« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

Le Deal du moment : -17%
SSD interne Crucial SSD P3 1To NVME à ...
Voir le deal
49.99 €

Partagez
 

 Le drôle de Noël de Maria et Callio (Et d'un vieux type dont on se fiche) [Fe]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage


Calliope Lloyd-Webber
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Calliope Lloyd-Webber

| Avatar : Emmy Rossum

| Conte : Coraline
| Dans le monde des contes, je suis : : Coraline Jones, la fillette trop curieuse et qui a deux mamans

| Cadavres : 376



Le drôle de Noël de Maria et Callio (Et d'un vieux type dont on se fiche) [Fe] _



________________________________________ 2017-12-19, 18:30



On va draguer du Père Noël strip-teaser !

J'avais un plan de prévu. Quelque chose de machiavélique, de particulièrement intelligent et surtout d'inratable. Je le savais, parce que j'avais déjà essayé, en fait. Rien ne vaut un bon plan déjà testé et approuvé par la sexy Callio en personne !

Ce fameux plan, dont je vous parlais dans le paragraphe juste au-dessus suivez un peu, consistait à s'introduire chez Maria pendant son sommeil. Vu qu'elle avait des habitudes de grand-mère, je comptais y aller dès dix-neuf heures. Elle aurait été assoupie, plongée dans des rêves fades sans intérêt et sans une paire de fesses apparentes, habillée d'un pyjama d'enfant de six ans à motif de fruit style fraise ou cerise. Sans faire un bruit, je me glisserai à côté de son lit, en retenant le rire sadique menaçant d'exploser, pour ensuite brandir une aiguille remplie d'un médicament supposé l'endormir profondément pendant les douze prochaines heures et qui viendrait finalement se planter dans son épaule maigrichonne et peut-être un peu trop large. Sûrement qu'elle se réveillerait, qu'elle m'hurlerait un peu dessus et qu'elle finirait par s'effondrer sur le sol, les fesses en l'air et de la bave au coin des lèvres. J'en profiterai du coup pour la traîner jusqu'à l'aéroport, la changer dans les toilettes pour la saucissonner dans une combinaison de ski pas du tout glamour et attendre en trépignant sur mon siège qu'elle me réveille et qu'elle menace de me piquer sur sa machette façon mini Knacki. Je prendrai un plaisir fou, glousserai comme une hyène hystérique avant de gémir parce qu'elle me frapperait pour se venger de ce nouveau voyage forcé. Et si elle continuait à chouiner une fois arrivées, il me resterait plus qu'à la pousser dans la neige alsacienne pour la faire taire. Parce que oui, petite précision: je prévoyais de l'embarquer en Alsace. Un chouette coin de France, à ce qu'on m'avait dit. Cette région était apparemment pleine de saucisses, de bretzels géants et de moniteurs de ski sexy. Bref, ça avait l'air d'être l'endroit parfait pour fêter Noël avec sa meilleure Maria. Vider des bouteilles de vin français n'aurait pas la même saveur si elle n'était pas là pour me traiter comme une gamine immature, dangereuse et irresponsable. Ce que j'étais absolument pas. Maintenant, j'étais une trentenaire. C'était fini, le soir du réveillon passé à faire du patin à glace totalement nue !

Mais ce plan avait connu un rebondissement. Un sacré retournement de situation. Un peu joueuse (Et surtout un peu bourrée), j'avais passé un coup de fil à Maria pour lui demander ce que lui inspirait un séjour en Alsace pour fêter Noël en compagnie de la merveilleuse personne que j'étais. Ma mâchoire s'était décrochée quand elle s'était montré intéressée. J'étais restée muette, assez longtemps pour qu'elle se demande si on avait été coupé. Mais c'était sa faute aussi ! Elle m'avait laissé sous le choc ! Depuis quand Maria, aka l'espagnol élevée par des bonnes soeurs qui avait une machette dans l'arrière-train, acceptait de son plein gré un mini voyage pour célébrer une fête de fin d'année avec l’insupportable créature que j'étais à ses yeux ? Je voyais qu'une réponse évidente. Qu'une seule chose assez crédible pour accepter ce petit miracle de Noël. Maria s'était enfin rendu compte à quel point elle m'aimait. Elle voulait me faire plaisir. Se faire pardonner pour toutes les méchantes choses dîtes à mon sujet. Me prouver son amour éternel et si fort qu'il devait l'empêcher de dormir et de penser normalement. Je le savais. Je l'avais toujours sû. Elle était sous le charme, et c'était bien normal. Moi aussi je m'aimais à ce point là, donc je pouvais la comprendre.

