« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
| | | it looks like it's been a thousand years | Elena | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
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________________________________________ 2018-12-24, 11:34 |
| it looks like it's been a thousand years+ Ce n’était sûrement pas ta journée. En quelques heures de travail, tu avais réussi à renverser deux plateaux, et à te tromper un nombre incalculable de fois de commandes. Alors que tu levais les yeux vers l’horloge accrochée au mur vers l’entrée de la cuisine, tu poussas un soupire de soulagement. Plus que quelques minutes, et tu aurais enfin fini. Tu attrapas quelques verres laissés sur le comptoir et t’évertuas à les essuyer, avant que la voix de ton collègue ne te face sursauter et manquer de faire tomber l’objet. « Margot, on a encore besoin de toi à la table dans l’angle ! » Réprimant un grognement, tu attrapas ton plateau et ton calepin, et dirigeas d’un pas décidé vers la table que l’on t’avait indiqué. Tu n’appréciais pas particulièrement ce job, mais tu n’avais définitivement pas les moyens de te payer le luxe de le quitter. C’était déjà un exploit que tu ai réussi à l’avoir avec ton passé de kleptomane, et tu préférais faire profil bas pour le moment, même s’il ne manquait pas de jours où tu souhaitas écraser ton plateau contre le visage d’un client un peu trop exaspérant. Une fois arrivée à la table désignée, tu offris un bref sourire crispé au couple, et pris leur commande, avant de t’éclipser rapidement en direction du bar pour leur préparer leurs boissons. Le déjeuner avait-été calme, et les gens commençaient à partir, heureusement pour toi. Alors que tu te saisissais des boissons, et commençais à avancer entre les tables le plateau à la main, tu vis du coin de l’œil la porte d’entrée s’ouvrir, et jetas un rapide regard curieux. C’était un simple réflexe, et tu allais détourner aussi tôt le regard, mais ton visage resta bloqué dans cette direction, et tu eu un mouvement d’arrêt. Avant que tu n’ai pu réagir, tu sentis le plateau te glisser des mains, une nouvelle fois, et entendis les verres se fracasser sur le sol, accompagnés de quelques hoquets de surprise des clients. Ramenée à al réalité par le bruit fracassant, tu te jetas au sol et commença à ramasser des bêtises, avant de sentir une main glisser sur ton épaule. « Laisse, je vais m’en occuper, tu ferais mieux de rentrer, c’est définitivement pas ton jour. » Tu remercias rapidement ton collègue, et partis chercher tes affaires. Tu hésitas quelques instants avant de regagner la salle principale, coincé derrière le comptoir du bar. Tu n’étais pas certaine de ce que tu avais vu, mais l’idée suffisait à te clouer sur place. Se pouvait-il qu’après autant de temps tu tombes sur elle d’une manière aussi hasardeuse ? Avançant maladroitement vers la porte de sortie, tu coulas un nouveau coup d’œil dans sa direction, et découvris le visage de la jeune femme de profil. Il n’y avait aucun doute, c’était bien elle. Mais fallait-il aller la trouver ? Les choses n’étaient en rien comme avant, et tu avais peur qu’elle vienne à te rejeter. Personne n’était plus ce qu’il avait été, et tu avais peur de découvrir qui elle était dans ce nouveau monde. Prenant une inspiration, tu fis finalement demi-tour, et t’approchas timidement de la table à laquelle elle c’était assise. Bien entendu, elle t’avait déjà remarqué depuis longtemps. « Salut ... » Silence. Tu pouvais certainement faire mieux, mais la situation était trop étrange, et tu ne trouvais jamais rien à dire dans ces moments là. Tu te mis à jouer nerveusement avec le coin de ton sac, fuyant son regard et cherchant quelque chose de plus spiritueux à dire. Tu relevas le regard, et croisas celui interloqué de la jeune femme. Tu fus frappée par ta stupidité tout à coup, bien entendu qu'elle ne te reconnaissait pas, la dernière fois que vous vous étiez vu, tu marchais à quatre pattes et tu étais incapable d'articuler un mot. « Désolée d'arriver comme ça, eumh, tu ne dois sûrement pas me reconnaître c'est débile. Je suis ... enfin j'étais Djali. » Ouais, c’était définitivement pas ta journée. |
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Elena Atkins « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Emeraude Toubia
| Conte : Le Bossu de Notre Dame | Dans le monde des contes, je suis : : La gitane qui embrase Paris
| Cadavres : 91
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________________________________________ 2019-01-20, 18:41 |
