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 SOS voleur ♚ ANYA

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Odeya Weiss
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Odeya Weiss

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________________________________________ 2018-11-13, 13:05



SOS Voleur
« Il n'y a pas d'âge pour la délinquence. »

Recevoir un appel, c’était quelque chose de commun. Même pour quelqu’un comme Odeya. Cela pouvait, parfaitement être Uberta, ou bien l’un de ses amis voir ses collègues bénévoles. En revanche, recevoir un appel d’Anastasia, en plein sur son lieu de travail c’est à dire le poste de police de la ville. Là en revanche, c’était déjà quelque chose d’un peu moins banale. Surtout, étant donné le sujet. L’un des orphelins, s’y trouvait et étant donné qu’Anya et elle se connaissaient, c’était la première personne à qui elle avait pensé. Évidemment, elle s’était empressée d’annoncer son arrivé dans les plus brefs délais.

Laissant, donc ses révisions pour les partiels de côtés, Odeya s’empressa d’enlever ses confortables chaussons, pour les troquer rapidement contre une paire de bottine. S’escrimant, quelques instants, pour enfiler le restant de son attirail afin d’affronter le froid de ce début de Novembre. Même si, depuis quelques temps, « froid » ne semblait pas être le terme le plus approprié pour décrire la température. La plupart, des arbres n’avaient même pas encore perdu leurs feuilles. C’était bien la première fois, depuis qu’elle vivait à Storybrooke, qu’une telle chose se produisait. Les gens, n’avaient peut-être pas tort en parlant de réchauffement climatique. Il fallait vraiment faire quelque chose avant que la situation ne s’aggrave.

Le poste de police, n’était pas très loin du quartier où elle habitait. Le premier étant situé en centre ville, et le quartier à environ une dizaine de minutes en bus de ce dernier. Néanmoins, comme il fallait faire vite. Le bus, ce serait pour une autre fois. La voiture, c’était encore ce qu’il y avait de plus rapide. Une fois à l’intérieur de l’engin motorisé, Odeya, fit le chemin légèrement stressé. Bien sur, elle savait que tous les orphelins n’étaient pas des anges. Et que par moment, c’était compliqué. Les bénévoles et le personnel avaient beau faire de leurs mieux, parfois ce n’était pas toujours aussi facile qu’on le voudrait. Certains, n’avaient jamais connus leurs parents, alors que d’autres si. Et souvent, ils enchaînaient les bêtises, afin d’attirer l’attention des adultes sur eux.

Se mâchouillant nerveusement la lèvre inférieur, elle conduisit précautionneusement jusqu’au poste de police. Elle ne savait pas à quoi s’attendre de cette entrevue. Ou plutôt, si elle savait en majorité les raisons pour laquelle le petit Liam, avait été conduit là-bas -Anya lui avait tout dit au téléphone- simplement, c’était comment les choses allaient se passer une fois sur place qu’elle anticipait légèrement. Attrapant, son sac elle sortie de sa voiture, a présent garé et se dirigea vers l’accueil :

- Excusez moi, j’ai été contacté par mademoiselle Romanov


Elle ignorait le « titre » qu’elle avait ici. Alors, « mademoiselle » semblait encore, le meilleur moyen de la nommer. Et puis, ils devraient savoir de qui elle parlait ainsi. Et effectivement, le personnel à l’accueil l’orienta vers un bureau dans lequel l’attendait la rouquine, ainsi que le « délinquant » qui manifestement, ne s’était pas attendu à ce que soit elle qui arrive

« Deya’ ? »
Dit-il surprit, avant de se tourner vers la rouquine « C’est pas juste ! Pourquoi vous l’avez appelé elle ? »

Ce n’était pas du tout insultant, et la blonde sentie ses joues s’empourprer à cause d’une légère colère. Elle, ne s’attendait pas à ce que Liam lui saute dans les bras mais tout de même…

- Parce que tu as été surprit en train de chiper des bonbons à l’épicerie du coin !
Rétorqua-t-elle passant outre son orgueil blessé. Et parce que Anya me connaît et sait que je travaille avec l’Orphelinat. Tu aurais pu avoir de plus graves ennuis si cela avait été quelqu’un d’autres. Tu préférerais que ce soit le directeur qui vienne personnellement se charger de toi peut-être ?

Liam, eu au moins la décence de paraître gêné. Une légère couleur carmin, colora le haut de ses oreilles tandis-qu’il baissait la tête légèrement honteux. Se mâchouillant, la lèvre inférieur, Odeya soupira avant de décider à prendre place aux côtés du jeune garçon. Plus vite ce serait terminé, et plus vite elle pourrait le conduire à l’Orphelinat. Elle savait, déjà quelle excuse elle donnerait. Liam, était connus pour avoir la bougeotte et peut-être un petit peu trop d’ailleurs. Il avait tenté de fuguer plus d’une fois. Alors, dire qu’il avait fait une énième tentative et avait été rattrapé par la police ne semblerait aberrant pour personne là-bas. Elle espérait juste, qu’il ne recommencerait pas à voler. En plus, elle savait très bien pourquoi il faisait tout cela. Liam, était arrivé il y a trois ans, et n’avait de cesse essayé par tous les moyens d’attirer l’attention sur lui. Elle voulait bien croire que ce n’était pas évident de perdre ses parents -elle même avait perdu son père il y a longtemps- et de se retrouver du jour au lendemain orphelin, obligé de partager sa chambre et le quotidien d’autres enfants dans le même cas que lui.

- Tu sais que cela aurait pu être plus grave qu’un simple appel ?
Le sermona-t-elle. Si tu avais été plus âgé tu aurais pu aller en prison

Le simple mot « prison » fit pâlir Liam. Dans l’imaginaire de tout le monde, évidemment la prison était presque la menace ultime.

- Je suis désolée Anya
, dit-elle cette fois-ci à l’adresse de la rouquine cela ne se reproduira plus. Je vais moi même garder un œil sur ce jeune homme dit-elle en adressant un regard au voleur qui se dandinait mal à l’aise. C’est pas toujours facile à l’Orphelinat. Particulièrement en ce moment. Tout le monde, essaye de faire de son mieux, mais parfois il se peu qu’il y ait des petits « débordements »

Odeya s’humecta les lèvres mal à l’aise. Elle, n’était pas là pour plaider la cause des orphelins -et Anya savait très bien ce que c’était que de l’être- ni même déculpabiliser le petit Liam. Simplement, essayer d’expliquer pourquoi les choses arrivaient. Les bénévoles comme elle, avaient beau faire de leur mieux, ce n’était pas assez. Par moment, elle aimerait sincèrement qu’il y ai plus de famille susceptible d’adopter. Peut-être même, choisirait-elle cette voie lorsqu’elle serait un peu plus âgée. Pour l’instant, elle s’estimait trop jeune pour penser à ce genre de choses. De plus, elle avait encore ses études à terminer avant d’éventuellement songer à avoir une famille d’elle même.

