toujours rire les enfants. Il adorait entendre des rires.

Mais ce jour là donc… On n’était pas vraiment un jour où Axel pouvait se permettre de tirer la langue. Parce qu’il y avait la fille de la banquette la plus éloignée. Celle qui ne mangeait jamais. Celle qui ne l’avait jamais remarquer, qu’importe ses efforts silencieux. Peut être était il temps d’essayer de lui parler ? Axel grimaça. Oui, il le faisait aussi quand quelque chose le préoccupé assez et qu’il n’avait pas le temps d’y penser. Il retroussait son nez et serrait les dents. Aujourd’hui, il irait lui parler.

Là tout de suite … dès qu’il aurait servi les trois personnes qu’il devait. Même s’il était préoccupé, il n’en resta pas moins un vendeur toujours souriant. Et il ne comptait pas donner une mauvaise impression du magasin de Jack … Il finit les trois personnes et enleva sa charlotte de la tête. Il fallait le savoir, le budget de charlotte était incroyablement dans ce genre de lieu. Il s’approcha de la jeune femme. Et comme il l’avait fait déjà plusieurs fois avant, il s’assit en face d’elle. Souriant… il finit par se raclait la gorge et dire :

- Excusez moi Mademoiselle, mais … est ce que vous n’aimez pas mes glaces ?

Bon officiellement il ne les faisait pas tout seul. MAIS, il faisait toujours en sorte qu’elles soient mignonnes quand il le pouvait. Et la glace fondu de la jeune femme, qui avant représenté un smiley … ne ressemblait plus à grand chose… et il était sur que la jeune femme ne l’avait même pas remarqué. Il va de soit que rien dans son ton, dans son sourire ou dans son aura n’illustrait un agacement ou une colère. Non. Axel était indiscutablement le bonhomme de neige qui ne comprendrait jamais la colère. Il voulait simplement ... trouver un moyen pour avoir un sourire de la jeune femme. Et quand il avait une idée fixe, qu'importe qu'il neige, vente ou grêle, il ferait tout pour atteindre son objectif.

Code by Joy

________________________________________ 2019-06-26, 17:02

L'HUMANITE EST UNE FAIBLESSE
est je ne veux plus jamais être faible.

Feat. Axel, un ancien bonhomme de glace qui aurait pu décider de prendre sa retraite mais non, au lieu de ça, il préfère apporter la joie aux autres. Bonne chance vieux !

.

Le temps s’écoulait avec une lenteur infinie.

Pourtant, ils passaient le plus clair de leur temps à courir partout, comme si le temps allait finir par leur manquer. Lorsqu’ils faisaient ça, il m’arrivait souvent de les regarder faire, en silence. De longues minutes d’observation qui avait fini par en mettre mal à l’aise plus d’un. Tandis que d’autre, y voyait un bon moyen de communiquer.

Ils ne semblaient pas vouloir lâcher prise. Mes amis. Ce n’était plus seulement mon état psychologique qui les inquiétaient, mais mon comportement au quotidien. Parfois, ils discutaient entre eux. Cette impression qu’ils avaient eue à mon retour, n’en était plus seulement une à présent. Ceux qui disaient que quelque chose clochait, que j’étais comme morte à l’intérieur avait raison. La vie coulait dans mes veines, mais je ne ressentais rien. Je ne voulais rien ressentir. Je me sentais comme prisonnière entre deux mondes. L’obscurité me manquait. Un manque qui me plongeait dans un désespoir silencieux, consciente que plus jamais je ne retrouverais cette paix à laquelle on m’avait arrachée.

Le temps n’avait aucune importance. Je ne ressentais ni la faim, ni le besoin de me reposer. Et respirer était une chose que je devais m’efforcer de faire au risque, de manquer d’oxygène et de suffoquer. Chose, qui arrivait lorsque je dormais. Dormir… Avant, fermer les yeux suffisait à me donner l’impression que je ne l’avais jamais quittée. Que j’étais toujours plongée au cœur des ténèbres, à attendre que le moment soit venu pour moi de disparaître complètement. Mais aujourd’hui, fermer les yeux ne m’apportait plus le réconfort éphémère des premiers temps. Alors je ne les fermais plus. Jusqu’à ce que je sois incapable de faire autrement.

Ce qui arrivait de moins en moins souvent. Comme si mon lien avec la mort se renforçait au détriment de ce qui faisait encore de moi (malgré mon ressenti) l’une des leurs. Un être vivant. Humain.

