« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Dans la vie, il faut choisir : l'ennui ou les ennuis
Je devais bien admettre que par moment, je comprenais l’envie de Pitch de faire tâter de son pouvoir aux gens. J’étais passé le voir dans la journée, profitant d’avoir des fleurs à remplacer sur la tombe d’Hippolyte. Certes, le cimetière n’était Pas l’endroit le plus romantique de la ville. Mais, tant que je pouvais l’apercevoir, je me fichais bien de l’endroit. Après que je l’ai laissé travailler et que je me sois occupée de déposer les fleurs sur la tombe de ma nièce, j’avais été abordée par la paire la plus discourtoise de personne. Ils pensaient manifestement que je travaillais ici, et avaient commencés à exiger que je leur montre le meilleur emplacement du cimetière. Usant de toute ma diplomatie, je leur avais fait savoir que j’étais simplement venue ici me recueillir, et qu’ils feraient bien de demander à la mairie concernant les emplacements. J’aurais pu leur indiquer mon compagnon, mais il était hors de question que je les laisse l’embêter.
J’avais néanmoins compris, qu’ils venaient de perdre le père de la femme, et que selon leurs dires, les préparatifs des obsèques étaient stressantes, puisqu’il leur fallait récupérer les ornements pour la tombe qui devrait être livré demain, à la maison funéraire Spellman, étant donné que c’était eux qui s’étaient occupé de la dépouille du vieil homme. A la mairie, on leur avait certifié que l’emplacement donné était le meilleur du cimetière et ils étaient venus en reconnaissance pour s’en assurer.
Par égard, pour l’homme que j’aimais et qui malheureusement n’aurait pas d’autres choix que de s’occuper d’eux, je me proposais pour aller chercher les dits ornements le lendemain, ainsi ils arriveraient en même temps que la tombe. Si je pouvais mâcher le travail de Pitch, autant le faire. Je le savais patient, mais il avait ses limites, et devant ces êtres grossiers il lui faudrait tout son self-contrôle afin de ne pas leur faire subir leur plus grande peur. Je sentais d’ici, qu’ils allaient le traiter comme un vulgaire domestique, étant donné leur manière de s’adresser à moi.
L’accord scellé, je fit demi-tour, ne résistant cependant pas à leur donner une leçon de politesse. Discrètement, je fit s’élever une racine qui se trouvait sur leur passage les faisant de ce fait trébucher, et littéralement manger la poussière. Satisfaite, je prit la sortie du cimetière et me téléportait à la maison. Afin de faire passer mon agacement, je décidais de m’installer à la harpe et d’entamer le morceau que je travaillais en ce moment, après quoi j’avais passé un coup de fil par politesse afin de prévenir les propriétaires de la maison funéraire, que je viendrais chercher la commande du couple O’donnell ne serait-ce que par simple courtoisie.
Le lendemain, je m’étais rapidement préparé et après avoir enfilé ma paire d’escarpin en profitais-je pour utiliser la porte de la cuisine afin de gagner du temps sur le trajet menant au garage qui se trouvait légèrement isolé dans la cour. Je n’avais pas utilisé mon pick-up depuis un moment, préférant user de téléportation. Mais j’avais beau avoir une force surhumaine, cela n’empêchait qu’avoir trop de choses à transporter n’empêchait pas le risque d’en faire tomber. La voiture, était donc le moyen le plus sûre dans ce cas là. Enlevant la bâche qui la recouvrait, j’ouvris la portière côté conducteur, afin de mettre le contacte et m’assurer qu’elle n’était pas trop « rouillée ». C’était l’un de ces moments où je regrettais l’absence d’Arès. Il était bien plus douée que je ne l’étais en mécanique, et j’aurais pu lui demander conseil.
Refusant de me laisser aller à ce genre de pensée, je secouais la tête, m’installant au volant afin de manœuvrer et la sortir de son garage. Je m’arrêtais néanmoins au milieu de la cour, lorsqu’un aboiement retentit, et que ma chienne, se mit à courir après la voiture, ouvrant la portière côté passager, je tapotais le siège à côté de moi :
- Allez grimpe, je sais bien que tu veux m’accompagner.
Il ne lui en fallut pas plus pour sauter et grimper, sur le dit siège tandis-que je refermais la porte avec un sourire. Ces derniers temps, je m’étais peut-être plus occupée de Sherlock que d’Athéna, et de ce fait, elle voulait elle aussi sa part d’attention. Après avoir lancé, la musique je prit la direction de la maison funéraire Spellman. Arrivée à destination, je me garais devant, avant de descendre du véhicule et d’ouvrir la portière à Athéna qu’elle puisse sortir à son tour. J’étais légèrement en avance sur l’horaire, j’avais dit venir aux alentours de dix heures et il n’était que neuf heure quarante. Je haussais néanmoins les épaules, mieux valait être en avance qu’en retard. Néanmoins, plus j’avançais et plus j’entendais des bruits étrange provenant de l’intérieur de la maison. Pour n’importe qui d’autres à cette distance ils auraient été imperceptible, mais être une déesse me permettait d’avoir une ouïe plus fine que le commun des mortels. Quant à Athéna, tout le monde savait que les animaux avaient des sens plus développés que ceux des humains :
- Ce ne sont pas des bruits étranges qui vont me faire reculer lui dis-je après qu’elle ait émit un aboiement méfiant. J’ai vécus bien pire.
