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Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 She's the monster, but she's my queen [Wine]

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She's the monster, but she's my queen [Wine] - Page 2 _



________________________________________ 2017-07-27, 18:49

You're giving me a million reasons



Ce fut le bruit d'une porte ouverte qui me tira de ce lent et pénible sommeil. Je relevais les yeux au prix d'être aveuglé par la luminosité de la pièce. Mauvaise idée de dormir contre un mur. J'avais le dos en compote, et j'étais pas vraiment enthousiaste de me relever tout de suite. Au vue des nombreuses courbature qui allait ce réjouir de m'aider à me lever. Je gardais les yeux au ouverts, dévisageant à la fois la grosse tête réveillé, et le docteur qui était entré dans la pièce. Pour tout dire, j'étais fatigué, et j'avais juste envie de rentrer à Storybrooke. Et peu être dormir jusqu'à la fin des temps comme un ours qui hiberne. Je regardais les infirmières passer et faire leurs travail, alors que la voix insupportable et le ton venimeux de la grosse pastèque fusait à travers la pièce. Même à moitié morte elle arrivait encore à en placer une et à blâmer quelqu'un. C'est pas possible. Hm oui en parlant de vos jambes…  Bizarrement, j'étais curieuse de savoir ce qu'en était les statistiques. Je lachais un regard curieux, avec un sourire fourbe qui fendait mon visage.

Elles ne seront pas opérationnelles avant plusieurs jours. Oh ? Alors elle allait devoir rester cloîtré ici ? Ah. Ah. Hahahaha. Bien fait. BIEN FAIT. Je ne pouvais m'empêcher de cacher un air moqueur, amusé. C'était le revers de la médaille, elle était en train de ce prendre en tête toute ce qu'elle avait provoqué. Même si j'étais pas croyante, je remerciais la divinité suprême qui était en train de lui faire payer pour ses actes. Elle, elle allait gentiment rester là, et moi, j'allais m'en aller. Oh oui. Vous devrez rester en fauteuil pendant au moins cinq jours. Puis petit à petit vous commencerez la rééducation.  Je ne pu m'empêcher de lâcher un ricanement d'approbation, mauvaise. Je remarquais que les regards c'étaient légèrement tourné vers moi. Notamment celui qui en disait long de la part de Wine. '' Attend que je récupère mes jambes …'' Je me relevais en lâchant une grimace, comme une petite vieille au os et au muscles fragiles.

▬ « Voilà qui est fait, bien fait pour toi ! Tu le mérite ! Et t'imagine pas me rejeter la faute, ce n'est pas moi. Et comme je suis sous sérum de vérité, tu sais que je ne mens pas !» lâchais-je d'un ton accusateur, alors que le médecin tournait vers moi un visage scandalisée. Même les infirmières me dévisageait. «  J'espère que tu vas bien morfler et que tu vas comprendre à quel point tu es méprisable. » continuais-je sur ma lancé, comme un cheval lancé au galop. Le pire dans tout ça, c'est que ce que je disais était sincère. Vue que j'étais encore sous l'effet du sérum de vérité. Alors qu'un silence mortuaire retombait, je lançais un coup d’œil au médecin, au infirmières et m'apprêtais à quitter la chambre. «  Moi, j'me casse. Tu te demmerde. » j'entrepris de passer le seuil, alors que j'entendis mon prénom dans mon dos. Quoi comment ca responsable ? C'était une blague ? J'avais une tronche de babysitter ? Ce serait trop bien pour elle. Nan en fait, ce serait juste le paradis, que je la pousse, que je sois à ses petits besoins. Il était hors de question que je joue les servantes. Je me barrais, point barre. « Nan. Je préfère crever que jouer les servantes. » répondis-je abruptement, décidé à me barrer.

« Vous savez, vous étiez deux dans cette accidents. Et vous n'êtes toutes les deux pas canadiennes. Et il est clair que vous êtes liés. Donc si vous partez, je pense que la police sera d'accord pour vous ramenez de force. » Attend comment ça la police ? C'est possible ça ? Je regardais le médecin, en lui lançant un regard volcanique. Je lui lancerais bien une lame de 10 dans la tronche moi. Ou mieux, on est dans un hôpital, nan ? Je jouerais bien les chirurgiens esthétiques. Je demandais à voir.  Pendant que vous étiez en réanimation nous avons contacté votre plus proche parent pour qu’il vous prenne en charge. Elle ne devrait plus tarder. Vous sentez-vous capable de signer les premiers papiers ?  Elle ? Genre Cait ? Cait va venir ? Ouh ouh, mais je pouvais pas rater ca. Oh non. Je pouvais pas partir sans voir le caquet de Wine rabaisser par sa grande sœur chérie. Un sourire charmeur ce libéra de mes lèvres alors que je m'approchais du médecin et de la blessé de guerre.

