« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Un jour, mon visage sera sur la Page couverture. Un jour qui n'était pas lointain. Cette histoire commençait avec un magazine. Collectionneur de revues de tout genre. Amateur d'anecdotes célèbres. Ce récit se produisait par un après-midi comme les autres. Alors qu'Aujourd'hui je n'avais aucun projet dans mon agenda. A part celui ci, rester encore un petit moment sous la couette. De nature paresseuse ,mais aussi condamné a une conséquence. Qui me donnait le statut d'étoile filante. C'était aussi un pseudonyme que je voudrais utiliser le moment venu. Mais cette conséquence dans le monde terreste et moderne portait le nom d'un syndrome médical: Fatigue chronique. Fatigué, de jour je puisais mon énergie, dans ma réserve magique, pour me régénérer, car de nuit s’accomplissait mon devoir d'étoile : Veiller.
Malgré moi, je vivais sur un mode nocturne. Noctambule, ce comportement agaçait parfois mes camarades de la guilde, parce que je troublais souvent leurs sommeils ,en rentrant d'une virée bien arrosée.Accompagné de mes rencards, durant le crépuscule j'orchestrais toute une mélodie. Et quand je rentrais solitaire, ma batterie était ma compagne. Couche tard et fêtard, c'était la raison pourquoi j'étais encore emmailloté dans ma couverture au motif savane. Revue en main. Pour dissimuler ma nudité par rapport a ma meilleure amie ,qui était assise au pied de mon lit, en train de bouquiner.
Tranquille, on partageait un moment privilégié. On fragmentait nos opinions sur notre lecture. Feuilletant et tournant les pages de mon catalogue.Soudainement mon attention était voilée par une vision divine. Enivré par la beauté de cette photographie. Physiquement, cette femme éveillait mes sens de loveur. Et son prénom ne me laissait pas indifférent. Comme sa profession d'ailleurs. En train de dévorer les lignes du paragraphe concernant cette demoiselle. Cette femme était fascinante. On devait faire connaissance.
Le sujet de l'article portait sur la Mairie de Storybrooke. Cet article présentait tous les membres de celle-ci. Je ne connaissais personne, mise a part Queenie. Mais qui était cette femme qui avait ensorcelée ma concentration ? Première dame, de la Mairie. Elle était donc prise, par ce maire. Un ami de River. Détail !
Je n'avais aucune arrière pensée envers elle. Parce que mon cœur était volage. Et n'avait plus l'envie d'appartenir a quelqu'un. Ne voulant plus remuer le passé.Cette femme avait seulement une apparence divertissante. Elle était qu'une conquête a complimenter. Qu'une personne avec laquelle je pourrais partager mon savoir étoilé.
La seule intention que j'aurais auprès de cette dame, était un coup de main, pour me crocheter une porte pour mon monde spirituel. Elle en avait le pouvoir. Un don baptisé science dans ce Cosmos. Mon monde céleste me manquait. Besoin de savoir ce que mes amis constellations étaient devenus. Sans eux, j'éprouvais un vide. Je me sentais inutile. Et je savais que ma meilleure amie se sentait incomplète sans leurs présences. Cette malédiction avait effectuée un désordre dans notre vie. Ce charme voulait que je renonce a la moitié de moi-même. Je bâillonnais mes pensées, en fermant la gazette, pour trouver cette demoiselle.
Après un certain temps..
Après mon tran-tran , habituel. Trouver une célébrité de la société de Storybrooke était chose facile. Sur le Campus Scientifique de Storybrooke, direction les laboratoires. Sac de pâtisseries a la main. Un séducteur ne vient jamais les mains vides. Marchant dans les corridors, après avoir enjôlé quelques filles sur mon passage, on m'indiquait le chemin a suivre. A présent, devant la porte. Levant la tête vers le plafond, mon regard se posait sur le numéro du local. Tentant de deviner l'art divinatoire devant mes prunelles. Croyance pour la numérologie,mais aucun talent pour le décryptage. Ce qui se trouvait derrière cette porte m'était inconnue. Mais déterminé a avoir des réponses a mes interrogations. Malgré ma crainte des portes, d'un revers de main, je cognais. Impatient. Sans attendre une réaction, je tournais la poignée pour ouvrir celle-ci et y découvrir : Une vue sublime.
'' Bonjour, vous êtes Honey Lemon ?'' Elle n'avait pas besoin de répondre. Je connaissais déjà la réponse. Mais cette confirmation, serait mon premier pas vers elle.
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Honey Lemon
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Ce qui est fan-tas-tique quand on atteint un certain statut et une certaine reconnaissance auprès de ses pairs, c'est qu'on se voit attribuer un bureau. Il n'avait pas fallu longtemps à Honey, qui avait pris un poste d'abord au laboratoire puis à l'université, pour obtenir ce grade. Dans le monde d'où elle venait, elle avait acquis un savoir dans ses champs de spécialisation bien supérieur à tout ce que l'Homme d'ici connaissait. Elle était certes jeune mais elle était brillante - surdouée, même - et comme la valeur n'attend point le poids des années, il lui avait été facile, en fin de compte, qu'elle était un atout pour le laboratoire. Enseigner, cependant, s'avérait un plus grand défi. Ce n'était pas tout disposer d'une quantité de connaissances équivalente à plusieurs volumes d'encyclopédie, encore fallait-il savoir le retransmettre à des personnes plus ou moins néophytes. Evelyn, heureusement, avait été là - et était encore là - pour la guider sur cette voie. Et depuis quelques temps déjà elle pouvait enseigner à la faculté d'astrophysique où, par ailleurs, son père avait également obtenu un poste d'enseignant-chercheur. Mais qui dit enseignement, dit partiels et qui dit partiels dit corrections. C'était un exercice fastidieux mais stimulant pour l'esprit vif de Honey qui était donc pleinement concentrée lorsqu'on frappa un coup vif à sa porte. La jeune femme sursauta et, le temps qu'elle ait replacé ses lunettes sur le bout de son nez, un jeune homme inconnu était déjà devant elle. Honey arqua les sourcils, interloquée. La question qui suivit lui permit néanmoins d'éliminer l'une des hypothèses concernant la présence de l'homme face à elle : s'il demandait la confirmation de son identité, c'était qu'il n'était pas l'un de ses étudiants en quête de "spoilers" quant à la réussite de son devoir. Ou alors c'était un étudiant vraiment peu assidu, mais la scientifique préférait croire qu'on ne se lançait pas dans le monde merveilleux de la connaissance académique quand on n'en avait pas réellement envie. - Oui, oui, c'est bien moi, acquiesça-t-elle pour parer à ce qui socialement était le plus urgent selon la convention : la politesse. Ceci dit, se permit de préciser la scientifique tatillonne qu'elle était parfois, bien qu'ici c'est professeur ou docteur Lemon. Mais peu importe... Vous êtes qui ? Je n'ai pas souvenir d'avoir de rendez-vous cet après-midi, mais je peux vérifier, annonça la jeune femme en attrapant son agenda pour vérifier et confirmer ce qu'elle pensait, à savoir qu'elle n'attendait personne. Et pourtant il y avait quelqu'un.
