Dead Of Night

Quand l'Ordre entre en conflit avec le Chaos.

Feat. Un protecteur dépassé par les événements et un psychopathe chaotique

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Je ne me souvenais pas d’avoir déjà ressenti ça avant.

Pourtant, une partie de moi était certaine que ce n’était pas la première fois. C’était comme avoir conscience d’être la moitié d’un tout. D’avoir conscience que l’autre moitié de nous était toute proche et pouvoir ressentir sa présence à nos côtés sans pour autant qu’elle soit là. Je pouvais sentir son souffle sur ma peau, entendre les battements de son coeur.. Chaque parcelle de mon corps criait pour que je la rejoigne, parce qu’elle était là. Elle était proche. J’avais même l’impression de pouvoir la distinguer, cette autre partie de moi.
Et sans même réfléchir, sans lutter, je récupère la veste posée sur un coin du canapé et je me dirige vers la porte d’entrée de la maison des toons. Je sentais que mon autre moitié m’attendait. Et même si je ne comprenais pas trop ce qui était entrain de se passer, il fallait que j’y aille. Il fallait que j’aille au Zoo de Storybrooke pour le retrouver, lui.

Si je m’étais déjà rendu là-bas par le passé, je ne m’en souvenais pas. Comme toujours d’ailleurs. Mais contrairement à la plupart des sorties découverte (ou re-découverte) que je faisais pour localiser les différents endroits importants de la ville, cette fois, je savais exactement où aller. Comme guidé, attirée par une force invisible. A ce moment-là, le temps n'avait plus d'importance. Je n'avais qu'une seule chose en tête. Lui. Jusqu'à ce que j’arrive à destination et que je sente que ma moitié avait prit la fuite.

Plongée dans l’incompréhension la plus totale, ce qui venait de m’arriver commençait doucement à faire son petit bonhomme de chemin dans mon esprit. Quelque chose m’avait attiré ici et ce quelque chose, n’avait pas vraiment disparut. Je pouvais encore ressentir sa présence, ressentir cette attraction, ce lien. Il attendait, guettait… Qui était il ? J’avais l’impression de le savoir, comme si nous nous connaissions depuis toujours. Pourtant, j’étais incapable de lui donner un visage et un nom. C’était comme… si tout ce qui le concernait avait été verrouillé dans mon esprit.
C’est à peu près à ce moment-là, que la curiosité et l’incompréhension ont laissés place à un sentiment de méfiance. Petit à petit, je me suis sentie comme un animal traqué. Et l'ombre en moi à aussitôt prit le dessus.

Il faisait nuit. Et je me trouvais dans un zoo. Ce qui en faisait un endroit parfait pour s’en prendre à quelqu’un sans attirer l’attention. Un endroit désert, légèrement isolé et pourtant habité. Par des animaux pour certains très dangereux. Est-ce que ça voulait dire qu’il voulait ma mort ? Ou seulement jouer ? Un frisson désagréable me parcours l’échine. Ce petit jeu me semblait presque… familier. Même si quelque chose me disais que celui-là, était à un tout autre niveau que l’autre. Parce qu’avec celui-ci, ce n’était pas ma vie que je risquais vraiment. Mais plutôt celle des autres.

Je m’avance avec prudence et commence une petite visite nocturne du zoo. Quelque chose me dis que de toute façon, je ne pourrais pas lutter contre lui aussi facilement. Que s’il voulait vraiment s’en prendre à moi, ce n’était pas mes capacités d’ombre qui pourraient l’en empêcher. Mais alors qu’une présence commence doucement à se faire sentir, quelque chose attire mon attention. Un crie. Au départ, celui-ci était à peine audible. Puis subitement il prit de l’ampleur. Comme si quelqu’un avait tourné le bouton du son au max pour être certain, que les cries arrivent bien à destination. C’est-à-dire, à mes oreilles.

« AU SECOURE ! QUELQU'UN ? N'IMPORTE QUI ! JE VAIS ME FAIRE BOUFFER PAR UN LION ! LILY ! HEY HO ! »

Cette voix venait d'éveiller quelque chose en moi. Quelque chose que je n'arrivais pas à percevoir. A décrire. C'était différent de ma moitié, cette voix était presque... elle m'était familière et pourtant, j'étais incapable de mettre un nom ou un visage sur elle. Je savais que la personne qui y était liée était importante. Et que si je voulais qu'elle s'en sorte en un seul morceau il fallait que je la retrouve au plus vite.
C’est pour cette raison que je me suis aussitôt mise à courir. Courir sans savoir ou aller. Et pourtant, après quelques minutes de courses sans m’arrêter, je suis enfin arriver à destination.
Il était là. Attaché. Paniqué et il tenait compagnie à un lion affamé. Et énervé. Qui n’allait pas tarder à se jeter sur lui au vu de ses réactions.

