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Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 [Fe] Evénement Slife #3 {86} : Dors chez ton psychopathe Aloysius Black

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Muerté Pitivoyou
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Muerté Pitivoyou

[Fe] Evénement Slife #3 {86} : Dors chez ton psychopathe Aloysius Black Tumblr_inline_mofk2bkCRG1rdand6

Mama... ci qu'il a pas l'air commode soului là !

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[Fe] Evénement Slife #3 {86} : Dors chez ton psychopathe Aloysius Black _



________________________________________ 2017-10-08, 20:36


Dormir chez di fous !

Viens fêter Halloween en avance !

Et me revoilà, devant les caméras ! Bien sur qu'on avait renouvelé mon contrat pour la deuxième émission, je suis aussi impeccable que mon brushing ! Bien sur, l'émission avait été géniale en grande partie grâce à moi !

Mais qu'i-ce que vous fichez la ? Il y a trop de lumière partout, trop sour la maison, pas assez sour moi ! Ralai-je aux techniciens.

J'avais passé la journée chez monsieur Aloysius Black, le monsieur un peu flippant sur lequel l'étrange directeur de la chaine avait jeté son dévolu pour un nouveau "Dors chez". Le monsieur Aloysius Black n'était pas là, il n'a même pas dormi chez lui. Je devais... faire quelques arrangements. Bien sur, l'équipe technique avait passé des heures à arranger la maison pour la télé, micros, caméras, les toilettes avaient été aménagées au grand luxe pour accueillir les participants dans le confessionnal.
Mais pour les arrangements que moi, je voulais faire, il fallait un peu plus de temps et l'absence de monsieur Black. La surprise du chef. C'était moi le chef bien sûr.

Faites-vite, les gens attendent la fin de la poub pour voir mon visage à la caméra ! M'écriai-je à la maquilleuse qui s'éternisait.
Il était 18heures, et monsieur Aloysius Black n'allait pas tarder à arriver. La maison prête, mon beau visage magnifiquement apprété prêt, il ne manquait plus que ma magnifique voix pour introduire l'émission.
La maquilleuse s'éloigna, la caméra s'alluma, et j'apparaissais sur toutes les télés, car tout le monde attendait ma présence, de Storybrooke.

Bienvenoue sour Slife, étranges habitants dé Storybrooke, pour cé deuxième nouméro dé "Dors Chez". Cette fois-ci, nos candidats vont dévoir apprendre à sourvivre dans la maison dé quelqu'un qui apparemment aurait été oune ancien psychopathe qué la ville aurait pardonné pouisqu'il était l'ancien maire dé Storybrooke deux fois. Mais il est pas seulement que ancien, il est aussi oune actuel psychologue. Est-il encore psychopathe ? Découvrez les personnes qui vont lé savoir ou non !

Sur les écrans, des images défilaient, d'une rousse qui ne souriait jamais. La prémière est Deborah Goust, oune rousse qué vous voulez pas embêter ! Elle décide dé si tu es dégoutant ou non, et tou es généralement dégoutant. Va-t-elle sourvivre dans lé milieu hostile et souprenant dans léquel elle sera plongée cette nouit ?

Les images changeaient de nouveau pour afficher un jeune homme totalement différent. Lé deuxième candidat s'appelle Benjamin Clawouzer, i apparemment, c'était oune léopard ! Est-ce qué cé léopard pourra se défendre dans la maison d'oune lion ? Probablément pas, on dirait un chaton.

Et enfin, des vidéos de deux jumeaux identiques qui étaient flous à l'écran parce qu'ils bougeaient beaucoup trop pour avoir une image nette d'eux. Lé dernier monsieur a réussi à se moultiplier pour être deux personnes pareil ! Derek é Douncan Byroum sont deux joumeaux qué rien n'arrête, même pas la fin dou monde.

Et enfin, au grand soulagement de tous et pour le bien des audiences, ce fut de nouveau mon brushing parfait que l'ont put voir à la télé. Jé vois monsieur Aloysius Black arriver ! Cé partit pour lé deuxième nouméro de "Dors chez" !


Aloysius Black
« Before we begin, I must warn you... NOTHING here is vegetarian. »

Aloysius Black

| Avatar : Mads Mikkelsen

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Sweet dreams are made of this...

[Fe] Evénement Slife #3 {86} : Dors chez ton psychopathe Aloysius Black Jvux

Who am I to disagree ?



| Conte : Le roi Lion
| Dans le monde des contes, je suis : : Scar

| Cadavres : 386



[Fe] Evénement Slife #3 {86} : Dors chez ton psychopathe Aloysius Black _



________________________________________ 2017-10-09, 00:08 « Before we begin, I must warn you... NOTHING here is vegetarian. »

Dors chez ton psychopathe (moi)

“Everybody line up
The show is about to start
Places, the show is about to start
You have to show a look
Have a look, or give a look

Faces, beautiful
No one ugly allowed
Are you ready? Here we go”

La maquilleuse venait de finir son travail. Elle sentait ses mains se plaquer avec douceur sur chaque côté de son crâne pour être certain que sa coiffure gominée tienne correctement, sans laisser apparaître de cheveu rebelle et disgracieux. Il la remercia courtoisement avec un sourire engageant avant de se lever et de reboutonner sa veste. L’étrange présentateur à l’accent étrange était en train de terminer sa tirade par les jumeaux Byrom. D’un pas souple et gracieux, digne de l’allure royale du lion qu’il était, il s’avança avec un sourire conquérant vers Muerte, sous les projecteurs et les caméras avide de son image. Le show pouvait commencer… et il était prêt…

***

Lorsque S-Life était arrivé chez lui ce matin-là, il avait d’abord reçu le chef de la chaîne, le Pitivoyou et l’équipe marketing avec un œil plutôt interrogateur et peu enclin à la discussion. Pourtant, il était vite apparu que ces journalistes de pacotilles avaient une affaire plutôt juteuse à lui confier. Non, l’idée de cette émission n’était pas de l’interviewer en lui posant les questions les plus gênantes du monde du type « Yzma Popochimalt et vous, c’est du sérieux ? » ni de lui faire lire les tweets arrogants et stupides à son propos des jeunes délinquants de Storybrooke en espérant filmer une réaction plutôt inattendue et explosive de sa part. L’idée était bien plus intéressante. Une nuit. Une nuit entière dans sa demeure, pour le connaître, tenté de le comprendre et surtout l’admirer. Il avait eu la mairie par deux fois, il avait à présent la célébrité. A quand la couronne ? Aloysius Black avait accepté la proposition de ces incapables du marketing avec un sourire gourmand sur le visage. Il était temps de devenir l’étoile filante la plus brillante que ce monde n’ai jamais connu.

La veille au soir, il avait donc quitté son domicile pour que les techniciens puissent installer tout leur matériel. Il avait bien pris soin de fermer à clé sa seconde cave, la plus secrète, celle qu’il aimait appelé entre lui et lui seul, son « garde-manger ». Il était prêt à ouvrir les portes de sa demeure et de ses chambres d’amis, il était pourtant hors de question d’ouvrir sa cave à qui que ce soit. C’était son « petit secret ». Un petit secret extrêmement bien gardé et isolé de tous les bruits possibles afin de n’éveiller aucun soupçon. Il avait égorgé sa dernière victime deux mois auparavant, le lendemain de la proposition de S-Life. Il l’avait ensuite pendu et fait sécher… il en aurait besoin pour le mets de cette soirée. Après une dernière vérification concernant son petit secret, il avait quitté son domicile pour se rendre dans l’hôtel le plus luxueux de la ville, y passer sa dernière nuit d’homme moyennement connu avant de devenir la star qu’il méritait d’être.

A 13h, il était retourné chez lui, constatant que les techniciens s’affairaient toujours pour terminer le plateau en temps et en heure. Poliment, il avait salué chaque personne de l’équipe de tournage et avait déjà repéré sa prochaine victime, ce monsieur petit et moustachu qui n’avait pas daigné lui adresser la parole ni un regard tandis qu’il se donnait lui-même le mal de s’adresser au petit peuple.

Il avait déposé son panier et de fruits et légumes frais et avait enfilé son tablier pour commencer sa besogne. Sur les morceaux de Madame Butterfly, il éplucha, découpa, éminça et fit revenir ses ingrédients avec un amour infini de la cuisine. Ses gestes étaient d’une précision et d’une grâce sans égale, il maria les différentes saveurs pour donner forme à son entrée, son plat et son dessert qu’il finit par dresser et réfrigérer à 16h00 avant de quitter de nouveau son manoir pour se rendre dans son hôtel où l’attendait son costume, sa maquilleuse et sa coiffeuse. Il avait pris la peine, avant de partir, de faire quelques bouchées apéritives en plus les techniciens qui s’affairaient toujours et qui complimentèrent son Albarragena légèrement fumé, jambon cru divinement exécuter à l’aide de cette odieuse postière qu’il avait tué deux mois plus tôt.

