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Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 outlast ▼▲ Candice & Théodore

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Candice D. Brooke
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Candice D. Brooke

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________________________________________ 2018-10-31, 12:09



outlast
Have to take precautions not to slip away. Oh you got to sell me out, I'll never gonna take the blame to the lake swimming to the island so straight. Oh! You got to spare me now, could be just an accident.
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Candice maîtrisait sa respiration à merveille pour qu'elle ne fasse pas de bruit, alors qu'elle avançait à pas de loup, faisant attention à ses pieds pour ne pas marcher sur un morceau de bois qu'elle craquerait, détail qu'elle avait toujours trouvé stupide dans les films.

Elle frappa l'indigène à l'arrière du crâne avec la lance en bois qu'elle avait prise dans le campement, assez fort pour l’assommer. Avec un sourire glorieux, elle retint un petit cri de la victoire, pour ne pas attirer d'autres indigènes potentiellement encore dans les parages (encore une façon agaçante de se faire repérer et d'arrêter en si bon élan).
Elle mit la lance sous le bras, tandis qu'elle se baissait pour tirer l'homme par le bras. Chassant d'autres morceaux de bois sur le chemin, elle l'emmena dans les hautes herbes, avant d'utiliser les cordes qui avaient servi à l'attacher pour faire de même sur lui, en s'y prenant mieux cependant, puisqu'elle s'était détachée bien trop facilement à son gout, ce qui gâchait presque le plus cool de l'histoire. Tu m'excuseras mon joli, la fin justifie les moyens, dit-elle alors qu'elle retirait le seul vêtement qui cachait les parties intimes de son ravisseur, dans le but de l'attacher sur son visage afin de le faire taire si jamais il se réveillait trop tôt.

Elle même était seins nus, dévêtue par la tribu qui l'avait prise en otage, habillée plus que de sa culotte. Elle se dirigea alors prudemment vers ses affaires. Elle s'était assurée qu'il n'y avait plus que deux hommes (le deuxième s'était assommé en tombant sur un rocher lorsque Candice, tout juste détachée, avait levé son pied pour frapper ses bijoux de famille), mais elle n'était pas à l'abri que d'autres ne soient pas loin. Elle remit alors ses vêtements quand elle les retrouva, pas mécontente de se couvrir contre la fraîcheur de cette nuit. Elle observa alors une seconde fois tout autour d'elle, avec une mine incroyablement fière, quoique... légèrement déçue. C'est tout ? C'est pas aujourd'hui qu'on va faire un film de mon enlèvement par une tribu sauvage.

Piece of cake, son enlèvement pour les coutumes de tarés qu'avaient les indigènes n'aura duré que quelques heures... certes, c'était long, puisqu'ils étaient déjà au milieu de la nuit alors qu'elle avait été prise avant le coucher du soleil, mais au moins ça n'avait pas duré quelques jours, et ça n'avait pas inclue du sang, comme l'aurait été un volet d'Outlast. Maintenant, il ne lui restait plus qu'à retrouver la plage où s'était écrasé l'avion, où Théodore, le pilote et le steward attendaient encore le signe d'un sauvetage, dans l'espoir que Candice revienne rapidement. Elle avait insisté pour qu'ils ne le suivent pas quand elle a été attaquée, sachant certainement qu'elle se libérerait, et sans surprise, elle avait eu raison. Pour le reste, elle savait que de toutes façons, les secours ne tarderaient pas grâce à la balise GPS de l'avion qui fonctionnait encore, et qu'ils pourraient attendre à l'intérieur pour se protéger du retour des tribus.

Oh, le plan jusque là semblait être parfait, même si la situation n'avait pas le meilleur des aspects au début. Après tout, Candice avait convaincu, après des jours à débattre, Théo de prendre l'avion avec elle, tout ça pour qu'ils s'écrasent et passent des jours et des jours sur une île avant que la population locale ne se manifeste. Pas terrible, mais maintenant, tout devait allait vite.

Ou... tout aurait pu aller vite. Si elle n'avait pas entendu ce bruit de foule excitée au loin, alors qu'elle était en chemin vers le plage. Alors, un pressentiment assez fort la guidant automatique, elle se dirigea vers la source du bruit. Restant derrière les arbres, elle vit tout un cercle d'indigènes (ils étaient bien plus nombreux que ce qu'elle avait pensé !). Qu'observaient-ils ? On aurait dit... une arène ? murmura-t-elle en le constatant.

Intriguée, elle se déplaça pour mieux voir et qu'elle surprise lorsqu'elle aperçut Théodore, apprêté comme la tribu, prêt à combattre. Le dresseur de dragon n'avait pas attendu. Si, au début, un sourire se dessina sur le visage de Candice, aussi charmée qu'excitée par la perspective que Théodore ait réuni son courage pour venir la sauver, elle le perdit vite car s'ils ne s'en sortaient pas rapidement, les secours arriveraient, oui, mais ne partiront qu'avec un pilote et un steward.

Finalement, peut-être qu'elle l'aura, son film sur leur enlèvement à la Outlast...

Candice FT. Théodore || outlast







Ludwig T. Oakenshield
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________________________________________ 2018-11-02, 16:05



❝Outlast❞
Candice & Théodore


Pourquoi tout finissait de cette manière ? Tragique ? N’avait il pas droit à cinq petites minutes de pause dans ce bas monde ? N’avait il pas droit de se détendre un peu où allait il vraiment finir par croire que son cerveau lui réclamait du travail pour une unique raison, pour qu’il ne finisse pas comme ça, en plein milieu d’une arène, prêt à combattre pour sauver sa vie, et surtout, celle de Candice. Tout avait bien commencé pourtant … une semaine auparavant. La jeune femme était arrivée, par on ne sait quel miracle, sans doute le même qu’Eulalie, c’est à dire l’épuisement à le faire craquer et à l’obliger à se reposer. Après l’épisode du Phantom, Théo’ était revenu encore plus sur les dents. Il s’était plongé dans le travail, comme il le faisait à chaque fois que quelque chose tournait mal. Même Janet n’avait pas réussi à le sortir de sa bulle d’associabilité qui avait éclaté quand Eulalie avait ramené Godzilla junior. Elle était rentrée avec toute la grâce qui l’a distingué dans sa chambre, et à partir de là, l’effet boule de neige s’était enclenché. Basile, la perte du seigneur des années, la disparition de l’iguane et puis, la cerise sur le gâteau, Michel Ange qui l’avait littéralement propulsé hors de son lit quand il l’avait détruit. S’en était trop pour Théodore qui avait laissé sa rage éclater, partant dans une bagarre digne de la guerre d’Afghanistan avec son colocataire. Ils avaient tout ravagé, alors que l’amazone était partie faire on ne sait trop quoi, pour finir, au sol, à se soutenir mutuellement dans leurs histoires respectives. Petit à petit, il avait repris contact avec la population, notamment, avec une belle blonde. Cette dernière avait du temps à rattraper et au final, ce n’était pas plus mal. Il avait même accepté d’aller boire un café avec elle .. alors tout allait bien ... Sauf quand elle prononça le mot avion, suivit de avec moi. Non, il était hors de question qui l’amène faire un tour d’avion. Pas que l’idée lui déplaise, voler dans les airs avait toujours été sa passion, sa bouffée d’oxygène, mais parce qu’elle ne voulait pas. Elle n’arrêtait pas de spécifier ce détail qui l’embêtait, qui lui faisait refuser sa proposition. Il ne devait pas piloter, il devait rester avec elle, à l’arrière, pour profiter du voyage. Mais non, il ne profiterait pas comme ça, c’était dans sa nature de conduire, de mener la danse. Et il était persuadé, encore maintenant, que s’il avait été à la tête des opérations, comme d’habitude, ils ne se seraient jamais crashé sur une putain d’île sauvage. Oh qu’il regrettait, il avait maudit Candice sur toutes ses générations, passées et futures de lui avoir fait faire une chose pareille. Si c’était lui qui conduisait, jamais oh grand jamais ils ne seraient tombés. Des années et des années qu’il pilotait toutes sortes d’avions, et il n’avait jamais eu une avarie. La seule et la dernière était parce qu’il avait dit oui pour laisser sa place de commandant, sa place de chef. Tout ça pourquoi en plus ? Pour quelles heures de bien être .. Il fallait l’avouer, il avait aimé discuté avec elle, lui expliquant un nombre incalculable de chose sur, justement, les avions, le ciel, puis les dragons. Partager un moment de complicité sans prise de tête, chose extrêmement rare chez le dragonnier. Mais voila, tout était parti en vrille, quand il avait vu les flammes dans les réacteurs, il était bien trop tard pour qu’il ne puisse faire quelque chose. Il avait pu amortir la chute, pour qu’ils ne soient pas tués sur le coup, rien de plus. Alors la pire semaine de sa vie s’était enclenchée pour finir là, maintenant, au beau milieu de cette arène.