- Eh merde ! Je peste à voix basse avant de lever les yeux vers la cage. Renter à l’intérieur n’était pas le plus difficile. Loin de là. Maîtriser l’animal non plus. Avec mes réflexes, mon agilité et mes capacités d’ombre, je pouvais aisément prévoir ses réactions et utiliser la magie des ombres sur lui. Mais tout ça aurait été… trop facile. Et il était-là, quelque part. Ici. Et s’il voulait me mettre des bâtons dans les roues et corser les choses, c’était le meilleur moment pour le faire. Faire croire à sa proie qu’elle allait s’en sortir, avant de faire s’abattre le piège tranchant sur sa tête.

- Oh et puis va te faire foutre ! Je lance à haute voix au joueur silencieux de cette partie avant de rentrer à mon tour dans la cage aux lions. Usant mon talent particulier pour disparaître aux sens de l'animal, je progresse lentement pour rejoindre l'homme attaché dans la cage. Et une fois à sa hauteur, je réapparais et je m'installe derrière lui avant de commencer à voix basse.

- Fermez-la. Je lui souffle à l’oreille d’un ton calme et posé. J’ai un plan. Mais si vous l’ouvrez encore, je ne garantis pas que vous vous en sortirez en un seul morceau. Vous m’avez bien comprise ?

J’examine alors rapidement la scène, commence à élaborer quelque plan lorsque mon regard se reporte sur l’animal qui me fixe. Il ne me quitte pas des yeux. A aucun moment. Surprise, j’avance lentement d’un pas en avant et le lion presque simultanément en fait de même. Je penche alors la tête sur le côté et le lion en fait de même avant de secouer sa crinière, de se relever et de partir dans le sens inverse.

- Euh…. C’était quoi ça ? Je demande légèrement surprise, les sourcils froncés. C’est moi qui aie fait ça ? Quelque chose me disais que oui, en effet, c’était moi qui avais fait ça. Et c’était très bizarre tout ça…

- Bon ! Je m’exclame très vite tandis que je récupère le poignard dans ma botte, Autant en profitez pour vous sortir de là. J'ignore qui il est, mais je le connais. Je le sais, je le sens. Et quelque chose me dit, qu’il vaut mieux que vous soyez ailleurs lorsqu’il reviendra. Parce qu’il va revenir, j’en mettrais ma tête à couper.

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Dead Of Night

Quand l'Ordre entre en conflit avec le Chaos.

Feat. Un protecteur dépassé par les événements et un psychopathe chaotique

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L’inconnu qui ne l’était pas vraiment après m’avoir remercié, m’avait annoncé qu’il n’avait en aucun cas l’intention de prendre la fuite après ce qu’il venait de se passer. Un comportement qui, sans être surprenant, était bien au-delà du suicidaire tant la menace qui planait au dessus de nos têtes était grande. Si grande qu’un sentiment terrible m’habitait. J’en avais presque le souffle coupé. C’était comme avoir conscience que notre fin était proche tout en sachant pertinemment, que rien ne pourrait modifier le dénouement final. Comme avoir conscience, que l’ennemi en face ne pouvait être vaincu et que se battre, reviendrait à lutter contre la fatalité. Je ne comprenais pas comment une telle chose était possible. Pourtant, c’était ce que mon intuition me soufflait. Et mon intuition, ne se trompait jamais.

Cependant, avant que je n’aie le temps de parler à l’inconnu de ce que je venais de réaliser, celui-ci avait prit la fuite après avoir entendu des feux d’artifice, au loin. L’inconnu semblait persuadé que la personne responsable de notre présence ici était responsable de tout ce boucan. Ce qui était visiblement un fait. Mais si cela voulait dire ce jeter dans la gueule du loup sans y être préparer d’abord, alors mon compagnon d’infortune n’avait aucune idée de ce que voulait dire le mot « stratégie ».

Seule dans la cage aux lions, je pousse un soupire de lassitude et lève les yeux au ciel avant de réaliser un truc. Quelque chose approchait. La progression était assez lente, ils étaient plusieurs, discrets… Visiblement, le lion avait ramené ses congénères. Et bien que quelque chose me disait que je n’étais pas au menu du jour, je n’étais pas non plus décidée à rester sur place pour en avoir le cœur net. Ce qui a mené à une tentative d’évasion discrète de la cage. Tout comme celle des félins, ma progression était lente mais constante. Le but étant de ne pas faire de geste brusque, même si ma fuite en elle-même était sans doute une très mauvaise idée. Dans tous les cas, j’avais réussi à sortir de la cage. Non sans croiser la route des félins qui m’avait laissé sortir en un seul morceau. Et c’est en marchant rapidement à travers le zoo à la poursuite des bruits de feux d’artifice, qu’une voix c'est finalement faite entendre.

