« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Elle respirait difficilement. Regardant l’homme, ou la chose, qui se tenait à ses côtés. Incapable de bouger. La respiration rythmait par les tics et les tacs d’une horloge qu’elle ne pouvait voir. L’homme lui avait sembler tellement gentil au départ. Elle avait laissé toutes ses défenses tombés… Mais maintenant, ce n’était plus le cas. Maintenant qu’elle avait eu du temps avec lui, elle le voyait comme il était vraiment. Un monstre. L’homme la regardait de ses yeux globuleux. Il n’avait rien d’un homme. C’était sa pensée. Mais elle ne pouvait pas le dire. Quelque chose l’en empêcher. Immobile alors que l’homme continuer à lui brosser les cheveux. Pourquoi faisait il cela ? Elle voudrait essayer de parler… lui dire de ne pas faire ça … Lui dire de ne plus le faire. Lui dire qu’elle ne le dénoncerait pas à la police s’il la laissait partir… ce qui était tout à fait faux, elle le savait. Mais elle était prête à toutes les bassesses pour sortir de ce cauchemar. Puis elle sentit quelque chose de nouveau. Comme du feu qui rentrait dans ses veines… et ce fut le moment pour que ses cordes vocales fonctionnent à nouveau. Criant de douleur comme elle n’avait jamais crier. Et puis plus rien.
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Axel Oswald
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Leo regarda le corps de la femme. Jeter dans les poubelles comme un détritus. Il tapotait ses semelles immaculés contre le sol. Ce n’était pourtant pas compliquer d’être à l’heure sur une scène de crime, si ? Tapotant du pied encore plus fort. Observant ce corps. C’était la troisième femme qu’ils retrouvaient ainsi. Habillé, sans trace de coups ou de blessures. Juste une femme, couché dans les poubelles. Mais morte. Au moins ils avaient de la chance, celle là n’avait pas passé plusieurs jours dans la décharge, ou pire, fini compresser dans la benne à ordure … Léo essayait de définir de nouveaux éléments … mais tout concorder avec les autres meurtres. Et ça, ça le faisait chier. Depuis le début de l’enquête, Léo espérait qu’un jour le meurtrier se fasse écraser par une voiture et qu’il n’ait plus à retrouver des corps de femmes ainsi.
Il avait toujours son visage impassible. Son visage de celui qui ne voulait pas montrer que les morts l’affecter … mais après tout, après autant d’année à faire ce métier il devrait être rôder. Sauf que non. Ce serial killer n’était pas comme les autres. Les femmes disparaissaient, personne ne déclarer leur disparition au début, parce que c’étaient des femmes qui disparaissait souvent ainsi. Pour le travail, parce qu’elles sont volages, ou autres. Selon les analyses, le meurtrier serait un homme entre 30 et 45 ans …. Mais sinon RIEN. L’homme gardait les femmes pendant une semaine, il ne les violait pas, il ne les torturait pas, il ne leur faisait aucun mal… Jusqu’à deux jours avant leur mort… où ce connard envoyé dans leurs veines d’abord un produit paralysant … pourquoi faire ? Mystère. Puis commencer à retirer le sang des femmes, le remplaçant par un produit qui était utilisé en taxidermie … Pour les empaillées …
Le légiste avait dire qu’il s’améliorait au fur et à mesure. Que c’était un art qu’il apprenait doucement… L’homme gardait alors les femmes de plus en plus longtemps après leur … « empaillage » mais pourquoi faire ?
- Putain !
Léo jura en voyant les détritus sur la jeune femme morte. L’homme les gardait une semaine, puis les tuer et les garder encore quelques jours. Mais pourquoi faire ? Qu’est ce que cela lui apportait de faire cela ? Les profilers lui débitaient des conneries comme quoi c’était un homme pour sa manière d’empailler et qu’une femme avait du le faire souffrir dans sa jeunesse. Comme si cela allait l’aider de le comprendre. Léo n’avait pas envie de rentrer dans la tête d’un meurtrier aussi méticuleux et sérieux dans ce qu’il faisait.
- Sir Léo, je vous apporte votre café.
