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 The only way to have a friend is to be one ➹ ANGELIKA

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Diane Moon
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Diane Moon

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The only way to have a friend is to be one ➹ ANGELIKA _



________________________________________ 2018-10-06, 23:09



"The only way to have a friend is to be one"

L'amitié est un pont sur le fleuve de notre vie.


Storybrooke, semblait avoir retrouvé un semblant de calme après le passage de la Vérité. Et même, si je continuerais fermement à le nier, elle aura dans mon cas eu certains effets bénéfiques. Nous avions, décider de prendre notre temps, avec Pitch. De recommencer les choses à zero, mais avec la conscience des erreurs commises la dernière fois, et de comment les éviter cette fois-ci. Et avec cette histoire réglée, cela me laissait plus de temps, pour d’autres choses. Depuis quelques temps déjà, je caressais l’idée et l’envie de m’investir un peu plus dans la vie de cette ville. J’avais sans arrêt le besoin de me sentir utile. Et, à force de recherche j’avais finit par trouver quelque chose pouvant me convenir. J’avais conversé avec une femme il y a plusieurs mois de cela, lorsque j’étais allé à cette étrange thérapie/goûter d’anniversaire. J’avais emmené Gavroche, afin de faire plaisir aux enfants. Et en m’ouvrant peu à peu aux gens présent, la mère d’une petite fille présente m’avait parlé de l’orphelinat. D’après elle, ce genre de choses pourraient également faire plaisir aux orphelins.

Je n’avais pas repensé à tout ceci jusqu’à aujourd’hui, et j’avais rapidement prit contact avec les bénévoles de l’orphelinat. Il y en avait déjà beaucoup, et je n’étais pas certaine qu’une déesse soit forcément bien accueillir, le jour où ils finiraient par découvrir que j’en étais une. Tout le monde connaissait Apollon. Pour ma part, je faisais le plus possible profile bas. Je détestais attirer l’attention, c’était contraire à ce que j’étais, et ce que je représentais. Après tout, un bon chasseur est celui n’attirant justement pas l’attention de ses proies. Aussi, n’avais-je pas pour ambition de devenir bénévole moi-même. Néanmoins, je n’avais rien contre l’idée de donner un coup de main de temps en temps.

L’ennuie, c’était qu’avec quatre chiens à emmener, même moi je ne pouvais pas tout gérer. Certes, j’étais la déesse de la chasse et en conséquence avait un certain lien et « contrôle » sur les animaux. Mais, gérer quatre Golden Retriever à la fois, sachant que je me déplaçais essentiellement à pied, c’était un peu trop. Alors, l’évidence m’était apparut. J’allais devoir, reprendre mon pick-up. Je, ne l’utilisais plus depuis que j’étais arrivé en ville. Préférant user de la bonne vieille téléportation. Après vingt et un an sans m’en servir, j’en profitais à nouveau au maximum. Et puis, cela allait bien plus vite qu’un quelconque moyen de locomotion. En deux minutes, je pouvais me trouver à l’autre bout du globe sans trop d’effort, ni même besoin de visa ou je ne sais quelle autre paperasse encombrante. C’était d’ailleurs, pour cette raison que nous avions tous une petite tendance à privilégier la téléportation.

Mais, j’évitais de téléporter les chiens, je n’étais pas certaine qu’ils apprécient cela. Disons, que la pratique pouvait secouer. La voiture, me paraissait donc être le meilleur compromis dans cette histoire. Il n’était pas question d’emmener ni Luna, ni Leo. La première parce qu’elle était intenable, et le second nous étions en train de parfaire son éducation avec ma sœur. Alors, en attendant je n’emmènerais que les « miens ».

Longeant, la serre dans laquelle, se trouvait une multitude de plantes, allant des orchidées à des plus exotiques encore, je me dirigeais vers le garage, enfonçant la clé dans la serrure afin de lever la porte et l’ouvrir. J’allais probablement devoir l’emmener faire une révision chez le garagiste. Un léger pincement au cœur, me prit en songeant à Arès. Lui, me l’aurait inspecté et remise sur pied en un rien de temps. Les voitures, ça avait toujours été son truc.