« Excusez moi Mademoiselle, mais … est ce que vous n’aimez pas mes glaces ? «

Les glaces. L’on m’avait dit, que ma relation avec la nourriture était particulière. Je grignotais toute la journée, selon mes envies du moment devenant irritable voir « dangereuse » lorsque l’on se mettait entre la nourriture et moi, ou lorsqu’une main inconsciente traînait non loin de mon paquet de gâteau avec l’intention de se saisir de l’un d’eux. Je ne partageais pas ou peu. Et quelque soit les raisons d’un tel comportement, une part de moi, aussi infime et insignifiante soit-elle, avait besoin de se sentir vivante. Juste un instant.

Mais cela n’avait servie à rien. La nourriture n’avait plus rien d’attrayant. Le goût ne provoquait absolument rien en moi, quand bien même celui-ci n’était en rien était altéré par ma dernière expérience. Ce qui m’avait une nouvelle fois plongée dans un profond mal être. Installée au fond de la salle, les yeux rivés au loin, je repensais à ce que j’avais perdu incapable de revenir dans le monde des vivants. Je n’appartenais plus à ce monde, je ne le voulais plus. Je ne voulais pas me souvenir de ceux que j’avais perdu tout comme je ne voulais pas ressentir, la douleur de la perte des êtres chère. Des êtres dont j’étais incapable de me souvenir. A cause de ma dernière expérience, j’avais arrêté de dessiner. Je ne regardais plus les pages de mon carnet, fuyant ce que cela avait réveillé en moi. Ces visages inachevés étaient comme un poison. Un douloureux poison dont le seul et unique but, était de me ramener dans le monde des vivants pour que je puisse continuer à souffrir, comme chacun d’entre eux.

Mais je n’étais plus l’une des leurs à présent. J’étais autre chose.

« Cela a-t-il une quelconque importance ? » Questionna l’esprit de la blonde qui se joignait parfois à moi lorsque que mon regard se perdait au loin à la suite de la demande du nouveau venu.

- Je ne ressens rien. Comment aimer quelque chose alors que j’en suis incapable ? Je demande impassible en reportant temporairement mon attention sur lui, plongeant mes yeux hétérochromes (blanc/gris et noir) dans les siens. La nourriture n’a plus aucun attrait, même le goût n’éveille rien en moi.

Je penche légèrement la tête sur le côté, le visage inexpressif avant de reprendre a son attention.

- Cela vous contrarie t-il ?

Bien que sa réponse n’avait aucun réel intérêt à mes yeux, la question m’était venue tout naturellement. Comme les quelques bribes de souvenir incompréhensible qu’il m’arrivait parfois d’avoir. Information, que je n’avais pas jugé utile de partager avec qui que ce soit.

HJ : Et voilà. J'ai rajouté Max (ft. Taissa Farmiga) dans le rp. Pour le moment, elle ne se manifeste qu'avec Mina, mais peut-être qu'elle se rendra aussi visible au fil du rp à Axel ? Suspense... Bonne chance a lui en tout cas, il va en avoir du boulot avec Mina. Surtout que ce qui l'attend promet d'être haut en couleur.

.

________________________________________ 2019-06-27, 21:14

Quel est ton goût de glace préféré ?

Nous avons fraise, chocolat, pistache, menthe, schtroumpfs, ... etc.

HRP:

Axel pouvait attendre longtemps pour une réponse. Il n’avait jamais été un homme pressé. Oh bien sur il pouvait parler sans respirer… et faire un long discours sur la différence entre le gout framboise et le gout fraise … Mais il n’était pas réellement pressé sinon … Il penchait la tête sur le côté et souriait à la jeune femme de toutes ses dents blanches immaculés. Observant la jeune femme d’abord puis baissant les yeux vers la glace de la jeune femme pour revenir sur la jeune femme. Il appuyait du regard pour avoir son attention dans un sourire amical. Il pencha doucement la tête sur le côté avec une bienveillante non dissimulé. La jeune femme ne répondait pas du tout à sa question. Pire, elle lui posa une autre question … Il réfléchit en posa une main sous son menton.

- Je ne pense pas que vous ne ressentez rien. Là, par exemple en ce moment même vous ressentez du désintérêt. Vous êtes donc capable de sentir les choses.

Il sourit puis il eu une illumination…Cela pouvait clairement se voir parce que justement, son visage se transforma radicalement, passant du sourire à un visage … souriant mais avec une idée en tête… Un peu comme quand on bûche sur un examen depuis des heures et qu’on ne trouve pas la réponse, et que cette dernière décide d’apparaître sur sa tête d’un coup.