Axel arriva à ce moment là. Axel était un petit bleu venant d’arriver tout juste à la brigade… et c’était sa première enquête … Léo était un peu triste que sa première enquête soit sur un serial killer, les heures supplémentaires et les cauchemars allaient vite arriver … Axel lui souriait à son supérieur avec son regard gentil. Il posa le regard sur le corps … et son regard changea de tout au tout. Il détourna le regard rapidement, ayant une envie de vomir dans la bouche … et d’autres sensations qui n’étaient pas plus agréables que la première. Léo se mit à hurler.
- Appelez moi la légiste TOUT DE SUITE.
Il n’avait pas souvent d’instinct paternel… mais il avait vraiment envie de tout faire pour qu’Axel change de voie… qu’il trouve un métier comme … vendeur de glace tiens. Il était sur que cela lui irait mieux que de voir des bouts de corps pourrissants dans les poubelles. Samhainn apparu alors derrière lui.
- Pas la peine d’hurler je suis là.
Elle leva les yeux au ciel. Léo et elle avaient eu une aventure … Et après avoir connu un peu plus de son caractère de lover dirigeant, elle n’était pas mécontente d’avoir mit fin à cela. Elle posa une regard sur Axel et fit un franc sourire.
- Agent Oswald, je suis ravi de vous revoir. - Moi aussi Mademoiselle MacKenzie, vous voulez un café.
Et il lui offrit un café. Il en restait plus que deux sur le carton qu’il avait du Starsbuck. Léo tourna la tête pour regarder l’équipe du FBI qui était là. C’était sa ville et il devait se taper la compagnie de ces deux hommes … Heureusement pour lui, il avait tout de suite vue que les deux hommes sortaient ensemble, laissant à loisirs Léo de cacher des informations quand les deux se disputer pour une histoire ou une autre… Léo était un bon agent, et que son patron lui avait demandé de collaborer avec le FBI l’avait grandement emmerder.
- Agents spéciaux Sparkles et Frost, qu’est qu’on a ?
Léo soupira. Axel prit alors la parole, proposa les deux derniers cafés aux hommes. Lui n’en buvait pas, déjà qu’il dormait mal … si en plus il se nourrissait de café … Bref.
- On a une femme, selon le registre des disparitions, il devrait s’agir d’Alice Denvers. Disapru la semaine dernière dans la nuit de samedi à dimanche alors qu’elle avait décidé de passer un week end dans le chalet de ses parents. Ses parents n’ont remarqués sa disparition que Lundi quand la jeune femme n’est pas revenu. Il semblerait que comme les autres victimes, elle est resté une semaine en vie, puis qu’elle soit morte il y a …
- Trois jours, entre trois et quatre heures du matin.
Coupa Samhainn qui n’avait pas entendu l’autorisation pour planter un thermomètre dans le foie, ou autres organes, de la victime…. Axel ne pu réprimer un grimace quand la jeune femme le retira. C’était la raison pour laquelle il n’avait pas fait d’étude de médecin… Ce qui était à l’intérieur des gens devraient le rester à jamais. L’agent Frost reprit la parole pendant que l’agent Sparkles buvait son café.
- Et vous n’avez rien de plus ? Cela fait la quatrième victimes en cinq semaines, il serait peut être tant de vous bouger le cul non ?
Léo le regarda de ses yeux pleins d’éclair.
- et tu crois quoi, que je me touche la nouille ? Que fait le FBI pour aider la police à trouver ce taré ? Rien, alors arrête de me prendre de haut.
Et c’était reparti. Axel regarda l’agent Sparkles et sourit.
- Sachant que vous vous disputez tout le temps aussi, tu crois que j’ai bien fait de lui offrir un café.
L’agent Sparkles ruminait mais ne disait rien de plus. Puis, il réalisa qu’il avait oublié de dire quelque chose. Il donna son café à tenir à Axel, mit des gants et s’approcha du corps de la jeune femme. Il lâcha un juron qui fut censurer à l’écriture. Il se releva du corps et montra une toute petite flûte faite en bois.
- Dernièrement, les médias ont donnés un nom à ce psychopathe… Lullaby. Parce que les victimes semblaient s’être endormir dans les détritus. C’est un nouveau indice … mais ça veut dire aussi… - Que l’homme suit les ragots sur lui des médias.