Mais le moment, était mal choisis pour penser au passé et plus particulièrement à ceux nous ayant quitté. Alors, je l’avais emmené chez le garagiste, j’avais attendue qu’elle soit en état de marche, même si au fond c’était moins que ce à quoi je m’étais attendue. Juste une petite révision, et le tour était joué. Après quoi, j’avais contacté la responsable des bénévoles de l’orphelinat, expliquant qui j’étais et ce que je souhaitais apporter. Elle parût enchantée à l’idée de laisser les enfants jouer avec des chiens. J’avais affirmé, qu’ils étaient tous bien dressés, et savaient se tenir. Les enfants ne risquaient absolument rien. Mais, d’une manière général, c’était un fait les gens avaient plus confiance lorsque l’on était propriétaire de Golden Retriever, plutôt que de Doberman.

Les faire monter dans la voiture le jour J, ne fût pas trop complique en fin de compte. Les trois jeunes suivirent l’exemple de leur mère sans trop de problème. Athéna, avait conservé un lien avec ses chiots, même à présent qu’ils étaient adultes. Elle restait une figure d’autorité pour eux, et même Luna aussi indisciplinée soit-elle, se calmait lorsque sa mère se mettait à faire preuve d’autorité. Évidemment, la place d’honneur sur le siège avant à mes côtés, lui revenait de plein droit. Eclipse, Sherlock et Gavroche se partageaient la banquette arrière suffisamment grande pour les accueillir tous les trois. La route jusqu’au centre ville où se trouvait l’orphelinat, fût calme et sans problème. Athéna se tenait droite comme un i sur son siège tandis-que les trois autres s’étaient tranquillement couchés. Garant la voiture, dans le parking réservé aux visiteurs, je m’empressais de faire descendre la petite troupe, qui me suivit bien sagement jusqu’à l’entrée où j’appuyais sur la sonnette, après avoir décliné mon identité, on me laissa rentrer, puis on m’indiqua là où se trouvaient les autres bénévoles.

Remerciant, la personne m’ayant accueillit, je me dirigeais les chiens sur mes talons vers l’endroit indiqué. Où tout le monde semblait s’activer :

« Vous êtes mademoiselle Moon ? »
Demanda une femme ayant environ la quarantaine en s’approchant de moi.

- Effectivement, et eux ce sont mes chiens : Athéna, et ses trois anciens chiots : Gavroche, Sherlock et Eclipse.

« Comme vous l’avez remarqué, nous sommes en pleine préparation d’une fête surprise pour les enfants. Nous, vous avons mise en binôme avec le Docteur Beresford. C’est une habituée, elle vous guidera. »

Remerciant, la femme qui venait de m’accueillir, je me dirigeais dans la direction qu’elle m’avait indiqué, le son de mes talons résonnant sur le sol. Il fallait dire que l’endroit paraissait bien vide. Sans doute, étaient-ils en train de tenir les pensionnaires occupés, le temps de préparer tout ce dont cette fameuse fête surprise avait besoin. Finalement, je trouvais ce qui je supposais être le docteur Beresford :

- Excusez moi, je suis nouvelle ici et apparemment, je suis en binôme avec vous. Je m’appelle Diane, enchantée.

Avec un sourire je tendis ma main, dans un geste que j’espérais normale. Cinq ans à vivre au contact permanent d’autres personnes, ne compensaient pas des milliers d’autres années à éviter de trop s’attacher aux gens. Même, si j’avais eu des amis mortels, la plupart du temps je préférais éviter de me montrer trop amicale de crainte de trop m’attacher et de souffrir lorsque les personnes ne seraient plus là. J’avais donc, acquis pas mal de lacunes sociales. Et il m’arrivait encore par moment, de faire des faux pas.