- C’est un peu comme le fait de ne penser à rien. Si je vous demande de ne pensez à rien, vous allez forcément penser au fait qu’il ne faut penser à rien, et donc vous ne pourrez jamais penser à rien. Les ressentis sont pareils. On ne peut pas jamais rien ressentir, on ressent toujours quelque chose même si on a du mal à le définir peut être … je trouve qu’il y a pas assez de mot pour définir tout ce qu’un être humain peut ressentir … C’est étrange mais ainsi est la vie. Et vous savez je fais plein de glaces différentes, je peux essayer de vous en faire trouver une que vous aimez.

Grand sourire et regard d’ange. Il était simplement en train de partir dans une conversation un peu trop philosophique pour lui … alors il reviens rapidement à ce que la jeune femme pouvait lui dire. Avec un grand geste il fit non de ses deux bras… en les agitant devant son visage.

- J’ai essayé de vous en offrir plusieurs des glaces, je ne l’aurais pas fait si cela me contrarier… Cependant je crois que j’ai tout essayé, et pas une seule semble avoir eu grâce à vos yeux… Alors ce qui me « contrarie »…

Il fit des guillemets avec ses mains pour bien faire comprendre que ce n’était en aucun cas un mot méchant de sa part.

- C’est surtout que j’aimerais vous faire sourire et que je n’y arrive pas… Alors je me dis que c’est peut être que vous n’aimez pas mes glaces… mais si ce n’est pas ça, alors je vais juste changer de technique pour vous faire sourire…

Il mit ses coudes sur la table et lui tendit la main.

- Salut, je suis Axel, et j’aimerais faire votre connaissance.

Honnêtement, on aurait pris n’importe quel autre homme sur Terre en disant cette phrase on aurait pu sentir une arrière pensée … Mais pas pour Olaf. Olaf était plus un enfant-adulte qu’un adulte. Il n’avait aucune arrière pensé dans ce qu’il faisait… et cela pouvait se sentir dans la manière qu’il avait de lui tendre sa main pour la salut. Bon … vu qu’elle semblait un peu triste, il ne l’attaquerait pas de câlin ….pas tout de suite en tout cas …

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________________________________________ 2019-08-08, 18:49

L'HUMANITE EST UNE FAIBLESSE
est je ne veux plus jamais être faible.

Feat. Axel, un ancien bonhomme de glace qui aurait pu décider de prendre sa retraite mais non, au lieu de ça, il préfère apporter la joie aux autres. Bonne chance vieux !

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L’on aurait presque dit, que le nouveau venu tentait de me convaincre que je me trompais.

Non. En réalité, ce n’était pas seulement une impression, c’était un fait. Celui qui m’avait vendu cette glace et qui m’avait rejoint un peu plus tard pour me demander si celle-ci n’était pas à mon goût, semblait vouloir me convaincre que j’avais tord. Que je pouvais encore ressentir des choses.
Avec un sourire et une bienveillance non dissimulé, celui-ci étaya même ces propos, en m’expliquant que s’il m’était possible de ressentir du désintérêt pour quelque chose, alors il m’était possible de ressentir tout court.

Il était persuadé d’avoir raison, cela ne faisait aucun doute. Pourtant, il ne pouvait pas avoir plus tord.

J’aurais pu dire, que j’étais morte. Vraiment. Pas d’une façon conventionnelle certes, mon corps lui, n’avait jamais vraiment cessé de fonctionner. Même quelque chose en moi avait changé, était différent. Je ne me sentais pas vivante, je ne l’étais pas. Je ne l’étais plus. Car avant de revenir, j’attendais la fin. Plongée au cœur des ténèbres, en paix, sans peur ni doute, j’attendais juste le moment de partir, disparaître à tout jamais. Jusqu’à ce que j’ouvre les yeux sur un endroit lumineux, effrayant, indistinct.. Ils ne comprenaient pas mes parole, parce qu’ils ne pouvaient pas comprendre, ils ne savaient pas. Alors comme pour les autres, je l’ai laissé faire. J’ai gardé le silence et l’ai écouté parler. Ecouter ce qu’il avait à dire.

Il était le premier être vivant qui croisait mon chemin depuis ceux qui s’était identifié comme mes amis. Bien que tous ne l’était pas. Comme eux, il semblait vouloir quelque chose. Il voulait un sourire. Quelque chose que je ne comprenais pas, quelque chose, dont je n’étais pas capable.

