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 Stradivarius. (Emily Coincoin)

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Sherlock Holmes
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________________________________________ 2017-11-08, 14:56





Sherlock avançait, à un rythme régulier au milieu des rues de Storybrooke. Il connaissait déjà la ville par coeur, et il savait également parfaitement où il allait. Le détective n’avait pas mis bien longtemps à remonter la piste de ces mauvais contrebandiers pour les retrouver. Les traces qu’ils avaient laissés et les indices étaient tellement grossier qu’il était convaincu qu’il avait affaire à de purs amateurs. Comment en était-il arrivé là ? Mettre un Stradivarius sur un site de vente en ligne avait certainement était la chose la plus stupide que ces malfaiteurs avait fait depuis leur naissance. Surfant sur le net pour essayer de calmer ses pulsions et pour résoudre des énigmes quotidiennement, il était tombé dessus totalement par accident. La suite avait été plus que simple : se faire passer pour un riche acheteur, et donner rendez-vous aux malfrats. Il n’avait qu’à moitié menti. Car riche, il l’était assurément. Quand on a un QI comme celui de Sherlock Holmes, les clefs de la réussite pour les placements boursiers est un jeu d’enfant.
Sherlock bifurqua à gauche, puis à droite. Il arriva enfin devant un vieux bâtiment, proche de la Librairie de Storybrooke. Le quartier était parfaitement tranquille, mais si ces imbéciles savaient qui était le libraire, alors il n’aurait jamais choisi ce point de rendez-vous. Une brique de plus dans le mur immense de leur stupidité intersidérale.
S’arrêtant devant la librairie, il observa la silhouette lointaine qui lui avait certainement donnée rendez-vous. C’était d’ailleurs certainement lui. Silhouette massive, regard biaiseux, furtivité minimale, et coups d’oeil répétés à gauche et à droite. Si il ne respirait pas l’imbécile de base louche et sans cervelle, il ne s’appelait pas Sherlock Holmes.
Pour l’occasion, il s’était vêtu d’un riche costume deux pièces, sobre et élégant. Les gens ont tendance à attacher tellement d’importance à la tenue vestimentaire. Et il adorait se déguiser. Mettant ses lunettes de soleil de marque pour se protéger des derniers rayons de soleils puissants, il s’avança vers l’homme, prêt à jouer le rôle de Thomas Newton, riche homme d’affaire spécialisé dans la revente d’objets rares.
S’avançant sans sourire, il tendit la main d’un geste brusque et impatient, comme le fond souvent les hommes d’affaire pressé.

« Bonjour. Thomas Newton. Nous avions rendez vous. Avez vous la marchandise comme convenu ? »


L’homme l’observa un long moment d’un regard vide. Il était tellement concentré sur la surveillance, qu’il ne l’avait même pas vu arrivé…

« Euh… Ouais. Salut. Vous avez l’argent ? »


Sherlock Holmes enleva ses lunettes d’un geste impatient.

« Bien évidemment. Je vous fais un transfert sur votre compte directement après l’avoir vu. On ne règle en liquide que dans les films de Quentin Tarantino. »


Ce dernier hocha la tête sans rien rajouter. Il s’en alla un moment et se pencha… Dans un buisson ??? Un Stradivarius ??? Dans un buisson ?? Il était plus que stupide. Il était profondément con. Gardant son sang froid et réprimant une envie de le frapper à tous ses points vitaux, il le regarda ouvrir le petit coffret. C’était bien un Stradivarius. La perfection des courbes du bois ne mentait pas. Il avait devant lui un authentique chef d’oeuvre. Tenu par un gorille sans cervelle. Le prenant dans ses mains, il l’inspecta en détail. La signature était bien celle du luthier. Il ne s’agissait pas d’un faux. C’est pourquoi, il déclara d’un ton sombre.

« C’est un faux. »
mentit-il.

« Impossible ! Là où on l’a trouvé... »


« C’est une copie plutôt fidèle, mais c’est un faux. Je divise le prix par deux, je ne pourrai pas le vendre à n’importe qui. »


L’homme le regarda et hésita. Mais il n’eut pas le temps de répondre, qu’une jolie femme blonde arriva en courant vers eux. Le bruit caractéristique d’une arme qui se charge se fit entendre. Haussant les sourcils, Sherlock Holmes ne bougea pas d’un pas. Il savait de qui il s’agissait. Elle enquêtait en même temps que lui sur ce réseau. Certainement pas pour les même raisons. Quoi qu’il en soit, elle était génante.

