« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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Emaline Songbird
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Emaline Songbird

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| Conte : Piper + inventé
| Dans le monde des contes, je suis : : la princesse et l'oiseau chanteur

Mewing Bird

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{flashback} le clou du spectacle _



________________________________________ 2019-02-26, 23:47



le clou duspectacle
Leo &Emaline
Parfois quand elle chantait, Emaline Songbird avait peur de faire exploser les verres, et les gens avec. Il y avait tellement d'émotions dans sa voix, qu'elle craignait les ravages potentiels de sa puissance. Alors, elle fermait les yeux et se laissait emporter par le timbre où douleur, chagrin et joie s'entremêlaient dans une harmonie parfaite. Elle craignait d'être un jour charmée par sa propre mélodie et de rester coincée, comme lorsqu'un serpent se mord la queue, prise dans un cercle infernal dont la mort serait la clef. Un faisceau de lumière était braqué sur elle et ses cheveux blonds, elle avait l'air d'un ange descendu du Paradis pour offrir une symphonie qui libérerait les âmes du poids insoutenable de leurs péchés. Durant l'espace d'un court instant, du moins... Lorsque la jeune femme chantait, les esprits devenaient limpides, les soldats rendaient les armes et les catastrophes naturelles se prosternaient bien bas.

A l'instant même où l'oiseau chanteur du Rabbit Hole commençait à faire vibrer ses cordes vocales, la populace affluait et le silence prenait naturellement le pas sur l'anarchie des conversations et le tintement des flûtes de champagne. L'ambiance tamisée devenait plus sombre encore, mais la mélodie envoutante ne laissait la place à aucune main baladeuse, aucun regard débordant d'envie, aucun pas vers l'extérieur. Même si l'idée d'aller faire griller une cigarette vous avait dans un premier temps effleuré l'esprit, l'emprise que la musique avait sur vous était impériale. Emaline était maîtresse de vos actions, de vos pensées, de vos appétences. Pire que l'emprise d'une drogue, vous sombriez dans une sorte de transe dont vous deveniez dépendant, sans même en prendre conscience. Dans les jours qui suivraient, votre esprit vous soufflerait l'idée maligne de retourner dans ce bar où vous vous étiez senti si bien, et votre corps suivrait avec tout l'enthousiasme que l'on connait aux Hommes lorsqu'ils sont persuadés qu'ils sont les véritables acteurs de leurs vies. Et cela se répéterait encore et encore, soir après soir, jusqu'à ce que votre âme soit plus noire que le plus obscur charbon.

La petite blonde animait donc la soirée depuis quelques semaines à présent, elle avait pris l'habitude que les regards habillent sa peau et que le silence soit si dense. Elle côtoyait très peu ses collègues, fonçant dans sa loge dès son arrivée et n'en ressortant que pour pousser la chansonnette, après quoi elle retournait dans son nid puis s'envolait jusqu'au lendemain. Ema était un personnage bien mystérieux pour de nombreux curieux qui auraient souhaité devenir familiers avec la couleur de ses yeux ou les syllabes de son prénom. Mais le vol de la colombe était bien trop rapide pour qu'elle soit capturée. Seuls quelques privilégiés avaient eu l'honneur particulier d'apprendre à apprivoiser la tendre jeune femme; à commencer bien évidemment, par le propriétaire des lieux pour qui elle était le moineau du Rabbit Hole. Le bar n'avait pas véritablement besoin de nouveaux clients, et pour cause, il était déjà complet chaque soir et sa popularité le précédait de loin, mais la blonde apportait cette touche de douceur dans un lieu où les vices étaient à leur paroxysme. Elle n'était pas épargnée par l'appel langoureux de l'alcool ou les charmes indéniables des hommes, loin de là d'ailleurs, mais c'est ce que tous voulaient croire. La présence d'Emaline était symbolique, elle était la fleur sur le champ de bataille, le prêtre en pleine orgie, l'ange en territoire infernal. Elle avait toujours aimé être entourée de cette aura poétique, qui lui faisait penser aux mots des vieux auteurs français qui berçaient ses songes: Baudelaire, Ronsard, Hugo... Sur certains points, Em avait l'âme d'une vieille personne; elle aimait tout ce qui était authentique, parcourait les musées à la recherche de tableaux dans lesquels plonger son esprit et aurait voulu qu'on lui fasse la cour, qu'on lui écrive des poèmes. Le vieux romantisme était sa tasse de thé.