Cette fois, il y avait pas eu besoin de la droguer, du coup. Elle était montée dans l'avion de son plein gré. Mais elle m'avait quand même menacé quand j'avais essayé de l'habiller avec une grosse doudoune rose bonbon qui l'avait quasiment rendue malade. Ce moment là, ça avait été mon préféré. Tous le reste... avait presque été ennuyeux, en fait. Le vol paraissait vachement plus long quand il fallait pas attendre que la personne encore sonnée par des drogues se réveille.




- Joyeux Noweeeeel la France !

Les mains emmitouflées dans des gants, je les plongeais dans un gros tas de neige pour en balancer au dessus de nos têtes coiffées de bonnets. Comme ça, on avait vraiment l'impression qu'il neigeait pour fêter notre arrivée! J'avais été déçue tout le long du trajet en bus pour rejoindre notre hôtel quand on avait été accueillie par un grand ciel bleu et un soleil qui menaçait déjà de me refiler des coups de soleil. Eh oh, la météo française ! J'avais demandé du froid et des flocons, pas la plage à la montagne !

- Allez Maria, viens faire un ange dans la neige ! T'as vu le mien ? Hein? Tu l'as vu ? Avoue que c'est super ironique venant de ma part !

J'éclatais de rire en me relevant, le dos de mon gros manteau trempé après avoir fait un plongeon dans la neige pour remuer bras et jambes et utiliser mon corps afin d'imiter la silhouette d'un ange tombé du ciel après avoir bu un peu trop de vin de messe. Ce qui était ironique, c'était que Maria me considérait comme un espèce de démon, en fait ! Et pourtant j'imitais un ange là ! Vous avez compris l'ironie de la chose ?

- Elle dit quoi ?

Une dame en tenue de ski venait de s'approcher de nous avec un grand sourire, pour dire je savais pas quoi. Elle indiqua du doigt la montagne derrière nous qui surplombait le village plein de chalet et qui allait nous accueillir pour les cinq prochains jours, en continuant à parler avec son charabia de mangeuse de fromage qui sonnait comme une mauvaise imitation à mes oreilles écrasées sous des caches-oreilles en fausse fourrure dorée.

- Tu peux pas lui demander de nous aider à monter les valises jusqu'à l'hôtel ?

Mon coude alla se loger dans les côtes de Maria pour essayer d'obtenir un peu de son attention. Si elle voulait copiner avec une vieille, bien. Mais si ça pouvait servir à quelque chose, ça serait encore mieux. On venait tout juste de débarquer au village enfouit sous la neige, et j'avais méga la flemme de monter mes trois valises dans les escaliers qui permettaient d'accéder à notre hôtel qui avait eu la super idée de construire une terrasse donnant sur la montagne et qui entourait tout le bâtiment. C'était génial, vraiment, mais pourquoi ils avaient pas pensés à aussi installer un ascenseur?




Invité
Invité

Anonymous



Le drôle de Noël de Maria et Callio (Et d'un vieux type dont on se fiche) [Fe] _



________________________________________ 2018-01-07, 17:13




Le drôle de noël de Maria et Callio
C'est vrai ce que les gens disent : pour pouvoir avancer il faut se détacher du passé. Se détacher c'est facile, avancer c'est une autre paire de manches. Alors parfois on se renferme. On essai de résister au changement. Mais les choses ne peuvent pas rester comme elles sont. À un moment, il faut lâcher prise. Avancer. Parce que même si c'est difficile, c'est la seule façon de grandir.



