« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Axel était … comme ce qu’il dirait soumis au temps … et surtout à deux tornades rousses têtues… Il ne pouvait pas les empêcher de faire ce qu’elles souhaitaient et malheureusement, elles désiraient lui venir en aide jusqu’au bout … Ce qui ne l’enchantait pas … Bien sur, ce n’était pas leur compagnie qui ne l’enchantait pas … mais le risque qu’elles prenaient pour lui… Il pinça ses lèvres d’un air peu décider … Il avait appris que les rousses étaient des têtes de mules, bien plus grandes que la plupart des autres couleurs de cheveux … Bon il ne connaissait qu’Anna réellement personnellement, mais la comparaison était suffisante …
- Je peux en racheter une ?
Bon … toutes ses économies passaient en cadeaux et en aides diverses … Il gardait juste assez d’argent pour son appartement, ainsi que pour manger … même s’il ne mangeait que peu … très peu … d’ailleurs, si on regardait un peu plus souvent le régime alimentaire d’Olaf, on remarquerait qu’il se nourrit presque exclusivement de glace, de jus de fruit ou de légume, ou de soupe à boire …. Et de chocolat au lait aussi … en faite, il buvait beaucoup plus que ce qu’il ne mangeait … mais Olaf ne remarquait même pas ce rituel si humain qu’il entreprenait tous les matins pour se nourrir… ou qu’il mangeait à midi… Il faisait un peu les choses d’instinct … Les jeunes femmes ne semblaient même pas avoir entendu sa proposition et étaient déjà en train de lister une liste d’ingrédient … Il pencha la tête sur le côté …hum…. Ok ! Il finit par hausser les épaules et ne rien dire de plus. Il les suivit jusqu’à leur demeure.
Il regarda Hainn qui l’arrêtait pour une raison qui le dépassait … elle disait des choses étranges aussi… Elles étaient du bon côté de coin… Il plissa les yeux … Il s’attendait à voir une maison sur les flots et que si l’on va du mauvais côté, alors on tomberait dans une rivière … ou quelque chose comme cela. Olaf était peut être naïf, mais il avait aussi une imagination très fertile. Donnez lui un mot, et il vous en fera un chanson. Donnez lui une phrase et il vous trouvera une histoire… donnez lui une histoire il vous en fera trois ou quatre autres fins alternatives, mais qui finisse tout bien. Il sourit.
- D’accord …
Olaf ne craignait personne… pas parce qu’il était trop fort, loin de là … mais plutôt parce qu’il ne voyait le mal en personne. Quand il mit le pied dans la maison des sœurs … il eu un moment de déception … Ce n’était pas une maison avec un centre qui pouvait pencher … alors il ne comprenait pas vraiment ce qu’elle voulait dire par « bon côté »… Peut être devrait il demander ? Na…. Les jeunes femmes étaient si occupés qu’Olaf se sentirait coupable de les déranger…
Alors il fit ce que tout invité ferait quand il ne sait pas quoi faire. Il se mit à un endroit et n’y bougea pas. Il demanda à la jeune femme si elle avait du chocolat chaud avec un sourire. Il ne voulait pas déranger, mais dans sa grande innocence, il se disait que l’on ne proposait pas quelque chose à quelqu’un si on ne désirait pas réellement offrir cette chose … Pour le reste, il resta silencieux. Sirotant son chocolat alors que les jeunes femmes semblaient jongler avec des plantes. C’était une image … mais cette image eux le mérite de le faire sourire. Il regarda tour à tour les jeunes femmes quand elles eurent « fini »… Il posa sa tasse sur la table et la repoussa pour les regarder.
- Bon … bon ….
Il disait cela d’un air grave, comme si quelque chose d’horrible venait de se produire, du point de vue d’Olaf en tout cas.
- Laquelle se décide à m’expliquer parce que j’ai absooooolument rien compris de ce qu’il vient de se passer ….
Sa deuxième phrase était plus douce, illuminé d’un sourire et de son regard chaleureux… même si c’était vrai qu’il n’avait rien compris … Ce n’était pas si grave. D’un coup d’œil il observa les bocaux et autres truck et muche qui se trouvait dans le petit chalet. Il reprit la parole avant que les sœurs puissent répondre.