Quoiqu'il en soit, le moineau aurait bientôt terminé sa prestation et se faufilerait dans sa loge, comme à son habitude. Parce que c'était cela parfois la vie, un éternel recommencement. Emaline en avait horreur, la routine la répugnait si profondément qu'elle lui donnait envie de vomir; elle avait besoin de migrer sans cesse, découvrir de nouvelles personnes, survoler de nouveaux horizons: c'était cela la vie. Elle offrit sa dernière note, faisant une énième fois vibrer les coeurs et quitta la scène, la larme à l’œil. Et alors que tous retournaient à leurs petites occupations, à base de beuverie et autres ribotes, Em rejoignait sa loge afin d'exorciser son chagrin. En soit, elle n'était pas véritablement triste, mais sa sensibilité était telle que les paroles des chansons faisaient pleurer, à travers elle, les saules d'autres auteurs. Et telle une plante malheureuse, elle rechignait à relever la tête. Elle se surprit, lorsqu'elle le fit, à s'observer durant de longues minutes dans le miroir, son maquillage avait coulé et des traces de doigts parcouraient la surface réfléchissante. Elle avait la tête appuyée dans les paumes de ses mains et refusait d'essuyer ses larmes, de chasser son humeur noire. Soudain, la poignée de la porte pivota et elle put apercevoir, dans le reflet sale, un homme entrer. C'était un joli garçon aux yeux clairs et aux cheveux ébènes, qu'elle avait déjà eu l'occasion de remarquer dans les parages, probablement un serveur ou un barman. Il fit un ou deux pas pour s'engouffrer dans la petite pièce mal éclairée, sous le regard attentif de la blonde. Emaline peinait à discerner clairement les contours de son minois, mais ne pivotait pas pour autant, demeurant dos au jeune inconnu.

« Bonsoir ? Je suis Lady Bird, tu t'es trompé de loge ? Mon nom est pourtant inscrit sur la porte... elle esquissa un petit sourire narquois et ajouta: à moins que ce soit moi que tu cherches ? »

La situation obligeait son interlocuteur à l'observer dans la surface réfléchissante, ce qui amusait beaucoup la petite blonde. Elle ne prit pas la peine de chasser les vestiges de ses pleurs, se contentant simplement de renverser un peu de démaquillant sur un coton avant de le faire glisser sur la peau laiteuse de son visage. Il tombait à pic, Emaline avait besoin d'un peu de divertissement.
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Loke Lionstar
« Tous les hommes sont des imbéciles »

Loke Lionstar

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| Dans le monde des contes, je suis : : Loki ★ (Leo du Lion , L esprit céleste )

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________________________________________ 2019-03-01, 14:45 « Tous les hommes sont des imbéciles »

 
Le clou du spectacle

Loge de LadyBird : Loke et Emaline

 



Ambitieux, je désirais un autre choix de carrière depuis longtemps. Je désirais atteindre mon étoile. Avoir une carrière plus glorieuse et qui me passionnerait. Accomplir mon rêve de me baigner dans l'art. J'avais quelques plans comme étudier dans le domaine de la musique. Mais je devais me perfectionner avec mes baguettes et ma batterie. Parce que je crois que la musique pourrait m'aider a traverser les moments difficiles en frappant sur mes cinballes et mes tambours. Je crois que chaque son pourrait me faire évacuer chaque ressenti, mais j'aimerais bien mettre des mots sur chacun  de ceux-ci. Mais je n'ai pas le talent d'écrire, chaque parole de mon coeur. Parce qu'écrire les paroles et la mélodie, de mon coeur était un moyen plus sain pour redevenir le lumineux. 


Mais une fois que je serais le faire, je lui écrirais une chanson, qui portera le prénom qui se trouve gravé , sur sa tombe tombale. Parce que celle-ci était dans le cimetière. Je l'avais croisé une fois, pour m'assurer que ce n'était qu'une illusion. Mais, elle m'a suivie dans mon enfer. Depuis je n'étais pas retourner la visiter.  Et je n'y retournerais plus jamais. Pas prêt ! Et Parce que je me sentais encore responsable de ta dernière note. Ton dernier souffle. Et  je ne suis plus le lion courageux. Qui la confrontait. Non au lieu de cela  ,ma vie est sur un nuage . J'ai tout ce dont rêve les filles. Pourtant mes envies sont loin .Quand tout va bien ,je ne ressens rien .Mon bonheur a tué une part de moi. Je voudrais qu'elle me pardonne. Mais mon bonheur c'était elle.  Même morte , je voudrais qu'elle me donne  moins d'attention. Qu'elle me fasse encore mal sans raison. Qu'elle se trompe encore de prénom. Je voudrais cet ange soit mon démon. Mais qu'elle ne m'aime pas pour toujours. Que cet ange me joue un tour et qu'elle ne soit pas morte. Mais elle est devenue ma belle déception.  Elle a norcit mon ciel. Elle m'a donnée le pire des orages.  Je voudrais qu'elle libere mes larmes, parce que je n'arrive pas a faire mon deuil.  Elle m'a détruit pour me garder. Cet amour a tué une part de moi. Mais mon amour c'était elle. J'ai besoin retrouver ma lumière pour me sentir en vie. Je me sens perdu a trop chercher a chercher cette lumière. Je ne suis pas faites pour elle. Je voudrais qu'elle soit ma belle déception et qu'elle devienne ma nouvelle chanson. Pour tourner la page. Pour faire mon deuil.  Mais je ne connaissais personne pour m'apprendre a écrire, tout ce que je ressens a son égard, jusqu'a ce soir, ou j'ai découvert la plume rare. 