« Vous croyez que c’est réellement le moment Madame Lame-Duck. Allez chasser les canards ailleurs avec votre arme, et fichez nous la paix. »

A la vu d’Emily cependant, l’homme paniqua, et se saisit du coffret. Attrapant l’archet fourni avec dans un vivacité surprenante, il l’abattit directement sur le genoux droit, à un endroit précis de toute ses forces. Il y eut deux craquements sinitres, celui du genou de l’homme, et celui de l’archet. Jetant les reste de bois au sol, il se saisit du coffret et fixa alors Emily dans les yeux.

« Vous êtes satisfaite ? Cet archet coûtait certainement bien plus que toute votre garde robe bon marché. Faites moi plaisir, baissez cette arme et emportez moi cet idiot. Il est à vous. »


Puis il claqua le coffret d’un coup sec.

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________________________________________ 2017-11-12, 02:15



Stradivarius
Emily & Sherlock
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Pour survivre dans le monde des flics quand on était une femme il fallait deux choses. Soit être un canon, soit être capable de faire seule ce qu'eux étaient incapable de faire en groupe.
Emily avait choisit la seconde option.

Maintenant ? Sur le siège passager de sa vielle Impala 67 on pouvait trouver un nombre incalculable de papiers et de dossiers empilés. Elle avait mis de la musique pour passer le temps, tapotant sur le volant en attendant que l'abruti qu'elle suivait ne daigne retourner a son repaire. En même temps, elle en profiterai pour prendre quelques clichés de l'acheteur afin de l'ajouter a ses dossiers. Plus ca allait, plus elle étendait ses domaines de compétences. Mais pourchasser des gens, réussir a leur extorquer informations... Est ce qu'elle aimait vraiment ca ? La question était intéressante a poser, bien qu'au fond, elle sache qu'elle avait besoin de cet exutoire.

Brusquement la musique l’agaça et elle éteignit l'appareille, se coulant dans le silence. A coté d'elle, au dessus de la pile de papiers et de journaux, un appareille photo attendait tranquillement d'être utilisé. Elle le prit, l'alluma et observa rapidement les clichés qu'elle avait enregistré dessus. Des hommes, chargeant et déchargeant des camions Jetant des regards furtifs autour d'eux. De temps en temps, elle s'arretait sur l'une d'elles, observait un peu plus longtemps le cliché le temps d'assimiler un visage, une personnalité. Lorsqu'elle releva les yeux, l'homme était toujours là et au bout de la rue, elle pouvait voir un second homme approcher. Un coup de jumelle puis quelques clichés plus tard, elle sortait de la voiture pour les rejoindre, jurant comme pas possible. Il allait tout faire capoter cet imbécile ! Elle le connaissait vaguement de vue mais avait entendu parlé de lui un nombre incalculable de fois. Crétin.

Si il se faisait buté, elle refusait d'en prendre la responsabilité. Elle tira son arme et la chargea.


"Les mains en l'air !"
fit elle en pointant son arme sur les deux hommes.

« Vous croyez que c’est réellement le moment Madame Lame-Duck. Allez chasser les canards ailleurs avec votre arme, et fichez nous la paix. »

QUOI ? Attendez, elle le plombait la ou elle attendait ? D'ou il lui parlait comme ca ? Pourtant, loin d'être totalement innutile, l'homme étala son "complice" en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire, avant de se retourner vers elle.

« Vous êtes satisfaite ? Cet archet coûtait certainement bien plus que toute votre garde robe bon marché. Faites moi plaisir, baissez cette arme et emportez moi cet idiot. Il est à vous. »


"Pardon ?"
fit elle en baissant son arme, les yeux ronds. Elle soupira, remis la sécurité et le rangea dans son étuis. "Tu te rends compte de ce que tu as fait espece d'imbecile ? T'as pourris tout mon plan ! Et maintenant je vais devoir envoyer cet abrutie aux urgences au lieu de pouvoir l'interroger !"

Elle fulminait, mais bizarement ca ne semblait pas atteindre "Sherlock Holmes". Pfeu. Elle avait lu ses livres quand elle était jeune grace a Clovis. Lui avait été un grand fan, et grace a lui, elle avait pu admiré son intelligence et sa vivacité d'esprit. Comme elle, le personnage était hors norme, il ne rentrait dans aucune des cases de la société. Lire ses aventures l'avait motivé a se lancer dans le milieu de la police. Mais là maintenant ? Elle était sacrément décue. Bon, en même temps ce n'était pas surprenant, c'était même évident au vu du caractère qu'il avait dans les bouquins mais là... Elle se pencha brusquement et d'n geste, retira l'arme qu'essayait d'attraper le contrebandier. Tranquillement, elle mit le pieds sur sa jambe bléssée et appuya dessus le aisant crier.