- Vous n’êtes pas obligés de me répondre, mais ça vous coutera un câlin, je préviens juste… Juste je me sens un peu inutile, et je me suis dit que je pourrais essayer de comprendre, sauf que ça à l’air d’être au dessus de ma compréhension … Donc je risque de continuer à être inutile, en plus d’être curieux … mais je ne veux pas que vous vous sentiez obligé … ou même …
Il posa les yeux sur Hainn…. C’était elle qui l’avait mis en garde, et il pense qu’il commençait à comprendre un bout de son histoire…Il la regardait dans les yeux … comme une réponse à ce qu’elle avait dit plus tôt.
- Ou même honteuse. Je n’ai pas peur de vous. Mais si je veux ne pas être un poids pour vous, et que je m’en veuille toute ma vie de vous avoir embarqué dans quelque chose de pas forcément super gentil, alors je dois savoir ce que je peux faire pour vous aider …
Rien que de penser au fait qu’il pourrait être la cause de la douleur ou des malheurs des jeunes femmes ça le … …. Cela lui faisait peur… Bien plus que les choses non identifiées dans des bocaux.
- Voilà ...
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"L'une rêve de vivre
les pieds dans l'eau"
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quelque chose de plus beau"
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| Conte : Inventé ⊚ | Dans le monde des contes, je suis : : Samhainn & Samhuinn
Le glacier afficha un air grave. Le sourire de Samhainn disparu immédiatement tandis que Huin entrecroisa ses bras d'un air non-chaleureux. Toutes deux appréhendaient les mots qui allaient passer les lèvres du jeune homme. Mais rapidement, au fur et à mesure que le garçon s'expliqua, les deux rousses comprirent qu'elles n'avaient rien à craindre. Axel était seulement perdu, son esprit d'enfant naïf n'arrivait pas à rassembler les événements récents pour confectionner quelque chose de cohérent. C'était souvent l'effet produit quand on pénétrait chez les MacKenzie. L'incompréhension envahissait l'esprit des visiteurs, surtout ceux peu habitués à la magie, ce qui, par ailleurs était bien étrange si on habitait Storybrooke. Les deux sœurs se sentirent soulagées, elles se détendirent et de nouveaux sourires prirent place sur leur visage.
- Je... Nous allons vous expliquer. Commença Hain d'une voix douce, elle but une gorgée de thé chaud avant de reprendre. Samhuinn et moi avons été élevées par les fées, elles nous ont transmises tout ce qu'elles savaient sur les plantes, les arbres, la mer, la nature en général. Quand nous sommes arrivées ici, en même temps que les autres, nous avons commencé à vendre des remèdes, des amulettes, ce genre de choses, et de fil en aiguille...
- Nous avons été surnommées les sorcières ! La coupa Samhuinn avec un air ravi. Son statut de prétendue sorcière ne l'a dérangeait pas le moins du monde. Peut-être le sommes-nous réellement ma sœur...
- Peut-être... Fit Samhainn pensive. Les mots "sorcières" et "magie" ont tellement de définitions différentes. Je ne sais pas à laquelle me fier. Elle planta alors son regard dans celui du jeune homme. Mais, je peux vous assurer, que nous faisons le bien. Je ne vis que pour aider mon prochain.
- Vous pouvez la croire sur parole ! Dites-vous qu'elle refusait tout paiement en échange de nos remèdes ! S'écria Huin avec des yeux indignés.
Les deux sœurs rigolèrent. Il suffisait de les regarder pour voir à quel point elles étaient complices. Y-avait-il plus fort amour sur Terre que celui entre deux jumelles ? Chacune sacrifierait sa vie pour l'autre, en sachant qu'aucune de pouvait continuer de vivre sans sa sœur. Elles étaient complémentaires, comme le Yin et le Yang. Huin prit la tasse de sa sœur et la porta à ses lèvres. Hain lui tapa sur le bras.
- Sers-toi donc une tasse à toi ! La réprimanda-t-elle.
- J'avais juste envie d'une gorgée. S'expliqua Huin en ricanant.
Samhainn se rendit alors compte que dans leurs enfantillages fraternels, les deux rousses avaient laissé pour contre le jeune glacier. Hain resservit un peu de chocolat dans la tasse du jeune homme et lui disant que cela ne lui ferait pas de mal. De même elle remplit de nouveau la sienne. Cela faisait déjà un bon quart d'heure que les trois compagnons étaient attablés. Les jumelles appréciaient ce moment, la compagnie d'Axel était revigorante, il était comme un souffle d'air frais en plein été.
- Je vais aller chercher un vêtement pour remplacer le vôtre taché, je le mettrais à tremper, sinon la couleur des fraises restera imprimée à tout jamais dans le tissu. Dit Samhainn en se levant et en quittant la pièce.