▬ « Non, c'est bon, pas besoin d'appeler la police. Je vais rester, et veiller sur elle jusqu'à ce que Caitriona arrive. Je me ferais une une joie de m'occuper de sa charmante personne. »
j'apercevais légèrement mon visage dans la glace, et je me trouvais flippante avec ce sourire faux et mes blessures. On aurait dit la réincarnation de Carrie en version blonde. Le médecin hocha la tête, alors que bizarrement, il n'y avait plus personne au bout du fil de la part de Wine. Elle avait voulu jouer avec moi ? Pas de soucis. Je vais la regarder tomber à son tour. Tout le monde savait qu'elle n'était que l'ombre de sa petite sœur chérie. Alors que les médecins sortaient de la pièce, j'entrepris de m'appuyer contre le mur de la chambre, sur le seuil de la porte. J’ai soif. « Je m'en fou. » répliquais-je, ignorante. Elle croit pas que j'avais soif moi, quand j'avais été prisonnière dans son cachots ? Pendant que môdame jouet au croquet ? « Si ta soif, ta qu'a sonner l'infirmière. Je suis pas ta servante. » ajoutais-je, avant de m'éloigné dans le couloir.

▬ « S'il vous plait ? Je peu pas avoir un lit ? Nan parce que si je suis coincé ici, je vais pas dormir par terre. » Une infirmières vint à ma rencontre, pour me dépasser et retourner dans la chambre de Wine. Je la suivais, en la fixant donner sa petite coupelle d'eau à sa majesté.

« On peu vous installer un lit à coté d'elle si vous voulez. » Wow wowh. On va ce calmer.

▬ « Vous rigolez ou quoi ? Avec sa tronche morbide, et ses jambes éteintes, elle serait encore capable de ramper jusqu'à moi pour m'étrangler. J'ai pas envie de vivre la réincarnation de centipèdes. » Un air de dégout passa sur mes lèvres lorsque je repensais à ce film horrible. J'en avais encore des frissons.

« Je vais voir à ca. Dans quelque jours elle pourra s'asseoir dans un fauteuil roulant. » Super. Géniale. Et c'est qui qui va la pousser ? Bah c'est moi. Je priais pour qu'il y es des escaliers pas loin. Juste pour le bonheur de la voir les dévalés comme une poupée désarticuler. Je suis sur qu'au croquet je ferais un malheur. Un lueur malicieuse animait mon regard.

▬ « J'ai hâte. On va faire du croquet, ce sera sympa. » ironisais-je.

0o0o0o0o0o0o0o

Deux jours. Deux jours et j'en avais déjà marre. Les bips bips des machines allaient me rendre dingue. J'en pouvais clairement pu de l’hôpital. Non mais sérieux, comment ils faisaient tous là ? Bon, la bonne nouvelle, c'était qu'il s'en passait des bonnes dans les parages. Et que les commérages des infirmières et des chirurgiens étaient un excellent divertissement. Maintenant je savais que le Docteur Scofield ce tapais la moitié des infirmières et qu'il raffolait des blondes. Si je disais pas de bêtise, Caitriona devrait plus trop tarder à arriver. Je l'espérais, j'avais besoin qu'on vienne me libérer d'ici, ou j'allais devenir taré. Une chose me réjouissait : je n'étais plus du tout sous l'emprise du serum de vérité. Et tant mieux! Ca faisait un bien fou de contrôler ses propres paroles et de pouvoir rementir. Bémol : Dans quelque jours j'allais devoir jouer les pousseuses, comme les mères qui poussent les poussettes. Ho-rreur.

▬ « Tiens, ce serait pas le Docteur Scofield ? J'ai entendu dire que les blondes c'étaient votre dada ! »
Il était en train de soigné Wine, et je m'ennuyais à mourir. Et quand je m'ennuyais je devenais insupportable. Il ce tourna vers moi avec son visage de ken, et lâcha un sourire plein de charme qui aurait peu être du faire vibrer mes ovaires si j'aurais été intéressé. Il étudia ma blessure au niveau de mon front, qui avait été recousus.

« Ca cicatrise très bien. Je serais ravis de vous retirer les files …. » lacha -t-il d'un clin d'oeil, avec une horrible phrase pleine de double sens d'on il m'était pas difficile de comprendre. Je veux bien être attiré par l'agente masculine -parce que j'étais hétéro, si c'est vrai- mais j'étais pas du genre à me taper un vieux de cinquante ans.

▬ « Ah parce que c'est comme ca que vous attirez les blondes ? Vous leurs proposer de retirers leurs files et elles marchent ? » je vous ai déjà dit que quand je m'ennuyais, j'étais insupportable ? La medecin lacha un rire, avant de s'approcher de moi dans le but de ...m'intimider ou peu être essayer de m'enjôler, qui sait ? Ou peu être que j'étais en train de jouer à un jeux pour prouver que mon statut sexuelle était entièrement dévoué à la cause masculine. Ou peu être essayais-je de rendre jaloux quelqu'un. Putain, je devenais stupide.