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________________________________________ 2018-10-08, 20:43


Keep calm, little mouse !
Une amitié sincère et pure... ça ressemble à quoi ?

Marchant d’un pas léger dans les rues de Storybrooke, je ne parvenais pas à décrocher de mon portable. Je ne parvenais pas non plus à faire disparaître ce joli sourire qui m’accompagnais tous les jours depuis deux semaines. En cet instant, tout allait à merveilles dans ma vie. Même si le cumul de tous mes jobs et l’éducation de Katelyn me prenait un temps fou, j’avais enfin diminué la consommation d’amphétamines pour me permettre de me montrer à la hauteur en toutes circonstances. J’étais devenue accrocs à une toute nouvelle sorte de drogue ; l’Amour. Tout du moins, je pensais pouvoir appeler ce phénomène comme ceci même si pour le moment tout semblait confus dans ma tête. La seule chose que je savais pour le moment, c’est que j’étais sur un petit nuage !

L’objet de mes pensées se prénommait Edgar Sullivan. Je l’avais rencontré à l’hôpital de Storybrooke. Médecin beau, intelligent et d’un charme fou, il faisait tourner toutes les têtes mais c’était vers moi qu’il avait choisis de se tourner ! Chose étrange, personne ne savait d’où il venait réellement ! Semblant sortir de nulle part… c’était comme s’il n’avait jamais existé auparavant ! Pourtant je ne m’en préoccupais guère. Je savais qui il était aujourd’hui et cela me convenait parfaitement ! De plus, j’avais bien trop de choses à penser sans me préoccuper de cela.

Parmi toutes mes activités et mes inquiétudes quotidiennes restait celle de l’orphelinat ! Aussi loin que mes souvenirs pouvaient remonter, j’y avais toujours travaillé comme bénévoles. Mettant ce phénomène sur mon amour des enfants avant que la malédiction ne soit rompue, j’avais dû attendre la fin de cette dernière pour savoir pour quelle raison je m’y trouvais. La culpabilité que je ressentais après la mort de mon fils ne me quitterait jamais. Chacune de mes activités n’avait pour but que de régler cette dette éternelle que je devais à mon petit garçon adoré ! Au travers des enfants que j’y rencontrais, je trouvais du réconfort et la joie de pouvoir m’occuper de quelqu’un. Un peu sottement, je me disais que si j’aimais assez forts les orphelins dont j’avais la charge, mon Anthony pourrait le ressentir de son paradis céleste et découvrirait ainsi tout l’amour que sa Maman lui portait !

Ce jour-là, nous avions décidé mes collègues et moi d’organiser une petite fête surprise pour les enfants. Une manière pour nous de leur rendre leur sourire à eux qui en avaient tant besoin ! A cette occasion, tout était fait pour que nos petits chérubins passent le plus merveilleux des moments. Un grand buffet sucré/salé avait été disposé dans la salle à manger. De part et d’autre, des jeux de toutes sortes seraient mis à la disposition des enfants et encadrés par des adultes. Certains d’entre eux étaient chargés de la décoration. Quant à moi, c’était un tout autre atelier qui m’attendait. A ma plus grande surprise, je fus désignée pour me charger des chiens adorables amené par un femme dont j’ignorais tout. N’ayant pas été avertie à l’avance de cet atelier, ce fut avec une légère angoisse que je rejoignis ma nouvelle partenaire. Charmante et polie, elle se présenta à moi. Je serais alors la main qu’elle me tendait nerveusement tout en lui adressant le plus beaux de mes sourires.

- Je suis absolument enchantée de vous rencontrer Diane. Oubliez le nom pompeux que Betty vous a donné. Appelez-moi simplement Angelika, cela me conviendra très bien !

