« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 They wanna take me down, wanna see me crawl [Les Evils]

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They wanna take me down, wanna see me crawl [Les Evils] _



________________________________________ 2017-08-18, 22:36




I got a million on my soul
I go build an army on my own They put a bounty in my soul Won't you leave me alone more


Son regard narquois me détaillais avec attention. La pression de son regard avait quelque chose de dérangeant et de fou allié. Carlie et Indy n'étaient pas là. Ils m'avaient laissés seule avec elle. Avec Mère. L'angoisse profonde qui me nouait la gorge m'empêchait d'émettre le moindre son. Elle me terrorrisais. Elle attendait que je face un faux pas. Pour sortir le fouet. Et frappé ma peau. Ajouté un bleu là ou il restait encore quelque trace rose de ma peau. Ajouté une collection solide. Je tremblais. Incapable de contrôler le moindre frétillement de mes mains. Mon regard était juste empreint d'une stupeur qui me dévorait l'estomac. Mère souriait. Elle était contente. Elle savait qu'elle pouvait faire de moi ce qu'elle voulait. Qu'elle me tenait sous sa coupe. Et j'étais toute seule. Je ne devais pas l'énervé. Ou j'allais le payer. Le feu crépitait dans la cheminé, et le silence lourd et pesant était oppressant. Je me remémorais dans la tête mes bons moment avec Carlie et Indy. Juste pour avoir la force de tenir. Mais jamais je ne saurais être aussi courageuse qu'eux. Moi je n'étais que le chien. Le chien qui écoutait. L'animal craintif qui ce recroquevillait dès qu'un objet claquait ou volait. Qui couinait en silence, victime de la violence de son maître. Mon cœur trottinait trop vite, le son des battements remontait le long de mes tempes. Mère tenait une cravache, et la faisait claquer sur la paume de sa mains. Le bruit me fit sursauter. Combien de temps avant que son comportement ce dérègle ?

« Avie chérie. C'est pourtant pas compliqué. Ou sont Carlie et Indy ? »
Aboya t-elle. La cravache devait retombé sur sa paume. Mais elle heurta quelque chose de plus bruyant. Quelque chose de plus choquant pour brisé mon âme de ce bruit assourdissant. Utilisé ce bruit comme une menace. Mes yeux fixaient le vase. Le vase, le jolie vase. Il tomba sur le sol et ce brisa en mille morceau. Il était irréparable. Comme moi. Les morceaux étaient éparpillé un peu partout dans cette iréalité. Dans ce quotidien subit. Ma gorge ce serra davantage. Le sol était sale. Le terreau avait taché la moquette. Mes yeux le visait. Comme ci ils possédaient le pouvoir de faire anéantir cette tâche. « Avie. Ma douce Avie. » repris le ton venimeux de mère. Mes yeux étaient scotché sur la saleté. Le bout de son arme, à savoir sa cravache, ce plaqua contre mon menton. Ma tête suivit la baguette avec obeissance, croisant son regard carnassier. Je ne savais pas. Carlie et Indy étaient partis, et je ne le savais pas. J'allais payer pour être réduite au silence et l'insouciance. Je savais ce que ce regard voulait dire. Je savais décerner l'attention de cette lueur fourbe qui éclatait son regard.

▬ « Je ...Je ne ...le...sais pas. » begayais-je. J'étais fébrile. Tremblante comme une feuille. Impossible d'émettre le moindre son proprement et dignement. L'omega de la famille. Les yeux mère exprimait une colère qui commençait à faire naître des étincelles dans l'air. La cravache ce leva lentement, je la regardais exécuté le mouvement tel une épée de damoclès fendant le crâne de sa victime. La cravache percuta ma joue avec une tel violence, que mon visage tourna d'un coup sec. La douleur brûlante ce répercuta sur ma joue. Ca faisait mal. Mes yeux s'embuèrent, alors que je tenais bon. Je ne savais pas ou était Carlie et Indy. Et le prix de mon ignorance, la sentence, était en train de tomber. Une mains douce caressa ma joue en feu, manquant de me faire lacher une plainte au contacte de sa peau contre la mienne. Mes yeux revinrent lentement sur son visage fourbe, sournois, vicelard. La peur me coupait le souffle. Je regardais mère, incapable de lever les yeux pour y supporter le supplice des siens. Je respirais bruyamment. La tête me tournait. Après avoir caresser ma joue irrité, mère appliqua un nouveau coup de cravache sur la deuxième. La cheminé arriva à une vitesse folle dans ma vision.

« Ma puce. Dit tout à maman. Tu le sais. Je sais que tu le sais. C'est très mal de mentir à sa mère. Sois une gentille fille. Et je promet d'être plus douce que les dernières fois. » roucoula t-elle. Je ne savais pas. Les larmes me roulaient sur les joues. J'aurais tellement aimé savoir. J'étais toujours celle qui ne savait rien. Celle à qui on cachait tout. Absolument tout. Mais c'était comme ca. On ce moquait de moi. On ce fichait de mon existence. C'était comme ca. Et je l'acceptais. Comme le nouveau coup de cravache qui percuta mon nez. Ma mains vaint le couvrir alors que la douleur me provoqua une vague de larme déferlante. Mais je pleurais silencieusement. Mon visage me brûlait, et je me rendis compte que j'étais accroupis. Tenant mon nez en essayant de résister à la douleur qui me rongeait le cartilage. Une mains douce s'empara de mes epaules, et je me retrouvais le visage contre le torse de mère alors qu'elle me caressait la tête avec une douceur que je ne reconnaissais pas.

