« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
| | | Avec un peu de chance, je vais de l’avant } Rémi | |
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Rémi LePetit « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
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• C'est de la farine Luci ...
• Ah non j'suis sur que c'est de la coke !
• Tu me fatigues ...
| Conte : Ratatouille | Dans le monde des contes, je suis : : Rémi le rat de cuisine
| Cadavres : 320
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________________________________________ 2017-09-20, 22:15 |
| Rémi Lepetit
« Tout le monde peut cuisiner, mais le vrai génie n’appartient qu’aux audacieux! » Fiche Technique.
Surnom(s) → Rémi c’est bien assez court, non? :maiseuh: Age → Trente deux ans.
Occupation / Emploi → Cuisinier, mais il a un diplôme de boulangerie et de pâtisserie.
Votre personnage est-il tiré d'un conte ? : Oui! De Ratatouille. Si oui, lequel et qui est-il dedans ? : Rémi le rat cuisinier.
Vous.
Caractère Rémi est un jeune homme foncièrement bon. Généreux de nature, il aime les gens et a tendance à faire confiance très rapidement. Cuisinier par passion, il a à coeur de partager ses créations et aime croire que son pain et ses petits plats peuvent apporter du bonheur et du plaisir aux autres. Ce qu’il aime par-dessus tout? Voir le visage des clients lorsqu’ils goûtent leurs repas. Rémi est un garçon sérieux, il cherche toujours à s’améliorer. Mais Rémi est aussi un grand maladroit, aussi bien gestuellement -son immense taille n’aidant pas- qu’en comportement. Rémi ne pense pas toujours avant de parler, ce qui peut s’avérer compromettant. Son passé de rat lui confère un petit sentiment d’infériorité, qu’il contrebalance plutôt bien avec une certaine mauvaise foi têtue et fière. Ses origines françaises lui confèrent un caractère plutôt rêveur et romantique mais par pudeur, il a tendance à vouloir le cacher… Pas toujours avec succès!
Une Particularité ? °Rémi s’habille quasi exclusivement en gris. C’est un réflexe inconscient, qui le fait se sentir plus à l’aise. °Il a aussi une sainte horreur des chats. Ces bestioles le mettent profondément mal à l’aise, il n’y peut rien! °Rémi est grand. Très grand. Ce qui est un paradoxe pour un rat, et il n’est pas encore très au point quand il n’est pas concentré. °Rémi est également bilingue français, du fait de ses origines. °Il possède un très très bon odorat.
Votre Vie dans le monde des contes.
ça. C’est moi. Et je suis un rat.
Ah Paris ! Ville lumière ! Ville d’Amour ! Ville des artistes ! Ville de la gastronomie ! Aaah, que dire sur Paris que nul poète n’aurais déjà dis ? Plein de choses, sûrement, mais Rémi n’étant pas poète, il aurait du mal à le savoir. Pas que Rémi ne s’intéresse pas à le poésie, mais il était plutôt adepte de celle passant par le palet que par le verbe. Rémi est un gastronome. Plus que cela, Rémi voue une adoration sans borne et sans faille à son unique passion : la Cuisine. Pas la cuisine, non, non, la Cuisine ! Celle qui révèle tout le potentiel des ingrédients soigneusement sélectionnés, celle qui livre à vos papilles une aventure unique à chaque bouchée, celle qui allie équilibre et savoir-faire, celle qui, d’un coup de génie, rendra spectaculaire la simple ratatouille de votre enfance ! Seulement voilà, Rémi souffre d’un handicap certain dans l’exercice de sa passion. Rémi est un rat. Un de ces rongeurs à mauvaise réputation que l’on ne peut associer au mot ‘cuisine’ sans songer à ‘vermine’. Ou ‘poison’. Alors oui, pour Rémi, le fait d’être un rat est un poil… Problématique. Voir déprimant. Jusqu’au jour où Rémi rencontra Auguste Gusteau. Comment ne pas qualifier cet homme de génie ? De poête ?! Un homme d’une qualité certaine, d’un optimisme certain ! Sans la savoir, Rémi l’avait attendu toute sa vie, cet homme qui lui donnerait l’espoir suffisant pour oser, et devenir celui qu’il rêvait d’être…. Parce que oui, non content de s’intéresser à la cuisine des humains, Rémi s’attela bien vite à comprendre leur langage, par le biais des livres de recette de son modèle ainsi que par ses émissions de télévisions. Cela ne fût pas sans encombre… Piéger par sa propre passion, Rémi compromis la colonie dont il faisait partie. Contraint de fuir, il fut séparer de sa famille et erra dans les égouts un long moment avant d’oser remonter à la surface. Et pendant tout ce temps, Rémi se trouvait… A Paris.