Léo eut la même tête de dépité que les deux agents du FBI…. Axel ne pouvant plus tenir décida de demander simplement :
- Et alors ? - Et alors, ça veut dire qu’il fait attention à l’opinion public. Avant, il n’était qu’un petit meurtrier connu par nos services, puis il a eu l’attention du FBI, ce qui lui donnait déjà beaucoup trop d’importance… si les médias commencent à s’en mêler… Merde. Edan, appelle Meredith ! Dit lui qu’elle doit faire une conférence de presse de tout urgence pour essayer de calmer les médias sur « Lullaby ».
L’agent Sparkles reprit son café et partit avec son téléphone sur son oreille. Axel pouvait l’entendre déjà parler à une interlocutrice au bout du fils. Léo reprit la parole.
- Sam, tu m’enverrai les résultats de l’autopsie. On retourne au bureau, on doit coincer ce connard.
L’agent Frost, non loin d’avoir dépenser toute son énergie, resta cependant silencieux jusqu’à l’arrivée dans les locaux de la police de Los Angeles. Rentrant à l’intérieur en sachant déjà les couloirs à prendre… Il n’aimait pas rester aussi longtemps sur une affaire … Il n’aimait vraiment pas ça. Ils arrivèrent tous dans la salle. Là, un énorme tableau, jadis blanc, avait été mis. Dessus, des corps de femmes en parfaite état. Axel se demandait des fois si elles étaient véritables. Préférant croire qu’elles s’étaient levés après la photo pour se démaquiller … Il savait que ce n’était pas le cas.
Les quatre agents prirent la nuit pour décortiquer la vie de la nouvelle victime… cherchant à nouveau un point commun entres elles. Quelque chose qui les relie entre elles, ou même au meurtrier. Elles étaient d’origine, de religion, de milieu différent … mais les enquêteurs ne pouvaient pas croire à des meurtres d’opportunité. Non. Pour avoir un tel niveau de compétence, il fallait être organisé. Faire disparaître des femmes, sans éveillé les soupçons … acheter des tonnes de produits paralysants et de taxidermie sans JAMAIS que cela ne se retrouve. Lullaby était bien plus puissante que ce qu’elle ne laissait paraître aux premiers abords.
Meredith Newton arriva dans les bureaux plusieurs heures plus tard. La tension entre les agents avaient diminués, à la place la pièce puait l’envie d’abandonner et ce courage de ne pas le faire tout compte fait … Meredith sourit à ses deux amis, alors que derrière elle, arriva le chef de Léo et Axel. Il jeta un lourd carton sur la table, qui claqua tellement fort qu’Axel en fit un sursaut.
Ebenezer McDuck mesdames et messieurs. L’homme qui faisait même peur au président des états-unis… mais si mais si … Axel en était persuader … Dès que l’homme était là, il évitait les vagues … et il savait EXACTEMENT le café qui lui fallait … Axel resta droit alors que l’homme parla.
- J’ai décortiqué les dossiers de plus d’une centaine de cas, sous une intuition. Vous êtes tous aussi inutile que l’agent Oswald pour ne pas y avoir penser sans moi. Même vous, le FBI était censé nous aider pas nous prouver qu’ils étaient aussi perdu que nous.
Meredith se décala d’un grand pour laisser le vieil homme rentrer dans la pièce. Elle n’était pas vraiment profiler, mais après des années à être devant les caméras pour créer une réaction à des psychopathe, elle savait qu’elle ne devait pas parler. Ebenezer McDuck s’arrêta tout particulièrement sur Léo. Sortant le dossier préliminaire de son carton et le jetant sur la table. Axel le prit et commença à le lire à voix haute.
- Meurtre dans une industrie de déchet toxique. Le père a été retrouvé mort avec 12 coups de couteaux. Plusieurs postmortum. La femme de l’homme a été accusé du meurtre. Son fils de 13 ans est porté disparu depuis le temps.
Axel fit passé le dossier au main des autres. Léo reprit la parole en regardant les autres informations;
- La femme a toujours plaider non-coupable, et avait accusé son mari de l’avoir battu. En l’absence du fils, son avocat n’a pu avoir qu’une condition à vie dans la prison pour femme de la conté.
Axel regarda alors Ebenezer … personne ne voulait poser la question qui tue … alors il allait devoir le faire…
- Monsieur McDuck … je ne comprends pas le rapport avec notre enquête ? - le fils. - Le … fils … …. … Ok. Le fils de 13 ans… porter disparu… présumé mort ?
Ebenezer se mit à souffler… le genre de soupire qui avait certainement causer une tornade quelque part sur terre… Axel ne préférait rien dire de plus.