« Chute, douce petite Avie. Je suis encore clémente. Je n'ai pas sortis le fouet. C'est parce que tu le mérite Avie, tu comprend ? C'est très mal de caché des trucs à maman. Alors maman te punie, c'est normal. » Oui. C'était normale. Je ne savais pas ou était mon frère, et ou était ma sœur. Alors j'étais punie. Les larmes ce mélangèrent très vite au gouttelettes de sang qui tombaient de mon nez. Mes mains étaient imprégné d'un liquide rouge, crasseux. Mère était douce dans ses gestes. Trop douce. « Là Avie. C'est bientôt finie. » me promit t-elle avant de ce relever. Elle me lacha, alors que le choc impregnait mon regard. J'étais confuse, je ne comprenais pas. Je voulais savoir. J'aurais aimé savoir. Mes mains tremblait. Tous ce sang. Je n'arrivais pas à stopper tout ce sang. Il tachait le sol. Le sol était beau avant. Mais plus maintenant. Mère leva la main. Elle avait finit avec la cravache. Sa mains arriva dans une vitesse que je ne pu distingué. Elle entra en collision avec ma joue. La force qui ce dégageait de ce geste me fit tomber sur le sol. Il était froid. Comme la délicatesse de mère. Je voulais que Carlie et Indy revienne. Mais ils n'étaient pas là.

▬ « Je ..j'ai mal... » gémit-je, alors que je laissais des traces de sang sur le marbre froid. M'agrippant à cette infime espoir qu'au moins, ce serait bientôt finit. Mère ne levait jamais la mains longtemps. Elle trouvait toujours quelque chose de mieux à faire. Je levais les yeux. Niles avait détourné les yeux, caché derrière la porte de cuisine. Niles était gentil. Nile m'aimait bien. J'avais le cœur brisé. Je tournais la tête, ma vision c'était obsurcis. Je n'arrivais plus à dicerné la douleur, elle ce répandait partout.

« C'est normale ma chérie. Le mensonge fait mal. Tu sais ce que ressent maman maintenant.» répondit mère. Je tentais de me relever, chancelante. Elle m'assena un dernier coup qui fut le dernier. Le sol ce rapprocha à une vitesse que je ne pu calculer. « C'est finit. » assura t-elle. ma vision était prise de tâche noir. J'entendais les pas de mère s'éloigné, alors que le sol me semblait la seule zone de réconfort. Je n'arrivais pas à me relever. j'avais juste mal. Je rempais pitoyablement vers le fauteuil, essayant de l'attraper pour me relever. Mais je chutais à cette tentative, et le néant m'ouvrit ses bras réconfortant. Je sombrais dans un monde d'illusion, là ou mère ne pourrait me rattraper. Le seule endroit ou je trouvais le repos et la sérénité.


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________________________________________ 2017-08-24, 10:13

They wanna take me down, wanna see me crawl [Les Evils] Fbfe52386582abf6dd777d3be6af81a7They wanna take me down, wanna see me crawl [Les Evils] Tumblr_ogl19pzpa11s7tb62o6_500They wanna take me down, wanna see me crawl [Les Evils] Tumblr_o1092absdD1ra8x1ao3_500
To the core.


Les examens approchaient. Rien qui ne fût en mesure d’inquiéter Carlisle cependant, qui ne doutait pas un seul instant de sa réussite, mais il devait avouer que cette petite sortie de l’univers monacale qu’il avait institué dans son appartement lui faisait beaucoup de bien. C’était une chose étrange pour lui, ce silence. Même alors qu’il ne vivait au Manoir que les fins de semaines désormais. Malgré lui, il restait toujours à l’affût du moindre bruit, du moindre son. De la moindre trace de ce que Mère pouvait faire subir à ses sœurs. Il avait été prudent cependant. Jamais il n’aurait pu laissé ses sœurs sans défense face à l’immonde monstre qui leur servait de génitrice. Mais il ne pouvait laisser son esprit s’adonner à la tranquillité. Au fond, Carlisle le savait depuis l’enfance. Tant que Mère serait en vie, jamais il ne serait serein.

Lorsqu’elle l’avait forcé à rejoindre son collège militaire en Angleterre, Carlisle avait véritablement craint pour ses sœurs. Malgré toute la haine qu’il pouvait lui vouer, Carlisle n’était alors pas en mesure de contester ses décisions, et il avait du se plier à sa volonté, sans être dupe quant à ses intentions. Il avait du endurer l’horreur de se savoir loin d’elles, trop loin pour prendre les coups pour elles. Ces années avaient été durs pour chacun des enfants Evil. Quatre années. Quatre trop longues années…

Mais il était revenu. La majorité des lycées anglais fortunés l’avaient pourtant supplier de rester sur le sol de Grande Bretagne, fascinés autant que surpris des prouesses de ce simple américain sans titre. Carlisle était brillant dans tout ce qu’il entreprenait. Mais rien n’aurait pu le maintenir à distance de ses Anges plus longtemps. Pas même le seul ami qu’il avait jamais eue sur Terre.