Les choses devinrent légèrement plus complexe après que Rémi, réalisant qu’il se trouvait dans la ville même où le restaurant de Gusteau s’était établit, entreprit de s’y rendre. En pur professionnel et passionné, il ne pût empêcher le nettoyeur de sol de réduire à néant une soupe qui allait être servit, et de ce fait, il se révéla aux humains. La décision fut sans appel, on ordonna au jeune homme de se débarrasser de lui, et ce, dans les plus brefs délais. Mais, alors que le jeune Alfredo Linguini lui hurlait dessus tout en se plaignant de son incapacité à noyer le petit rat, ce dernier réalisa que le rat en question… Le comprenait. Pire que cela, ce rat avait, -et cela, il en était certain- un talent culinaire que lui n’avait aucunement ! Hors si un rat ne pouvait cuisiner, un homme le pouvait. Et si ils trouvaient une astuce pour parvenir à coordonner leurs deux ‘talents’… Alors… L’apprentissage fût long. Très long. La cohabitation tout autant et ce ne fût que sur un brillant coup du destin que soudain, ils trouvèrent la solution. Pour une raison illogique et inconnue, les cheveux de l’humain semblaient être directement reliés à ses fonctions motrices. Ce qui facilita grandement la tâche du rat, qui, au lieu de faire apprendre à Linguini les gestes nécessaires, décida qu’il était beaucoup plus simple de les faire lui même, directement.
Et alors qu’un soir, Rémi profitait d’un repos fort mérité, il eut la surprise de retrouver Emile, son frère, fouillant dans les poubelles du restaurant ! C’était à peine croyable ! La colonie avait en effet trouvé une nouvelle place, quelque part dans Paris, et Emile invita son frère à partager un repas avec leur père. La situation s’envenima bien vite quand leur père apprit que Rémi fricotait avec des humains… Mue d’un instinct conçue par la peur des humains, il tenta de convaincre son fils, qui choisit malgré tout de tenter de tracer sa propre voie... Le succès fut au rendez-vous ! Linguini et Rémi devinrent à eux deux les dignes descendant de Gusteau, en redonnant à son restaurant l’inspiration dont il avait besoin. Ce qui ne fût pas sans s’attirer de nombreux regards sur eux, certains plus plaisants que d’autre. Celui de Colette, notamment, la collègue de Linguini. Une femme forte, passionnée, entêtée, mais qui prit très à coeur d’apprendre au novice toutes les ficelles d’un grand restaurant. Dire qu’elle prit également le coeur du jeune commis aurait été un euphémisme, et Rémi dû littéralement poussé l’imbécile heureux que pouvait être Linguini dans les bras de la jeune femme ! Fort heureusement pour eux, elle n’eut pas à utiliser sa bombe au poivre, et leur secret le demeura, encore un temps… Mais c’était sans compter sur le chef-cuistot : Skinner. Un petit être frêle et nerveux, terriblement calculateur bien qu’un très bon directeur d’équipe. Certes, tyrannique et exigeant, mais il ne s’agissait pas là de son pire défaut. Son but étant de ruiné l’empire de Gusteau en commercialisant l’image de ce grand homme, il prit Linguini en grippe dès son arrivée, et l’annonce de filiation avec le chef décédé n’arrangea en rien son animosité… Pas plus que ses visions récurrentes de rat dans sa cuisine…
La paranoïa,justifiée, de Skinner le mena cependant au licenciement , quand Colette découvrit les preuves de la filiation d’Alfredo avec Auguste Gusteau, que Skinner dissimulait dans son bureau. Fort de leurs succès en temps que cuisinier, ils durent cependant vite faire face à un nouveau problème : Anton Ego. Critique culinaire des plus exigeant, cet homme fin comme du papier était cependant aussi puissant qu’un piment oiseau des plus corsés ! Et son avis valait parole d’évangile dans les milieux courus de la capitale… Une mauvais critique, et c’était la ruine ! Il fallait réussir, à tout prix ! Pourtant, l’ego enfantin d’Alfredo, et celui beaucoup trop humain de Rémi ne tardèrent pas à entrer en collision, menant l’un comme l’autre à des extrémités qu’aucun ne désirait, ni ne maîtrisait...