Huin resta tenir compagnie au glacier, elle lui raconta quelques souvenirs de son enfance dans les forêts écossaises, et lui fit des blagues comprenant des mots à faire rougir à un marin. Samhuinn était plus à l'aise avec le langage et le mode de vie moderne, les gros mots elle les connaissait, mais jamais ils ne passaient ses lèvres en présence de sa sœur. Les deux compagnons partagèrent quelques minutes de rire. Samhainn mettait étrangement longtemps à redescendre, un simple haut n'était pourtant pas difficile à trouver. Un bruit lourd à l'étage fit se lever Samhuinn d'un bond.
- Hain ? Appela-t-elle. Pas de réponse. Je... Elle se tourna vers Axel. Je reviens. Elle partie presque en courant vers les escaliers, laissant le jeune homme seul au rez-de-chaussée.
Alors, un coup toqué à la porte se fit entendre.
Axel Oswald
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Personnage abandonné
| Conte : La reine des neiges | Dans le monde des contes, je suis : : Olaf
Olaf n’était pas le genre à faire des blagues …. Axel oui… Fin quand il était en Axel, il avait appris l’art subtil du « je fais croire à la seconde guerre mondial, pour ensuite demander le pain »…. Et cela le faisait beaucoup rire parce qu’il était comme ça. Il regarda les jeunes femmes … est ce maintenant il s’en voulait des leur avoir fait croire quelque chose comme ça ? Oui, mais il ne dit rien plus occupé à écouter qu’à parler -pour une fois-. Il écouta les jeunes femmes… même s’il avait eu plusieurs fois envie de les couper pour leur en demander plus. Elevé par les fées ? Mais c’était petit non les fées ? Les sorcières c’étaient pas si méchants, il en connaissait deux qu’il prenait pour ses amis… et même si elles ont fait des choses beurk, bah maintenant c’est plus le cas.
Il regardait les jeunes femmes… et il pouvait y voir Anna et Elsa a une époque qui était maintenant révolu. Anna et Elsa étaient deux soeurs très complices aussi, enfants. Olaf et son petit coeur de glace en avait encore mal au coeur. Après tout, il n’avait pas été câliner pendant des années quand Elsa s’était enfermé dans sa chambre. Il était perdu dans un souvenir, et il ne remarqua presque pas les enfantillages des jeunes femmes.
Il hocha silencieusement la tête pour lui dire qu’il acceptait de changer de vêtements. Mais même si la couleur des fraises restaient, ça lui fera un souvenir. C’était ce qu’il venait de se dire … mais après cette journée, il n’était pas sur de réellement vouloir se souvenir de tout…
Une soeur partit, la suivante aussi. Ils avaient passés un bon moment. Une compagnie agréable … et pourtant … Cette journée n’allait pas changeait notre bonhomme de neige …quoi que … mais il n’allait jamais l’oublier. Cette journée sera la première fois ou Olaf eu peur pour de vrai.
Alors que Huin monta pour chercher sa soeur. Quelqu’un toqua à la porte. Il n’était pas sur de devoir ouvrir. Il entendant Hain au dessus. Ses pas s’entendaient à travers le bois. Il ne comprit pas ce qu’il se passait… quand on toqua à nouveau à la porte, il décida de s’y rendre. Il ne faisait qu’ouvrir une porte, cela ne pourrait pas amener le mal dans leur demeure … si ?
Il ne comprenait pas encore très bien toutes ses histoires de magie et autres, mais il posa un regard sur les petits sachets qu’avaient fait les jeunes femmes… Au cas ou, il en prit un dans sa main, espérant ne pas annuler son effet, ou l’abimé, se faisant. Il s’approcha de la porte et l’ouvrit … et là ..
RIEN.
Pas âme qui vive, pas un déplacement d’air. Rien. Il entendait Hain l’appeler au dessus. Il tourna la tête pour regarder vers les escaliers. Il voulait lui crier que tout aller bien en bas… Mais ce n’était pas réellement le cas.