Carlisle était revenu au Manoir. Là où le temps n’avait jamais cesser d’allonger les tortures de ses sœurs. Si Avie avait prit le retour de son frère comme le plus beau des cadeaux, il en avait été différemment pour Indiana. L’amour d’Avie pour son frère était inconditionnel, total. Parfois, Carlisle constatait avec tristesse qu’il était probablement son seul ami en ce monde. L’amour d’Indiana, en revanche, était fait d’exigence. De promesses tacites. De demandes jamais formulées mais que l’un et l’autre ne connaissait que trop. Pour elle, Carlisle avait faillit à sa tâche, quand bien même il n’était pas responsable. Pas entièrement. Pas clairement… Il avait fallut du temps. Des coups pris, des hurlements poussés. Des promesses et des larmes. Mais Carlisle avait finit par revêtir cette armure de frère protecteur qu’il n’aurait jamais du quitter. Et par prendre les armes, allant défier ce dragon éternel qui devait disparaître. Pour le bien de tous.

Son amour de la biologie fût une révélation. Si Carlisle avait toujours su qu’il était bien plus lucratif de s’adonner à des activités frauduleuses, il avait également comprit grâce à Thomas Schubner qu’un métier ‘de façade’, légal, était nécessaire. Si son ami avait choisi la musique, lui se tourna vers un aspect plus scientifique du monde. Plus concret. Et bien plus apte à servir sa cause. Le monde pharmaceutique était une merveilleuse couverture pour ses recherches. Qui pouvait donc soupçonné ce beau lycéen de ne pas être ‘simplement’ curieux des effets des psychotropes sur le cerveau humain ? Qui pouvait donc trouver inquiétant cette connaissance approfondit de tous les poisons médiévaux dont les composants naturels avaient perduré jusqu’à l’ère moderne ? De la curiosité. Beaucoup de connaissances. Un esprit brillant sans nul doute. Un futur pharmacien…

Carlisle changea les dosages des pilules de Mère pour la première fois dans sa seconde année de lycée. Quelque chose de simple, presque d’anodin. Une simple virgule modifiée. Au fond de lui, Carlisle se sentait bouillir de puissance. Etait-ce donc cela, le fameux syndrome de Dieu, auquel l’univers médical ne semblait pouvoir échappé ? Si tel était le cas, Carlisle savait définitivement vers quel corps professionnel se tourner ! La voir prendre ce simple cachet ‘pour la tête’ lui provoqua des fourmillements dans tout le corps, jusqu’à la pulpe des doigts ! C’était une sensation merveilleuse, magnifique ! Jouissive….

Le processus était lent, et Carlisle du l’expliquer plusieurs fois à ses sœurs pour qu’elles ne perdent pas espoir. Petit à petit, les dosages seraient augmentés. Mère perdrait de plus en plus souvent connaissance, du fait des substances dérivées de somnifères qu’il ajoutait à ses cachets. Puis l’apathie viendrait. Les sentiments haineux seraient inhibés, de même que tous le reste. Elle perdrait l’appétit, puis la force de rester consciente. Enfin, quelques nouvelles substances lui ferait perdre périodiquement la mémoire. Et c’était alors qu’ils pourraient faire une demande de mise sous tutelle, puis d’internement. Pour son propre bien.

Le Manoir reviendrait à Indiana, et ils seraient enfin libre. Telle était sa promesse, mois après mois, quand les hurlements reprenaient et que les coups traîtres venaient les surprendre. Mère ne prenait plus guère le temps de frapper avec choix et discrétion désormais. Loin des bleus pâles de l’enfance, elle frappait désormais au visage, au torse, brisait les doigts et les poignets si il le fallait. Une fois, une seule fois, elle avait bien voulu reconnaître l’existence de son fils. Quelques heures, perdu dans du Vermouth. Suffisamment pour briser la main de son pianiste de fils. Juste pour le plaisir de lui retirer son rêve…

Malgré lui, Carlisle fit jouer ses doigts contre le volant de cuir. Le Professeur Taddeus avait fait des merveilles. Jamais il n’aurait pensé pouvoir rejouer avec une telle dextérité, après ce que Mère lui avait fait. Un léger rictus le prit soudain, repensant à cette lourde porte claqué de nombreuses fois, mais il se concentra bien vite sur la signalisation, reprenant la route. La Gare de Storybrooke était légèrement excentré, et il devait se concentrer, la pluie torrentielle venant arrondir les moindres détails. Il eue un sourire, penser à sa chère sœur de retour d’Europe. Un jour, il se le promit, il offrirait à Indiana une villa en Provence. Il était certain que tel lieux lui plairait grandement. Elle venait directement de Paris, et elle était une femme de capitale, mais Carlisle savait aussi combien le silence plus sobre d’une luxueuse campagne pouvait avoir son charme particulier.