“Le survivant aura l’honneur d’affrontera le Kibour, notre chef, le chef des Sentinele pour pouvoir lui faire part de sa requête.” Décidément, la justice le poursuivrait toujours, partout, mais là, il aurait milles fois préféré avoir à passer devant un juge de la CIA plutôt qu’un combat à mort. Il n’avait jamais été très doué, pour ce genre de chose. Plus jeune, il était la risé de ses camarades, finissant toujours dernier, fuguant même pour ne pas avoir à les affronter. Il ne se souvenait plus le nombre de fois où son père l’avait attrapé par son col de fourrure pour le jeter comme un objet, l’obligeant à combattre, pour faire ‘honneur’. Puis les dragons étaient arrivés, et là, Harald s’était révélé, comme le viking qu’il était. Mais sa vision sur ce genre de jeu ou de coutumes était toujours la même. Il n’aimait pas ça, préférant largement faire une course de dragon ou un test sur leurs différentes capacités. Cependant, comme Guelfor l’avait dit, “un jour, toute cette vikinitude enfermée en lui ressortira, et j’aimerai pas être là …” Ce jour était arrivé, quand Drogo avait utilisé son propre dragon pour tué son père, sous ses yeux. Harald s’était métamorphosé, menant sans doute la plus grosse des guerres de Berk et ses environs. Il avait encore en bouche le goût du sang à la suite du coup donné par l’autre chef viking, et puis sa vision s’était brouillée, la rage l’avait emporté sur tout sens commun, transperçant de son épée le ventre et décapitant pour finir Drogo, signant définitivement la victoire pour son camp. Et là, en ce 18 Novembre 2018, le jeune homme fit exactement la même chose, terrassant un par un, dans une barbarie sans nom ses adverses. Il en avait vaincu neuf, sans une pause, les un après les autres, dans un silence de plomb qui s’était abattu au bout du troisième combattant qui s’était prit la lance de Théo’ en pleine gorge et dont le jeune homme l’avait attrapé, par l’autre extrémité. Maintenant, il soufflait, tel un taureau enragé, le sang couvrant une bonne partie de son corps, entouré de cadavres. Des applaudissements se firent entendre, et ce qui semblait être le chef de la tribu s’avança dans l’arène. “Cela faisait une éternité que je n’avais pas vu un combat de cette qualité !” Théo’ le regardait avancer, serrant sa lance fermement. Il essayait de se calmer mais c’était peine perdu. L’intello étant parti se cacher dans le recoins le plus sombre de son esprit au moment même où Candice s’était faite enlever. “Une audience, maintenant !” “9 morts sur 10 c’est un bon ratio ! Et sans dommages corporels grave, je veux savoir à qui j’ai affaire avant de vous parler !” C’est vrai qu’il ne s’était pas présenté, mais la politesse dans un cas d’urgence comme celui là n’était pas sa priorité. S’avançant de quelques pas, il tendit sa lance vers le chef qui avait ancré son regard dans le sien, pour l’intimider. “Je suis Harald Haddock Horrendous sixième du nom, chef viking du clan de Berk, le plus grand des mers boréales.” La voix grave de Théodore se répercuta dans l’arène, première fois qu’il ouvrait la bouche depuis son entrée, en surprenant encore une fois plus d’un. Première fois depuis l’épisode avec Jamie, où il pensait être attaqué par le cavalier de l'apocalypse (ce qui s'avèra vrai par la suite après leur petit sauterie), où il utilisait son véritable nom. "Et bien et bien quelle surprise ..." Un bruissement parcoura la foule, se demandant certainement ce que pouvait être le mot viking. “Tu en as l’étoffe quoi qu'il dise, un poil trop jeune peut être …” D’un départ puissant, d’une détente digne d’une panthère, Théodore s’élança sur le chef sans qu’il ne puisse rien faire, trop rapide, trop fort, le jetant au sol, coinçant sa lance juste sous sa gorge. “J’ai vu des choses que ta misérable tribu ne croirait même pas.”

Il appuya de tout son corps, faisant pression, sentant que le chef se débattait, mais il n’était rien comparé à la force du viking. “Nous sommes des dragonniers, et nous nous sommes adaptés à nos compagnons, tout aussi dévastateurs qu’eux. Si je ne récupère pas ma femme dans les dix prochaines secondes, je te saigne comme un cochon.” “Amenez là !” Théodore tourna légèrement la tête, pour voir, et surtout entendre la jeune femme, qui braillait de colère, amené par deux indigènes, mais au milieu de la foule.Sa tête fit un mouvement de haut en bas pour voir si elle n’avait rien, si elle n’avait pour le moment, pas de dégâts externe. Ce moment d'inattention permis au chef de se libérer de son emprise, lui assénant un coup de poing magistral qui le fit tomber sur le côté. S’essuyant le sang de son nez avec son pagne, le salissant un peu plus, il se remit debout très rapidement, pointant sa lance sur le chef mais son regard suivant la blonde. Quand il vu son tshirt déchiré sur le côté, il gronda, sourdement, et quand le chef posa ses mains sur elle, les grondements se transformèrent en borborygmes de colère, en vieux norvégien, signe que son énervement avait dépassé toutes les limites du possible. “Ne… la… touchait … pas …” La lance craqua sous sa poigne, alors que le chef rigola. “Les femmes, toujours cette corde sensible …Il avait raison finalement ...” L’intello aurait dit qu’il n’avait pas tord et que c’était pour ça, que depuis toutes ses années, il s’était calfeutré dans son monde, qu’il s’était isolé de ses semblables et qu’il s’en voulait pour les rares fois où il avait craqué. L’intello aurait aussi tilté sur la fin de sa phrase, qui il ? dans quel but ? pourquoi ? Mais il n’y avait que le viking présent, en plus en colère, qui ne remarqua pas ce détail pourtant si important. “Si tu sors vainqueur, tu pourras l’avoir … Si tu perds, vu que tu seras mort, elle sera à moi, mon esclave personnelle.” “J’accepte de te défier ! Et je prendrais ton clan, pour t’humilier. ” Ah les origines, essayaient de les cacher et elles reviennent toujours au galop. Or Théo’ ne s’attendait pas une seule seconde à ce que tout ne soit qu’un coup monté, fonçant tête baissé dans le tas. Heureusement, Candice arriva à faire diversion, s’échappant de la surveillance de ses gardiens, courant en plein milieu de l’arène. En voyant ça, Théodore pivota de sa course initiale pour aller directement sur la jeune femme, attrapant son poignet avec force pour la plaquer dans un mouvement de coude, derrière lui. “Dommage, j’ai récupéré ce que je voulais, et votre clan peu évolué ne m'intéresse pas.” Il maintenait tant bien que mal une distance de sécurité, les gardes sachant de quoi il était capable. Son cerveau fulminait pour trouver une porte de sortie, et on lui donna l’opportunité quand une explosion retentit un peu plus loin, faisant tourner tous les indigènes vers la source du bruit. “Cours !” Il lâcha la main de la jeune femme à contre coeur profitant de la distraction que les dieux avaient bien voulu lui donner. Au passage, il transperça un garde, lui volant sa lance, alors qu’il entendait que le chef ordonnait qu’on les poursuive, et qu’on les attrape, vivant. Il courrait à en perdre haleine, aussi vite que ses muscles pouvaient s’étirer. En quelques minutes, il était à nouveau au côté de la jeune femme, mais les indigènes prenaient du chemin. “Psss, je vais vous aider !” La petite voix venait des fourrés, qui s’ouvrirent sur un passage éclairé par des lucioles. Il regarda Candice, et il hocha la tête. Ils n’avaient pas le choix après tout, vu que les sauvages étaient bien décidés à les avoir. S’engouffrant, les hautes herbes et le dense feuillage recouvrient l’entrée rapidement, si bien qu’ils passèrent tous à côté d’eux sans les voir. Puis le silence revient, seuls les bruits de leurs respirations se faisaient entendre. Alors Théo’ se précipita sur la blonde, posant ses mains sur son épaule, l'inspectant de partout. “Ça va ? Ils ne t’ont pas fait du mal ? Dit moi que tu vas bien ! Ils ne t’ont pas souillé avec leurs rites barbares ? Ils ne t’ont pas violé ?” L’angoisse s’entendait dans la voix grave du viking, qui continuait de regarder Candice sous toutes les coutures. Un sentiment primaire de colère bourdonnait dans ses tempes, qu’il n’arrivait pas à apaiser, même maintenant qu’elle était avec lui. Il voulait brûler, piller, se venger, faire venir le feu et l’enfer sur cette terre impie qui avait osé le défier. Ou était ce les paroles que Freyja, la déesse de l’amour, de l’attirance et aussi de la guerre, lui soufflaient au creux de son oreille. Il soufflait, plusieurs fois, longuement, pour se calmer alors que le silence devenait inquiétant. Il fallait qu’il reprenne le contrôle de son être, sinon il ferait une faute, comme il avait fait auparavant et il ne pouvait pas se le permettre. Il posa à nouveau sa main sur le bras de Candice, la regardant dans les yeux, comme une promesse non dite, qu’il regretterait certainement une fois cette histoire finie. “Freyja et Thor me donneront la force de réparer ce qui a été fait, de laver ton honneur et de te protéger de tous les dangers.”