« Les vivants n’ont toujours vu que ce qu’ils voulaient voir. » Commence l’esprit de la blonde inexpressive, sans détourner le regard de l’extérieur de la boutique. « Celui-ci n’est pas différent des autres, seulement plus humain que la plupart d’entre eux. »

- Tu l’as été aussi. Je rétorque d’un ton égal à l’esprit de la blonde qui, à ses mots, détourne à peine le regard de l’extérieur vers ma direction, avant de finalement reprendre sa contemplation de l’extérieur silencieuse.

Aveugle, nous aussi nous l’avons été. Jusqu’au jour, où refuser de voir la vérité en face n’a plus été possible.

- Pourquoi ? Je demande inexpressive au jeune homme après avoir reporté mon attention sur lui, alors que celui-ci vient de m’annoncer qu’il souhaitait faire ma connaissance. Est-ce parce que votre humanité vous y pousse ? Ou bien parce que vous pensez qu’établir un lien avec moi, vous permettra de me mettre plus à l’aise et de faciliter votre entreprise visant à me faire sourire ?

HJ : J'avais pas vu que c'était aussi court. Bon bein on verra pour la prochaine fois..

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________________________________________ 2019-08-09, 22:20

Quel est ton goût de glace préféré ?

Nous avons fraise, chocolat, pistache, menthe, schtroumpfs, ... etc.

HRP - Ne t’en fais pas pour la taille, il n’y aucun soucis :D J’espère que ma réponse t’ira … elle lui pose une colle là x’D

Axel observait la jeune femme sans comprendre le fond de sa pensée … il l’imaginait comme … un boule de foie au far West … Oui .. C’était le plus proche de ce qu’il pouvait imaginer… elle semblait penser à plusieurs choses en même temps, et cela sans pour autant les mettre en parole pour éclaire la lanterne de notre bonhomme de neige … Il plissa les yeux pour essayer de comprendre, mais il avait un mal fou à cerner cette personne …

MAIS cela faisait trop longtemps qu’il n’arrivait pas à la faire sourire. Il ne pouvait pas laisser tomber maintenant … ça non… Il ne pouvait pas laisser la jeune femme dans sa banquette la plus éloignée sans avoir réussi à sortir quelque chose de positif de ses lèvres … parce que c’était une éponge, et que la tristesse de la jeune femme atteint Olaf comme si elle était la sienne … et puis, sourire n’avait jamais tué qui que ce soit…

Il savait que certains vies avaient été plus chaotique que d’autres, et que le monde continuait de vivre dans un chaos … presque totale … Mais Olaf était sur que le monde était beau tout de même et qu’il pourrait comprendre. A sa question … Olaf mit sa main sous son menton…. Il réfléchissait à la question très sérieusement … Faisant marcher les rouages de son cerveau pour trouver une réponse qui ne serait pas décousu de sens, puis d’un coup, son sourire réapparu plus vive et heureux que jamais.

- Parce que je vous aime déjà ! Parce que j’ai envie de donner tout le bonheur que j’ai dans mon coeur et de vous l’offrir pour que tout le monde soit heureux. Je sais que le monde n’est pas rose, qu’il ya … mhhh … de la tristesse et du malheur dans le coeur de tout le monde.

Y compris dans le sien.

- Mais je pense que si je n’essaie pas de rentre les gens heureux autour de moi, alors personne ne le fera pour moi. Et moi, mon bonheur passe par celui des autres. Même si je ne fais pas vraiment ça pour moi … mais parce que je vous trouve gentille. Vous restez là, tranquillement et j’ai eu envie de vous parler … mhhhh …

Il réfléchit à nouveau…

- C’est un peu comme un coup de foudre amical ! Ce qui me pousse à aller vers vous est un sentiment de … mhhh …

Il se gratta la tête doucement. Il ne savait pas mettre des mots sur sa pensée… Il manquait de vocabulaire pour l’expliquer correctement.

- Dit vous que je suis comme ça, c’est mon caractère qui me pousse à venir vous parler pour rendre heureux, et que c’est votre caractère mélancolique qui mit encourage… Et même si c’est pas logique, toute cette ville n’est pas logique alors …ahh …

Il ne savait plus comment mettre en forme ses mots … il reprit.

- Ne souriez jamais si vous ne le désirez pas, mais ne m’en voulait pas d’essayer. Parce que …

Il haussa les épaules doucement.

- J’ai été crée pour donner de l’amour, et j’adore faire ça !

Il était un bonhomme de neige fait par amour, avec amour et pour l’amour. Et ça, il ne pouvait l’oublier, c’était marqué au fer rouge sur son ADN : « Bouboule d’amour ».

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