Il fallut avouer la vérité. Le grand soir, alors que tous les espoirs reposaient sur les épaules, généreuses mais dépourvus de talent culinaires, de Linguini, celui-ci n’eut plus d’autres choix. Choquée, son équipe entière lui tourna le dos. Colette comprise. Mais c’est dans l’adversité que le cuisinier et l’humain comprirent la puissance de leur amitié. Aidés de la famille de Rémi, qu’il dirigea d’une main de fer, la soirée fut assuré, tandis que Liguini assurait le service. La soirée battait son plein quand Colette, mûe d’un amour sincère pour Alfredo, accepta de revenir leur porté main forte, malgré son dégoût face à une cuisine infestée de vermine. Prenant sur elle, elle accepta même de se plier aux exigences, quand celui-ci décida de servir au critique une ‘simple’ ratatouille…
La ratatouille eue un effet immédiat sur le critique, le renvoyant directement à ce que la cuisine pouvait offrir de mieux : le réconfort. Plus qu’une nécessité, plus qu’un besoin, la cuisine devait être un plaisir et manger devait apporter de la joie et de l’allégresse à tout ceux qui partageaient un repas autour d’une table. C’est ce que sembla comprendre Anton Ego, lorsque, ravi, il dévora son assiette et demanda à voir le chef, pour l’en remercier… La demande fit l’effet d’une bombe dans la cuisine. Après de nombreuses tergiversions, Alfredo, Rémi et Colette décidèrent qu’il valait mieux attendre que le restaurant oit vide avant d’avouer innommable vérité. Et ce fût cette décision qui empêcha Rémi de rencontrer le critique car, à peine eut-il franchit la porte de la cuisine, au creux des mains de Linguini, qu’une fumée verte les emporta tous loin, fort loin de chez eux...
Votre Vie à Storybrooke.
Ma vie d’humain
Il y avait des amitiés qui ne s’expliquait pas et celle d’Alfredo, Rémi et Colette était de celle là.. Ces trois là étaient aussi inséparables que les doigts d’une main. Amis depuis l’enfance, ils s’étaient tout trois découvert une passion pour la cuisine, à différents degrés. Rémi était un amoureux de la Cuisine avec un grand ‘C’, de la Cuisine qui passait aussi bien par le pain que par le fromage, par les desserts, comme les entrées. Colette elle, s’était passionnée pour les gestes, plus que par les goûts. L’opportunité de travailler dans un univers d’homme, l’esthétique des plats qu’elle dressait, la beauté des gestes professionnels… Tous ces aspects du travail de sous-chef l’avait absolument fasciné et était devenu un objectif à atteindre. Alfredo quant à lui, était plus à l’aise avec le relationnel. Son truc, c’était de motiver les troupes! De donner des coups de mains, d’être le visage de la cuisine! D’être celui qui viendrait déposer les assiettes fumantes devant des nez affamés de bonnes odeurs et de bouches salivantes des fantasmes qu’elles provoquait. C’est pour cela que, dès leur entrée en collège, ils se promirent tous les trois d’un jour ouvrir leur propre restaurant.
