J'espèrais qu'en entrant chez moi, j'aurais une meilleure soirée. Parce que malgré la compagnie de mon amie Georgia, la journée avait été épuissante avec ses hauts et ses bas. Se balader en voiture, dans mon magnifique jeep, était plaisant . Mais s'arrêter a plusieurs endroits dans la ville l'était moins. Mais ton mot du midi , cette attention particulière m'avait touché au coeur. Surtout le - je t'aime - qui m'avait consolé que tu n'avais pas eu le temps de texter des mots coquins ou même des photos croustillantes. Ah oui c'est vrai, tu étais pudique. Si seulement ton mannequin vedette pourrait t'influencer a t'exprimer sexuellement a ton homme, juste a ton homme-moi- pour que tu te montres dans des tenues aux tissus légers, comme elle. Si seulement, tu avais pu me faire fantasmer, l'attente a l'Hopital aurait été moins longue. Et j'aurais pu oublier cette horrible soirée d'hier ou j'avais vu des clichés, cet enflure, qui se trouvait en ta compagnie. Heureusement pour moi, tu n'avais pas le museau dans mon téléphone. Le briser et le jeter, il en était hors de question! Même pour une vidéo cochonne de nous deux. Au moins , je pouvais me libérer des ondes négatives avec cetta fameuse vidéo. Tu désirais anonymat pour ta double de vie. Moi je voulais anonymat pour mon jardin d'Eden. Et tu n'avais rien a craindre, personne n'avait vu les images. Et jamais personne, ne pourraient les voir. Par contre , la description verbale de nos ébats entre copains , on se les partageait. Tu ne pouvais pas m'en vouloir, tous les mecs aime se vanter de leurs bons coups. Toi avec tes copains, tu discutes de quoi ? Heureusement en cette journée pénible, ou nous étions séparés par nos occupations, Georgia était la, encore une fois pour prendre soin de moi , en ton absence. Elle m'avait offert et combler mon manque d'attention. Pas ma faute, je suis dépendant a l'attention. Je suis un petit garcon, dans le corps d'un homme. Et j'ai besoin d'être le Roi , même a la maison d'ou mon petit mot sur l'oreiller qui exprimait mon désir d'une soirée amoureuse.
A la maison , je te retrouvais dans la cuisine avec une table mise et un parfum qui met en appétit, qui planait. Pendant que notre chien , flanait dans la demeure, sans doute a la recherche de son diabolique chat , que je n'avais pas revu , ni eu connaissance d'un de ses mauvais tours ces derniers temps. Pauvre Sparkle, ses jouets ne l'amusait pas autant que je l'aurais espérer. Elle voulait un copain, vivement l'arrivé de ce bébé , alors ! Prenant place sur -mon trône- sur ma chaise, on entamait une discussion de couple. Ce que tous les couples font a la fin de leur fin journée. Blablater sur celle-ci.
M'aventurant amoureusement sur ton corps. Tu me soumettais a mes gestes. Tu me laissais m'exprimer mon amour avec mes doigts sournois et baladeurs. Tu me laissais m'exprimer avec ma bouche. Entendant ton soupir. Je comprenais que celui-ci avait un lien avec mon bras fracturer et ma mésaventure chez les Dorian. Peut-etre te sens-tu coupable de ne pas avoir été la , ce moment . Il ne fallait pas , parce que tout était de ma faute. J'avais été cachottier et je t'avais fais croire que la dégradation de ma santé d'avril a juin était que des malaises relier a ma maladie principale et non a mon souci cardiaque. - Ne t'inquiéte pas mon lapin. Je vais récupéré rapidement, c est moi le fauteur. J'aurais du t'en parler, que j'avais cesser toute ma médication pour ... C'était pour mon devoir. Oui encore le même sujet, et toujours le même sujet a ma bouche - le bébé -. Mais je m'étais sacrifier pour rien , parce qu'il n'avait aucun signe de sa présence. Donc ma vie avait continuer et Patience avait de nouveau son emprise sur moi . Me piégeant dans le temps.
Tu t'étais levée pour le repas, pour qu'on puisse manger . Et je me levais a mon tour, te suivant a la trace. Ta personne m'avait terriblement manquée. -Hmm c’est vrai que je ne t’avais pas dans les pattes aujourd’hui, j’ai trouvée le temps assez calme.. Ishanee est venue, et elle m'a emmener des gâteaux avant de repartir pour rejoindre ses nouveaux patients. Donc on peut dire que la lumière m’a manquée. Un sourire se dessinait sur mes babines, quand tu disais que la lumière t avait manquée. Espérant que j'avais bien compris le message codé, et que tu parlais bien de moi. Mais tu avais raison , quand je n'étais pas dans les parages, tes journées devaient etre ennuyeuses et peu ensoleillé . - Tu sais, si tes journées sont trop calme sans moi , engage comme modele volontaire et sans salaire. Oui , même si je désirais etre mannequin connu pour la marque Agreste pour diverses raisons horoscopiques. Mais aussi parce que je devais rapporter de l'argent pour nous, pour notre mariage et notre- futur famille- Un bébé , dans ce monde a toujours un prix a payer. Le prix de ses besoins. Même si , père au foyer me plarait bien. Mais etre l'un de tes modèles de catalogues. Se faire habiller par sa -future- femme était un rêve. Donc même si cette phrase semblait etre une replique romantique de beau parleur. C'était une demande a réfléchir..
