« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Alors que la fine pluie du début de l'automne vient de cesser dans les ruelles de Storybrooke, une jeune femme, aux cheveux de feu s'installe sur une petite place pour y jouer un air de violon. Ses cheveux perlés d'eau ondulent comme un renard alors que son violon commence à chanter sous l'arc-en-ciel...
Ce matin, en se rendant à la boutique, Emilie avait pensé à prendre son violon et son archet qui n'était ni plus ni moins que le vestige de son Bricordéon. Une robe en mousseline beige avec un léger motif florale rosé sur le bas, un châle en dentelle sur les épaule et une paire de babies noires et des collants à motifs chat. Elle était prête. Ce soir, en sortant du travail, elle allait jouer dans la rue pour la seconde fois. En faisant ça, elle voulait rendre l'ambiance plus agréable, l'air plus chaud. Un petit panier à ses pieds voulait récupérer quelques pièces pour aider l'hôpital et secrètement elle espérait qu'un jour, en jouant ainsi, elle le retrouve : son Benjamin.
**********
Alors que sa journée se terminait, elle pu voir qu'un léger crachin tombait sur Storybrooke. Le reflet du soleil doré sur chaque goutte offrait un magnifique spectacle dont elle ne se lassait pas. La boutique était calme et les clients se faisaient rare ce jour.
"Emilie, tu peux y aller je m'occuperais de fermer"
Son patron était un homme fort sympathique et il la laissait souvent partir en avance quand la charge de travail le permettait. En contre partie, elle avait l'habitude de faire les ouvertures et les fermetures quand il en avait besoin. Elle prit donc dans la remise ses affaires et se mise en route. La pluie n'était pas forte et commençait à s'estomper. Dans le ciel, les oiseaux se mettaient déjà a danser tous en choeur, les lumières colorés d'un arc en ciel se dessinaient sur le dessus de la scène et la ville chantait de son vivant... Un opéra naturel auquel personne ne prenait généralement le temps d'assister. Une scène qu'Emilie trouvait si belle, si simple et si pure. Elle était inspirée. En traversant les ruelles, elle pensait déjà à ce qu'elle allait jouer. Son répertoire était large, des années et des années de violon à se perfectionner lui avait permises d’acquérir un large savoir. Mais elle ne pouvait s'empêcher de penser : Quelle chanson lui plairait ? et elle su ce qu'elle devait jouer.
Alors, s'installant a l'angle d'une place et d'une rue, Emilie s'essuya le front et profita que la pluie cesse pour sortir son instrument. Elle se prépara et, alors que quelques passants la regardait d'un air interrogateur, elle se demanda si elle faisait bien de faire cela. Etait-ce vraiment correct ? N'allait-elle pas se ridiculiser ? Etait-ce normal de se poser ces questions ? Oui. Elle le savait, la fois précédente, elle avait réussi à récolter plus d'argent qu'elle ne le pensait et c'est en revoyant le sourire des malades de l’hôpital quand elle leur rendait visite qu'elle se motiva à jouer : si dans leur état, ils pouvaient trouver la force de sourire... Alors elle devait trouver celle de jouer.
Elle commença avec la chanson la plus appropriée à cet instant : Somewhere over the Rainbow. Sans regarder ce qui l'entourait, Emilie se retrouvait dans sa bulle, seule avec elle même. Son violon chantait et venait se joindre à l'harmonieux spectacle qu'elle avait pu observer juste avant. C'était un instant qu'elle aimait. Elle se laissait emporter, ne faisait plus qu'un avec son instrument. Et en réouvrant les yeux à la fin, elle vit que seulement quelques passants avaient prit la peine de l'écouter. quelques petites pièces avaient trouvée leur place dans son panier. Ne te dégonfle pas Emi. se disait-elle avec la voix de Mimi dans l'esprit.Elle enchaina sur un medley de Bethoven puis sur du Vivaldi. Rien n'avait l'air de stimuler les passants. Quelques enfants venaient mettre des pièces dans son panier mais ce n'était rien de bien pharaonique.