"Non, vraiment, les lunettes de soleil... Je suis pas sûr..." Les années passant, les amitiés changèrent. Colette et Alfredo se rapprochèrent, sous l’oeil bienfaisant de Rémi qui, de son côté, n’avait plus en tête que son rêve ultime d’ouvrir un jour, un grand restaurant. Ce qui ne l’aida pas à améliorer ses relations avec son père, pour qui une telle idée était aussi utopique que de devenir astronaute -le premier métier rêvé de son plus jeune fils. Monsieur Leptit, Django de son prénom, était un bâtisseur. Maçon de profession, il dirigeait sa propre entreprise de construction, et escomptait depuis la naissance de ses deux garçons qu’ils entreraient à leur tour dans la grande entreprise familiale. Si ce fût le cas pour Emile, qui ne se posa jamais vraiment la question, la potentielle réorientation de Rémi posa de très gros problèmes au sein de la famille. Le plaisir de la nourriture ?! Fadaises ! Un bon vieux burger après une journée de travail était amplement suffisant, selon Django. Rémi tenta de nombreuses fois de lui faire comprendre à quel point la bonne nourriture pouvait être importante, mais la brouille alla si loin que lorsque Rémi s’affairait en cuisine, il dédaignait tout simplement les plats de son fils, au profit d’un bon fast-food à emporter. Fort heureusement, cela ne fût pas le cas d’Emile qui, si très effacé face à leur père, était un frère aimant et compatissant. Lui adorait la nourriture que son frère préparait et ne douta pas un seul instant qu’il parviendrait à ouvrir son propre restaurant. Même si il espérait également qu’il ouvrira les yeux à temps pour ne pas laisser filer la seconde femme de sa vie…
La famille Lepetit, experte en communication Qui n’était autre que Colette. Et Emile avait raison de s’inquiéter car lorsque Rémi réalisa enfin ses sentiments pour la jeune femme, Colette et Alfredo sortaient ensemble depuis trois mois. Pire que cela, les deux jeunes adultes filaient un amour parfait et paisible, bien que ponctué de crise de nerf et de crise d’ego. Rémi, en bon ami, écoutait fidèlement les récits de ces deux amis, s’arrangent toujours pour leur permettre de se retrouver, même si cela lui tordait le coeur de renvoyé celle qu’il aimait dans les bras de son meilleur ami. Résolu à ne plus compter que sur son rêve, Rémi se dévoua plus encore à ses études, allant jusqu’à cumuler les diplômes pour être certain de devenir le meilleur cuisinier du monde. Après trois diplômes, deux petites-amies, sept cents crises de nerf avec son père, quinze nuit passées à la boulangerie le téléphone à la main pour rassurer Colette, cinquante recette différentes de tartes (toutes validées par Emile) et dix jobs étudiants, Rémi, fort de ses succès et de ses aptitudes, prit son premier poste de comis, à Cherbourg, dans un restaurant de fruits de mer. Colette et Alfredo le rejoignirent deux mois plus tard, où la colocation dura plus d’un an et demi. Puis le restaurant ferma ces portes, et les trois compères durent réfléchir à leur avenir.