Loke Lionstar
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Une fois la porte ouverte, d'un bras derrière la tête, adossé au cadrage de la porte. Je prenais une pose décontractée et disponible. Gardant une distance d'indifférence,car c'était le rôle de la Lionne de donner son consentement, pour une approche.Baissant ma paire de lunettes sur le bout de mon nez, je jetais un regard rapide a la pièce. Je pouvais ressentir l'ambiance de la scolarité. Ce qui m'inspirait une idée de nouveau projet.Soif d'occupations et de divertissements. C'était l’occasion idéale , pour explorer un territoire inconnu. Mais aussi oser un numéro de drague inexploré. Le fantasme de l'étudiant. Peuplée de femmes, était cette planète. Et mon amie Violette, me l'avait confirmée avec un conseil. Et l'Université était l'endroit parfait pour marivauder. Mais quel genre d'élève, je serais ?
Sursaut. Ma présence avait captée son attention. Assise derrière son bureau, penchée sur des copies. Lorgnant le moindre détail de la demoiselle, elle avait l'apparence clichée de l'enseignante qui rendait dévouée les garçons a l'envie de se pointer en cours. Belle et intellectuelle. Malheureusement, inaccessible. Malgré sa non disponibilité a mon égard, elle était la chimère de ma chasse. Elle était le produit aphrodisiaque, que je voulais goûter dans mon imagination. Attentif aux signaux. Elle arquait les sourcils. Intriguée. Indice décrypté.
D'une démarche qui exprimait assurance, passant une main dans mon toupet. Large sourire. Contact visuel maintenu sur ta beauté. Je réduisais l'espace entre nous. Dansant ma valse de séduction. J'étais en train de me fourvoyer devant toi.
A tes côtés, déposant mon sac de pâtisseries sur le pupitre, bien en évidence pour aguicher tous tes sens. Séduire ton appétit.Gâteries qui provenait de la boutique de Queenie. Même si, je ne doutais pas de la qualité de la concurrence du commerce de Madame Peter's. Solidarité a ma Guilde,avant tout . Malgré quelques écarts de conduite. Mais chut ! Je comptais sur ta discrétion. Appâts de sucre, combien de temps elle allait résister ?
Se doutant,que son nom m'était familier. Elle ne me laissait pas ignorant, confirmant celui-ci. Avec ma connaissance sur le sexe opposé, il avait toujours une condition.Ce n'était pas un ordre. Ni même un avertissement. Non c'était une préférence. Elle souhaitait qu'on soit intimement liée par un titre. Alors moi comment je devais me présenter ? Est-ce que je devais me révéler comme le Roi du Zodiaque ? Lui préciser que je symbolisais le cinquième horoscope du cycle. Scientifiquement, elle ne me croirait pas. Pourtant, au fond de moi : convaincu de ne pas être la seule étoile filante. Craignant sa réaction, ce n'était pas au premier rencard, que nos lèvres allaient savourer le baiser de la vérité. Avant de devenir le sujet d'une dissertation, une chimie entre nous devait être enfantée. Donc pourquoi ne pas la faire naître autour d'une brioche ?
Agrippant ton carnet de rendez-vous. Tu pouvais agiter ton stylo pour y inscrire mon statut. Et graver ma présence. Tu possédais aussi mon consentement de te souvenir de mon minois. Retirant d'un geste doux, le grimoire de tes consultations de tes mains. Déposant celui-ci sur le bureau. Courtisant et délicatement, du bout de mes doigts je me faufilait en dessus des tiens. D'une emprise affleurante, je me penchais pour te faire la bise. Pour ensuite , reculer pour éviter une potentielle gifle , car la lionne n'est jamais docile pour premier contact du lion. Mais une femme possédant du mordant. Cela s’avérait excitant. - Enchanté, Professeure Lemon. Leo Lionstar, rencard imprévu et de dernières minutes. Je désirais m'inscrire a vos cours..
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Honey Lemon
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Mais... qui était cet individu en train de se pavaner d'une démarche un peu grotesque pour réduire l'espace qui le séparait de Honey ? Etait-il en train de reproduire une quelconque parade nuptiale dont elle n'avait pas entendu parler ? La scientifique n'était pas particulièrement au fait des comportements animaliers mais elle n'avait jamais rien vu de semblable et observait le jeune homme avec un air ahuri. Elle avait certes étudié plus en détails les comportements anthropologiques des Hommes mais rien dans les souvenirs très précis qu'elle en avait n'y correspondait. Alors qu'est-ce que c'était que ce numéro un peu perturbant ? Juste au cas où, elle délaissa son agenda papier pour déplacer la bague (mélange d'or jaune, or blanc et saphir) habituellement à son annulaire droit afin de la porter exceptionnellement à l'annulaire gauche, anthropologiquement connu pour être celui réservé aux alliances et autres bagues de fiançailles. Honey espérait qu'avec ce signal subtil, le paon de l'autre côté du bureau arrêterait de parader. Elle ne tarda d'ailleurs pas à remonter nonchalamment ses mains sur son bureau et reprendr ledit carnet comme si de rien n'était. La chimiste et astrophysicienne n'avait plus parlé et se contentait de suivre la parade qui se poursuivit par la déposition d'une offrande (du moins, c'était ainsi que Honey interprétait l'atterrissage d'un sachet de pâtisseries sur son bureau, dans le peu d'espace laissé par son joyeux bazar organisé). L'odeur sucré vint chatouiller ses narines mais ne dissipa guère son scepticisme. Elle nota cependant que le jeune homme était suffisamment à l'aise pour lui prendre son agenda... Et lui faire la bise ?? Honey serra les dents pour maintenir son expression accueillante (mais à présent crispée). D'ordinaire, elle appréciait les grandes démonstrations d'affection. Si elle avait pu se lever et courir, elle l'aurait fait dès que Michel-Ange apparaissait, sachant pertinemment qu'elle ne risquait rien à l'atterrissage. En cas de coup dur, elle était la première à proposer un câlin groupé, persuadé que ça résolvait toujours au moins un peu la situation du fait des hormones que ce geste libérait. Mais des contacts trop rapprochés et pas clairement consentis avec des inconnus, elle n'appréciait pas. Surtout s'ils étaient partie intégrante d'une parade de séduction dont les codes lui échappaient. Au moins eut-il la décence de se présenter finalement en explicitant les raisons de sa présence. - D'accord, reprit-elle en opinant afin de ne laisser aucun doute quant à sa compréhension de la situation. Honey croisa les mains sur son bureau puis enchaîna : - Il va cependant, Monsieur Lionstar, que j'explicite avec vous deux points qui me paraissent cruciaux compte tenu de la situation. 1) Je ne suis pas intéressée par un rencart avec vous. Navrée, je suis prise. 2) Je ne suis pas en charge des inscriptions universitaires. Il va falloir vous tourner vers l'administration de la faculté, puis attester que vous avez bien été diplômé du lycée, que vous êtes assuré et sans doute d'autres formalités dont je ne connais pas les tenants et aboutissants. Cependant, j'ai peut-être quelque chose pour vous, reprit la jeune femme en commençant à reculer son fauteuil roulant. Elle contourna ensuite son bureau et Leo Lionstar pour se diriger vers l'armoire à droite de la porte d'entrée, celle dans laquelle elle entreposait toutes sortes de documents. Honey ouvrit un tiroir particulièrement ordonné dans lequel elle trouva rapidement ce qu'elle cherchait : une brochure de présentation du département d'astrophysique et une autre qui présentait le département de physique chimie afin de finalement faire demi-tour pour les tendre au jeune homme : - Voilà. Dans ces documents vous trouverez une présentation détaillée des départements avec lesquels je travaille. Je n'enseigne qu'en Mba, Master et Doctorat, mais si vous êtes un étudiant de première année et choisissez l'astrophysique comme champ disciplinaire vous serez en contact avec le Professeur Cinna Lemon qui est excellent. A propos, déontologiquement, il est interdit de sortir avec ses étudiants.