Un dernier morceau et si ça ne porte pas ses fruits, j'arrêterai.
Emilie se mise alors à jouer une musique qui était d'après elle plutôt connue du grand public. C'était la musique de la Vallée Gerudo qu'elle avait apprise quand Mimi s'était mise à jouer à la sage de jeux Zelda. Cette musique était entrainante et elle espérait pouvoir réunir une petite foule en la jouant avec assez d'hardeur. Elle se laissait imprégner par la musique et bougeait légèrement en la jouant. Elle aurait aimé se lâcher plus, comme quand elle l'avait jouer pour son amie. Mais dans la rue, il était dur de se laisser emporter pour elle. Il était déjà dur de continuer de jouer...
Faites que ça marche... pensa-t-elle en jouant, les yeux fermés.
Elena Atkins
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Emeraude Toubia
| Conte : Le Bossu de Notre Dame | Dans le monde des contes, je suis : : La gitane qui embrase Paris
La jeune femme se relaissa tomber sur sa chaise, le regard perdu dans le vague. Dans une heure, elle aura finit son travail. Dans une heure, elle serait libre pour aller danser, sans que personne ne le remarque. Comme a son habitude, elle avait utiliser une énième excuse pour ne pas avoir à rentrer tôt ce soir. Grâce à ça elle éviterait sans doute les coups de Declan qui serait sans doute déjà endormi devant la télé lorsqu’elle rentrerait. Beaucoup diraient qu’elle est inconsciente de laisser son fils seul avec son père mais au fond d’elle, elle savait qu’il ne lui ferait rien. Du moins elle l’espérerait. Jusqu’à maintenant il ne s’était jamais montré violent face à lui. Declan avait peut être perdu son amour pour elle mais à ce jour l’amour qu’il avait pour son fils était bien réel. Elle repensait souvent à leur histoire d’ailleurs. Il fallait croire que, dans le monde des contes ou dans cette vie, leur amour n’arriverait jamais à vaincre. Leur amour ne devait pas être forgé dans le même bois que les autres pour se détruire aussi facilement. Ou alors n’avait-il jamais été la personne qui lui été destiné. Dieu essayait peut être de lui envoyer des messages, ou est-ce simplement les punitions des erreurs d’une vie passé. Ça elle ne le sera jamais. Mais pour le moment, elle devait attendre. Attendre quoi ? Elle ne le savait pas encore. Mais un jour, elle se disait qu’elle changerait de vie. Pour l’heure, c’était le dossier de son client qu’elle allait devoir changer, sinon ils ne gagneront jamais ce procès.
******************************
Cette fois-ci, c’était la bonne. Elena avait fini son travail un peu plus tard qu’elle le pensait mais désormais elle pouvait sortir de son bureau. Elle profita d’être la dernière dans le cabinet pour se changer de vêtement dans les toilettes. Elle troqua son tailleur bleu nuit pour une tenue de sport, comportant un jogging épousant parfaitement ses courbes et un tee-shirt. La jeune femme enfila en plus un sweat en vu du temps qui se trouvait dehors, au moins personne ne trouverait bizarre de voir une femme sortir avec une capuche sur le visage. Elle releva ses cheveux en queue de cheval et changea de maquillage. La gitane passa ensuite son masque sur ses oreilles et le réinstalla correctement sur son nez. Maintenant elle était prête. Elle sortie rapidement du cabinet, en vérifiant de bien l’avoir verrouillé avant et s’élança sous la pluie entre les corps de quelques piétons divaguant sur les trottoirs.