- Est-ce qu’il y a une procédure spéciale a suivre maintenant que je suis là ?
Demanda-t-elle

Elle se doutait bien, qu’elle ne pouvait pas simplement arriver comme une fleur, prendre l’enfant et repartir aussi vite.


Anastasia Romanov
« Men are such babies »

Anastasia Romanov

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________________________________________ 2018-11-13, 22:43 « Men are such babies »

Quand on travaillait dans la police, on se rendait compte de tout un tas de choses, comme par exemple du fait que la délinquance n'avait pas d'âge. Le suspect du jour en était bien la preuve, ce qui blasait un peu Anastasia.
Comme Storybrooke n'était pas de ces villes dans lesquelles un serial killer sévit toutes les deux semaines, la jeune femme était souvent appelée sur les affaires sensibles ou qui impliquaient des enfants car on considérait - à raison - qu'un peu de psychologie ne pourrait pas faire de mal. Paradoxalement, c'était souvent les affaires les plus sordides dont il s'agissait. Pas cette fois, cela dit. Et c'était bien.
La jeune femme n'avait pas mis bien longtemps à identifier le suspect comme un des enfants de l'orphelinat de la ville, qui lui revint alors en mémoire. Qu'il s'agisse de ses faux ou de ses vrais souvenirs, elle était passée par la case orphelinat pendant dix ans. Et dans cette réalité comme dans l'autre, elle avait connu Odeya. Mais contrairement à elle, Anya n'y était jamais retournée. Elle savait qu'elle existait - bien qu'elle s'étonnait qu'après la fin de la malédiction tous les enfants n'aient pas retrouvé leurs parents - mais pour elle c'était du passé.
Sauf quand il investissait le poste de police.
Il avait fallu appeler un adulte responsable puisqu'elle était face à un mineur. Anya en avait donc profité pour contacter Odeya puisqu'elle savait qu'elle y travaillait. Elle aurait pu, bien sûr, en référer au sommet de la hiérarchie, à Ali Nacer qu'elle avait plusieurs fois croisé, mais la rouquine s'était dit que convoquer le roi des voleurs pour une affaire de vol n'était ni fait ni à faire. Sans compter sa plus grande affinité avec Odeya.
A voir la réaction de Nicolas quand cette dernière arriva, Anastasia comprit qu'elle avait pu être bien inspirée et ne put s'empêcher de sourire fièrement.
- Eh bien Liam tu es mineur, il nous fallait un représentant légal, j'ai appelé le premier qui m'est venu à l'esprit, expliqua Anya en rouvrant son maigre dossier.
Et Odeya de donner sa propre explication pour compléter en rappelant les faits dont il était accusé. Le commerçant n'avait pas prévu de porter plainte donc l'affaire n'irait pas très loin. Mais quand même. Anya espérait qu'une bonne frayeur et un rappel à l'ordre pouvait ramener les enfants comme Liam sur le bon chemin avant que les délits n'augmentent en gravité ou, pire, ne deviennent des crimes.
Sauf que, pour le moment, c'était Odeya qui faisait tout le travail, Anya se contentant d'observer la scène sans se départir de son sourire. C'était relativement fréquent, qu'il s'agisse de parents ou de tuteurs. Parfois, ils étaient même plus virulents que la police quand ils en venaient au rappel à l'ordre. Ca n'avait rien d'étonnant que les oreilles de Liam aient rougi. Mieux, cela prouvait qu'il avait des remords et c'était encourageant.
Anya balaya les excuses de son amie d'enfance d'un geste de la main, manquant d'ajouter qu'elle était payée pour ça, de toute façon. La jeune femme préféra rebondir sur la dureté que la vie à l'orphelinat était, histoire de se montrer pédagogue :
- Tu sais, j'ai vécu dix ans dans un orphelinat beaucoup moins bien que celui où tu vis et Odeya en a aussi une sacrée expérience. Si tu veux mon avis, tu devrais utiliser toute ta frustration et ta tristesse pour en faire des forces, pas la transformer en de mauvais points sur ton casier.
Pour appuyer son propos, Anastasia referma le dossier et le tapota sur la table. Liam déglutit. Elle releva finalement les yeux vers Odeya pour parler procédure, puisque tout le monde était réuni dans ce bureau pour ça.
- Eh bien, il semblerait que Liam a de la chance. Les collègues ont parlé avec le propriétaire et il n'envisage pas de porter plainte. L'affaire sera donc classée sans suite. Normalement c'est là que je prends mon ton moralisateur mais... ça a plus ou moins été fait, alors je pensais zapper cette étape. Cela dit, on peut le mettre en cellule de garde à vue une heure ou deux pour lui donner un avant goût de ce qui pourrait arriver, laissa échapper Anastasia. Ou juste les visiter, j'ai un peu de temps devant moi. On n'a eu qu'un seul vol aujourd'hui. Pour le moment.
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Odeya Weiss
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________________________________________ 2019-02-15, 17:24



SOS Voleur
« Il n'y a pas d'âge pour la délinquence. »

Essayer d’intimider c’était généralement, la « meilleure » technique avec les enfants. Odeya était parfaitement au courant de la réputation du directeur de l’Oprhelinat mais Liam lui, ne l’était pas forcément. Invoquer une figure d’autorité, afin de lui faire comprendre la gravité de la situation, c’était ce qu’il y avait de « mieux » à faire. Heureusement, Anya décida également de continuer sur cette voie là, en expliquant son parcours et celui d’Odeya par la même occasion. Liam paraissait tout aussi gêné qu’auparavant si ce n’est plus, ce qui quelque part rassura légèrement la blonde. Ainsi, il n’aurait pas l’idée de recommencer. C’était ce qui l’inquiétait le plus avec les enfants par moment. Certains, décidaient de s’engager sur des chemins qui n’étaient pas forcément les plus adéquats en terme d’avenirs. On pouvait les sermonner, ils se contentaient de vous défier du regard, et recommençaient juste après.

- Tu t’en tire plutôt bien, Liam. Le commerçant aurait pu choisir de porter plainte. Au lieu de ça, il a décidé de passer l’éponge. Je pense que des excuses en bonne et dût forme ne seraient pas de trop au près de lui, lorsqu’on en aura finit ici.