« Bienvenue au zoo de Storybrooke ! Ce soir pour votre plus grand plaisir, des animaux en colère et deux imbéciles qui essaie de s’en sortir ! On ne sait pas encore comment tout ça va se terminer, mais on peut être sur qu’il y aura de l’animations comme ce magnifique feu d’artifice….BOOM ...BOOM….BOOM. »

Il avait l’air de trouver ça très drôle. Moi, tout ce qui m’était venu à l’esprit en écoutant ses paroles, était qu’au contraire, on savait déjà comment les choses allaient se terminer. Mais au vu de la situation, j’avais choisie – avec difficulté – de ne pas en rajouter et de continuer ma route. Ce qui m’avait mené à un spectacle hallucinant. Des rhinocéros paniqués pourtant des sangles sur lesquels étaient attachés des feux d’artifice qui brûlait les animaux à chaque fois qu’ils décollaient. Franchement, je n’avais pas la moindre idée d’où ma moitié sortait des idées pareilles, mais il devait avoir des occupations bien louches et des influences particulièrement tordues, pour penser à des trucs comme ça.

Une nouvelle fois, je pénètre à l’intérieur en sautant par-dessus la barrière de protection pour me retrouver à l’intérieur de la cage et rejoindre l’autre suicidaire. L’inconnu que visiblement je connaissais, était occupé à se débattre avec les rhinocéros pour leur retirer leurs « ceinture à feux d’artifice » lorsqu’à quelques pas de lui, le rire de mon autre moitié a résonné au lieu au loin et qu’à proximité de nous, une explosion a eu lieu. Tout comme mon compagnon d’infortune, je me retrouvais à mon tour couverte de tout un tas d’élément organique que je préférais sincèrement ignorer. Même le gros intestin, qui s’était accroché à mes pieds.

Me retenant une nouvelle fois de lancer des menaces bien mérité à ce dingue à qui j’étais visiblement liée, je m’approche de l’un des rhinocéros qui à mon contacte, se calme et me laisse faire. Visiblement, nous n’avions que peu de temps pour sauver toutes ses pauvres créatures. Si je tenais le sale monstre qui était responsable de ça, autant dire qu’il allait passer un sale quart d’heure. Que nous soyons liés tous les deux ou non.

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Dead Of Night

Quand l'Ordre entre en conflit avec le Chaos.

Feat. Un protecteur dépassé par les événements et un psychopathe chaotique

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« Je crois qu'avec un couteau ça ira plus vite! » Je lève les yeux au ciel et pousse un profond soupire de lassitude.

J’aurais évidemment pu lui riposter. Lui rappeler qu’aux dernières nouvelles c’était moi qui l’avait libéré de ses liens dans la cage des lions et que pour y arriver, j’avais utilisé une arme blanche – ce qui sans surprise avait facilité la découpe du lien – mais au final, cela n’aurait pas servie à grand-chose à part peut-être, me faire perdre quelques précieuses secondes.

Je voulais bien admettre qu’au premier abord, les choses étaient simple. Il me suffisait de découper la sangle pour libérer l’animal, sans trop me prendre la tête. Seulement, la situation était particulière. Mon poignard n’avait rien de « normal » et l’animal dont je m’occupais, était terrifié par ce qu’il venait de voir. J’ignore ce qui lui permettait de rester aussi calme vu la situation. Sans doute avais-je une sorte d’aura qui rendait les animaux plus calme, plus dociles comme avec les lions. Dans tous les cas, je ne pouvais pas me baser sur de simples suppositions. Je devais prendre en compte l’état émotionnel de l’animal et donc, rester sur mes gardes pour anticiper ses possibles mouvement brusque dû à la panique.
Car il suffisait d’une simple coupure pour les choses se terminent dans un bain de sang couplé à des hurlements de douleur inhumain.

J’ai donc prit le temps qu’il me fallait pour terminer le travail pour éviter tout effusion de sang. Après ça, le silence s’est de nouveau installé dans le zoo et j’en profitais pour rejoindre mon compagnon d’infortune, réfléchissant dans un même temps, aux précédents coups joués par ma moitié.

Il ne voulait pas notre mort. Jusqu’à présent, nous n’étions pas vraiment visés par ses attaques. Et le coup de l’inconnu ligoté dans la cage aux lions ? Probablement un appât pour me forcer à participer aux festivités. Mais pourquoi lui ? Pourquoi pas un autre ? Parce que nous nous connaissions ? Sans doute. Mais je n’avais aucun souvenir de lui, information que je soupçonnais ma moitié de connaître.
Peut-être l’inconnu était il important pour moi ? D’une façon ou d’une autre ? Je crois oui. Dans tous les cas, les précédents événements ne sonnait pas à mes oreilles comme une menace pour nos vies, mais d’avantage comme un jeu. J’avais l’impression d’être un genre de… divertissement. Comme s’il jouait avec nous. Ce n’était pas surprenant, j’avais déjà ressenti cette impression, mais ça ne rendait pas les choses plus faciles pour autant. Surtout en sachant que le pire restait à venir. Après tout, si nous étions « utiles » à ma moitié, notre survie était assurée. Du moins, tant qu’il ne changeait pas d’avis. Mais lorsqu’il déciderait que nous n’étions plus aussi distrayant ? Je m’en sortirais, c’était une certitude. Mais mon compagnon d’infortune, comment s’en sortirait-il lui ?