Avec toutes les pseudo aventures divino titanesques, qui nous tombaient régulièrement dessus sans que nous n’ayons strictement rien demandé, j’estimais être rodé et prête à n’importe quelle situation. De toute façon, aucune ne pouvait être pire que celles impliquant ma famille. Franchissant les quelques mètres séparant du perron, je toquais à la porte, attendant une réponse. En l’absence de cette dernière, je tentais une nouvelle fois, songeant que je ne l’avais peut-être pas fait suffisamment fort. Néanmoins, le bruit provenant distinctement de l’intérieur, sembla s’amplifier. Peut-être n’était-ce finalement pas une bonne idée de venir, peut-être devrais-je passer un autre jour, quand ils ne seront pas occupés. J’ignorais ce qu’il se passait à l’intérieur. Au moment où j’attrapais mon portable afin de passer mon appel, la porte s’ouvrit sur une adolescente blonde :
- Bonjour ? Tentais-je, hum j’ai appelée hier pour annoncer que je venais chercher une commande. Je rends service, au fossoyeur de la ville. Mais peut-être que je tombe mal. Souhaitez vous que je revienne plus tard ou bien à un autre moment ?
Dans la vie, il faut choisir : l'ennui ou les ennuis
Vivre dans un maison funéraire. Y’en a que ça ferait kiffer, d’autres qui partiraient en courant. Pour moi, c’est genre le total opposé parce que pour moi, je ne vis pas dans une maison funéraire, je vis chez les Spellman et c’est pas vraiment la même chose. Bon c’est vrai qu’on vis genre pas super loin du cimetière, qu’on se coltine des cadavres dans la cave et concrètement pour nous, l’expression « avoir un squelette dans le placard » c’est pas totalement faux mais dans un sens, c’est assez compliqué de se dire que pendant 28 ans, on a eu une vie « presque » normale et que depuis la rupture de la malédiction, ça y va avec les problèmes magiques.
On descends certes d’une puissante famille de sorciers et sorcières mais c’était pas écrit dans notre histoire qu’on finirait à Storybrooke, perdus dans le Maine, là où la magie est quelque peu différente et finalement ne se gère pas aussi bien que ça pouvait l’être à Greendale. Donc, oui c’est vrai que parfois nos pouvoirs ne peuvent pas suffire à arrêter un fichu démon qui s’est réveillé à cause d’un bouquin mal refermé ou bien à cause d’une engueulade bien salée entre mes tantes et moi. Cependant, nous savions toutes les trois que nous devions recevoir la visite de quelqu’un venant chercher une commande pour une nouvelle pierre tombale et qu’il était accessoirement et je ne plaisante qu’à moitié qu’on réussisse si on peut le dire comme ça à refermer le génie dans la lampe.
« Sabrina ! Va chercher la croix inversée. » m’hurle presque Tante Zelda alors qu’elle maintient le démon d’une « main de fer ». Enfin plutôt en se servant de sa télékinésie tandis qu’il se débat contre un bouclier invisible.
C’était tout bonnement le branle bas de combat au sein de la maison Spellman et tandis que j’attrapais enfin la croix inversée qui se trouvait dans la chambre de mes tantes, quelqu’un frappe à la porte. Je ne l’entends que d’une fine oreille et ne réponds pas immédiatement. Entrant à nouveau dans le salon, je donne la croix à ma tante tandis qu’Hilda m’attrape par la main.
« Prends cette fiole et quand je te le dis, tu la lances sur le démon d’accord ? »
Je fais un signe positif de la tête à ma tante, espérant que cette fois-ci, la potion ne matérialiserait pas un autre démon parce que clairement, ma tante Zi’ ne le supporterait pas. Tante Zelda ne pouvant plus tenir le bouclier télékinésique fit un joli vol plané à travers le salon avant de retomber lourdement sur le sol. Tante Hilda vint lui porter secours.
« Maintenant Sabrina ! » m’hurlèrent mes tantes, réunies.
Lançant la fiole, je compris rapidement qu’il s’agissait juste d’une potion d’emprisonnement. Il fut soudainement paralysé et tomba sur le sol. Il était inoffensif mais connaissant mes tantes, elles allaient clairement s’en occuper. Alors qu’elles l’emmenaient à la cave, je me souvins soudainement que quelqu’un avait frappé à la porte. Respirant longuement, je finis par ouvrir la porte et posa mon regard sur une jeune femme blonde.