Ce qui n’était pas le cas pour le moment. Le fait est, que si certains pouvaient trouver que c’était abusé, Odeya, pour sa part avait bien l’intention de bien faire comprendre la gravité de son geste au petit Liam. Oui, il n’était pas un mauvais bougre, et oui il comprenait que ce n’était pas à refaire. Mais quand même, histoire d’être sur, la proposition d’Anya d’aller visiter ou plutôt voir à quoi ressemblait la prison, en allant faire un tour du côté des cellules de garde -Il n’y avait pas vraiment de prison en ville, Storybrooke n’était pas connu pour ses trafiquants de drogue.

Peut-être que cela suffirait à lui faire bien comprendre la chance qu’il avait eu. Tout le monde, n’était pas aussi gentil que ce commerçant, et il avait beau être mineur, cela n’empêchait pas que le vole restait punie par la loi. Même si c’était des simples bonbons dans une épicerie.

- Je pense que visiter les cellules qu’il voit ce que c’est ne serait pas de trop

Le garçon prit un air horrifié, et elle, qui possédait tout sauf un coeur de pierre, ne pu s’empêcher pendant une micro seconde de mettre sa décision en doute. Si elle avait choisit d’être bénévole après être sortie de l’orphelinat, ce n’était pas pour rien non plus. Elle voulait, être présente pour les enfants. La vie d’orphelin n’était pas toujours facile, même si l’on était loin des clichés que l’on pouvait retrouver dans la plupart des films. Hollywood avait une certaine tendance à exagérer les faits. En même temps, que serait un film s’il n’était pas un peu romancé. Dans ce cas là, ce serait un documentaire et non un film. Mais la réalité, de la difficulté de la vie des orphelins, elle était bien réelle. Anya et elle étaient là pour en témoigner. De même que Liam. Vivre dans l’attente constante qu’une personne veuille bien vous adopter, n’était pas forcément facile. Parfois, un climat de compétition s’installait, et c’était ce que eux, bénévoles faisaient en sorte d’éviter.

- Je ne vais pas te laisser là, Liam le rassura-t-elle. Et de toute façon ce n’est pas de moi dont ça dépend.

Plutôt du directeur, mais de ce côté là, Odeya ne pensait pas se tromper en disant qu’elles partageaient le même avis avec Anya. Le contacter, n’était pas la meilleure idée pour régler cette situation. La dernière chose, dont elles avaient envie, c’était bien que des conseils sur comment voler sans se faire prendre ne soient prodiguer au jeune garçon.

Liam, ne semblait de toute façon pas prêt pour une carrière dans le grand banditisme, il semblait être bien trop mortifié pour cela. Et il avait tout l’air d’un condamné à mort, lorsque le petit groupe se dirigea vers la partie des cellules. A cette heure, il ne devait pas y avoir grand monde. Peut-être un fêtard ou deux, qui avait consommé trop d’alcool et avait passé le restant de sa soirée à décuver au poste de police dans le « pire » des cas. Et personne dans le meilleur. Néanmoins, cela n’empêchait pas Odeya, de se sentir légèrement mal à l’aise. S’humectant nerveusement les lèvres elle se tourna vers son amie rousse pour chuchoter quelques mots à son intention :

- Tu crois que j’en fait trop ?


C’est vrai, après tout elle n’était pas sa mère. Juste une figure d’autorité parmi tant d’autres, et probablement qu’elle avait un peu de tendresse pour le garçon. Il faisait partie des orphelins avec qui, elle avait l’habitude de passer le plus de temps. Certains, avaient leurs préférences en matière de bénévole. Liam, lui passait le plus de temps qu’il pouvait avec elle. Une fois, il lui avait dit qu’elle était un peu comme une grande sœur. Elle ne voulait pas outrepasser ses fonctions, et son caractère timide n’aidait pas beaucoup. Elle était toujours du genre à éprouver un léger nœud dans l’estomac, inquiète à l’idée de ce qu’on pourrait lui dire. On, ne pouvait pas dire qu’elle était une excellente oratrice. Généralement, elle rougissait et se mettait à bredouiller des excuses. Bien souvent, les gens se montraient indulgent, trouvant cela « adorable » même sur une jeune femme de vingt deux ans. Elle, en revanche ce n’était pas trop son avis. Elle se sentait toujours ridicule, et frustrée de ne pas pouvoir aligner trois mots correctement.

Mais elle avait confiance en Anya et en son jugement, si elle en faisait effectivement trop, son amie rouquine n’hésiterait pas à le lui faire savoir, et elle pourrait se corriger. Après tout, son but n’était pas d’outrepasser ses fonctions de bénévole. Elle ne travaillait pas à l’orphelinat, elle ne gagnait rien à faire ce qu’elle faisait, c’était juste un besoin d’aider. D’ailleurs, le personnel ne saurait rien de cette petite escapade au poste de police. Elle n’avait aucunement l’intention de les en informer cela resterait entre Liam et elle.



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________________________________________ 2019-02-15, 22:20 « Men are such babies »

Anastasia ne pouvait qu'approuver les excuses mais ce n'était pas dans sa fiche de poste d'en prescrire. Par contre, elle pouvait encourager des travaux d'intérêt général chez ledit commerçant - avec son aval - pour le dédommager des pertes éventuels... qui dans le cas présent n'étaient pas bien élevées.
Mais quand même.
Les infractions et délits des mineurs étaient toujours à prendre au sérieux. Anastasia s'appliquait à ne pas transiger, jamais et pour personne. Elle voulait et resterait bien droite dans ses bottes. Quant à Odeya, elle était visiblement de cet avis. Sa déclaration qui s'en suivit ne surprit pas la rouquine, mais étonna peut-être plus Liam.
- Dans ce cas, on y va, décréta Anya en se levant de son fauteuil.
Pour faire bonne mesure, elle récupéra le trousseau de clés qui permettait de verrouiller et déverrouiller les cellules et prit soin de les faire cliqueter entre ses doigts. De fait, la question discrète d'Odeya la fit d'autant plus sourire.
- Si toi t'en fais trop, je dois dire quoi ? T'inquiète, ça va bien se passer. Elles sont vides de toute façon.
Aux dernières nouvelles, du moins. C'était peu probable que quelqu'un ait été amené au poste. Il se passait de drôles de choses, dans cette ville, qui n'était pas non plus épargnée par le sordide. Mais ces phénomènes ne se produisaient pas à la fréquence des épisodes de séries télé. Dans les grandes villes, sans doute. Ici, la police gérait surtout les petites affaires du quotidien.
- Et voilà, nous y sommes, indiqua Anya, un peu inutilement, quelques instants plus tard, quand le trio se trouva en face des deux cellules de la ville.
Comme elle s'y attendait, elles étaient vides. On apercevait cependant la couchette au fond de la petite pièce, les toilettes et... rien d'autre. Les murs étaient gris et ternes, comme pour ajouter à cette ambiance.
- La plupart du temps ça sert de cellule de dégrisement mais on a quelques délinquants, de temps en temps, expliqua Anya comme si elle faisait visiter un musée. Rarement des criminels. Tu connais la différence entre un crime et un délit ? Dans les deux cas, c'est ici qu'on se retrouve. Je sais pas ce que t'en penses mais moi ça me donne pas envie de rester. Je crois que ça fait 5m², je suis pas très douée pour estimer les dimensions. Par contre, je peux dire qu mon orphelinat russe était plus accueillant - on avait des fenêtres, précisa la jeune femme sur un ton de confidence. Des fenêtres qui fermaient mal mais des fenêtres quand même.
La profiler marqua une pause avant d'agiter les clés dans sa main et de poursuivre :
- Je peux vous faire entrer, si vous voulez.
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________________________________________ 2019-04-01, 15:13