Pour un si court trajet, Carlisle avait délaissé son garde du corps. C’était donc seul qu’il entra dans le hall de la gare, ne devant attendre que quelques minutes avant de reconnaître la flamboyance de sa sœur aînée, qu’il accueillit avec chaleur.

-Indiana ! s’exclama-t-il, venant l’embrasser sur chaque joue avec cette retenue typique de leur rang. Tu es magnifique, as-tu fais bon voyage ?

Rapidement, il se pencha, prenant son sac en cuir pour lui offrir son bras, avec élégance. Elle eue un sourire en venant se lover contre lui, lui confirmant en quelques mots toute l’affection qu’elle avait pour la grande capitale française.. Avant de doucement froncer le nez, se tournant vers son frère.

-Non, Evanora n’est pas avec moi, répondit-il, surpris, à sa demande soudaine. Pourquoi me poses-tu cette question?
https://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t83243-desolation-comes-upon http://once-upon-a-time-rpg.forumactif.com/t89855-galerie-d-art-bugada-fire-centre-ville


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________________________________________ 2017-09-05, 00:06


I rage against the trials of love
I curse the fating of the light

Jamais encore je n'avais quitté aussi longtemps le Manoir Evil. Jamais autant de kilomètres ne m'avaient séparés de ma famille. Un océan avait été entre nous, pendant une poignée de jours. À peine deux semaines, pas plus. Mais le temps m'avait paru bien plus long, loin de mes raisons de vivre. Dire que je n'avais éprouvé aucun plaisir à prendre du bon temps en France aurait été un mensonge. Paris était une ville magnifique. Une capitale au patrimoine culturel et historique incroyable. J'avais adoré flâner le long de la Seine, observer la vue depuis les hauteurs de la Tour Eiffel et déguster des vins datant des siècles derniers. Murtagh m'avait fait découvrir toute la richesse et les mystères de la Ville Lumière. Cela se voyait qu'il la chérissait. Il suffisait de l'entendre parler avec passion de la vie du Roi Soleil ou des secrets du Louvre pour comprendre que sa vie était ici.

Mon oncle m'avait proposé de rester. D'être à ses côtés pour gérer ses affaires. De devenir sa partenaire. Cela impliquait de vivre entre Storybrooke et Paris, loin des miens. Loin de Carlisle et Evanora. Bien entendu, j'avais décliné l'offre. Il était hors de question que je quitte ainsi ma famille. Ils étaient bien plus importants pour moi qu'un pied dans un univers plein de tentation mais où la passion ne serait jamais la même que celle que j'éprouvais pour mon frère et ma soeur. Mon bonheur passerait toujours après eux. Il en était ainsi depuis le début. Depuis que tout deux étaient entrés dans ma vie. Là était ma place. Au Manoir. À protéger Avie chérie de la monstruosité maternelle qu'était notre génitrice. À m'assurer que mon cher Carlie nous revienne un jour et n'oublie jamais son rôle. Nul ne pouvait partir. Nul n'en avait le droit. Nous étions trois, et il en serait toujours ainsi. Jusqu'à ce que la mort nous sépare. Si un jour elle osait nous défier.

Une valise en cuir à la main, je quittais enfin le train qui venait de me déposer à Storybrooke. La nostalgie me serra la gorge, alors que je traversais la gare, à la recherche de mon frère. Que cela avait été étrange, d'oublier pour quelques temps les malheurs de nos vies. À peine mes pied chaussés de Louboutins rouges avaient-ils foulés le béton du quaie que j'avais tout à coup été frappée de plein fouet par la dure réalité qui m'attendait ici. Il me semblait que je ressentais tout les coups que Mère n'avait jamais hésité à me donner. Les revers de la main qui frappent la joue, les lèvres ouvertes, les plais, les bleus sur le corps, les objets lancés à la tête. Toute cette violence qui imprégnait notre chez nous d'une aura maléfique et poisseusse. Faire comme si j'avais tout oublié avait été si facile. Si délicieux. Je m'étais comme raconté quelques mensonges, pour enjoliver la sombre réalité. Pour savoir ce que cela faisait, juste une fois, de ne pas souffrir. Quelle imbécile j'avais été. Comment avais-je pu croire que cela serait une bonne idée?

Je secouais la tête, avant de relever le menton fièrement et de m'approcher de mon jeune frère. Carlisle. À sa simple vue, mes lèvres peintes de rouge carmin s'étirèrent en un sourire exprimant une joie sincère. Qu'il était grand. Qu'il était beau. Et qu'il était réel, comparé à tout le reste.

- Je suis si heureuse de te revoir, Carlisle! Il faudra qu'un jour nous partions tous ensemble visiter Paris. Cette ville est d'une beautée et d'un charme... jamais je ne me lasserai d'en arpenter les rues et les jardins. Je suis certaine qu'Evanora l'adorerait aussi.