Vu la pluie qui tombait, Elena irait sans doute directement à la salle d’entraînement afin de ne pas tomber malade inutilement. Avec ce temps, mettre de la musique en extérieur risquait aussi de ruiner ses appareils électroniques. C’est alors que durant sa course pour rejoindre le bâtiment en question, la bohémienne se fit attirer pas le son d’un violon. Qui pouvait bien jouer dehors par ce temps ? La jeune femme se rapprocha, constatant que certains passants s’étaient eux aussi arrêtés pour écouter la douce mélodie. La pluie s'arrêta doucement, laissant place à un magnifique arc-en-ciel. La personne qui jouait n’était autre qu’une jeune femme aux cheveux de couleurs feux. Elle semblait se laisser porter pas sa musique, bougeant son corps au son qu’elle émettait de son instrument. Elena le reconnaissait, l’inconnue avait du potentiel. Elle savait utiliser les musiques qui pourrait intriguer, mais juste après cette pluie, il fallait attirer le public qui n’était pas encore prêt de sortir de ses abris. Elle avait vu le regard de la jeune femme face aux nombres de personnes présentes. Elle savait le courage qu’il fallait pour se donner en spectacle face à un public toujours imprévisible. Elle avait envie de l’aider pour ne pas qu’elle perde son envie de continuer. La rouquine commença alors une musique rythmique et la gitane n’hésita plus. Elle s’élança, abaissant simplement sa capuche. Elle conserva le masque sur son visage au cas où quelqu’un pourrait la reconnaître. Son corps suivit l’élan de la musique, comme elle l’avait appris autrefois à Paris. Désormais, les gens s’approchaient plus, le beau temps revenant, ils n’avaient plus seulement à écouter mais aussi à regarder. C’est ce que les gens avaient du mal à comprendre souvent, pour eux la musique ne se regardait pas alors ils passaient sans prêter un regard. Mais en réalité, la musique pouvait se regarder et se ressentir, c’est ce qui permettait de danser. Elena voyait la musique afin de pouvoir faire ses pas, comme ci tout ceci était naturel. En cet instant, les gens mettaient de nouveaux des pièces, ainsi que quelques billets. Les jeunes femmes avaient finalement réussi à attirer du monde sous ce bel arc-en-ciel.
Alors que la fine pluie du début de l'automne vient de cesser dans les ruelles de Storybrooke, une jeune femme, aux cheveux de feu s'installe sur une petite place pour y jouer un air de violon. Ses cheveux perlés d'eau ondulent comme un renard alors que son violon commence à chanter sous l'arc-en-ciel...
Alors qu'elle sentait la musique cogner à la porte de son coeur, Emilie n'arrivait pas à s'ouvrir à cette dernière. Elle l'aimais mait savoir qu'elle était dans une position d'échec la démoralisait... Du moins jusqu'à ce qu'elle sente une présence s'agiter à coté de moi. La jeune femme ouvrit alors les yeux, l'air surprise mais tout en continuant de jouer. Il s'agissait d'une jeune femme masquée qui s'était mise à danser sur son air de musique. Elle dégageait la même prestance et la même force que ce peuple de femmes fictives dont elle jouait l'air. Ses boucles noires suivaient ses mouvements et donnaient encore plus de corps à sa danse. Les gens commençaient à s'arrêter un peu plus, à porter de l'intérêt au spectacle. Emilie savait qu'ils s'arrêtaient pour la regarder danser, mais qu'elle dansait sur sa musique et que, au final, les gens regardaient le duo et non juste l'une des deux parties.
Gorgée d'un élan de motivation, elle sentie la chaleur s'engouffrer en elle et alors, sa musique se fit encore plus rythmique, plus intense. Ses cheveux roux se remettaient à suivre les mouvements appuyés de son corps. Ses bras se tendaient, elle prenait en allure et leur duo improvisé commençait à s'harmoniser. C'était ce genre d'instant rare qu'Emilie recherchait aussi en prenant son violon dans la rue. Des échanges imprévus, des instants de magie. Elle arrivait sur la fin de son morceau mais, ce dernier étant répétitif, elle le reprit environ sur le milieu pour le faire durer. La jeune femme mystère était si bien lancée et les gens affluaient tant qu'elle ne voulait pas arrêter ce moment si vite.