A 18h précise, il était revenu chez lui, comme lui avait demandé l’équipe de tournage et quelqu’un eu la gentillesse de lui placer entre les mains la liste des invités qu’il recevrait le soir même. Il y avait parmi la courte liste des gens qu’il avait déjà rencontré lors d’une mission étrange quelques mois plus tôt. Les jumeaux Byrom étaient à son sens d’une gentillesse, d’une énergie etd’une débilité sans nom. Ils l’admiraient déjà suffisamment pour que cela se voit bien à l’écran, ce qu’il constata avec un sourire satisfait… qui disparut assez vite lorsqu’il vit le nom du léopard. Benjamin étaient un ancien gros léopard qui s’était découvert un amour certain pour son nouveau corps plutôt avantageux. Il n’en restait pas moins d’une naïveté utile et d’un goût prononcé pour la danse et… malheureusement pour lui… du placement de bassin. Enfin, il découvrit la photo et le nom d’une rouquine qu’il ne connaissait pas encore. Elle n’avait clairement pas très avenante mais cela ne l’étonnait guère… rares étaient les rouquines saines d’esprit qu’il avait pu croiser ces dernières années. Il leva pourtant un sourcil d’intérêt lorsqu’il découvrit une ligne qui précisait qu’elle était, semblait-il, experte dans le bon goût. C’était donc ce qu’on allait voir…

Une fois son costume enfilé, une demoiselle plutôt timide le dirigea vers la table de coiffage et de maquillage. Le lion se laissa faire avec une vanité qu’il dissimula sous un sourire sympathique. La voix de Muerté s’éleva soudain dans la salle à côté tandis qu’il commençait à faire son show et lire son prompteur. Tout commençait maintenant.

La maquilleuse venait de finir son travail. Elle sentait ses mains se plaquer avec douceur sur chaque côté de son crâne pour être certain que sa coiffure gominée tienne correctement, sans laisser apparaître de cheveu rebelle et disgracieux. Il la remercia courtoisement avec un sourire engageant avant de se lever et de reboutonner sa veste. L’étrange présentateur à l’accent étrange était en train de terminer sa tirade par les jumeaux Byrom. D’un pas souple et gracieux, digne de l’allure royale du lion qu’il était, il s’avança avec un sourire conquérant vers Muerte, sous les projecteurs et les caméras avide de son image. Le show pouvait commencer… et il était prêt…



crackle bones
https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t8516-soyez-pretes-pour-le-c https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t8684-je-patauge-dans-limbecillite


Deborah Gust
« Sarcasm: punching people with words. »

Deborah Gust

| Avatar : Catherine Tate

[Fe] Evénement Slife #3 {86} : Dors chez ton psychopathe Aloysius Black Fh0w

- Youhou Deborah, regarde ce que je sais faire !
- C'est bon, je démissionne, j'en ai marre des débiles.

| Conte : Inside Out
| Dans le monde des contes, je suis : : Disgust

| Cadavres : 4325



[Fe] Evénement Slife #3 {86} : Dors chez ton psychopathe Aloysius Black _



________________________________________ 2017-10-09, 23:06 « Sarcasm: punching people with words. »

J'étais suffisamment habituée à la médiocrité ambiante de Storybrooke pour remarquer une belle occasion. Slife, en dépit de son nom peu recherché, en faisait partie, principalement du fait de son hôte : Aloysius Black. 
En plus de son allure supérieure à celle de ses congénères (en soi, ce n'était pas tellement difficile, mais ça restait suffisamment exceptionnel pour qu'on le souligne), il avait été maire de la ville et semblait autrement plus dégourdi que celle qui occupait cette fonction à présent.
Pour un peu, j'aurais été excitée à l'idée de le connaître. Mais la vérité était toute autre : j'avais envie de faire resplendir mon éclat naturel aux yeux de tous et de me renseigner sur cet homme au prénom... peu commun. Il fallait bien qu'il ait un défaut, au même titre que Carlisle qui avait son freluquet. Il faut bien que les gens de la haute s'abaissent un peu au niveau de la plèbe pour leur donner l'illusion d'être atteignable.
J'avais donc soumis ma candidature, persuadée d'être retenue. Sauf si les casteurs n'avaient aucune jugeote, ce contre quoi je ne pourrais rien. Par chance, cependant, ils en avaient eu suffisamment pour me confirmer ma participation. Comme quoi, on peut toujours être surpris par la présent d'esprit dans les cerveaux d'autrui. Mais s'il en avait eu pour moi, je ne pouvais qu'imaginer qu'ils en auraient moins sur les autres participants. Il ne faut jamais surestimer les capacités des autres. Je me préparais donc certes à rassasier ma curiosité mais aussi à être profondément insatisfaite.
J'avais soigneusement préparé mes affaires : une trousse de toilette savamment rangée, un déshabillé élégant et une tenue de nuit avantageuse et raffinée. Je portais de belles boucles d'oreilles en or (massif), une robe noire faite sur mesure et des escarpins assortis. J'étais maquillée, brushinguée (copyright Deborah Gust pour le néologisme) et fin prête vers 19h15 mais ne me mettais pas tout de suite en route.
Je descendais au salon d'Aryana où les autres émotions étaient réunies devant Glee et regardai la fin d'un épisode avant de me relever en déclarant :
- Il est temps pour moi de devenir encore plus célèbre que je ne le suis déjà. Mais ne vous en faites pas, je ne vous oublierai pas quand j'aurai atteint ce but.
Sans plus attendre car mon temps est précieux, j'enfilais ma veste et me descendis devant le manoir.
La voiture de la production était là, exactement comme je leur avais demandé (exigé serait peut-être un terme plus exact) et je grimpai à l'arrière en notant :
- Vous n'avez pas de portier. Et ce n'est pas une limousine. Pour une chaine de télévision, c'est décevant. Mais allons y je vous prie, que vous serviez au moins à quelque chose.
J'arrivai devant la somptueuse maison que j'avais naturellement étudiée sur Streetview durant l'après-midi et affichai un sourire contenté. Je n'étais pas encore tout à fait sortie de la voiture que j'apercevais déjà la première caméra braquée sur moi.
Elle ne me quitta pas de l'objectif jusqu'à la porte qui s'ouvrit, millimétrée, sur un Aloysius Black charmant et apprêté pour l'occasion. Derrière lui, je notai la présence agaçante d'un énergumèrequi présentait mal et, avouons-le nous, me gâcher mon champ de vision.
- La prémière a arriver est donc la fougueuse Deborah Goust, à l'heure, cértainément préssée dé rencontrer le bél Aloysious, commenta-t-il dans un accent improbable.
J'arquai un sourcil méprisant puis décidai de ne plus lui accorder de mon attention.
A la place, je tendis ma main diaphane en direction d'Aloysius.
- Deborah Gust, enchantée. On m'a beaucoup parlé de vous, ajoutai-je, mielleuse.
C'était naturellement faux. Je n'en savais pas plus sur lui que ce que le site - mal fait - de la mairie - mal dirigée - voulait bien en dire dans la rubrique "précédemment à Storybrooke" (qui d'ailleurs portait un autre nom que je n'avais pas pris la peine de retenir car mon idée de titre était bien meilleure). De toute façon, je n'avais pas signé pour ne dire que la vérité toute la vérité et quelques flatteries faisaient toujours plaisir.
Aloysius, en tout cas, ne semblait pas mécontent. Il me serra doucement la main, d'une poigne chaude et sèche, ferme mais maitrisée, exactement comme le ferait n'importe quel gentleman décent. J'appréciais et cela se lisait sur mon visage.
- Tout l'honneur est pour moi, ma chère, assura mon hôte. J'ai ouïe dire que vous étiez une experte en dégoût, j'ai hâte d'en savoir un peu plus..., commenta-t-il encore (usant, vous le noterez, d'un stratagème social similaire au mien) tout en s'écartant pour me laisser entrer dans son hall.
Je souris, inspectant les lieux de mon œil expert, avant de reposer mon regard sur ses bras tendus :
- Puis-je vous débarrasser ? offrit-il.
- Experte c'est, je crois, le mot juste, confirmai-je en me débarrassant de mon manteau pour le lui tendre avec délicatesse et doigté.
- Vous désirez boire quelque chose ? offrit-il encore en m'entrainant au salon.
Nous avions, en effet, fait rapidement le tour du hall et j'avais bien plus envie de voir le salon qui s'avéra à la hauteur de mes espérances.
- Du champagne. Cela me parait de circonstances, commentai-je sobrement. 
Et, en homme de goût, Aloysius m'en rapporta une flûte en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Ou presque.
Je m'occupais tranquillement de la siroter avec délectation quand l'étrange personnage d'avant s'avança vers moi, visiblement décidé à me parler. Soit. S'il fallait s'y abaisser pour contenter la foule...
- Oune prémier avis sour la maison dé Aloysious Black ? Charmée ? Etes-vous heureuse d'être là, avec loui i moi ?
J'arquai un sourcil. Lui ? Charmant ? Avait-il au moins croisé une glace ces six derniers mois ? 
- Monsieur Black semble un homme de goût, répondis-je tranquillement. Je ne suis pas surprise que sa demeure confirme l'impression que j'avais sur lui car je ne me trompe jamais. Je suis surtout heureuse et soulagée d'être là pour relever le niveau qui me semble bien bas, ajoutai-je avec avec condescendance en le toisant.
L'homme se tourna vers l'une des caméras.
- En gros, elle trouve ça cool mais un peu noul quand même. Ouh la la, Aloysious va-t-il la manger pour avoir dit ça ? Normalement c'est interdit par l'émission.
Sur cette conclusion au même niveau que le reste de sa personne, il se retira, suivi par l'une des caméras. J'en profitai pour me tourner à nouveau vers mon hôte :
- Il est limité intellectuellement ou c'est une impression ?
Précise. Directe. La question n'y allait pas par quatre chemins car n'importe qui d'un peu sensé pouvait bien voir ce qu'il était de cette personne.
- Je crains que seul l'avenir ne puisse nous le dire avec certitude, répliqua Aloysius avec un sourire amusé en coin.