Loke Lionstar
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Déontologie, ce mot qui décrivait parfaitement notre rencontre. Ce mot qui me commémorait mon monde spirituel, car nous avions un protocole a respecter, en tant qu'esprit céleste, mais aussi un codex pour notre univers, Mais on en discutera plus tard, car nous étions en train de décrypter la fameuse déontologie du sexe. Toi de ton air ahuri, tu psychanalysais ma parade nuptiale. Mon comportement horoscopique était pourtant simple a comprendre. Instinctivement, flirter était un talent inné de la nature du lion.Et ce rituel de paon, je l'avais plus que vingt et une fois. Donc cette attitude séductrice était une habitude.
Et moi, t'observant je pouvais conclure,que tu étais pratiquante de la fidélité. Selon de ton codex de femme en couple. Et pour me faire comprendre que tu étais prise. Pas besoin de mettre en oeuvre, tout un scénario. Ma lecture me l'avait apprise. Mais tu n'étais pas la premiere. Tu ne seras pas la derniere. Fiancée ou pas, tu étais l'otage de mon jeu de chasse. Tu étais cette offrande souricière, qui aguichait le félin. Et ton copain devrait se sentir honoré que sa privilégiée, soit l'objet de désirs d'un autre. Ca prouvait qu'il avait du gout et de la chance d'avoir trouvé la perle rare.
Tu optais pour la tactique de la diplomatie. Aucune violence a l'horizon. Heureusement pour moi. Même si ton malaise, venait chatouiller ma perception. Tu ne devais pas avoir l'accoutumance de te faire racoler. Donc théoriquement, selon les petites lignes de ton profil féminin, ton mec devait être ton premier-né en expérience.
Quand je te faisais la bise sur ta main, mes lèvres effleuraient ta bague d allégeance a ton homme.Mais ce bijou n'était qu'une mascarade. C'était une des nombreuses techniques des dames pour un refus. Mais détrompe toi, ce n'était pas un jonc qui allait anesthésier mes avances. Surtout que cet anneau, faisait qu'accroître mon désir. Les femmes qui décoraient leur corps d'accessoires, succombaient a mon gout. L'Or était ma couleur. Et le diamant ma pierre. Abandonnant mon emprise sur ta main. Le rideau de la mise de scène n'allait pas tomber toute suite. Aimant faire durer le plaisir. Et simplement, que le fait que tu sois convoitée par un autre, me poussait a tester les limites. - Votre homme a du gout , avec cette bague vous devez faire des jaloux. Je lui faisais un clin d'oeil, malgré le fait que ton accueil soit crispée. Mais ce compliment pourrait t'aider a te détendre.
Voyant que le geste subtil, n'avait eu aucun impact sur mon sex appeal. Tu tentais une approche différente. Prenant ton air sérieux et ta voix autoritaire, Tu m'endoctrinais. avec politesse. Tu utilisais mon nom de famille, pour garder une indifférence, mais pour moi ce n'était qu'une résistance. Qui me faisait encore plus guigner. Adossant mon fessier sur le rebord de ton bureau, tu avait toute mon attention,enfin presque, du bout des doigts, je tripotais le bout de tes stylos tout en scrutant ta bouche. Tu ne voulais pas de rencards avec moi, parce que tu étais prise. Donc ce n'était qu'une douce brise. Non un refus. Le célibat aurait pu changer le cours de l'histoire.
Mais la vie de couple te rendait flegmatique a mon égard. Et parce qu'il avait cette embûche, qu'on nommait : Copain. Ce mec mettait un frein a une demande de sortie. - Prise, je le savais déjà, une femme de votre calibre ne reste jamais bien longtemps célibataire. Votre homme a bien de la chance, d'être choyé par votre présence dans sa vie. Mais je ne lui dévoilais pas, quelle était ma source cette information. Mais elle ne refusait pas, de devenir futurement mon enseignante. Et elle m'expliquait comment y accéder, donc le Lion n'était pas mort ce soir. Il avait encore ses chances.
Diplômé du Lycée, bien sûr que l'était, même si la mort de ma fiancée avait bouleversée ma carrière. Et dans ma vie fictive, j'avais dut fauté en taule. Mais ma mauvaise phase, était derrière moi. Il était temps , d'avancer et accomplir ma destinée. Malgré la situation, de tension et de tentation. Tu avais perçue mon intérêt pour le domaine de l'Astronomie. Tu me disais que tu avais quelque chose pour moi. Dommage ce n'était pas ton numéro de téléphone. Tu avais piquée ma curiosité. Reculant, je remarquais que tu étais en fauteuil roulant. Étant un séducteur unique, je n'étais pas rebuté par cette vision. Cette imperfection, était pour moi une perfection. La fragilité d'une fleur démontrait toujours le meilleur en moi. Mais ce détail, ne faisait pas de toi une femme différente. Tu allais être traitée avec les même faveurs que les autres. Tu me laissais pas tiède a cette révélation.
Te suivant jusqu'à l'armoire. Le contenu était aussi bien rangé que mon compartiment a cravates de ma penderie. Tu pivotais sur toi-même, pour me tendre les brochures. D'un sourire en coin. - Merci, je vais lire ceci attentivement. Entreprenante, tu menais la valse.. Mais il fallait que tu saches, que le dernier mot m'appartenait.