Mais a cause de cet ange, mon désir ultime n'était plus. J'avais perdu ma motivation. Et je n avais pas la permission pour devenir un éclaireur. Parce que même  si je n'étais plus un lion en cage. Je portais encore les chaines qui me liait a elle . Donc je ne pouvais pas  offrir de la lumière dans la vie d'autrui. Offrir une lueur d'espoir. Parce que chaque personne dans cette ville cache une lourde blessure. Et je n'avais pas été épargné. C'était pour cette raison, que j'étais condamné a faire et servir des cocktails pour que les gens deviennent dépendants a cet échappatoire. Cette cachette pour fuir leur réalité . Moi même, chaque soir j'avais un lourd fardeau a noyer dans un élixir, qui ne pourrait pas me guérir. Mais qui me transportait dans un autre état. Ce fardeau se surnommait amour déchu. Cet amour déchu qui était ma petite copine défunte, qui me rendait ivre a ce pêché , qui portait le nom de luxure. Les femmes étaient devenu un divertissement. Et des femmes de tous les gouts pénétraient dans ce lieu infernal. Involontairement, sans que j'en prenne conscience, j'honorais sa mort avec ce qui me répugnait dans sa facon d'agir. Je m'offrais sans sentiment a ses femmes qui voulaient bien de moi. Il avait qu'une chimie physique, rien plus. Je flirtais même avec des femmes qui n'étaient pas a mon gout. Parce que je ne croyais plus vraiment en l'amour. A cause de Karen, mais aussi a cause de Lucy qui m'avait classé dans la zone ami.  J'étais donc devenu l'objet  que Karen désirait que je sois. Et chaque nuit, j'entrais chez moi, pour froisser mes draps en compagnie d'une amie pour me divertir. Jusqu' à ce soir, ou ta voix était venu mettre un pansement sur mon coeur. Tu m'enlevais cet étiquette du chaud lapin. 


Encore une fois , le dieu des enfers venaient torturer mon âme. Parce qu'il avait engagée une nouvelle demoiselle dans notre équipe de travail. Est-ce que c'était une nouvelle danseuse ? Qui allait essayer de me séduire en exécutant des danses digne d'Esméralda .Et venir glisser sensuellement un voile autour de mon cou pour avoir toute mon attention. Pour imprégner leur essence sur ma peau. Mais cette fois ci, au lieu de me laisser envoûter avec leurs ondulations contre la barre sur la scène. D'analyser chacun de leurs mouvements, comme un compliment qui viendrait flatter mon ego.  Cette fois Juste une voix allait être suffisant pour m'ensorceler. Mais cette fois ci, ca allait être différent car elle ne serait pas divertissement. Mais obsession. Elle allait me faire perdre la raison. Sous la lumière, j'avais cette impression que tu étais ireel. Que tu étais qu'un mirage. Le fruit de mon imagination. 


Derrière le comptoir, verre a la main. Incapable de le porter a ma bouche. Aucune goutte. Aucun parfum venait éveiller mes sens.  Parce que tu avais toute mon attention.  Mon regard d'azur restait hypnotisé devant ta beauté.  Lèvres entre-ouvertes, je restais sans mot.  Incapable de fermer celles-ci . Incapable d'avaler ma salive. Je salivais au coin de ma bouche. Tu étais a mon gout. Je sentais des chatouillements dans le bas de mon ventre. Je sentais mon sang bouillir et quelques perles de sueur couler le long de mon visage. L'ambiance me rendait fiévreux. Ta voix me faisait frisonner. Que j'avais le poil des bras dressés. Je sentais les battements de mon coeur s’accélérer. Tu faisais vibrer mon âme. 


Et chaque soir était un recommencement. Chaque soir était un refrain , qui me poussait a vouloir venir te voir. Avant de te voir disparaître. Mais timide, tu m'intimides. Chaque chanson, était la raison d'une nouvelle érection. Je ne pouvais pas rester une soirée de plus a me tourmenter. Je devais t'aborder. Pas pour t'inviter chez moi, mais au moins pour emprisonner ton prénom dans ma mémoire. 


Parce que je voulais m'assurer que tu n'étais pas un fantôme. Que tu n'étais pas le reflet de mes fantasmes. Et je n'en pouvais plus, de la routine dont laquelle la mort m'avait piégée. Après ta prestation, ou tu avais fait s'envoler tous tes ressentis. Que tu me révélais. Parce que j'étais attentif. Des mots qui apaisait un peu ta vie. Des mots qui me persécutait comme une flèche de Cupidon. Tu retournais dans ta prison pour sangloter. Et moi je buvais une gorgée d'un cocktail de ma propre création , regardant le bouquet de fleurs, au coin du comptoir. Hésitation. Je priais intérieurement pour avoir du courage. Je devais faire le premier pas.  D'un mouvement de main, je m'emparais de celui-ci. De pas qui manquait d'assurances, je marchais vers ta loge pour enfin faire la connaissance de mon sucre-orge. 


Ma main tremblante. Hésitant. Du bout des doigts je touchais la poignée. Mais est-ce que j'allais la tourner? Est-ce que j'allais l'ouvrir ? Le contact et la vue d'une porte me terrifiait. Je craignais toujours de voir le pire derrière.  J'avais peur  que le cauchemar revienne a la surface. J'avais peur d'etre le témoin d'une scène qui allait m'envahir de chagrin. D'etre le témoin d'une scene impuissante. Tête baissé, je dévisageais le bas de la porte. Ne désirant pas voir du sang couler sous celle-ci. Ne désirant pas avoir les pieds trempés dans une vie que j'aurais ruiner par amour. Mais je devais me faire croire que chaque porte n'était pas symbole de malheur. Mais que derrière l'une d'entre elles, je pouvais trouver bonheur. J'allais donc puiser dans ma petite réserve de courage.