Je pris alors le temps d’observer ma partenaire de plus près. Il est clair qu’elle n’était pas une habituée des lieux pourtant j’étais sûre qu’elle s’y ferait très vite… à condition que je puisse me montrer à la hauteur ! Bien qu’habituée à recevoir de nouvelles recrues, je ne savais jamais vraiment pas à quoi m’attendre. Chacune d’elles avaient une manière bien à elles d’entrevoir le travail qui leur serai assigné. Pourtant, c’était bien cela qui faisait toute la richesse de ces rencontres !

- Ainsi donc c’est la première fois que vous venez ici ? Dans ce cas, laissez-moi vous souhaiter la bienvenue ! J’imagine que vous devez vous sentir un peu perdue mais rassurez-vous, je suis certaine que vous vous sentirez tout de suite chez vous ! Et puis, je serais là pour vous éclairer si besoin est !

C’était facile à dire mais beaucoup moins facile à le faire ! Après tout, je redoutais le contact avec les animaux et ces derniers devait probablement le ressentir. Dans le monde d’où nous venions, je n’étais après tout qu’une innocente petite souris. Entrer en contact avec des animaux reconnus comme étant d’anciens prédateurs m’effrayais au plus haut point. C’est pour cette raison que je conservais une certaine distance avec les chiens de Diane. Bien qu’étant véritablement adorables, je craignais de voir leur réaction si je m’étais approché. Qui sait ce qui pourrait bien se passer s’ils découvraient la petite proie nichée au plus profond de moi. Tentant de paraître naturelle, je souris à leur propriétaire.

- Ces chiens sont vraiment superbes, Diane ! C’est une très bonne idée de les avoir amenés à l’orphelinat, les enfants vont en raffoler, j’en suis certaine ! J’ai entendu dire que cette race s’entendait d’ailleurs particulièrement bien avec eux, c’est vrai ?

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Diane Moon
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________________________________________ 2018-10-09, 23:12



"The only way to have a friend is to be one"

L'amitié est un pont sur le fleuve de notre vie.


Il y avait certaines choses que j’arrivais parfaitement à identifier. Je le mettais souvent sur l’empathie, et le fait d’être la déesse de la chasse. Les deux devaient assez bien se compléter, particulièrement lorsqu’il était question des animaux. Et ce que je ressentais, là c’était bel et bien de la crainte. La peur des chiens, était monnaie courante. Tout comme la peur des animaux d’une manière général. Et quoi qu’on en pense, je la comprenais aisément. Les animaux, restaient des êtres imprévisibles. Et si de mon point de vu, un chat l’était plus qu’un chien. Ces derniers avaient tendances à plus impressionner que les félins pantouflard, dont l’activité principale était de dormir. Un aboiement inquiétait plus qu’un miaulement même celui d’un chat en pleine bagarre. Et puis, on craignait toujours qu’ils n’attaquent et ne mordent. Alors, même si je n’approuvais pas forcément je comprenais.

- C’est gentil, c’est un peu une première pour moi effectivement, mais j’avais besoin de me changer les idées tout en me rendant utile par la même occasion, alors c’était la meilleur chose à faire.

Et apparemment, nous semblions être aussi tendue l’une que l’autre. Ce qui me mettait dans le rôle de celle se devant justement de détendre l’atmosphère. Autant dire que ce n’était pas franchement un rôle dans lequel j’excellais. Apollon, était un bout en train né. Ou alors, cela avait tout avoir avec son complexe de Dieu comme aimait l’appeler Eulalie. Peut-être un peu des deux maintenant que j’y réfléchissais. Quoi qu’il en soit détendre les gens, c’était plus sa spécialité que la mienne :

- Vous n’êtes pas rassuré, dis-je. Ne le prenez pas mal repris-je très rapidement c’est une attitude plus fréquente qu’on ne le croit et à laquelle les éleveurs de chiens tel que moi sont assez souvent confronté. Néanmoins, je peux vous promettre qu’ils ne feront rien. S’ils sentent que vous n’êtes pas rassuré ils n’essaieront même pas d’approcher. Les animaux sentent notre peur, bien plus que nous autres humains voudrions l’admettre.