©️ Pando

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________________________________________ 2018-11-18, 11:28



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Candice avait été surprise en observant Théo combattre. Elle avait totalement conscience de l'aspect viking de sa personne, et elle le connaissait très bien pour en avoir largement profité intimement avec le plus grand des plaisirs. Mais elle ne l'avait pas vu au combat jusqu'alors, et sa violence aurait pu surprendre n'importe qui la voyait pour la première fois. En était-elle effrayée ? Non, plutôt fascinée. Ce n'était pas un monstre s'il faisait ce qu'il devait faire, elle n'avait pas besoin d'en avoir peur et l'idée ne lui effleura pas. En revanche, la force sans égale dont il faisait preuve était remarquable, si bien que la jeune femme en tira un petit sourire. Il ne faisait pas seulement ça pour sa propre survie, le guerrier se battait pour celle de Candice. Elle avait parfaitement conscience qu'elle n'avait besoin de personne pour sa sécurité et qu'elle saurait s'en sortir mais... on ne pouvait pas nier que c'était sexy. D'une certaine manière, si on faisait abstraction du sang.

Elle pesta cependant lorsqu'elle sentit une main se plaquer contre sa bouche, l'empêchant de crier et de faire trop de bruit. La fascination du spectacle particulier qu'offrait le viking l'avait distraite - et elle s'en sentait stupide pour le coup - ce qui avait laissé l'occasion à des indigènes de la remarquer et de tomber sur elle par surprise. Attaquer par derrière, c'était son truc ! Voilà de quoi la mettre en rogne, et pas qu'un peu. Il fallait croire qu'ils aient appris de ce qu'elle avait fait à leurs potes un peu plus tôt, puisqu'elle se retrouva assez bloquée pour ne plus avoir un mouvement assez efficace pour se libérer ou les frapper là où ça faisait mal.

Elle se retrouva alors en quelques instants, après que le chef des brutes l'ait annoncé (ou exigé, comme un prix de foire), au niveau de l'arène à son tour, face à Théo et toujours incapable de dire quoique ce soit - bien qu'elle n'eut pas besoin d'être capable de parler pour faire comprendre à ces barbares qu'elle était énervée et qu'elle comptait bien leur faire regretter -. Elle aurait voulu dire à Théo qu'il n'avait pas besoin de s'inquiéter pour elle, mais elle en fut incapable et il fallait dire que c'était satisfaisant qu'il leur fasse la tête au carré.

En revanche, elle arrêta de bouger pendant un instant quand le chef passa un marché sur ELLE... que Théo accepta. Elle savait que l'intention du viking était bonne, qu'il faisait ça pour la libérer mais... il était hors de question qu'elle soit au centre d'un jeu. Et puis quoi encore, elle n'était ni un prix animalier d'une loterie de mauvaise qualité, ni une partie de poker. Elle avait les sourcils, un air indigné sur le visage, tandis que les hommes qui la tenait relachait légèrement leur emprise, machinalement, puisqu'elle s'était calmée soudainement. Elle profita alors de leur erreur stupide pour lever son pied pour atteindre l'entre jambe du type qui la tenait. Elle se libéra alors immédiatement et envoya une droite bien méritée à celui qui se trouvait à côté.

Salut toi, fit-elle sur un ton, un sourire et une expression taquine et seductrice lorsqu'elle s'est approchée de Théo.

Pas le temps de parler pour un viking pas tellement dans l'humeur de prendre la situation à la légère contrairement à elle -l'ingénieur n'était pas tellement plus blagueur que ça d'ailleurs, un sérieux qui faisait le sex appeal du personnage d'ailleurs -. Ok, pas de drague alors, laissa-t-elle échapper quand il lui prit par la main pour courir immédiatement, maintenant que le marché grossier ne tenait plus, la barmaid s'étant libéré.

L'assemblée sursauta en entendant l'explosion au loin, tandis que Candice en sourit. Qu'importe d'où ça venait, c'eut au moins le mérite de distraire les indigènes (cette fois-ci, c'était eux les idiots) pour leur ouvrir la voix. Candice ferma fermement les yeux quand Théo attaqua l'un d'eux pour prendre sa lance, détestant personnelement que le sang d'autres personnes ne tombe dans sa bouche ou sur ses pupilles, mais n'oublia pas de rattraper avec sa main libre le type avant qu'il ne tombe pour le faire tomber derrière elle, et faire trébucher celui qui les coursait de plus près.

Endurante, elle n'eut pas de mal à suivre Théo qui la tenait par la main dans leur course, mais il fallait admettre une chose, sa vitesse égalait sa force, ce qui était assez remarquable. Un nouveau sourire se dessina sur son visage, mais qui disparut bien vite en entendant cette voix dans les hautes herbes, qui la fit se reculer d'un pas. Elle n'était pas vraiment enchantée à l'approbation de Théo qui lui fit signe de suivre l'appel. ... Elle n'eut pas le temps de dire quoique ce soit, interrompue avant même qu'elle parle par les bruits que firent les indigènes dans leurs courses, qui étaient à deux doigts de les rattraper. Elle suivit alors immédiatement le viking dans les hautes herbes, lachant un regard moqueur aux brutes qui leur passait devant sans grande jugeotte.

Super, c'était pas si mal que ça, c'était même div...
Ça va ? Ils ne t’ont pas fait du mal ? Dit moi que tu vas bien ! Ils ne t’ont pas souillé avec leurs rites barbares ? Ils ne t’ont pas violé ? L'interrompit Théo en la prenant par les épaules, paniqué, la regardant sous toutes les angles qu'elle n'ait rien. Sur un ton léger, elle le calma en le prenant à son tour aux épaules pour le ressaisir.

Je vais bien ! Elle rigola d'ailleurs à sa dernière question. Me violer, moi ? Théo, celui qui est physiquement capable de me violer ce sera celui qui m'aura morte, et il est pas encore né. Elle le regarda toujours avec ce sourire amusé, mais se rendit bien compte que son humeur n'était définitivement pas partagé.
Freyja et Thor me donneront la force de réparer ce qui a été fait, de laver ton honneur et de te protéger de tous les dangers.

Candice haussa les sourcils. C'est vrai que t'es sexy comme ça tu sais ? Mais elle finit par gagner un peu de sérieux malgré tout, comprenant bien l'humeur et la situation. Ecoute, j'ai confiance en toi, on a pas besoin d'attendre que les Avengers te donnent de la force. A moins que ce soit le peuple de Thanos, on devrait pouvoir s'en sortir. Elle lui tapa alors dans l'épaule comme si rien de grave ne se passait autour d'eux. T'inquiète pas pour mon honneur, c'est plutôt les types qui se sont risqués à m'attraper qui n'auront plus beaucoup d'honneur, si tu vois ce que je veux dire.

Restez pas là, ils vous retrouveront, se fit entendre la voix une seconde fois un peu plus loin. Candice fronça les sourcils en tournant la tête dans sa direction. Elle n'avait pas vraiment envie de suivre quelqu'un qui venait d'ici mais ladite voix marquait un point. Elle se tourna alors vers Theo avant de se mettre à marcher.

Allez viens Loki, on va "laver notre honneur" par là-bas. Elle haussa les épaules avant de tourner un visage amusé vers lui. M'en veux pas, je voulais faire une référence à Thor mais les seuls noms que je me souviens du film c'était lui et Heimdall.

Bien qu'ils étaient toujours camouflés par la nature environnante, ils ne prirent pas le risque pour autant de marcher en se tenant droit, faisant ainsi profil bas à la suite de cette mystérieuse personne qui ne se montrait toujours pas. Candice accéléra alors le pas, faisant signe à Theo de suivre, pour rattraper leur guide mystérieux. Plus proches, ils virent alors un peu mieux sa silhouette. Une indigène... détail qui n'était pas pour la réjouir davantage. Elle posa alors une main sur son épaule. Dis moi, ma jolie, le piège dans lequel tu nous emmène est dans plus très loin ou on doit faire semblant de rien soupçonner pendant encore longtemps ?