Je me gonflais le buste. Puis je soufflais avant de lever mes prunelles couleur nuances de ciel pour apercevoir cette étoile que je voulais atteindre. Sur la porte,il avait un écriteau, avec les lettres : Lady Bird était,  ton nom de scène. Mais sans doute pas ton véritable prénom, mais ne t'inquiète pas , si tu as envie garder ton masque. Ton identité secrète, je respecterais. Ca m'excitait. J'avais toujours eu un faible pour la relation, ou on devait jouer un rôle comme dans une pièce de théatre. Donc moi aussi, je serais  masqué et mon nom d'acteur sera Lucky. Ce n'était pas la première fois que je me faisais passer pour un autre que moi.


Ce soir, je te ferais la cour comme Tristan. Ne sachant pas si tu m'appartenais a un autre homme. Mais peu importe! Ca n'avait pas d'importance pour moi. Tu avais captée mon attention et j'avais besoin  de la tienne a présent.  Mais si c'était le cas, et que tu avais réellement quelqu'un dans ton coeur. Je ferais tout pour te détroner a ton Roi. Et faire de toi, ma Yseult. Et s' il fallait se cacher pour se fréquenter. Je le prendrais le risque de te partager.  


Je tournais donc la poignée, je jetais un regard indiscret dans l'ouverture. La pièce était plongée dans une ambiance feutrée. La pénombre y régnait presque. Mais ta courte robe couleur pureté, illuminait la pièce. J'ouvrais doucement la porte. Je faisais quelques pas vers l'avant. Puis je m'adossais contre le cadrage de porte. Tenant un bouquet de douze fleurs couleur soleil, parce que je pouvais ensoleillé le reste de ta soirée. Donc cesse tes pleurs. Les fleurs étaient plus précisément , des Tournesols. Ne sachant pas que c'était ta fleur préférée. Chance du débutant. 


 Du bout de mon petit doigt de cette main, je frottais nerveusement une bague a mon annulaire gauche. Je n'étais pas marier. Simplement fiancé a ma défunte femme. On s'était promis sous des étoiles filantes, d'etre ensemble pour l'éternité. On avait l'intention de fonder une famille. Mais dans une fraction de secondes, j'avais tout perdu.  La jalousie avait été son trépas. Le bout de mes doigts brillaient comme des lucioles. Mais créait une lumière pour que je puisse admirer ta beauté. Mon regard posé sur toi. Mordillant ma lèvre inférieure par stress. Signe de détresse. 


Chevelure de blé ondulée qui tombait en cascade dans ton dos. Je ne pouvais pas voir ta cicatrice, parce que tes cheveux  me cachaient cette marque. Parce que je ne savais pas que tu avais été martyriser, toi aussi par un etre aimé. Jambes courtes, mais que tu rallongeais en portant des talons hauts, pour te rendre plus féminine. Mais je t en fais pas je te retrouvais deja féline. Ses chaussures n'étais pas nécessaire ,parce que j'avais une préférence pour les demoiselles, plus petite que moi. Mais tu me laissais voir un peu de peau donc je profitais. 


 Mais Je ne devrais pas t’aimer mais je le veux. Je pouvais juste pas me détourner. Je ne devrais pas te regarder, mais je ne pouvais pas bouger. Je ne pouvais pas regarder ailleurs. Et je ne sais pas comment être bien quand ce n’est pas le cas. Parce que je ne sais pas comment arrêter ce sentiment naissant. Juste pour que tu le saches .Ce sentiment prenait le dessus sur moi .Et je ne pouvais rien faire. Parce que chaque fois que je franchisais une porte inconnue. Je me sentais impuissant. Je ne pouvais pas rester assis, je ne peux pas le laisser gagner maintenant. Je pensais que tu devrais le savoir . J'avais fait de mon mieux pour me détacher de toi, pendant ses derniers jours. Mais je ne le voulais pas. Je dois juste tout te dire, sans te dire mais je laissais mon corps l'exprimer, avant de partir lis mon gestuel et devine que ca devient difficile d'être près de toi .Il y a tellement de choses que je ne pouvais pas dire .Veux-tu que je cache mes sentiments ? Et que j’aille voir ailleurs ? Moi j'avais envie que tu me retiennes. 


C'est a ce moment là, que mon esprit commençait a me jouer des tours. A la place de ton reflet dans le miroir, je voyais celui de Karen. Troublé . Mon premier réflexe était de détourner le regard, mais je pouvais entendre sa voix me hanter. Que je perdais un instant contact avec la réalité. Elle me disait ces quelques mots: Ne me pleure pas. Si tu m’aimais .Tu serais ici avec moi. Tu me veux  .Viens me retrouver. Décide-toi.  Je sentais sa présence. Pourtant elle n'était pas présente. Elle était ni fantôme. Elle était le mirage de ma culpabilisation. Elle essayait de me guider, sur un chemin que je ne comprenais pas.  Elle voulait que je la retrouve. Mais elle était morte. 