"Doucement mon gars, tu ne vas nul part pigé ?"


Un gémissement lui répondit et elle leva les yeux, jetant un regard éléctique a Holmes. Elle se pencha en avant et attrapa le coffret qu'il tenait d'un coup sec.

"Je garde ca"
fit elle en le ramenant vers elle. "C'est une piece a conviction que t'as salement ammoché d'ailleurs. Donc merci de garder tes mains loin de ce truc."

Emily recula, attrapa son telephone et composa le numéro des urgences, demandant a une embulance de rappliquer ici rapidement. Puis ce fut au tour des flics a qui elle fit un topos rapide avant de raccrocher. Enfin, elle se retourna vers Sherlock après avoir fouillé dans ses poches, et attrapa son paquet de cigarettes pour en tirer une en lui jetant un regard rapide. D'un geste nonchalent, elle tendit le paquet vers lui pour lui en proposer une avant de le ranger et d'allumer la sienne. Addosée contre le mur, le malfra bléssé a ses pieds, elle expira un nuage de fumée avant de tourner rapidement les yeux ver Holmes, l'étudiant.

Elle resta un moment silencieuse en observant la rue, perdue dans ses pensées. Ce qui était fait était fait et si elle voulait avoir sa prime, elle allait devoir s'y prendre autrement. Tranquillement, elle finit par lacher :

"J'ai entendu parlé de toi. Il parrait que t'es bon. Qu'est ce que tu cherchais ici ? C'était ca ? "
Elle agita la boite toujours dans ses mains avec un petit sourire. "Dommage pour toi. Oh ! J'ai oublié un détail."

Elle se tourna vers Sherlock, déposant a cigarette sur un muret et s'approcha de lui. D'un geste vif, elle tira ses menottes et en passa une au poignet de l'homme avant d'accrocher l'autre bout au panneau de signalisation qui se tenait la. Un sourire victorieux et elle recula. Eh ouais, il aurait du y reflechir a deux fois avant de lui parler comme il l'avait fait. Tranquillement elle reprit sa cigarette et s'adossa de l'épale contre le mur. Au loin, le hurlement des sirènes se faisait entendre.

"Bon, et si tu m'expliquais comment tu en étais arrivé la ?"

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________________________________________ 2017-11-13, 10:39






Sherlock l’observa faire sans rien dire. C’est vrai qu’elle était douée. Il l’avait suivi de prêt et de loin et il savait qu’elle était bien plus rapide que n’importe qui pour trouver des criminels. Ils auraient pu faire une bonne équipe, si la notion même d’équipe avait un jour intéressé Sherlock Holmes. Un sourire sadique se dessina sur son visage quand elle appuya sur la blessure du malfrat. Puis, sans crier garde, elle l’attacha à un panneau de signalisation et lui déroba le précieux objet. Le balançant comme un sagouin et l’observant sans même voir toutes ses particularités si précieuses. Prenant la cigarette, il l’a porta à sa bouche mais ne put l’allumer car son autre bras était paralysé. Toujours attaché au panneau, il soupira et l’observa sans rien dire, avant de déclarer :

« Si vous aviez le quart de mon esprit déductif, vous sauriez déjà exactement qui je suis, et comment j’en suis arrivé là. Mais bon, vu que visiblement nous avons exactement 6 minutes et 8 secondes avant que la Police incompétente de cette ville arrive, c’est plus qu’un speed datting, mais moins qu’un rendez vous galant. Et c’est surtout très engagé vers la domination de l’autre, vu que je suis attaché, et totalement sous votre emprise. »


Clignant des yeux très vite, il gigota pour essayer de se libérer. Observant le modèle perfectionné des menottes, il arrête aussitôt. Il connaissait déjà la manière de s’en sortir, mais il avait besoin… D’aide. Il détestait ça. Se soumettre pour obtenir ce qu’il voulait.

« En réalité, la personne qui est allongé au sol s’appelle Théodore McPhillips, il vient d’une ville à côté de Storybrooke. C’est un éboueur, spécialisé pendant son temps libre dans la revente sur le Darknet. Il revend des objets de valeur à des gens mal intentionné. Le truc c’est qu’il ne sait jamais d’où viennent les objets. C’est juste un revendeur, et à chaque fois il se tire un pourcentage de 32,26 pourcents exactement. Il ne communique jamais avec le voleur d’objets. Les transactions se font par données cryptées, ce qui couvre totalement celui qui vend à l’origine l’objet en question... »


Trouvant visiblement un briquet dans sa poche, il finit par allumer sa cigarette. Echappant une bouffée rapidement, il laissa la nicotine augmenter légèrement ses capacités de réflexions et de concentration.

