« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
“Jack Sparrow... Ca s'rait p't'être mieux avec un, Capitaine.”
Jack recula effrayer et dégouter. Si on avait du donner une mimique de film à celle là, on aurait pu prendre facilement le regard réservé à Davy Johns. Mais visiblement, dans ce monde là, dans cette partie de Temps, elle était pour Hadès. L’écartant un peu avec deux doigts comme si il brûlait, il se contenta de répondre avec animosité. « Ok ! Pas d’problème ! Plus d’violence ! Mais j’dois vous dire qu’on est quand même des pirates, c’est dans notre nature ! Mais c’est vrai, j’avais oublier l’enfant… Et j’adore les enfants, surtout celui là ! Il est vraiment mignon ! »
Elle hurlait. Elle avait faim. Du Lait ! Il fallait du lait ! Se levant brusquement et sautillant de part en part de manière burlesque, il finit par s’arrêter, sous le regard surpris du Dieu des Enfers pour finalement déclarer d’un ton impérial : « Qu’on amène MIMINE ! »
Quelques minutes passèrent, puis finalement, deux hommes amenèrent une chèvre têtue par la corde. La faisant glissée sur le pont, elle bêlait à en mourir. Elle avait appartenu à un sale type, à Tortuga. Un certain Monsieur Seguin. Il n’avait jamais voulu le payer, et plutôt que de mourir sous la poudre, il avait préféré lui donner ce qu’il avait selon lui de plus précieux. La maudite bête n’écoutait rien, mais l’équipage ne devait pas la tuer tout de suite. Le lait, à bord d’un navire, c’était précieux. Surtout le lait sans microbe, celui là, prit directement au pie était frais. On ne risquait pas d’attraper la moindre maladie. « Voilà, ça c’est Mimine, j’l’ai gagné en rançon à un homme malhonnête. Un vrai sale type. Elle est bête comme ses pattes, mais au moins l’lait est bon ! D’ailleurs l’autre soir j’pense qu’on a failli s’la faire voler. Un mec, un jeunot , avec une gueule de con, faisait l’tour du Pearl et observait la chèvre d’un œil plein d’convoitise ! Et j’reconnaissais ce regard ! C’était celui du voleur ! Alors du coup, elle dort dans la cabine du Capitaine. Ca sent l’bouc mais au moins, on va pas s’la faire voler ! »
Prenant un grand verre en éteint propre comme un sous neuf, Jack s’installa lui même sur le tabouret et commença à remplir ce dernier en trayant cette maudite bête qui beuglait plus que le marmot. C’était un spectacle déroutant, surtout pour les passants. « Mais bon, j’m’y suis attaché. Faut dire que son lait est bon ! J’pense qu’elle aurait préféré du lait de vache, mais on a tué la dernière pour la manger sur la route. Ca prend d’la place et ça pue sévère. Puis c’est moins docile… A part cette foutue cabri qui n’en fait qu’à sa tête. Voilà ! »
Il finit par poser le verre contenant la précieuse substance. La petite l’avait vue et commençait à gazouiller. Elle avait fini de pleurer. Jack continua de traître la bête et se servit lui même un verre. Une fois cela fait, il fit signe au groupe de partir avec, puis versa du Rhum pour mélanger. Goutant, il fit une grimace. « C’est meilleur avec du Rhum... »
Puis, il se mit à hurler sur un de ses gars. Si il y avait bien quelque chose dont Jack Sparrow avait horreur, c’était la mort d’un membre d’équipage qui ne la méritait pas. Surtout quand c’était sous les coups de l’injustice. Prenant sa défense, il déclara simplement en buvant son cocktail improvisé : « On pourrait dire à la chèvre de lui lécher les pieds. Ca paraît pas comme ça, mais c’est un sacré supplice, j’ai vu un mec d’venir fou un jour à cause de ça… Mais ça serait faire du mal à Mimine, j’suis pas sûr que s’gars là se lave tous les jours... »
Restant le regard dans le vide, le soleil perça les nuages et frappa le visage de Jack. C’est vrai qu’il devait avoir une sacrée tête de con. Reportant son attention à Hadès, il finit par déclarer : « Bon, ça m’va. Mais j’veux refaire aussi la proue de mon bateau. Le voyage à Neverland à déboîter le squelette qui avait devant. Je veux une femme. Une belle femme. Une femme à poil. Avec de gros nénés. J’aime les gros nénés. »
Buvant son verre, il finit par le lever, l’alcool faisait un peu effet et il beugla : « A l’Empire d’Hadès ! Seigneur des mondes, et protecteur des Pirates ! »
S’arrêtant, il poursuivit. « Mais sinon, j’serai payer quand ? Oh et pour la carte, elle est ancienne, en parchemin, écrite à l’encre de chine, très vieille, très belle… Une carte quoi… J’doute que vous puissiez vous l’acquérir. Je suis sur une piste solide, mais bon, rien de sûr. »
Hadès Bowman
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Publication : bientôt Co-écrit par Sasha Hale & Desmond Blake
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« C'est quoi cette chose ? » demandais-je en observant la chèvre arriver.