J’espérais ne pas l’avoir offensé. Physiquement elle avait l’air à peine plus âgée que moi, mais j’étais tout de même la « petite nouvelle » dans l’équipe. Et parfois, les gens n’appréciaient pas lorsqu’une nouvelle recrue débarquait et se permettaient certaines libertés. L’ennuie, c’était que nous devions travailler en binôme et s’il restait toujours de la crainte entre Angelika et les chiens, les choses seraient plus compliqués. J’essayais simplement de lui faire comprendre qu’elle n’avait aucune crainte à avoir venant des miens. Je me chargeais moi même de leur éducation. J’avais tout repris de A à Z lorsque j’avais récupéré Sherlock et Gavroche. Quant à Eclipse et Athéna, je les avaient éduqués toutes les deux dès leur plus jeune âge.

- Les Golden Retriever sont assez connus pour leur tempérament doux. Ils sont très joueurs ce qui fait d’eux d’excellents compagnons pour les enfants.

Je ramenais une boucle blonde derrière mon oreille, sans trop savoir comment continuer cette discussion. Quelque chose me disait qu’avant d’entamer quoi que ce soit, je me devais d’essayer de « rassurer » au mieux Angelika. Je n’allais pas lui dire de ne pas avoir peur. C’était ridicule. On ne contrôle pas ses peurs, et ce n’était pas quelque chose de rationnel à la base. Mais Pitch, saurait mieux que moi parler du sujet. Il était le croque mitaine après tout. Et la peur c’était un peu son domaine de compétence. Mais, je n’allais pas l’appeler pour nous faire une conférence sur le sujet. Cette idée me donna envie de rire, si bien que je dût me mordre l’intérieur de la joue, afin de ne pas le faire. Mais, c’était juste tellement drôle et tellement ridicule de l’imaginer en train de faire. Me raclant finalement la gorge pour reprendre un peu de contenance, je me décidé à adopter l’attitude la plus « professionnelle » que je pouvais :

- Hormis, rester là et veiller sur les chiens, il y a-t-il autre chose que je puisse faire ?

J’étais tout de même venu afin d’aider. Je m’imaginais mal rester planté là à ne rien faire. Et puis, ce serait un excellent exercice pour moi. Il était temps, d’apprendre à m’ouvrir un peu plus aux autres. D’une nature méfiante, nos diverses « aventures » divines avaient renforcées ce trait de caractère. Les trahisons et les désillusions s’étaient enchaînés beaucoup trop souvent. Et ma méfiance naturelle s’en était trouvé exacerbée. Mais parfois, il était pesant de toujours être sur ses gardes, et n’accorder sa confiance à personne. Très certainement était-ce pour cela que j’avais choisis d’aider à l’orphelinat. Pour enfin, être au contact des gens et essayer de me laisser aller un peu. Cela, ne me ferait pas de mal après tout.

- Peut-être qu’une visite, nous irait bien à toutes les deux proposais-je subitement. Ce serait une manière pour vous de vous accoutumer à leur présence, et pour moi de me repérer. Je ne m’attendais pas à ce que ce soit aussi grand. Et j’ai peur de me perdre.

Ce n’était pas tout a fait exacte. Je pensais effectivement qu’une visite nous aiderait à briser la glace, et lui permettrait de tolérer les chiens. Quant à eux, ils s’habitueraient à sa présence. Ils pourraient l’observer et savoir quel comportement adopter avec elle. Gavroche avait tendance à vouloir sans arrêt qu’on lui accorde de l’attention et de l’affection. Il n’avait encore rien fait, préférant donner de léger coup de tête dans ma main, afin que ce soit moi qui le caresse car il sentait une légère crainte de la part d’Angelika. Parmi tous les chiens existants les Golden étaient les plus empathiques. Et c’était pour cette raison toute particulière qu’il s’agissait de ma race favorite. Mais si, je pensais réellement ce que j’avais dit au sujet des chiens, il n’y avait en revanche aucun risque que je me perde. J’avais un bien trop bon sens de l’orientation pour cela. De plus, je possédais une mémoire photographique ce qui était d’une grande aide. Mais comme je préférais, ne pas inventer d’histoires sur le pourquoi du comment, j’étais aussi douée en orientation, je ne le mentionnait pas. Laissant les gens me guider lorsqu’ils le souhaitaient ou demandant moi même à l’être comme toute personne normal dans un lieu inconnu.