Jean-Balthazar Trapp
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Jean-Balthazar Trapp

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*Laisse moi faire quelque chose pour toi pour une fois...*

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*bug...*

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________________________________________ 2017-10-10, 23:48


Dors chez... Aloysius le psychopathe



Une limousine attendait dans la rue, elle était là pour moi, elle n'attendait que moi. Je ne savais pas vraiment pourquoi j'avais répondu à l'appel à candidature d'une émission de télé réalité. Je n'avais jamais fait ça avant. Bien sûr, j'étais très friand de ce genre d'émission, j'en regardais énormément quand j'étais encore à Zootopie. Et même si aujourd'hui, ce n'était plus le cas, je n'oubliais pas celui que j'avais été. Alors quand, il y a un mois, la chaîne avait fait la promotion de son émission, j'avais un peu hésité à me présenter. Mais le nom d'Aloysius m'avait interpellé, je n'avais pas revu l'homme depuis que j'étais apparu chez lui comme par enchantement. Je m'étais alors dit que ce serait l'occasion parfaite de le revoir. Je n'avais pas vraiment eu l'occasion de le remercier de son hospitalité, je pourrais le faire devant les caméras.

Je n'avais aucune idée de la façon dont les jurés avaient fait leur choix parmi tous les candidats mais j'avais été retenu et c'était tout ce qui importait. Même si l'appréhension commençait à monter en moi à mesure que je m'approchais de la limousine. J'avais prévenu Rémi que je serais absent pour la nuit et que je ne rentrerais que le lendemain. Je l'avais également prévenu que je passerais à la télé. De toute façon, j'avais programmé l'enregistrement de l'émission pour la regarder moi-même plus tard donc on pourrait très bien la regarder tous les deux ensembles. Une fois devant la portière de la voiture, je jetais un dernier regard à mon nouvel appartement avant de laisser le véhicule me conduire vers mon destin et vers le manoir d'Aloysius.

Sur place, je sortis prudemment de la voiture, lançant des regards intimidés tout autour de moi à la recherche d'une caméra. J'en dénichais une juste derrière moi et lui adressais un grand sourire un peu timide. Je me dirigeais vers la porte d'entrée légèrement nerveux au moment de frapper quelques coups contre le battant de bois. J'attendis à peine quelques minutes que la porte s'ouvre sur un Aloysius plus élégant que jamais dans son costume trois pièces. Je me sentis un petit peu minable dans mon jean, mon sweat à capuche et mes converses. Comment j'aurais pu deviner que ça allait être aussi guindé ? Je cachais ma gêne du mieux que je pus devant les caméras alors que le présentateur commentait mon arrivée juste derrière Aloysius.

"Voici lé déxième candidat, Benjamin Clawouzer. Ci l'entrée di léopard dans l'antre dou lion, hihihi."

Comment savait-il que j'avais été un ancien léopard ? C'était un mystère. Ou pas en fait. J'avais sans doute dû l'évoquer au cours de mon casting pour l'émission. Par contre, j'apprenais que notre hôte avait été un lion dans une autre vie. Je n'étais donc pas le seul félin de cette soirée. C'était légèrement rassurant d'avoir une tête connue dans cet univers étrange. J'esquissais donc un petit sourire en réponse à la présentation qu'on fit de moi avant de laisser mon regard s'égarer dans la pièce et de m'approcher d'Aloysius. Je n'eus pourtant pas le temps de décrocher un mot que Muerté se précipitait vers moi.

"I vous monsieur, qui-ce que vous pensez dé la maison dé Aloysious ?"

Je lui jetais un regard un petit peu impressionné avant de couler un regard en douce vers l'ancien lion en rentrant la tête dans les épaules.

"Je trouve qu'elle est très belle et très impressionnante."

Mon regard se tourna vers les caméras alors que j'esquissais un sourire intimidé à leur attention. Mais Muerté repris bien vite la parole utilisant des mots qui n'avaient que peu de sens pour moi.

"Parle-t-il de la maison ? Quelqu'un i charmé, hihihi."

J'espérais ne pas paraître trop perdu, je ne voulais pas qu'on se moque de moi ou qu'on pense que j'étais un peu bêta. J'aurais eu tellement honte. Je décidais donc de me tourner vers mon hôte, je ne l'avais pas encore salué trop accaparé par Pitivoyou. Un sourire enjoué s'étira sur mes lèvres, j'étais sincèrement heureux de revoir mon ami. Du moins, j'espérais que nous l'étions. En tout cas, pour moi, Aloysius était un ami très cher.

"Aloysius ! Je suis si heureux de te revoir ! Comment vas-tu ?"

"Je suis ravi de te voir également ! Entre je t'en prie."

Il me répondit avec un sourire qui me fit chaud au cœur. Comment pouvais-je réellement douter de son amitié à mon encontre ? Il s'écarta pour me laisser le passage et me débarrassa de mon sac et de ma veste en cuir que j'avais enfilé au dessus de mon sweat avant de répondre à la question que je lui avais posée au préalable.

"Je vais très bien, je t'en remercie! Il semblerait que la vie à Storybrooke te sied à merveille !"

Un immense sourire éclaira mon visage, c'était tellement gentil à lui de me faire ce compliment. J'avais pourtant l'impression de n'être qu'un étranger complètement perdu dans cette ville. Même si je me faisais peu à peu à cette nouvelle vie et commençais à entrevoir des opportunités que je n'avais pas entrevue jusqu'alors. Je décidais d'ailleurs d'en informer Aloysius, après tout, il était le plus à même de comprendre la passion dévorante que j'éprouvais pour la danse. Il fallait aussi que je lui parle de Rémi, il avait été si adorable avec moi, il m'avait offert un toit à un moment où j'en avais le plus besoin. Sans parler de son don fabuleux pour la cuisine, j'étais le roi du monde désormais, comblé, nourrit, choyé et bien entouré.

"Oui j'adore la vie à Storybrooke ! Je vais devenir danseur professionnel, tu sais ? Je fréquente une salle de danse. Et puis, j'habite chez Rémi maintenant, il tient le meilleur restaurant de la ville ! Il cuisine super biiiiiien ! Je suis heureux d'habiter ici maintenant. Même si vous mangez tous de la viande d'animaux et ça c'est pas très bien."

Je pris un air peiné alors que j'évoquais la viande et je fus ravi de constater que l'ancien lion m'écoutait d'une oreille attentive et semblait prendre mon problème en considération. Il me conduit aimablement vers le salon et me demanda ce que je souhaitais boire, je lui répondis le plus poliment du monde qu'un jus de fruits me conviendrait parfaitement.

"Je vais aller te chercher cela. En attendant je te présente Déborah Gust, une experte en dégoût. Déborah, je vous présente Benjamin Clawhauser, il vient d'arriver en ville suite à une aventure de certains de nos concitoyens et de moi même vers le monde de Zootopie où Benjamin était un léopard et un policier hors pair."

J'adressais un sourire poli à la femme que Aloysius me présenta avant de me laisser seul avec elle. J'étais plus qu'impressionné, comment pouvait-on être experte en dégoût ? Et elle semblait si... sûre d'elle. Alors que moi, je sentais qu'il me fallait pas grand chose pour que je parte en courant.

"Bonsoir, moi c'est Benjamin mais vous pouvez m'appelez Benji si vous voulez... Et vous ?"

Oui bon, Aloy venait de me la présenter mais peut-être qu'elle préférerait qu'on l'appelle Deby, qu'est-ce que je pouvais en savoir moi ? Alors après ma question un peu idiote, je tentais de me rattraper aux branches autant que possible. Le lion avait dit qu'elle était experte en dégoût, c'était donc très certainement une femme de goût. De toute façon, sa tenue parlait pour elle, elle était habillé d'une robe magnifique. Sans doute faite sur mesure. Je pris donc mon courage à deux mains avant d'ajouter timidement et avec un sourire admiratif la remarque qui me brûlait les lèvres.

"Votre robe est sublime... Enfin, je veux dire..."

Je rougis embêté en me passant une main embarrassé dans les cheveux.

"Je trouve que votre tenue est très jolie..."

"Deborah."