« Oh bonjour, entrez je vous en prie. Je vais prévenir mes tantes de votre présence. Est-ce-que vous voulez boire quelque chose ? »
J’espérais juste que la jeune femme ne comprendrait pas nos petits problèmes magiques actuels.
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Diane Moon
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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“I love you to the moon and back”
| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Artémis la déesse de la chasse et de la lune herself (même si je viens du monde réel)
Dans la vie, il faut choisir : l'ennui ou les ennuis
Apparemment, non. Je ne semblais pas les importuner étant donné que l’adolescente m’invita à entrer tout en m’informant que ses tantes n’allaient pas tarder. A mes côtés, Athéna ne semblait toujours pas tranquille. Je la sentais agité, L’un de mes pouvoirs était de communiqué avec la faune et la flore. Tout ceci était en lien avec mon empathie, j’avais un degré de ressentie plus élevé que la moyenne. Aussi pouvais-je sentir les émotions de ma chienne. J’attendrais un peu avant de la calmer, je n’aimais pas vraiment faire étalage de mes pouvoirs. Non pas qu’ils doivent rester un secret absolue. Pour commencer nous étions, à Storybrooke et ensuite, il y avait un certain moment que les habitants de cette ville savaient qu’il y avait des dieux, et autres divins en ville. Tout le monde, devait avoir au moins une fois vu Apollon. Il était à la tête d’Olympe après tout, les gens le connaissaient donc de vu.
Mais contrairement à Apollon, qui se plaisait à être le centre de l’attention, je préférais évoluer loin du feux des projecteurs. J’avais toujours été la plus discrète dans notre duo, et cela me convenait parfaitement. Qui plus est, tout le monde ne voyait pas les nôtres d’un très bon œil. Certains estimaient, que nous avions amené des problèmes en ville. Bien que de mon point de vu, Storybrooke se débrouillait très bien pour créer les ennuis d’elle-même. Les différents personnages de contes y vivant, ne faisaient pas nécessairement bon ménage. Sans parler des problèmes d’ordres magiques :
- Un thé si vous avez, ne serait pas de refus répondis-je à sa proposition.
Certes, cela pouvait paraître de vouloir une boisson chaude étant donné les températures de dehors. Néanmoins, dans les pays d’orient le thé à la menthe était une boisson très populaire et elle se consommait chaude. Boire quelque chose de chaud même en été, faisait du bien à notre organisme quoi qu’on en pense. Qui plus est, je ne ressentais pas les fluctuations de température. C’était l’un des avantages ou inconvénient selon les points de vu d’être une déesse. J’estimais souvent qu’il était les deux à la fois, car si je n’avais à priori pas de besoin particulier concernant ma garde robe, je me devais tout de même de m’adapter aux conditions météorologiques et aux températures, afin de me fondre dans la foule. Il est vrai qu’ici, je pourrais très bien ne pas le faire. Mais les habitudes avaient la vie dur, lorsque vous passiez des milliers d’années à cacher votre vraie nature aux yeux des gens.
Laissant la jeune fille -dont je ne connaissais pas le nom réalisais-je- aller chercher la boisson demandée, je posais délicatement ma main sur le haut de la tête de ma chienne et lui transmit un vague d’apaisement. Si elle semblait toujours sur ses gardes, elle l’était déjà un peu moins qu’avant. Mes pouvoirs ne pouvaient pas lutter contre les instincts primaires qu’ils soient chez les humains ou chez les animaux. Et les chiens étaient des animaux instinctif. Je ne pouvais pas l’empêcher, si pour elle danger il y avait, de le ressentir.
Restant seule pendant plusieurs minutes, j’entendis à nouveau le même bruit que tout à l’heure. Mais cela semblait provenir de la cave. Hésitant entre curiosité et méfiance, le choix se fit à ma place, lorsque le bruit d’une porte s’ouvrant à la volée et des cris se firent entendre. Une créature non identifié arriva droit vers moi. Et puisque je parlais d’instinct plus tôt, c’est le mien qui prit le pas sur ma raison. Attrapant ma chaussure, je calculais mentalement la trajectoire avant de la lancer en plein sur la créature, afin qu’elle heurte violemment le coin de sa tête. L’effet fût immédiat, étant donné qu’elle s’écroula parterre sonnée. Avec quelqu’un d’autres cela n’aurait sûrement pas eu le même effet, néanmoins je possédais une force surhumaine. Si j’avais su dosé, mon lancé avait eu bien plus de force que celui d’un homme adulte. Deux personnes, que je supposais être les fameuses tantes, de l’adolescente arrivèrent en trombe suite à cela :
- S’agissait-il de votre créature ? Si c’est cela je suis navrée, j’ai agit par instinct. Rassurez-vous, elle n’est pas blessée, je n’ai pas sortie mon arc, j’ai simplement lancé une chaussure. Je pense qu’elle devrait rester pendant à peu près une dizaine de minute. Il n’y aura aucune séquelle non plus, j’ai fait en sorte de heurté le coin de la tête, justement pour qu’il n’y ait pas de soucis à se faire de ce côté là. Si cela peut vous rassurez, sachez que je vise très bien.