Aguichante avec tes propos. Tu me donnais encore plus envie de m'inscrire. Ambitieuse, tu voulais m'impressionner avec tes diplômes. Si seulement tu savais que tu te trouvais en face d'une constellation. Tu ne me surestimerais pas. Je n'avais pas besoin d'un certificat pour être ton élève au premier rang. Mais si, je devais monter les échelons pour t'avoir comme enseignante. Cela en valait peut-etre la peine ! Remarquant le nom en commun. Je pouvais en déduire, que vous étiez familier. Prononciation masculine. Ce professeur était un homme. Un autre essais, pour apaiser mes ardeurs ? Mais ne t'inquiète pas, être dans les bonnes grâces de ton père, était une approche attrayante. Mais je ne te savais pas aussi pressée de me présenter. Mais je te prouverais que je valais la peine que tu t'interesses a ma personne. Flattant la personnalité de ton père, m'allumait. Tu montrais un atout, que je recherchais chez une femme. Besoin, d'une conquête qui me caresserait d'éloges. Mais moi aussi j'avais un atout dans ma poche, celui de répliquer avec galanterie, en t'offrant une flatterie - C'est votre père ? Est-ce que le talent d'enseignement est réciproque chez la fille ? D'un pincement, je jouais avec ma babine inférieure. Puis elle rajoutait pour me narguer. Qu'une institutrice, ne pouvait pas sortir avec un étudiant. - Ne vous inquiète pas, Mademoiselle Lemon, je ne comptais pas faire mon loveur, avec votre paternel. Et je suis au courant pour la Déontologie scolaire. Mais est-ce que c'est le fantasme est censuré ? Et au faites, vous n'êtes pas encore mon professeure. Non je n'en ratais pas une. Donc en théorie, j'aurais le droit de vous inviter a sortir. Après tout, je ne suis pas venu seulement pour vos beaux yeux. Mais pour que vous me donnez un coup de main. Et pas celui que tu croyais. Parce que de ce coté là, je savais me débrouiller.
Mais c'est un peu personnel. Sourire confus. Je ne savais pas comment , lui relever ma nature et celle de ma meilleure amie. Vous, une amie et moi nous avions cette passion commune pour le cosmos, et la chimie étoilée. Donc on aimerait scientifiquement et professionnellement votre opinion, sur le sujet. Parce que la vraie raison de ma venue était, retrouver mes amis constellations. J'espérais avoir piqué sa curiosité, pour récolter une réponse positive.
Donc j'aimerais vous faire cette invitation. Un repas, Vins et Fruits de mers au menu. Après tout, la ville est connue pour pratiquer la Conchyliculture. Je ne disais jamais non, a un repas avec des produits aphrodisiaque. Et une observation telecospique dans la cour de chez moi. Ne vous en faites pas, ce n'est pas un rencard. Puisque vous pouvez apporter votre petit ami. Après tout, je n'ai jamais tenter l'expérience du ménage a plusieurs. Je disais en ricanant, espérant qu'elle n'allait pas me croire. Pour qu'elle remarque que ce n'était qu'un charmeur sans colonne, qui ne voulait pas d'un engagement. Que je ne voulais pas mettre la zizanie dans son couple. - C'est une blague. Je n'ai aucune vue, sur Monsieur le maire. Mais je suis sur que ca ferait plaisir a River, de voir son ami. A la Guilde, tout finissait par se savoir. Et on rencontrait pleins de monde. Ce n'était pas l'endroit le plus intime de la Ville. Et rencontrer cet homme chanceux, me ferait plaisir. Et peut-être qu'a part vous, lui et moi , nous avions des points communs comme la Philatélie, même si je préfère collectionner les cravates, aux timbres. Dans la séduction, il était important d'apprendre a connaitre la rivalité royale. Et cette invitation, n'était pas pour que Lion brille, en invitant des célébrités a sa table. Parce que ce n'était pas le titre de première dame. Ni même le statut de Professeure, qui m'avait séduit mais bien notre passion pour les Astres. - Alors c'est un Oui ? Vous avez besoin de consulter votre agenda ? A moins que vous préférez mon numero telephone, pour qu'on reste en contact, pour mon petit souci étoilé. ...
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Honey Lemon
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Honey ne releva ni l'allusion aux goûts de Michel-Ange (qu'elle ne se serait, de toute façon, pas permis de juger) ni vis-à-vis des jalousies qu'elle pouvait susciter. La jalousie, ce n'était pas un sentiment qu'elle appréciait, quel que soit le contexte. Elle tâchait, en tout cas, de ne jamais la ressentir et ne l'avait, par exemple, jamais ressentie au sujet d'Eulalie. Au contraire, elle était contente de voir Michel-Ange impliquait dans cette relation à la fois bancale et stable - si tant est que cela soit possible. Il avait un autrement sentiment que la jeune femme tâchait de ne jamais éprouvé à l'égard d'autrui et c'était l'agacement. Mais le comportement de son "invité" surprise, il lui était difficile de garder son calme. Honey n'appréciait pas les personnes qui se permettaient de s'asseoir sur le bureau des autres et encore moins celles qui s'autorisaient à toucher à leurs affaires - même s'il ne s'agissait que de stylos ! C'était plus pour le principe que pour autre chose. En revanche, s'il continuait à parler de la chance que son petit ami, elle finirait sans doute par rouler des yeux. Dans tous les cas, Honey, qui pourtant refusait rarement la conversation et les compliments, ne rebondit pas non plus sur ce qui se voulait donc un compliment. Qu'un autre suivi. Et encore et un toujours un. Leon Lionstar était peut-être docteur es compliments. Honey doutait que ce soit une réelle discipline mais trouvait le trait d'esprit amusant. Et elle devait bien reconnaitre la persévérance du jeune homme ainsi que son impertinence. Pour ce qui était de sa flatterie, elle n'était plus à prouver : - Je suggère, Monsieur Lionstar, que vous lui posiez la question si jamais vous vous inscrivez aux cours, répondit-elle simplement. Honey aurait pu expliquer qu'elle était à l'origine une chercheuse pure et dure et que ce n'était qu'au contact d'Evelyn Nichols qui enseignait les mathématiques appliquées qu'elle lui avait demandé comment ajouter cette corde à son arc mais ce genre d'informations personnelles elle ne les communiquait pas aux étudiants. Question de principe et de limite, encore et toujours. Il n'en ratait pas une et il en avait conscience. Mais peut-être ne voulait-il pas voir le malaise qu'il allait finir par créer ? Sans être experte en sciences sociales, Honey pensait envoyer des signaux clairs mais au cas où elle croisa les bras sur sa poitrine, ce qui était généralement associé à une fermeture, une impasse. Son visage changea ensuite d'expression quand Leo Lionstar mentionne un besoin d'aide. Naturellement, il avait éveillé sa curiosité. Son attitude se fit plus ouverte - sans doute pour le plus grand plaisir du jeune homme. Ca n'allait pas arranger ses affaires mais c'était plus fort qu'elle. La curiosité n''est-elle après tout pas un vilain défaut ? - Je vous écoute, annonça-t-elle avant qu'il n'introduise son problème "personnel", terme qui poussa la scientifique à la méfiance. Les problèmes "personnels" des dragueurs n'étaient pas nécessairement le type de problème que son esprit cartésien aimait résoudre, d'autant plus s'ils ne pouvaient être soumis que durant un repas. - Vous savez quoi ? Les ménages à trois ne m'intéressent pas non plus et je suis assez peu réceptive à l'humour quant il n'implique aucun phénomène scientifique, reprit Honey. Je pense que, non, en fait, je suis certaine que vous profitez d'avoir attiser ma curiosité pour émettre cette proposition. Le dîner me parait superflu à l'exposition de votre problème, qui plus est s'il est scientifique comme vous le laissez entendre. La présence de Michel-Ange l'est tout autant. Il n'est pas à l'aise, je crois, quand je deviens technique. Mais soit, j'ai envie de vous aider car je trouv qu'aider les autres est une perspective gratifiante. Vendredi ? De son point de vue, tout était dit. Ah non. Honey ajouta, pour la forme : - Je ne bois pas de vin, en revanche. Jamais pour le travail, en tout cas. Et c'est bien du travail que vous souhaitez me confier, de toute façon.