L'indigène leva alors les bras en signe d'innocence. Je ne suis pas de leur côté ! Le chef de la tribu abuse de ma mère, il a tué mon père juste pour rappeler qu'il était fort pour être sûr qu'il n'y ait pas de rebelles qui veuille lui prendre la chaise du chef.

Candice l'observa quelques instants, voyant qu'il était peu probable qu'elle ait menti. Son visage sceptique laissa place alors à de la colère... les enfoirés... puis ensuite à un sourire. L'explosion tout à l'heure, c'était toi ?

J'ai fait du mieux que j'ai pu, répondit-elle sur un ton presque... désolé ?

Tu rigole, c'était génial, la félicita-t-elle. Elle tourna de nouveau son attention sur le viking. Finalement, tes Avengers nous ont envoyé quelqu'un, pas mal, lui fit-elle avec encore l'un de ses sourires amusés.

Candice FT. Théodore || outlast







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________________________________________ 2018-12-05, 23:53



❝Outlast❞
Candice & Théodore

Même si Candice lui disait que tout allait bien, qu’elle allait bien et qu’elle n’avait rien, il n’était pas rassuré pour autant. Ils étaient dans un environnement hostile, avec des gens qu’il ne connaissait ni d’Eve ni d’Adam mais qui avait décrété que la blonde serait leur femme et lui, le prochain cadavre dont les vautours se nourriraient. Alors même si elle souriait, qu’elle plaisantait, il était toujours aussi inquiet. Que diable auraient ils à affronter dans les prochaines heures ? Comment feraient ils pour éviter le village en furie ? Certes il pouvait toujours se battre, mais il était conscient aussi que malgré la puissance dont il avait fait preuve, il n’était pas invincible, bien au contraire. Encore, si Krokmou avait été là, sous sa véritable forme, le soucis n’aurait pas été le même. Déja parce qu’un dragon est assez effrayant pour calmer les populations, et parce qu’ensuite, ils n’auraient eu aucun soucis pour partir de cet endroit maudit. Car là, leurs chances de fuite avoisinait le zéro pour le scientifique qui n’avait que ça à faire, calculer, pendant que le viking se battait, surtout après leur petit détour dans ce coin de jungle étrange. Théodore leva un sourcil sans trop comprendre pourquoi Candice parlait des avengers. Il n’était pas foncièrement en état de comprendre la blague et la référence, lui qui pourtant, était un grand fan ce genre de films. Le viking était bien trop dans son optique séculaire pour laisser une petite place de réflexion moderne. Sans doute lui ferait il la remarque plus tard, à la fin de toute cette aventure rocambolesque ou quand ils seraient suffisamment en sécurité pour laisser la main à son coté nerd. “Ce n’est pas une raison.” Marmonnant dans sa barbe de trois jours, il essayait de relativiser ce point en pensant aux femmes de son clan, qui pouvaient se montrer presque plus barbares qu’eux. Sans elles, rien ne tourneraient dans le village. Elles n’étaient pas utiles que dans les tâches domestiques, elles étaient les sentinelles qui les protégeaient. Elles étaient rudes, fortes, intelligentes, sur le même pied d’égalités qu’eux. Cependant, il ne pouvait s’empêcher de penser que Candice n’était pas une viking. Certes, elle était aussi forte et intelligente mais la férocité et la sauvagerie ne faisaient pas partie de son ADN et une partie de lui voulait lui éviter ça. Elle devait rester cette jeune femme sensible, drôle et qui arrivait à le sortir des méandres de son esprit. Mais c’était indéniable, ne faisant que se voiler la face. Depuis qu’il l’avait vu abattre des zombies à la pelle, qu’elle n’avait pas hésité une minute avant d’enfoncer cette hache dans la boîte crânienne du monstre qui l’avait attrapé, il savait qu’il en avait été plus que surpris, plus que agréablement surpris. Comment une amie, voir petite amie de ce qu’il avait comprit à l’époque de ce taré de Jefferson pouvait se battre ainsi et ne pas l’avoir tué au passage ? Il n’était pas honnête avec lui, car il avait apprécié la vue, il l’avait encouragé même. Il l’avait maté, et il s’en était voulu, quand il avait essayé d’analyser rationnellement tout ce qui s’était passé. Ce n’était pas bien, il ne devait pas recommencer mais malheureusement il le faisait, tout le temps. Ses yeux étaient attirés inlassablement vers ses formes, et son corps réagissait trop pour son propre bien. Il en avait parlé avec Janet, pour trouver une solution à ce problème récalcitrant de voyeurisme, et la seule solution que l’intelligence artificielle avait été de tenter la castration chimique. Pour le coup, il avait été assez sceptique sur sa proposition. Certes, au moins, il ne serait clairement plus déconcentré par tout ce qui pouvait s’apparenter à la gente féminine, mais les contreparties étaient nombreuses. De plus, est ce que les molécules du traitement de la castration n’interférerait pas avec sa maladie ? Question très sérieuse qu’il avait marqué dans son calepin prête à être posé à Livio. Janet disait qu’il n’y avait pas de soucis, mais il préférait quand même avoir l’avis de son médecin, et ami, où cas où.

La voix qui les avait dériver de leur chemin s’éleva à nouveau dans les fourrées, ramenant Théo’ dans ses pensées actuelles, et ne pas savoir si oui ou non Candice pourrait être une potentielle viking. “Je ne suis pas Loki !” Outré qu’elle puisse ainsi le comparer au dieu du mensonge et de la fourberie, il se vexa tout simplement. Pourquoi l’insultait elle alors qu’il essayait de la sauver ? Il faisait tout ce qui était en son pouvoir pour qu’elle ne devienne pas le jouet sexuel de cette tribu et elle le remerciait en le traitant ainsi ? Il aurait dû la laisser dans les mains du chef tiens et partir sans se retourner. Non, il n’aurait pas dû accepter sa proposition de se détendre dans un avion, voila le résultat. Marchant derrière elle, il bouda jusqu’à ce qu’elle s'excuse, en rigolant, se doutant qu’il était toujours dans son deuxième mode. Haussant les épaules pour faire comme si de rien n’était, il leva quand même les yeux au ciel devant une telle inculture, et ce n’était pas faute de lui avoir déja expliqué. Néanmoins, elle n’était pas tout à fait un cas désespéré, ce qui lui fit relever le coin de sa bouche. “Normal que tu es retenue cette paire, ils sont destinés à s’entretuer lors du Ragnarok. C’est lui le véritable opposé à Loki et non pas Thor comme tout le monde semble vouloir le croire.” Il se morda la lèvre inférieur pour ne pas continuer son explication, voyant bien que ce n’était pas le moment de lui dire qu’Heimdall était considéré comme le dieu de l’ordre, pilier central des sociétés. Doucement, ils s’approchèrent de la voix, et Théo’ arriva à distinguer la forme, une femme, une membre de la tribue certainement. Totalement méfiant, il préféra laisser parler Candice. Les mots qu’il entendait ne le réjouissait guère mais malheureusement c’était le lot des clans. La démocratie n’était pas forcément installée partout, et s’il avait eu de la chance grâce à sa lignée, qui était un minimum civilisé avec les siens, ce n’était pas le cas de tout le monde. “La révolte est souvent nécessaire pour faire avancer les choses.” Et il en savait particulièrement quelque chose. S’il n’avait pas dit non, s’il ne s’était pas dressé contre les méthodes de chasses de son clan, il ne serait certainement pas là maintenant. Grimaçant face à Candice, il passa devant elle, retenant une réplique acerbe. Ce n’était pas des avengers … elle insultait des dieux millénaires, les comparant à des humains modifiés. Passant outre sur ça, il détailla la femme, qui n’avait pas l’air à l’aise. “Crache le morceau.” Son ton était sec, dur, et si la blonde ne lui avait pas retenu le poignet, il l’aurait certainement plaqué contre un bananier. “Elle sait quelque chose … regarde le coin de ses yeux, il tressaute !” Si l’intello était replié depuis longtemps, il n’en laissait pas moins ses capacités d’analyses pointus au viking, ce qui pouvait être utile en temps de guerre et de survie. Pointant un doigt accusateur, l’indigène ne mit pas longtemps à parler, après quelques minutes de silence. “Ce n’est pas votre femme qui veulent, elle ne sera qu’un prix parmi tant d’autres. Ils veulent votre tête, il veut votre clan !” Clignant plusieurs fois des yeux, ne relevant pas le pronom possessif utilisé, il préféra parlementer sur la deuxième partie de la phrase. “Explique toi mieux ! Comment ça mon clan ? Ils ne savaient même pas qui j’étais avant de rentrer dans l’arène.” “Si … il y en a un qui le sait … c’est lui qui a poussé notre chef dans la rage et la rancoeur. Quand il est arrivé sur l’île, il y a trois ans, ce n’était pas comme ça … tout à changé depuis …” Tête baissée, l’indigène retenait ses larmes, mais Théo’ voulait en savoir plus. C’étant étrange, le puzzle ne se mettait pas en place dans sa tête. “Qui ! Dit moi le nom de l’homme !” Elle hésitait … pourquoi diable ne lui disait elle rien ? Du bruit se fit entendre non loin d’eux et la femme leur fit un signe de main. “Je n’ai pas confiance.” Oui c’était lui qui les avait amené là, mais il ne pouvait pas garder cette pensée au fond de lui. Il était bien trop tard pour faire demi tour, ils devaient la suivre, ce qu’ils firent, s’enfonçant toujours plus au coeur de la forêt. Ralentissant, l’indigène se rapprocha d’eux, ayant sans doute entendu ce qu’il avait dit plutôt à Candice. “Je ne connais pas son nom, ni son visage qu’il cache avec un grand masque.” Croisant les bras autour de son torse nu, Théo’ s’arrêta carrément. Il ne bougerait plus tant qu’il n’aurait pas d’autres informations, et sa posture le laissait aisément deviner.