L’idée vint à Rémi lors d’une soirée un peu trop arrosée, où il se mit à refaire entièrement le monde en compagnie de ses deux amis. Et plus il y réfléchit, plus cela lui sembla être une excellente idée. La cuisine française était réputée dans le monde entier, mais plus encore aux États-Unis. C’était une façon absolument parfaite d’ouvrir leurs propres restaurants ! Rémi pourrait en être le patron, Colette la sous-chef, Alfredo, le responsable de l’équipe des serveur ! C’était parfait, absolument parfait ! Mais cela demandait trois choses. Premièrement, il fallait qu’Alfredo et Colette viennent avec lui. C’était une promesse à trois, et Rémi n’était pas du genre à déroger à ses promesses. Deuxièmement, il fallait rassembler suffisamment d’argent pour partir et acheter leur propre restaurant. Troisièmement enfin, il fallait que Rémi parvienne à dire à son père qu’il était désormais sur et certain que jamais il ne reprendrait l’entreprise familiale… Si les deux premiers points furent rapidement acquis (Colette signant dès le troisième jour de réflexion, Alfredo après une petite semaine), le troisième lui, fut des plus compliqués pour Rémi. Affronter son père ne faisait pas vraiment partie de ses activités préférées et il eue un mal fou à trouver le moment idéal. Il ne vint jamais, et il du se décider à mettre les pieds dans le plats, à l’aide d’une succulente tarte au noix de pécans. Son père ne la goûta même pas, et après avoir écouter son fils, il se leva, et parti dans sa chambre sans rien ajouter de plus. Emile lui fût bien plus expansif, hésitant entre les larmes en comprenant que son petit frère allait partir très loin de la France et l’excitation la plus intense en songeant aux vacances gratuites qu’il allait pouvoir programmé aux USA dans les prochaines années ! C’était au moins ça pour le cuisinier, qui rendit avec un peu trop de force les câlins qui lui fit son frère.
"La bonne cuisine, c'est comme revenir à la maison. ça fait du bien." Un an et demi plus tard, Rémi, Colette et Alfredo prenaient l’avion pour le Maine, où Rémi avait dégoter un petit restaurant modeste mais aux couleurs des plus pétillantes, dans un petit village nommé Storybrooke. Après un bon mois de remise en état du restaurant, et apprentissage des normes d’hygiène américaine, le « Ratatouille » ouvrit ses portes, avec à son bord un chef, un sous-chef et un serveur. Si les débuts furent très discret, les petits villages se font de bouche à oreille, et le restaurant prit rapidement de l’ampleur au sein de la petite communauté, du fait du raffinement de la cuisine, la beauté du cadre à l’inspiration française, la diversité de la carte mais aussi la profonde qualité gustative des plats proposés ! Même les Evil, famille apparemment des plus ‘snob’, venaient parfois prendre le dîner chez eux ! Rémi ne su pas exactement quoi en penser, mais le simple fait de savoir que sa cuisine plaisait outre-mer suffisait à le rendre aussi heureux que possible. Un an après l’ouverture du restaurant, Alfredo et Colette décidèrent de prendre leur propre appartement, laissant le jeune Rémi seul, mais soulagé. Ses sentiments pour Colette ne s’étant pas amoindri, il devait avouer que vivre sous le même toit que le couple lui faisait parfois aussi mal qu’un plat renversé avant d’être servi en salle… A la même période, un invité surprise se présenta à la porte de son appartement, qui fut si prompt à lui sauter dessus que Rémi réalisa avec un temps de retard que son frère se tenait sur le pas de la porte. Comment était-ce possible? Eh bien, c'était tout simplement la saison du football en Amérique et Emile comptait bien voir au moins un vrai match dans les règles de l'art! Et Rémi n'y croirait jamais mais leur père était aussi venu! De bon coeur, précisa Emile, sans oser croiser son regard cependant. Un mensonge était plus simple à formuler les yeux baisser, non? Et alors qu’il rentrait à son appartement, un soir, il croisa au détour d’une ruelle une étrange voiture jaune, de marque française.
Votre vie après la malédiction.
Un rat? Comment ça je suis un rat?!
