« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
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Krane Laverne Thorson « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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________________________________________ 2019-01-09, 21:25 |
| Je suis ton mari !
Chez les toons, en compagnie de Krane , Mina ..et sans nom Aujourd'hui , mon beau frère ,Ali et moi meme : On devait aller jouer aux arcades . On avait prévu une journée entre mecs, enfin presque. Parce que le Prince était rendu inséparable a sa nouvelle possession féminine. On ne pouvait pas lui en vouloir, c'était sa manière a lui de se consoler de la perte de Laureline. Depuis qu'elle était prisonnière de son sommeil éternelle. Et que son ame était devenue une plume. Il semblait perdu dans son coeur, comme dans sa tête. Il avait perdu espoir. Il laissait meme plus souvent de place a son ombre de le posséder. On était là pour le soutenir. Donc on le traitait aux petits soins et on le divertissait en lui occupant l'esprit avec des activités. Cette semaine, on s'était organisé des soirées donjons-dragons. Et lendemain d'une de ses soirées alors qu'Ali dormait tranquillement dans ma chambre, j'avais fait la connaissance de Candice , la future Reine du Clan. Donc si lui avait le droit de nous ramener une Reine. Et être amoureux. J'avais le droit a ma chance aussi. Pourquoi je ne pourrais pas faire de ma femme une Viking ? Enfin sauf si elle ne voulait pas ! Mais moi j'avais vraiment envie qu'elle fasse partie de notre Clan. Et lui montrer nos petites coutumes qu'elle aurait peut-être. Mais pour cela , je devais arrêter de me trouver des excuses. Pendant quelques mois , je l'avais observé dans l'ombre. Pendant quelques mois, je m'étais renseigné sur elle auprès de quelques personnes a son sujet. Le petit copain de ma jumelle m'avait donner quelques conseils sur comment aborder une femme . Mais vue qu'elle était particulière. Et vue que pour moi ce n''était pas une femme . Mais une hybride mi femme , mi dragon. Est-ce que cela allait fonctionner ? J'en avais aucune idée parce que je n avais pas pris le risque encore..Et je n'étais pas au courant du coup bas d'aujourd'hui de mes meilleurs amis.Ceux-ci était venu me chercher a la Ferme pour notre projet avec le camion d'Aladdin. Celui était au volant. L'Anglais a la place du passager et moi j'avais le droit a la banquette milieu , avec la nouvelle possession féminine d'Ali qui était : Ema , une créature hybride, mi ange et mi démon. Une création d'un puissant mage noir du nom de Zeref selon ce qu'il nous avait raconté . Elle etait devenue humaine, grace a des sacrifices de certaines personnes selon lui, dont lui. Pour elle, il avait sacrifier ses sentiments pour toi et moi. Pour que nous puisons vivre un commencement d'histoire. Parce que l'une des raisons qui me faisait reculer vers toi, était mon meilleur ami. Je ne voulais pas lui dérober un de ses coups de coeur. Pour l'existence d'Ema, il fallait garder le secret de son existence. Mais pourquoi me dévoiler tout sur elle alors ? Parce que tout comme moi, il était devenu un ennemi de la Guilde de Fairy Tail. On allait pouvoir se soutenir maintenant..Montant dans la caravane. Je faisais monter Bjorn, mon ours de compagnie qui s'en allait toute suite s’asseoir sur les genoux de l'Anglais pour lui donner des léchouilles. Ensuite je montais dans le véhicule avec un chiot de race nordique dans mes bras. Je refermais la porte derrière moi, après m'être assis dans mon siege a coté d'Ema. Que je saluais avec un signe de tête, car pour le moment elle ne savait pas parler notre langue. Ali avait préféré lui apprendre le turc pour qui soit plus intime. J'entendais soudainement des gazouillements derrière moi. Je me retournais pour voir trois sièges d'auto d'enfants. Il était sérieux ? Mon meilleur ami avait apporté sa portée avec lui. Puis Ali démarrait direction les arcades, enfin ce que je croyais..- T'es sérieux Ali ? Ta apporté tes enfants pour une sortie de mecs en plus d'Ema ? Je lui disais en ouvrant la fenetre un peu, pour m'allumer un joint que je prenais dans mon paquet de cigarettes dans ma poche. Il me repondait : - Je n'ai pas trouvée de gardiennes et tu sais que je ne peux pas confier Ema a n'importe qui. Et toi t'apportes bien tes bébés a poil dans mon char non ? Au faites c'est quand tu vas lui offrir ? Puis il freinait pour arreter la voiture en se retournant vers moi. Et je lui disais en toussant tu en veux en lui tendant le joint. Il haussait les sourcils, prenant son air sérieux : - Pas quand j'ai mes enfants le gros . Donc éteint moi ça . Je mettais a rire et je tendais le joint a l'Anglais pour qui l'éteint dans le cendrier en avant. Ce qu'il fesait ! M'excuse moi Ali , fache toi pas mec. Oui ta raison j'apporte aussi mes bébés. Quand je vais lui donner ? Aucune idée , quand j'aurais le courage d'aller cogner a la porte . Mon meilleur ami souriait en coin. Étrange ! Parce que je n'avais pas vu sourire depuis un moment. Et l'Anglais et lui se jetaient des regards complices. La voiture se remettait en route. La musique régnait dans la voiture, personne parlait le reste du trajet. Regardant par la fenetre j'observais le paysage, caressant le chiot sur mes genoux. Mais je remarquais soudainement, qu'on n'était pas sur le bon chemin. Puis je m'exclamais : Les gars ont s'en va ou la ? La voiture s'arretait devant une maison que je connaissais trop bien. Que je connaissais dans les moindres détails de l'extérieur. C'était la maison des toons. Le Prince et l'Anglais se retournaient vers moi. L'Arabe me disait : - Je sais que tu t'empêches d'etre avec elle pour moi. Entre elle et moi c est un amour a sens unique. Un amour inaccessible . J'ai gaché ma chance avec elle parce que j'ai été trop timide avec elle. Que j'ai fait le con , quand tout ce que je voulais c'est lui dire je t'aime, mais tout comme toi, elle m'intimidait. Je l'écoutais attentivement meme si je connaissais déjà cette histoire qui avait fait de lui.. le Papillon qui était parce qu'après Jasmine. Mina avait été son grand amour, mais voulant fidele a elle. Puis jeté.. Il était devenu un autre que le Prince charmant dont était destiné a devenir. Puis il rajoutait : Donc arrete de sacrifier ton bonheur pour moi . Donc tu vas aller cogner a sa porte. Même si elle te claque en pleine tronche, ne prend pas ca pour un échec. Et dit lui franchement ce que tu veux. Ne te cache derrière un bouclier. Moi je me suis caché derrière mes lentilles pour me creer un illusion qu'elle et moi c'était possible. Alors débarque de la voiture , prend le chien ..Va lui offrir comme un Mari qui veut etre présent dans sa vie. J'étais rarement touché par les paroles des gens sauf celles de ma jumelle. Mais celle de mon meilleur ami était pour moi un cadeau. Une lueur d'espoir qui m'exprimait qui restait un peu de cette croyance qui allait peut-etre sauver son âme. L'Anglais rajoutait : N oublie pas de lui dire que tu veux apprendre a la connaître. Propose lui une sortie .Et si le courant passe vraiment Au pire Propose lui de vivre en colocation avec elle vu que tu es son mari. Au pire dit lui de revenir a son ancienne maison.. Ali te louera sa chambre. Mais sachant qu'elle était sur la méfiance. Et qu'Ali avait été rapide, timide et brusque. J'allais lui proposer une sortie..Mais une sortie ou ? Je ne connaissais pas trop ses gouts. Et je ne voulais pas un truc trop banal. Je la laisserais choisir. J'ouvrais donc la portière pour sortir, avec le chiot dans mes mains. Laissant Bjorn entre les mains de mes copains. Je fermais la porte. Ali baissait sa vitre se tournant vers moi : - On te surveille, donc tente pas de fuir le Viking. Ou on va te braquer meme si ta plus de talents que nous pour ça. Et enleve tes lunettes.. Parce que tout se passe au premier contact des yeux. Et ton casque cornu aussi.. Il fermait sa vitre. J'enlevais mes lunettes de soleil pour les mettre au chien. De meme pour le casque.Au moins le Prince ne m'avait pas dit d'enlever ma masse accroché derrière mon dos. Et est-ce que je l aurais fait ? Non ! Macey était un accessoire qui me quittait jamais. Je soupirais et je faisais les premiers vers cette porte. Je cognais et le chiot aboyait..Puis je disais a l'animal : T'inquiète pas je suis sur qu'elle va t'aimer.. DESIGN ϟ VOCIVUS |
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________________________________________ 2019-04-28, 21:23 |
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La voix. C’est elle qui m’avait sortie de ma lecture et qui avait fait naître en moi, un sentiment de colère qui s’était rapidement transformé en rage. Mon poing s’était refermé de lui-même avec force, enfonçant mes ongles dans la paume de ma main. J’étais incapable de ressentir la douleur, incapable de prêter attention au sang qui coulait le long de ma paume. Tout ce que j’avais en tête, était cette voix. Qui résonnait à l’intérieur de mon esprit, me torturant d’une façon qu’il m’était impossible d’expliquer. Même maintenant.