“Il parlait d’un village lointain du nom de Berk et d’un chef qui n’en était pas un, et qui avait mené une grande guerre pour l'Alpha …” Ses traits commencèrent à se tirer, sa mâchoire carré devenant saillante. Cet individu venait forcément des environs pour savoir qu’il avait refusé par le passé de prendre ses responsabilités. “Le seul nom qu’il a prononcé est celui de Drago.” Les yeux du jeune homme s'écarquillèrent, sa bouche s’ouvrit et un flot d’insulte en ancien norvégien sorta alors qu’une rage immense s’empara de lui. Ses jointures devinrent blanche, comme son visage alors qu’il faisait les 400 pas, cognant même plusieurs fois dans l’arbre. “C’est impossible ! Drago est mort !” Il s’était retourné, hystérique, et cette fois Candice n’eut pas le temps de le stopper qu’il attrapa l’autre femme par le cou. “J’ai tué cette pourriture ! Je lui ai ouvert le ventre de part en part alors il ne peut pas être vivant !” Si avec ses hurlements il n’avait pas fait perdre des points d’audition à l’indigène qui tremblait de peur, cela relevait du miracle, tout comme l’ameutement des autres. Sa colère n’était connue que de rares élus, gardant toujours son sang froid dans la plupart des situations. Même quand le viking était là, qu’il agissait, comme dans l’arène, ses paroles étaient maîtrisées, ses gestes aussi, d’une précision à toute épreuve. Or là, il rentrait réellement en ébullition, aussi puissant et dévastateur qu’un volcan. “Je .. ne sais pas … pitié … je rapporte juste les mots …” Il serra plus fortement son cou, ne se souciant pas des larmes qu’elle avait, son esprit uniquement concentré sur les souvenirs qu’il lui envoyé, malsain, effroyable, épouvantable. Ses mains devaient serrer en réalité, aussi fort que l’était son coeur. Il continua d’hurler des mots incompréhensibles, dans sa propre langue, avant de sentir une main sur son épaule. Rapidement, il lâcha l’indigène pour se retourner, attrapant le bras de la malheureuse qui avait osé bravé le dragon. Lui faisait un clé en lui tordant le bras pour la maîtriser, il ne réalisa que quelques minutes après qu’elle était son alliée, qu’elle était son amie. Diminuant la pression, mais la gardant toujours auprès d’elle, il continuait à baragouiner. “Drago ne peut pas être là … il ne peut pas …” Après la colère qu’il avait toujours en lui, qu’il n’avait jamais réellement apaisé, la tristesse le submergea. Il préféra fermer les yeux plutôt que de laisser couler les larmes qui lui brouillaient la vision, les retenant en lui comme il avait retenu toutes ses années ses sentiments. “Il l’a tué … il a obligé Krokmou à m’attaquer, à me tuer … et … Père a …” Les mots restèrent bloqués dans sa gorge alors qu’il posait sa tête contre son épaule. “Il s’est prit l’attaque de mon dragon de plein fouet …” Les images défilaient dans sa tête comme si c’était hier. Krokmou n’y était pour rien, il le savait, il était sous l’emprise de l’Alpha lui même contrôlé par Drago. Sa mère lui avait dit une phrase qu’il avait fait graver à l’entrée de l’Académie des Dragons qu’il avait créé par la suite. Les dragons ne sont pas mauvais, ce sont les hommes qui les influencent. Pour rappeler qu’un dragon qui se liait d’amitié avec un humain, qui acceptait de devenir en quelque sorte son compagnon de route pour la vie, ferait n’importe quoi pour lui, et inversement. Candice arriva par la force des choses, grâce sans doute sa ténacité sans limite à le calmer. Son odeur l’apaisait étrangement, les mots qu’elle lui disait était comme un baume pour son coeur et son esprit largement abîmé. Déglutissant, il s’éloigna finalement d’elle, passant plusieurs fois ses mains sur son visage, en criant encore de rage pour finir de faire partir son démon et reprendre contenance. Tout le monde avait ses faiblesses, et il était arrivé à les cacher jusqu’à maintenant, préférant s’occuper des autres plutôt que de lui même. “Même avec de la magie, Drago est mort, j’en suis, et reste persuadé…. La personne qui dit ça, est un imposteur mais elle veut reprendre le flambeau. Drago a juré d’éliminer la lignée des Horrendous quand il a reprit la grande guerre. ” L’intello avait profité de la faille du viking pour revenir sur le devant de la scène, le laissant se reposer dans son coin. S’approchant de l’indigène, elle recula instinctivement, par peur, alors que les traces des grandes mains de Théo’ apparaissent en violet autour de son cou. “Veuillez m’excuser pour mon comportement .. il arrive que parfois je perde légèrement le contrôle …” Le ton de sa voix était totalement différent pouvant dérouter ceux qui ne le connaissait pas. “Drago est comme vous l’avez vu .. un sujet assez sensible … mais je ne comprends toujours pas … pourquoi vous ? pourquoi ici ? comment a t’il su que je viendrais ?” Son regard se porta sur Candice qui était allée vers l’autre jeune femme. Non, elle n’était au courant de rien, elle ne pouvait pas être dans le coup, elle ne savait rien. Il lui avait bien expliqué deux trois choses sur son ancienne vie, au détour d’un café, mais jamais aussi loin que ce qu’il venait de faire là. Pourtant c'était elle qui avait insisté pour prendre l'avion, pour ne pas qu'il pilote .. et si ...Une sensation étrange de paranoïa le saisit mais cette fois, ses deux personnalités étaient d’accord sur le fait qu’il allait trop loin. Même Jefferson, qui pourtant ne l’appréciait pas, n’irait pas jusque là. “Il faut que nous montriez cet individu … sinon je ne serais pas en mesure de mettre au point une stratégie d’attaque et surtout de faire la part des choses. Comme on dit, connais tes ennemis aussi bien que tes amis.” Est ce que cette phrase avait vraiment été dite ? Là n’était pas la question puisque l’indigène, un peu rassurée grâce à Candice hocha la tête. “Cette nuit, il y a un grand banquet, il y sera certainement vu qu’il est devenu le conseiller de notre chef. Vous pourrez sans doute l’observer. D’ici là nous allons nous préparer, et … nous reposer ... nous avons tous besoin ...”



©️ Pando

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Candice D. Brooke
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Qu'est-ce qu'il me veut lui ? Tiens moi ça j'vais l'défoncer à la course

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Quels pots d'colle ces exs...


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________________________________________ 2019-01-04, 13:44



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Have to take precautions not to slip away. Oh you got to sell me out, I'll never gonna take the blame to the lake swimming to the island so straight. Oh! You got to spare me now, could be just an accident.
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Théodore, ce n'est peut être pas la pire façon d'interroger quelqu'un, mais ça fait parti des plus mauvaises. La peur et l'intimidation ne vont l'encourager, lui prévint-elle pour calmer Theodore qui ne comptait pas le tact et la délicatesse dans ses points forts, ce qu'il était pourtant préférable ici. Candice comprenait la prudence du manque de confiance, même si elle savait, pour sa part, qu'ils pouvaient la lui accorder, mais même méfiant, son approche n'était pas la mauvaise. Mais après tout, c'était pour ça qu'elle complétait si merveilleusement bien Theodore. Laisse la parler, insista-t-elle sur une voix douce cependant.