Elle tendit une main vers moi que je saisis avec joie avant de grimacer légèrement sous la force de sa poigne. C'était qu'elle avait une sacrée poigne et un regard incisif. Ses yeux me détaillaient de la tête aux pieds comme si elle tentait de deviner si j'étais suffisamment digne d'intérêt pour qu'elle daigne m'adresser la parole. Je sentis également à son ton que les surnoms, ce n'était pas pour elle, surtout lorsqu'elle me répondit d'un ton hautain.

"Merci. Je sais. Vous avez l'œil, Benji."

Mon sourire s'agrandit légèrement sous le compliment implicite. Je sentis mes joues rougir de plaisir alors que je prenais un petit air gêné, je n'avais pas vraiment l'habitude des compliments.

"Oh euh... merci... j'aime beaucoup la mode et les vêtements en général... mais ça ne fait pas très longtemps que je suis en ville alors je n'ai pas encore découvert tous les magasins intéressants de la ville."

"Ça se voit. Un peu. Mais moins que certains ici."

Elle coula un regard en direction des cameramans, je suivis son regard et adressais un grand sourire aux caméras.

"J'espère que ça ne se verra pas trop alors... Je ne voudrais pas être un fardeau pour notre hôte."

En effet, je ne voulais pas être un poids pour Aloysius, il avait déjà la gentillesse de nous accueillir tous chez lui, je ne voulais pas en plus l'embarrasser à la télévision. Mes yeux se tournèrent instinctivement vers mon ami avant de revenir sur mon interlocutrice.

"Vous connaissiez Aloysius avant de participer à cette émission ou pas du tout ?"

"Seulement de réputation. Vous par contre vous ne semblez pas en avoir."

Aïe... ça, ça faisait mal ! Effectivement, je n'étais pas vraiment connu, même pas du tout. Mais comment aurais-je pu l'être ? Je n'étais à Storybrooke que depuis trop peu de temps. Mais j'espérais bien faire changer les choses en devenant un grand danseur. En attendant, je devais me contenter de ma notoriété actuelle qui était inexistante comme le soulignait si gentiment Deborah. Je me dandinais d'un pied sur l'autre, gêné.

"Comme dit plus tôt, je viens tout juste d'arriver en ville. Je n'ai pas encore eu le temps de me faire connaître."

J'atténuais un peu la dureté de ma réponse avec un sourire amusé avant d'enchaîner avec une pointe d'humour.

"Et encore moins d'apprendre les noms des personnes importantes et à connaître de cette ville."

Avec étonnement, je sentis le bras de la femme s'enrouler autour de mes épaules amicalement alors qu'elle soupirait à mon oreille.

"Vous savez quoi ? Je me sens d'humeur généreuse. Vous voulez connaître le monde, le vrai, le important ? Vous m'appelez."

Elle sortit une carte de son sac et me la tendit avant de fixer mes chaussures sévèrement.

"Mais vous venez plus avec ça aux pieds."

Je me saisis de sa carte tout en la fixant intrigué et légèrement perplexe avant de poser mon regard sur mes converses. Elles étaient très bien mes chaussures d'abord. Mais mieux valait ne pas contrarier cette femme qui semblait avec une idée bien arrêtée sur ce qui était portable ou non.

"Euh... d'accord. Merci."

Je lui adressais un immense sourire avant que mes yeux ne soient attirés pas le buffet un peu plus loin dans la pièce.

"Je meurs de faim... Vous m'accompagnez jusqu'au buffet ?"

Elle regarda sa flûte de champagne et soupira avant d'accéder à ma requête.

"Ma foi... il faudra bien que je la remplisse à un moment. Pourquoi pas."

Un sourire lumineux s'étira sur mes lèvres alors que je me dirigeais à ses côtés vers les petits fours sans viande. Aloysius choisit d'ailleurs ce moment parfait pour revenir avec mon jus de fruits. Je le remerciais d'un immense sourire reconnaissant. Cette soirée s'annonçait merveilleuse. Je venais de me faire une nouvelle amie. Il ne manquait plus que le dernier participant et nous serions au complet. J'espérais que ce dernier serait aussi merveilleux et intéressant que les personnes déjà présentes.



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[Fe] Evénement Slife #3 {86} : Dors chez ton psychopathe Aloysius Black _



________________________________________ 2017-10-12, 00:19



Notre merveilleuse vie de star



Ils n'avaient pas totalement compris comment ils s'étaient retrouvé là bas la dernière fois (car Dyonisos leur avait juste dit que des raisins les avaient confondu avec la Reine des Neiges, ce qui était encore plus confus que l'arbre généalogique d'Amelia et d'Aloysius), mais une chose était sûre : grâce à Slife, ils étaient célèbres à Tokyo.
C'était donc tout naturel qu'ils soient sélectionnés pour la nouvelle émission de la chaine : avoir des têtes connues, c'était topissime pour l'audience.

L'arrivée en superbe voiture, c'était trop super : digne de rois ! C'est comme ça qu'ils étaient arrivé chez Aloysius. Il était cool, mystérieux, tout ce qu'on aimait chez les gars populaires et stylés.

Salut Aloysius !
Nous revoilà dans ta superbe vie !
On va rendre ta maison et ton existence célèbre dans le monde entier !

I voilà lé troisième candidat qui est en fait deux pérsonnes parcé qué ils peuvent se dédoubler.
Haha trop marrant lui !
Pourquoi tou parle commé ça monsieur ?
Tou é oune comique hahaha !

Mais l'animateur se renfrogna, et fit mine de vociférer des plaintes contre la caméra devant lui, qui filmait en direct, et qui ne pouvait donc pas supprimer ce moment là du montage finale de l'émission.

Aloysiuuuuuus ta maison est trop stylée !
Comme toi, la claaasse !
On a ramené du coca, parce qu'on est super généreux.
Plaisir d'offrir, joie de boire un peu de coca.
Benji ! Firent-ils finalement, distraits par la vision de leur ami.

Tu vas devenir une super star !
Peut-être que les japonnais regardent encore la chaine ?
Ils la regardaient la dernière fois.On est célèbre là-bas !
Tu veux être célèbre ?
Lui dirent-ils sur un ton complice, totalement amoureux de la célébrité.

Ooooooooh c'est vrai ? Troooooooop cool ! Puis il réfléchit quelques instants. Mais... Euh.. C'est quoi un japonais ? Ça se mange ?

Les jumeaux réfléchirent un peu avant de répondre, sérieux :

Si tu mange un japonnais, les végans seraient pas content.
Les japonnais seraient pas content non plus.
C'est genre des Storybrookiens, mais pas de Storybrooke et qui ne parlent pas une langue normale.
Juste avec des syllabes au hasard et eux seuls ont le cerveau nécessaire pour google-traductionner ce qu'ils disent.

L'expression de l'ancien léopard fut à la fois impressionné et horrifié.
Mais... Comment on fait pour les comprendre alors ?

On les comprend pas, et on se contente de manger des frites pas bonnes qu'ils nous offrent parce qu'ils sont super sympas envers les célébrités.
Les frites sont pas bonnes mais c'est pas leur faute, ils préfèrent le yoga.
Et d'adopter un chat.


Pourquoi ils nous offrent des frites alors ? Et si on le dit devant les caméras, ils vont nous entendre... Ils risquent pas de se vexer ? Demanda-t-il, plus que perplexe. Vous voulez adopter un chat ?

Parce qu'ils sont trop gentils !
Se vexer ? Pourquoi ?
Ils sont trop gentils !
Oh ils nous ont déjà donné un chat.
Mais il vient chez nous que le soir quand y a à manger et qu'ils veulent dormir.
Sinon ils s'en aillent vivre leur vie d'agent secret animal, on en est persuadé.


Benji secoua la tête, semblant reprendre ses esprits, avant de fixer de nouveau les jumeaux, cette fois-ci avec bonheur, captant seulement maintenant qu'ils étaient là.

Héééééeéé mais vous êtes là !!!!!!! Ici avec moiiiiiiiiiiiii ! Il leur sauta aux cous.
C'est trop cool qu'on fasse ça tous ensemble ! C'est cool les chats espions. C'est les meilleurs !

Il en profita pour glisser un petit four au fromage dans sa bouche. Vous en voulez un ?

Alors les jumeaux suivirent...
Benjiiiiii !
... mais furent pris de grands doutes.
J'suis persuadé qu'on t'a déjà salué.
Y a pas longtemps.
Non ?


Et ils enfournèrent à leur tour trois fours au fromages d'un coup avant de rajouter : Oui on en feut, merchi !
Benji avait réfléchi sur leur premières remarques.
Ah ? Ben je me rappelle pas... Mais je discutais avec Deborah juste là...
Il s'était retourné, mais il n'était plus avec son interlocutrice. Ils allèrent alors vers elle, qui était plus loin.

Bonjour vous.
On a entendu que vous êtes genre l'icone du style.
Est-ce que ça veut dire que vous êtes une déesse ?
On en connait une, c'est l'icone de la cuisine et c'est une déesse.
Donc vous aussi ? Trop cool !
Les japonnais nous regardent là en plus ! Enfin... peut-être ?
EEEET VOUS REGARDEZ UNE DEESSE ET OUAIIIIS !
N'est-ce pas ?