- C'est donc la raison pourquoi tu ne déjeunes jamais, c'est pour manger des gateaux. Tu sais que je suis patient de te voir avec une bedaine, mais tu sais que tu n'es pas obligé de te goinfrer de cupcakes pour me faire plaisir. J'ai un meilleur glacage pour te faire grossir. Oui c'était plutot cru , macho et culotté de ma part comme blague. Mais c etait une taquinerie. C'était pour te piquer, comme tu savais si bien le faire a mon égard que ca soit dans ma face ou dans mon dos avec tes copains ou ton chat. Mais cette blague n'était pas méchante. Mais j'espérais que tu allais bien le digérer , avec ton humeur irritante de ses derniers temps. Continuant a te toucher pour que la blague passe crème.
-Me faire languir tu dis ? Mais si tu aurais eu encore du retard, tu sais que j’aurais surement tout jeter par la fenêtre et tu aurais sans nul doute manger dehors en toute bonne fois.
Haussant un sourcil. Cette parole , je ne savais pas comment le prendre. Comme une blague ou comme une vérité ? Il était très difficile pour moi de te cerner , surtout quand tu semblais - sérieuse- dans tes propos. - Tu es sérieuse, tu m'aurais servi mon repas dans le jardin, parmi tes catatombes florales ? Oui je savais que notre jardin etait un cimetière. Tu l'avais avouée lors de notre fin de semaine au bon endroit. C'était l'une des raisons pour que je ne mettais pas un pied la. Que je m'occupais pas du jardinage et que ne tondait pas la pelouse torse nu comme la plupart de ses humains. Je craignais de déterrer un os. Déterrer une histoire de ta vie de sorcière. - Je ferais des efforts pour être a l'heure, car je ne voudrais pas manquer une occasion de manger en la compagnie de ma fiancée. Je mangerais dehors que si tu veux qu'on fasse un pique nique a la belle étoile.
Effectivement tu n’aurais pas eu ce retard je ne t’aurais surement pas écraser ce pied et voulu t'empoisonner sur le champs. Hmm..
Repas prêt. Tu l'apportais a la table pour nous servir des parts dans nos assiettes. Mais peu interressé par le repas. Même si j'appréciais cette délicate attention de femme parfaite. Cette délicate attention de ma sorcière bien aimée. Je t'embrassais dans le creu du cou. Et je n'avais pas envie de m'arreter de te toucher de toutes les manières possibles. Surtout que toi , tu m'encourageais avec ton - Hmm- gémissement et ta caresse sur ma joue. Mais je n'aurais pas le choix , on n'allait pas gaspiller ce repas- concu sans morceau humain et avec amour- pour se tripoter. - Tu vois sans ce retard , notre destin serait peut-être différent. Mais sache, que ce moment est inoubliable . Je suis l'homme le plus chanceux, de mon existence a été empoisonné par toi. Par toi , mon Poison tu m'as rendu fou amoureux de toi .
M'éloignant légérement de toi- contre mon gré- pour m'assesoir sur ma chaise. Tu mettais la nourriture dans nos assiettes. Tu prenais place a ton tour a la table dans un mouvement de - Enfin libre de ton dut conjugale- -Je crois que ça doit-être un peu des deux. désolé mais, j’avais vraiment besoin d’une douche j’avais trop chaud et si tu serais arrivé avant… ça aurait pu se faire mais, monsieur préfère être désireux Un massage ? Hmm peut-être mais après le repas mais tu vas avoir du mal avec un bras en moins chéri. Expressif du visage. Je te faisais une moue de déception. J aurais tellement voulu prendre une douche- plutot un bain- avec beaucoup de mousse, une eau bouillante, avec des chandelles parfumées encerclant la baignoire, en ta compagnie. Pouvoir savonner ma future femme était un de mes nombreux fantasmes. En plus tu étais provoquante avec ta replique, en me disant que tu avais eu chaud. Tu me piquais avec ta langue sortie , qui te donnait un air de coquine. Quand tu avais cette attitude.. Je devais me concentrer sur ma bouffe. Parce que ce comportement, en mettant en appétit pour autre chose , qu un gratin de pommes de terre et un roti.