Tapis dans l’ombre, une bête attendait. Avait elle un rapport avec l’arbre qui était tombé ? Oui, et non. Sa famille vivait sous l’arbre et le fait qu’il soit tombé les avait blessé. La bête pleine de rage était venu se venger … et les seuls personnes qu’elle avait vu sur le moment, c’était les deux soeurs. C’était pour cela qu’elle avait attendu tapis dans l’ombre. L’homme n’était pas sa proie, mais il savait où elles étaient. La bête se jeta sur lui alors qu’il avait la tête tourné. Faisant tomber à plat ventre le jeune homme alors que ses griffes se plantaient dans son dos. Peut être qu’Olaf avait un peu crier il n’était pas sur… parce qu’il se retournait pour essayer de faire face à la bête. Il avait l’impression d’entendre un où sont elles ? Olaf décida de ne pas lui répondre. Il se releva pour se mettre entre la bête, qui ressemblait fortement à un loup, et les jeunes femmes. Bon, juste le buste étant donné que les pattes de l’animal était sur les cuisses d’Olaf l’empêchant de se mettre debout.
- Hain. Prends ton temps d’accord. Je monte t’aider dès que je peux.
Il ne disait pas un mot plus haut que l’autre. On avait limite l’impression qu’il était en train de parler à la jeune femme de finir de faire la vaisselle. Mais la réalité était qu’il commençait à avoir très peur. Il regardait les dents de la bête, et il imaginait ces mêmes temps dans le corps des jeunes filles. Il avait envie de pleurer de peur … Ce qui était l’acte le moins héroïque du monde, mais tant pis.
- Je ne sais pas ce qu’il se passe mais tue-moi si tu veux mais ne les touche pas. Elles sont gentilles, elles ne sont pas méchantes et ce sont mes amies !
Il avait toujours le gri-gri des jeunes femmes dans les mains. Il tremblait…. Pour sur. Il tremblait parce qu’il ne savait pas du tout comment faire pour défendre les jeunes femmes, sauf donner sa vie s’entends… Il ne savait pas comment les protéger de cette créature. Encore une fois, dans sa tête il cru entendre un « prouve le ». De sa main tremblante il donna le gri gri qu’il avait dans les mains. La bête n’était pas une bête démoniaque ou vraiment vilaine. C’était une créature en colère.
- Regarde, elles ont fait ça pour moi. Elles en ont fait trois. Des personnes méchantes en auraient fait que deux, non ?
L’animal sauta par dessus Olaf avant qu’il n’aie pu dire ouf. Il se releva rapidement, mais ses jambes étaient engourdis et il tomba à la renverse en essayant de se relever. Il lâcha un juron, fin un simple « oups » mais c’ était déjà trop pour Olaf. Et il monta les marches le plus rapidement possible.
Il ne connaissait pas les lieux, alors il suivait le son des voix. Il se retrouva d’un coup dans une pièce … l’animal devant la porte, et à l’intérieur les deux soeurs … dont une évanouie… Clairement, cette journée avait mal commencé, et Olaf refusait qu’elle se finisse aussi mal. Il avait un peu de sang dans le dos, mais les jeunes ne pourraient pas le voir, ce qui est une trèèèès bonne nouvelle. Olaf décida qu’après ce jour, les jeunes femmes n’entendront plus parler de lui… il venait de trop les mettre en danger pour pouvoir l’accepter …
Bien sur, nous on sait très bien que ce n’est pas comme ça que finira leur amitié, mais pour le moment, la peur d’Olaf lui faisait avoir ce genre de penser … et la peur d’Olaf empêcher de voir qu’il parlait d’abandonner des amis, même si elles seraient mieux sans lui… ce qui n’était vraiment pas quelque chose qui ressemblait à Olaf ……………………
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j'espère que cela te conviendra si besoin dit le je modifierais des choses
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"L'une rêve de vivre
les pieds dans l'eau"
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| Conte : Inventé ⊚ | Dans le monde des contes, je suis : : Samhainn & Samhuinn
Samhuinn monta les marches quatre à quatre et fonça dans la chambre de sa sœur. Elle poussa la porte violemment pour découvrir avec effroi Samhainn au sol, les yeux clos. Dans un cri, Huin se jeta sur le parquet et colla deux doigts au cou de sa sœur. Elle poussa le plus gros soupir de sa vie en découvrant que le pouls de sa jumelle était régulier. Hain était seulement inconsciente. La rousse commençait à inspecter sa sœur quand elle entendit des bruits fracassants venant du rez-de-chaussée.
- Axel ? Cria-t-elle de l'étage.