« Sa tête n’est pas mise à prix. Et il ne sera jugé que pour recèle d’oeuvre d’art. Vous n’en obtiendrez même pas un dollar et il vous fera perdre un temps tellement précieux que j’estime votre perte à environ 256 dollars et 54 cents. Il ne connaît rien du vendeur, et les seules informations que nous pouvons obtenir sont sur le violon, qui est un Stradivarius... »

Roulant des yeux, il se força à expliquer ce qu’était un Stradivarius.

« Pour votre culture, un Stradivarius est un violon rare, qui a été fabriqué par un luthier du même nom. Pourquoi est -ce qu’il est rare ? Parce que ces sonorités sont précises, magnifiques et proches de l’enchantement. Bref. Pour connaître l’identité du vendeur, qui lui, contrairement à cet homme plus que stupide peut vous rapporter beaucoup d’argent, il faut me libérer et me laisser observer le violon avant qu’il ne soit souillé par les mains impures et maladroites des membres de la police qui mis à part une rayure que vous venez de faire sur le coffret, ne trouverons absolument rien. Le deal est donc très simple, vous me libérez, j’analyse l’objet, je retrouve le vendeur, vous partez avec le vendeur et l’intégralité de la prime, et vous me laissez le violon. C’est un excellent marché. Mais par contre dépêchez vous, je commence à avoir mal et il ne vous reste plus que 4 minutes et 45 secondes pour prendre votre décision. »


Souriant de son sourire le plus charmeur, il l’observa sans rien dire. Elle était arrivée trop tôt et avait agi sans réfléchir. Dommage pour elle, il venait de passer en position de force.

« Vous et moi, en plus on se ressemble. La façon dont sont repassés vos habits marquent une solitude profonde, mais une envie inconsciente de rencontrer des nouveaux gens. Or aujourd’hui, visiblement, c’est votre jour de chance, Emily. »




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________________________________________ 2017-11-20, 01:06



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« Si vous aviez le quart de mon esprit déductif, vous sauriez déjà exactement qui je suis, et comment j’en suis arrivé là. Mais bon, vu que visiblement nous avons exactement 6 minutes et 8 secondes avant que la Police incompétente de cette ville arrive, c’est plus qu’un speed datting, mais moins qu’un rendez vous galant. Et c’est surtout très engagé vers la domination de l’autre, vu que je suis attaché, et totalement sous votre emprise. »


Elle eut un mince sourire. Bon sang ce type était en train de plus ou moins se foutre d'elle et pourtant elle ne pouvait s’empêcher d'apprécier sa répartie. Une première. Ais bon, visiblement il se montrait un minimum coopératif, et quand on connaissait les gens de cette ville ca relevait clairement du miracle. Si il annonçait qu'il était « normal » elle le relâchait et le laissait fonder sa propre religion.
Enfin bon, la il ne fallait pas trop rêver non plus.

Elle haussa un sourcil en l'entendant parler de Teddy. Il était plus tôt bien renseigné, mais visiblement pas assez. La jeune femme tira une bouffée de sa cigarette et crisa les bras en étudiant l'homme devant elle. Alors c'était comme ca ? Visiblement il aimait étaler sa science. Mais quoi, pensait il qu'elle était stupide au point de perdre son temps a pourchasser un type qui ne lui rapporterait que des clopinettes ? C'était mal la connaître.

« Un stra...quoi ? »
c'était quoi ce nom imprononçable encore ? Elle baissa les yeux sur le violon qu'elle tenait en mains. Sérieux ? Merci pour le cours de musicologie. Ceci dit, sa proposition la tentait bien, elle était presque trop alléchante pour être vrai. Lui laisser toute la prime ? Et lui alors, ou était son intérêt ? Ce serait dangereux d'accepter le deal sans avoir toutes les infos. Et elle ne savait toujours pas si il essayait de l’embobiner ou pas au final. Si ca se trouvait, il était réellement venu acheter le violon et il essayait de s'en tirer en lui proposant ca.

Elle plissa les yeux. La derniere phrase qu'il avait prononcé ne lui plaisait.. pas. Pas du tout. Sa machoire c'était crispée et pendant une seconde un éclaire de haine était passé dans ses yeux. Que savait il de la solitude ? Que savait il d'elle ? Rien. Rien du tout. Elle détestait quand les gens faisaient ca, quand ils se permettaient de juger les autres d'un simple coup d'oeil sans prendre la peine de réfléchir. Mais pire que ca ? Elle se sentait agressée. Qu'il puisse dire quelque chose d'aussi juste et personnel a propos d'elle au bout de seulement quelques secondes de parlotte...