Donc ou elle voulait en venir. A mon tour, j'avais envie de sangloter. Mais contrairement a toi, je ne savais pas chanter pour libérer, délivré ma douleur. Donc comme autrefois, j'allais obéir. Je ne pleurais pas. Et je t'aimais , je resterais ici. Si je te voulais. Je viendrais te rejoindre. Je me décidais de sortir de l'ombre. Pour t'approcher et me faufiler a tes cotés gardant une certaine distance entre toi et moi. Même si je n'étais pas l'envie qui manquait de poser mes mains sur tes épaules dénudés. De toucher ta peau satinée. Effleurer d'une douce caresse le tatouage de ce souvenir. Et je te murmurais que plus jamais, je te ferais de mal. Mais ce que je désirais, c'était de sentir sous mes doigts que tu n'étais bien réel. Que tu n'étais pas elle. Parce que quand je relevais la tête. L'image que j’apercevais c'était elle et moi. Et je te disais: Ne pleure pas.  Tu essuyais a ce moment là de ton coton, les perles de larmes qui gâchait ton maquillage. Te voir pleurer, était comme me faire poignarder par une lame. Culpabilisant. Ca  me rappelait toutes les fois, ou elle et moi on se disputait. Pour me faire pardonner, je te tendais mon bouquet de fleurs. Puis ta voix me ramenait a la raison. Et mettait fin a ma malédiction. 


Tu te présentais sous le prénom qui symbolisait un oiseau. Et d'une voix bégayante et maladroite, un seul mot s'échappait d entre mes lèvres :  Lucky . Ce qui signifiait chance. Quand tu me demandais si je m'étais trompé de loge. Je lui faisais un signe négatif de la tête. Ensuite, tu me confirmais ton nom de scène, en me disant qu'il était sur la porte. Mais je le savais déjà. Parce que j'étais paralysé quelques instants devant elle.  Toujours face au miroir, presque l'un contre l'autre. Tu me faisais un sourire narquois. Ce sourire  provocateur, qui venait me titiller pour encore plus envie de rester auprès de toi. Puis tu posais une question dont tu connaissais déjà la réponse.  Bien sur que j'étais venu pour toi.  Mais je n'allais pas quand même te le balancer le premier soir. J'avais beau etre un coureur de jupons, mais je n etais pas con. 


 Donc pour expliquer ma présence près de toi. Et aussi pour garder cette ambiance de séduction. Et laisser vivre cette chimie mystérieuse et naissante entre nous.  Je t'inventais donc une histoire, espérant que tu allais y croire. Je lui montrais encore une fois, les fleurs.  Allait-elle les prendre ? Et je lui disais : - Votre petit copain m'a confié la mission de venir vous les offrir, a moins que c'est votre admirateur secret. Un sourire discret se dessinait au coin de ma bouche. Parce que cet admirateur secret c'était moi. 


En lui inventant et lui disant de cette manière. Tu  pourrais me confirmer s il avait quelqu'un qui partageait ton nid. ton lit et ta vie. Est-ce tu étais célibataire ? Est-ce que j aurais un ticket pour le clou du spectacle ? Parce que tu avais retenue mon attention. Et ce soir j'avais envie de m envoler avec toi vers un nouvel horizon. Et ensemble nous chanterons une nouvelle chanson. 


DESIGN ϟ  VOCIVUS
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________________________________________ 2019-03-01, 17:40



le clou duspectacle
Leo &Emaline

Le jeune homme avait l'air un peu perdu, comme si son esprit volait loin de son corps. Après quelques bégaiements indistincts, il parvint tout de même à se présenter sous le nom de Lucky. Emaline fronça doucement les sourcils, se demandant s'il se moquait de son surnom ou si c'était le véritable patronyme du nouvel arrivant. Laissant cette question en suspens, le petit oiseau s'appliqua à passer une brosse dans ses cheveux blonds, repensant à sa prestation qui avait comme toujours fait fondre les cœurs. Les paroles des compositeurs décédés étaient à ses yeux les plus belles, elle aurait voulu pouvoir marquer l'histoire comme eux, fournir un art durable que les générations à venir auraient pu apprécier. Mais malheureusement, la petite blonde n'écrivait aucune chanson, elle se contentait simplement de reprendre les lignes d'autres artistes. Peut-être arriverait-elle, un jour, à fournir un travail digne de ceux qui avaient laissé une trace dans la mémoire du monde avant elle. Un jour, lorsque quelqu'un rentrerait dans sa vie comme dans un jeu de quille et la bousculerait du sol au plafond. Ou lorsque la douleur serait si grande que les seuls mots qu'elle pourrait mettre dessus seraient des paroles de chanson. Car la motivation de la musique était bien là, faire des syllabes avec des sentiments et les accrocher entre elles afin de pouvoir communiquer ces émotions. Il y a deux ans de cela, peut-être qu'elle aurait été en mesure d'édifier une mélodie pouvant susciter bouleversement et admiration. Mais le mal était si grand qu'elle n'en avait pas eu la force, sachant pertinemment qu'elle entendrait ses maux dans chaque relecture et que la douleur grandirait un peu plus à chaque fois.