Le jeune homme lui répondit qu'il venait l'aider dès que possible. Qu'est-ce qu'il se passait en bas ? Huin voulut aller voir mais elle refusait de laisser sa jumelle seule et inconsciente. Surtout si un danger planait sur eux trois. Elle se leva pour saisir l'oreiller sur le lit de sa sœur et vint le glisser sous sa tête. Hain ne semblait pas blessée. Pourquoi s'était-elle évanouie soudainement ? Samhuinn inspecta la chambre, rien d'anormal ne lui sauta aux yeux. Le lit de sa sœur était au fond de la pièce et une fenêtre éclairait l'endroit depuis le mur de droite. Un tapis au motif païen habillait le sol de bois et évidemment, de nombreuses plantes sèches et en pots trônaient sur toutes les étagères à la place de livres. Ceux-ci étaient d'ailleurs à même le sol, formant une pile d'au moins un mètre de haut. Samhuinn n'aurait pas cru que sa sœur était si... bordélique, elle qui tenait toujours à ce que tout soit à sa place.
Alors que Huin allait par curiosité regarder le titre du livre sur le dessus de la pile, un grognement nonchalant se fit attendre au rez-de-chaussée. Qu'est-ce que ... ? Il y avait-il vraiment une bête sauvage dans cette maison ?
- Mon dieu Axel !
Le pauvre glacier était peut-être sûrement en charpies. Huin sentit ses tripes se serrer, elle paniquait. Samhuinn avait beau être l'impulsive, Samhainn était l'aînée et elle savait toujours quoi faire. La rousse pris sa sœur inconsciente par les épaules et se mit à la secouer vigoureusement. Mais ce fut vain, Hain ne revenait pas à elle, à croire que ce n'était pas un évanouissement naturel.
- Je t'en supplie ! Je t'en supplie ! Je ne sais pas quoi faire ! Hain !
Mais elle avait beau crier, le résultat restait le même. Samhuinn sentait son cœur battre à tout rompre. De grosses gouttes de sueur perlaient sur son front. Cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas subie pareil désespoir. Axel était mort, et elles deux n'allaient pas tarder à le rejoindre si Huin n'agissait pas. Mais elle était perdue, toutes ses pensées se confondaient, s'entremêlaient. Soudain, la voix du glacier la tira de sa panique. Il était en vie ! Samhuinn savait qu'elle ne pouvait pas abandonner, elle devait trouver une solution, elle devait les sauver tous les trois. Un grognement terrifiant ce fit entendre juste derrière la porte de la chambre. La rousse avait appris à reconnaître tous les sons produits par les animaux de la forêt, c'était un loup.
Huin déposa un baiser sur le front de sa sœur et se leva rapidement. En un instant, elle savait ce qu'elle devait faire. Aussi vive qu'un serpent, elle explora les quatre coins de la pièce avant de trouver ce qu'elle cherchait : l’aconit tue-loup et du gui. Deux puissants répulsifs à loup. Elle tint fermement les deux plantes de la main gauche et vint ouvrir la porte de la main droite.
Devant elle, un loup particulièrement grand se dressait. La rousse fronça les sourcils de colère, pour qui se prenait cette bête pour venir saccager leur maison. Mais la colère passa quand Huin croisa le regard de l'animal. Pourquoi lisait-elle de la tristesse dans ses yeux noirs ? Mais le moment était mal choisi pour comprendre le pourquoi du comment. La priorité était de mettre Axel et Hain en sécurité, donc de faire fuir la bête.
- Axel, baisse toi ! Lui ordonna Samhuinn.
Alors, elle dressa son bras gauche et planta les plantes droit sur la truffe du loup. L'animal pigna et Samhuinn s'approcha davantage lui criant de s'en aller. Comme elle l'avait prévu, la bête fit demi-tour sautant par-dessus le glacier, et repartie d'où elle était venue. Huin se promit de retrouver la bête et de tenter de l'aider, de toute façon, Samhainn le forcerait à le faire une fois réveillée.
- Mon dieu... Quelle journée... Souffla Huin en s'écroulant au sol. Tu vas bien ? Fit-elle en relevant les yeux sur le jeune homme.
Elle l'avait tutoyé instinctivement, après pareilles épreuves, le vouvoiement était de trop. Alors que la rousse se releva difficilement (ses jambes étaient figées suite à cette montée d'adrénaline), pour s'approcher d'Axel et vérifier qu'il allait bien, une petite voix survint derrière elle.
- Par Cailleach, qu'est-ce qui s'est passé ?
Huin se tourna prestement et se retrouva face à face avec sa sœur. Les rousses se prirent dans les bras. Samhuinn semblait ne plus vouloir lâcher sa jumelle. Mais d'un coup elle la lâcha pour venir serrer Axel dans ses bras. Mais alors qu'elle se relâcha, elle sentit ses mains pâteuses. Avec horreur, elle découvrit qu'elles étaient tâchées de sang.