Presque ronronnante, je passais mon bras sous celui de mon frère, pour me serrer contre lui sans pouvoir me départir de mon sourire. Qu'il m'avait manqué. Mon coeur semblait sur le point d'exploser dans ma poitrine tant je ressentais un bonheur absolu à la retrouver enfin. Il ne manquait plus que ma douce Avie pour que je sois la plus heureuse de toutes.

- Où est-elle, d'ailleurs? Je suis surprise qu'elle ne soit pas venue. Ne souhaitait-elle pas être présente pour mon retour?

C'était surprenant. Illogique, même. M'en voulait-elle d'être partie? Pourtant, je lui avais demandé son accord à de nombreuses reprises, n'osant pas la laisser seule alors que Mère était plus instable que jamais. Mais elle m'avait promit qu'elle se rendrait chez Carlie. Qu'elle ne risquerait rien, même si un océan nous séparait. C'était pour cela que je m'en étais allée. Car elle serait avec notre frère. Qui, cette fois, ne l'abandonnerait pas.

- Tu sembles surpris. Comment cela se fait-il ? Avie est bien restée chez toi le temps de mon séjour en France, n'est-ce pas?

Je m'étais stoppée, les doigts serrant le bras de Carlisle, alors que la peur commençait à s'insinuer vicieusement en moi. Cette peur que tout ne soit que mensonge. Que quelque chose de tout simplement terrible soit arrivé. Avais-je été aussi naïve?

- Elle m'a dit qu'elle serait chez toi. Qu'elle ne resterait pas avec Mère. Elle m'a promit que tout irait bien. Est-ce vrai, Carlisle? Sais-tu si elle va bien?

Mon emprise se resserra, comme un cobra sur le point d'étouffer sa proie. Je n'arrivais pas à le lâcher. Chacun de mes sens était en alerte, empoissonné par une peur si puissante que j'en oubliais de respirer. Mes poumons se bloquaient dans ma poitrine, alors que des flashs, des visions, passaient devant mes yeux comme des passages d'un film au dénouement terrifiant. Du sang. Des cris. Des larmes. Des os brisés. Et la voix sanglotante et si faible de ma merveilleuse petite soeur prise entre les griffes d'un monstre si réel qu'il en était plus effrayant que n'importe quel croque-mitaine à l'allure maléfique.

- Le Manoir. Tout de suite. Nous devons nous y rendre. J'ai un pressentiment terrible. Carlisle... Notre soeur. Elle nous attend.

Je plantais mon regard vert dans le sien, lui exprimant tout ce que je ne pouvais dire à voix haute. Il ne pouvait que ressentir ce que moi-même je ressentais au moment même. Cette peur. Et surtout cet amour qui nous rendait fou. Assez pour être prêt à toutes les pires folies si jamais nous découvrions notre sœur meurtrie et abîmée, abandonnée par ceux qui pourtant étaient ses protecteurs, les phares brillant dans la nuit éternelle qui l'enveloppait depuis toujours.
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________________________________________ 2017-09-16, 17:58

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To the core.

Avie, précieuse Avie.

Comment avaient-ils pu tout deux se fourvoyer à ce point ? Comment avaient-ils pu commettre une telle erreur ? L’espace d’une seconde, une unique seconde, Carlisle continua de croire qu’Eydan était avec elle. Qu’elle était aller vivre chez lui, qu’il avait vécu chez eux. Peu importait.Il le fallait. Il ne pouvait pas croire… Pas croire qu’elle avait été seule tout ce temps. Pas avec…

Les mots étaient inutiles. Avec une brusquerie emprunte de peur, Carlisle acheva de mettre les valises de sa sœur dan le coffre de sa voiture, démarrant sans même prendre la peine de mettre sa ceinture de sécurité. Toutes ces conventions n’avaient pas la moindre importance, pas la moindre ! Il fallait qu’ils rentrent. Qu’ils rentrent au plus vite. Qu’ils rentrent avant qu’il ne soit trop tard. Avant que tout ne prenne fin. D’un geste rageur, Carlisle tourna le volant, filant à travers la ville avec nervosité. C’était impossible, comment avait-il pu… Il était un imbécile ! Un idiot ! Comment avait-il pu la croire ? Comment avait-il pu ne pas se rendre compte ?! Il avait téléphoné à Avie deux fois durant la semaine passée, comment avait-il pu à ce point manquer de jugement ? Manquer d’instinct ?.. Il n’était qu’un imbécile, un idiot de la pire espèce !

Les feux n’avaient aucune signification. Les autres phares non plus. Plus rien ne comptait à cet instant que les secondes et les doigts qu’il crispait contre le volant, avec la même force que celle qui enserrait ses poumons au point de l’empêcher de respirer. Enfin, après un temps infini, le Manoir apparut au loin. Aussitôt, Carlisle accéléra, encore. Il savait que c’était imbécile, le portail ne s’ouvrant que trop lentement, mais il ne pouvait pas faire autrement. Il fallait aller vite. Au plus vite. Le plus vite possible…

-Ouvre toi bon sang!