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________________________________________ 2018-11-03, 11:03


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Pour être honnête, je me sentais un tantinet ridicule ! Pour quelle raison au juste avais-je si peur ? Après tout, ils n’avaient pas l’air si méchants que cela au contraire ! Mais je ne parvenais pas à rassurer ma petite souris interne et tant que je ne parviendrais pas à le faire, il serait impensable pour moi de songer même à me calmer. Ce n’était d’ailleurs pas la première fois que je laissais la souris me dicter ma conduite… et pour des raisons bien plus idiotes que celles-ci ! L’espace d’un instant, mes pensées s’envolèrent vers Balthazar avant de s’évanouir dans ma tête ! Ce n’était pas le moment et puis pourquoi me torturer inutilement ? Je n’étais qu’une pauvre idiote !

Un sourire peut chasser milles maux ! C’était ma manière de voir le monde et une fois de plus ce fut la technique que j’employais avec Diane. Cela me permit de chasser très vite mes mauvaises pensées. Diane était une femme intelligente. Elle avait très vite compris que je n’étais pas rassurée et elle fit tout son possible pour m’aider à me déstresser. Cela marchait d’une certaine manière puisque je finis par adresser un sourire timide à l’un des petits chiens. Oh certes ce n’était pas une grande avancée, mais c’était déjà mieux que rien !

« Je vous crois sur parole, Diane ! Je suis persuadée que vos adorables chiens feront de très bons compagnons pour les enfants ! Je suis navrée si je suis un peu nerveuse… je vous promets de faire des efforts ! Il faudra juste me laisser un peu de temps. »

Je la regardais alors tendrement afin de lui faire comprendre que je ne lui en tenais pas rigueur pour les quelques recommandations qu’elle m’avait adressées, bien au contraire.

« Et puis, je suis persuadée que cela sera une expérience très enrichissante aussi bien pour moi que pour vous. Je suis certaine que j’apprendrais des choses très intéressantes à vos côtés. »

L’espace d’un instant je songeais à ma petite Katelyn. Ma jeune adolescente de fille rêvait d’avoir un animal de compagnie à la maison. Durant des mois, elle n’avait cessé de m’embêter pour avoir un chat, ce à quoi je m’étais bien naturellement opposée. Ma souris interne avait une véritable phobie de ces petits démons et je ne pouvais pas lui en tenir rigueur. Mais si Diane m’apportait son soutien, peut-être que je pourrais lui offrir un chiot pour le prochain Noël.

Diane acquiesça à ma proposition de visiter l’orphelinat ensemble. Elle avança d’ailleurs un argument que je ne pouvais que soutenir : détourner mon attention de l’objet de ma peur me la ferait oublier automatiquement ! C’était une très bonne technique et cela prouvait une fois de plus que Diane était dotée d’une grande intelligence émotionnelle.

« Vous avez raison et de cette manière, nous pourrons en profiter pour commencer nos préparations. Comme vous pouvez l’imaginer, nous avons beaucoup de choses à mettre en place. C’est que l’orphelinat compte beaucoup de petits pensionnaires. »

Ouvrant la marche, je lui présentais les différentes pièces de l’établissement. Nous passions ainsi devant les cuisines qui dégageaient déjà de succulentes odeurs. Après un bref passage à la grande salle à manger pouvant accueillir jusqu’à 40 personnes, nous finissions la visite de ce premier étage par la salle de séjour. C’était une destination des plus évidentes puisqu’après le repas des enfants, c’est là que seraient organisés bon nombre d’ateliers dont celui que nous intéressait de prime abord. Cet espace très bien rangé chaque soir par les enfants, comptaient énormément d’étagères et de coffres à jouets. Il y en avait pour tous les goûts et tous les âges. De la simple poupée aux jeux de société des plus complexes.