A ce moment là, je n’étais animée que par une seule chose. Hystérique, je me souviens avoir balancé mon livre avec violence, avant de renverser la table basse avec tout autant de finesse, pour en arracher l’un des pieds et le planter dans l’écran de télévision. J’étais hors de tout contrôle. Comme coupée de la réalité.
Ce qui, à l’heure actuelle, rendait la suite des événements bien plus difficile à expliquer. Car à dire vrai, les souvenirs que j’en gardais n’était pas assez clair, pas assez complet, pour que je sois capable d’en tirer quoi que ce soit. Et bien que la culpabilité me rongeait de l’intérieur, pour la première fois, j’étais incapable de prendre mon courage à deux mains pour m’excuser voir même, demander aux personnes présente ce qu’il c’était passé ce soir là. En faite, j’avais même peur de le découvrir par mes propres moyens. Ce qui avait fini par me plonger dans un perpétuel tourment. Décidé à préservé les autres, j’ai coupé tout contacte avec eux, m’isolant dans la chambre que l’on m’avait attribué, murée dans un silence sans fin. Jusqu’à ce que je décide du jour au lendemain, de prendre la fuite.
Cependant, il y avait toujours cette question qui tournait en boucle dans ma tête et qui demeurait encore sans réponse. Pourquoi ? Avant aujourd’hui, je n’avais pas imaginé un seul instant retourner là-bas. J’ignorais si mon absence avait été remarquée ou non – sans doute – mais il fallait que je sache… Pourquoi cette voix ? Pourquoi pas une autre ?
Je ne savais pas exactement par où commencer. J’étais à peu près persuadée que les toons restant dans l’habitation éviterait de croiser mon chemin pendant un moment. Même pour me demander de quitter les lieux. Après tout, j’étais assez dangereuse et instable, pour m’effrayer moi-même. Alors je me suis installée sur le canapé et j’ai attendu, le regard rivé sur la télécommande. C’est sur, elle n’allait pas s’élever dans les airs pour atterrir dans le creux de ma main en douceur. Mais c’était comme si faire le geste jusqu’à elle était un effort surhumain. La peur d’une nouvelle réaction incontrôlée et incontrôlable de ma part ? Sans le moindre doute.
Respirant profondément, mon regard se pose une nouvelle fois sur la télécommande. Il fallait que je sache, il fallait que j’en ai le cœur net. Alors j’ai pris une décision. J’ai avancé ma main doucement, lorsque j’ai sentie une présence. Proche. Je me suis arrêtée net. J’avais conscience de ne pas être seule depuis longtemps mais cette présence là était différente. Il y avait quelqu’un qui approchait. Quelqu’un sur le pas de la porte. L’espace d’une seconde, je suis resté figée. Puis on a frappé à la porte.
Je n’avais en aucun cas l’intention d’ouvrir, mais puisque il y avait peu de chance que quelqu’un le fasse pour moi, et que la personne derrière la porte ne semblait pas décidée à partir d’elle-même, je me suis levée passablement irritée pour lui dire de foutre le camp. Avec en prime, un peu d’aide s’il le fallait.
Et ce qui c’est passé n’aurait jamais du avoir lieu.
Sans surprise, j’ai ouvert la porte à la volée particulièrement agacée que quelqu’un vienne me déranger dans un moment aussi délicat. Et lorsque mon regard est tombé sur l’inconnu, quelque chose s’était emparée de moi. Un sentiment bien au-delà de la colère, bien au-delà de la haine. Une nouvelle fois sous l’emprise de ce sentiment, je me suis jetée sur l’inconnu. Il me suffisait de récupérer mon arme et tout serait fini. Ce visage, je devais le faire disparaître. Et cette voix qui résonnait dans ma tête… Tu es à moi. Si je le faisais disparaître, alors elle disparaîtrait aussi.
Mais quelque chose m’a ramené à la réalité. Un aboiement je crois. En réalité, tout est assez confus. La seule chose dont je suis certaine et qu’après avoir réalisé ce qu’il venait de se passé, j’ai ordonné à l’inconnu de partir avant de me réfugier à l’intérieur de la maison des toons. Une larme de sang coulant de mon œil gauche. L’homme que je venais d’agresser… Son visage… Ce n’était pas le même. Il était différent de celui que j’avais vu en ouvrant la porte. Cette voix qui me hantait, était-elle celle de l'hallucination ? Oui, elle l’était. Et si mes réactions étaient aussi violentes, il ne pouvait y avoir que très peu d'explication.
Je n'étais pas certaine d'avoir envie de connaitre la vérité sur ce que cela voulait dire, mais avais-je réellement le choix ? Au vu des derniers événements, rien n'en était moins sur...
Hj : Réponse un peu faiblarde de ma part, mais je te promet de tenter de faire mieux la prochaine fois. :
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Krane Laverne Thorson « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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________________________________________ 2019-04-30, 23:39 |
| Je suis ton mari !
Chez les toons, en compagnie de Krane , Mina ..et sans nom Derrière la porte, on pouvait entendre des bruits pas très rassurants. Si on avait l'imagination très fertile comme moi . On pouvait s'imaginer plusieurs scenarios. Mais je m'inquiétais pas, plutot intrigué de savoir ce qui se tramait derrière celle-ci. Elle était peut-être en train de faire des expériences scientifiques, comme je le faisais souvent avec ma soeur. Elle tentait peut-etre de me donner la frousse. Mais mes amis avaient raison, j'avais assez fuit le mariage. Certaines personnes, auraient pris la fuite entendant cette pagaille auditive. Mais moi, je restais devant la porte en compagnie de ma boule de poil, sans nom. Parce que c'était ton rôle en tant que maman de notre bébé. C'était l'idée ! Avoir une raison, pour qu'on apprenne a se connaître. Et quoi de mieux qu'un animal, pour rapprocher deux personnes. Parce que je n'allais quand même pas lui balancer, et si on habitait sous la même hutte toi et moi. Tu allais me trouver trop brusque. Et en plus elle n'avait pas de moustache mais c'est un détail ! C'était plutot direct comme demande. Même si , dans les comédies romantiques que Ruff visionnait cette technique fonctionnait. Et a mes yeux, je ne me voyais pas avoir une autre qu'elle .Selon les rumeurs sur sa réputation, elle était digne d'une Viking. Jetant un regard derrière moi, je pouvais apercevoir mes amis qui agissaient comme des paparazzis. Coller contre les vitres, comme des Ancistrus. Une sorte de poissons ! Même Bjorn, mon ourson de compagnie se joignait aux spectateurs. Mais cette minute d'inattention, allait peut-etre me couter la vie. Parce que j'étais au seuil de la tanière d'une Dragonne féroce. Surpris ! Elle ouvrait la porte brusquement. Que j'avais seulement eu le temps de retourner la tête, pour lui faire face. Mais je n'avais pas eu le réflexe , ni même eu une seconde pour voir la colère dessinée sur son visage. Mais connaissant ce sentiment, comme une âme soeur. Je pouvais ressentir ce parfum dans ton aura. Mais ce que je ne comprenais pas, la raison de cette frustration envers moi. Alors que je n'avais même pas prononcer un mot. Mais je ne cherchais pas a comprendre. Tout simplement, la femme était un mystère que l'homme ne peut pas comprendre. Lourdement, échouer sur le perron. Pourtant, je n'étais pas le porteur de ballon. Elle m'avait plantée au sol dans une prise qui me remémorait mes années de Footballeur. Solide comme un crâne. Malgré le choc, je n'avais pas mal. Mais la position était inconfortable, a cause de la présence de Macey dans mon dos. La chute, avait peut-etre occasionnés quelques marques mais je n'allais pas raler pour quelques souvenirs de cet affrontement amoureux. Et je n'étais pas du genre a faire comme l'Anglais a hurler et pleurer ma mère a la moindre égratignure.Sans un mot, je faisais la tactique du mort. Immobile. Je la laissais m'analyser, pour gagner sa confiance.C'était l'étape ou l'homme se faisait sentir a l'animal. Il fallait surtout pas la brusquer. Donc je ne m'étais pas emparé de ma masse. Et je n'avais aucune raison et envie de la repousser. Parce que ce moment cocasse ne me laissait pas indifférent. Résistant aux pulsions de ma masculinité. Et l'envie de lui faire la danse de la volaille pour la séduire. Parce qu elle m'aurait pris pour