L’exclamation résonna dans l’habitacle, faisant sursauter Indiana tant elle était crispée elle aussi. Son visage était plus livide encore que celui de son frère, et brusquement, avant que Carlisle ne puisse l’en empêcher, elle défit sa ceinture pour se précipiter à l’extérieur, se faufilant entre les portes à peine entrouvertes du portail de fer. Pour être franc, il aurait pu la suivre sans la moindre hésitation. Mais la logique froide habitait encore son esprit balayé par l’angoisse. Il savait qu’il serait plus rapide. Qu’il arriverait avant elle à la porte. Et il le devait. Il le fallait. Il était leurs frère. C’était son rôle. Son rôle…

Le crissement des graviers contre les roues. La porte ouverte et laissé ainsi. Peu importait. Carlisle se précipita dans l’escalier de pierre du perron, saisissant ses clefs dans les poches de son veston, ouvrant en grand les portes du Manoir, faisant s’engouffrer un vent hideux à l’intérieur.

-Avie!

Le cri lui échappa, avançant dans le couloir dans l’espoir d’entendre le moindre son, le moindre appel. Les lumières étaient éteintes. Une couche de poussière recouvrait le meuble de l’entrée et aucun vêtement ne pendait aux patères. Pour peu, on eue pu croire que le lieu était vide de vie, mais Carlisle pouvait la sentir. L’odeur de la peur. L’insidieuse odeur que laissait Mère sur son passage, l’horrible sensation moite de sentir un filet de sang noirâtre glisser contre sa peau. Poisseux. Epais. Indélébile.

Un second cri, et un coup de poker, se précipitant vers la porte du premier salon, qu’il ouvrit à la volée. Vide, et sombre, autant que le couloir et Carlisle l’observa à peine. Se retournant, il vit Indiana entrer à son tour, ses mèches collant à son visage, trempée jusqu’aux os mais ne semblant même pas s’en rendre compte.

-Va dans l’aile sud!

Elle hocha la tête, se mettant à appeler elle aussi leurs sœur chérie dans une voix pétrie d’angoisse. Les portes claquant contre les murs égrainaient le temps, jusqu’à ce que Carlisle finisse par prendre l’escalier pour monter à l’étage.

-Carlisle. Quelle… Déplaisante visite.

De colère, il s’avança, fixant avec une haine sans fin la femme à qui il devait la vie comme l’Enfer. Cette femme odieuse, au regard fou, au visage sec et émacié, aux yeux de feu. Elisabeth Evil. La créatrice du Diable.

-Où est-elle?! s’écria-t-il, arrivant à sa hauteur.

Le sourire tordu qu’elle lui adressa le fit frissonner, tant elle eue l’air, en cet instant, folle. Peut-être avait-il réussi à lui faire perdre la raison cette fois…

-Où est Avie?!

-Evanora, corrigea-t-elle, avec sécheresse, est quelque part. Cela a-t-il seulement la moindre importance, cher…. Fils ?

Brusquement, Carlisle se figea, la fixant avec horreur. C’était la première fois qu’elle le nommait ainsi. Fils. Son fils. C’était si… Atroce. Si violent. Lui même s’en sentit sali, et elle eue soudain un rire, cristallin, avant de soudain, tendre la main vers sa joue, dans une caresse venimeuse.

-Je sais ce que tu me fais, Carlisle. Ne me prend pas pour une idiote, susurra-t-elle, avant de sourire. Tu es tellement… Beau. Tu lui ressembles tellement...

Il savait qu’il ressemblait à son père. Entendre Mère lui parler en l’appelant William n’avait rien de neuf, mais ce… Compliment était une nouveauté. Et plus que jamais, Carlisle se sentit souillé par elle. D’un geste sec, il attrapa son poignet, le tordant à moitié pour l’éloigner de son visage.

-Qu’est-ce que vous lui avez fait?!

-Rien de plus que d’ordinaire, ricana-t-elle, une grimace tordant son visage, mais pas son regard.

-Où est-elle?!

-Ne me hurles pas dessus!

Cette fois, la haine fut la plus forte. D’un même geste, il la repoussa vers la rambarde de l’escalier, avant de violemment venir la saisir à la gorge, appuyant avec une délectation nouvelle. Aussitôt, elle porta ses mains à la sienne, le griffant à en marbre ses mains, mais Carlisle n’en avait cure. L’infime douleur de ses ongles n’était rien comparée à l’infini plaisir de la voir chercher si avidement l’air qui ne venait plus à ses poumons.

-Je ne vous le demanderai pas une autre fois Mère, siffla-t-il, vipérin. Où est ma sœur?!

Il cru entendre son nom, ne tournant la tête que pour apercevoir Indiana, qui l’avait rejoins et le fixait désormais avec surprise… Et autre chose. Quelque chose d’infime. De discret. De secret. Mais qu’eux ne ressentaient tout deux que trop.

-In… Diana.

C’était comme un rire. Etouffé. Retenu dans sa gorge écrasée que Carlisle comprima une nouvelle fois, la défiant du regard. De nouveau, elle eue un rire, guttural, le griffant une fois de plus.

-L’as-tu trouvé?