- Oh non ! Vite descends ! Je vais te soigner ! Lui intima Huin avec autorité de peur qu'il ne refuse.
Samhainn les suivit après avoir ramassé la chemise qu'elle était allée chercher avant tous ces événements. Elle descendit au pas de course et tous les trois se retrouvèrent encore une fois autour de la table de l'atelier.
- Je crois qu'une autre tasse nous ferait du bien. Une bonne tasse de whisky. Hain partit chercher la bouteille et revint pour servir trois bons verres d'alcool.
Axel Oswald
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| Conte : La reine des neiges | Dans le monde des contes, je suis : : Olaf
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Que cherches tu?
Olaf & S&S MacKenzie
Axel ne savait pas quoi faire. Il était un peu perdu. Blessé l’animal n’était pas une solution. Après tout, il (-Axel-) l’avait certainement blessé en premier … Il était en train de manquer d’air. La respiration était saccadé par la peur qui le tiraillé. Il n’avait jamais perdu personne… fin jamais dans le sens « mort » du terme. Et il ne comptait pas que cela lui arrive un jour ! JAMAIS.
Axel essayait d’attirer le loup vers lui. Il voulait que l’animal s’occupe de lui… et seulement de lui. Inconscient de ce que pouvait faire Huin dans la pièce. Il ne pouvait pas réfléchir la-dessus. Son esprit n’était pas formater pour avoir différentes pensées cohérentes en même temps. Déjà réfléchissait-il, ce qui était une grande avancée dans l’histoire.
Quand il vit la jeune femme ouvrir la porte, il eu un instant un soupir de soulagement. Puis, il s’exécuta et se baissa…. Il sentit l’animal sauter à nouveau par-dessus lui. Axel l’observa partir par la porte qu’il avait laissé ouverte.
- On a commencé une partie de saute-moutons je n’étais pas au courant …
Dit il dans un soupire mi réprobateur, mi content. Il essayait avec cette phrase de détendre l’atmosphère qui n’allait certainement pas être des plus agréables ensuite. Axel regarda la jeune femme et sourit.
- Je vais très bien et toi et ta sœur ?
Axel n’était pas l’homme le plus fort de la terre, et encore moins le plus courageux … Il avait des tremblements sur ses mains qu’il essayait de dissimuler par des gestes constants. Oui, il était normale pour notre Olaf de faire une bataille de pouce avec ses deux pouces à lui… Il laissa les retrouvailles des deux sœurs se faire alors qu’il se concentrait encore pour ne pas se mettre à trembler des cheveux…
Quand une des sœurs vient l’enlacer. Il arrêta net de trembler et voulu lui aussi fermer ses bras sur la jeune femme… mais elle le relâcha pour le soigner … Axel avait la tête de la tristesse sur son visage. Qu’est ce que quelques égratignures contre un câlin ? Il suivit les jeunes femmes et se retrouva à nouveau en bas. Il récupéra le gri-gri qu’il avait laissé sur le sol et leur tendit.
- J’espère que je ne l’ai pas cassé … Je voulais l’utiliser pour le loup mais je n’ai pas su…
Il faisait une petite moue triste à nouveau alors qu’il se rassit sur son siège. Il posa le dos contre le dossier … et là, il sentit une douleur remonté le long de son échine. Il se décolla en faisant une grimace de douleur, il avait aussi émit un gémissement… Comme un animal avec une patte cassé qui aurait essayé de marcher… C’était le même. Axel regarda alors le dossier … pour y voir des traces de sang. Oh. Il commençait à avoir mal.
Comme les enfants. Ils ne sentaient pas la couleur avant d’avoir vu le sang… puis leur cerveau faisait le rapprochement entre le sang et la douleur et ils commençaient à pleurer ou à crier. Olaf ne cria pas, mais faible contre la douleur qu’il était il avait des larmes de douleurs qui apparaissaient. Pour essayer de se donner une contenance –qu’il avait déjà perdu depuis longtemps- Axel voulu boire le breuvage que Hain avait apporté. A peine avait il pris une gorgé, qu’il resta ainsi sans bouger. C’était de l’alcool ce n’était pas bon ! Mais cela ne se faisait pas de cacher. Alors il regarda les jeunes femmes et se força à avaler sa gorgée. Puis il reposa le verre. Il n’y toucherait plus jamais. Beurk.