Pourquoi diable avait-je accepté une telle proposition ? L'aventure incongrue de Paris ne m'avait-elle donc pas servie de leçon ? Peut être était-ce parce que je ne voulais pas passer noël toute seule. Je ne comprenais toujours pas ce besoin de croire en un homme barbue, habillé d'un vêtement rouge carmin et qui venait offrir aux enfants des cadeaux. Je trouvais cela absolument poétique, et tout simplement sublime pour toucher l'âme d'un enfant. Mais pourquoi leurs faire croire en cet espoir d'un homme qui fait les maisons toute une nuit, si c'est pour leur octroyer par la suite ? Les traditions ne cessaient jamais de m'impressionner. Une question ne cessait de me turlupiner l'esprit lors du voyage en avion. Comment Calliope avec un salaire misérable de catin c'était-elle dénichée des billets d'avion et un séjour en Alsace ?

Je craignais que ce soit encore de l'argent sale. Mais depuis que Loki était partit, j'étais plus encline à rester enfermer que de sortir dehors. Jezabel possédait encore une certaine colère envers mon être, ce que je n'arrivais pas à comprendre. Comment pouvait-elle m'en vouloir, après tout ce qui c'était passé ? Peu être parce que moi même, je n'étais pas en position de lui pardonner également. Forte heureusement, mes nouveaux attributs d'historienne me permettait de voir des choses absoluments fabuleuses du passé. Je découvrais mont et merveille à chaque vestige du passé qui s'offrait à moi. Les nuages ne tardèrent pas à laisser place à des montagnes qui s'élévaient. Leurs pics et leurs altitude ce confondait aisément dans les nuages. La splendeur du paysage me frappait de plein fouet.

J'avais pris soin de reprendre mes règles en présence de Calliope. Si son manteau douteux n'avait pas suffit à me séduire, j'avais peur de ce qu'elle me réservait dans ce grand réservoir d'idée qu'était son esprit. Je savais la voir venir. Que ce soit elle ou Jezabel, je m'aperçevais facilement de la supercherie qui planait dans l'air. Les interprêter avant qu'ils ne me saisissent était plus sécurisant. Je posais le pieds sur la poudreuse blanche. Mes yeux ne pouvaient s'empêcher d'effectuer des vas et vien entre les chalets et la neige. Je n'avais jamais eu l'occasion de voir ce délicats manteau blanc recouvrir les déserts de San Angel. Un sentiment chaleureux s'emparait de mon cœur, alors que ma main effleurait cette matière glaciale et enivrant qu'était la neige. Je m'étais tourné, les flocons dansaient dans le ciel pour venir toucher mon visage et le rougir du froid qu'ils provoquaient. L'air soufflait dans les cheveux, traversant un chemin sinueux jusqu'à mes poumons pour les rafraichirs. Allez Maria, viens faire un ange dans la neige ! T'as vu le mien ? Hein? Tu l'as vu ? Avoue que c'est super ironique venant de ma part !

▬ « J'en suis de même presque étonnée que la neige n'est pas fondue ! »
Ironisais-je, l'oeil ardent de malices. « Vois ce que tu lui fais subir, à cette pauvre poudreuse. » Ajoutais-je en suite, avant de sentir mon attention dérivé par le visage amicale d'une charmante dame. Si Callio ne l'avait pas remarqué, bien trop occupé à communier avec la poudreuse blanche, sa démarche maladroite dans notre direction ne m'avait pas échappé. Son accent Français était impeccable. Est très mélodieuse. Heureusement que je parlais avec facilité cette langue très difficile aux yeux du mondes. La conjugaison et la prononciation, plus les nombreux temps ont de quoi en faire perdre notre interlocuteur. Je lui rendais son bonjour avec politesse, y laissant un arrière goût exotique. Son doigt ce dirigea vers la grande montagne qui surplombait le chalet, vers laquelle mon regard ce dirigeait.

