Février, c’est le mois des amoureux. Du coup, on a décidé de n’être absolument pas dans le thème en parlant de moments gênants, dégoûtants, qui vous laissent la bouche pâteuse et un sentiment de malaise malsain en arrière goût. Parce que ça aurait été trop facile de parler des meilleurs ships en mission ou des beaux gosses etc. Nous, dans la team contexte, on aime les challenges. Et les histoires croustillantes qui feront rougir un maximum de membres sur ce forum. Du coup, j’ai rajouté une place, exceptionnellement, parce que l’occasion était vraiment trop tentante.

Sans plus attendre…


Ils étaient pourtant bien partis, nos participants. Réunis dans la pâtisserie de Robyn, sac à dos sur le dos (obvisouly), de bonnes chaussures aux pieds (enfin, on espère) et une dose de courage dans les poches, ils n’avaient plus qu’à se mettre en route vers les mondes des contes, les onerois et le danger… Mais c’était sans compter sur Jules Verne et sa vessie intempestive. Alors oui, vous me direz qu’on ne contrôle pas ces choses-là et que quand faut y aller, faut y aller. Eh bien c’est vrai. En l’occurrence, il faut y aller sans se tromper de porte et sans toucher à rien sinon Robyn vous castre et bye bye la descendance. Dans ma grande mansuétude, j’ai décidé de me montrer clémente envers Jules et sa vessie pleine et de ne leur accorder que la dernière place. Pourquoi ? Parce que la Convention de Genève considère qu’empêcher une personne d’aller se soulager, c’est de la torture. Information véridique obtenue auprès de ma prof de traduction juridique et économique. Comme je le disais : quand faut y aller, faut y aller. De préférence – concernant ces messieurs – dans les cabines et non pas à l’urinoir où il n’y a pas de papier toilette. Et ne me demandez pas comment je le sais, sinon... évidemment que je balance ma source !


Il est des duos dont on ne se lasse pas. Des duos qu’on adore retrouver : Diane et Jules, Robyn et Lucille, Alexis et Pétunia, Tristesse et Dégoût, Anna et Elsa, Jack et le Lapin de Pâques… et il est des duos qu’on ne veut plus jamais voir de notre vie tellement c’est gênant. En tête de ce classement de la double dose de malaise : Robyn et Ellie, obligées de cohabiter dans un environnement hostile le temps de trois posts (et c’est trois posts de trop, à mon humble avis). L’une est le double d’Elliot, aime la lecture, le calme, Jules Verne et le thé (bon, ça j’en sais trop rien mais on va dire que c’est vrai). L’autre aime la baston, Lucille, les pâtisserie (les pâtisseries sont nos amis, on y touche plus!) et Jules Verne aussi. On notera donc qu’elles n’ont que peu de points communs. L’une démarre au quart de tour quand l’autre préfère la douceur et la diplomatie (on vous laissera deviner qui est qui). Et quand on pensait que le pire était déjà survenu il a fallu qu’elles… Parlent de garçons. D’un garçon, en fait. Et c'est largement suffisant. Deux si on compte Jules Verne, décidément aux centres des attentions. Tapez 1 si vous aussi vous avez arrêter de lire quand elles ont commencé à vaguement se donner des conseils de drague.


Vous vous imaginez un peu ? Votre ami / petit ami / ex / maire / tortionnaire / psy (rayez la mention inutile) part en vacances (ou ailleurs) ou se régénère et d’un coup c’est plus la même personne ! Et on ne parle pas d’un petit lifting, d’une perte de poids significative ou d’un petit changement de personnalité. On parle de carrément changer de sexe. De remplacer la saucisse et les choux de Bruxelles par une moule baveuse. De troquer les pectoraux pour des collines. Une voix grave pour une voix plus aiguë – et la potentialité d’enfin pouvoir chanter aussi haut que Céline Dion. Le shampoing anti-pelliculaire Dove contre la lotion L’Oréal hors de prix. Les baskets confortables contre les talons hauts. Sans déconner, vous avez jamais eu envie de leur demander comment ils s’étaient sentis ? Si un genre était mieux que l’autre ? Moi je suis d’avis que rien ne vaut la féminité mais n’allez pas me faire croire que vous ne vous êtes pas posé la question ! Sauf que ça aurait été trop gênant de demander aux intéressés, pas vrai ? Bon, allez, on est en 2017 donc on ne juge pas, chacun fait ce qu'il lui plaît - y compris se scinder en deux personnes en fin de compte. The more, the merrier, as they say.