SOS Voleur
« Il n'y a pas d'âge pour la délinquence. »

Au moins les mots d’Anya, avaient de quoi la rassurer un tout petit peu. En faire trop, c’était l’une de ses plus grande hantise, avec celle d’outrepasser ses fonctions et de ne pas paraître professionnel. Le bénévolat aussi, avait toute une foison de règle comme dans n’importe quel travail. Et il fallait bien faire la différence entre ce que l’on pouvait faire, ce qui était acceptable et ce qui ne l’était pas. Concernant, Liam s’il n’était pas mineur. Très certainement, qu’elle aurait touché un mot ou deux au commerçant afin qu’il apprenne au garçon ce que cela faisait de gagner sa vie, et pourquoi voler c’était mal. Mais malheureusement, pour cela il faudrait attendre un peu.

En attendant, la visite complète des cellules lui semblait encore la meilleure idée. Et de toute façon, il n’y avait personne comme l’avait souligné son amie. Liam, avait besoin de comprendre que pour chaque action bonne ou mauvaise, il y avait des conséquences. C’était une étape importante de l’apprentissage de la vie. Et elle, l’était d’autant plus aux yeux d’Odeya que les enfants comme Liam n’avaient pas de parents sur qui prendre exemple. C’était à elle, et aux autres bénévoles ainsi qu’au personnel de l’orphelinat de le leur faire comprendre. Et parfois, c’était absolument tout sauf un exercice facile.

Il fallait savoir jongler, être à la fois ferme mais pédagogue, savoir écouter mais pas trop non plus. Celui qui avait dit, que travailler avec des orphelins c’était quelque chose de facile, n’avait positivement aucune idée de ce que cela impliquait en réalité.

Liam, pour sa part semblait toujours tétanisé. Raide comme un piquet, il suivait les deux adultes sans piper mot. Pour ne pas se laisser trop attendrir non plus, Odeya se répétait, tel un mantra. Que tout ceci, c’était pour son bien, pour qu’il comprenne les choses. Parfois, il fallait malheureusement un peu bousculer les choses pour que ça rentre. Et bousculer un peu Liam, était nécessaire dans ce cas là. Ecoutant, ce que racontait la rouquine, elle en profita pour jeter un coup d’oeil rapide à l’intérieur de la cellule. L’idée, étant bien évidemment d’y entrer juste après. Juste voir, ne servirait à rien. Peut-être qu’en se rendant clairement compte, de ce qui arriverait si il se retrouvait un jour en prison, pourrait une bonne fois pour toute lui faire comprendre l’ampleur de son geste.

- Les chambres de l’orphelinat son mieux équipés, commenta-t-elle d’ailleurs rajoutant un peu de ce que disait Anya à propos de son orphelinat russe. Et puis, il me semble que tu t’entends plutôt bien avec Danny qui partage ta chambre. Ce serait dommage, de finir enfermé là. Les « appartements » que j’avais lorsque Rothbart me retenait prisonnière étaient un peu plus spacieux et confortable que ça mais il n’empêche que j’étais quand même enfermé.

Elle abordait rarement le sujet de son passé. Anya, le connaissait puisqu’elles s’étaient rencontrés dans ces circonstances. Et lorsqu’elles s’étaient retrouvées à Storybrooke, Odeya lui en avait parlé plus en détails. Mais cela restait une expérience désagréable, et quelque part un traumatisme. On avait tué son père, et on l’avait enlevé de force, tout ça parce qu’un sorcier s’était éprit d’elle. Y repenser lui procurait encore des frissons désagréables. Sa timidité maladive, venait en partie de là. Seule, elle n’avait pas beaucoup eu de personnes avec qui interagir. Il y avait bien eu, Aldo la grenouille qui pensait être en réalité un prince, Rapido la tortue, et le général Anatole, un oiseau qu’elle avait sauvé d’une blessure. Mais autre que cela, il n’y avait eu que Rothbart et Odile. Hors le premier était justement la raison pour laquelle elle était enfermée, et la seconde ne l’appréciait pas du tout.

Il fallait dire que leurs deux caractères étaient en totale contradiction. Odile, aimait clairement se montrer cruelle et n’avait absolument aucun scrupule à manipuler les gens. Pas même son propre père. Si le sorcier, ne manquait pas d’intelligence, sa fille elle, le surpassait clairement dans ce domaine. Si l’on pouvait qualifier Rothbart de « brillant », alors Odile était un « génie. » Et elle avait, clairement décidé de la prendre en grippe, comme ça parce que la princesse, avait un bon fond.

- Être enfermé, n’a rien d’agréable Liam. Tu peux me croire.

Soupirant tout en secouant la tête, Odeya laissa Anya prendre les devants, après lui avoir simplement signaler qu’elle souhaitait montrer l’intérieur de l’endroit au jeune garçon, afin d’en finir avec la visite des cellules. Pour autant, la journée n’était pas finit loin de là. Et juste au moment, où elle allait faire le premier pas à l’intérieur. Deux policiers, arrivèrent tenant fermement un homme ayant manifestement ingurgité plus que le taux d’alcoolémie toléré, étant donné l’odeur qu’il dégageait et les chansons paillardes qu’il s’amusait à beugler. Immédiatement, les mains de la jeune femme migrèrent sur les oreilles de Liam. Ce n’était pas le moment pour lui d’apprendre ce genre de choses.