Après tout, j’étais une étrangère. Et s’il s’agissait effectivement de leur créature, je comprendrais qu’elles ne soient pas très heureuse de mon action. Si quelqu’un s’en était prit physiquement à mes chasseresses lorsqu’elles étaient encore en vie, je n’aurais certainement pas laissé passé cette action aussi facilement. J’avais quand même faillit faire passer Louis XIV de vie à trépas, parce qu’il avait fait des menaces à Calypso. Et aussi, un peu parce que j’estimais qu’il était un danger pour notre secret, je l’admettais. Fort heureusement, Apollon était intervenue avant que les choses n’aillent aussi loin.
- Je vous ai appelé hier, à l’origine je venais pour récupérer des ornements funéraires, je ne m’attendais pas à ce qu’une créature m’arrive en plein dessus.
Si je m’y connaissais en créatures divines, je n’y connaissais évidemment pas grand-chose en créatures magiques. Je ne connaissais que Maara, la « fille » de Pitch. Je me doutais simplement, que tout comme il existait plusieurs types de créatures divines, il existait également plusieurs types de créatures magiques.
- C’est une adolescente blonde, qui m’a ouvert la porte, je suppose que vous êtes les fameuses « tantes » qu’elle a mentionné tout à l’heure. Quoi qu’il en soit, si vraiment j’ai commis une maladresse j’en suis encore une fois désolée. Je ne suis pas vraiment habitué aux soucis magiques, les miens sont d’ordres plus divins dirons nous.
De toute façon, inutile de me cacher, n’importe qui ne pouvait pas assommer une créature magique avec un simple lancé de chaussures.
Dans la vie, il faut choisir : l'ennui ou les ennuis
Je ne quittais pas la jeune femme des yeux. Un léger sourire vint à naître sur mon visage alors que je lui proposais quelque chose à boire. Allant préparer le thé de la jeune femme, je fais chauffer l’eau dans la bouilloire avant de sortir le thé des armoires tandis que mes deux tantes se joignent à nous, enfin plutôt à la jeune femme qui venait d’assommer notre fameux démon que mes tantes n’avaient pas réussi à retenir plus longtemps. Hilda sursaute tandis ma tante Zelda regarde la jeune femme avec un sourire.
« Merci de votre aide mademoiselle. » énonça ma Tante Zee avec cette même voix qu’on lui connaissait si bien avant qu’Hilda ne reprenne « Cette créature s’est échappé d’un de nos grimoires et grâce à votre aide, on va pouvoir l’y renvoyer. »
Mes tantes s’occupèrent de l’incantation pour renvoyer la créature dans son « monde » avant que le calme ne revienne à l’intérieur de la demeure familiale Spellman. Tandis que je revenais avec la tasse de thé, je me rendais compte que je ne m’étais même pas présenté à la déesse. Comment je savais que s’en était une ? Ça se sentait. Je le sentais. Tout comme mes tantes d’ailleurs. Tandis que mes tantes accompagnaient la jeune femme dans la cuisine, je grimpe à l’étage pour vérifier que Salem était toujours là. Puis, redescendant dans la cuisine, je souris à la jeune femme, Salem dans les bras avant de me tourner vers Tante Hilda.
« Il est encore malade Tantine, tu n’as pas une de tes potions aux plantes dont tu me parlais la dernière fois ? Je crois que ça l’avait calmé. » énonçais-je à ce dernière « si ma petite chérie, je vais te trouver ça. » énonça t’elle en se levant avant de se diriger vers les différents placards pour en sortir différentes potions avant de faire une mixture étrange mais qui ferait du bien à l’estomac de mon chat tandis que tante Zelda reprenait la parole pour parler à la jeune femme.
« Je vous présente Sabrina, notre nièce. Celle qui prépare la fameuse mixture, c’est ma soeur, Hilda et je m’appelle Zelda Spellman. Nous sommes désolées, nous ne pensions pas que le démon pourrait s’échapper de nos grimoires. La magie est différente ici et par moment, notre magie fait un peu des conneries, c’est énervant par moment. Pour en revenir à votre appel, nous avons préparé tout ce qu’il vous faut. Je vous propose de terminer votre thé et ensuite, on s’occupe de tout ça ? »