Elle prit le temps de les observer de haut pendant looooongtemps avant de leur répondre enfin. Une déesse. Je prends. Vous avez le droit de me vénérer. Que dis-je... vous en avez le devoir.

Les jumeaux joignirent les mains ensemble avant de faire une révérence. Que votre étoile divinatrice stylise nos âmes.
Sur un air qui montrait sa supériorité divine, elle rajouta simplement "Amen."

Et les jumeaux se retournèrent. BON ! On mange quand ?

Le comique d'animateur revint vers eux à cette instant, afin de s'adresser à eux, devant les caméras. Alors, i-ce qué lés démons multiplicateurs vont sourvivre dans cette maison ? Comment la trouvez-vous ?
Bah oui on va survivre ! Même sourvivre !
Sa maison est super classe ! Il est super classe !
On mange quand ?




Aloysius Black
« Before we begin, I must warn you... NOTHING here is vegetarian. »

Aloysius Black

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Sweet dreams are made of this...

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Who am I to disagree ?



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________________________________________ 2017-10-12, 21:59 « Before we begin, I must warn you... NOTHING here is vegetarian. »

Dors chez ton psychopathe (moi)

“Everybody line up
The show is about to start
Places, the show is about to start
You have to show a look
Have a look, or give a look

Faces, beautiful
No one ugly allowed
Are you ready? Here we go”

Les jumeaux étaient survoltés, comme à leur habitude et Aloysius commençait à se demander s’il n’aurait pas dut prévoir un espace « aspirine » sur son petit buffet d’accueil… S’il avait cette faculté à couper son esprit des conversation les plus ennuyantes de part son métier, il savait que ce n'était pas le cas de tout le monde. Il ne criagnait pas vraiment que Benjamin s'en importune dans la mesur où l'ex-léopard les connaissait bien et qu'il était également spécial dans son genre mais Deborah Gust semblait être plutôt du genre calme et cette agitation risquait de ui taper sur le système rapidement. Mais puisque les jumeaux étaient célèbres pourquoi s'inquiêter ? Aloysius observa l'une des caméras tandis qu'ils lui parlaient en se demandant s'il allait effectivement devenir aussi célèvre au Japon. D'abord Storybrooke, puis le Japon et demain le monde... Il était bien en phase pour atteindre le sommet de l'échelle.

Il décida de les accompagner vers le buffet apéritif qu'il avait prévu dans un coin de son grand salon afin de les laisser se servir. Peut-être allaient-ils tous s'asseoir ensemble pour discuter et après à se connaître ? Mais Muerté, le présentateur excentrique et iritant en avant décidé autrement. Il venait de lui attraper le bras et l'emmenat à présent plus ou moins de force vers... ses toilettes. Un peu perplexe, il observa l'espagnol lui ouvrit la porte et le pousser à l'intérieur. Il constata alors qu'il y avait eu toute une installation qui avait été faite dans le but de créer un espèce de confessional de télé-réalité de fortune. Une espèce d'horreur de couverture de WC rose type fausse fourrure recouvrait désormais le couvercle de la cuvette de ses toilettes. L'équipe du tournage avait sans aucun doute trouvé cela plus confortable et plus stylisé mais Aloysius n'y voyait que mauvais goût et il pouvait avancer sans trop se tromper que Deborah n'approuverait pas non plus. Le lion fini par s'asseoir et Muerté en profita pour faire son show :

- Bienvenoue dans lé confessional. Vous allez dévoir répondre a trois questions posées par lé téléspécatérs, face à la caméra. Avant qué notre invité sourprise ne vous pose les questions, dites nous tout : dans la confidence, quel est votre réssenti maintenant qué vous avez voue les participants ?
- Mon ressenti sur les candidats est très bon ! Je connaissais déjà Benjamin qui est un garçon charmant et les jumeaux Byrom qui ont une énergie débordante. Je pense que nous allons passer une très bonne soirée sous l'œil avisé de Mademoiselle Gust qui semble véritablement être une femme de goût.
- Mi ci qu'il i dija charmé le monsieur ! Maintenant laissons le aux bons soins dé notre invité sourprise...

La porte se referma des toilettes se referma brusquement et le lion passa sa langue sur ses dents avec une grande frustration. Cet espagnol commençait sérieusement à lui taper sur le système... Qui était doté d'une telle impolitesse pour refermer une porte au nez de quelqu'un juste après lui avoir parler ? Sans compter toutes ces illusions qu'il faisait. Un charme à propos de Miss Gust ? Passe encore... Mais le mot "psychopathe" et surtout "cannibal" passaient beaucoup moins. Le savait-il ? Ou bien avait-il dit cela uniquement par pure coïncidence pour faire monter l'audimat. Une chose était certaine, il était à deux doigts de voir le véritable cannibal. Il était déjà en train d'imaginer quelques rôtis lorsqu'une voix étrange l'accueillait :

- Aloysius, nos téléspectateurs vous ont préparé des questions. Etes-vous prêt à y répondre ou avez vous une secret story ?
- Je suis prêt
- Première question : Ca fait de quoi de voir que c'est une boulette qui a pris votre place à la mairie ?"
il va y avoir un silence, et au moment où tu t'apprêtes à répondre, la voix va reprendre "Ca fait mal ou très mal ?


Aloysius retint un sourire face à cette première question et garda tout son calme et son sérieux pour secouer la tête de gauche à droite :

- Ca ne fait pas mal du tout. J'ai décidé de mon propre gré de me retirer de la vie politique afin de laisser l'occasion à de jeunes personnes ayant des envies de faire avancer cette ville de se réaliser dans ce beau métier qu'est celui de maire. Regina est une amie, il m'arrive d'avoir des réunions avec elle pour la guider, la conseiller... Elle est novice dans ce métier... c'est bien la première fois qu'elle est élue PAR le peuple, POUR le peuple et je n'ai jamais prétendu que ce métier était simple... Regina fait simplement ce dont elle est capable pour aider cette ville, et c'est très honorable, quelqu'en soit les résultats.
- Trop badass !

Le psychiatre avait tourné vivement la tête vers la porte close. Visiblement ce confessional n'était pas totalement l'abris des oreilles indiscrète, même si leur propriétaire avant tenté de l'être...

- Deuxième question : chante-tu sous la douche ?

Il eût un petit ricanement face à cette question. Elle était très amusante, vraiment. Elle lui plaisait :

- Non, je suis désolé de vous décevoir mais chanter n'est clairement pas mon fort... Mais en revanche, j'aime prendre une douche ou un bain en écoutant des opéras... c'est très reposant, je vous le conseille !
- Ah ça c'est pas fun !

Et il savait ce qui était encore moins "fun" le bougre d'abruti ? D'écouter les conversations privés d'un futur roi et de son public... Il était prêt à le lui fiare remarquer quand la Voix reprit de plus belle :

- Troisième et dernière question : Qui seras la prochaine rousse dans ton lit ?

Cette question était aussi amusante... Visiblement, il avait une réputation de charmeur de rousse... Après un petit pouffement, il leva les mains et les épaules pour montrer qu'il n'en savait pas plus que les spectateurs :

- Je l'ignore... et c'est tant mieux, vous ne trouvez pas ? Je pense que la vie vaut la peine d'être véritablement vécue... si on la connaità l'avance elle perd de toute sa saveur... Mais si vous êtes rousse et que vous décidez de forcer le destin... ma porte est souvent ouverte.


Il inclina la tête en signe de salut respectueux avec un sourire charmant avant d'entendre de nouveau l'impoli :

- Ouh il veut pécho de la rousse hihihi
- Merci, c'est tout... pour le moment. Et n'oubliez pas, répondre au téléphone c'est parfois si dangereux.

Il hocha la tête d'un air entendu et se leva. Il reboutonna sa veste de costume qu'il avait deboutonner en s'asseyant et sortir de la pièce avec un sourire. Quel danger pouvait-il y avoir à répondre au téléphone, IL était le danger... Il observa Muerté qui semblait tenté de faire comme si de rien n'était et Aloysius lui précisa juste d'une voix onctueuse :

- Vous savez, ce n'est pas très poli d'écouter aux portes.

Il lui lança un clin d'oeil avant de s'éloigner pour rejoindre ses invités. Il était temps de servir ses éclairs végétaux, ses croquants figue et foie gras, ses roulés de veau en carpaccio avec risotto à l'intérieur, sa rose de jambon au melon et sa verrine de verdure et graine pour satisfaire tous les palets et tous les goûts. Tant qu'il restait un peu de cannibalisme dans l'air, tout était permi, n'est-ce pas ?

crackle bones
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Deborah Gust
« Sarcasm: punching people with words. »

Deborah Gust

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- Youhou Deborah, regarde ce que je sais faire !
- C'est bon, je démissionne, j'en ai marre des débiles.