Je me tourne d’ailleurs vers lui, une fois sortie de mes pensées pour lui adresser la parole lorsqu’une sorte musique que je qualifierais plus de « boucan » se fait entendre. En effet, l’inconnu avait raison, ma moitié avec vraiment des goûts de merdes en matière de musique. Mais j’étais pratiquement sûr qu’il faisait ça uniquement parce qu’il savait que nous allions détesté ça. Après tout, c’était un moyen de torture comme un autre. Même si j’étais persuadé d’avoir déjà vu pire…

« Une idée de ce qu'on devrait faire à présent ? »

- Si c’est bien ce que je pense, à savoir un jeu, il ne nous laissera pas partir. En temps normal, j’établirais une stratégie ou traquerais ma victime pour le mettre hors d’état de nuire. Cependant, ce n’est pas un ennemi lambda. Je le sens. Je le sais. Ignorer ses manifestations aurait pu être une solution. Cependant, je doute que ma... ( le silence s’installe quelques secondes avant que je ne reprenne la parole ) Je doute que le taré d’en face ne nous laisse gentiment partir. Je dirais qu’il est plus du genre à nous manipuler, de façon à obtenir ce qu’il veut. L’attaque ne mènera à rien, j’en ai le pressentiment. Et je suis presque persuadée qu’il n’apparaîtra que lorsqu’il en aura envie. A moins que…

Et s’il n’avait plus personne avec qui jouer ? Je n’étais pas là par hasard, nous étions liés lui et moi. Quand à l’inconnu, j’étais persuadée que lui non plus n’était pas là par hasard. Ma moitié nous avait choisie et jusqu’à présent, elle ne nous avait pas fait de mal. Elle s’amusait juste avec nous. D’une façon morbide certes, mais si elle avait souhaité notre mort, nous ne serions sans doute plus là pour y penser. Donc si nous attentions à nos vies, peut-être qu’il finirait par se manifester ? Ou pas. Il pourrait tout aussi bien s’assurer que nous n’en soyons pas capable, d’une façon ou d’une autre.

- Pourquoi vous ? Il s’amuse avec nous, c’est évident. La ruse, la menace, la pression, l’attaque, la fuite, rien ne fonctionnera avec lui. Car le seul moyen de pression dont nous disposons – si l’on peut appeler ça un moyen de pression - n’a que peu de chance d’être efficace. Tant j’ai le sentiment que la personne qui se joue de nous est puissante et peut facilement déjouer nos plans. Je sais pourquoi je suis là. Je sais pourquoi il m’a attiré ici, mais qu’est-ce qu’il vous veut à vous ? Je vous connais, je le sais. Il y a quelque chose… Tout ça, se passe pour une raison. Et si nous voulons avoir une chance de nous en sortir en un seul morceau, il va falloir avoir toutes les cartes en main. Vous et moi, il va falloir qu’on soit franc l’un envers l’autre et surtout, qu’on prenne les décisions ensembles.

Une nouvelle fois, je prends un petit temps de pause avant de terminer.

- |b]Parce qu’en réalité, je ne sais absolument pas comment faire pour nous sortir de ce mauvais pas. Et c’est bien ça qui m’inquiète, car une telle chose n’aurait jamais dû m’arriver. Jamais.[/b]

Les ombres étaient nés pour ça. Était-il donc seulement possible qu’une telle situation puisse arriver ? Que l’un d’entre nous soit incapable d’établir une stratégie pour se sortir d’une situation épineuse ? Sans doute, très rarement. Dans tous les cas, j’étais à peu près sûr, qu’aucun d’entre eux n’avait rencontré un ennemi comme celui-là. Il y avait une façon de s’en sortir, j’en avais la certitude. Je pouvais nous sortir de là. Je ne savais juste pas comment, ni pourquoi. Et ça, ça compliquer légèrement les choses.

HP : Désolé, j'avais pas vu que tu avais répondu au rp. J'espère que la réponse te conviendra. Pour toute question concernant le statut de Charlie, tu peux me mp. Je travaillerais sur un gros résumé plus tard, je dois le redéfinir pour voir ce qui pourrait être intéressant à mettre en place ou non.

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