« Votre petit copain m'a confié la mission de venir vous les offrir. A moins que ce soit votre admirateur secret »

Emaline fut arrachée à ses pensées pleines de rêves et de grandes perspectives. Et revenant à la réalité, elle posa sa brosse sur la coiffeuse, mettant fin au mouvement machinal qu'elle répétait depuis quelques minutes sans un mot. Elle fit glisser la sangle de ses chaussures afin de les retirer et s'approcha, pieds nus, de Lucky -bien que cette appellation ne la convainque que très peu. C'est alors qu'elle découvrit la nature du bouquet, des tournesols à perte de vue qui lui souriaient. La fleur préférée de la jeune femme qui accueillit le présent avec le plus aimable des sourires. A ses yeux, ces fleurs jaunes étaient modestes contrairement aux autres fleurs devenues hautaines par abus de compliments. Ne parlons pas des roses, les stars des fleuristes. Au fond, la jeune femme les adorait, leur trouvant toute la grâce et la beauté du monde, mais elles avaient perdu un peu de leur éclat lorsque tous avaient commencé à se les arracher. Elle porta les tournesols à bout de bras pour les détailler du regard, charmée par la lumière qu'ils dégageaient. Elle avait toujours eu l'impression qu'ils souriaient, les fleurs du bonheur en quelque sorte.

« Quelle douce attention, dommage qu'il ne soit pas venu lui-même... »

Elle parlait de celui qui se considérait comme son copain, son admirateur secret, ou quoi que ce soit d'autre. Em avait acquis une petite notoriété depuis qu'elle travaillait au Rabbit Hole, alors elle ne voyait rien d'étonnant à cela. Et puis, elle côtoyait de nombreux hommes, qu'elle disait être ses amis mais dont elle savait que l'esprit était agité par des sentiments à son égard qui n'étaient pas ceux de simples camarades. Elle chercha un petit mot, qui aurait pu accompagner le doux présent, mais ne trouva rien de tel. Elle coucha donc le bouquet auprès de sa brosse à cheveux, légèrement déçue par tout ce mystère. Elle qui préférait la franchise et l'honnêteté des poètes, elle n'était pas vraiment servie. Mais elle s'en contenterait joyeusement, très ravie qu'une belle âme quelque part, pense probablement à elle en ce moment. Il devait se demander si elle avait reçu les fleurs, et ce qu'elle en pensait. Dommage que Birdy ne puisse lui répondre, elle lui aurait appris l'art de faire la cour et celui de plaire aux jeunes femmes comme elle. Em n'était pas un esprit banal, son avis divergeait souvent de l'opinion commune et elle avait un point de vue bien à elle sur la façon dont les choses devaient être faites. Enfin quoi qu'il en soit, l'intention était là et c'est ce qui comptait.

« Alors, Lucky, tu travailles au bar, c'est bien ça ? Et au-delà de cela ? Tu as des passions, des projets ? Qu'est ce qui fait chavirer ton coeur ? »

A ces mots, elle appuya un doigt sur le torse de son interlocuteur et retourna s'asseoir sur la chaise de la coiffeuse. Emaline n'était pas une espionne et ne faisait pas souvent attention à ceux qui défilaient au Rabbit Hole, mais il lui semblait que ses yeux avaient déjà eu l'occasion de se poser sur le jeune homme lorsqu'il était occupé à préparer à un cocktail. La vision ne lui avait pas été désagréable, mais le physique -contrairement à ce que l'on aurait pu croire- ne l'intéressait pas, elle préférait la beauté de l'esprit et des mots à celle du corps.
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________________________________________ 2019-03-04, 21:00 « Tous les hommes sont des imbéciles »

 
Le clou du spectacle

Loge de LadyBird : Loke et Emaline

 




Presque l'un contre l'autre. Il avait juste l'hésitation qui me retenait. Nous étions toujours devant ton miroir. Il avait cette chimie de séduction. Tu avais le coeur pour me plaire. Tu m'attirais et j'ai envie de crever. Parce que j'ai peur que tu ne sois qu'un mauvais rêve. Mais je ne pouvais pas m'empêcher d'avoir cette envie. De te voir dans mes insomnies, parce que depuis un temps que je rêvais de ce moment. Tu volais ma vie dans l'antre de mes nuits. Mais quand tu t'approches de moi, je devrais me méfier, car j'ai peur mais je te laisse m’hypnotiser. Je te laisse me blesser. Parce que m'attacher émotionnellement me fait peur. Mais sur mon visage  je trahis mes émotions.  Je sacrifie ma raison. Éternise toi. Éternise moi.


 Condamne moi d'un regard. Laisse mon coeur saigner pour t'avoir. Rend moi insensible .Je ne veux plus rien ressentir pour Karen.  Fais de ma peine une cible ,vise la pour me guérir. Ma douleur tu l’inspires. Mais je me sens renaître dans tes sourires.  Mais prive moi de mon humanité.  Fait moi tout perdre pour l'éternité.  Fais de moi, fais de moi ton élu.  Aspire mon âme sans regret .Quitte à mourir pour exister . Sauve-moi, d'un baiser. Parce que pour moi , tu es devenue essentielle .Je n’ai plus le choix mais j'ai peur parce que Karen m’appelle. Elle veut que je rejoigne son enfer mais moi je veux  rejoindre le ciel en m'éternisant avec toi . Mais je me sens glacer de l'intérieur, par la peur parce que pour toi je viens d'avoir le coup de foudre. Crucifie ma peine et mes peurs . Parce que je n'ai pas envie de me sentir  ailleurs .Eternise toi .Eternise moi. 