Loke Lionstar
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La tournure de cette rencontre était surprenante. Mais elle était aussi, une porte pour mon évolution. Mon attirance pour cette muse, m'avait poussée vers un projet naissant et imprévisible. Mais c'était potentiellement une réussite. Nous avions conclu, le premier sujet de cette discussion sur une bonne note. Bientôt, son père pourrait me compter parmi ses élèves. Écolier de premier rang.Dans quelques mois, Monsieur Lemon pourrait louanger mes prouesses académiques a sa fille. Elle m'encourageait même avec sa phrase, a me lier avec son paternel pour récolter des informations a son sujet. La réussite professionnel mais aussi celle du coeur est importante pour moi. Je détestais vivre des échecs.
Elle n'avait pas s'inquiéter pour moi, comme profil étudiant, je ne serais pas le sportif populaire. Ni même le nerd, même si j'approuvais le port de lunettes de ceux-ci. Mais je serais, le célèbre musicien a l'aura mystérieuse. Emballé par cette idée d'être un éleve universitaire. Pas indifférent, au rôle . Possédant déjà a mon actif, une professeur de musique. Mais malgré la Denturologie, j'avais le béguin pour celle-ci. Mais on ne rentra pas dans les détails de cette complexe histoire. Mais on pouvait déjà cocher a mon profil, que j'avais accomplis le fait d'être amoureux d'un enseignant.
Le titre étudiant, m'offrait des opportunités que je ne pouvais pas refuser.Me rapprocher de mon monde. Être un élève exemplaire dans cette discipline. Faire connaissance avec la gente féminine,de la classe et du campus. C'était incontournable!Et avec un peu de chance, être membre d'une fraternité et assister aux fetes. Pour conclure ce chapitre, je pliais et rangeais mes brochures dans l'une des poches de mon pantalon. Il était l'heure d'attaquer le vif du sujet.
Selon ce profil avec ce que j'avais observé , Horoscopique, Mademoiselle Lemon devait être Taureau. Et le fait que tu sois coincée et fermée a mes blagues , a ma facette docteur des compliments me le confirmait. En tant que Roi du zodiaque, il était de mon devoir de connaitre les symboles de mes camarades . Mais quelques détails de sa personnalité m'agacait. Et j'étais convaincu, que de son coté elle ressentait le même ressenti. Compatible-ment sentimentalement, nous étions pas des âmes soeurs. Mais ce couple d'astres n'était pas impossible. Mais professionnellement, c'était une victoire ! Donc ensemble, avec la compagnie de Lucy, parce qu'elle était aussi concernée par la situation, vu qu'elle était ma constellationniste et celles de mes frères et mes soeurs, nous pourrons peut-être ou pas trouver un miracle, pour combler mon manque du monde des esprits stellaires. Même si ce n'était pas ma première séparation avec celui-ci. Mais je craignais que cette fois ci,la rupture sera définitive. Mademoiselle Lemon était mon dernier espoir, de me ne pas me sentir le seul survivant. Mais je n'allais pas verser une larme dans son bureau. De nature optimisme, je me gardais une espérance en réserve.
Tes paroles étaient radicales et froides.Je pourrais même dire très sérieuses. Mais, ne voulant pas perdre ton attention. Tu avais raison, mon invitation était superflue contrairement a mon souci. Mais je ne pouvais pas m'empêcher de te glisser celle-ci. Séducteur a tes yeux, mais peut-etre je désirais plus qu'un flirtage. Mais que je voulais une amie avec qui partager, mon intérêt pour le Cosmos. Être ton acolyte. Que tu sois Batman et moi Robyn. Mais légèrement maladroit avec les femmes, je ne savais pas trop comment faire passer le message. Pour que tu comprennes qu'une amitié me plairait. Mais je préférais te laisser deviner entre les lignes de mon signe.
Tu ne déclinais pas mon offre, satisfait, mais Dommage! Je ne pourrais pas faire la connaissance plus approfondis de ton fiancé. Tu lui trouvais une excuse bidon. Est-ce que c'est parce que tu voulais éviter une crise de jalousie ? Tu allais lui cacher notre rencontre ? Est-ce que tu préférais venir seule , parce que tu te sentais assez forte pour résister a mon sex appeal ? Je pouvais conclure une reponse positive a mes questions. Mais t'avoir a moi tout seul n'était pas désagréable. Même si , on allait travailler.. - Est-ce que vos services d'Astrophysicienne sont gratuits, ou je vais devoir devenir numismatique pour payer ? Pourquoi cette question ? Habitude d'avoir des rabais envers les demoiselles. Mais avec une de tes répliques, tu me confirmais que tu proposais ton aide de bon coeur. Ce qui m'arrachais un sourire.
Préférant gérer tous les aspects de ma vie. J'aurais voulu choisir le jour,car mon meilleur jour, était le dimanche. Mais ayant, décider le lieu. Je pouvais faire un compromis, et te laisser choisir le moment. Vendredi. Tu étais sérieuse ? Cliché. Tout le monde connaissait la réputation du Vendredi. Journée du roucoulade sous la couette. Comment je devais prendre cette proposition ? - Vendredi c'est parfait. Je rajoutais pour finaliser les détails. Est-ce que vous désirez que je vienne vous chercher, a votre domicile, ou vous préférez que je vous offre mon adresse, pour y rendre par votre propre moyen ? Galant, espérant que tu choisirais ma première option. A moins que tu désirais adopter la discrétion, vu que ce rendez-vous était clandestin aux yeux de son petit copain.