« Et voici notre terrain de jeux. C’est l’espace qui nous a été réservé pour la journée. Nous devons organiser des petits ateliers pour que les enfants s’amusent après leur repas. Personnellement, j’avais déjà imaginé une sorte de parcours d’obstacle. Organisé des petits jeux d’adresse ou de société que les enfants accompliront par groupe de 4 ou 5 personnes. Chaque épreuve passée avec succès leur fera gagner des points et l’équipe qui remportera le plus de points sera la gagnante et remportera une récompense. »


Radieuse, je finis par me tourner vers ma nouvelle partenaire de travail. Un sourire engageant aux lèvres, j’étais prête à entendre son point de vue sur la question.

« Que pensez-vous de mon idée, Diane ? Vous êtes également parfaitement libre de me donner vos propres idées sur la question… et me dire ce que nous pourrions faire pour inclure également vos trésors dans la partie »

J’adressais à présent un regard complice à l’adresse des animaux présents dans la pièce. Etais-je réellement en train d’accepter leur présence ? En tout cas, je l’espérais de tout cœur.

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Diane Moon
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________________________________________ 2018-11-20, 19:07



"The only way to have a friend is to be one"

L'amitié est un pont sur le fleuve de notre vie.


Je secouais simplement la tête en souriant. Il, n’y avait vraiment pas de mal. Je pouvais tout a fait comprendre les craintes d’Angelika. Elle, n’était pas la première ni la dernière personne à émettre des réserves concernant les chiens. Les rares promeneurs que je rencontrais lorsque je me promenais en forêt, avaient deux types de réactions. Soient, ils me demandaient la permission de les caresser, soit ils préféraient, se contenter de salutations polies, et de continuer leur route, en accordant un regard méfiant à celui qui se promenait avec moi. Je ne m’en formalisait pas, je comprenais. Chacun ses phobies et ses craintes. En tout cas, elle ne se formalisa pas non plus, de mon petit discours et accepta au contraire ma proposition de visite, c’est donc bien volontiers que je lui emboîtais le pas tandis-qu’elle me montrait les différentes pièces, les détaillants par la même occasion tandis-que je suivais les chiens à mes côtés. Au moins, l’orphelinat de la ville faisait-il taire tous les clichés sur ce genre d’endroit.

Ecoutant, avec intérêt les idées d’Angelika concernant les animations de la journée, je me tapotais le menton avec mon indexe d’un air pensif. Réfléchissant à comment inclure les chiens à tout ceci :

- Et pourquoi les chiens ne seraient-ils pas également le thème de l’un des stands ?
Proposais-je au départ j’avais pensé à peut-être les faire accompagner les groupes, je suppose que ce sera un minimum rythmé et qu’ils ne partiront pas tous ensemble. Mais, je ne pense pas qu’ils seront assez pour que tout le monde en profite dans ce cas là. Mais s’ils sont le thème d’un stand, alors tous les enfants pourront s’amuser avec eux. Ils sont particulièrement doués dans tout ce qui est recherche et tout ce qui concerne le fait de rapporter des choses. Peut-être que plusieurs personnes pourraient à tour de rôle se cacher, les groupes choisiraient l’un des chiens, et leur ferait sentir un objet leur ayant appartenu. Il faudrait alors le retrouver afin de pouvoir accéder au prochain stand qu’en pensez vous ?

Peut-être une démonstration l’aiderait mieux à comprendre. Comme, je savais qu’elle n’était pas à l’aise, j’allais utiliser une tierce personne, aussi m’éloignais-je quelques instants pour aller discuter avec l’un des bénévoles. Lui expliquant brièvement ce que je souhaitais faire. L’homme accepta et me confia sa veste que je l’utilise pour les chiens.