La peur, ce sentiment qui me paralyse.Qui m' empêche d'agir. Qui m' empêche d'être moi- même. D'ou mon mensonge a ton égard. Peur de tu me jetes si je te releve que tu as fait vibrer mon coeur d'un simple regard. D'un simple voix.  Cette peur qui m’empêche  de faire ce que  dicte le poème de mon coeur.  Parce que j'ai  peur de me planter et ne pas pouvoir reculer. Et de tout regretter. Parce que je me suis aventurer. Mais j'ai tellement peur de me faire rejeter. De t'aimer et me faire remplacer.  En ce moment, cet émotion m'avait piégé. Elle avait pris le contrôle de mon âme.  Elle m'avait menottée.  Je craignais de ne pas être la hauteur de te décrypter. J'étais terrifié de ne pas pouvoir lire  derrière tes rires, derrière tes mots. De n'avoir aucun talent pour te cerner pour te découvrir. De ne pas pouvoir lire sous ta peau . 


Toujours présent derrière toi. Tu ne me demandais pas de m'éloigner. Est-ce que je devais en conclure que ma présence te plaisait ? Que tu me trouvais a ton gôut. Que je pouvais être ton divertissement. Enfin pour le moment. Parce que pour moi je désirais plus. À ce moment là, j'aurais voulu m'aventurer sur ta peau. Te faire mienne. Descendre sensuellement une de tes bretelles de ta robe. Déposer mes lèvres chaudes et marquer ta peau de mes baisers. Embrasser ta cicatrice que tu te sentes tout l'amour que j'avais besoin de te donner . Pour effacer le reflet de mon passé. Que tu sois le pansement de mon coeur. Que tu sois mon commencement d'une nouvelle chanson. Que tu sois mon refrain. Ma nouvelle routine. Que tu sois celle qui me fait que je m'accroche a la vie. Parce qu'en ce moment, je m'accrochais a la mort. Karen se faisait insistance. Elle voulait que je la rejoigne pour vivre une histoire éternelle. Mais moi je voulais vivre.   


Brosse en main, Tu glissais le peigne dans ta chevelure féerique. Ta crinière au teint de la lumière.  Et le reflet du corbeau disparaissait pour laisser place au reflet du moineau. Une femme qui symbolisait luxure, parce que tu devais attirer tous les regards des hommes,dont moi. Mais pour moi, tu étais plus un flamant , car tu me permettais de voyager des ténèbres, a la lumière. Tu étais aussi belle que mon ex. Mais tu représentais une chose plus saine. Et je te voulais dans ma vie. Pour combler le trou dans mon coeur. Pour combler le vide que Karen a laissée.  Tu défaisais les nœuds de tes cheveux, et moi a ce moment là, j'aurais aimer lire dans tes pensées. Savoir ce que tu penses de moi. Mais malheureusement, je n'avais pas ce don avec toi, car tu n'étais pas la maîtresse de ma clé. Je pouvais me fiez  que sur ton langage corporel. Mais peut-être un jour. Nous sommes assez proche, on pourrait partager plus qu'une chimie.Mais aussi partager nos pensées. Je pourrais m'ouvrir a toi comme un journal intime. Et toi tu pourrais être ma plume, pour me confier ta vie. Mais en attendant vous avons que nos corps et nos paroles pour apprendre a nous connaître pour savoir nos avions des affinités.  


 Tu déposais ta brosse sur ta coiffeuse. Puis elle te mettait plus à l'aise enlevant tes escarpins. Moi je dénouais ma cravate nerveusement pour la laisser pendre dans mon cou,  me mordillant la levre inférieur quand tu t'approchais. D'habitude c'était moi le chasseur. Mais la c'était moi la gazelle. Plus petite que moi, ca te donnait un charme.  Parce que je pouvais te regarder en hauteur, meme si je me sentais tellement petit intérieurement. Parce que je me sentais vulnérable. Bouquet dans ma main, tandis que l'autre du bout des doigts je me jouais après la babine du bas.  Je te tendais le présent. Dans une délicatesse, tu le prenais en mains. C'était notre petit contact. Un frolage de doigts.  Ton visage s'illuminait. C'était la preuve que j'avais bon gôut. Ce qui flattait mon ego.  Les tournesols étaient aussi mes fleurs préférées, parce qu'elle était symbole de Soleil. Et l'astronomie était un de mes domaines.  


Mais quand tu décidais de m'adresser enfin la parole en examinant ton bouquet de Tournesols. Je venais de me faire piéger. Tu allais découvert que l'honneté n'avait pas été au rendez-vous. Tu allais découvrir la vérité sur mon identité mais aussi sur mes intentions. Parce que les expressions de mon visage étaient trahison. Parce que j'étais un mauvais menteur.Même si j'avais déjà  embobiner dans un mensonge toute la Guilde de mages, pour leur faire croire a un mirage. En leur faisant croire que j'étais un humain, et non un être des nuages.