« Bienvenue dans la petite ville à Châtenois. Je suis l'hotesse de ce charmant petite hotel. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, n'hésitez pas à me soliciter. Ne vous aventurez pas trop en montagne, les risques d'avalanches sont courant dans notre secteur. Voulez vous que j'appel le service pour vous aidez à monter les bagages ? » Expliqua t-elle avec un ton adorable et plein de bonnes attention. Mon sourire ne fit que croître, prenant note de chaque prévenance de sa part.

▬ « Je vous remercie pour cet aide que vous nous offrez.Et je vous assure que sans l'aide d'un guide, nous n'iront pas nous aventurer dans les somptueuses hauteurs de vos montagnes. » Répondit-je avec chaleur, la laissant repartir vers l'hotel. Je me tournais vers Callio qui avait enfin pris grand soin de s'extirper de la neige.- Tu peux pas lui demander de nous aider à monter les valises jusqu'à l'hôtel ? J'haussais un sourcil. Comment une dame ayant déjà la maladresse de réussir à poser un pas devant l'autre aurait-elle la facilité de monter trois lourd bagages ? « Elle nous envoie le service. Son âge ne lui accorde plus la facilité de monter des charges. » Expliquais-je, jusqu'à ce qu'un homme habillé d'un costume, avec d'autres de ses collègues ne ce dirige vers nous. Ils nous saluèrent chaleureusement, ce que je leurs retournais en empechant Calliope de vouloir extraire les habits de l'un qu'elle trouvait, celons ses dires, « diablement sexy. »

Nous les suivîmes jusque dans l'entré de l'hotel. L'intérieur était chaleureux, et dégageait une atmosphère presque familiale. Il était digne d'un chalet. Le sapin était soigneusement décoré au coté de la cheminé, dans lequel dansaient des flammes sur un rythme endiablé. L'intérieur était petit, et disposait de quelque tables comme dans les restaurant Américain, dont les canapés étaient opposé l'un à l'autre. La reception était petite, et à ses coté un énorme escalier permettait d'accéder à l'étage. J'imaginais que derrière la reception ce cachait les cuisines. Je ne pensais même pas qu'il s'agissait d'une reception. Plus un lieux d'acceuil dans lequel il y avait à la fois le bar, le standard, l'administratif et diverses choses. Des chansons de noël retentissaient dans des petits mecanismes accroché au mur.

« Je m'appelle Catherine. Voici Steve, Roland et Elvis. Ils s'occuperont de vous en ce charmant séjour. »
déclara Catherine, la charmante dame qui nous avait accueillie dehors. D'un hochement de tête respectué, je délivrais nos identité à moi et Callio, et suivirent donc Roland, Elvis et Steve. Il y avait quelque personnes qui devait surement faire partie du séjour. Montant à l'étage, les couloirs semblaient plutôt étroit et délivrait sur plusieurs portes qui devaient être occupés par des chambres. Roland ouvrit l'une derrière lequel ce chachait un charmant lit en baldaquin, une télévision accroché au mur, deux tables de nuit et une grande armoire pour entreposer nos affaires. Nous avions également un balcon qui donnait vue sur la vallée et les montagnes qui ne faisait qu'un. Comme si l'un embrassait l'autre avec fusion. C'était absolument magnifique, et mon cœur fut éprit de cet vue avec gratitude. Le service nous laissa tranquillement nous installé et prit congé.