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________________________________________ 2017-10-14, 00:11 « Sarcasm: punching people with words. »

Aloysius s'était éclipsé l'espace de cinq minutes. Je l'avais suivi du regard, sans pour autant quitter ma position stratégique (qui me permettait d'observer l'intégralité du salon tout en donnant mon meilleur profil à la caméra) et revint comme s'il n'était jamais parti, imprégnant la pièce de sa classe.
Inutile de vous le dire (mais je vais tout de même le faire des fois que vos esprits soient particulièrement lents) mais cette élégance était absente des deux rouquins (qui avaient cependant décidé de me vénérer sans que je n'ai à l'ordonner, ce qui était plutôt rare) et du morfale qui, étonnamment, avait pourtant la ligne. Beaucoup de femmes ce soir allaient envier son métabolisme, je n'en doutais pas. Mais du moment qu'elle enviait le reste de ma personne, je ne considérerais pas qu'il me faisait de l'ombre - idée ridicule, soit dit en passant. Pas avec des converses pour sortir en société. Il n'y qu'à David Tennant :tardis: que ça va bien.
Je finis ma coupe de champagne dont la couleur dorée chassa cette idée saugrenue de mon esprit. Puis j'attrapai un canapé et le savourai avant de tendre nonchalamment mon verre. Mais après dix secondes interminables personne ne l'avait rempli. Fronçant les sourcils, je scannai la pièce, constatant qu'il n'y avait personne de prévu pour faire le service.
Il faut vraiment tout faire soi-même, songeai-je en levant les yeux au ciel.
Quand je les ramenai à hauteur d'homme, l'autre zinzin bariolé s'approchait de moi. Qu'à cela ne tienne, il saurait sans doute faire l'affaire.
- Tu tombes bien, commentai-je en agitant ma flûte de champagne. Et comme je suis gentille je vais même t'aider. La bouteille est là-bas et ma flûte est ici. Tu peux le faire, j'ai... on va dire que j'ai confiance.
Que n'inventerait-on pas pour obtenir un service digne de sa personne... Evidemment, je n'avais et n'aurai jamais confiance en une personne aussi grotesque mais il obtempéra, sans doute pas crainte, ce qui, entre nous, n'était pas une mauvaise chose.
- Oh bien sour, s'écria-t-il en attrapant la bouteille...
... Pour la poser à côté de moi.
On croirait rêver.
Et pourtant, des boulets, j'en ai vus dans ma vie.
Par chance, mon regard noir le convainquit de poursuivre sur sa plus ou moins bonne lancée et remplir mon verre.
- Oulalah, commenta-t-il, ses gestes un peu fébriles.
- Comme quoi, ce n'était pas difficile, commentai-je, satisfaite, avant de siroter une nouvelle gorgée.
Enhardi par mon sourire charmeur, il sortit (ne me demandez pas d'où) un petit top criard et de mauvais goût et le présenta à ma vue horrifiée.
- Ci ton moment Deborah, ciloui du big choix ! Soit, tou te rhabille pour porter ceci, soit tou peux manger oune dizaine dé brocolis pour accompagner lé souperbe apérifit.
J'arquai un sourcil, presque surprise par son courage.
- J'ai une meilleure idée, déclarai-, je mielleuse. Et si vous disparaissiez plutôt de ma vue et alliez enterrer vos idées stupides avant que ce ne soit votre carrière que j'enterre ?
Paniqué, le présentateur leva les mains - et fit tomber le haut immonde - et s'en alla sans demande son reste.
Bien.
Il progressait.
Mais pour un progrès, on assiste généralement à une dégradation et c'est ce qui se passa. Un cameraman téméraire (décidément, l'équipe se passait le mot) avait décidé que piquer dans mon assiette (qui contenait encore quatre petits-fours) était la chose tendance à faire. Je sais que nous vivons dans le Maine mais QUAND MEME ! Avec tout son équipement et surtout sa caméra qui m'avait effleuré l'oreille, il n'avait aucune chance pour être discret. Même Colère un jour de rage aurait été plus subtil. Et dieu sait s'il ne connaît rien à la subtilité.
Apparemment pourtant il avait pensé que l'intervention de Muerté était suffisante pour me distraire.
- Vous savez que je vous vois, hein ? demandai-je tranquillement.
La main dans le sac, songeai-je, satisfaite.
L'homme blêmit et n'eut d'autre idée que d'enfourner précipitamment le petit four dans sa bouche. Ce qui n'était pas une mauvaise idée. On ne savait pas où avait pu trainer ses mains et on ne voulait d'ailleurs pas savoir.
Il partit d'ailleurs sans demander son reste. Je leur fais souvent cet effet.
Satisfaite, je continuai de picorer cette délicieuse nourriture. Mais un bruit non identifié ne tarda pas à troubler ma dégustation. Quelque chose était apparemment tombé et, malgré la distance, j'avais entendu (parce que mes oreilles sont super soniques et que je suis globalement supérieure à tout le monde : pour preuve, personne ne semblait avoir entendu) un "charmant" "ah putain aie". Amis de la poésie, bonsoir. Je ne savais pas qui pouvait s'exprimer ainsi mais j'espérais que ce ne soit pas un proche d'Aloysius.
C'était curieux. Presque intriguant. Mais je ne pouvais pas priver le salon de ma présence - ni les téléspectateurs. Heureusement, j'avais déjà deux rouquins à ma botte et quelque chose me disait qu'ils seraient ravis d'aider.
Moi ? manipulatrice ? Absolument.
- Eh les rouquins. IL se passe un truc par là-bas et vous avez de bonnes têtes d'enquêteurs, déclarai-je en indiquant la direction et en usant de flatterie car - et chacun le sait - cela marche toujours. Je pense que c'est le moment de prouver à ma divinité que vous êtes fidèles, conclus-je avec un sourire innocent (enfin... façon de parler).
Le résultat fut instantanément. Trop heureux de se voir confier une mission, les jumeaux me gratifièrent d'un salut militaire et s'en allèrent sans en demander davantage.
Quant à moi, je restai au cœur de la fête, à ma juste place.


Jean-Balthazar Trapp
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Jean-Balthazar Trapp

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*Laisse moi faire quelque chose pour toi pour une fois...*

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*bug...*

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| Dans le monde des contes, je suis : : Le fils du Père Fouettard

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________________________________________ 2017-10-14, 17:41


Dors chez... Aloysius le psychopathe



Les jumeaux ne m'avaient pas parlé de leur participation à l'émission, les voir arriver devant moi me laissa un moment perplexe. Je ne réalisais d'ailleurs pas tout de suite qu'ils étaient là, répondant à leur question et discutant comme si de rien avec eux. Sauf que à un moment ça fit tilt et je percutais que normalement ils n'auraient pas dû être là. Enfin si puisque visiblement eux aussi avaient été retenu au casting de l'émission. C'était vraiment trop cool ! On ferait ça tous les trois avec Aloysius. C'était super trop bien du coup. Et nous pourrions apprendre à connaître Deborah de façon plus approfondi puisque je connaissais déjà tout le monde.

Cette soirée semblait commencer sous de très bons auspices. Je regardais les jumeaux s'éloigner vérifier quelque chose dans la maison parce que Deb avait entendu quelque chose. Personnellement, je n'avais rien entendu et je les laissais donc aller voir tous les deux. De mon côté, je continuais de profiter des petits fours servis à table tout en discutant joyeusement avec les autres personnes présentes. Je profitais vraiment de la soirée, passant un très bon moment quand tout à coup en tournant la tête, je me rendis compte que la chaise vide à côté de moi était désormais occupée. Mais ce n'était pas les jumeaux qui avaient regagné leurs places. Non, c'était l'un des cameraman qui s'était installé et qui étaient en train de boire un verre.

Je restais un moment à le fixer bêtement, surpris de le voir là. Ce dernier semblait tout aussi gêné que moi, mais sans doute était-il gêné de s'être fait remarqué. Je ne savais pas s'il avait le droit d'être là mais c'était sympa de voir l'équipe technique se mêler réellement à nous. Je lui adressais donc un grand sourire une fois ma surprise passée.

"Bonjour ! Vous avez le droit de manger avec nous ? C'est trop cool !"

Le cameraman me fixa avec des grands yeux en posant son doigt sur la bouche pour me faire signe de me taire.

"Chuuuut soyez discret ! Je veux juste boire vite fait."

Je hochais la tête pour montrer que j'avais compris avant de lui chuchoter en lui tendant un petit four.

"[color#c6174d]Vous en voulez un ?[/color]"

L'homme accepta avec reconnaissance alors que je luis souriais gentiment. Pauvre homme qui n'avait même pas le droit de manger et boire à notre table alors que cette dernière était remplie de victuailles. C'était nul comme règle de leur interdire de se servir.

"[color=#c6174dIls sont super bon vous allez voir.[/color]"

Soudain, Muerté arriva derrière nous en pendant un moment, j'eus peur qu'il ne dispute mon nouvel ami d'avoir quitté son poste pour manger avec moi. Alors quand le présentateur se pencha pour chuchoter à mon oreille, je fus légèrement surpris.

"Hihihi ji peux en avoir un aussi ?"

Un immense sourire se dessina sur mes lèvres alors que je lui tendais un petit four ravi.

"Oui bien sûr !!!"