- Alors une prochaine fois , par contre moi , après ce repas je vais aller prendre une douche rapide. Parce que tu me donnes chaud . Toi tu pourrais toujours te mettre en pyjama ou meme nu. Joueur. J'adorais jouer avec les mots et les métamorphoser en phrases séductrices. Mais heureux , tu acceptes ma proposition d un massage. Tu le méritais après cette journée de boulot. - Et après je te masserais, . Mon bras est peut-etre brisé, mais ma main fonctionne encore. Qui te dit que j'ai besoin de mes mains pour un massage. Je te faisais un clin d'oeil. Me mordillant doucement la levre du bas au mot chéri. Piquant ma fourchette dans une pomme de terre. -Il n’a pas que l’air je te rassure, il est bon j’en ai goûté un peu pour savoir si c’était mangeable ou non. Rassurant ? Pas du tout. Tu étais une manticore. Tu étais une empoisonneuse. Mais tu etais ma -future- femme et je te faisais aveuglement confiance.
Même pour cet répugnant personnage qui te faisait des avances , pour me faire du mal. D ou la raison que nous n'avions pas discuter- et jamais on en discutera- de l'horrible soirée que j'ai passé a fumer des clopes et me faire des scénarios . Parce qu'il ne comprenait pas que sa femme , était qu'une amie. Que Georgia etait la maman que j'avais toujours souhaitée. Et que même si elle était d une beauté royale. C'était toi la Reine de mon coeur. Donc même si , pour lui ca n avait aucune importante. J'irais m'excuser d'avoir séduit sa femme pour qu'elle soit dans ma vie. Parce que j'en peux plus de cette guerre. Et je voulais qui cesse son jeu de séduction avec toi . Surtout que cette guerre -sans que je sache et je ne voulais surtout pas le savoir- parce que j'avais encore l'étiquette de meurtrier sur le front. Je méritais de me retrouver a nouveau en prison. A cause de moi , j'avais condamné et enchainé leurs vies a la mort. Par ma faute , ma -future- femme allait avoir du sang sur les mains. Je suis un monstre..Et je l'ai toujours été depuis la mort de Karen. L'amour est un crime.
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Ne t'occupe pas de la vaisselle. Je m'en occuperais demain. Repas terminé. Non ce n'était pas encore le moment de discuter de ma -future- belle famille. Retient toi. Ne parle surtout pas, de ton frère l'expert en reproduction, qui avait concu des tonnes de bébés, alors que moi j'étais incapable d'en concevoir un seul avec toi. Quelle honte ! Avec cette information , mon estime etait bas. Trop bas. Et je ne pourrais pas m'empêcher de l'envier. Retient toi ne me parle surtout pas , de ton père, car je redoutais notre rencontre. Je voudrais tellement qu'il me voit comme le gendre parfait. L'époux parfait pour son unique fille. Surtout que j'appréciais les vieilles traditions humaines. Et je voulais sa permission de t'épouser. Et ta mère ? Va enfiler ton Pyjama. Je te rejoins dans la chambre après ma douche avec mes huiles. Tu savais que pour le bien et le pire dans notre couple, le moment -oreiller- était le moment idéal pour les confidences et avoir toute mon attention. Parce que tu auras peut-etre l'idée lumineuse de me faire -digérer- cette nouvelle que ta famille débarque, avec un moment croustillant dans notre lit. Tu avais raison de vouloir me prévenir pour éviter une catastrophe , mais surtout pour une crise , quand je les verrais a la porte. A moins que je décidais de fuir. Tu seras ma réaction, quand tu m'annonceras cette nouvelle . Je t'abandonnais donc pour un moment intime avec moi-même dans notre salle de bain.
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Pendant ce temps..ce très long moment, mais qu'est-ce que je foutais dans la salle de bain ? Pendant ce temps.. notre chienne Sparkle était endormie dans son panier.
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Sortant enfin de la salle de bain. Tu pouvais entendre le bruit de mes pas traînants , a cause de mes crocs qui frottaient sur le plancher. Ses pas qui se dirigeait vers notre tanière- notre chambre- . Poussant la porte , dans ma tenue relaxante. Habillé seulement d'un short noir. A mon cou , pendait mon collier habituel celui d une clé brisée. Un bijou que je ne quittais jamais comme mes bagues magiques qui ornaient toujours mes doigts. Encore mouillé, pour une fois ma crinière était peignée. Lisser par arrière, noué par une queue. Mais quelques mèches rebelles s'égaraient dans mon visage. Mais tu pouvais voir a une de mes oreilles, je t'avais emprunter une de tes anneaux . La plus masculine de toute. Parce que j'adorais avoir un objet qui t'appartenait sur moi. Le seul accessoire que j'avais laissé de côté était ma paire de lunettes. Physiquement , j'étais prêt pour notre soirée amoureuse , mais toi tu allais changer nos plans. N est-ce que pas ?