Alors que je pensais que tout était statué. Tu argumentais une autre de tes exigences. Tu refusais l'offrande qu'une coupe de vin en ma compagnie. Ne t’inquiète pas mon but n'était pas te saouler. Je n'étais pas ce style d'hommes qui profitait de la vulnérabilité, pour arriver a ses fins. Pour moi, la boisson était un relaxant pour détendre et rendre chaleureuse l'ambiance, pour que le courant passe naturellement. Mais je pourrais toujours un lait aromatisé, si tu percevais de mauvaises intentions. Mais tu devais savoir, certes envahissant avec ma facette de charmeur, mais j'étais un garçon droit. Pour la rassurer. - Oui c'est bien pour du travail que je veux vous confier. mais dans une ambiance décontractée, ou on sera tous les deux a l'aise.
Pour achever cette entrevue, je te disais: - Je ne vais pas vous déranger plus. Je dois aller m'inscrire. Merci de cet entretien. Au faites, donnez-moi des nouvelles sur la pâtisserie au fraise. En parlant de l'offrande sucrée, toujours sur ton pupitre. C'est la spécialité d'une amie. A vendredi Professeure Lemon. Je m'éloignais dans une danse. Ça aurait pu être celle-ci , mais non. Il me fallait une magnifique finale pour ma parade nuptiale.
Bras dans les airs. Mouvements de poignets et de mains pour faire un geste de joueur de batterie. Frôlement gaucher de cuisse. Pour ensuite, remonter ma main gauche sur mon ventre. Mon autre bras était dans les airs. Doigts pincés. Jambes écartées. Roulement rapide de bassin. Mettant mes atouts masculins en valeur. Pour mettre un terme a cette victoire, je bougeais les bras dans tous les sens. Quittant la pièce sur ce spectacle, qui aurait pu rendre ton homme envieux. Tu avais eu le droit a un numéro privilégié en attente de ce fameux Vendredi.
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Honey Lemon
« Science is magic that works. »
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| Conte : Big Hero 6 | Dans le monde des contes, je suis : : Honey Lemon
Ce Leo Lionstar était vraiment étrange - plus que Honey ne l'était elle-même. Et très entreprenant. Trop, sans doute. Elle craignait de ne pas voir suffisamment clair dans son jeu et pourtant elle avait accepté son invitation, sans doute parce qu'elle refusait rarement (quasiment jamais, en fait) d'aider les autres. Surtout en sciences, son domaine de prédilection. Honey n'était pas certaine que la science intéresse Leo Lionstar autant qu'elle. La science donnait l'impression d'être secondaire dans ses plans alors Honey s'appliquait d'autant plus à ne laissait planer aucun doute sur ses intentions, à elle qui n'était pas certaine de pouvoir réellement être à l'aise avec cette étrange personne. - Je suggère de nous retrouver à l'endroit où vous souhaitez manger. Vous n'avez qu'à me donner le nom, je trouverai, assura la jeune femme d'un ton neutre et factuel. Le ton qu'elle employait pour s'adresser à ses étudiants. Evelyn lui avait bien fait comprendre que des fois elle devait laisser son côté jovial à la maison (pas littéralement à la maison) afin de n'être que la figure d'autorité et de savoir qui allait de pair avec son statut. - Bonne chance pour votre inscription, ajouta-t-elle cependant avec un sourire bienveillant. Drague ou non, Honey n'était pas du genre à décourager quiconque souhaitait s'instruire. Elle était, en revanche, plus sévère envers ceux qui s'engageaient dans la magnifique voie du savoir pour de mauvaises raisons. Rien, cependant, ne prouvait que Leo était de ces personnes. Il avait plutôt l'air enchanté, en fait, de bientôt se confronter aux formalités administratives pour rejoindre le département d'astrophysique de l'université, ce qui prouvait sans doute qu'en dépit de sa drague un peu lourde, il n'avait pas mauvais fond. Comme il ne manqua pas de le rappeler juste avant de prendre congé, il n'était pas venu les mains vides. En effet, maintenant qu'il en reparlerait, la boîte de pâtisserie trônait toujours sur le bureau du professeur. Honey l'avait complètement oubliée et la fixa un instant avant de reporter son attention sur Leo Lionstar. - Merci. Pour la pâtisserie. Ne croyez pas que cela vous obtiendra une quelconque faveur mais merci. Je la goûterai. Honey se garda bien de préciser qu'elle n'aimait pas les fraises plus que ça et préférait les framboises car elle était kantienne. Et comme chacun sait, pour un kantien c'est l'intention qui compte, pas les conséquences. La jeune femme avait à peine refermer la bouche que Leo Lionstar quitta le bureau, d'une bien étrange façon. Honey se demanda vaguement si cela faisait partie d'une technique de drague et resta tellement étonnée de voir ça qu'elle ne cligna des yeux qu'une minute plus tard, quand Wasabi pénétra dans son bureau d'un pas léger, en pointant dans la direction par laquelle il venait : - Eh bah dis donc, j'sais pas c'qu'il prend le gars que je viens de croiser mais ça fait un sacré effet. C'tait qui ? Honey trouva la question d'autant plus intéressante qu'elle ne savait pas comment définir ce garçon et qu'il lui fallut un petit instant de réflexion avant de répondre. - Il s'appelle Leo Lionstar, il est venu me draguer, demander mon aide et s'inscrire en licence d'astrophysique. Dans cet ordre. Je n'ai pas accepté la première option, précisa la jeune femme. Wasabi opina. - Je le frapperais s'il t'embête, ajouta-t-il pour la forme et pour tenir son rôle de meilleur ami protecteur. Cela fit glousser Honey. - Ca ira. Difficile à dire si Wasabi était convaincu. Mais une chose était sûre : il avait faim eut tôt fait de le signifier à Honey afin qu'elle lâcha ses copies pour aller manger.
En parlant de nourriture, c'était aussi ce qui attendait Honey ce vendredi-là. Elle avait reçu le nom du restaurant et comme il n'y en avait pas 36 à Storybrooke, elle n'avait de toute façon pas eu de mal à trouver. C'était, par chance, accessible, peut-être du fait des moyens investis par Michel-Ange pour rendre la ville entièrement accessible - une initiative que Honey ne pouvait qu'approuver. Elle était certaine qu'il l'aurait prise s'ils ne s'étaient pas connus, tout comme elle était certaine qu'il se méfiait de cet entretien professionnel, pourtant, elle ne lui avait pas caché. Leo était déjà assis à une table vers laquelle la serveuse la dirigea rapidement avant de retirer la chaise d'en face pour qu'elle se glisse sous la table avec son fauteuil avant de le saluer. - Eh bien me voici, monsieur Lionstar. Quel est donc ce problème qui requiert mon expertise scientifique ?