Désormais, la malédiction est rompue, et Rémi a retrouvé tous ses souvenirs. Cela n’a en rien changé son amour de la cuisine, et ni ses amitiés avec Colette et Alfredo. Chacun est plus ou moins conscient de n'avoir jamais vraiment quitter la ville, ni d'être venu s'y établir, mais ils gardent tous trois de grandes conversations sur la France qui leur manque parfois. Emile vit à mi-temps chez son frère, oscillant entre la chambre d'hotel que leur père loue et le canapé de Rémi. Rémi n'a pour le moment pas encore croiser son père, et a le secret espoir d'un jour le voir manger au restaurant. Ou même chez lui!... Au fond, il aimerait vraiment que son père accepte qu'il n'a pas à être comme lui... "Bon ben... On continue comme avant?"
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Joanne F. Kennedy « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Lαdy Gαgα.
WHAT A WICKED
GAME TO PLAY
I'm always ready for a war again, go down that road again. It's all the same, I'm always ready to take a life again. You know I'll ride again. Who gon' pray for me ? Take my pain for me ? Save my soul for me ? 'Cause I'm alone, you see. If I'm gon' die for you, gon' kill for you.
THEN, I'LL SPLIT THIS BLOOD FOR YOU
| Conte : AHS. | Dans le monde des contes, je suis : : Une sorcière de Sαlem.
| Cadavres : 72
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________________________________________ 2017-09-20, 22:17 |
| Rémi Bienvenue Coupain de Double Compte |
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Rémi LePetit « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Lee Pace
• C'est de la farine Luci ...
• Ah non j'suis sur que c'est de la coke !
• Tu me fatigues ...
| Conte : Ratatouille | Dans le monde des contes, je suis : : Rémi le rat de cuisine
| Cadavres : 320
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________________________________________ 2017-09-20, 22:22 |
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Invité Invité
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________________________________________ 2017-09-20, 22:45 |
| OH MON DIEU RÉMIIIII! Je suis fan! Pis en plus le vavaaa! Ok, j'aime ce perso. Re-bienvenue alors! Même si je sais pas qui ça peut être. Bonne continuation pour ta fiiiiche! |
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Gaston Hawk « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Matt Bomer
It's summer time !
| Conte : La belle et la bête | Dans le monde des contes, je suis : : Gaston
| Cadavres : 435
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________________________________________ 2017-09-20, 22:51 |
| Bienvenu ! (Ou re?) J adore e perso, hâte de voir ce que tu vas en faire |
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Rémi LePetit « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Lee Pace
• C'est de la farine Luci ...
• Ah non j'suis sur que c'est de la coke !
• Tu me fatigues ...
| Conte : Ratatouille | Dans le monde des contes, je suis : : Rémi le rat de cuisine
| Cadavres : 320
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________________________________________ 2017-09-20, 22:57 |
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Invité Invité
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________________________________________ 2017-09-20, 23:01 |
| Lee Pace a tellement une bonne bouille! Franchement, cette association est nickel! |
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Rémi LePetit « J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : Lee Pace
• C'est de la farine Luci ...
• Ah non j'suis sur que c'est de la coke !
• Tu me fatigues ...
| Conte : Ratatouille | Dans le monde des contes, je suis : : Rémi le rat de cuisine
| Cadavres : 320
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________________________________________ 2017-09-20, 23:04 |
| Je ne vais pas te contredire |
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Dyson R. Parr « Cours Dydy, cours ! »
| Crédits : Eilyam
| Avatar : Tom Holland
| Métier : Aventurier, super-héros, en contrat de libraire chez Alexis et vendeur de chocolat chez Aster... et surfeur parfois
| Conte : Les Indestructibles
| Dans le monde des contes, je suis : Dashiell Robert "Dash" Parr
La coalition se forme pour trouver à Aster son véritable amour
| Autres Personnalités : Icare J. Skellington - Léon Adonis - Ahsoka Tano
| Statut Social : Célibataire
| Cadavres : 7335
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________________________________________ 2017-09-21, 08:35
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| REMIIIIIIIIIIIIII et ce vava est trop parfait pour le personnage Re-bienvenuuuue |
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Invité Invité
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________________________________________ 2017-09-21, 10:05 |
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Contenu sponsorisé
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