Certains des passants agitaient leurs mains, d'autres les filmaient. D'autres encore échangeait des messes-basses pour commenter. Les enfants s'approchaient avec prudence pour déposer les pièces que leurs parents leur donnaient. Les adultes eux sortaient leur monnaie et la jetaient d'un peu loin pour ne pas perturber la danseuse. Emilie n'y prêtait pas une grande attention, elle jouait tout en étant subjuguée par la danseuse. Elle était si souple, si à l'aise à danser de la sorte, en rythme avec sa musique... Etait-ce une artiste de rue ? Très surement, elle était si à l'aise qu'elle devait forcément avoir déjà joué dans ce type de scène... Jouer devant un public préparé était bien différent. Au conservatoire notre belle violoniste avait eu l'habitude de faire face à un public souvent professionnel. Pourtant, jouer ici était bien plus stressant : on faisait face à la vraie vie, aux vraies personnes. C'était une admiration sincère qu'Emi' avait pour la jeune femme et pour tous les artistes de rue.
En arrivant à la fin de son morceau, elle s'arrêta quelques instants pour reprendre du souffle et pour applaudir sa binôme. En prenant son violon et son archet dans une seule main, elle s'avança vers elle en lui souriant.
Salut, merci pour ce duo c'était incroyable.
Elle ne savait pas trop comment l'aborder car elle l'intimidait un peu. Mais elle avait envie de lui parler un peu avant de reprendre le violon... Seule ou accompagnée, allez savoir.
Elena Atkins
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Emeraude Toubia
| Conte : Le Bossu de Notre Dame | Dans le monde des contes, je suis : : La gitane qui embrase Paris
Au fur et à mesure de ses pas, Elena comprit que la musicienne avait remarqué sa présence. Et que son spectacle était le bienvenu. Comment le savait-elle ? La mélodie avait trouvé une nouvelle énergie, elle la ressentait. La musique était devenu plus "vivante". Ce qui lui laissa encore plus le luxe de faire parler son corps face aux gens qui s'étaient arrêtés. Petit à petit, elles ne devenaient plus qu'un, indissociable l'une de l'autre.
Lorsque le morceau prit finalement fin, la gitane ne se stoppa pas net. Elle accompagna la mélodie jusqu'à sa fin, entraînant son corps à se contorsionner dans un decrescendo gracieux. Elena était désormais essoufflée par sa performance mais elle ne se sentait jamais aussi bien qu'après avoir dansé. La fatigue que lui indiquait son corps était le résultat d'un désir achevé. Elle fit un dernier salut face à la foule, souriant derrière son masque de tissu. Comme tout bon partenaire, elle applaudit sa camarade de fortune, la présentant ainsi à la foule tel qu'elle était, une musicienne de talent. Une fois la foule commençant à se disperser, la rouquine vînt saluer la bohémienne.
- Merci à toi. Cette musique était incroyable, tu es très douée.
La gitane sera la main de la violoniste en signe de reconnaissance.
- Si cela t'intéresse, ça te dirait d'aller dans un café avec moi ? Nous pourrions faire plus ample connaissance et je pourrais enfin retirer ce masque !
Voyant que la jeune femme acceptait la proposition, Elena prit les devant pour se diriger vers un petit café tranquille qui se trouvait à quelques rues de là. Elle laissa évidemment la rouquine ranger ses affaires et récupérer son butin avant de partir. Elles arrivèrent au bout de quelques minutes dans le café. L'ambiance y était cosy, des petites lumières pendaient du plafond, plongeant la pièce dans une certaine intimité. Des nombreux petits fauteuils se trouvaient autour des tables, laissant place à un certain confort et une musique de fond résonnait dans le lieu. Ce café n'avait rien de luxueux mais il renvoyait une sensation de familiarité, qui mettait facilement à l'aise les clients. Le duo s'installa à l'une des tables jonchée dans un petit coin. La gitane pouvait désormais enlever son masque à l'abris des regards indiscrets, elle n'avait pas forcément envie que quelqu'un ne la reconnaisse là bas et elle voulait aussi empêché cela ici aussi. La bohémienne avait été heureuse quant la rouquine avait accepté son offre, elle commençait à vraiment avoir chaud sous son masque de tissu. Elle posa se dernier sur la table et croisa les jambes pour se mettre à l'aise.