un débile. Même si j'assumais que j'étais un crétin. Je ne voulais pas l'effrayer. Et renonçant a ma tentation, en me changeant les idees avec des pensées ridicules sur ma soeur. Pendant ce temps dans le camion, Raide comme une barre de fer dans son siège. Pied effleurant la pédale de gaz. Doigt, installé sur le bouton. Précaution. A l'intérieur de la caravane, on pouvait entendre le son du verrouillage. L'Arabe avait appuyé. Barricadant sa famille dans l'automobile. Mais Pourquoi ? C'était la question que l'Anglais lui posait : - Qu'est-ce que tu fais Ali ? On ne va pas l'aider ? Tenant fermement le volant - Non, il voulait redevenir un dragonnier, c'est l’occasion qui rêvait. Je suis sur que ca se passera bien pour lui. Il est plus son genre que moi. Et pour le verrouillage, parce que tu le sais que je ne fais plus confiance au sexe opposé. Même si, mes enfants sont des filles, sauf Maverick. Oui l'Agrabanais avait la tete parfaite pour concevoir des bébés féminins. Mais il avait verrouiller la voiture, car celui ci , avait toujours intimider par cette femme, sa timidité en était la cause . Mais il s'était fait une raison qu'elle n'était pas pour lui. Comme aucune femme d'ailleurs , parce que chaque fois qu'il cherchait l'amour. Il était maudit ! C'était pour cette raison qu'il mettait l'espoir , en sa croyance en une femme qui n'en était pas une.. En sa démone. L'Anglais lui posait une nouvelle question : - Alors qu'est-ce qu'on fait ? Le Sultan lui répondait : - On attend de savoir s' il aura plus de chance que moi. A ce moment, que la petite Kenza se levait de son siège pour flatter l'ourson : - Papa , Kenza veut ours. Ali se tournait la tête, vers sa gamine. - Kenza assis toi, et tu n'auras pas d'ours ma princesse, tu as deja un tigre, des perroquets, un singe et un dromadaire. La petite princesse reprenait place dans son siège en boudant. Mais connaissant Aladdin, il allait craquer aux caprices de sa fille. Pendant qu'Ali gérait sa fratrie et les milles et une question du bourgeois. De mon coté, ma femme me demandait de partir. Il était hors de questions. Il m'avait fallu tout mon courage pour frapper a cette porte. Et même elle était dans ses mauvais jours. Je ne pouvais pas retrousser chemin. Surtout qu' elle semblait dans un état de transe. Elle semblait dans un état de vulnérabilité. Comment je le savais ? Parce que j'avais été témoin de plusieurs transes d'Aladdin, ces derniers temps a cause de la mort de Laureline, ou il semblait errer entre ses deux personnalités. Et qu'il semblait perdu. Son regard était semblable au tien, voilé par l'incompréhension. Elle semblait être sorti de la bulle a cause de notre chien. Merci pitou, tu m'as peut-etre la vie. Bizarrement, après m'avoir ordonner de partir. Tu t'étais réfugié dans la maison. Sans ta permission, je te pénétrais dans celle-ci. Suivit par le chiot, qui avait cesser d'aboyer. Je fermais la porte derrière moi pour couper accès a mes amis, du spectacle, mais je restais toujours avec ceux ci. J'avais qu'un prénom a prononcer. Restant près de la porte. A ce moment là, que le chien décidait d'attirer l'attention sur moi en la saluant d'un jappement. C'est aussi a cet instant que je remarquais un phénomène surprenant, ton oeil qui coulait. Inquiet. Je m'approchais de quelques pas, gardant une distance. - Ca va ? Tu as du sang qui coule de ton oeil. C'est normal ? Je savais qu'elle était différente. Ali me l'avait dit.. Et son père adoptif confirmé quand on avait discuter d'elle. Je n'allais pas lui proposer de me rendre a l'Hopital avec elle. Ca devait être un phénomène magique, dont je n avais aucune explication. Mais elle pouvait compter sur mon soutien. Et celui de mon meilleur ami, si son état s’aggravait.Parce que a cet instant, j'avais que l'envie de prendre soin d'elle a mes risques et périls. (Moi aussi je ferais mieux la prochaine fois, Je suis aller en douceur pour briser la glace entre les deux ) DESIGN ϟ VOCIVUS |
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________________________________________ 2019-05-19, 20:29 |
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Je ne comprenais pas ce qui poussait cet inconnu à risquer sa vie comme ça. N’avait-il donc pas compris, ce qui s’était passé un peu plus tôt ? N’avait-il pas compris, que j’avais l’intention de lui trancher la gorge profondément à l’aide du poignard que je tenais fermement dans l’une de mes mains ? Ce serait mentir que de dire, que je n’avais pas déjà eu ce genre de réaction avant. Me jeter dans la gueule du loup de cette façon, m’était déjà arrivé dernièrement. Que je le veuille ou non d’ailleurs, mais quelque chose me poussait la plupart du temps à le faire. Mais lui, qu’est-ce qui le poussait à risquer sa vie comme ça ? Quel était son but ? Est-ce que nous nous connaissions ?
Assise sur le canapé, la tête baissée, je lève subitement les yeux pour poser mon regard sur le nouveau venu. Il était grand, massif. Sans le moindre doute, il aurait pu me poser des problèmes s’il l’avait voulut, mais au contraire, il n’avait rien fait. Sans doute n’avait-il pas peur de mourir. A moins qu’il ne se soit dit qu’au contraire, attaquer n’aurait fait qu’empirer les choses ? Dans tous les cas, il ne devait pas rester là. S’il ne partait pas, alors je le ferais partir. Ce qui venait de se passer ne devait plus jamais arriver. Jamais.
- Vous connaissez beaucoup de personne qui saigne de l’œil vous ? Je demande à l’inconnu d’une voix calme en essuyant le sang sous mon œil avant de reporter mon attention sur le petit animal qu’il avait emmené avec lui. Celui-ci s’était approché lentement, hésitant. Qu’est-ce qui le poussait à faire le premier pas ? Étais-ce dû à cette chose qui m’avait sauvée des lions aux zoo il y a quelques temps ?
- Vous. Je ne sous-estimerais pas vos aptitudes de survie, mais vous ne devriez pas sous-estimez ma capacité à vous tuer. La distance que vous avez établie ne suffirait pas à vous protéger de moi. Si je voulais votre mort, ce simple poignard suffirait amplement pour remplir la tâche. Je montre l’arme blanche que je tiens encore dans ma main avant de reprendre. Qu’est-ce qui vous motive ? J’aurais pu vous tuer, mais vous êtes encore là. Vos camarades ont été plus intelligents, ils sont restés dans la voiture mais vous… Vous êtes là. Pourquoi ?
Je ne le connaissais pas. Je le sentais. Mais quelque chose n’était pas claire dans tout ça, car j’avais la sensation que nous nous étions déjà vu. Ce problème, celui de ne pas être capable de déceler précisément le vrai du faux m’arrivait encore parfois. Durant une période plus au moins longue, c’était comme si je n’avais pas été moi-même. Comme si j’avais été quelqu’un d’autre. Si bien qu’après, il m’arrivait qu’une réponse à une question soit autant oui que non. Pendant un moment, je me suis demandée si ma capacité à déceler la vérité du mensonge n’avait un problème. Et puis, j’ai sentie ces présences et j’ai compris. C’était vrai parce que mon corps avait rencontré ces personnes, mais faux parce que je n’étais pas au commande. Cela voulait-il donc dire qu’il était l’une des personnes rencontrées durant ce laps de temps ? Oui, sans le moindre doute. Mais qu’est-ce qu’il le poussait à rester après avoir vu ce qu’il s’était passé plus tôt ? Pourquoi ? Je ne voyais pas tant d’option que cela. Il avait l’air inquiet… était il proche de « moi » ? En quelque sorte. Il manquait quelque chose. Oh…
- Je vois. La réponse m’était venue d’un coup, comme une évidence. Un énième pressentiment qui m’avait fait comprendre pourquoi il se tenait là devant moi et pourquoi il avait passé du temps devant chez les toons. Oui, l’observation était l’un de mes points fort. Les relations beaucoup moins. Alors c’est vous mon mari ? Et lui c’est ? Je demande en regardant l’animal.
Cette fois, je montrais la bague à mon doigt. Je ne l’avais pas retiré. J’aurais pus, mais elle m’était bien plus utile là ou elle était. Surtout ces derniers temps. Car ceux qui n’avaient pas peur des femmes de caractère, n’étais pas forcément fan des alliances. Et pour les autres, je savais me montrer persuasive quand il le fallait.