- Après l’enquête, on a vu que l’homme était un fournisseur de produit chimique, comme celui qu’utilise notre serial Killer. Il n’a pas besoin d’en acheter, parce qu’il en a déjà. Ce qui signifie que le gamin disparu il y a 20 ans … et encore en vie. Je vous pari ma carrière que ce gamin …
Il sortit la photo d’un gamin, blond, les yeux bleus claires et un sourire tranquille… avec aussi un gros bleu sur le coin de la joue.
- Ce gamin est notre tueur. Il a la tranche d’âge des profilers, il a les produits. Trouver le. - Et si on allait voir sa mère ?
Ebenezer remarqua alors, enfin, la jeune femme dans la pièce. Pas misogyne du tout, il était juste trop focaliser sur les autres pour remarquer une personne en plus.
- Sa mère pense son fils disparu.
Meredith secoua la tête tranquillement.
- Vous venez de dire que son fils n’était pas mort. La femme a toujours dit qu’elle n’était pas la meurtrière, mais peut être savait elle la vérité ?
Ebenezer fronça ses sourcils en pagaille.
- Et qu’est ce dont cette vérité ?
Meredith sourit doucement et prit une autre photo, montrant le corps de l’homme au milieu de l’entrepot.
- C’est son fils qui a tué son père. Le premier meurtre de Lullaby c’était son père. Ce qu’il a fait entre maintenant et il y a quelques semaines est un mystère, ce qui est sur… C’est qu’il y a eu un déclencheur. Edan, River, il faut fouiller les dossiers des enfants dans tous l'état, a qui on aurait pas retrouver de famille.
Axel leva la main, attendant que la jeune femme l’interroge. Elle lui fit un oui de la tête.
- J’ai rien compris. Vous pouvez m’expliquer ce qu’il vient de se passer ?
Il eu un trèèèèèès long soupir de toutes les personnes dans la pièce… Ebenezer se demanda pourquoi il avait embaucher un pareil abruti… Léo se releva et ignora tout simplement les paroles du garçon. S’approchant avec un sourire de la jeune femme.
- Voulez vous venir voir la mère avec moi, je promets d’être un parfait gentleman.
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Léo regarda encore une fois le garçon derrière lui … se faire envoyer balader par une femme, cela ne lui arriver pas souvent … mais avoir en plus un homme qui la remplace … L’agent Sparkles n’arrêtait pas de se laisser distraire … et de chercher la petite bête … Léo trouvait qu’il s’était bien trouver avec son partenaire … Deux casses couilles ensemble. Ils rentrèrent dans la prison pour femmes … Léo se sentait comme un coq dans une basse court … même si la plupart des femmes ne l’attirer par le moins du monde… il était attirant, et il le savait. C’était pas pour rien qu’il savait pouvoir mettre Meredith dans son lit. Ils s’avancèrent dans la prison. Se retrouvant dans la cours où un match de basketball était en train d’avoir lieu. L’arbitre, une femme âgée, tapait dans ses mains quand une des femmes faisaient une faute.
Léo attrapa la balle alors qu’elle roulait vers luI. Observant les femmes d’un oeil analytique. Il s’approcha de la vieille femme.
- On doit vous parler. - Nous sommes au milieu d’une partie, dégagez.
La vieille femme avait survécu à la prison… et voir encore une fois des policiers dans son champ de vision lui donner des envies de meurtre. Elle récupéra rageusement le ballon et s’apprêtait à le remettre en jeu quand Léo rajouta.
- C’est en rapport à votre fils.
La femme se figea. Cela prouvait bien plus que ce qu’elle n’aurait voulu le dire. Elle remit le ballon en jeu en demandant aux femmes de se débrouiller pour ne pas s’entretuer d’ici son retour. Posant sur Léo un regard de haine profonde qu’elle ne dissimulait pas. Léo regarda Edan, et fit un signe de la tête à la vieille femme pour qu’elle vienne un peu plus loin pour parler. Léo mit sa main sur l’épaule d’Edan et chuchota.
- Essaie de savoir par ses co-détenus si elle a eu de la visite, ou si elle a un secret. Si quelqu’un sait quelque chose.