Loke Lionstar
« Tous les hommes sont des imbéciles »
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| Conte : Manga Fairy Tail | Dans le monde des contes, je suis : : Loki ★ (Leo du Lion , L esprit céleste )
Le plus gros risque, n'est pas prendre de risques. Une citation d'un de mes amis. Être un dragueur invertébré, s'est être un casse-cou. Et vivre périlleusement, ne craignant pas s'en prendre plein la tronche. Avertissement pour les novices, il ne fallait pas avoir le coeur trop sensible, ou même dépendre de l'amour, sinon la destruction fatale était votre destin. Les séducteurs ont tous cette réputation étiquetée. Celle d'avoir le but de vous présenter nos draps. Mais cette soif de plaisir, je pouvais la comblée autrement, qu'avec toi. Entre nous, c'était seulement un jeu d'attention.Je ne possédais aucune pensée, qui me pousserait a t'embrasser. Et cette envie n'était pas ton cas. Contrairement a ta perception, celle ci était trompeuse. La drague était un échappatoire a l'attachement et l'engagement, deux mots qui me faisaient fuir pour une raison, bien précise. Mais c'était aussi un enseignement d'une femme avec qui j'étais lié. C'était un trait de caractère inné. Ayant une impression fausse de ma personne. Tu imposais le lieu de notre rendez-vous.
Tout simplement, parce que tu appréhendais celui-ci. Persuadée, que je t'inviterais a prendre le repas a la Guilde, pour qu'on soit dans une ambiance plus intime. Tu désirais neutralité. Tu avait choisis l'option de la loi d'Omerta. La loi du silence. Tu ne voulais pas ébruiter notre relation. Belle attention, je ne souhaitais pas être le Roi des bavardages. Et toi, la marque de l’infidélité n'allait pas avec le teint de ta personnalité. Mais dans ta limitation de mes intentions, tu m'autorisais le nom du restaurant. Bonne idée. Et cette manière, je pouvais accomplir le rituel du parfait Donjuanisme, celui de soumettre la dame, a mes désirs. Être un cavaleur,était un art.
Dansant et sortant de la pièce. Je me retournais une dernière fois en ta direction, mais surtout parce que tu m'encourageais dans mon projet .Accompagné d'un clin d'oeil, je t'adressais le lieu de notre rencontre: - Ratatouille, dix neuf heures Professeure Lemon. D'un ton lent et d'un volume profond. Technique de charmeur. A quoi servait cette méthode ? Garder mon visage en mémoire. Elle me remerciait pour le dessert. Mais..Ce mot faisait parti du vocabulaire féminin. Encore une fois, décidément c'était une manie chez toi. Tu imposais ton protocole efféminé.
A la sortie,plus précisément dans le croisement de la porte et du corridor, face a face, avec un homme de couleur, imposant de sa carrure. Malgré mon apparence féline, celui ci ne m’intimidait pas avec son air dévisagent. Connaissant cette expression, pour la témoigner en compagnie de ma meilleure amie. Symbolisait, la protection fraternelle du coeur. Il n'était pas une menace. Mais curieux. Toujours près du local. La porte n"était pas fermée. M'adossant contre le mur. D'une oreille indiscrète et attentive, je buvais les paroles..
Celui-ci pensait que je l'embêtais. C'était une preuve, qu'il n'était pas du même statut que moi et qui ne connaissait rien au code loveur, car avec ma parade dansante, il aurait capté , le symbole de ma personnalité. Sans trop m'attarder a ce cliché classique. Je poursuivais ma route vers l'endroit pour postuler pour pouvoir entamer mon projet. Donc une fois, le duo sorti du bureau. Ma présence, n'était plus là.
Ce n'était pas Dimanche, mais Vendredi. Ratatouille,était un restaurant de cuisine française. Ce n'était pas, le plus étoilé du quartier. Il n'avait pas la réputation Hollywoodienne. Tout simplement, car je n'allais pas te déclarer, le grand numéro du manuel du séducteur. Mais nous allions dîner, en tête à tête. Donc souhaite, de ne pas tomber sur une connaissance. Ni une des miennes. Même si , cela serait cocasse.
Lucy n'avait pas pu être présente. Ni même ton fiancé. Dommage! Mais on connaissait la cause. Notre liaison était secrète, enfin presque. Ton ami était au courant. Ton petit copain aussi, mais c'était une information que je ne pouvais pas deviner,car je n"étais pas télépathiquement nouer a toi. Mais si j'aurais su, j'étais persuadé que celui-ci , s'imaginait le mauvais oeil planer au dessus de votre couple. Mais est-ce que ton camarade, jouait l'espion en se cachant dans le restaurant ? Je ne crois pas et on voit que cette situation dans les films, pour mettre un peu d'action.
Ne sortant jamais sans une apparence parfaite. Coiffure divine. Accessoires agencés. J'avais opté pour un habit propre, professionnel, et de marque. Chemise rosée et cravate animale.Quand je sortais dehors avec une femme. Je la jouais toujours un peu allumeur. Je ne pouvais pas changer. J'étais Sexy, salace et allumeur. J'avais confiance en ma sexualité. J'étais le genre de garcon que les autres mecs n'aimaient pas . J'étais le genre qui faisait fantasmer les filles.
A ton arrivée, tu pouvais le remarquer. A une table voisine de la notre, entre copines , des demoiselles me dévoraient du regard. Et moi,j'échangeais quelques sourires avec celles-ci, comme approche. Mais, au moment ou la serveuse t'installait, je cessais de copiner. Si tu aurais été une de mes amies ou même une conquête, je m'aurais levé pour te faire la bise et te complimenter sur ta tenue. Mais pour cette fois, on allait s'abstenir par une gorgée de politesse de mon lait aromatisé au parfum de la banane. Parce qu'on en avait conclu, que l'alcool n'était pas au rendez-vous pour cet entretien. Moustache de lait, je prenais la serviette pour essuyer celle-ci.
Derrière toi, tu pouvais entendre les commères soupirer et bavarder en ta présence. Serveuse toujours présente, d'une subtile et douce caresse, du poignet a la paume de sa main de celle-ci. Je lui disais: - On pourrait avoir les menus si vous plait. Joues rosissantes. Elle s'éloignait pour accomplir la demande. Me penchant légèrement vers toi, en murmurant. - Sincèrement désolé, je fais beaucoup d'effets a la gente féminine sauf a vous mais c'est ce qu'il me plait. Dans le langage du séducteur, cela signifiait, que se prendre une rafale de vent était qu'une résistance qui aguichait, même réveillait les instincts du chasseur, pour un moment de jeu. Parce que je ne voulais pas m'aventurer dans la complexité d'une relation triangulaire.
Ta crudité, ton impatience et surtout ta crainte que tout ceci était qu'une mascarade se faisaient ressentir dans ta parole et dans ton aura entière. Pour répondre a ton interrogatoire, et te prouver que je n'étais pas un adepte du mensonge. Je glissais une main sous la table, pour fouiller dans une mes poches de mon pantalon et y sortir un mouchoir de tissus. Et le mettre devant toi. Ne t'inquiète pas ce n'était rien d'alarmant et microbiote.