Quelle ne fut pas sa surprise lorsque la jeune indigène prononce un ou deux mots que Candice connaissant pour faire parti de l'histoire de Theodore ! Et si elle fut surprise, n'ayant pas tous les éléments pour comprendre réellement, celle du viking devait être plus grande. Ce qui fut le cas, mais changée en rage qui préoccupa la barmaid. A quel point cet homme était horrible si la simple mention de son nom le retournait ainsi ?

Theodore ! Qu'importe ce qu'il a fait d'horrible, elle n'est pas Drago, tu n'as ni à lui hurler dessus, ni à lui faire du mal ! s'était écriée Candice lorsque la colère de son ami l'avait poussé à sauter sur la pauvre innocente qui était terrifiée. Théodore Harold Folmeiner ! Dit-elle d'un ton plus ferme en posant la main sur son épaule, se défaisant aussitôt de l'emprise que sa colère le poussa à avoir sur elle, pour poser ses mains sur ses épaules. Hurler et blesser une autre personne que ton ennemi ne te mènera nul part, ajouta-t-elle alors enfin sur un ton plus calme, doux et rassurant.

Elle observa alors Theo' abandonner sa colère pour une peine immense qui l'inquiéta, réveillant en elle une forte compassion. Elle le laissa se confier, se vider de ses peines, et des tristes souvenirs que le nom de Drago lui évoquait. Peu à l'aise dans le rôle de celle qui devait consoler, Candice était cependant habituée à offrir une présence rassurante et apaisante auprès d'amis qui avaient besoin de son aide. Respire, pense à ton père, et la fierté qu'il a pour toi et ce que tu es devenu aujourd'hui. Des mots importants, car s'ils pouvaient en effet consoler quelqu'un, ils l'aidaient également à calmer une rage qui le ferait agir aveuglément par vengeance plutôt que par réflexion.

Cependant, aussi fort voulut-elle qu'il ait raison, et que ce n'était en effet qu'un homme déguisé, Candice fut la plus réaliste des deux à cet instant. Alors qu'elle s'était approchée de la jeune indigène pour vérifier qu'elle aille bien, inspectant sa nuque, elle avait tourné sa tête vers Theodore avec un air désolé. L'optimisme rassure facilement, mais il y a bien trop de détails exacts pour que ce Drago soit un usurpateur. Je n'ai pas envie que tu le revoit, mais on dirait qu'il y a de fortes chances. Elle soupira alors. Pff, quel manque de pot, du monde entier il a fallut qu'on trouve ton pire ennemi. Je veux bien qu'on s'amuse mais je sais pas si on y est vraiment là.

Heureusement, Theodore réussit à se reprendre assez pour poser les bonnes questions sans attaquer de nouveau leur seule chance de s'en sortir. Alors elle tourna de nouveau son attention sur elle, Candice étant enfin, sous la force des événements, sérieuse devant ce qu'il se passait. Et bien pour l'instant, c'est non seulement le seul plan qu'on a, mais c'est aussi le meilleur. Elle regarda Theodore. Pour la partie du repos, on a toujours un pilote et un steward qui attendent dans ce qu'il reste de notre avion. C'est pas hyper sécurisé, mais on peut au moins aller les retrouver, prendre des affaires et se poser dans un coin discret.

Elle essaya de se repérer comme elle put en regardant autour d'elle et à quoi ressemblait le ciel pour tenter de reconnaître de quel côté la plage avec leur avion se trouvait. Alors qu'ils commençaient à marcher, elle reprit alors pour quelques autres paroles essentielles. Concernant le banquet, tu crois qu'on a des chances de s'infiltrer si on se déguise ? Bon, on est peut être un peu clair pour que ce soit crédible, c'est vrai, réfléchit-elle finnaement.

Laissant leur guide s'avancer, elle recula un peu pour se mettre aux côtés de Theodore. Oui, ça se fait pas de tuer ton père, ce type est horrible, ça j'en doute pas. Mais si je te dis de penser à la fierté de ton père, c'est pour que tu ne sois pas juste tenté par une quête de sang et de vengeance au point d'en perdre ton humanité. Nan parce que je veux pas faire vieux sage chinois, mais faut avouer que ça serait un peu nul que ça soit le cas.

Le gratifiant d'un sourire, elle espérait que cela suffise à le convaincre. En attendant, si le trio avait en effet réussi à marcher jusqu'à la plage, l'indigène leur fit signe de s'arrêter soudainement, sans faire un bruit, avec un air grave en regardant l'avion.

Un homme, certainement pas un indigène, était déjà là.

Et s'il n'était pas un indigène, s'il ne faisait pas parti de l'équipage de l'avion, Candice ne voyait pas qui il pouvait être si ce n'était pas... Drago... murmura-t-elle, en prenant l'air de Theodore comme confirmation.
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Ludwig T. Oakenshield
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outlast ▼▲ Candice & Théodore _



________________________________________ 2019-02-27, 22:50



❝Outlast❞
Candice & Théodore

“Ah parce que tu crois qu’on s’amuse comme des petits fous là ?” Il n’avait pas pu s’empêcher de lui cracher sa rage, alors qu’elle venait de l’aider de sortir du brouillard qu’était son esprit. Impulsif, il regretta bien vite, passant une main sur son visage. Décidément, le sort s’acharnait contre eux. Candice avait raison. Ils avaient faillu, qu’à des milliers de kilomètres de Storybrook, ils tombent sur Drago. Cependant, il était convaincu d’une chose, ce n’était pas Drago, ce n’était absolument pas possible. Il savait que la ville magique avait fait ressusciter des morts, des êtres venus des enfers, des créatures légendaires et mythiques, mais il ne voulait croire que celui qu’il avait éventré était bel et bien là. Il se devait d’être rationnel, de réfléchir correctement à tout ça, mais il n’y arrivait pas. Même si l’intello n’était pas loin, le viking avait entièrement prit le contrôle de son cerveau. Contrairement à ce que tout le monde pensait, ce coté n’était pas qu’une brute sanguinaire, qui tapait sans réfléchir. Harald avait toujours été le plus fin des stratèges, avant même que cette malédiction les emporte. Depuis petit, il observait les étoiles, lisait les cartes, écoutait avec passion les ancêtres parler des autres peuples. Il emmagasinait du savoir pour pouvoir s’en servir après contre ses ennemis. Il n’attaquait jamais frontalement, à part quand il laissait la colère l’envahir. Regardant Candice, il opina du chef, positivement. C’était vrai qu’avec tout ça, il en serait presque venu à oublier son propre équipage, honte à lui. Il s’en voulait d’ailleurs, de les laisser là, seuls, sur la plage, à attendre comme des âmes en peine. S’il venait à leur arriver quelque chose, il s’en voudrait certainement encore plus. Il ne rejetterait pas la faute sur la jeune femme, même si au final il aurait dû écouter son instinct et refuser de partir. Vraiment, il faudrait qu’il fasse quelque chose pour ces foutues hormones, les véritables responsables de tout ça. S’il n’avait pas cédé, s’il n’avait pas dit oui, jamais ils ne seraient venus ici, Drago ou pas Drago, tout était de sa faute. Tout ça, parce que le visage de Candice était agréable à regarder, ses courbes harmonieuses ne le laissant pas de marbre, alors qu’il aurait dû, rester de pierre, comme s’amusait à dire Michel Ange. Il fallait qu’il trouve une solution d’ailleurs, à ce problème, mais elle était une amie et il n’en avait pas beaucoup. Il ne voulait pas régresser dans son asociabilité. Il avait fait des progrès, Jamie lui avait dit, Michel Ange lui avait dit, et il ne voulait absolument pas les decevoir. Dire à Candice qu’il ne lui parlerait plus comme ça, sans aucune raison apparente n’était pas une bonne chose, surtout après le comportement qu’il avait eu dans l’arène. Elle ne comprendrait pas, et il serait perdu. Soupirant tandis qu’il marchait silencieusement, il se nota mentalement de réfléchir à tout ça une fois rentrée à Storybrook, quand il serait au calme, ses idées rangées et triées.