Léo et Edan avaient eu la même idée. Même si Edan ne l’avait pas penser ainsi. Il avait juste penser que la vieille femme puait le mensonge à plein nez … et qu’au lieu de l’interroger ils feraient mieux de s’occuper des jeunes femmes. Il sourit. Enlevant son pull, Edan se mit à crier aux joueuses.
- Qui veut faire un match avec moi ? J’ai pas envie d’écouter leur discussion.
Si au départ Edan avait eu du mal à avoir un oui unanime, maintenant c’était le cas. Léo et la vieille n’avaient pas encore poser leurs fesses sur le banc qu’il jouait déjà comme un pro. Léo trouva la technique interessante et reporta son attention sur la femme.
- Votre fils … Olivier … a été porté disparu il y a plus de 20 ans, après le meurtre de votre mari. Saviez-vous que c’était lui qui a tué son père ?
La phrase, ainsi dit, donnait l’impression qu’il savait déjà … ce qui n’était pas le cas. La femme confirma ce doute fasse au visage qu’elle venait de lui offrir. Le visage de la peur couplait à celui de la culpabilité. Léo soupira.
- Raconter moi la vérité. - Où est mon fils ?
Léo la regarda. Il sortit son téléphone portable, qu’il n’avait normalement pas le droit d’avoir, mais mort était celui qui l’empêcherait de le garder… et posa les images des femmes dans la morgue.
- On doit trouver votre fils. Il a tué toutes ses femmes. On ne sait pas ce qui leur fait, mais il les jette ensuite dans une poubelle comme si ce n’était que des déchets. - Non. -Si. Votre fils est un putain de meurtrier. Il a tué son père avec une dizaine de coup de couteaux et maintenant quoi ? Il tue des femmes. Regardez, regardez leur visage putain !
La vieille femme prit le portable et se mit à regarder les photos. Les faisant défiler alors que ses larmes commençaient à couler.
- Non. - Si. On doit le retrouver maintenant. Il faut que vous me disiez ce qu’il s’est vraiment passé ce jour là. Le moindre détail peut être intéressant.
La vieille femme regarda l’inspecteur, elle avait envie de lui faire manger ses dents. Son fils ne tuerait jamais personne … Son fils n’était pas un homme violent… et ça même si cela faisait 20 ans qu’elle ne l’avait pas vu. Elle se résigna alors ... 20 ans avaient couler sous les ponts ... Et le poids qu'elle avait sur la conscience pesait trop lourd...
- Je vais tout vous raconter…
Elle soupira.
- Mon mari était … oh au bas mot un gros enculé. Il me battait dès qu’il le pouvait … Il me battait encore et encore jusqu’à ce que je ne puisse plus sortir de chez moi. Les gens auraient remarqués les bleus sur mon visage … Ils me battaient plus souvent sous le cou. Car les habits pouvaient cachés les bleus … mais il lui arrivait d’être trop bourré pour faire attention. Mon mari me battait, presque tous les soirs… et ça devant notre fils. Depuis qu’il a l’âge de 5 ans, mon fils me voyait me mettre à terre et pleurer, et supplier le ciel d’avoir le courage de partir. L’année de ses 13 ans, j’ai appris la plus grande des nouvelles à mon fils… Il allait devenir grand frère. Il était tellement heureux …
Elle essuya ses larmes le long de sa joue alors que sa main passa sur son ventre.
- Puis il m’a battu et j’ai perdu mon enfant. J’ai perdu ma fille … elle est morte. Une fausse couche que les médecins ont déclarés … mais moi … moi je le savais … je savais que mon mari venait d’amputer le monde d’un ange. Et vous savez quoi ? D’un côté c’était mieux. Je n’avais pas la force de quitter mon connard de mari… ma fille aurait vécu dans le même atmosphère que mon fils. Mais un soir… pendant mes prières, je me suis laissée aller au mal. J’ai prié, prié et prié encore pour que quelqu’un vienne tuer mon mari ….
Une nouvelle crise de larmes commença et Léo s’en voulait de ne pas avoir de quoi aider la femme à se moucher … elle trouva la technique de se moucher dans sa manche … Léo eu un haut le coeur mais eu la présence d’esprit de ne pas le faire voir sur son visage.
- Le lendemain mon fils est revenu couvert de sang… Il m’a dit avoir oublié ce qu’il avait fait, mais maintenant il était sur … sur que Dieu existait car Aaron était mort … et …
La femme ne pouvait plus. Ses larmes prenaient toute la place dans sa tête. Elle essaya de reprendre.