On était dans une caméra caché ? C'était l'autre con de Dysonisos qui me faisait une farce ? Pourquoi il y avait une chèvre sur ce navire ? Sur mon navire ? Parce que oui, désormais c'était le miens. Je l'avais décrété.
« Elle dort dans la cabine du Capitaine ? Et le Capitaine fait des trucs avec ? » m'interrogeais-je.
Car vue le type face à moi, ça ne me surprendrait pas. Qui avait idée de faire monter une chèvre à bord d'un bateau pirate ? C'était comme faire entrer une nonne au Rabbit Hole ! Bien que dans mes souvenirs, on en a eu une, une fois. Mais elle pouvait tourner sa tête à 360 degrés et elle vomissait de partout. C'était pas vraiment la nonne de base. Plus une catégorie à part, sans doute nourrie au lait de chèvre. En parlant de cet animal, le verre de lait frais était posé à côté du pirate, tandis qu'il remplissait le siens de Rhum. J’eus un air de dégoût sur le visage. Comment pouvait il boire le lait d'une chèvre qui se trouvait juste à côté ?
« Je crois qu'on va s'en passer. » dis-je en faisant apparaître un biberon.
Je testais sa température avant de le porter aux lèvres de mon petit monstre. Elle ne semblait pas avoir faim, car elle ne voulait pas son biberon. Pourtant, elle semblait intéressée par le lait de chèvre... c'était quoi la différence entre du lait de son biberon et ce lait là ? N'en pouvant plus de ses caprices, j'avais tendu le biberon au pirate.
« Et sans Rhum dedans ! » précisais-je, en lui faisant comprendre de verser le contenu du verre à l'intérieur du biberon.
Il avait quoi là ? Une femme à poil ? A poil dans le sens nue, ou avec des poils ? J'avais un doute d'un seul coup. N'empêche, il savait comment parler à un dieu. J'aimais bien ce titre Seigneur des Mondes, protecteur des Pirates. Je le ferais graver sur ma tombe. Enfin, celle de tous les autres mortels dont je croiserais la route.
« Je peux absolument avoir toutes les cartes. Même les Pokemon rares. Enfin, sauf la 18 argent. Je ne sais pas pourquoi, j'ai jamais réussi à la trouver. Ca doit être un leurrer. Elle n'existe pas. Sur le paquet y'a noté qu'il en existe 17, mais je suis sûr qu'il y a une 18 cachée quelque part. Un jour je la trouverais ! »
J'avais ça dans le sang, la piraterie. En attendant, j'avais fait apparaître une dizaine de pièces d'or dans la main du pirate.
« C'est de l'or véritable qui vient tout droit d'un coffre à Londres. Ou à Mexico. J'ai aussi du bronze et de l'aluminium. Mais en feuilles pour ce dernier. C'est utile pour conserver la nourriture. »
Peut-être moins utile pour un pirate. Bien que comme il voyageait beaucoup, ça lui permettrait de garder sa nourriture fraîche. Les bienfaits de l'aluminium, il n'y avait que ça de vrai ! Et aussi le beurre de cacahuète. Mais dans un tout autre domaine...
« Je vais vous faire apparaître tout le nécessaire pour voguer pour le compte du dieu des Enfers ! » m'exclamais-je.
En une fraction de seconde, à côté du drapeau pirate, se tenait dessiné une flammèche. Quand au bateau, sa coque fut nettement plus resplendissante.
« C'est de l'adamatium. Pas vraiment à dire vrai. Mais c'est bien plus résistant que le bois. »
Et effectivement, c'était tellement plus résistant que le bateau commençait à s'enfoncer sous le poids du nouveau matériel. Heureusement, je pu faire revenir rapidement le tout à la normal.
« On va peut être laisser le bois... » conclus-je.
Je ne m'y connaissais pas beaucoup en bateau. Quoi qu'il en soit, des armes apparurent, des armures, des bouteilles de rhum, des cahiers de coloriage, une vache pour remplacer celle qu'ils avaient mangé et un perroquet. Cela dit, il venait de s'envoler et partir vers de nouveaux horizons. Bon tant pis... ils feraient sans..
« Qu'on soit bien clair. A la première trahison, je vous ferais tous mourir de la manière que vous souhaitez. Car c'est pas votre mort qui m'intéresse, mais votre après mort. Je serais là pour m'occuper de vous personnellement ! » dis-je en fixant Sparrow droit dans les yeux. « Sparrow ça veut dire moineau, c'est ça ? C'est pas très sérieux. On va transformer ça en Dark Sparrow. Ca fait... Sombre Moineau. C'est toujours mieux. » conclus-je.