Elle inspira et décida d'ignorer la remarque, ou plus tot de la ranger dans un coin de son crane et de garder en tête de le surveiller, préférant se concentrer sur sa proposition. En effet, les voitures de polices arrivaient déjà au loin et lui ? Il essayait de la pousser a l'erreur en la faisant prendre une décision dans l'urgence. Est ce qu'elle allait se laisser avoir ? Il la pensait aussi cruche ? Il ne savait pas a qui il avait a faire. Elle soupira et tira une dernière bouffée de sa cigarette avant de lui renvoyer son sourire.

« Donc t'es un malin hein ? »
fit elle. Elle écrasa son mégot et le jeta au loin. « Si t'es si malin que ca, tu devrais savoir que lorsqu'il s'agit de marché noir, on parle d'objets volés. Donc ? Ce machin a un proprio et on va lui rendre. Je suis sure qu'un vieux riche est en train de chialer pour la perte de son violon quelque part. Donc : je te libère, et tu m'aides. Ca c'est un bon deal. Sinon je peux toujours te laisser la. »

Elle jeta un coup d'oeil vers les voitures de police qui s’arrêtaient dans la rue alors que des agents en descendaient. Oh super, c'était Graves. Genial. Elle pouvait d'ici sentir son eau de Cologne, il avait pris un bain dedans ou quoi ? L'officier s'approcha, les mains sur les hanches en la reluquant de haut en bas.

« Eh bah quelle prise ! Pas mal pour une nana. »
Elle lui jeta un regard vide. Se contrôler dans ces cas la c'était chiant mais elle avait appris a faire avec. Ce crétin finit était juste humain après tout. Et elle n'aimait pas blésser les abrutis dans son genre, ils étaient trop... faibles de corps et d'esprit. Un débile profond a son sens. L’officier jeta un coup d'oeil a Sherlock.

« Heeeey mais comment t'as fait pour le choper lui ? Oh c'est excellent, alors tu t'es fait avoir par une nenette Holmes ? Je te pensais pas comme ca... »


Bon, alors elle lui cassait les dents maintenant ou après. Qu'on rabaisse les autres devant elle était une chose qu'Emily ne supportait pas. Pas de cette manière, et surtout pas par un type qui avait eut son diplôme d'officier dans une pochette surprise. Surtout quand dans trois, deux, un... « Tu sais ma belle, on pourrait peut être prendre un verre toi et moi... histoire de parler boulot tout ca... »

Il avait avancé sa main pour attraper une mèche de ses cheveux, mais au dernier moment celle d'Emily agrippa, vive comme l’éclaire et la tordit violemment, faisant pousser a l'agent un glapissement de douleur et de surprise. Elle se pencha vers lui, dissimulant sa clé de bras aux autres agents qui venaient de leur jeter un coup d'oeil rapide.

« Je t'avais prévenu Graves. Essaie encore une fois de me toucher et je te pète le poignet. C'est compris? »


L'homme, blanc et pale hocha la tête en réprimant un couinement avant qu'elle ne le relâche brutalement, le faisant tituber sur ses jambes. « En plus tu te plantes. Ce type est mon associé, donc t'es gentil mais bas les pattes. »

D'un geste elle lança les clefs de ses menottes a Sherlock, si elle essayait de trouver une raison valable a sa position elle était fichue, il valait mieux laisser réfléchir l'esprit étroit de Graves. Au final la décision avait été rapide a prendre. Mais voir la tête de l'agent quand il comprit qu'il c'était planté valait tellement.. surtout quand Sherlock, en se redressant, le dépassait d'une bonne tête. Emily se posta immédiatement a coté de lui afin de pouvoir lui foutre un coup de pieds si besoin était.

« Bon, sur ce on te laisse, on a des choses a faire. »

Ni une ni deux, elle entraîna Sherlock vers sa voiture. D'un geste elle ouvrit la portière et monta dedans, la refermant rageusement alors que son nouvel associé faisait de même. Elle attrapa rapidement ses dossiers pour lui permettre de s’asseoir et les jeta avec négligence sur le tableau de bord. Les mains sur le volant, elle pouvait voir Grave embarquer Teddy au loin, avec l'air presque constipé qu'il avait a chaque fois qu'il avait a faire a elle. Putain et dire qu'en plus il était marié.