- J’ai dit … j’ai dit à mon fils de partir en courant, de ne pas revenir vers moi. Que … Dieu le protégeras… Il a tué mon mari … pour moi …pour sa soeur… ça …ça …. Il n’a pas pu le faire. - Cela fait 20 ans que votre fils est dans la nature, il a tué une fois sous le coup de la haine, il a pu recommencer. - Non ! Non je vous dis … Ces femmes … il n’a pas pu les tuer. Mon fils est doux. Il veut de l’amour et de la tendresse. C’est un enfant vous m’entendez ! Un enfant ! Il ne … IL NE FERAIT JAMAIS CELA COMPRIS.
La femme essaya de sauter sur Léo pour l’étrangler. Les hommes de la sécurité arrivèrent avant. Ramena la femme dans une cellule à l’intérieur… Se faisant la femme oublia de leur préciser qu’il y a 5 semaines de cela …. Elle avait appris avoir un cancer et qu’il ne lui restait plus très longtemps à vivre. Edan revient.
- Alors ?
Léo lui fit un résumé de ce qu’il avait apprit. Edan hocha la tête en écoutant ses paroles … puis il posa ses yeux sur ses camarades de jeux, leur jetant un sourire pour inviter d’une main Léo à sortir de la cours de la prison. Ils arrivèrent devant la voiture. Léo conduisait et Edan prenait la place passager. Edan attendit avant de rentrer dans la voiture. Vérifiant que le gardien repartait bien. Il s’engouffra dans la voiture et ferma les portes. Se tournant d’un coup vers Léo.
- Je crois … non… je suis presque sur qu’elle a revu son fils. Et que son fils a de l’influence dans la prison. - Qu’est que ce que tu racontes ?
Edan se mit à énumérer.
- Tous ses frais médicaux sont payés, dès qu’elle veut quelque chose elle le possède, elle a pris des cours, payé par un donateur anonyme, mais les prisonnières m’ont aussi dit qu’elle possède bien plus. A demi-mot bien sur. Mais elle a des gâteaux à son anniversaire. Cette femme vit mieux dans la prison que dehors…. Et ça fait déjà quelques années. Être dans ses bonnes grâces, c’est être au niveau du directeur. Ne pas l’être, on finit en isolement.
Léo analysa les informations. Réfléchissant doucement.
- Tu crois … que son fils fait parti des hommes de la sécurité. - Non, je crois qu’un homme assez intelligent pour tuer quatre femmes sans se faire voir, à trouver le moyen de faire de cette prison un moulin. Et que le directeur étouffe les fuites comme dans tous les prisons sans savoir que c’est un psychopathe qui gère en réalité la prison. - Il faut qu’on aille le dire aux autres.
Et les deux comparses partirent en voiture pour retourner au bureau.
Pendant ce temps là, Ebenezer et River avait éplucher des centaines de dossiers psychiatriques. River fut le premier qui eu sa patience dépassé. Prenant le dossier qu’il était en train de lire et le jetant contre le mur.
- Putain !! Y en a autant que ça des enfants dont on ne sait pas d’où ils viennent et qui ont un pet au casque. Comment un mec a pu passer pour mort pendant 20 ans. 20 PUTAINS D ANN2ES tu imagine deux secondes Eda…
Il se retourna pour faire face à Ebenezer, qui n’était clairement pas Edan… et se figea. L’homme le regarda de ses yeux persans… OK. Il pouvait comprendre pourquoi son chef au FBI lui avait demandé de ne pas faire de conneries. Ce vieux lui foutait les jetons … peut être plus que Lullaby … Même si Lullaby ne s’attaquait qu’à des femmes. River finit par vocaliser sa pensée.
- Pourquoi des femmes ? On est partit du principe que le garçon était le meurtrier … mais pourquoi attaquait des femmes, c’est son père qui le battait. Qu’est ce qu’il a pu se passer ? Putain. - Language. - Pardon.
Ebenezer referma le dossier qu’il était en train de lire doucement.
- Je ne suis pas profiler, mais après avoir donner l’histoire à vos profilers, ils ont dit qu’il a du y avoir un déclic. Quelque chose qui avait fait « craquer » notre meurtrier pour le faire passer à l’acte. Mais tant que nous comprendront pas pourquoi il fait cela, alors on ne pourra pas l’attraper. - Il faut donc entrer dans la tête de ce malade pour le détruire…. Fait chier.