« On ne savait pas qu’il y aurait de la visite. » S’excusa l’un des deux collègues d’Anya. « Sans quoi, on aurait attendue pour l’amener ici » admit-il avec une légère grimace.

Odeya, se contenta de secouer la tête de droite à gauche. Elle n’allait pas les empêcher de faire leur travail. Surtout, que l’homme en question, semblait un tantinet instable étant donné qu’ils devaient s’y mettre à deux pour le maîtriser, tandis-qu’il se mettait maintenant à vociférer toute sorte d’obscénité, arrosé d’un bon lot d’insulte envers la police en général. Cela, la fit immédiatement grimacer.

- On dirait que c’est ton jour de chance Liam. Il n’y aura pas de visite de la cellule, étant donné qu’elle est maintenant occupé. Néanmoins, dit toi que c’est le genre de voisin que tu aurais pu avoir.


Et elle n’en avait pas finit, avec Liam. Elle comptait bien le déposer à l’orphelinat avec une vraie prise de conscience. Elle n’avait pas l’intention, de le laisser en compagnie de l’ivrogne. Là, c’était aller un peu trop loin de son point de vu. Néanmoins, elle comptait sur l’aide d’Anya afin de trouver autre chose. Liam commençait déjà à comprendre étant donné sa manière de regarder l’homme. Il semblait complètement terrorisé. Même, si maintenant qu’il avait finit de hurler, il semblait s’être écroulé sur la couchette, pour ne balbutier que des propos incohérents.



Anastasia Romanov
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________________________________________ 2019-04-02, 00:12 « Men are such babies »

Si on prenait cinq minutes pour y réfléchir, Storybrooke regorgeaient d'habitants au passé sinistre. Le monde des contes n'était pas si rose que Disneyland et tout un tas d'autres acteurs voulaient bien le faire croire. En fait, la plupart de ces histoires qu'on lisait aux enfants impliquait un héros orphelin qui passait par bien des sombres heures pour plus ou moins définitivement obtenir sa part du gâteau de bonheur.
Les psychiatres, autres qu'Aloysius, auraient sans doute trouvé cette ville fascinante.
Force était, en tout cas, de constater que ces épreuves rapprochaient. Ainsi Odeya et Anastasia avaient de nombreux points communs et pourraient facilement s'en trouver avec Liam sans trop se creuser la tête.
Anastasia s'était ainsi contentée d'opiner d'un air grave à l'allusion du passé d'Odeya. Que dire de plus ? Elle-même ne comptait pas étayer son propre passé et, de toute façon, si Liam avait fait attention à son nom, il avait compris tout seul qui il avait en face de lui. On ne s'imaginait probablement pas la Grande Duchesse dans la police, quand on pensait à elle. D'ailleurs, l'intéressée principale ne s'y était jamais imaginée non plus avant que l'occasion ne devienne, de son point de vue (pas de celui de Dimitri) une évidence.
L'autre évidence, c'était aussi que dans un commissariat, les visites privées ne pouvaient pas durer longtemps. A croire que la visite complète de la cellule, qui se résumerait probablement à faire trois pas, soupeser le futon peu confortable et regarder la cuvette des toilettes, venait de prendre fin plus tôt que prévu. Mais vu qui venait de débarquer - un habitué, c'était triste à dire - c'était peut-être mieux de laisser les collègues faire leur travail sans être dans leurs pattes.
Anya haussa les épaules suite au commentaire de son collègue, indiquant la cellule déjà ouverte comme endroit tout droit désigné pour leur invité.
- Ca fait longtemps qu'on s'était pas croisé, commenta-t-elle, ironique, à l'adresse du poivrot.
Anya n'avait pas manqué de noter les mains diaphanes d'Odeya sur les oreilles de Liam et de trouver ça attendrissant. C'était pas le camarade Tuberkulov qui aurait fait ça, oh ça non ! Cette mégère avait une façon bien à elle de percevoir l'éducation de ses ouailles.
- On vous dérange pas plus longtemps, reprit la rouquine en entrainant ses invités à l'écart.
Revenue à hauteur de l'accueil, la jeune femme reprit d'un air plus nonchalant (après tout, elle était habituée à ce genre de scènes et sur-dramatiser la situation n'aiderait pas Liam qui n'était pas venu ici pour finir terrorisé à vie) :
- C'était George. On le ramasse deux trois fois par semaine. Il a un langage fleuri mais quand il redescend c'est pas un si mauvais gars. Les ravages des addictions, comme on dit... Enfin bref, puisque la visite a été écourtée, qu'est-ce que tu dirais de travailler aux archives quelques temps histoire de compenser le préjudice que tu as causé tout en faisant quelque chose de constructif ? L'archiviste sent un peu la naphtaline mais elle est très sympa. Et ce sera moins impressionnant que la cellule, ajouta Anya en coulant un regard vers Odeya.
La proposition n'avait pas pour but d'être acceptée ou refusée par Liam mais par sa tutrice, naturellement. Personne n'aimait archiver : ce n'était pas ce qu'on faisait en prison pour s'occuper mais elle n'avait pas de pommes de terre à faire couper en frites.
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________________________________________ 2019-06-20, 22:03



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Manifestement, Liam en avait suffisamment vu pour l’impressionner. Il était aussi blanc qu’un cachet d’aspirine -voir peut-être plus- et jetait des coups d’oeils inquiets en direction de la porte menant aux cellules afin de s’assurer que le poivrot ne sortirait pas de la sienne. Odeya était à présent certaine que le message était bien passé. Néanmoins, ce n’était pas pour autant que la journée était finit. Après tout, le jeune garçon méritait bien une punition pour ce qu’il avait fait. Et Anya, venait de proposer la plus approprié aux yeux de la blonde. Effectivement, personne n’aimait archiver. Et si Storybrooke, n’était pas vraiment une ville normale certaines choses s’effectuaient comme partout ailleurs : à la main.

« Mais… » Commença Liam

- Pas de mais, le coupa Odeya aujourd’hui c’est moi ta tutrice et en tant que tel comme tu es mineur c’est moi qui décide. Tu en as suffisamment bavé comme cela, mais pour autant comme Anya l’a si bien souligné il y a eu préjudice et quand cela arrive tu dois compenser. C’est ainsi que les choses se passent, quand on fait quelque chose de mal, tôt ou tard on se fait punir.