Quel sorte de monstre aurais-je été de priver un homme de nourriture ? Je regardais donc Muerté s'éloigner tout heureux grâce à moi. Je reportais mon attention sur la table avant de commencer à m'inquiéter du fait que les jumeaux n'étaient toujours pas revenus. C'était que ça commençait à devenir inquiétant cette histoire. Je décidais donc de me lever pour me mettre à leur recherche. On ne savais jamais, peut-être aussi avaient-ils oublié de revenir. Ou alors ils s'étaient perdus en chemin, ce qui était possible aussi.

Une fois dans le couloir, j'entendis des voix. Je restais un moment indécis. Il y avait une porte fermée derrière laquelle il semblait y avoir de la lumière. Et sinon, une autre pièce totalement dans le noir mais d'où la voix des jumeaux semblait provenir. Je finis par me décider à suivre leur voix. C'était sans doute ce qu'il y avait de mieux à faire. Plus je m'approchais, plus je pouvais les entendre se chamailler.


"Mais allume la lumière !"

"Mais c'est pas moi qui dois l'allumer je suis devant le lavabo, tu es plus prêt !"

"Mais non, c'est moi devant le lavabo, c'est toi qui est plus prêt !"

Derrière moi, j'entendis Muerté s'adresser à moi mais je ne l'écoutais pas vraiment trop occupé à essayer de rejoindre mes amis.

"Euh s'il vous pliz, l'apéro il est ici ! Ci lé répas lé plous important dé la journée !"

Je ne pouvais pas en vouloir au présentateur et dans un sens, il n'avait pas tort, c'était le repas le plus important. Mais je ne pouvais pas laisser les jumeaux continuer à se chamailler dans le noir. J'allumais donc la lumière de la salle de bain pour les trouver tous les deux devant le lavabos. Je les observais quelques secondes amusé avant que mon regard ne soit attiré par un petit mot, je m'approchais de quelques pas pour lire : JOYEUX HALLOWEEN !!! Soudain mes yeux se baissèrent sur l'intérieur de l'évier dans lequel flottait quelques.. os, baignant dans de l'eau rouge. Une vision d'horreur qui me remplit de dégoût et de peur mêlé. Je ne pus réprimer le cri strident qui s'échappa de ma bouche. Trop d'horreur. C'était quoi ces os ? Qui avait pu mettre ça là ? Qui était la victime ? Oh mon dieu !!! C'est ce moment précis que choisi Muerté pour revenir à la charge.

"Ji vais manger vos pétits fours !"

Qu'il les mange donc ! Moi, je n'avais plus faim.


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________________________________________ 2017-10-15, 21:03



Notre merveilleuse vie de star



Ils avaient sursauté lorsque la lumière fut allumée, et qu'ils avaient vu qu'ils étaient en fait tous les deux devant le lavabo.

Tu pouvais me dire que tu étais là !
Mais je te l'ai dit, c'est toi qui m'as pas dit que tu étais pas là-bas !

Le petit cri qu'avait émis Benjy les avaient de nouveau surpris, les faisant regarder ce qu'il observer : l'évier. Sous un papier avec l'inscription "Joyeux Halloween", des os étaient mélangé à un liquide rouge très foncé. Les jumeaux avaient haussé les sourcils, essayant de se rappeler si ce genre de chose était normal, ce qu'ils ne pensaient pas.

LES GENS VENEZ Y A UN RITUEL SATANIQUE ICI !
Hihi ci trop bien pour les audien... Mama Mia mi ci quoi ça ?

Alors que tout le monde s'étaient dirigés dans la salle de bain, caméras ne manquant rien de la scène, les jumeaux approchèrent leur visage de trèèèès près, avec leur oeil d'inspecteurs, et une concentration rare.

Ca... ce sont des os de poulets !
Ou de cheval à bascule.
Ah ouais, ça pourrait aussi.

Ils regardèrent les autres. Quoi ? Vous avez jamais vu de cheval à bascule vivant ?
Amateurs, c'est un insecte courant chez nous.

Les yeux rivés sur le liquide rouge, que tout le monde prenait déjà pour du sang, ils firent rapidement leur pronostic, une fois le doigt trempé dedans.
C'est du faux sang.
Colorant de mauvaise qualité, digne des débutants.
On ne peut tromper les rois des farces et attrapes.

Ils s'étaient reculés, pour observer, avec les autres, ce curieux spectacle. Ca n'avait rien d'un meurtre, mais c'était quand même pas très normal. Même eux s'en étaient rendu compte.
Ils se penchèrent vers Deborah, juste à côté d'eux, pour lui parler en murmure. C'était une déesse, elle avait surement des réponses.
Est-ce que vous approuvez ça dans le règlement divin du style ?
Parce que c'est chelou de faire ça quand même. Et nos parents étaient timbrés donc c'est quelque chose.


Deborah, elle, se contentait de fixer l'évier, bouche pincée, consternée. Deborah n'approuve pas du tout.
Les jumeaux froncèrent les sourcils. C'était pas elle Deborah ? A moins que les dieux ne parlent d'eux à la troisième personne. Ils ne se souvenaient pas qu'Amelia faisait ça pourtant.
Les jumeaux fermèrent les yeux, et hochèrent la tête négativement, dans un air déçu.

Quel dommage...
Son style était pourtant si prometteur.


Deborah arqua un sourcil. Qui nous dit que c'est Monsieur Black le coupable ? jIl me semble que plusieurs personnes étrangères se baladent chez lui comme bon leur semble. Et je ne puis l'imaginer s'amusant avec du faux sang.
Duncan haussa les épaules. Une seule façon de le savoir.
Il se tourna vers Aloy, parlant enfin normalement.
C'est une déco d'Halloween ?
Si c'est le cas... pourquoi pas.
J'aurai pas fait ça comme ça mais... soit.


Sceptique et dégouté par l'oeuvre, il répondit simplement : Je vous propose d'aller demander à l'équipe de tournage... personnellement je n'aurai pas fait cela comme ça non plus...

Les jumeaux se penchèrent alors vers Deborah pour le verdict.
Vous en pensez quoi ?
Il à l'air innocent mais...
Moi je dirais qu'il aime bien regarder ça.
C'est bizaaaarre.

Ma foi, chacun prend son plaisir il comme il l'entend.


Ils dirent finalement à Aloysius : Mmmh Ok, si vous le dîtes.

Maintenant on peut retourner à table ? Parce que ci poulet est plus mangeable, contrairement aux pitits trucs sur la table.

Ce qu'ils firent alors, haussant les épaules, laissant les os aux soins... de celui qui en prendra soin.

Hééééé mange pas dans mon assiette ! S'écria Derek en voyant un caméraman assit à sa place, lequel se leva avec précipitation pour faire mine de filmer à nouveau.
Les choses de nouveau réparées, ils purent se goinfrer de l'apéritif succulent d'Aloy, mais remarquèrent un élément dérangeant avant qu'ils ne puissent féliciter leur hôte pour ces mets succulents.
Benji, l'air dégouté, ne touchait plus à son assiette.

T'inquiète pas, c'était pas un vrai meurtre !
Y avait pas du tout de sang la dedans.
Et si ce sont des os de cheval à bascule, je crois que ces insectes ne ressentent pas la douleur.
Allez mange, ces trucs sont trop boooooons !


Jouant avec sa nourriture de sa fourchette, il releva alors les yeux vers les jumeaux en soupirant.

Mais même, c'était horrible. Tout ce sang et... Des os... Qui a fait ça ?
Ils chuchotèrent à Benji : Les autres veulent accuser l'équipe, mais Muerté à pas l'air hyper doué pour faire ça.
Ji vous permets pas !
Allez oublie ça, petit Benji d'amour, tu veux pas mangeeeeer, fit Duncan d'une voix qui se voulait réconfortante.

Benji regarda Muerté. C'est vous qui avez fait ça ? Il était presque en train de pleurer. C'est pas drôle, j'ai eu peur moi...
Moi ji souis payé pour être beau à la caméra, si ça montre pas qui ji souis beau, ça m'interesse pas.
Et bien celui qui a fait ça est méchant voilà !
Tu veux un câlin ?
Il secoua la tête négativement.
Non je veux pas de câlin. Je veux le coupable pour lui dire de partir très loin et de ne jamais revenir, fit-il en croisant les bras, se mettant à bouder.

Evidemment, les jumeaux lui firent un câlin. Tu as besoin d'un calin.
On est les protecteurs de la reine tu sais.
On va trouver pour toi.
Mais faut manger.
Parce que manger est le repas le plus important de la journée.


Benji se laissa difficilement convaincre, portant tout de même un petit four à sa bouche, sous le Miaaaaam des jumeaux.

Mais ils furent vite distrait, en voyant une poche du caméraman qui avait pris la place de l'un d'entre eux, remplie, et qui sentait bon.
Eeeeeeeet tu m'as volé ma nourriture ! Derek ouvrit la poche, et mangea aussitôt ce qu'il y avait dedans, s'essuyant les mains sur le fessiers du monsieur.

Ché quoi la chuite ?