La voix, justement, de la jeune femme le tira de ses pensées. Levant les yeux vers elle, il eut une petite moue, et même un petit ricanement. “C’est vrai que l’on ressemble tous les deux à des cachets d’aspirine.” Candice avait raison. La carnation de leurs peaux était très clair, voir même pâle pour celle de Théo’. Mais peut être, que les indigènes rebelles avaient prévu quelque chose. “Du maquillage sera adéquat.” La femme ne leur aurait pas proposé ça comme ça, si elle n’avait pas une idée derrière la tête. A moins qu’elle ne soit complice des autres bien entendu, les jetant tout droit dans la gueule du loup. Il observa la blonde se mettre à ses cotés, ne sachant pas s’il devait prendre ce qu’elle disait sur le ton de la plaisanterie ou tout à fait sérieusement. Alors il fit ce qu’il savait faire, dire la vérité, sans une once d’humour, ou de subtilité.“C’est déja fait, je n’ai pas besoin d’une vengeance, je lui ai sorti les entrailles avant de le jeter du haut de la falaise de Berk.” En soi, il l’avait déja eu sa vengeance. Elle avait été le moteur de sa transformation, celle qui l’avait fait passé de larve à papillon, de petit avorton à chef guerrier. Sans ce triste événement, jamais il n’aurait prit la tête des troupes, jamais il n’aurait prit d’assaut le camp ennemi, jamais il ne serait devenu le leader aux yeux de son peuple. D’une certaine façon, il pouvait en être reconnaissant, or la haine qu’il vouait à cet homme était bien trop forte pour qu’il analyse les choses de cette manière. Cependant, ce n’était pas réellement vengeance que criait son esprit, mais plutôt protection. Qui pourrait savoir ce que ce fantôme de Drago avait en tête pour lui et le clan de Berk ? C’était bien lui, qui réclamait vengeance, vengeance pour une guerre qu’il avait en plus commencé des années avant sa naissance. “Sauf que chez nous, c’est tué ou être tué. Cela s’applique même pour un pseudo fantôme.” Une part de lui pouvait comprendre la réticence de Candice. Il s’était insulté mentalement quelques minutes après être sorti de l’arène pour lui avoir montrer son coté brutal, il négociait avec lui même pour éviter à avoir à le refaire. Mais comme le viking disait, il ne pouvait pas prendre de risque, sinon c’était lui qui serait tué, par Chris. Déja que le policier était à deux doigts de lui arracher la tête par rapport à son fils… s’il savait dans quoi il avait embarqué sa soeur jumelle … il avait presque plus de chance de rester en vie en restant sur cette île déserte que de rentrer à Storybrook. Enfin … plus maintenant. Tout le petit groupe s’était stoppé en arrivant à la place et pour cause, l’homme qui se tenait devant l’avion, n’était en aucun cas l’une de leurs connaissances. Si Candice n’avait pas tendu le bras, Théo’ aurait foncé tête baissé. Déglutissant, il plissa les yeux, se touchant même le front. Était il victime d’une hallucination ? “Surtout, vous ne bougez pas de votre cachette … quoi qu’il se passe !” Il ne pouvait pas rester là, à l’observer, ce qu’il aurait pourtant du faire. Il poussa doucement le bras de la blonde, et s’élança, droit comme un i, sur le sable chaud, affrontant ses démons, seul.

“Et bien Harald … il faut croire que Vidar et Vali sont avec moi” Serrant ses poings, l’homme devant lui confirma déja deux points sur sa liste pour vérifier qu’il s’agissait bien de Drago. Il le connaissait, et il utilisait les dieux nordiques. De la vengeance, plus précisément, troisième point qu’il put cocher. Continuant de marcher, ses yeux scrutèrent son adversaire comme s’il était un scanner. Ce n’était pas Drago. Même si la corpulence de loin y ressemblait à s’y méprendre, la mémoire eidétique de surdouée qu’il possédait lui marquait toutes les incohérences qu’il y avait. La couleur des yeux, un nez un peu plus courbé, des cicatrices placés au mauvais endroit, des muscles moins saillants, une voix plus éraillée que grave. “Qui es tu ?” “Oh … je vois que tu n’es pas tombé dans le panneau …T’auras je sous estimé ?” Il éclata d’un rire sadique, et pour avoir entendu celui de Drago en plein action, ce n’était vraiment pas lui. “Dois je me répéter ?” “Tu vas trouver tout seul, avec ta grosse cervelle.” Il allait se jeter sur lui, pour le faire parler avec ses poings quand il se stoppa, voyant le canon d’une arme pointé dans sa direction. Il était peut être beaucoup plus fort que la moyenne, mais il n’était pas non plus idiot. Se stoppant net, il ne baissa cependant pas son regard, ayant vu déja la mort plus d’une fois dans sa vie. “Tu te fais appeler Drago par ces habitants mais tu n’es pas lui. Tu parles de vengeance, de prendre la tête du clan, de prendre ma tête mais tu n’es pas lui … alors qui es tu ?” Sa voix, aussi froide que les contrées nordiques d’où ils venaient, tranchait avec le bruit enchanteur des vagues. “Je pourrais te tuer maintenant, là, d’une balle entre les deux yeux.” Oui, il avait calculé les probabilités qu’il avait de mourir dans la minute. Néanmoins, il avait rajouté la variable humanité, et sadisme, ce qui avait fait chuter le pourcentage. “Mais tu fais appel à Vidar ... ton but est de me faire souffrir le plus longtemps possible, alors tu ne le feras pas.” L’homme en face fronça les sourcils devant un tel aplomb, avant d’hausser les épaules, une moue sur le visage tandis que celui de Théo’ s’éclairait, se retenant même de faire un petit geste de la main. “Tu es son fils. Tu es le fils de Drago. Tu fais appel à Vidar, dieu de la vengeance qui est censé venger le meurtre d’Odin, son père, lors de la venue du Ragnaröck !” Mais oui … pourquoi n’y avait il pas pensé plutôt ? Après tout, Drago avait le même âge que son père, et la seule personne assez folle à lier pour vouloir anéantir toute la lignée des Horrendous ne pouvait être que la chair de sa chair. L’envie de s’exprimer lui brûlait la gorge, mais Théo’ savait garder le silence pour ne pas envenimer la situation. “C’est que ça carbure là dedans ! Je me présente, Sverek, fils unique de Drago, destiné à régner sur les îles d’Aland.”

Les îles d’Aland, là où s’étendait sur des milliers de kilomètres les vikings depuis la nuit des temps. Or elles n’étaient plus, ici, dans ce monde, cela ne servait à rien. Il avait cherché Berk à une époque, pensant que ce monde était un monde miroir du leur, mais c’était faux. Si la géographie, la typologie étaient semblables, tous commes les peuples, ils étaient totalement différents dans leurs généalogies et histoires. “ On va jouer à un jeu !” L’autre avait l’air presque heureux de cette confrontation ? Vraiment, Théo’ ne saisirai jamais toutes les subtilités de l’être humain. Il devait le détester, alors pourquoi souriait il comme un gamin ? Et même si le faire souffrir lui apportait sans doute un plaisir morbide, il ne trouvait pas ça drôle, à en rire aux éclats. “Celui du chat et de la souris ! Je vais vous laisser la vie sauve, je vais finir de préparer correctement tous les détails de mon plan de renversement, contrairement à mon père qui est parti sans réfléchir, et une fois ça, je vous écraserai petit à petit jusqu’à ce que tu me supplies de t’achever tant la douleur que tu auras sera insupportable.” L’homme s’approcha de lui, son sourire naugurant rien de bon. “Je vais même vous faire un cadeau.” Trop rapide, il se tourna vers la lisière de la plage, vers les fourrés, vers là où étaient encore cachés, en spectatrices Candice et l’indigène. “On se revoit à Storybrook Théodore Harald Folmeiner ! Profite bien de ton répit, car il ne va pas durer. ” Le coup de feu partit sans que Théo’ ne puisse faire quoi que ce soit. Ses yeux s'écarquillèrent de stupeur, s’agrandissant au possible en même temps qu’un cri de douleur résonnait. “Ah et vous avez 4h pour quitter l’île, sans quoi, mes amis se feront un plaisir de vous aider.” Il se fichait de l’homme, se précipitant avec la rapidité d’un jaguar vers elles. Il voyait du sang, sur les feuilles, sur le sol, l’odeur rentrant dans ses narines, et la belle blonde, au sol, qui se tenait la jambe, qui se mordait la lèvre. “Je m’en occupe ! Rattrapez le !” Il n’écouta pas l’indigène, déchirant un bout de son pagne pour faire un garrot sur la jambe. “Allez chercher du secours ! Non non dans l’avion, il y a une trousse de premier soin ! Dépêchez toi bordel !” L’angoisse s’entendait clairement dans sa voix grave, dont les tons autoritaires laissaient entendre sa vraie nature. Il n’osait pas la regarder, parce qu’au fond, il avait peur. Il s’était juré de protéger son clan, de protéger ses proches et il avait échoué.Chassant au loin ses ressentiments, il nettoya doucement la plaie, poussant un petit soupir. “La balle n’a fait que frôler, elle n’est pas rentrée dedans. Elle t’a juste enlever les deux premières couches, ça n’a pas atteint l’hypoderme.” Comprimant à nouveau avec force pour arrêter le saignement, il leva finalement les yeux vers elle. “Je suis désolé …” Certes, cela ne pourrait pas reconstituer sa peau mais il devait le dire, alors qu’une boule se formait dans sa gorge. “Il .. il y a des bandelettes de sutures adhésives, j’ai quelques notions en médecine … j’ai .. j’ai construit un bras robotique pour le CHU de Princeton, je … je devrais bien pouvoir te soigner, t’éviter qu’on t’ampute.” Ah voilà … l’angoisse était telle pour le cerveau du jeune homme que ses vieux démons sortirent. Paranoïa, stress, hypocondrie, dramatisation. “Putain et qu’est ce qu’elle fait l’autre ! C’est pas compliqué de ramener une trousse médicale !” Il y serait bien allé mais bizarrement, l’idée de laisser seule Candice lui déplaisait fortement, et puis il devait compresser, c’était important de compresser, ses yeux fixant quelques rouges sur son cou pour ne pas avoir à l’affronter à nouveau, où ne pas tomber dans son décolleté, ça sera mal venu.