Il cru l’entendre murmure un ‘non’, et soudain, il sentit sa main glisser contre son épaule, dans une caresse, rassurante et pourtant si dominante. Si forte. Si imposante. Presque comme si Indiana tentait de lui dire quelque chose. Sans le faire. Pas vraiment, quand il sentit pourtant sa main glisser plus loin, allant jusqu’à son bras, avant de s’y agripper avec force. Comme un accord tacite. Une promesse de soutient. Une promesse d’appui. Littéral.
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They wanna take me down, wanna see me crawl [Les Evils] _



________________________________________ 2017-10-12, 23:20




I got a million on my soul
I go build an army on my own They put a bounty in my soul Won't you leave me alone more


Des bruits de voix lacérait les murs, ce projetant sur les murs pour venir en écho dans mes oreilles. Je sentais encore la douleur lacinante était là. Elle ne me quittait pas. Aussi intransigente et autoritaire que les gestes de mères. J'ouvris les yeux, les voix. Ses voix. C'étaient celle de Carlie. De Indy. Leurs voix m'étaient semblable à un tourbillon d'energie. Je devais me relever, je devais les voirs. Je devais ...Je devais me relever. Je redressais les yeux, comme ci ils s'accrochaient à cette espoir qui revigorait mon être. J'appuyais le bras du fauteuil dans le but de m'aider à me redresser. La douleur me faisait serrer les dents, mais avec une détermination dévorante, je parvins à me redresser. Carlie et Indy étaient là. Tout irait bien. Tout irait toujours bien, tant qu'ils sont là.

J'avançais à pas lent. Les gouttes de sang deferlaient sur le sol. Il était tâché. Encore. Toujours. Mon menton était rouge. J'étais sale. Je voulais nettoyer . Mais j'en étais incapable. Je m'aggripais au mur, la fatigue mordante. J'essayais de parler ; j'essayais de dire leur prénom. Mais mes mots étaient confondu dans une plainte. Ils ne voulaient pas sortir. J'arrivais vers le couloir, ou l'escalier descendait dans le hall. Ils étaient là. Ils étaient vraiment là. Leurs têtes ce tournèrent en même temps. Mon cœur gravit un échelon plus rapidement que je l'aurais pensée. Le soulagement de les voirs de nouveau me retirait un poig vigoureux des épaules. Je sentais la peine me submerger, alors que des bras vinrent m'encadrer pour me serrer le plus fort possible. Le doux parfum d'Indy était la chose la plus enivrante au monde.

Je ne voulais plus quitter ses bras. Pour rien au monde je ne les lâcherais. Je voulais m'y accrocher, m'y réfugier. M'y creuser un nid et ne plus en bouger. Mes yeux tombèrent sur ceux de Carlie. Il tenait mère. Il la tenait en joute. Je me sentais coupable de vouloir qu'il la lâche. Qu'il laisse sa tête s'craser contre le marbre. Je me sentais coupable de ressentir ca. Je ne voulais pas. Je voulais pas supporter le poid de tel pensée. Je n'étais pas assez forte. Carlie et Indy l'était eux. Mon regard restait encré dans celui de Carlie. Il me guidait. Il était cette étoile avec Indy. Ces deux étoiles qui m'encadrait, et qui avait tout droit sur chaque parcelle de ma vie. Mon cœur boitait dans ma poitrine. Indy me relâcha. Je ne les avais pas vue depuis si longtemps. J'avais l'impression de caresser un rêve. Leurs visages étaient strier de surprise à mon égard. J'avais peur qu'ils m'en veulent. D'avoir mentis. D'avoir voulu être courageuse et supporter le poid de mère seul sur mes épaules.

Mais j'avais eu tord. Mère était bien plus puissante que je le pensais. Sa fougue monstrueuse n'égalait pas la mienne, douce plume broyé. Je sentais qu'Indy me poussait dans le dos, pour que je descendent les escaliers. Mon regard croisa celui de mère. Carnassier. Elle ce mit un rire, cela me jetais un froid dans ma colonne vertébrale. Je m'arrêtais, soumise à son rire. C'était comme un ordre que je ne pouvais ignorer.

« Douce Avie. Si douce, si naïve. Pauvre petite créature. Ton frère et ta sœur ne te protégeront pas éternellement. Il faut grandire, Avie chérie. Ou tu finira jeté dans les serres charognards de la vie. » et un rire s'en suivit alors que Carlie avait appuyé sa pression. Cela l'amusait encore plus. Je glapissais. J'allais finir entre les serres de la vie. Elle trépassait tout ceux qui étaient faible. Et je l'étais. J'étais faible, et je ne pouvais être de ceux qui ce battait dans la vie. J'en avais assez de me battre. J'en avais assez de tout ce poid. Je n'avais aucune idée de qu'elle voie suivre. De quel chemin prendre. Il était ardue. Je voulais emprunter celui de mon frère et ma sœur. Mais je n'avais pas le niveau pour ca. J'étais trop douce. Trop apeurée. Si seulement je pouvais juste être moi même sans qu'on s'en prenne à moi...Mais tu rêve ma petite Avie. La vie ne ce passe pas ainsi.