Aloysius Black
« Before we begin, I must warn you... NOTHING here is vegetarian. »

Aloysius Black

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________________________________________ 2017-10-16, 20:51 « Before we begin, I must warn you... NOTHING here is vegetarian. »

Dors chez ton psychopathe (moi)

“Everybody line up
The show is about to start
Places, the show is about to start
You have to show a look
Have a look, or give a look

Faces, beautiful
No one ugly allowed
Are you ready? Here we go”

Les invités étaient retournés dans le salon mais Aloysius demeurait furieux. Qu'est-ce que c'était que cette mise en scène ? D'abord les sous-entendus et maintenant ça ? Etait-on en train de lui tendre un piège ? Mais qui ? Jamais personne n'avait été assez intelligent pour comprendre ce qu'il était et la seule personne qu'il avait laissé un temps soit peu approcher de son secret était désormais dans un stade légumique avancé où il était incapable de faire la différence entre sa misérable rouquine et sa gamine de quelqu'années à peine. Alors quoi? Cela était juste une vaste blague ? Une coïncidente fortuite quoi que cocasse s'il avait encore le goût à rire ? Mais il n'avait pas le goût à rire ! En plus de saccager sa maison, ils ne faisaient passer pour un tueur de bas étage sans aucun goût et sens esthétique alors qu'il mettait toujours beaucoup d'entrain à donner des oeuvres d'arts aussi impressionantes que morbides aux abrutis de policiers qui le cherchaient toujours.

Il s'approcha de Benjamin qui semblait toujours en proie au choc et lui posa la main sur l'épaule en lui précisant que tout irait bien. Il leva ensuite son index et demanda au jeune homme de le suivre des yeux pour tester ses premiers reflexes visuels.

- Ce n'est qu'un petit choc, Benjamin. Ne vous en faîtes pas, vous allez bientôt vous en remettre. Je suis navré pour toute cette bousculade, je ne contrôle malheureusement pas plus de choses que vous.


Il lui fit un signe de la tête pour lui affirmer qu'il allait s'en charger et pris quelques centième de secondes de cette peur qui se distillait encore dans ses yeux avant de s'éloigner pour observer le caméraman se goinfrer comme le malpoli qu'il était... Un rôti de porc serait sans doute adapté. Il aperçut alors Deborah qui semblait regarder l'homme avec le même dédain tout en tenant dans sa main un petit four :

- Ce que vous mangez vous plaît ?
- Ma foi je n'ai pas à me plaindre.
- Je crois voir que certains sont bien plus enthousiaste que vous...

Il avait fait un signe de tête vers le caméraman et la rouquine avait relevé la tête vers l'homme avec une grimace qui exprimait tout son sentiment.

- Je n'appellerai pas cela de l'enthousiasme mais un manque de savoir vivre. Elle observa son assiette un court instant avant de reprendre : ce genre de mets se déguste, il ne s'ingurgite pas comme si on n'avait pas mangé depuis trois semaines.
- En tant qu'hôte, je me dois de rester courtois mais j'apprécie grandement votre vision des choses... cela honore mon oeuvre.

Il inclina la tête en signe de respect et Deborah se mit à minauder en guise de réponse :

- Oh... je parle donc au chef cuisinier en personne ?


Il n'eut pas le temps de répondre que le caméraman avait glissé jusqu'eux pour observer goulûment l'assiette d'Aloysius et pointa son doigt gras vers l'un des petits fours au foie gras qu'il contenait :

- Je peux prendre de ça ? J'en ai pas encore goûté...
- Mais je vous en prie, mon ami.

Il lui tendit entièrement son assiette, trop dégoûté à l'idée de manger de nouveau dans une assiette touché par cette individu et le regarda s'éloigner avec un air las. Deborah en profita pour reprendre :

- Eh bien je vous fais mes compliments et veuillez prendre note que j'en fais rarement.
- Venant de la grande spécialiste du dégoût en personne, sachez madame que cela me flatte au plus au point.Mais dîtes moi, si cela n'est pas trop indiscret, comment en être vous venu à un tel intérêt pour le bon goût et le dégoût ?

Elle l'attrapa par le coude et l'attira un peu plus loin, à l'abri de l'agitation et, comme il put le comprendre rapidement, des oreilles indiscrète. Il la suivit avec un regard et un sourire amusé tandis qu'elle s'était stoppée et qu'elle observait à présent les alentours à la recherche d'une caméra ou d'un micro. Une fois qu'elle eût la certitude qu'ils étaient seuls, elle s'approcha de lui suffisamment pour que sa bouche atteigne son oreille. Il la laissa faire et quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle lui glissa avec mystère et fierté :

- Je SUIS le Dégoût.

Aloysius eû un petit mouvement de recul sous le coup de la surprise. Mais loin d'être une surprise de mauvais goût, bien au contraire, une surprise appréciée et appréciable. Ses yeux écarquillés et ses sourcils levés laissèrent place rapidement à un sourire putôt étrange, carnassier, émerveillé et follement intéressé:

- Eh bien ça alors... je savais que cette ville était peuplée de toute sorte d'être mais des émotions... c'est peu commun... Je...

Mais le présentateur, tout aussi impoli que le reste de l'équipe technique se mit brusquement à taper dans les mains pour redevenir le centre de l'attention. Aloysius commençait sérieusement à se demander si toute cette aventure allait se trminer comme dans une BD d'Astérix et Obélix, avec un grand festin... Les deux personnes se rassemblèrent alors auprès de l'espagnol qui pris directement le lion pour cible :

- Allez, on finit cet apéro en beauté, monsieur Aloysious Black ! Oune pétit jeu : Vous dévez boire trois verres de vins coul sec d'affilé, ou alors chanter pour vos invités !

Le psychiatre eu un petit pouffement de rire dédaigneux et s'éloigna en silence en direction d'un bahut richement travaillé qu'il ouvrit. Il en sortit un Whisky ambré qui devait bien avoir plus de 50 ans d'âge et revint avec pour le poser sur la table.

- Boire du vin cul sec serait un trop gros affront que je ne saurai faire... le whisky en revanche se boit comme tel et je préfère en boire un bon pour cette expérience... et comme vous le savez sans aucun doute, je ne suis pas un grand chanteur.

- Ouh mi quel homme quel homme, hihi.

Le lion commençait à se demander si cet espagnol se devait de tout commenter ainsi ou s'il avait un quelconque attrait pour les personnes du même sexe que lui. L'ignorant, il observa les jumeaux qui venaient de frissoner à l'idée de le voir boire de l'alcool... Ils ne semblaient donc pas y être habitué, quel dommage. Il prit un verre à whisky en crystal dans l'une de ses armoires vitrée et se tourna vers les deux rouquins :

- Vous voulez tester ? Passé un certain temps, l'alcool se bonifie, s'adoucit, laissant place au sucre qui confère au liquide une texture légèrement plus épaisse et colorée... il y a des notes de miel dans celui-ci et de figue séchée...

Il avait parlé tout en se versant le verre qu'il but d'un train à la fin de sa phrase. Il montra ensuite l'armoire en précisant :

- Si quelqu'un désire me suivre, il sera bienvenue.

Il recupera 4 autres verres pour ses véritables invités qu'il posa devant lui. Il se versa un deuxième verre qu'il but, puis le troisième qu'il termina à son tour. Défi relevé.

- Oooooh du miel !

Les deux garçons observaient le liquide avec un intérêt particulier, comme deux enfants en proie à une grande découverte. Il leur servit un petit fond et déposa les verres devant eux. Il leur donna quelques conseils de dégustation, l'observation du liquide, de sa couleur, de son épaisseur, son odeur, la façon de le prendre en bouche et de l'avaler. Les deux Byrom furent assidu mais lorsque le liquide vint titiller leur palais, ils bloquèrnt soudainement, hésitèrent à avaler et recrachère le whisky dans son verre. On n'était plus à un affront près...

- Maiiiis ça a pas le gout de mieeeel.
- Ca n'en a pas le goût, ça en a des notes... vous semblez encore bien trop novice en la matière pour pouvoir l'apprécier, mais je suis certain qu'avec le temps vous y arriverez...

Il leur sourit, accompagnant cela d'un clin d'oeil parternaliste.

- Ok chef !

Les deux rouquins le regardaient avec un regard admiratif mais Aloysius fut déranger dans cette contemplation de son propre reflet mis sur un piédestal par un Muerte qui avait déserté et touchait désormais un peu trop près la décoration. Il avait mit la main sur une statuette d'une grande valeur et le lion pinça les lèvres de frustration avant de lancer dans un parfait contrôle de voix :

- Mr Muerte, la statuette que vous avez en main date du 18ème siècle et m'est très précieux... pourriez vous la reposer ? Pourquoi ne pas vous joindre à nous plutôt ?
- Oulala ci presque plous vieux que moi.Ci vrai, je peux manger aussi ?
- Mais bie sûr !


L'espagnol s'assit et commença à s’empiffrer de tout ce qui lui passait sous la main. Mieux valait que ce soit de la nourriture que ses antiquités. Décidément, cette soirée s'annonait longue.



crackle bones
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