©️ Pando

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Candice D. Brooke
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Qu'est-ce qu'il me veut lui ? Tiens moi ça j'vais l'défoncer à la course

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Quels pots d'colle ces exs...


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________________________________________ 2019-03-24, 15:22



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Have to take precautions not to slip away. Oh you got to sell me out, I'll never gonna take the blame to the lake swimming to the island so straight. Oh! You got to spare me now, could be just an accident.
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Bon sang... laissa échapper Candice dans une murmure. Le récit sur les dieux là-bas, et tout le vocabulaire de docteur maintenant... y a un sujet sur lequel tu es idiot, mister Folmeiner ? Ok, c'est vrai que c'est un autre truc sexy chez toi, dit-elle dans un ricanement.

Elle faisait la forte en prenant de tels airs, mais il fallait dire que quelques instants plus tôt, quand Théodore avait reconnu Drogo, Candice avait tourné des yeux inquiets vers son (petit ?) ami. A cet instant, elle n'avait plus eu envie de rire, triste de voir à quel point les démons du passé du viking l'affectaient autant. Elle aurait aimé pouvoir l'aider, lui apporter assez de soutien pour apaiser la lourdeur de son cœur, mais il était parti avec une détermination qui accompagnait sa rage, que Candice ne pourrait pas arrêter. Et même en découvrant qu'il ne s'agissait que du fils de son grand ennemi, elle doutait que cela ne change quelque chose à sa détermination.

Oh et bien sûr, sourire maintenant était aussi une défense plus ou moins efficace contre la douleur de cette blessure, sur laquelle Theo faisait pression pour qu'elle ne se vide pas de son sang. Elle n'avait pas tout à fait compris ce qu'il lui avait dit sur sa blessure, mais elle en avait retiré que ce n'était pas si grave. Et surtout espérant qu'il soit de nouveau dans ses exagérations habituelles qu'il avait quand il s'inquiétait. C'était mignon, mais il fallait reprendre ses esprits.

Amputer ?! T'es marrant, on ne va amputer rien du tout. Dans mon monde, je devais survivre à des requins qui faisaient 50 fois ma taille, voire même plus -c'est toi le matheux, pas moi-. Alors c'est pas une balle minuscule qui m'a juste frôlé qui va m'arrêter.

L'inquiétude de Théo pour elle avait tendance à le faire oublier que sa belle n'était pas une demoiselle en détresse. Candice aussi avait de la hargne, et de la détermination. Et surtout quand il releva la lenteur de leur nouvelle amie indigène à leur apporter une trousse de secours, comprenant alors que quelque chose clochait.

J'imagine que tu t'es dit que tu ne veux pas me laisser seul, et ça, c'est super craquant aussi. Mais ça tombe bien, parce que je ne serais pas restée non plus à t'attendre alors...

Sans hésitation, elle retira son haut tout simplement pour le déchirer. Son soutien-gorge ayant été mis à mal à cause de ceux qui l'avaient retenu quelques instants plus tôt, sa poitrine ainsi libérée en dévoilait bien plus que son sous-vêtement aurait du laisser passer. Mais elle s'en fichait bien pour l'instant, et elle s'amusait d'ailleurs du dresseur de dragon qui faisait tout pour poser les yeux ailleurs. Et bien, il fallait dire qu'elle était tombée sur un vrai gentleman. Un sourire aux lèvres, elle lui chuchota un simple : Tu sais, je t'en voudrai pas si tu regarde, tu en as vu déjà bien plus. Accompagné d'un clin d'oeil.

Le tissu de son haut prêt, elle demanda à Théo de retirer sa main, pour attacher le bandage de fortune autour de sa jambe meurtrie, en serrant les dents sous les élans de douleur qui se réveillaient. C'est pas parfait, mais on fera mieux avec la trousse de secours. Faut y aller, sinon notre "guide" ne reviendra jamais.

Et elle savait que Théodore allait insister pour qu'elle ne bouge pas, mais Théo devait aussi savoir que lorsqu'elle était ainsi, on ne pouvait pas lui dire de s'asseoir pour son bien. Tout ce qu'elle accepterait, ce serait l'appui du garçon pour s'aider à marcher, mais certainement pas de rester ici une seconde de plus.

Ils se dirigeaient donc vers ce qu'il restait de l'avion, et lorsqu'ils furent assez prêts, Candice fit signe au viking de ne plus faire de bruit. Elle se pencha tant bien que mal pour attraper une branche épaisse qui traînait dans le sable, et s'appuya sur le métal de l'avion, à côté de la porte ouverte. Elle fit alors du bruit, volontairement, et attendit, en indiquant à Théo de rester silencieux. Et lorsque le pilote de l'avion sortit, Candice lui asséna la branche dans la tête, assez violemment pour l’assommer sous l'effet de la surprise. Puis, elle lâcha la branche et s'appuya pour ne pas tomber, en grognant à cause du pic de douleur.

C'est pas un hasard si on a trouvé le fils de Drago, c'est ce petit enfoiré qui est responsable de ça. Va voir, l'indigène doit être attachée à l'intérieur, il a du la retenir quand elle est arrivée pour prendre la trousse.

Et c'était le cas. Alors, lorsque les liens de l'indigène étaient défaits, ceux-ci servaient à attacher le pilote contre un tronc d'arbre. Désormais, ils devaient juste espérer que Théo saurait faire décoller cet engin malgré tout. Pour le moment, elle le laissa utiliser la trousse de secours pour faire mieux qu'un simple t-shirt, jetant le tissu déchiré et rouge par terre. Etre en sous-vêtement avec Théodore, elle en avait bien fantasmé, mais dans des circonstances différentes toutefois.

Mais ce n'était pas le fantasme qui animait ses pensées là-tout de suite. Elle finit par relever Théo, et vint rapidement poser ses lèvres sur les siennes pour l'embrasser avec passion pendant quelques secondes. Elle savoura alors la saveur de ses lèvres et de sa langue, et la proximité de cet homme qui la rendait folle depuis déjà de nombreux mois. Lorsqu'elle se sépara enfin de lui, c'est en parlant qu'elle reprit son souffle.

Je sais ce que Drogo représente pour toi. Enfin, lui ou son fils, peu importe pour ce que ça change. Mais tu as vaincu le père, tu écraseras son cafard de la même façon. C'est juste un spermatozoïde de ton ennemi qui a été plus rapide que d'autres. Et tu n'es pas tout seul. Ouais bon faudra attendre avant que je sois en forme pour casser des gueules avec toi, mais j'irai mieux, et je serai à tes côtés, comme tout ton clan de viking fort amusant d'ailleurs. Théodore Folmeiner, tu es incroyablement sexy, et tout aussi craquant, et je sais que je le suis aussi, faut pas se voiler la face, mais je ne suis pas juste sexy, je suis une très bonne amie. Ou plus, hein. Mais tu as compris l'idée, je parle de faire la guerre avec toi et tout ce qui va avec. Alors prends ce baiser comme une promesse. Et tu en auras d'autres si tu es sage et si on réussit à faire décoller ce truc. Si tu veux, j'enlèverai le soutien-gorge la prochaine fois.

Elle croisa alors les bras et le regardant d'un sourire à la fois amusé, séducteur et plein de défis. Alors ? Je trouve que je suis plutôt douée pour les discours de motivation.
Candice FT. Théodore || outlast







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