- Vous avez des pansements ? Les gros pansements avec des dessins dessus, ça marchera pour faire fuir la douleur
Il leur fit un grand sourire alors que les jeunes femmes s’affairaient certainement pour le soigner de manière plus conventionnelle. Si elle venait à voir son dos. Elles y trouveraient des bleus, des traces… rien qui ne laissera de cicatrices définitive. Mais il en avait quelques unes. Rien qui n’empêchera Axel de sourire. Il sourit. Les bisous et les câlins magiques fonctionnés aussi très bien avec lui… même s’il avait très peu de câlins magiques. Il savait que ça fonctionner.
//Je me suis permise de dire qu’elles refuseraient de juste lui mettre des pansements, et te décrire son dos si tu en as besoin. Si ce n’est pas le cas n’hésite pas à juste ignorer les informations
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| Conte : Inventé ⊚ | Dans le monde des contes, je suis : : Samhainn & Samhuinn
Axel tendit le petit sac de protection aux jumelles. Il espérait de pas l'avoir abîmé. Les deux rousses lui sourirent, c'était un garçon attendrissant, toujours à s'excuser et à espérer de pas faire mal les choses. Comment pouvait-on enquiquiner pareil amour ? Qui étaient les sauvageons qui s'en prenait à lui ? Les rouquines se jurèrent mentalement de trouver les coupables. Si Axel ne voulait pas contacter la police, alors elles deviendraient la police. Deux agents rousses, adeptes de rituels païens, rien de plus sérieux.
- Il n'est pas cassé, et il a fonctionné. Le rassura Samhuinn. La preuve aucun de nous n'est blessé gravement. Face à un loup enragé comme cela, c'est un véritable miracle, tu ne crois pas ? Termina la rousse avec un clin d’œil.
Alors que Samhainn buvait son verre de whisky d'une traite et s'en resservait un autre, Huin lui racontait dans les détails tout ce qu'il venait de se produire. L'aînée des rousses était sous le choc. Pourquoi s'était-elle évanouie faiblement alors que sa sœur et leur compagnon était en si grand danger ? Elle ne s'était pas évanouie une seule fois, de toute sa vie, même pas quand elle vit une femme se faire brûler vive. Alors pourquoi avait-elle perdue connaissance aujourd'hui ? C'était un autre mystère à résoudre.
La voix d'Axel la fit sortir de ses réflexions. Le jeune glacier demandait pour des pansements. Les deux sœurs rirent respectueusement du jeune homme. Évidemment elles refusèrent de simplement couvrir son dos de pansements. Elles avaient des connaissances en médecine alternative, il était temps de s'en servir. Samhuinn remplissait un bol d'eau tiède, et amassait quelques linges propres tandis que Samhainn allait cueillir les plantes nécessaires à un cataplasme.
- Montre-nous ton dos Axel, ne t'en fais pas, tu ne sentiras rien, nous avons des doigts de fées. Lui souffla Hain avec un sourire malicieux.
A contre-cœur il sembla, le jeune homme se tourna. Les deux sœurs examinèrent ses blessures. Il y avait peu de sang mais assez pour cacher la nature des blessures. Samhainn prit un linge et le trempa dans l'eau avant de venir tapoter délicatement le dos endolori. Hain avait de véritables doigts de fées, elle avait la délicatesse d'un ange et il était sûr qu'Axel n'avait pas mal, tout au pire, il ressentait une une petit gêne. Les blessures nettoyées, les jumelles purent observer plus attentivement les dégâts.
- Tes blessures sont superficielles, tu ne garderas aucune cicatrice. Mais tu vas avoir de gros hématomes pendant quelques semaines. Penses à appliquer de la glace avant de dormir par exemple. Je t'en aurais bien appliqué maintenant mais comme nous te racontons plus tôt, nous n'avons rien pour faire de la glace ici. Soupira Hain.
Huin lui tendit de la lavande et du basilic, deux très bons anti-infection. Samhainn appliqua les herbes soigneusement et banda ensuite le jeune homme en faisant le tour de son torse. L'odeur enivrante de la lavande flottait dans l'air, encore une petite chose sans importance qui replongea les rousses en enfance.
- Cela ferait un merveilleux parfum de glace... Souffla Samhuinn en rêvassant. J'adore la lavande. Sa sœur opina.
- Voilà, j'ai fini ! Fit Samhainn. Axel, tu devrais rentrer chez toi, te reposer. Et on t'aidera à chercher ton enseigne un autre jour, d'accord ? Assez de mise en danger pour aujourd'hui. Mais, tu vas prendre ça avec toi. Huin passa le sachet de protection à sa jumelle qui vint le déposer dans la main du jeune homme.