- Ecoutez. ( il fallait être direct, franche. Couper ses espoirs à la racine) J’ignore ce que vous attendez de moi, mais je ne suis pas celle que vous avez visiblement rencontrée. Je suis Dangereuse. Instable Vous n’avez peut-être pas peur de mourir et êtes prêt à risquez votre vie pour un souvenir, mais moi pas. Je ne risquerai pas la vie de quelqu'un pour quelque chose qui n'est pas réel. Et encore moins maintenant. Donc soit vous partez, soit je vous fait partir. Qu’est-ce que vous préférez ?
Étrangement, l’animal était venu se blottir contre ma jambe, cherchant des caresses de ma part. Caresse que j’avais commencé à lui donner sans même m’en rendre compte. On aurait presque dit qu’il voulait m’aider. Me réconforter. Touchant non ?
Hj : Oui je sais, Mina est horrible ! Désolé pour notre petit Krane. Non mais Mina veut juste pas lui faire de mal. Après, j'avous qu'elle est carrément dur avec lui, notamment quand elle lui balance que le souvenir n'est pas réel ( ce qui est vrai dans un sens, puisqu'il n'a pas rencontré Mina ) mais bon tu la connais maintenant... Vu qu'elle a compris qu'il partirait pas, elle utilise la manière forte. Mais je l'aime Krane moi hein ? Bordel, j'ai de la peine pour lui maintenant, le pauvre ! Aaaah Mina..
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________________________________________ 2019-05-21, 21:25 |
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Chez les toons, en compagnie de Krane , Mina ..et sans nom - Vous connaissez beaucoup de personne qui saigne de l’œil vous ? Ton premier pas vers moi. Je ne connaissais personne qui saignait de l'oeil. Mais un jour, durant mes péripéties de guerres , a cause de mes occupations douteuses ou mon coté instable, je pourrais être témoin des yeux saignants. Surtout si j'utilisais la technique Gregor Clegane de la série le trone de fer, en combat. Malgré mon inquiétude pour toi, je connaissais les soucis des yeux. C'était un symptôme de possession. Mon meilleur ami, avait aussi un problème a ce niveau là. Les battements de ses paupières étaient inversées et la teinte de ses prunelles était changeante quand son entité Shadow prenait le contrôle.. Même moi , j'avais aussi cette transformation physique, dans j'entrais en transe pour me métamorphoser en bête, et quand je prenais possession de Bjorn. Durant cette transe, mes yeux avaient l'effet Teen Wolf. Mais discuter sur la possession, avec Ali avait été cultivant. Parce qu'il n'avait pas seulement les livres , internet pour nous informer sur diverses sujets. Mes amis aussi peuvent etre utile. - Non mais ca doit être un effet secondaire de votre Quarine ! Nous avons tous un Quarine, un compagnon qui naît et meurt avec nous. Donc moi aussi j'en possède un. Il existe aussi des Quarines relier a nous par la sorcellerie, qui font surface dans notre vie a tout moment . Un Quarine est une entité, qui nous connait, qui ressent ce que nous représentons..et qui peut même nous dicter une facon d'agir sous son contrôle.Il a souvent des effets secondaires. Tu es sans doute posséder, ou soit que tu es aussi folle que Kognedur. Ca expliquerait pourquoi tu m'as agressée.J'étais une encyclopédie sur pattes,sur une matière peu commune. Mais tu pouvais lire sur mon visage. Que peu importe cette révélation.Je ne prenais pas la porte. N'ayant pas la maîtrise de tes pensées, je ne pouvais pas décrypter ton incompréhension, sauf par l'expression de ton visage. Si seulement...On pourrait partager nos songes quelques instants. Même si , cette opportunité était une porte fermée , car mon meilleur ami avait essayé de briser sa timidité, en créant un souvenir de l'instant ou la Deesse Vanadis lui avait offert sa interdiction. Celui-ci ne croyait pas en Aphrodite, parce qu'elle le laissait s'autodétruire pour sa croyance que l'amour détruira ses démons. Elle avait sans doute mieux a faire, que guérir ses âmes en peine. Voulant seulement te dévoiler, ce même sentiment que je veux t'exprimer. Tendance a fuir cet émotion, qu'il lui entaillé l'ame. Il avait renoncer et sacrifier cet amour pour sauver l'âme d'Ema. Vu qu'aucune main de confiance était tendue de la part cette Deesse. Mais sans le savoir et le vouloir pour ma personne, il avait nouer notre amitié en me donnant une chance, grâce a son amour qu'il te portait ,tu as sauvée une vie. Elle était d'apparence humaine et sauveuse. Parce qu'elle le maintenait en vie. Mais il m'avait offert son fardeau, car n'ayant pas réussis a défoncer ton bouclier par sa sensibilité et sa maladresse. Mais il pensait sincèrement que je pouvais y arriver..Peu importe le sort que tu me réserveras. Peu importe si je dois me prendre un poignard sous la gorge.Et être imprégné de l’Élixir de la vie qui souillera ma peau et fera de toi une meurtrière. Mais ne t inquiete pas,moi aussi j'ai un taux élévé de gene MAOA Et CDH13. ( Les genes qui ont un lien avec l'agressivité, pourquoi utiliser ca dans le rp pour le coté scientifique de Krane) Même si je me doutais que tu étais incapable d'accomplir un tel acte envers ma personne. Tu avais trop de coeur. Mais pour moi etre assassiné par ma femme serait une mort honorable et amusante. Ne pas périr prouverait, que si tu m'accordais une chance, je te prouverais, par la même occasion a Ali, que l'amour n'est pas une tragédie, si on trouve la bonne personne. Qu'Advienne que pourra ! Si tu voulais ma peau, j'étais prêt après tout Je suis Tuffnut Laverne lycanwing, MACHINE DE MORT! Je suis la guerre . La guerre je la ferais.A perdre la raison. On te décrit comme l'enfer . L'enfer je le vivrais. Mais Faut-il t' aimer pour déjouer La mort ?Toujours contre la porte, pendant que le canin se familiarisait avec le lieu et ta présence. Si seulement, je pouvais changer de peau, me retrouver dans celle du bébé malamute,pour être a tes côtés. Celui ci avait une facilitée d'approche.Tu etais une dresseuse de chiens ? Moi je possédais que la capacité de posséder l'esprit d'un ours. Quel con! J'aurais dut t'offrir un ourson, et par la même occasion Bjorn aurait eu un ami pour socialiser. De nos jours, il n'était pas facile de trouver un ami , a son animal de compagnie. Surtout quand celui ci essayait de bouffer ses futurs amis. Bjorn avait tenter de dévorer Joyeux Festin, mon poussin. Tu étais installée dans le canapé, et moi je restais devant la porte. Mais malgré, le fait que le chien avait envie de copiner avec toi. Tu me laissais pas indifférent parce que tu entamais une discussion et tu essayais de m'aguicher avec une dague. Tu avais découvert que les armes étaient pour moi , comme des os pour chien ? Me parlant de survie. Pour ce point, j'avais prouver a nombreuses reprises , cette compétence. Tu essayais de m'intimider avec la peur visuellement et verbalement. Mais ta dangerosité, m'attirait contrairement a mon meilleur ami, qui troublait dans la camionnette. Espérant qu'il ne s'était pas fait pipi dessus, quand il t avait vu m'attaquer. Mais non, je blague, il était seulement Incapable d'affronter un vieux fantasme. Quand tu insistais sur l'arme, je jetais un regard méditerranéen sur celle ci. D'un large sourire amusé, dessiné sur mes badigoinces. D'un air de defi. Je buvais tes mots, et en concluant que c'était une épreuve pour savoir, si j'étais digne de tes beaux yeux. Mais je suivais ton conseil, je ne te surestimais pas. Lecon de Viking qu'on apprend très jeune. Les femmes, ont même le tempérament guerrier que les hommes. Les femmes ont développé d'autres atouts que la force physique d'un mec. Dont ma carrure robuste, ne pourrait pas jouer a ma faveur. Et cette dague, était seulement pour me rendre naif . Et me faire croire que tu étais qu'une fleur inoffensive. Par contre , Ali avait ses chances contre toi mais moi , je ne pourrais rivaliser avec toi, meme dans une atroce colère. Mais je pouvais te montrer, la même passion obsessionnelle pour les armes. Vu que tu semblais bien apprécier la compagnie de ton couteau..