▬ « Une ques.... »
Ma paroles tomba dans l'oublie lorsque je vis un grand sourire imprégner les lèvres de Calliope, et ses doigts agités un morceau de gui sous ma tête. Je regardais la branche s'agiter sans comprendre où elle venait en venir. Puis, sans que je ne comprenne ce qui ce passe, ses lèvres s'attachèrent au mienne avec ..inconvenance. C'était de mauvais goût et complétement inattendu. Je rompue le contact aussitôt en reculant, complétement troublé. Elle était allée beaucoup trop loin. Une colère s'emparait de mon visage, alors que je la fusillais du regard. « Mais qu'es ce que tu fais ? C'est quoi ton problème ? Si tu penses avoir de quelconques sentiments envers moi, ce que je trouve flatteur, sache que je ne les partages aucunement. Je ne suis pas dans les goûts de la gente féminine. Donc reprend tes esprits, et ne m'approche plus de la sorte ! » M'écriais-je, furibonde. Mon cœur s'accélérait de colère, une sensation brûlant me nouais l'estomac. Je voulais bien l'apprécier. Je voulais bien faire des efforts.

Mais au bout d'un moment, je ne pouvais m'efforcer de faire des efforts. Pas si ils étaient pas effectués dans l'autre sens. Mes yeux étaient encore écarquillés de stupeur. Je contournais soigneusement Calliope, pour m'aventurer jusqu'à la sortie. Il était important que je me calme. Parce que je sentais veinement les tissues noirâtres de la machette toucher celles de mes pensées. Et je voulais pas lui faire de mal. A personne. Il était important que je reste de marbre, et froide. Je sortie dehors, le cœur battant trop rapidement en éloignant avec soin les voluptés suaves de la présence de Perfide dans mon dos. Elle irradiait de tentation. Je m'aventurais dans le couloir, deambulant sans trop m'attarder sur le fil de mes pensées. Un chocolat devrait me faire du bien. De quoi noyer mon esprit de tranquilité pour pouvoir de nouveau regarder Calliope sans avoir envie d'enfoncer la machette dans ses côtes.

Cependant, je m'arrêtais pour tourner vers une porte entrouverte d'u client. Mon regard s'attarda sur le lit simple, et la commode vers laquelle un vieillard était tourné. Ses mains tenait une photo, dans laquelle elle tremblait. Il parlait avec un air vide, comme ci il s'adressait à un être cher, perdu à tout jamais dans un autre monde qu'il ne pouvait rejoindre. Cette vision me fit mal au cœur et l'imbibait de peine. Si j'avais remarqué la présence de Calliope – parce qu'elle semblait décidé à me compliquer la vie- mes yeux restèrent scotché à cette vision boulversante. La tention était redescendu, et Callio semblait avoir capté le fruit de mon attention. L'homme bavardait dans sa barbe sans remarquer notre présence, vouant une haine envers noël. Ce qui eut vite fait de retentir dans le bout de cervelle encore présent de Callio. Je la tirais dans ma direction, avant qu'elle ne franchissent le seuil de la porte comme un lutin de noël.

▬ « Non. Tu laisses cet homme ou il est. Son attitude n'est-elle pas efficaces pour que tu comprennes qu'il ne veut pas de compagnie ? Il est dangereux de dérouter une âme en peine. »
déclarais-je d'un ton sombre. Parlant à la fois pour moi même et pour la présence dans l'autre pièce, lancé dans les filets du chagrin dans lequel il était difficile de s'extirper. « Non … Non ...Callio ! » aboyais-je, alors qu'elle c'était défaite de mon emprise et que mes doigts c'était refermé dans le vide dans le but de l'attraper. Je lâchais un soupire, emprunte de lassitude et de colère envers cet manière énervante d'interargir dans les affaires des autres. Si meurtre il y avait, je ne comptais pas mêler du futur procès. Je me contentais de rester dos au mur, n'attendant que le moment où l'homme rejèterais Callio dehors. Je croisais les bras, dévisageant le sol d'un regard noir.
 Page 1 sur 1

Le drôle de Noël de Maria et Callio (Et d'un vieux type dont on se fiche) [Fe]





Disney Asylum Rpg :: ➸ Monde des Contes et Monde Réel :: ✐ Le monde réel :: ➹ Europe