On remonte à présent le temps et on change totalement d’univers pour se retrouver à Pokémonville (ou peu importe le nom de l’endroit où se passe l’action, de toute façon je suis en train de parler d’un truc que j’ai pas lu) où nos amis les chasseurs de Pokémons, bien décidés à tous les attraper, décidèrent de troquer leurs vêtements les plus intimes contre des Pokéballs. Ou contre autre chose, là encore, on s’en fiche un peu. Y a eu des affaires de culottes – propres, j’espère, big up à Figue au passage – et de soutiens gorge et de là à dire que ces demoiselles visiblement émoustillées par Pikachu ont pu tâter des pokéballes de ces messieurs, il n’y a qu’un pas. Gênant, vous dites ?

Un moment gênant peut prendre mille et une formes différentes. C’est ce qui en fait sa beauté et sa saveur particulières. Oui, c’est gênant de parler de l’overdose de paillettes d’une licorne devant des inconnus. Oui, c’est gênant de devoir demander à Robyn où sont les toilettes quand tout le monde avait pris ses précautions. Mais c’est aussi gênant de montrer publiquement qu’on a le QI d’une moule. Et c’est précisément du dernier cas de figure dont Laure Wilson a fait la douloureuse – dans tous les sens du terme – expérience. Maintenant c’est sûr : tout Storybrooke sait qu’elle est débile. Tout le monde va savoir qu’elle pense sincèrement qu’on peut se balancer à des draps par la fenêtre et s’en sortir indemne. Tout le monde va savoir qu’elle n’a pas assez de quotient intellectuel pour comprendre que ça va fatalement mal se finir. Et ça c’est gênant pour elle. Elle en viendra presque à regretter de ne pas être la débile qui a mis ses foutus gants anti-magie dont nous aimons tant à parler ici bas. Parce que même si c’est pas spécialement intelligent, c’est vachement moins gênant que d’être aussi futée qu’une telline.


Il n’y a pas qu’Hippolyte qui avait des secrets. Il y a aussi Lily et Robyn qui nous cachent des choses ! Comme, par exemple, une attirance physique ? C’est du moins ce que porte à croire une fameuse scène dans une fameuse salle de bains. Rappel des faits : Lily prenait une douche bien chaude parce que ça fait toujours du bien. So far so boring, comme diraient les Anglais. Elle venait de sortir, se dirigeant lascivement (ou pas) vers le lavabo quand elle aperçut Robyn qui l’observait, recouverte de morceaux de harpie, sans doute pour stimuler ses phéromones – ou les narines de Lily. Non contente d’observer, Robyn voulut alors se joindre aux plaisirs mouillés de Lily et retira ses vêtements pendant que Lily perdait sa serviette. Leurs deux corps n’étaient alors plus séparés que par les vêtements que Robyn retirait. Comble du malaise, s’il en est. Eh bah en fait non, j’ai encore plus gênant : « Si je bougeais, elle me verrait entièrement nue. Si je restais collée à elle, vu qu'elle ne pourrait pas bouger la tête, elle ne me verrait pas. Mais si quelqu'un entrait, ça serait vraiment bizarre. Qu'est ce que je pouvais bien faire ? ». Même sans entrer c’est bizarre je vous rassure. Mais le plus gênant c’est peut-être leur baiser qui n’était pas « juste un dépôt de lèvres » mais « un recommandé avec accusé de réception et j'avais pris toutes les assurances qui allaient avec ! ». Beurk ?