| it looks like it's been a thousand years+ Une fois par mois, Elena avait installé dans son cabinet une journée où les habitants de Storybrooke pouvait venir la consulter gratuitement. Elle trouvait le principe de rendre la justice accessible pour tous intéressant. Cette démarche était malheureusement très compliqué aux Etats-Unis où la justice était elle même devenu un business mais la gitane trouvait ça important que chacun puisse se défendre et être reconnu victime en cas de besoin. L’ignorance face à la loi était aussi sidérant, les gens ne s’intéressaient à des choses comme le pénal seulement lorsqu’ils avaient un problème avec. Ce qui se révélait dans la plupart des cas dangereux pour ces mêmes clients. Evidemment, la bohémienne ne défendait pas seulement les présupposés victimes, c’était un peu le revers de la médaille de ce métier, elle avait déjà dû à plusieurs reprises tenter de défendre le mieux que possible des agresseurs… En fonction de votre position, ce type de démarche pouvait être louable, mais il prenait un temps considérable pour la jeune femme. Une journée était certes trop peu pour considérer tout les cas dans le besoin mais elle ne pouvait se permettre des faire uniquement des journées aussi dense et non payé. S’il n’y avait qu’elle, elle le ferait évidemment, mais elle avait une famille à tenir derrière. Et elle ne voulait déprendre de personnes d’autres qu’elle même pour ce genre de chose. Bon cela ne l’empêchait pas d’arranger les tarifs en fonction de la situation financière du dite client… En tout cas, comme nous le disions précédemment, ces journées étaient généralement très remplis. Entre les gens qui venaient sans rendez-vous et se battaient pour celui qui arrivera en premier afin d’être pris le plus tôt possible, ou encore celui qui a pris rendez-vous mais qui pose un énième de question sur différents cas, il était sûr qu’elle ne respecterait pas du tout ses horaires d’ouvertures. D’ailleurs, ces jours-ci elle ne dansait pas le soir et rentrait directement chez elle pour se reposer. Comme prévu, au fur et à mesure que la matinée passait, Elena se voyait prendre du retard à chaque heure passée. Lorsque celle du midi – c’est à dire sa coupure – arriva, elle n’avait toujours pas fini son entretien et il lui en restait encore une personne dans la salle d’attente. La gitane avait demandé à sa secrétaire de ne plus accepter personne et qu’elle fasse elle-même sa coupure. Lorsque le dernier entretien se termina, elle verrouilla son cabinet et partit aussitôt en direction d’une brasserie qui se trouvait non loin de là afin de pouvoir avoir un minimum de temps pour manger et souffler un peu. La première chose qu’elle remarqua en entrant fut la serveuse qui lâcha littéralement son plateau en la voyant. La bohémienne ne savait pas vraiment comment le prendre, elle ne se souvenait en aucun cas de cette personne mais cette dernière semblait la connaître. Et au vu de sa réaction elle avait été choqué par sa présence ici. Le problème avec la malédiction de Storybrooke c’est qu’il pouvait s’agir de n’importe qui, autant dans le monde des contes que dans ce monde ci. Sur le moment, la jeune femme en resta de là, voyant la serveuse partir nerveusement en direction de ce qui devait s’agir du vestiaire des employés. Elena s’installa à l’une des tables pour deux personnes à côté des grandes fenêtres. Un serveur lui amena le menu avec un sourire d’excuse et retourna à ses occupations après lui avoir expliqué le plat du jour. La brune se concentra sur la carte pendant quelques minutes, avant de sentir de nouveau un regard se poser sur elle. Elle releva les yeux et constata que la serveuse venait désormais dans sa direction. Elena ne voyait pas du tout qui elle pouvait être et pourtant, l’autre femme semblait savoir qui elle était. Peut être se trompait-elle de personne ? Elle avait en temps normal une bonne mémoire des visages cela lui semblait bizarre d’avoir à ce point oublié quelqu’un. Voyant son visage peint par l’incompréhension, la serveuse se présenta. Cette fois-ci Elena la reconnaissait. Enfin, la Esmeralda en elle la reconnaissait. Elle écarquilla les yeux sur le moment, enchaînant avec un immense sourire. - Djali ? C’est vraiment toi ?! Oh mon dieu tu es devenu humaine ! Je n’aurais jamais cru te retrouver ainsi. Tu ne peux pas savoir à quel point tu m’as manqué. Je t’en pris installe toi. Indiqua-t-elle en lui désignant la chaise se trouvant juste en face. |
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