Emprunter a ma constellationniste. Cet objet était un fragment de moi. Appartenant a quelqu'un. Ca existe des collectionneurs d'êtres ou de personnes. A la vue, tu pouvais apercevoir la silhouette d'une clé a travers l’étoffe. Au toucher, tu pouvais sentir chaque détail de l'artefact.
Croyant que la meilleure façon de donner des explications, était le visuel. C'était la raison, pourquoi tu avais le droit d'analyser cet article magique. Mais dans ta tête, tu pouvais paniquer et t'imaginer des scénarios. Croyant que je t'offrais une clé de mon antre. Non je te dévouais une confiance sur la vérité sur mon identité. Je permettais a l'Astrophysicienne, l’opportunité d'ouvrir son coeur et son esprit, au monde des constellations.
Si tu dénudais la clé de son rempart, tu pouvais voir, une clé dorée avec une emblème a l'extrémité. Celle de l'horoscope du lion. - Professeur Lemon savez vous a quoi sert une clé ? Question ridicule! Mais qu'il avait tout un sens pour moi. Et c'était l'ouverture de la porte d'une discussion scientifique.
Mais au moment ou les explications de ta venue allait s'enflammer. On se faisait interrompe par la serveuse, qui nous apportait nos menus. Prenant le mien, l'ouvrant par la suite. Je jetais un regard rapide a celui-ci, avant de lever la tête vers toi. - Commander ce que vous désirez la note est pour moi. Technique de drague? Non la galanterie était un trait de l'homme lion.
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Honey Lemon
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Honey s'était naturellement renseignée sur le restaurant Ratatouille dans lequel elle n'avait encore jamais mis les pieds - ou plutôt les roues. Il avait l'air sympa. La jeune femme avait une légère préférence pour la cuisine italienne mais savait parfaitement apprécier la gastronomie française, mondialement répandue - jusqu'au fin fond du Maine, apparemment. Elle avait, bien sûr, immédiatement compris qu'il s'agissait d'un restaurant français à la seule évocation de son nom. La ratatouille, après tout, était un plat provençal plutôt renommé. Pour cette soirée de travail, Honey n'avait fait aucun effort particulier, en partie parce qu'elle ne voulait pas encourager le dragueur qui l'attendait, mais aussi car même si elle avait voulu, elle n'aurait pas eu l temps. Le vendredi, Honey n'enseignait que le matin, ce qui lui donnait tout le loisir, une fois l'après-midi venu, d'expérimenter. En l'occurrence, l'expérience du jour avait été quelque peu explosive (mais elle en avait l'habitude) et, de fait, décoiffante (ça aussi, elle en avait l'habitude). La jeune femme s'était contentée de se laver le visage puis de ramener ses cheveux en une queue de cheval stricte avant de retirer sa blouse de laboratoire pour se mettre en route. Il se trouvait qu'elle portait une robe violette mais ce n'était pas spécialement étonnant. Ce qui aurait été étonnant, en fait, eut été de voir Honey en pantalon. Elle en portait rarement. De même, elle s'obstinait à chausser des talons vertigineux (et assortis à sa tenue) même si elle ne s'en servait pas réellement. La jeune femme, qui venait d'arriver et d'être installée, ne fit aucun commentaire sur la moustache de lait ou encore les œillades des demoiselles de la table d'à-côté mais n'en pensa pas moins, notamment sur le dernier point. Manifestement il en fallait pour tous les goûts, ainsi que le voulait l'adage, et Leo Lionstar n'entrait pas dans les siens. Mais apparemment, il avait beaucoup de prétendantes alors elle ne s'en inquiétait pas ! - Ne vous en faites pas pour moi, je survivrai très bien à votre horde de prétendantes. Honey ignora sciemment la seconde partie de la remarque, ne souhaitant pas rouvrir un débat qui l'ennuyait. Pour la forme, elle continuait de porter cette bague qu'elle avait depuis ses dix-huit ans à l'annuaire gauche. Par chance, maintenant que les menus étaient en route, Leo Lionstar accepta d'en venir au fait de a présence. Une clé donc, observa la jeune femme. Constatant qu'elle était autorisée à s'en saisir, Honey rajusta ses lunettes pour mieux observer le symbole zodiacal qui s'y trouvait. L'astrologie. Elle manqua de grimacer à cette idée. De son point de vue, ce n'était pas une science. D'ailleurs, elle ne lisait même pas l'horoscope. Elle tiqua aussi à la question qui suivit, se demandant pour qui il la prenait, avant de songer que c'était sans doute une question rhétorique et de se détendre. Mais avant de fournir toute réponse, la jeune femme s'empara du menu qu'on lui apportait pour le parcourir très rapidement (rappelons qu'elle peut lire 20 000 mots par minute) avant de le refermer. Elle rendit ensuite la clé avant de croiser ses mains blanches par dessus la carte et de croiser le regard de Leo. - Eh bien j'imagine que ça dépend du type de clé dont vous parlez. Les clés usb permettent de stocker des informations et de les transmettre. Les clés à molette c'est plutôt pour le bricolage et les réparations. La clé d voûte permet aux arches de quantité d'édifice de tenir en place. La clé donne aussi le ton en musique. Mais cette clé-là, a priori, c'est une clé qui ouvre quelque chose - vraisemblablement lié au signe zodiacal du Lion, à en croire le symbole qui y est gravé - et qui, en toute logique, ferme ce quelque chose également. Vraisemblablement un meuble, un coffre ou une porte. Il existe aussi des clés numérique qui font sensiblement la même chose. Ici, Honey marqua une courte pause avant de reprendre : - Monsieur Lionstar, vous êtes au courant que je suis astrophysicienne et non pas astrologue, n'est-ce pas ? Il s'agit ni plus ni moins d'un ensemble de croyances et de pratiques qui n'entrent pas dans le domaine du rationnel. Mon domaine, en l'occurrence. Ces croyances sont fondées sur l'interprétation symbolique des correspondances supposées entre les configurations célestes (la position et le mouvement des planètes du système solaire plus précisément) et les affaires humaines, collectives ou individuelles. En fait l'astrologie est principalement utilisé comme art divinatoire qui se prétend en mesure d'interpréter le futur. Comme les oracles jadis. J'ai bien peur que si vous êtes venu me demander le thème astral du Lion - votre signe, j'imagine ? - pour 2019 je ne puis vous renseigner. L'application des lois physiques à l'astronomie, en revanche, je connais. Avec un timing millimétré, la serveuse choisit ce moment pour passer prendre les commandes. Honey prit les escargots en entrée puis la sole meunière [ndlr : Leo va raquer sévère c'est méga cher comme plat].