Nouveau capitaine, nouveau nom, bateau mieux équipé et nouvelle vache. Il était prêt à prendre la mer !
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“Jack Sparrow... Ca s'rait p't'être mieux avec un, Capitaine.”
Jack observa l’enfant faire la moue en voyant le biberon, et il fit automatiquement la même. Cela devait être du à son côté empathique. Quand le dieu des enfers lui tendit le biberon, il se contenta de le remplir avec précision, comme une expert. Pas besoin de vérifier la température. Venant directement du pie de cette chèvre, il était déjà à la température optimale. « Le meilleur lait de chèvre de tout Neverland ! Et pour répondre à votre question, non le Capitaine ne fait pas de trucs avec. C’est bien moins sensuel qu’une femme.» dit-il en lui tendant le biberon.
Tout se passa ensuite très rapidement. Une pluie de pièce apparut dans les mains du Pirate. Les matelots l’observèrent avec convoitise et une lueur assassin apparut dans les yeux de certains. Pliant sous le poids de l’or, Jack chargea alors le singe de l’amener dans les coffres d’un air impérieux. Bombant le torse, signe d’importance particulière pour cette mission, le macaque passa devant les matelots en leur jetant un air soupçonneux, puis les emmena dans la cabine du Capitaine. L’instant d’après, le drapeau changea, une flammèche apparut à côté du symbole pirate. La coque se recouvrit d’un métal brillant et le Pearl commença à couler. Hurlant à la mort, comme si on l’avait blessé, Jack Sparrow commença à faire les cents pas. « Ca ca va pas être possible ! »
L’instant suivant, la coque redevint intacte. Mettant ses mains sur les hanches, il observa la nouvelle proue avec un œil expert. Satisfait, cette image de jeune femme dénudée lui évoquée quelqu’un, mais il n’aurait su dire qui. Se tournant vers le Dieu des Enfers, il pointa le drapeau avec la flammèche et se lança dans un long monologue : « Alors, je veux bien vous rendre service mon gars, mais y’a des limites. J’suis un Pirate, et ça, ça veut dire que je suis un Corsaire, que j’vogue pour le compte de quelqu’un. C’est un symbole, c’est des couleurs. Et des couleurs, j’en ai pas, j’en ai jamais eu et j’en voudrais jamais. L’accord ne tient plus si la flammèche est présente. Pourquoi ? Parce que je vais devenir une cible, ma quote de popularité va baissée, et de Pirate Légendaire, je vais passé à Corsaire Ridicule. Et ça, c’est pas bon pour mes affaires, et si c’est pas bon pour mes affaires, c’est pas bon aussi pour vos affaires vous voyez… Qu’on me vire ce drapeau, avant que quelqu’un l’voit ! Si la mère MacBernik l’aperçoit, j’suis foutu ! Allez on s’bouge les fesses ! »
Les marins s’empressèrent de changer le drapeau, pour remettre celui qu’il y avait à l’origine. Regardant ce dernier d’un air soulagé, il se tourna vers le Dieu des Enfers.
« C’est symbolique, et la symbolique, ici et à Neverland, c’est important. Mieux vaut agir sous couverture, si on apprend que je pactise avec vous, c’est fini. Tiens d’ailleurs puisque vous semblez avoir pas mal de pouvoirs, envoyer moi un maléfice sur ses marins. Ils savent pas tenir leur langue, et à la première catin du coin, ils vont s’empresser de dire avec fierté qu’il agisse pour vous ! Faites leur jurer fidélité ! Pas à moi hein ! A eux. Si vous m’faites jurer fidelité, j’perds ma liberté, mon libre arbitre. Et j’perds ce que j’ai de meilleur quoi ! Ca veut dire que je serai efficace qu’à 10 pourcents. Alors qu’eux, ils ont pas besoin d’ça du moment qu’ils savent tirer sur une corde ! »
Les marins l’observèrent avec un œil inquiet, mais personne n’osa contredire leur Capitaine. Se tournant vers Hadès, il l’écouta parler de son après Mort. Tremblant à cette idée de la tête au pied, il n’osa pas répondre au premier coup. Il devait réfléchir. Brrrr, la mort, qu’est ce qu’il pouvait y avoir de pire ? Visiblement, passer le reste de sa vie ou plutôt de sa mort, avec cet être sans foi et sans pitié ! Tendant deux doigts dans une mimique typiquement sparrowdienne, il déclara : « Pas d’trahison, j’ai jamais trahi personne ! » mentit-il. « Sauf une fois, mon père et la Royal Navy, mais ça, ça compte pas vraiment… Hmmmm Dark Sparrow, c’est pas mal, c’est pas mal… Donc... »
Revenant à ce qui l’intéressait réellement, il tendit la main vers le Dieu des Enfers, bien qu’il soit pris avec l’enfant dans les bras, qui se mit à gazouiller de joie en le voyant gesticuler. « On a un accord ! J’veux mon poids en or à chaque information importante, et un nouveau chapeau quand j’aurai réussi à vous apporter l’information clef et capitale ! Et aussi, j’veux une île. Une île à moi, à mon nom, avec un bar, un super bar. Puis on pourra s’dire adieux, et chacun sa route. Si j’réussis, j’veux plus entendre parler d’vous, et j’veux une place de choix dans les enfers ! »
Hadès Bowman
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« ROAD MIAM TRIP !!! »
« Préparez le château,
on arrive ! »
Autobiographie : Moi, à nu pour vous
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Publication : bientôt Co-écrit par Sasha Hale & Desmond Blake
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« Quoi ? Ca ? » dis-je en observant mon nouveau drapeau. « Ca ne veut pas dire Corsaire, ça veut dire... demi dieu ! »
Car oui, il fallait présenter les choses sous cet angle là. Ca serait bien mieux. J'avais passé un bras autour du pirate, pour le faire s'avancer et voir de plus près le drapeau. Enfin, il était en hauteur, mais bon... je me comprenais.