Maintenant il lui restait a gérer le cas Holmes. Elle ne pouvait pas lui donner les réelles raisons de sa décision. Quoi, il la prendrait pour une bonne samaritaine ou quelqu'un de faible au choix. Valait mieux tourner ca autrement donc :

« Teddy – Theodore – est pas seulement éboueur. »
Elle attrapa le dossier qui était devant Sherlock et le lui tendit. « Il sort secrètement avec la fille de Joseph Sartre depuis environ deux mois.  »

Ce nom devait lui dire quelque chose. Il contrôlait une grosse partie du marché noir de Storybrook, des entrées et des sorties. Et c'était lui qu'elle devait choper au final. Mais il était difficile a approcher toujours entouré soit de gardes du cirps, soit de membres de son cartel, soit d'invités de marques eux même gardés. Bref un vrai magnat du crimes.

« A la base il devait juste lui livrer un truc mais faut croire qu'ils ont bien accrocher. Je voulais l'interroger mais après ce qu'il c'est passé Graves ne nous laissera pas approcher Teddy donc il vas nous falloir un nouveau plan. »

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________________________________________ 2017-11-21, 21:47





Sherlock leva les yeux au ciel quand elle prononça « stra..quoi ? ». Mais qui avait offert à ce monde autant d’idiots et d’incompétents… Passant sa main sur le visage ne guise d’énervement, il répondit assez rapidement comme à son habitude et dans un ton réellement cynique.

« Un Stradivarius. Créé par Antonio Stradivari. Un des plus grand luthier, pardon, le plus grand luthier connu à ce jour. Le son des violons est encore étudié par des centaines de scientifiques car il n’est semblable à aucun autre violon. C’est de la grâce, de la pureté, mais je doute que vos oreilles puissent comprendre quoi que ce soit, étant donné le barouf que fait cet Impala. Parlons en d’ailleurs. Une Impala est quoté environ 32 000 dollars, et un Stradivarius, coûte 2 000 000. Ca fait environ 63 Impalas dans vos mains. Outre l’aspect financier, c’est surtout une œuvre d’art. Mais visiblement, ça vous échappe... »



Sherlock jeta sa cigarette comme un junkie rassasié. Fixant Emily, il l’observa un long moment pour essayer de percer à jour sa personnalité par une analyse des détails. Toutes les conclusions menés au même point. Elle s’ennuyait, et elle respirait la solitude à plein comme lui. Cependant il pouvait voir dans son regard l’étincelle de la curiosité, suivi d’un léger dilatement de la pupille, signifiant une montée d’adrénaline. Parfait. Elle était comme lui au final, elle avait envie de… Savoir.

« Il n’appartient pas à un vieux riche comme vous dites. Il appartient à Franceso Valoni, riche homme d’affaire d’une commune voisine de Storybrooke, qui n’est absolument pas du monde des contes mais qui cherche à y gagner de l’influence en testant les réseaux de malfaiteurs avec des objets pareils. Ce gros souillon n’a jamais compris une seule note de solfège, mais effectivement, il lui appartient. C’est un appât, un test du système de Storybrooke. Et il a eu raison, il a gagné. On a un détective sociopathe, une chasseuse de prime solitaire, et oh… Des policiers stupides qui débarquent. Le tableau parfait pour analyser la réactivité des protagonistes qui suivent la loi d’un tant soit peu proche. »


Sherlock écouta parler le singe en uniforme. Il était tellement stupide que s’en était presque perceptible à l’odeur. Lorsqu’il lui fit une remarque misogyne, un petit ricanement cynique et cassant se fit entendre. Ce dernier s’adressa à lui, mais se contenta simplement de répliquer à sa modeste tirade par un sublime doigt d’honneur. Il détestait ce type. C’était un porc, plutôt qu’un singe, qui croyait comme tous les militaires de ce monde que l’uniforme était suffisant pour briller. Autant l’ignorer. Et au moins, le doigt d’honneur, avec son petit cerveau, il le comprendrait aisément.
Tout se passa alors ensuite en un éclair. Ce fut si rapide que Sherlock eut du mal à analyser ce qui se passer. Comme au ralenti, il observa les mouvements parfaits d’Emily. Le mouvement issu historiquement du Ju Jitsu Brésilien était parfaitement exécuté. Même lui, qui s’était entraîné, n’arrivait pas à le faire aussi rapidement. Il ricana de plus belle, cette fois-ci d’un rire moqueur et sincère, fier du spectacle qui se déroulait sous ses yeux.
Lorsqu’elle le libéra, Sherlock se massa légèrement les poignets. Toisant effectivement Graves de toute sa hauteur, il sortit une petite carte de sa poche et la plaça dans la veste de l’homme face à lui.

« Si vous voulez des cours de self-défense, 221B Baker Street, Storybrooke. »


Puis il suivit Emily vers l’Impala et sourit de plus belle.