Et ce d’une manière ou d’une autre. Mais, Liam avait bien le temps de grandir, et de comprendre ce qu’impliquait clairement le monde des « adultes. » Elle savait bien, que ce n’était pas toujours facile pour les enfants, encore plus lorsqu’ils n’avaient pas de parents. Et c’était heureusement, en partie pour ça que des gens comme elle existaient. En effet, elle se faisait un devoir d’agir non pas comme une mère de substitution, mais plutôt comme une grande sœur pour tous ces orphelins qu’elle côtoyait et qu’elle comprenait. On avait beau dire, mais quelque part on n’oubliait jamais complètement cette vie là. Même si Uberta, l’avait prise sous son elle, Odeya revenait toujours sur les traces de là où elle avait vécut jusqu’au levé de la malédiction.

Peut-être, était-ce aussi un moyen de se rendre utile, ou bien de se prouver à elle même quelque chose. Pour être franche, elle ne savait pas très bien. Était-ce un moyen de montrer justement, qu’elle pouvait être indépendante à sa tutrice ? Pourtant, la mère de Siegfried avait déjà pu voir par le passé, à quel point Odeya pouvait être débrouillarde.

Ou bien, était-ce un besoin de combler une certaine solitude. Elle avait des amis pourtant, et elle pouvait compter sur eux. Ce n’était pas le problème, en fait il venait plutôt de l’absence d’un certain prince dans sa vie. Elle n’était pour autant, pas décidé à l’abandonner. Que ce soit pour elle, ou bien pour Uberta. Après tout sa tutrice aussi devait ressentir ce manque, et bien plus qu’elle si on y réfléchissait bien. Mais ce n’était pas vraiment le moment de ruminer des pensées sombre. Le trio, s’était dirigé vers la prochaine « punition » de Liam. Ce dernier, semblait avoir compris que peut importe ce qu’il ferait ou dirait, il n’y échapperait de toute façon pas. Odeya, avait de toute façon, la ferme intention qu’il prenne conscience et assume pleinement les conséquences de son acte, et cela valait pour tous les orphelins qu’elle côtoyait. Liam, n’était pas une exception à la règle. Et de toute façon, elle ne pouvait pas faire d’exception. C’était comme ça, pour elle aussi il y avait des règles. Et peut importe l’affection qu’elle avait pour le jeune orphelin, elle se devait de maintenir une certaine distance. Elle n’était que bénévole après tout, elle ne possédait aucun diplôme lui accordant un quelconque « droit » sur la manière de s’occuper de Liam. Ce n’était pas à elle, de faire des remarques. Elle ne pouvait, qu’être une sorte de grande sœur présente pour rattraper les bêtises quand il y en avait besoin.

- Je pense qu’on peut te laisser là pour à peut près...Deux bonnes heures dit Odeya en regardant son portable, dès que le groupe fût arrivé devant la porte des archives.

« Mais...Tu restes pas ? »

- C’est ta punition Liam, pas la mienne et puis tu sais, Anya n’est pas « que » l’officier de police qui s’est occupé de toi. C’est aussi mon amie, et je ne la vois pas aussi souvent que je le voudrais. C’est pourquoi, si elle n’a rien de trop important à faire pendant ces deux heures, je lui propose d’aller se boire un thé toutes les deux.

Sans parler du fait, que rester dans un coin de la salle des archives à jouer sur son portable pendant qu’il était laissé aux bons soins de l’archiviste, n’était pas spécialement intéressant ni productif comme activité. Elle n’avait pas pensé à emmener ses livres pour réviser ses examens, tellement elle était partie en hâte. Et à présent, elle s’en voulait un peut. Néanmoins, elle espérait également qu’Anya ait un peut de temps libre à lui consacrer. C’est vrai qu’il y avait un moment qu’elles ne s’étaient pas retrouvés toute les deux.

« Ne vous en faites pas pour lui. »
Dit l’archiviste. « Je vais m’occuper de ce garnement comme il se doit. »

Oh là dessus, elle lui faisait confiance. Elle avait l’air sévère mais gentille, juste le bon dosage pour la graine de délinquant qui les accompagnaient. Personne, n’aimait ce genre de travail rébarbatif mais c’était justement le but.

- Dans ce cas là, on va vous laisser. A tout à l’heure Liam et pas de bêtises le mit-elle en garde.

Il avait apparemment, récupéré suffisamment de confiance en lui pour protester. Mais alors que la porte se refermait, elle put entendre les remontrances de celle qui allait s’occuper de son protégé de la journée. Il était entre de bonne main, et ça ne lui ferait pas de mal de voir ce qu’à l’orphelinat ils avaient de la chance, de ne pas être punie lorsqu’ils faisaient quelque chose qu’il ne fallait pas. A la place, on les envoyait dans le bureau de l’assistante sociale qui prenait les choses en main.

- Eh bien...Une chose est sur, je m’en souviendrais de cette journée.

Elle afficha un sourire timide à la rouquine. Oui, pas de doute. Ce n’était pas tous les jours qu’on l’appelait au poste de police de la ville. C’était le genre d’aventure dont-elle se passerait bien à l’avenir.



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________________________________________ 2019-06-21, 00:02 « Men are such babies »