-Tu, oui je te tutoyais, parce que tu étais ma femme après tout. penses sincèrement, qu'une dague, au faites, ton jouet a un nom ? Question étrange. Mais normal pour moi. Interressé par l'objet, d'en savoir plus sur son identité. Et l'envie de la voir et l'examiner dans tous ses détails. Mais je devais faire un premier pas, et quitté le seuil de la porte, pour cela. Puis je continuais ma phrase: - va me faire renoncer a toi, a mon engagement et mon role auprès de toi.De quoi je parlais a ce moment ? A la reponse un peu plus bas. Il va te falloir plus que ça pour que je parte.. Sachant que tu avais des talents cachés. Comme pour ma soeur, j'allais te donner l’opportunité de me soumettre. Et d'être gagnante de cet affrontement. Détachant l'attache de ma fourrure d'ours. Ma cape, glissait de mes épaules et de long de mon dos pour conclure sa course sur le sol. En habit de Viking, une tenue plutot moderne au design écaillés .Je dégrafais ma ceinture de torse. qui contenait des grenades de tout genre, pour la déposée sur le meuble de l'entrée. Je m'attardais a ma ceinture, de taille qui contenait des armes a feux. J'enlevais celle-ci pour qu'elle tienne compagnie a l'autre. Passant une main dans mon dos je sortais une hache, que je balancais a mes pieds. Ensuite, entrant une main dans mon pantalon par devant. Ma main se baladait sur ma cuisse gauche. Quelques instants après je sortais, un lance flamme que je déposais proche de la hache en me penchant pour soulever le bas de mon pantalon et y détacher la ceinture de cheville que je portais ,dont il avait des étoiles de ninja a celles-ci. Déposant une nouvelle fois, mon paquet de poignards. En me redressant, d'un mouvement de bras, j'attrapais Macey, ma masse qui se trouvait derrière mon dos aussi dans un des fourreaux a son dos . Fiancée en main, je t'avouais que coté instable et dangereux , on était jumeaux. Je venais de te déballer tout mon arsenal..ou presque. (Tu peux t'imaginer une scène semblable a pirates des caraïbes , quand Elisabeth est dans le repère du capitaine Japonais) Il me restait l'atout calinours et le Djinn en cas de détresse extrème.. Et je savais qu'Ali n'avait pas envie d'aggraver la situation entre toi et lui. En tant que mari, je ne savais pas trop comment m'y prendre. J'étais puceau de l'engagement. Mais pas de l'aventure d'un court temps. Mais, cette scène théâtrale parlait beaucoup d'elle- même. - Voila, maintenant que je suis désarmé, enfin presque, je vous présente Macey. Vous pourrez remplir votre tache, si vous avez envie maintenant. Balancant ma batte épineuse entre mes jambes pour que tu l'observes et que tu captes qui était Macey. Si j'aurais voulu me protéger de toi, j'aurais apporter un bouclier. Symbole de protection chez les Vikings, Ce n'est pas le cas et je serais rester dans la voiture avec mes amis. Plus intelligents que moi ? Impossible ! Darcy est le petit copain de ma jumelle, il faut être complètement idiot pour l'aimer, parce que Kognedur c'est Kognedur, et en plus elle a aucun talent pour intepreter Danerys, quand on se fait un donjon dragons sous le thème du trone de fer. Légérement possessif et je me faisais un plaisir de la dénigrer, par amour. Et Ali, lui c'est parce qu'il a eu une mauvaise aventure avec toi, il n'a pas envie d'aggraver la situation entre vous deux, mais tu t en souviens peut-etre pas, parce que tu n'as le crane aussi dur que moi, donc ta oublier ce qui ta fait. J'étais au courant de tes soucis amnésiques par rapport a mon camarade et cette aventure. Entre copains , autour d'une bière et d'une partie de Donjon et Dragons on se racontait tout..Dont l'aventure Gravity Falls. - Si tu lui pardonnais sa connerie, a cause de sa timidité et sa maladresse, il serait venu. Enfin je pense, parce que débarquer toute son équipe de football c'est compliqué. Et il n a pas assez de bras pour tous les prendre. Donc je ne comprend pas pourquoi, il a demandé a Freya d'etre aussi fertile. Être papa, c'est tout un métier, d'ou le fait qu' adopter un chien , ou un ours c'est un bel apprentissage avant de faire des bébés. C'était l'étape après le mariage non, fonder une famille ? Même si Ali n'était pas un exemple, parce que lui il avait forniquer dans l'adultère. Enfin par chez lui , il n avait pas commis de délit , parce qu'il pouvait posséder quatre femmes. Et il avait engrosser Laureline, avant la cérémonie officielle du mariage. Mais détail !On n'était pas ici, pour discuter, ni meme s'imaginer Ali dans sa couche ou sur son tapis en train de.. Pas besoin de te faire un dessin..La joueuse a deja des images bien croustillantes sur le sujet. Nous, pour l'instant on n'était pas prêt. On n'avait pas même pas eu de lune de miel. Ça pourrait être une bonne idée d'en avoir une.Mais pour cela il fallait que je contact Gru, pour qui rapetisse la lune. Il fallait contacter Winnie pour avoir une tonne de pots de miel. Finalement etre marier ca comporte pleins d avantages. Sinon avant de faire des petits vikings, il fallait qu'on cohabite dans une hutte. Et qu'on vive pleins de péripéties digne des comédies romantiques. Donc est-ce que je devrais venir m'installer dans la maison des Toons ? A moins que tu préférais la ferme.. Mais si tu voulais un endroit plus intime , pourquoi pas le manoir.. Je prendrais la chambre d'Ali ! Mais avant de m'emballer dans des tonnes de projets, de femme et mari. Je devais te convaincre de me faire une place dans ta vie..Mais avant laisse moi te raconter.. le commencement de l'histoire de ma motivation. Qu'est-ce qu'il me motive était la prochaine question sur la liste...Tel était la tradition des Vikings, mon père avait tenter de me marier a de nombreuses reprises, sans succès. Parce que ma jumelle n'était pas celle qui avait le devoir de perpétuer la lignée des Thorson. C'était une fille ! Comme la plupart des Princesses, je voulais me marier par amour. C'était ma facette calinours! Mais la femme qui me conviendrait n'était pas Macey. Ni même ma poule. Ni même ma jumelle et ni même une Viking d'une autre tribu. J'étais mal barré, parce que mon père n'était pas au courant de cette phase volage ou je découvrais ma sexualité...Et a un moment, il a un accident mais c'est une autre histoire. Parce que la fille ne prenait pas de drogues, et je ne comprenais pas pourquoi il fallait se mettre un sac de plastique sur .. Tu sais quoi. Interdiction de faire honte a mon père. L'image de la famille avait une forte importance pour lui . Mais c'était surtout a cause de cette compétition entre frères. Je devais être le parfait fils. Voulant que je sois la hauteur de mon cousin Gruffnut, vivant dans son ombre, depuis toujours. Il avait réussi sa vie là, ou moi j'avais échoué..S' il savait tous mes cachotteries. Mais le pire dans l'histoire était que mon père n'acceptait pas ma décision de vouloir prendre ma responsabilité envers notre union. Est-ce que c'était a cause que tu n etais pas le reflet de notre blason familial ? Tu n'avais pas la chevelure dorée cendrée des Thorston ? On aurait pu te tremper la crinière dans de la peinture et le souci était résolu. Je n avais pas le don de décrypter son esprit, donc je ne pouvais pas savoir qu'il n'acceptait pas nos épousailles en raison du passé de notre ancêtre. Il y a des mois, quand nous étions rentré a la maison de notre voyage a Disneyland. Ruffnut et moi, lors d'un repas de famille ma soeur avait confiée, autour de la table et même agiter ma main devant leurs visages. Ficelle au doigt, tout le monde me félicitait. Toute ma famille voulait savoir qui tu étais l'élue. Mais quand, ma soeur leur racontait quelques anecdotes . Mon paternel petait sa crise ! Parce que l'histoire du déguisement, était pour lui, une couverture de ta véritable nature. Pour lui , tu étais une sorte d'incarnation dragonnière, du divin dragon des profondeurs du Hel Niflhel qui avait séduit le premier Noisette, dont mon ancêtre avait pêché et renoncer a la benediction du père des divins nordiques (selon le contexte du forum, Odin serait un sorcier) pour ce sentiment qui briserait tous les grands destins selon mon meilleur ami. L'homme singe albinos des territoires, parce que la famille Dur était descendant des singes blancs , avait eu une liaison avec une dragonne des enfers. Sachant depuis peu, que j'avais reçu une faveur de l'Asgardien..Parce que ma mère et ma soeur me cachaient lors de mes crises de change peau, depuis ma tendre enfance. Mais quand, mon père l'avait appris. Il était tellement heureux que son fils avait été choisis comme un des douze guerriers fauves. Mais cette histoire de mariage le rendait..Furieux, mon père ne voulait pas que je sois maudit de notre père suprème. Mais moi je m'en foutais..L'autorité n avait pas d'impact sur moi. Depuis ce jour, j'étais en conflit avec celui-ci. On ne parlait plus. Même si ma mère trouvait l'attitude de mon géniteur lourde et intense. Elle était de