Tu dois subir chaque coup et les encaisser. Ou sinon, tu vas juste finir par crever.

Mère ce pourléchait les lèvres en me voyant aussi tétaniser. Indy me poussa de nouveau, me faisant descendre les escaliers. Mon cœur battait et accompagnait chaque pas. Quelque chose cogitait dans ma tête. Je ne savais pas quoi. Je ne parvenais pas à y mettre un doigt dessus. Lorsque j'atteignais enfin le seuil, mon regard tombait sur Niles. Niles. Mon maître d'hotel. Mon majordome. Il me souriait. C'était la seule chose dont je parvenais aussi à me raccrocher. Il était toujours là. Comme un père que je chérissais tant. Je m'arrêtais sur ma marche silencieuse. Indy coula un regard interrogateur vers moi. Mais une folie passagère prit en otage mes pensées. Je me détournais. Mon regard glaciale ce posait sur le visage de mère. Elle souriait. Ce languissait de chaque seconde. Elle ce fichait éperdumment de la mains de Carlie. C'était un service qu'on lui rendait. Je regrettais la présence d'oncle Murtagh. Il était bien avec nous. Il l'avait toujours été.

« Petit à petit, l'oiseau tombera de son nid ... »
chantonna t-elle silencieusement. Mes yeux étaient figé sur son visage. « Petit à petit, le chat le gobera avec mépris ... » Non. Non. Hush, little baby ...Hush. Je revoyais la voix de Carlie. Douce. M'étraindre. Avec Indiana pour me caresser les cheveux. Je ...j'en avais juste assez. Assez de tous ca. Assez de toute cette vie. Pourquoi les autres avaient la chance d'avoir ce qu'ils voulaient ? Des amis ? Des études ? Une famille ? Pourquoi devais-je subir chaque coup et ne rien dire ? Pourquoi devrais-je me taire ? Pourquoi moi aussi je n'hériterais pas de cette carapace ? Je devais la consolider. Je devais commencer à la briquer, mur par mur. Jusqu'a ce qu'elle soit assez solide pour qu'aucune fente ne ce creuse dans sa dorure. Je devais apprendre.

▬ « Non. » décrétais-je. J'en étais la première surprise. Pourtant, cette elan de défie venait bien de moi. Mère palpitait d'excitation. Un éclats lugubre passait dans ses yeux. La petite Avie lui tenait tête.

« Non ? » répéta t-elle, sans jeter une infime importance à cette mains consolider contre sa gorge. Je ne pouvais pas reculer. Pas après avoir réussit à lever les armes. Je devais continuer et pourfendre. Sinon je tomberais.

▬ « Non. » répétais-je, avec plus de fermeté. Elle tourna un regard emprunt de fierté, ce qui me provoquait un certain dégout. L'atmosphère était devenu lourde. Comme ci un orage c'était glissé dans les particules et menaçait d'éclater. « L'oiseau peu tomber. Mais si il est prudent, il peu encore apprendre à voler. » déclarais-je, mon regard subissant le courroux du sien. Jamais jusqu'à maintenant je n'avais oser le soutenir. Cela me semblait improbable, voir impossible. Pourtant, c'était ce qui était en train de ce passer. Il m'était difficile de subir les jugements de celui ci. Je n'avais pas envie d'interprêter le jugement qui passait dans son regard à mon propos.

J'avais l'habitude du jugement. J'avais l'habitude que l'on me maltraite.

« Oh. Avie n'a plus peur. Elle pense tout savoir par coeur » ironisa t-elle. Pourtant, elle était impressionner, et c'était la plus grosse claque qu'il m'était arrivée de prendre. Je ne voulais pas qu'elle pose ce regard sur moi. Pas celui là. Je ne pourrais pas me faire craindre de mère. C'était juste un jeux. Dont elle ce languissait. « Mais l'oisillon est bien imprudent de s'aventurer sur ses terres hostiles. » Stop. Qu'elle arrête. Je n'étais pas un être faible ! Je ne le voulais pas ! Elle n'avait aucun droit ! Ma respiration était saccadé. Mais nos regard ne ce lâchais aucunement. Alors que l'ombre d'un sourire passait sur on visage, la porte s'ouvrit en grand sur un homme robuste. Son visage était incorporer dans l'ombre de son chapeau. Mère jubilait de son arrivée. « Voyez, les enfants, vous êtes si naïf...Je savais pour votre arrivé. J'ai des yeux partout. Vous avez encore terriblement à apprendre. Finnick ici présent va vous apprendre les bonnes manières. » décréta t-elle. L'homme releva le visage, et sortis un pistolet qu'il pointa dans notre direction.

« J'ai jamais aimés les crise d'adolescence. On monte en silence dans sa chambre ou vous serez privé de dessert. a vie. » ricana t-il. Mon courage m'avait lamentablement abandonnée, et ce fut un regard effrayé qui coula en direction d'Indiana. Personne ne pouvait combattre mère. Son intélligence régnait en maître dans ce monde, et ses yeux lâcher un peu partout dans la nature sauvage nous surveillait chaque instant.


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