La rousse plongea son regard dans celui d'Axel pour lui faire comprendre qu'il était hors de question qu'il parte sans le sachet, tout comme il était hors de question qu'il revienne chercher la pancarte tout seul. Doucement, elle referma les doigts du jeune homme sur le petit sachet. Les rouquines emmenèrent ensuite le glacier à la porte du chalet, la porte de devant cette fois. Chacune lui fit un long câlin, pour le remercier d'avoir mis sa vie en danger pour elles.
- On se revoit bientôt ! Une semaine devrait suffire pour que votre dos ne soit plus douloureux. Fit Samhuinn. Ton dos. Se reprit la rousse.
Axel Oswald
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Personnage abandonné
| Conte : La reine des neiges | Dans le monde des contes, je suis : : Olaf
Axel avait un peu oublier la raison pour laquelle il était parti en forêt au début … fin, il se souvenait qu’il devait retrouver sa pancarte … Mais ce n’était plus du tout ce qu’il avait à faire. Il devait d’abord tout faire pour que les jeunes femmes soient en sécurités … d’ailleurs, heureusement qu’il ne lisait pas dans les pensées … sinon il y aurait de forte chance pour qu’il se mette à pleurer en écoutant les pensées bienveillantes de le jeune femme…. Et les supplier de ne pas chercher les coupables…
Mais il ne lisait pas dans les pensées. Il sourit alors en regardant le gri-gri dans ses mains. Il n’était pas cassé; il le posa alors sur la table. Un doux sourire apparu sur son visage. Il était blessé mais il ne dit rien.
Il regardait les jeunes femmes et les écouta en regarda ke gri-gri. Il avait envie de pleurer… D’ordinaire, quand il avait envie de pleurer, bah il se mettait simplement à pleurer … mais là quelque chose l’en empêchait … Pas une humilité nouvelle, ni une honte … Non… les jeunes femmes méritaient juste un sourire et de la reconnaissance, pas les larmes qui coulèrent dans son coeur. Il pleurait rarement devant les gens, sauf quand il avait mal, là il ne faisait même pas semblant.
- De la glace, j’en ai, ne vous en faites pas ! Et pour la Lavande, je crois que nous avons des roses en gout, je pourrais proposer à mon patron pour la Lavande !
Et un nouveau sourire. Non, clairement elles méritaient le bonheur et pas la souffrance qu’il venait d’amener dans leur demeure. Il regarda un instant l’endroit où il y avait eu un loup quelques minutes auparavant.
- Je peux vraiment le garder avec moi ?
Il ira certainement le mettre sur sa petite étagère de bien le plus précieux. Dessus, il y avait quelques choses et autres qui sont des objets qu’on lui a donné et qui avait une importance dans son coeur. Ou encore des photos … parce qu’il avait eu envie d’exposer les choses auxquelles il tient … et que les voir tous les jours à un certain endroit lui permet de se souvenir de certaines choses … Comme de comment il a perdu Jude. La raison pour laquelle il n’a jamais dit à Anna qui il était et d’autres choses. Il mit le gri-gri dans sa poche et regarda les jeunes femmes. Il ne voulait pas leur priver de protection….
Il se laissa amener jusqu’au devant de la maison. Il profita des câlins que les jeunes femmes lui prodiguer … qui avait besoin de médecine quand les calins suffisaient amplement. Il sourit. Posa un regard à nouveau plein d’amour sur les jeunes femmes. Il sourit et partit après avoir simplement dit.
- Malgré tout, même si le vol de ma pancarte est fâcheux, je suis heureux de vous avoir rencontré.
Cela ne sonnait pas du tout comme un adieu … parce qu’il avait peur de revoir les jeunes femmes et de les remettre en danger … mais il se connaissait aussi trop bien. Quand on trouvait deux personnes aptes à pardonner au boulet qu’il était tout ce qu’il faisait, alors on ne pouvait pas juste les oublier. Il n’oublierait jamais les soeurs. C’était pour ça qu’il avait déjà le grigri dans ses mains quand il tourna au coin d’une rue…
codage by Wiise
Chose à savoir : je déteste terminer j'ai l'impression que c'est juste nulle alors j'espère que ça t'ira ... et je sais qu'il faut faire un archivage mais je sais pas du tout comment on fait alors je te laisse l'honneur