J'étais aussi un mauvais charmeur, car avec toi, je perdais tous mes moyens. Donc elle te doutait bien que le bouquet était de ma part.  Déjà que tu étais sceptique a mon prénom. Tu avais raison de douter.  Tu avais raison, parce que c'était simplement un surnom. Mais j'appréciais cet aura de mystère entre nous.  Je trouvais qu'avoir des surnoms c'était plutot romantique. Mais toi tu semblais déçu par le fait que je gardais un mystère. Une certaine distance. Surtout quand tu vérifiais s'il avait une carte. Mais il en avait pas. Tout simplement, parce que je cherchais encore mes mots envers toi. Je ne savais pas quoi te dire. Les mots se bousculaient dans ma tête, mais la page restait blanche. Mais je craignais de ne pas être a la hauteur de cette première rencontre.  Parce que la première impression est importante. Et j'espère que malgré ma timidité, je pourrais avoir ma chance de te côtoyer et peut-etre un jour me faire aimer.  A cette phrase : « Quelle douce attention, dommage qu'il ne soit pas venu lui-même... » Cette parole était pour me faire craquer. Parce que tu voulais que la vérité sorte de ma bouche.  Je prenais donc ce  risque. Parce que celui qu'il ne prend pas de risque, vivra dans le regret de ne pas avoir essayer. Et on ne sait jamais tu voudrais peut-etre m'apprendre a te courtisiez parce que tu étais différente de toutes les femmes qui franchissaient la porte de ma couche.  Soit mon enseignante ! Guide moi corps et âme, a être l'homme de tes rêves.  Et je te récompenserais du fruit de l'amour: la pomme qui une métaphore pour te décrire tout ce que je ressens. 


Le teint cupidon. Mes joues rougissantes, me trahissait. Pendant que tu déposais le bouquet sur ta coiffeuse. J'avalais de travers ma salive. Puis je te balançais les premiers mots qui ne voulait pas se faire engloutir par la peur. '' Oui c'est une douce attention de sa part, il aurait sans doute aimer voir votre réaction, vu qu'il a enfin capter votre attention vers lui. Et qu'en ce moment, il pense qu'a vous.  Mais ce garçon est peut -être devant vous. Il est peut-etre simplement timide. Parce que vous lui plaisez mais il ne sait pas comment vous le dire. ''Espérant que tu réalises que c'était moi donc je parlais. Espérant que tu décryptes mon message.  Un sourire timide , presque discret se dessinait ma bouche. Puis un mouvement de main et d'index, je descendais ma paire de lunettes aux verres bleutés, qui se trouvait sur ma tête, pour l'installer devant mes yeux. Quelques mèches tombaient sur le long de mon visage par la meme occasion. Pourquoi ? C'était une sorte de bouclier, pour protéger mon coeur du rejet.  De cette manière, je me sentais un peu invisible. Et ca m'empêchait de fuir. Chose que je ne faisais jamais avec une demoiselle. Tu devais etre exceptionnelle, pour que je réagisse de cette manière. 


Curieuse et rassurante. Tu me posais cette question. Une question double tranchant. Parce que tu voulais savoir ce qui faisait chavirer mon coeur. Et la réponse était toi. Tu semblais ne pas apprécier le secret. Mais je ne pouvais pas être aussi franc avec toi. Par peur de te faire fuir. Mais tu semblais bien déterminer de me montrer que j'étais ta gazelle, et toi la lionne. Parce que ton doigt contre mon torse. Ton doigt pointé, faisant une petite pression entre mes deux pectoraux. Sous ton doigt, sentais tu la mélodie des battements de mon coeur accélérés ? Sous ton doigt tu pouvais sentir les mots silencieux, que tu attendais. Je te chantais dans une chanson silencieuse, celle d'un coeur qui chavirait pour toi. 


Provocatrice. Tu essais de garder toute mon attention sur toi. Tu étais venue me croquer pour avoir un avant gout de ma personne. Mais tu me laissais blessé, quand tu étais  retourner, dos a moi, pour aller t’asseoir. Tu étais venue m'aguichée. Me dévorer en faisant de moi ton intérêt. Tu étais ma chasseresse. Et moi j'étais ton gibier en détresse. Devant toi , je me sentais impuissant. 


Tu menais notre valse. Donc je suivais tes pas , pour prendre place sur un fauteuil de ta loge non loin de toi.  Puis je te répondais, jouant nerveusement avec les anneaux d'une mes oreilles percées : - Oui j'y travaille chaque soir . Je fais des cocktails pour des hommes et des femmes qui cherchent un sens a leur vie. Même moi je cherchais un sens a ma vie. Je cherchais un miracle pour me délivrer de mes liens envers Karen. Me libérer de ma prison. Tu me demandais si j'avais des projets. Ambitieux. Je voyais grand. La preuve, j'avais le projet de te connaître. D'apprendre a t'aimer d'avantage a chaque seconde de ton existence. Je voulais aller au dela de mon coup de foudre. Je voulais aller plus loin, parce que je voulais un demain avec toi. Mais encore une fois, je ne pouvais pas te dévoiler le fond de ma pensée, donc je répondais dans une métaphore qui te symbolisait : - Ce qui me passionne la musique . Le chant des oiseaux.  En genéral tout ce qui touche l'art. J'aimerais devenir musicien, je joue de la batterie. J'aimerais aussi apprendre le piano mais je connais personne qui en joue pour m'apprendre. Sinon je suis un rêveur, donc des rêves j en est pleins la tête.  Artiste depuis la mort de ma femme. Ca m'aidait a vider les ressentis de mon coeur. A soulager mes pensées. A faire mon deuil de l'amour. Pour pouvoir te donner un coeur en entier.  Et toi qu'est-ce qui fait chavirer ton coeur ? J'enlevais ma paire de lunettes pour te dévoiler un regard aussi bleu que les cieux. Des prunelles  qui exprimaient une ouverture, puis je posais mon regard sur mon étoile : Toi. 


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