- Il va falloir attendre un peu, le temps qu’il se cache. Les chiens ne doivent pas savoir l’endroit où il va, sinon ce serait beaucoup trop facile.

Ce n’était pas un exercice très compliqué pour toute la petite bande qui m’accompagnait. Athéna était rodé, depuis le temps quant aux autres, cela faisait déjà plusieurs mois que je les avaient récupérés. Ils étaient encore en formation, mais ils avaient déjà bien plus l’habitude que Léo le chien de ma sœur, avec qui je travaillais également cet exercice. Il s’agissait d’un des tout premiers que j’enseignais. Il était extrêmement utile, pour la relation avec l’animal, et aussi pour son obéissance. Je le travaillais actuellement avec ma sœur et Léo, le chien que je lui avait confié. Alors, ce ne serait qu’une petite piqûre de rappelle. Estimant, avoir attendu suffisamment longtemps, je fit sentir la veste du bénévole aux chiens à tour de rôle

- Allez, on cherche maintenant leur ordonnais-je

Étonnement, ce fût Gavroche qui prit la tête du groupe, suivit de très prêt par le restant de toute la petite bande, tandis-que je fit signe à Angelika de me suivre

- Mieux vaut ne pas avoir peur de courir pour ce genre d’exercice plaisantais-je

Surtout lorsque la petit troupe de chiens se mit à accélérer, Sherlock se mettant à aboyer joyeusement aux côtés de son frère, annonçant par là que nous étions proche. Cela faisait partit de ce que je leur avait appris. Afin de signaler leur présence, et également de m’indiquer à moi, que la personne que nous recherchions n’était plus très loin ils devaient aboyer. Mais de manière à ce que cela n’effraye personne. Souvent, c’était cela plus qu’autre chose qui inquiétait les gens. Et a nouveau, je les comprenais. Je savais parfaitement, que l’aboiement d’un chien pouvait parfois surprendre ou effrayer. Mais encore une fois, tout dépendait de quel genre d’aboiement il était question. Et les miens, n’avaient pas la même manière de le faire lorsqu’ils étaient sur le point d’attaquer que lorsqu’il était comme ici, simplement question d’indiquer quelque chose.

Et finalement, au bout de cinq minutes, le bénévole fût retrouvé, tandis-que je m’empressais de féliciter les chiens, qui s’agitaient sous l’enthousiasme :

- Alors qu’en pensez vous ? Si l’idée vous paraît trop compliqué je peux toujours trouver autre chose.

Passer du temps avec Apollon, mine de rien cela pouvait aider. Il fallait rivalisé d’imagination et d’ingéniosité pour éviter qu’il ne réalise toutes ses lubies. Sans quoi, Olympe ne ressemblerait plus à grand-chose. Déjà, que nous avions un zoo, un élevage de poule, et une salle avec la reproduction du Titanic...La prochaine fois j’étais certaine qu’il nous ferait une reproduction de la jungle de Tarzan. Il serait capable de se faire pousser les cheveux et de balader torse nu en espérant se balancer de liane en liane -pour cela il faudrait déjà qu’il arrive à grimper aux arbres et ce n’était vraiment pas gagné-

« Ils sont vraiment bien dressés » s’étonna le bénévole qui s’était porté volontaire pour la démonstration de recherche « Vous êtes dresseur canin ? » me demanda-t-il

- Pas vraiment répondis-je, on va dire que mon travail consiste plus en de l’intendance si on peut dire

J’étais volontairement resté vague. Si les relations, entre les habitants de la ville et les Olympiens s’étaient nettement améliorées depuis quelques temps, je préférais conserver ma discrétion. Contrairement à Apollon que tout le monde connaissait. Évidemment, ceux qui avaient des connaissances de base en mythologie savaient que là où il y avait un Apollon il y avait forcément une Artémis pas loin. Mais, même du temps où Bodhi avait été maire, j’avais toujours émit un point d’honneur à rester le plus discrète possible.


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