l'avis contraire. Elle avait très envie de te connaître. Mais il était un peu trop tot pour te présenter a la famille. Même si Ruffnut avait deja, fait ta connaissance. Et ce n'était pas l'heure de l'admission pour soumettre ta candidature au clan. Donc mes camarades poilus, n'étaient pas au courant de ton existence et du fameux oui pour le meilleur et le pire. Concernant mon père, il ne comprenait pas mon intention que pour toi, je pourrais être maudit par toutes les punitions, toutes les malédictions. J'étais prêt a faire le même sacrifice que le premier , et pire encore pour toi . Je pourrais déclencher le Ragnarok pour toi . Je braverais toutes les tempêtes et je combattrais toute la concurrence pour que nous ca fonctionne. Même dans le doute, n'avancerait dans l'inconnu. Rien ne m'empêchera d'aimer l'extermination de la tribu, car mon père était convaincu que le mauvais oeil , veillait sur notre tribu par ma faute. Merci la soeur d'avoir ouvert , ta grande bouche ! Et de t’infiltrer dans mes histoires de coeur. Mais je ne pouvais pas t'en vouloir, je faisais de même avec elle..La femme idéale, n'existait pas jusqu'à ce mariage.Un coup de tête, que je ne regretterais pas. Au fur a mesure, que je me renseignais sur ta personne. De la vérité jusqu'aux rumeurs. Mon coeur s'emballait. Mais Le deuxième pas n'était pas pour moi ! mais je te suivais a ma manière. Mais toi tu t'enfuis. Et mon meilleur ami m'avait averti que tu aurais ce comportement, quand l'amour frappait a ta porte. ***
Tu me repoussais, de ton discours. Tu meprisais et tu maudissais les battements de mon coeur. Mais je n'ai que faire de ton mépris car je l'aimais aussi. Pendu à ton regard, sans aucun espoir a long terme. Tel était ton but ! Mais il allait falloir plus que tes mots , pour me décourager pour assassiner mon rêve d'être de ton homme. Si on devait croiser le fer. Je te ferais la guerre et tu me dicteras mon chemin de croix. Parce qu'il était hors de question, que mon corps soit la dérive dans un océan de larmes. A cette pensée, j'avais envie de me rouler en boule. Mais je sucais mon pouce quelques secondes. S'écrouler dans la nostalgie d'un souvenir..c'est horrible. J'allais etre inconsolable et je serais en pénurie, du mot qui ne font pas dire, imiter, epaler lettre par lettre , ni meme penser. En réalité, tu en n'étais peut-être pas consciente, mais ce n'était pas a moi que tu disais de partir, en te donnant des excuses, comme quoi tu étais instable et dangereuse. Que tu allais me tuer et tout le blabla menaçant. Mais au symbole que je représentais. Avoir ton mari devant toi, était comme un affront. Et peut-etre cette image matrimoniale .était le reflet des événements de ton passé qui te rattrapait. Ce que je voulais dire par la , une mauvaise expérience avec un homme. Un jour, il va falloir prendre ce sentiment par les cornes et que tu ouvres ton coeur. Tu ne voulais pas laisser de la place dans ta vie pour l'amour, car aimer serait Folie et tu ne m'en donnait pas le droit. Mais me faire prédire l'enfer au paradis, si je suivais tes pas ne me faisait pas peur. Et tu ne pouvais pas m empêcher de renoncer a ce coup de foudre. Comme tu avais demandé a Ali.. Avec cette promesse en Russie..A partir de ce moment la , il avait du lutter pour t'oublier. Je sais que tu ne m'as jamais promis ton amour. Mais tu me noies sans le vouloir dans ton désespoir , a cause de ton vécu. Mais tu as cette magie en toi qui possèdes mon esprit. C'était comme un charme ésotérique. Une attirance inexplicable, Je ne pourrais pas m’enfuir même si j’essayerais.Parce que j'en ai besoin.J'en ai envie. Je me lasserais pas de cet amour amer. Tu allais sans doute me dire : Regarde-toi, Ne vois-tu pas , Ton cœur sombré dans la folie ? Mais il va falloir que je te dise que j'avais hérité du gêne de la démence de mon ancêtre. Je t'implore , ne m'ignore pas. Accepte-moi .Ne me dis pas .Que t'aimer n'est pas permis. La sincérité de mes sentiments était une motivation. Aussi sincère que ce statut d'âme soeur que je ressentais pour ma jumelle. Pour te prouver que tu étais essentiel a mon bonheur. Mais je ne pouvais pas t'avouer, cette raison.. Enfin pas toute suite ! Trop tôt ...Mais même si tu essayais de me convaincre que ce n'était pas de toi. C'était une partie de ton être qui avait acceptée ma demande..Et qui me désirait d'un sentiment subliminal.La deuxième raison . serait peut-etre un bon argument pour te convaincre d"assumer mon rôle de mari. Tu avais plus de reparti que moi. Sans que je te fasse l'aveu. Même si, a une certaine époque tu aurais pu savoir qui j'étais plus tôt, mais tu faisais la sourde oreille quand Ali voulait te parler de moi, ou tu étais trop préoccupée par les événements, et ses zombies. Tu venais de capter, que j'étais ton mari.. Comment ? Une prémonition du passé ..ou ce désir endormi..pour remontait a la surface de ta mémoire. Tenant Macey de ma main droite. Je levais la main gauche pour te montrer la ficelle a mon annulaire. Ne pouvant pas porter certains métaux a cause de ma condition. Mais, seul ton autre toi pouvait le savoir.. - Oui je suis ton mari et c'est la raison de ma venue. Au faites, pour toi je suis un inconnu mais je m'appel John..en faites non la malédiction voulait que je garde mon vrai prenom tu peux m appeler Kranedur Laverne Thorston..non Thorson parce que ce sort noir n aime pas mon nom de famille. Quelle raciste de noms cette malediction. Espérant qu'elle n'était pas trop décu par le physique et par les facettes de ma personnalité que je le dévoilais petit a petit.Parce que j'avais tendance a faire fuir les filles avec ma personnalité bizarre. Espérant pour toi, que ton autre toi avait fait un bon choix, pour ce mariage improvisé. Puis tu me demandais qui était le chiot..- Elle plutot , Le genre de détail important. je me disais qu'une femelle te plairait, pour la solidarité féminine. Et qu'elle te conviendrait coté caractère, parce que le sexe fait la différence. Je me connaissais en matière animalier. Pas seulement en Dragons. C'est une malamute, chien nordique.Originaire du Grand Nord , elle a été sélectionné par la tribu des Mahlemiut, dont elle a pris le nom. Les Mahlemiut étaient des chasseurs de caribous, des animaux qui quittèrent ce territoire peu de temps avant la ruée vers l’or, laissant les hommes sans ressources. Les premiers Américains qui arrivèrent dans le Grand Nord ne trouvèrent donc que quelques exemplaires de ces chiens. Heureusement, ils les ramenèrent aux États-Unis et reconstruisirent la race. Donc vu que nous sommes aux états unis, j'ai pu t en trouver (comme dans le dessin animé il a cette tendance a tout décrire) Je prenais une pause. Elle n'a pas de prénom, même si celui de Furie (inspirée d'un flood) me plaisait bien, Mais elle peut s appeler Patrick aussi, meme si c est très laid comme prénom , mais elle possédera l'identité que tu voudras lui donner. C'est ton familier..Un cadeau de ma part pour notre mariage, en retard parce que d'habitude on s'offre un présent six mois avant nos fiançailles dans la tradition. Sans le savoir, que j ecoutais durant une conversation avec Kognedur et Varek qui discutait de mariage. Celui ci avait rappeler cette tradition a ma soeur. Quoi ? Elle contentait epouser cet Anglais. Tu vois raison de plus pour etre ton mari. Je devais etre le premier a etre officiellement marier avec le consentement de cette partie de toi. Mais ce n'était pas seulement une tradition mais aussi un conseil, de mes camarades et du seul membre de la Guide pour je supportais et que je connaissais ,car je ne connaissais pas toute cette tribu de mages. Ils sont aussi nombreux de la famille Thorston. Leo, connu pour être un expert en drague. M'avait dit de ne pas aborder une femme sans présent. Et qu'un animal pourrait créer une chimie et rapprochements. Mais tu semblais vouloir plus de rapprochements avec la bête, qu'avec l'homme. Que ta main caressait son pelage. (Tu peux choisir, la couleur de ton chien c est a ta discrétion). Mais sourire aux lèvres, voir cette scène que tu partageais entre le familier et toi, me faisait plaisir a contempler. Parce qu'une part de moi restait constamment avec toi. Que cette créature pourrait veiller sur toi, pour moi. Cet animal pourrait t'offrir ce que je voulais te donner, de l'amour et tous les ressentis que ce sentiment , nous fait ressentir. Mais tu gachais cette pensée avec ton insistante sur le