« Voilà donc la voiture de légende. Jolie, quoi qu’un peu encrassé au niveau du moteur. Oui, je m’y connais un peu en mécanique. Oh et pou répondre à votre question, je connais ce nom. Ce qui m’intéressait en réalité c’était l’objet... »


Il fit tournoyer la caisse qu’il avait récupérer dans ses mains pendant qu’Emily foudroyait Graves du regard.

« Mais si ça vous intéresse, Sartre n’est en réalité qu’un exécutant. Le nom du commanditaire, je vous l’ai dit. Ca vous fera 47 dollars, c’est le prix de mes consultations… Mais si vous voulez monter plus loin, ou plus haut, alors là il me faudra réellement un pourcentage. L’avantage avec les vrais malfrats, c’est que l’on ne connaît pas leur véritable nom… Une filature s’impose donc… On commence par qui ? Sartre, domicile de Teddy, Graves, Valoni, Holmes ? »

Comme un camé sous cocaine, il cligna des yeux ; Il était ravi d’être ici. L’adrénaline faisait effet.

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________________________________________ 2017-11-26, 22:28



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Elle ne répondit pas et démarra la voiture. Ils iraient chez Teddy. Connaissant les flics, ce serait là qu'il dirait en premier et ils risquaient de leur piquer toutes les infos nécessaire de les empêcher d'y accéder et tout le tralala. C'était ce qui arrivait quand on ne se laisse pas faire.
Elle ne dit rien pendant quelques secondes, profitant du silence dans la voiture, avant de jeter un coup d'œil rapide vers Holmes.

« Tu fais vraiment des cours de self-défense dans ton salon ? »
Demanda-t-elle en essayant de réprimer un sourire moqueur.

Elle connaissait bien les livres elle pouvait parfaitement imaginer son appartement, en désordre avec des livres, des objets et des papiers mis partout. Deux sièges, l'un pour Watson et l'autre pour lui au milieu de la piece.

« Non parce que franchement faire venir Graves dans ton appartement c'est un chouïa suicidaire. Sans parler de l'odeur. »
reprit elle.

Plus tard, les roues de l'Impala crissèrent sur un gravier épais, et la voiture s'arrêta devant une petite maison. La façade était sale, couverte de trace sombre d'humidité. La pelouse, mal entretenue, n'était composée que de quelques touffes d'herbe un peu jaunâtre. Les feuilles mortes avaient été remisées dans un coin du jardin, poussées là par le vent. Les fenêtres, dont les rideaux étaient tirés, était sale et ne laissaient rien voir de l'intérieur de la maison.
Émily resta quelques instants à contempler la maison, les yeux perdus, noyés dans les souvenirs. Combien de fois avait-elle été déposée devant ce genre de batisses insalubres ? Livrée à des familles qui ne s'occupaient pas d'elle, la maltraitait et dont les règles d'hygiène étaient totalement dépassées ?

La jeune femme referma rapidement la boîte des souvenirs et s'extirpa de la voiture, vérifiant rapidement que son arme était bien chargée. Ce n'était pas qu'elle n'avait pas confiance en cet endroit, c'était juste quelle avait trop de fois croisé la route de personnes pas foncièrement ravi de la voir, alors qu'elle s'attendait à trouver une maison vide.

« Restes derrière moi. »
Ordonna-t-elle à Sherlock Holmes

Elle frappa à la porte de la maison, attendit quelques instants dans le silence puis ouvrit. L'odeur qui l'attaqua était forte. Ça sentait le renfermé, le nettoyage fait tous les 6 mois. La drogue un peu. La sueur. L'alcool.

Émily laissa Sherlock sur le pas de la porte, et fit rapidement le tour du rez-de-chaussée, vérifiant à chaque endroit s'il n'y avait personne. Puis elle grimpa les marches de l'escalier aussi silencieusement que possible et les descendit quelques minutes plus tard, avec un air satisfait en rangeant son arme dans sa ceinture.

« C'est bon, il n'y a personne. »
fit-elle en passant devant le détective. « Tu as trouvé quelque chose ? »

Elle-même entra dans le salon, et admira pendant quelques minutes les bouteilles de bière vide qui jonchaient le sol. Le tapis était immonde, décoré des traces de ketchup, ou de cercles de cigarettes brûlé. Le fauteuil dans lequel devait se tenir Tommy pour ses soirée était le seul endroit à peu près propre de la pièce.

« Je vais choper le tetanos rien qu'en regardant cette endroit p**** »


Elle soupira, et passa dans la cuisine sur la table de laquelle était étalée des dizaines de facture, de papier expliquant à Tommy qu'il devait se rendre quelque part... Rien de bien intéressant somme. De la paperasse officielle quoi.