« Quand on navigue pour quelqu'un, c'est ringard. Ca casse notre image. Mais là c'est pas quelqu'un, c'est Hadès. La flammèche. Ca veut dire qu'on navigue pour le dieu des Enfers. Et quel est le sens caché de tout ça ? C'est qu'on n'est pas un pirate ordinaire ! On est un pirate demi dieu. Un demi pirate. Enfin un pirate demi dieu ou quelque chose comme ça. Bref, un pirate divin. C'est la classe, la gloire assurée ! »
Il avait une cervelle de moineau, il se ferait facilement avoir. De toute façon, c'était classe. Si il critiquait encore ma flammèche, je brûlerait son navire ! J'avais beau parlé, ça ne semblait pas lui plaire, si bien que ses pirates s'étaient mis à retirer le drapeau. Du coup ils s'étaient tous retrouvés avec sur le corps un tshirt avec indiqué dessus : « Hadès c'est le meilleur ! ». Et il y avait une flammèche pour illustrer le tout. J'avais tourné la tête vers Jack, me reculant de lui, et lui adressant un sourire satisfait. Il n'avait plutôt pas intérêt à critiquer mes tshirts !
« Je ne suis pas un magicien de pacotille. Je ne fais pas jurer fidélité aux autres. A dire vrai, quand on sait qu'on a affaire à moi, on ne me trahis pas. Ou que très rarement. Quoi qu'il en soit... ça pue. »
Ca puait vraiment. Et je savais d'où venait cette odeur ! Soupirant, je me demandais si c'était une bonne chose de nourrir autant Autumn. Elle était adorable, mais comment allait elle réussir à faire tomber des têtes, si elle faisait caca tout le temps ? La portant un peu mieux dans mes bras, je mis une main sous ses fesses pour la soutenir et je sentis que oui... elle avait besoin d'être changée !
« Réussissez déjà et on en reparle. Si ça marche, je vous couvrirais d'or. Si ça ne marche pas, je vous jetterais aux crocodiles. Sauf le petit gars là bas. » dis-je en indiquant de la tête un des pirates du Dark Sparrow.
Le pirate pointa du doigt son torse, surpris que je parlais de lui.
« Il a une bonne bouille. Vous engagez des enfants ? »
Bien qu'avec sa barbe, j'en doutais. A moins que c'était un nain. Quoi qu'il en soit, lui, il serait épargné. Je pourrais toujours le prendre dans mon Rabbit Hole. Bref... ça puait. Ca puait vraiment.
« Ne me décevez pas. Et n'oubliez surtout pas que... »
Je remis mes lunettes de soleil, tandis que le ciel s'assombrit et qu'un éclair le zébra. Il y eu un bruit de tambour et... en fait rien de tout ça arriva, car je ne savais pas le faire. Mais le fait que j'avais mis mes lunettes de soleil devait accentuer mes paroles.
« ... je reviendrai ! » dis-je tel un Terminator, avant de disparaître.
Au bout de quelque secondes, j’apparus une nouvelle fois face à Sparrow.
« Juste comme ça... ma sortie ça le faisait ? Je voulais tester un truc. Ca fait classe, non ? Genre, je devrais faire apparaître des flammes ou un truc comme ça pour rendre la scène plus impressionnante ou ? » dis-je en entendant Autumn pleurer dans mes bras. « Je vais te changer, t'inquiète. On y va d'ailleurs. »