Certes les hommes sont tous des bébés. On pourrait penser qu’il est normal d’avoir une réaction étrange quand on apprend qu’on va être papa – ou qu’on l’est. On pourrait même penser que c’est instinctif, pathologique, propre au mâle, en fait. Et c’est vrai que je connais un Russe tout à fait séduisant qui rentrerait bien dans cette catégorie. Mais en fait c’est loin d’être pathologique. C’est simplement que Dionysos boit trop d’alcool et que quand on lui apprend qu’il est papa, il rétorque à sa progéniture : « J'étais pas au courant que j'avais un fils. Je devais être saoul le jour où je t'ai eu ! » Une progéniture qui a dû se sentir particulièrement désirée… C’est déjà pas simple de découvrir qui on est réellement alors ça l’est encore moins quand le papa que vous vous découvrez a l’air particulièrement peu motivé à cette idée. Et qu’en plus votre copain Elliot vous regarde comme si vous étiez un alien. OK, ça c’est parce qu’ils avaient en fait le même papa sans le savoir. Mais n’allez pas me dire que ça « Mais... c'est moi son fils ! Enfin... c'est mon père ! C'était... parce qu'il est mort. Mais je suis plus son fils que toi ! Il m'a élevé ! D'ailleurs... pourquoi il ne t'a pas élevé, toi ? » c’est pas gênant parce que ce serait un gros mensonge que de dire ça. Et en plus le père s’appelle François et il est dentiste ! DENTISTE, quoi ! Si c'est pas gênant ça !


Il est des missions dont on sent directement le potentiel gênant. A titre de contre-exemple, citons La Promesse de l’aube qui avait l’air d’une mission normale et qui est rapidement devenue une mission anormalement dérangeante. All You Need is Love, en revanche, était partie pour être de ces missions qui empestent le malaise. Et pour cause : quand une ceinture a décidé de jouer avec votre libido et vos sentiments, on ne peut que s’attendre au pire. Et même quand on s’attend au pire, on est jamais réellement et totalement préparé à voir Apollon et Judah se rouler un patin dans la piscine d’Aryana. Image particulièrement violente, en effet. Il se murmure même que certains lecteurs et participants ont essayé de s’arracher les yeux à la cuillère suite à cet événement. Et on les comprend. C’est comme imaginer Elsa d’Arendelle avoir une vie sexuelle avec Dionysos. Ca. Fait. Mal. Et peur. Et très peur.


Pour continuer sur la lancée des vieux dossiers que tout le monde espérait que j’aurais oublié, parlons donc d’Artémis et Arès, deux divinités que tout oppose. Du moins, a priori. D’un côté un dieu guerrier, aimable comme une porte de prison, allergique à la diplomatie et à la subtilité. De l’autre, une déesse vierge, protectrice des petits oiseaux, maîtresse de la lune (promis, je ne ferai pas de blagues sur le cycle menstruel) et jumelle d’Apollon. Donc oui, a priori, rien à voir. Comme quoi, il suffit parfois d’un univers parallèle (OK, c’est difficile de s’en procurer un mais c’est quand même possible) pour que les opposés s’attirent et se désirent. Il se murmure même qu’ils l’auraient fait. Comme quoi, elle est peut-être pas si innocente, la petite dame. Mais le pire – enfin, le mieux, mais ça dépend des points de vue, ça a dû être le réveil. Ce délicieux moment quand Connor et Diane se sont rendus compte qu’ils avaient consommé leur union. Ce moment jouissif – mot particulièrement bien choisi – où Monsieur Muscle s’est aperçu qu’il ne pourrait plus vanner Madame Lune sur son manque d’activité sexuelle puisqu’il en avait été témoin personnellement.