Ebenezer se releva doucement et posa la main sur l’épaule de River.
- On a tous nos démons. Celui de ce garçon était son père. Le tien est Deliora. Que crois tu qu’il t’arriveras quand tu le terrassera sans penser à tes mains sales ?
River se retourna vers le vieil homme. Comment il savait cela ? Cet homme lui faisait vraiment peur .. sondant ton âme … il préférait être son allié, qu’être son ennemi. Ce fut à ce moment là qu’Edan, Léo, Meredith et Axel arrivèrent. River jeta un coup d’oeil à Edan… ayant besoin de sa chaleur pour se calmer … mais il ne le pouvait pas devant tout le monde.
- Allez, câlinez-vous et retournez travailler.
Edan et River firent les gros yeux. Léo rajouta son commentaire.
- C’était assez évident en faite …
Meredith sourit. Axel aussi. D’ailleurs ce dernier rajouta doucement un :
- Puis, ça fait du bien, regardez.
Et il fit un câlin à Meredith qui n’avait absolument rien demander. Elle accepta le câlin dans un sourire. Ce n’était pas vraiment professionnel, mais ça faisait un peu de bien. Elle sourit en se reculant. Heureusement qu’elle avait cerné le petit agent, sinon elle aurait trouvé l’acte étrange. Tout le monde finit sur une table. Disant ce qu’il avait appris.
Meredith les coupa tous. Elle avait quelque chose de plus urgent à leur montrer.
- Pendant que vous faisiez vos affaires, on a diffusé ce message à la télévision.
Là. Meredith apparu sur un écran de télévision qui était dans la pièce depuis le début. On pouvait la voir, prévenir les citoyens de faire attention à toutes les personnes qui pourraient être parti en vacances. Expliquant le mode opératoire du meurtrier que l’on appelle Lullaby. Meredith éteint la télévision. Elle n’aimait pas forcément se regarder, mais il fallait que les agents sachent ce qu’elle avait dit … et ce que le meurtrier sait donc de l’affaire. Axel reprit ensuite. Présentant la nouvelle preuve. La flute en bois.
- La flûte n’a rien donné, c’est du bois de pain, comme on peut en trouver partout. La flûte n’est pas très bien taillé et elle ne chantera jamais. Les analyses ont montrés des tâches de sang, mais elles sont inutilisables … Donc … On a pas d’avancé.
Les deux autres groupes partagèrent les informations. Un agent apparu alors qu’Edan voulu penser à faire cramer le bureau pour se détendre. Elle rentra et donna une feuille à la personne la plus proche d’elle. Edan prit la feuille et fut obliger de calmer son feu intérieur pour ne pas la jeter rageusement. Il lit rapidement et regarda Léo.
- Elle va mourir. La vieille, elle a un cancer, elle n’en que peu de temps à vivre …
Léo prit la feuille des mains d’Edan. Regardant les écritures pour s’arrêter sur une date.
- C’était quand la date de la disparition de la première victime ?
Ebenezer donna la date de tête, comme s’il connaissait toute l’affaire sur le bout des doigts. Léo plaqua la feuille violemment contre la table.
- Soit deux jours après que les résultats de santé de la vieille soient tombés.
Ouais, ils n’avaient plus aucun respect pour « la vieille » qui protégé un fils psychopathe… Alors que tout le monde faisait la déduction qu’il fallait…. Samhainn arriva dans la pièce… Livide. Blanche. Elle avait deux choses importants à dire. La première aurait été plutôt simple à dire … si la seconde n’était pas aussi horrible. Elle regarda Léo, Axel et Ebenezer.
- Je …. Madame Ryanna est morte… elle a prit une plaquette complète de médicament pour le coeur… juste après votre départ.
Léo se rassit. Leur seule piste était en train de partir. Une discussion débuta à nouveau sur ce qu’ils allaient faire ensuite quand Ebenezer remarque que Samhainn n’était pas partit, et semblait vouloir ajouter quelque chose. Elle porta son regard sur Léo.
- On connait la prochaine victime….
Tout le monde se figea dans la pièce alors que Samhainn avait dû mal à mettre en place ses mots.
- Léo … Lucy n’a jamais pris son avion pour Bogota….
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