- Je ne t'avais jamais entendu par ici avant. Tu joues souvent dans les rues ainsi ?
Alors que la fine pluie du début de l'automne vient de cesser dans les ruelles de Storybrooke, une jeune femme, aux cheveux de feu s'installe sur une petite place pour y jouer un air de violon. Ses cheveux perlés d'eau ondulent comme un renard alors que son violon commence à chanter sous l'arc-en-ciel...
C'est ta danse qui était incroyable. Je n'avais jamais vu personne danser de la sorte.
Emilie sera la main de la danseuse masquée en lui souriant. Elle dégageait bien plus de prestance que la rouquine mais avait l'air d'être une bonne personne et Emilie savait que son instinct lui faisait que rarement défaut.
Avec plaisir ! Je pense que je ne pourrais pas enchaîner sur une autre prestation de toute façon.
Elle rangea son violon et son archet en souriant. Elle regardait les reflets arc-en-ciel du manche de ce dernier en pensant à son bricordéon. Elle mit le feutre par dessus et attacha les sangles avant de refermer l'étui. ensuite, Emilie se retourna vers le panier et y vit plus de monnaie qu'elle ne l'aurait jamais imaginé. Sur le devant du panier était tombé le petit écriteau marqué "Pour Les patients de l'Hopital de Storybrooke sous les chocs des pièces. Elle le ramassa et fit un rapide calcul dans sa tête. Elle mit environ la moitié dans une petite sacoche et mit l'autre dans sa poche : elle allait attendre d'être au café pour donner son dû à sa collaboratrice. Elle fit une petite marche et après avoir visité quelques ruelles, elles entrèrent dans le café. C'était un endroit que ne connaissait pas Emilie, mais qui lui plaisait déjà. Elle s'imaginait y amener Maelys, Doremi, Sophie et les autres pour faire des petites réunions de copines. C'était cosy, chaleureux. Elle essayait de ne pas y penser, mais ça lui rappela le jour où elle avait invité Benjamin dans son café fétiche : Le Lord. Un café guindé mais qui ne se donnait pas de faux airs. Il était chaleureux et Emilie y allait généralement pour étudier. Un soir, alors qu'il avait plut, elle avait insisté pour que Benjamin l'y suive pour qu'il se réchauffe et fasse sécher sa veste. Elle balaya ce souvenir de sa mémoire et s'installa à la table. Elle se mise droite et mit ses mains entre ses cuisses pour les réchauffer en regardant le décors. Quand elle fit interpellée elle la regarda et se rendit compte qu'elle n'avait plus son masque. Voir son visage était appréciable car elle pu voir que c'était une magnifique jeune femme qu'elle avait face à elle.
Ce n'est que la seconde fois que je le fais. Généralement je joue dans un café le vendredi soir et parfois à d'autres endroit de façon occasionnelle. Mais là c'est pour l'hôpital et... Je trouve ça sympa comme expérience.
Emilie lui sourit et lui retourna la question.
Et toi ? Il t'arrive souvent de danser dans la rue comme ça ? Tu as un talent incroyable pour attirer l'attention des gens, je t'envie un peu je dois dire.
Elle rit légèrement à sa phrase avant de se souvenir qu'elle avait, dans sa poche l'argent qu'elle lui destinait. Fouillant sa poche, elle le sorti et le posa sur la table.
Au fait, voilà pour toi. Sans ta danse il n'y aurait sûrement pas eu la moitié dans mon panier... Alors merci.