Apollon s’est peut-être récemment retrouvé dans la merde (littéralement, et pour cela il faut remercier Pua et ses besoins naturels, cf place 12 du top et OK c’était peut-être pas du caca mais mon enchaînement est mieux ainsi) mais j’en connais d’autres qui ont failli s’y retrouver. Et plus profondément. Voilà ce que c’est que se balader dans les intestins de n’importe qui. Pour peu qu’elle ait mangé du cassoulet la veille ou souffre de constipation aiguë (voire de coliques mais dieu merci, ils ont échappé au pire) ça aurait été encore plus gênant. On va donc se contenter de dire que Madame Mills a un jour été fortement constipée et que ce jour-là des habitants de la ville se sont baladés dans son corps sans son accord. De là à parler de viol d’une femme qui en plus était constipée et enceinte, il n’y a qu’un pas. Mais la vraie question c’est peut-être celle-ci : les problèmes de constipation sont-ils récurrents chez Madame Mills et pourraient-ils expliquer son air pincé ou est-ce parce qu’elle a un balai dans le Q ? Ou dans le PQ ?


Il est des circonstances où tout espoir semble réduit à nuant. Se retrouver en plein naufrage du Titanic, par exemple. C’est assez critique comme situation, certes et tout le monde n’est pas Deborah Gust. Comprenez : tout le monde ne se dit pas que c’est l’occasion rêvée de voler un ou deux baisers au héros masculin. Même si c’est pourtant l’occasion rêvée. Alexis Rice, lui, a préféré une approche bien plus gênante du problème : suspendu à la poupe du paquebot, ce jeune homme d’un mètre 94 n’a rien trouvé de mieux à faire qu’appeler sa maman. Non content de se montrer particulièrement puéril, il s’est ainsi montré particulièrement inutile. Parce qu’entre nous soit dit : c’est pas comme si sa maman allait apparaître out of the blue pour le sauver. Et tandis qu’Astérix mouillait certainement son slip tellement il avait peur, il perdait aussi toute crédibilité de Gaulois. RIP réputation.

Avant de révéler le moment gênant par excellence, voici quelques mentions spéciales, pour toujours plus de gêne et de malaise :

- Jules touche les seins de Robyn et Wilson ceux de Lily – sans leur permission, évidemment, sinon c’est pas gênant, c’est pornographique
- Une pirate appelle sa fille Telline (bienvenue dans ce monde et bon courage à l’école, jeune demoiselle)
- Elliot veut « allumer le feu » comme Johnny mais ça rend vraiment pas pareil quand c’est lui
- Aaron offre un porte-jarretelles parce que c’est pas du tout connoté comme cadeau et que toutes les filles en rêvent, c’est bien connu


Imaginez. Vous êtes coincés dans un sous-marin avec un écrivain misogyne et des personnes que vous connaissez plus ou moins bien. Que faites-vous ? Vous leur léchez les pieds, quelle question ! Sans. Déconner. QUI a eu cette idée cheloue ? Je serais plus clémente s’il se dénonce tout de suite. Parce que je veux bien qu’avoir des hallucinations ce soit un peu perturbant. Mieux, je veux bien croire qu’on puisse imaginer des trucs démentiels ou ne pas avoir le gaz à tous les étages. Mais Judah qui retire ses chaussures à notre pauvre sablé national qui n’avait absolument rien demandé (et qui n’a peut-être même jamais vu le loup, alors vous pensez bien qu’il n’y connaît rien en pratiques sexuelles étranges) pour violer ses pieds, je dis non. Non, non, non et NON. Puis c’est moche un pied en plus.

Ce top s’achève à présent. Je vous offre néanmoins un bonus d’un tout nouveau genre et parfaitement dans le thème du malsain : les narrations dans les posts de Nat. Vous serez prévenus, ça fait mal : « J'étais super content de le revoir, même s'il avait tenté de tous nous tuer quelques mois plus tôt mais bon, le passé, c'est le passé. Il avait quand même permis à Lily d'accoucher plus vite et l'avait privée de vergetures, ce qui était une très bonne chose. (O_o) »

Et ce top s’achève cette fois pour de bon. À vos plumes pour me faire partager VOS moments gênants de prédilection.