fait que le vouloir de mon départ. Tu m'imposais des choix, mais tu me laissais le dilemme de ma destiné. Ce que j'attendais de toi : Une chance , d'etre ton mari. Mais tu avais tord sur le fait que tu n etais pas celle que j'avais visiblement rencontrée. Physiquement, tu étais celle qui m'avait séduite. Oui le physique ca compte ! Et tu avais le look , le plus cool et stylé du Maine. J'aimais les styles particuliers. Mais psychologiquement, j'avais rencontrée une partie de ton être. Pour citer un exemple, c'était comme si tu avais rencontrée le fauve et non l'homme que j'étais. Donc certes ce que nous avions vécu était un souvenir du passé. Ce moment présent, le deviendra a son tour..Mais ce que j'attendais de toi, découvrir chaque fragment de ton être, peu importe leur personnalité , leur vecu et leur nom.. Donc pour répondre a ta question...Je préfére prendre le risque de rester, a mes risques et périls. Parce que peu importe votre personnalité, vos vécus , vos noms. Je veux épouser et découvrir chaque fragment de votre être. Et être le mari de chacun de vos compagnons.Etre pluriamour pourrait devenir mon orientation et mon éthique. Je sais que tu n'es pas comme les autres filles. Que tu gardes un peu de toi, qu'on ne te li pas comme un livre. Tu n es pas tout ce que l'on voit mais je veux lire sous ta peau..Oui j'avais cette tendance de parler a l’occasion de manière Shakespeare. Mais ce que j'attendais de toi était que je n'avais pas envie d' inventer les nuits, loin de toi. Caresser l'ennui. Et faire comme si, Pour tout le temps qui me restera. Oublier l'envie. Et vivre ainsi, Survivre ainsi,Condamner mon âme au silence. Sans consumer la flamme , faire semblant d'être heureux dans d'autres bras .Vivre ainsi, Et dire aussi tout va, pour le mieux pour espérer la voie du répit et fuir dans d'autres draps ...Et faire comme siEt sache que ta description, pourrait me coller, aussi parce que je suis dangereux, instable, bizarre et moi aussi je ne suis pas seul dans mon corps. Donc on est semblable et je pourrais te comprendre. Mais aussi je désirais te proposer une requête sur notre devoir conjugal. Je soufflais un soupir pour me donner du courage et de l'espoir sur ta future réponse. - Je sais, tu n'as pas de sentiments a mon égard,sauf peut-etre cette partie de toi que j'ai rencontrée, et je ne te demande pas d'en avoir, mais au moins me donner une chance qu'on apprenne a se connaître . Je prenais une pause..Voudrais tu faire comme si..faire semblant ? Ensemble, on pourrait faire une pièce de théatre. Tu pourrais Jouer le rôle de ma femme auprès de mes camarades, ma tribu Vikings et ma famille , surtout pour convaincre mon père que je puisse mener ma vie , sans me dire dicter ma destinée. Mon père veut que j'épouse une femme de son choix. Mais je veux partager ma vie avec une personne de mon choix. Parce que les relations c est deja assez compliqué comme ca. Je jetais un coup d oeil sur le chien. Craignant la réponse. Mais si tu acceptes, tu pourras choisir, de la manière de monter la mise en scène en plus ca peut etre amusant, même si je crois que cohabiter pourrait etre un bon moyen d'apprendre a nous connaître tout entier.. Et si tu refuses.. je deviendrais qu'un souvenir,comme tu le désires mais on sera toujours marier Mais tu pouvais me tendre la main, comme tu l'avais fait pour Ali a l'époque ou il voulait prendre sa vie en main ? Mais je veux rester, parce que tu vas me faire très mal avec le poignard . Masochiste Est-ce que tu as prévu comment tu allais te débarrasser de mon corps ? Si tu n'as pas d'idée google home t'offre la solution parfaite de comment faire disparaître un cadavre .. Il fallait faire preuve de modernité un peu. En plus tu possèdes l'arme de crime parfaite, parce que tu dois découper le corps en petit morceaux, les emballer dans des cadeaux pour le transport et ensuite offrir mes restes a des animaux de fermes. Ca tombe bien, je vis dans une ferme..A moins que vous préferé faire de moi un ragout sacré. C etait une tradition pour les femmes ailés n appréciant pas les hommes. Le ragout était une meilleure idée,parce que j'étais invulnérable aux lames. Un sourire sadique s'imprimait sur mes lèvres a cause de ce plan sadique, mais aussi a cette pensée pour ses demoiselles . Peu importe les deux options, les deux me feraient plaisir... Suicidaire ? Peut-etre, mais je préférais mourir, que d'assassiner mon rêve d etre ton mari. Est-ce que la bête allait te convaincre de me donner ma chance.. (Mais non elle n'est pas si horrible, elle a été plus dure avec Ali je trouve Il va lui en falloir plus pour le faire dégager Moi aussi je l'aime Krane, et j'aime aussi Mina avec ce que tu me fais découvrir sur elle, même si il faudrait que tu écrives un livre pour qu'on est un bon guide. Donc un jour si ta envie de devenir écrivaine de roman, Mina serait un excellent personnage de livre) DESIGN ϟ VOCIVUS |
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Eternalys N. Dystopia « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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I'VE TASTED BLOOD AND IT IS SWEET
I'VE HAD THE RUG PULLED BENEATH MY FEET
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BROKE DOWN AND PUT MYSELF BACK TOGETHER AGAIN
STARED IN THE MIRROR AND PUNCHED IT TO SHATTERS
COLLECTED THE PIECES AND PICKED OUT A DAGGER
I'VE PINCHED MY SKIN IN BETWEEN MY TO FINGERS
AND WISHED I COULD CUT SOME PARTS OFF WITH SOME SCISSORS
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________________________________________ 2019-06-05, 14:00 |
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Et c’est reparti pour un tour…
Visiblement, l’inconnu ne savait pas parler aux femmes. Si bien que j’en étais venue pendant l’espace de quelques secondes à me poser des questions. Est-ce qu’il était normal dans son monde de traiter une femme de folle ? Où n’avait-il juste pas la moindre expérience avec elles ? Et si une énième fois (que l’on ne me dise pas que je ne faisais aucun d’effort, il était toujours en un seul morceau) j’étais capable – on ne sais comment – de réfréner mes envies de meurtre, il y avait tout de même quelque chose qui me dérangeait. Pourquoi est-ce que je ressentais un certain amusement face à cette situation ? Aucun doute, ça ne venait pas de moi.
« Tu penses sincèrement qu'une dague, au faites, ton jouet à un nom ? »
Et après, c’est moi qu’il traitait de folle ? Je venais de lui dire qu’il ne devait pas me sous-estimer, que je pouvais le tuer facilement, j’avais même montré le poignard encore dans ma main pour appuyer mes dires et lui, qu’est-ce qu’il voulait savoir ? Si ma lame avait un nom ? Aucun doute, il lui manquait des cases. A ce stade j’en étais même venue à me dire, que lui annoncer qu’une simple entaille provoquée par cette lame aurait pour conséquence d’augmenter la douleur à son paroxysme, lui donnerait envie d’essayer. Et ces paroles suite à cette demande, m’on bien fait comprendre que mes techniques habituelles dite « douce » n’allait pas fonctionner avec lui. Visiblement, il était bien accroché. J’allais donc devoir me montrer plus convaincante pour obtenir ce que je voulais. A savoir, qu’il me foute la paix.
Cependant, je n’avais pas prévu qu’a la suite de ça, il commencerait à retirer ses affaires. Déjà qu’il avait l’allure d’un sauvage – pardon d’un guerrier barbare -, j’avais en plus dû me taper le désarmement le plus long de l’histoire. Non franchement j’étais chanceuse. Il n’était pas du tout louche, vraiment. Il avait juste un lance flamme dans son pantalon mais ça, c’était tout à fait normal de nos jours. Finalement, je crois que je préférais l’autre type, Michel-Ange. Ou Charlie. Parce que lui au moins, il n’avait rien d’une armurerie ambulante près à faire la guerre à tout moment.
« Voila, maintenant que je suis désarmé, enfin presque, je te présente Macey. Tu peux remplir ta tache, si tu en as envie maintenant. »
Aucun doute, il n’avait pas l’intention de partir. Mais c’était quoi son problème à la fin ? Il était fou en plus d’être suicidaire ? Je ne comprenais pas comment une personne pouvait être aussi accrochée à une autre. Alors qu’en réalité, je ne le connaissais même pas ! Quoi, est-ce que nous avions passés de longs mois ensemble à filer le parfait amour (enfin ensemble… vous m’avez comprise…) pour qu’il ne veuille plus se passer de moi ? J’avais loupé combien d’épisode exactement ?