En suggérant le travail aux archives Anya était sûre de deux choses : Odeya allait adorer l'idée... Liam, moins. Il est vrai que les archives font rêver peu de personnes, encore moins des personnes de son âge. Mais une punition n'est pas réellement une punition si elle fait plaisir, pas vrai ?
C'est pourquoi la rouquine opina vivement aux propos de son amie d'enfance. Ca, c'était sa vision de la justice. Elle songea aussi que les archivistes ne recevaient pas souvent de visite, du moins, pas de la part de l'extérieur, des civils, et que ça ne pouvait que les distraire un peu de voir Liam. Glynis serait sans doute ra-vi de lui expliquer en long, en large et en travers en quoi consistait son travail et pourquoi il était crucial, quoi qu'on puisse en dire, car Giles était ce qu'on appelle une passionnée. Ca faisait son charme, pourrait-on dire.
Au demeurant, c'était avant tout une femme d'âge moyen consciencieuse et gentille qui fut certes étonnée de voir Anastasia et deux civils débarquer mais dont l'étonnement rayonnait aussi de curiosité et d'accueil. Bien sûr, cela ne lui expliquait pas de quoi il retournait et, quoique touchée par l'espèce de crainte de Liam d'être livré à lui-même dans cet endroit sans fenêtre (sous-sol oblige), elle clarifia rapidement la situation :
- Glynis, je te présente Liam qui va t'aider pendant... Deux bonnes heures comme l'a indiqué Odeya. Ca me parait honnête. Le thé aussi, excellente idée, enchaina-t-elle avec un sourire radieux. Tu vas voir Liam, tu es en présence d'une passionnée, ça va être super enrichissant. Glynis est très gentille, sauf si on classe mal ses dossiers, ajouta-t-elle avec un regard complice en direction de l'archiviste qui opina. Bien, comme tu es entre de bonnes mains, on va te laisser.
Les deux femmes repartirent en sens inverse. Anastasia avait eu la délicatesse de ne pas lui souhaiter de bien s'amuser car elle doutait que Giles éveille en lui une vocation. Même s'il était vraiment doué dans son domaine. Elle ne savait pas bien comment la vocation d'archiviste arrivait mais elle doutait que ce soit aussi précoce.
- Moi aussi je m'en souviendrais, répondit-elle plutôt à Odeya. C'est pas tous les jours que les sanctions qu'on applique ressemblent à des heures de colle. Ca change, c'est bien. C'est ce que j'aime dans ce métier, la routine, ça n'existe pas. Donc, ce thé. Tu veux aller le boire où ? Je pense que tu dois avoir plein de choses à raconter depuis... tout ce temps. C'est fou quand même : la ville n'est pas siiii grande et pourtant j'ai l'impression de croiser certaines personnes une fois tous les trois ans. Mais il faut bien dire que je ne retourne jamais à l'orphelinat par principe. C'est derrière moi, dans tous les sens du terme. Pas pour toi, visiblement. Un besoin de rendre ce que tu as reçu ?
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________________________________________ 2019-07-06, 22:27



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« Il n'y a pas d'âge pour la délinquence. »

Odeya n’avait pas pu s’empêcher de sourire à la remarque d’Anya. C’est vrai que l’espace d’un instant, on se serait plus cru dans un établissement scolaire plutôt que dans un poste de police. Ce n’était probablement pas tous les jours, qu’ils ramassaient des graines de délinquants en herbe pour leur expliquer comment fonctionnait la vie. A croire qu’en travaillant ici, on avait plusieurs casquette notamment celle d’éducateur ou d’éducatrice dans le cas présent. Mais à l’entendre, cela n’avait pas l’air de la déranger au contraire. C’est vrai qu’elle ne devait pas avoir le temps de s’ennuyer au fond, si toutes les journées se déroulaient plus ou moins de la même manière que cette matinée.

- Oh eh bien, j’avais pensé à un salon de thé pas loin. Leurs pâtisseries et leurs thés sont délicieux. Je m’y installe généralement lorsque j’ai des révisions à faire, étrange c’est un endroit qui m’aide à me concentrer.

Ce ne serait pas pour aujourd’hui, mais ce n’était que partie remise. De toute façon, elle avait encore du temps devant elle pour assimiler ses cours. Et puis, elle étudiait la danse pas la géologie par exemple, même si elle avait prit des matières optionnelles afin de pouvoirs se rattraper si jamais ses matières principales lui passaient sous le nez. C’était toujours le risque malheureusement, même en bûchant comme une dingue. Certains y allaient pour ainsi dire au talent et réussissaient quand même. Pour sa part, elle s’était toujours demandé comment c’était possible. Elle avait constamment besoin de travailler dure pour réussir, non pas qu’elle se plaigne forcément, les gens étaient tous différent ainsi va le monde.

Fouillant rapidement dans tout le fatras qu’était son sac, Odeya en ressortie finalement ses clés de voitures. Le salon de thé n’était pas loin, mais en voiture pas à pied. Cela prendrait trop de temps de faire le trajet sans véhicule surtout qu’elles n’avaient que deux heures devant elles pour discuter et rattraper un peut le temps perdu.

- Il y a sûrement de ça admit-elle en s’installant au volant, alors qu’elle ouvrait la portière pour permettre à son amie rousse de rentrer. Je comprends tout a fait la réaction des gens qui ne souhaitent plus avoir de contact avec l’orphelinat. Ce n’est pas nécessairement une période heureuse, mais quoi qu’on en dise j’ai eu de la chance, de toute les personne possible c’est Uberta qui m’a trouvée et m’a offert un toit.

Inconsciemment, elle ne put s’empêcher de frissonner en imaginant un certain sorcier de sa connaissance. Oui, sa vie eut été nettement moins agréable si Rothbart au lieu d’Uberta l’avait retrouvé. Elle ignorait totalement ce qu’il était devenue au moment de la malédiction, et si elle voulait être honnête avec elle même, elle ne voulait pas le savoir. Ses années de captivités semblaient loin derrière elle à présent et elle ne voulait plus y penser, regarder constamment derrière son épaule afin d’être sur qu’il n’était pas là. Elle savait, qu’elle ne pouvait pas « ignorer » la potentielle menace qu’il représentait. Mais depuis le levé de la malédiction, elle n’avait plus eu à se préoccuper ni de lui, ni d’Odile. C’était du passé, et à présent ce qu’elle voulait, c’était avant tout regarder vers l’avenir rien de plus.

Elle se gara sur le petit parking du salon de thé, passant la porte de ce dernier faisant par la même occasion teinter la clochette annonçant l’arrivée de potentiels clients. Comme à son habitude, les serveurs eurent tôt fait de leur trouver une table à elle et Anya, où elles purent s’installer tranquillement. Des cartes, leurs furent remises dans les mains, tandis-que la vitrine montrant tous les succulents gâteaux, pour accompagner le thé faisaient de l’oeil à Odeya depuis leur arrivée.

- Tu sais, j’ai bien conscience que je ne changerais pas le monde à moi seule. Simplement, beaucoup d’orphelin n’ont pas nécessairement eu la chance de se trouver une famille. Alors, j’essaye d’être là pour ceux présent, de m’investir dans cette structure et au près des personnes pour les sensibiliser un peut plus à cette cause. Un enfant, reste un enfant que ce soit le sien ou bien qu’on l’ait adopté cela ne change pas l’amour qu’on lui porte. Alors plutôt que de se tourner vers la science pour concevoir à tout prix, peut-être donner de l’amour à un enfant qui ne demande que ça justement pourrait être une meilleur alternative. C’est mon point de vu, tout le monde n’a probablement pas le même mais c’est comme ça que je vois les choses.