Pourtant, Émily n'abandonna pas. Elle s'adossa à une chaise, passa une main dans ses cheveux et s'arrêta pour réfléchir. Si elle était un type comme Tommy, ou planquerait elle les informations confidentielles qu'elle voudrait garder ?
Soit il ne les cachait pas, dans ce cas c'était un abruti. Soit, il le mettait à portée de main mais dans mon endroit assez dissimulé pour que les gens ne pense pas forcément à regarder la en premier lieu. Elle revint dans le salon, s'approcha du fauteuil et d'un coup de pied dans le dossier, le renversa brutalement saison se soulever un nuage de poussière. Dessous, une boîte à chaussures. Elle l'ouvrit et en tira une arme. Derrière, de la paperasse quel essaya de lire avant de soupirer.

« Forcément, un code ! »
D'un geste, elle le tendit a Holmes. « Est-ce que tu saurais décrypter ça ? »




Sherlock Holmes
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Sherlock Holmes

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« Tu devrais pas regarder les gens comme ça »

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________________________________________ 2017-11-30, 17:57





S’asseyant pour la première fois sur le siège passager, ne sachant pas alors que la prochaine fois lui serait fatal, il effectua un sourire mécanique forcé, à l’allure d’un robot avant de répondre au tac-au-tac.

« Je fais plein de chose dans mon appartement. Une fois j’ai empoisonné le chien de John temporairement parce que ce vieux chien sénile avait ruiné à l’urine mes chaussures. John était en colère. Mais c’était amplement mérité. Et je t’assure qu’il puait plus que Graves. »


Regardant par la fenêtre comme un enfant, il s’amusa sur la route à analyser rapidement les gens pour améliorer ses capacités de réflexion. C’était devenu un de ses exercices favoris. Collants filés au niveau des cuisses : enfant en bas-age. Cigarette tenue du bout des doigts : vieil homme qui essaie d’arrêter de fumer malgré son cancer. Deux jeunes qui s’embrasse, lui est marié, ca se voit à la marque laissé par son alliance qu’il vient d’enlever.
Soupirant, il remarqua déçu qu’on était arrivé. Elle chargea et vérifia son vieux pistolet en lui lançant un regard qui voulait dire « Un problème ? », puis elle lui dit de rester derrière elle…

« Oui, je resterai derrière vous. On est jamais trop prudent. »


S’était de l’ironie. En fait, il savait déjà qu’il n’y avait personne dans la maison, car quand il sortit de la voiture, il remarqua des traces de gommes de pneus dans la cour. Elles étaient fraîches et indiquées un départ précipité. Sortant les mains dans les poches, il l’a suivi droit comme un « I » juste à quelques centimètres d’elle. Une danse lascive aurait été plus torride, mais il tenait à se moquer d’elle. La suivant toujours les mains dans les poches d’un air nonchalant, il la laissa jouer les Cow-Boys, à fracasser des portes et à vérifier qu’il n’y avait personne. Quand elle revint, Sherlock était assis calmement dans le fauteuil en train de boire un whisky dans un verre un peu douteux. Il observait les traces sur le verre tout en buvant de temps en temps en grimaçant. Pendant qu’il buvait, Emily parti dans la cuisine, la suivant du regard, il l’observa partir brasser du vent. C’était clair non ? Tout était caché sous le canapé dans lequel il était assis. Les traces sur son verre était de la confiture, de fraise en jugé par le goût qu’il avait dilué dans le whisky. Et des traces étaient également visibles sur le bas du fauteuil, signe qu’on le soulevait régulièrement. Quand elle revint dans le salon comme une furie, il décida de se lever, tout en buvant une dernière gorgée. Le détective l’observa donner un grand coup de pied dans le fauteuil. C’était décidément le thème de la journée : Expendable !
Posant son verre sur un monticule d’objet sur la table basse il tapa dans ses mains d’une manière exagérée et déclara :

« Brillant Lame-Duck ! Vous avez exactement 7 minutes de retard. Holmes 1, Lame-Duck 0. »

Puis il se saisit de la feuille en ricanant. Un code, vraiment ?

« Ce n’est pas un code. Il n’est pas assez intelligent pour ça. Ce soit des coordonnées GPS de trois lieux différents. Latitude, longitude… On apprend pas ça à l’école des chasseurs de prime ? Bien, je pense qu’on a plus rien à faire ici. On commence par où ? »


Et il l’observa avec le regard d’un enfant pour qui Noël est arrivé avant l’heure.

Je suis un sociopathe de haut-niveau, renseignez vous..


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