« Vous avez passés – ou plutôt il a passé avec ton corps – 2 jours exactement. Et c’était… »
- Je m’en fou. Je lui rétorque intérieurement alors qu’elle est sur le point d’en rajouter une couche, ce qui ne lui plait pas. Si je voulais des détails, j’aurais écrit un journal intime. Où plutôt, elle l’aurait fait. T’en as vu un dans le coin toi ?
Oh non, elle n’allait pas laisser passer ça. D’ailleurs, j’aurais pu être surprise qu’elle ne se manifeste pas sur le champ, si je n’avais pas conscience du fait, qu’elle préférait de loin profiter du spectacle qui se déroulait sous nos yeux. D’ailleurs en parlant de spectacle, l’inconnu avec qui j’étais eng… (Attendez quoi ?!) avait continué de parler pendant notre petite joute mentale à toutes les deux. Parlant de sa jumelle dont le nom serait Cogne.. dur ? Et traitant le petit ami de cette dernière d’idiot. Non vraiment, il ne savait pas parler aux femmes. Ni des femmes d’ailleurs. J’en étais même arrivée à la conclusion, qu’il aimait tellement avoir mal qu’il faisait tout pour qu’on le frappe. A ce stade, je ne voyais pas d’autre solution. Parce que j’étais à peu près sur, qu’elle lui en avait déjà collé quelque unes et qu’il avait adoré ça.
Donc si je comprend bien.. J’ai fréquenté un sado-masochiste. Super.
Et ça, c’était juste pour éviter de mettre le doigt sur l’évidence. J’en avais traversé des choses depuis mon réveille il y a quelques mois hein ? J’avais fait des rencontres étranges, éreintants, irritants aussi. Sans oublier que j’avais la nette tendance à perdre ma capacité à ressentir, à perdre l’esprit et visiblement, en plus des balades nocturnes, il m’arrivait aussi de devenir incontrôlable et de vouloir tuer les autres. Mais là… Je devais bien admettre qu’on avait atteint un tout autre niveau.
L’inconnu à ensuite enchaîner en parlant d’un certain Ali. Et même si la partie de son monologue qui parlait d’adopter un animal avant d’avoir un bébé m’avait fait froncé les sourcils (et puis quoi encore ?), j’étais occupée par tout autre chose. A savoir, qui était le fameux Ali ? Son nom me disait vaguement quelque chose… Je le connaissais. Ou en tout cas, je l’avais rencontré dernièrement. A ce propos, ce n’était pas ce type à Gravity Falls qui… Ah si. C’était lui.
C’était quoi l’histoire ? Pourquoi tout le monde en savait plus sur mon propre compte que moi-même ? On ne pouvait pas me faire un résumé non ? Histoire que je sois pas la dernière au courant des dernières nouveauté de mon existence.
Oui bon, j’avais empêché l’autre d’entrer dans les détails et alors ? C’était pas pareil, j’avais pas forcément envie d’entre dire que mon corps avait… Non, je ne pouvais juste pas, désolé.
Dans tous les cas, John ou... Crâne dur ? Mais d’où ils sortaient leurs prénoms bordel ? Avait finalement confirmé ce que j’avais compris. A savoir, que nous étions mariés. Ou en tout cas, qu’il était marié à mon enveloppe charnelle. Et si l’idée en elle-même ne m’enchantait pas plus que ça, l’évocation du petit animal qu’il avait emmené avec lui m’avait rendu légèrement plus réceptive. Même si on aurait quand même pu se passer de l’historique qui allait avec la présentation de l’animal.
- On n’est pas mariés. Pour la première fois depuis que la conversation a débuté, je prends la peine de reprendre après qu’il ait répondu à l'une de mes questions. C’était bien mon corps, mais ce n’était pas moi. Ni une autre part de moi. C’était… autre chose.
Je prends un petit temps de pause avant de placer.
-Donc techniquement, vous êtes mariés à quelqu’un d’autre. Quelqu’un qui n’a strictement rien à voir avec moi. A l’exception que ce quelqu'un m’avait piqué mon enveloppe charnelle.
Ce qui visiblement n’avait pas l’air de le déranger plus que ça. Puisqu’il m’avait répondu qu’il préférait rester quand même quitte à mourir. Non mais il était dingue ? Son discours aurait pu être touchant, si j’avais été quelqu’un d’autre. Ou éventuellement, si j’avais des sentiments à son égard. Mais là ? Je me sentais juste coincée. Il avait l’air d’être prêt à tout pour moi, ce que je ne comprenais absolument pas. Et que je ne pouvais pas non plus accepter, même s’il avait rajouté après une courte pause ce que j’avais plus au moins compris. En l’occurrence qu’il était instable, bizarre… et dangereux. Je devais bien admettre que je n’avais pas vu venir la partie concernant sa cohabitation avec quelqu’un d’… quelque chose d’autre ? Mais ça ne rendait pas la situation plus acceptable. Je ne cherchais rien. Et encore moins quelqu’un d’aussi instable et dangereux que moi. Qui plus est, la sensation de n’avoir aucun contrôle sur la situation ne me plaisait pas. Je n’aimais pas être coincée. Surtout lorsque je faisais face à une situation comme celle-la. Toutefois, l’inconnu semblait avoir compris – en parti tout du moins – le message que j’avais tenté de lui faire passer un peu plus tôt. Puisqu’il avait quand même intégré l’idée que je n’étais pas celle avec qui il s’était marié. Et donc, que je n’avais aucun sentiment pour lui. Toutefois, il n’avait visiblement pas l’intention d’en démordre quand même puisqu’il m’avait proposé peu après de jouer le rôle de son épouse. Et puis quoi encore ? Je pouvais encore accepter – à la limite – d’apprendre à le connaître si cela pouvait lui faire plaisir. Et encore, je n’aimais pas non plus l’idée qu’il s’imagine des choses alors que je n’avais pas l’intention de me lancer dans une quelconque relation. Mais ça… Un part de moi comprenait. Et aurait pu être désolée pour sa situation. Seulement, je n’avais pas l’intention de lui donner de faux espoir, je n’en voyais pas l’intérêt. Surtout pas après qu’il se soit mis à délirer en me parlant de meurtre et de donner son cadavre - ou plutôt les morceaux de celui-ci - à ses cochons. C’est ce que j’avais cru comprendre en tout cas.
- Haha. Je commence intérieurement à l’attention de l’autre qui semble prendre un malin plaisir à me voir subir la situation. Tu trouves ça drôle hein ? Et qu’est-ce que tu penses de ça : Si je suis sa femme, tu l’es aussi. Alors, la situation est toujours aussi hilarante dit-moi ?
Visiblement, présentée comme ça, les choses paraissaient beaucoup moins amusantes à ses yeux. Néanmoins, l’autre (qui savait choisir ses moments) semblait être capable de passer outre ce fâcheux détail tant que la victime principale de cette hilarante blague était moi. Qui plus est, j’étais à peu près certaine que s’il devenait un peu trop gênant à son goût, elle n’aurait aucun problème à se débarrasser de lui définitivement. Ce que je devais aussi éviter. Alors qu’au final, ce n’était même pas mon problème.
- Oh pitié… Après avoir levé furtivement les yeux au ciel, je me lève et prononce une incantation pour être certaine de le faire dégager de mon chemin – au cas ou l’envie de me retenir lui traverse l'esprit -. Puis, après avoir essuyé une énième fois la larme de sang qui coule de mon œil gauche (on va dire que ça à duré tout le rp, j'ai pas pensé à le remettre), j’ouvre la porte d’entrée et regarde la voiture garée à l’extérieur. Le fameux Ali était toujours là. Sans doute attendait-il son pote à l’intérieur. Qu’importe, lui et moi nous avions besoin de discuter. J’avais des questions et il avait l'air d'avoir les réponses. Ou en tout cas, il y avait de forte chance qu'il en ait plus que moi.
- IL FAUT QU’ON PARLE. Je lance à haute voix pour être sur que le fameux Ali m’entende. Suite à quoi, je m’avance vers la voiture et profite du court laps de temps qui m’est donné pour la bloquer ( au cas ou il ait la bonne idée de fuir), avant de me mettre juste devant pour l'empêcher de partir. Maintenant.
Sérieuse, je croise mes bras contre ma poitrine avant de reprendre.
- C’est soit ça, soit il va falloir me rouler dessus pour partir. Et vu les propos de votre pote balèze, ça m’étonnerait que cette solution soit une option pour l'un comme pour l'autre. Alors, qu'est-ce qu'on dit ?
Hj : Je relirais plus tard. J'espère que ça va, je dois admettre que je suis un peu morte là.
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