C’est vrai au fond, chacun son avis c’était ce qui comptait. Le serveur revint, reprendre les cartes et par la même occasion noter les commandes de chacune. Comme à son habitude, Odeya avait mit un certain temps à se décider et ce avec beaucoup d’hésitation. Il y avait tellement de choix, qu’à force elle ne savait même plus quoi prendre. Elle n’était d’ailleurs toujours pas venue au bout de cette carte, depuis qu’elle fréquentait l’établissement. Son défi personnel était d’y arriver un jour, autant en terme de thé que de pâtisserie. Souvent, pour la forme, elle faisait la moue leur disant que c’était injuste de leur part de sans arrêt rajouter de nouvelles choses ce qui amusait considérablement les serveurs et le patron.

- Ils ne lésinent pas sur la quantité ici, tu verras pour ton thé ils vont t’apporter une véritable théière, quant aux pâtisseries ils les agrémentent toujours avec quelque chose.


Le plus souvent c’était du coulis, ou de la crème anglaise. Parfois les deux, avec beaucoup de chantilly ou de la meringue. Tout était fait maison, et on ressortait de là avec 5 kilos en plus et l’estomac plein pour au moins la moitié de la journée.

- Toi aussi, tu dois avoir beaucoup de choses à raconter depuis la dernière fois, et puisque tu m’as écoutée parler de mon bénévolat à l’orphelinat la moindre des choses serait que je t’écoute aussi me raconter ta vie.


Entre les études, sont travail à l’école de danse, et le bénévolat elle n’avait pas énormément de temps libre et elle le regrettait un peut. Ça lui aurait permit entre autre de voir Anya plus souvent. Mais, c’était la dure loi de l’indépendance. Uberta s’occupait déjà de ses frais de scolarité, et elle qui avait eu l’habitude de se débrouiller toute seule avait mit du temps avant de surmonter sa gêne vis à vis de ce sujet. C’est pour ça, qu’elle avait choisis de se payer elle même ses loisirs. Un moyen pour elle de ne pas être une charge, même si Uberta ne rêvait que d’une chose : la gâter. Elle supposait, qu’elle aurait bien voulut avoir une fille, et qu’elle rattrapait un peut cette envie avec elle.


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________________________________________ 2019-07-06, 23:35 « Men are such babies »

- Alors on peut aller dans son salon de thé, ça a l'air chouette, déclara Anastasia.
Bien sûr, que l'endroit apaise Odeya était un sacré plus mais c'était aussi et surtout la perspective d'un goûter qui l'enchantait. La grande duchesse des gourmandes n'allait certainement pas se voiler la face là-dessus ! C'est donc avec une motivation dévorante qu'elle prit place dans la voiture de son amie d'enfance, ne pensant déjà plus au pauvre Liam laissé derrière elles aux archives.
Ce n'était pas non plus l'évocation de l'orphelinat qui allait lui miner le moral, tout comme elle n'ombrageait pas non plus celui d'Odeya. Au demeurant, toutes les deux s'en étaient bien sorties et avaient trouvé une façon de renvoyer l'ascenseur à ceux qui avaient besoin d'aide, Odette en s'occupant d'une nouvelle génération d'orphelins et Anya en œuvrant pour la justice.
- Elle m'a toujours paru étrange cette Uberta, trop... grandiloquente pour moi, je pense, mais oui, elle n'a pas l'air méchant, approuva Anastasia sur le trajet du goûter.
Le salon de thé était tout à fait charmant et on sentait qu'Odeya y était un visage connu qui, manifestement, avait sa table assignée, dont l'emplacement était plutôt stratégique, notamment pour observer la vitrine de pâtisseries. Ce n'était pas difficile de comprendre ce qui lui plaisait dans cet endroit car c'était la même chose qui commençait à plaire à la rouquine.
Et la conversation reprit là où elle avait été laissée dans la voiture. Anya lova sa tête dans le creux de sa main et écouta le récit d'Odeya. Et avant qu'elle n'ait le temps de renchérir sur sa propre vision des choses, lle serveur prit les commandes, un thé à la vanille (SOS voleur ♚ ANYA 675216545) et une tarte tatin qui la faisaient déjà saliver. Les précisions d'Odeya ne purent qu'accélérer le processus, à se demander si elle n'allait pas finir par baver comme se deux chiens, Hoover et Smiley. C'était tellement indigne d'une grande duchesse !
Anastasia chassa donc cette image ridicule et prit son tour dans le racontage de vie pour rattraper le temps perdu tout en rebondissant sur ce qui avait été dit avant.
- "En dépit de tout ce qu'on peut te raconter, les mots et les idées peuvent changer le monde", répondit Anastasia avant de préciser rapidement : C'est pas de moi, c'est dans Le Cercle des poètes disparus mais je crois que c'est pas totalement faux. Je suis sûre que tu fais la différence - déjà, tu as l'air vachement plus aimable que cette horrible camarade Tuberkulov avec qui j'ai vécu dix ans ! Bonjour le trauma ! J'aime bien ton point de vue sur les enfants. Puis entre nous, la grossesse c'est pas aussi merveilleux qu'on veut te le faire croire à la télé et je te parle pas de l'accouchement. Mais c'est bon, j'ai fait un bébé, je l'aime très fort et je crois que biologiquement je vais m'arrêter là.
Anastasia était résolue dans ses propos même si Dimitri et elle n'en avaient jamais parlé. Il savait très bien ce qui s'était passé et avait dû sentir que sa fiancée ne souhaitait pas remettre le couvert. De toute façon, pouvaient-ils créer un être plus parfait qu'Abigaëlle ? Anastasia en doutait sérieusement, en dépit de tout l'égo dont elle pouvait être parfois gonflée.
- Elle a déjà trois ans et demi, tu n'imagines pas à quel point ça grandit vite, les bébés ! Et moi depuis un petit moment je suis donc dans la police. C'est sympa et pas trop dangereux pour le moment. On a rarement droit aux gros soucis apocalyptiques des divinités du coin ou des superhéros de l'adjoint au maire, c'est plutôt les querelles de voisinage, quelques vols, des voitures mal garées... Ah si, une fois j'ai travaillé sur le cas d'un serial killer vraiment très inspiré pour ses scènes de crime avec Aloysius Black, que j'aime pas beaucoup, soit dit en passant. Non, en fait, je le déteste carrément. Mes autres collègues sont cool, par contre. Le nouveau shérif aussi, même si l'ancienne me manque... Donc toi tu étudies, c'est ça ?
Anya avait fait le tour des grandes lignes et considérait que parler de meurtres au goûter n'était pas l'idée du siècle, c'est pourquoi elle préféra embrayer sur une information qu'Odeya avait laissé échapper un peu plus tôt.
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