Pour pimenter le débat :

- Quel est le moment le plus gênant vécu par votre personnage (en mission et hors mission) ?

- Quel moment vous a le plus gêné en tant que lecteur ?

- Quel est le moment le plus gênant auquel votre personnage ait assisté ?

Vous avez 4h

"Et ne me demandez pas comment je le sais, sinon... évidemment que je balance ma source !"



"De remplacer la saucisse et les choux de Bruxelles par une moule baveuse."

Tu m'as écoeurée à vie !

J'adoooore le NC17 Robyn/Lily !!! Ca remonte à loin ça !!!

Ils sont très bien les dentistes.

Moi je trouve que Elsa a très bien fait de coucher avec François.

Enorme le Connor/Diane !!! Je crois que ça aurait dû être un ship aussi à un moment, mais j'ai un doute.

Ahhh Regina... Que de bons souvenirs !

"Aaron offre un porte-jarretelles" <- à qui ? o_O M'en souviens pas de ça.

L'idée chelou des pieds, comme quasiment tout de chelou, c'est Nat !

Ahhh oui on remercie Wilson pour les vergetures !

Oh je t'ai écoeuré ? Tant mieux c'était l'idée On a un dit qu'on faisait un top gênant, le but c'est que vous en ressortiez mal à l'aise, hein ! sinon c'est pas drôle.

Citation :

Enorme le Connor/Diane !!! Je crois que ça aurait dû être un ship aussi à un moment, mais j'ai un doute.

oO ... OK je crois que je préfère le War Duck. Le Connor actuel avec la Diane actuelle j'ai pas envie de voir ça.

Citation :

"Aaron offre un porte-jarretelles" <- à qui ? o_O M'en souviens pas de ça.

Marine si donc je suppose que c'était à Anna.

Citation :

L'idée chelou des pieds, comme quasiment tout de chelou, c'est Nat !

Bah merci Nat, dans ce cas. Enfin "merci"...

Non on a jamais envisagé de les shiper à l'époque avec Coco et le porte jartelle c'était dans la même mission que Lily & Robyn NC-17 donc je te laisse deviner tout seule à qui Aaron a offert un porte jartelle Seb

Elsa n'a pas couché avec François! C'était avec Horace, et uniquement à cause de la ceinture d'Aryana

Par contre ça aurait pu aller beaucoup loin pendant la scène de douche Lilyn Sauf qu'elle préfère être fidèle

Je sais pas si je dois me sentir honorée ou avoir honte d'être citée autant de fois dans ce top

Ah les femmes fidèles c'est plus ce que c'était

Sens toi honorée

Je suis un peu trop citée dans ce top, mais je le vis bien !!

Et Anya, je sais que tu kiffes mes narrations en réalité !

@Even : bah encore heureux que ça n'ait pas été plus loin entre le Lilyn !! Namého !

Bref, ce top est excellent, l'un des meilleurs que tu aies fait, Anya !!

Evidemment que je kiffe tes narrations ! ça les empêche pas d'être gênantes C'est vrai que tu aies beaucoup citée mais t'es pas la seule, si ça peut te consoler Je peux ne pas te citer dans le top de mars mais ce serait dommage parce que j'ai une bonne idée te concernant

Merci pour le super compliment, en tout cas ! C'est vrai que j'en suis particulièrement fière de celui-là

"Et tandis qu’Astérix mouillait certainement son slip tellement il avait peur, il perdait aussi toute crédibilité de Gaulois. RIP réputation."

Oui, bon d'accord ,c'était pas très malin d'en appeler à sa maman et autre .

Mais le Gaulois, il avait pas été à l'aventure depuis longtemps et donc il a pas vécu de moments de panique depuis longtemps ...