« Laissez moi faire et voyez pas vous même. »
il était en train de me toucher litteralement la joue, c'est limite si ses yeux ne me bavait pas dessus. Je me tournais vers Wine qui tentait de conserver un visage de marbre.

▬ « T'entend le gentil monsieur ? Il veut me retirer les files. » murmurais-je, piquante au vif comme une abeille. Un sourire entièrement malicieux et mauvais occupait mes joues. Je m'approchais de lui jusqu'à croiser son regard, ne me dépatissant pas de mon sourire sarcastique. « Peu être plus tard. Je viens de recevoir un message. Ta grande sœur chérie est arrivé. » annonçais-je à Wine, avant de me reculer pour planter à la fois le médecin et Wine dans la même pièce. Deux pierre deux coups, je suis trop forte. Je me dirigeais dans le couloirs à la recherche de Caitriona, jusqu'à apercevoir la tignasse blonde et sa démarche un peu décalé. Un sourire de soulagement m'envahis, et je repris un visage doux en son attention, ce qui était rare de ma part. Je saurais littéralement dans ses bras en la serrant le plus fort possible. «  Dieu merci, ca fait du bien de revoir un visage familier ! » je sentais déjà le poids de mes épaules ce retirer.


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________________________________________ 2017-08-01, 18:09

i'm headed straight for the castle
“they wanna make me their queen ~”
« Voilà, bonne journée ! », lance Caitriona au dernier client de sa journée. Elle avait décidé de prendre congé de sa journée, mais elle s'était dit qu'un client n'allait pas l'achever. Ainsi, elle dit au revoir à ses collègues, et s'en alla de la pharmacie. Sa tignasse blonde qui bougeait au rythme de ses pas, elle se sentait enfin libre. De quoi ? Et bien, d’une sœur psychopathe mais sans doute trop faible pour vous tuer, de sujets complètement timbrés, bien que Caìt les aime beaucoup trop pour ne pas les subir. Et surtout, libre de circuler. Son château, son exil, sa pression, tout s'était envolé avec cette malédiction. Pendant trop longtemps, elle avait été prisonnière. Aussi bien dans son propre chez-elle que dans une malédiction, elle finissait par penser qu'elle passerait sa vie dans un cachot. Parce que sa belle demeure à Wonderland, bien que ravissante, était trop vide. Pas d'animations, personne appart elle pour croupir dans sa prison dorée. Et puis à Storybrooke, la même chose. Bloquée dans sa pharmacie, elle ne serait jamais libre. Alors pour une fois qu'elle pouvait respirer, elle en profitait. Elle n'avait pris aucun congé en beaucoup trop longtemps. Donc pouvait-elle savourer sa liberté? Oh que oui.

Les regards des citoyens sur elle, ça lui avait manqué. Sans prétention, bien sûr, mais Caitriona avait été la plus gâtée des deux sœurs de Wonderland. Tout le monde s'arrêtait pour la voir passer, la faire traverser, toute cette attention qu'on lui avait volé,e puis bridée fut enfin remise à neuf, devant ses yeux, avec une évidence plus que concrète. Elle avait cette grâce que tous reconnaissaient, même ceux qui ne l'aimaient pas (aussi rares soient-ils) devaient l'admettre. Caìtriona avait troquée ses robes pour de simples tee-shirts amples, pour être libres de ses actions, avec souvent des jeans clairs et des talons aiguilles. Caitriona n'était pas grande, et partageait ce complexe avec sa sœur, ou du moins celle à côté d'elle sur l'arbre généalogique. Alors que son esprit s'était retiré pour repenser à cette époque d'exil qui l'avait tout de même, et c'est parfaitement compréhensible, traumatisée, son téléphone sonna. Une voie masculine l'avait contacté, avec cet engin électronique fort utile ou étrange, Caìt n'arrivait pas à déterminer. « Bonjour, oui je suis Caìtriona WhitHeart, mais pourquoi? » « Et bien, votre soeur a été percutée par une voiture et s'est retrouvée dans notre hopital, à Toronto. » « Oh mon dieu, elle va bien, j'espère? » « Pour une personne s'étant faite écrasée, elle est plutôt solide. Nous vous attendons à l'hopital, si vous le voulez bien. » « Bien sür, j'arrive aussi vite que je peux ! » Wine venait juste de se faire percuter par une voiture. Le téléphone à la main, Caìtriona se mit à courir aussi vite qu'elle le pût, pour se ruer vers sa voiture. Comment cela était tout simplement arrivé? Sa sœur, écrasée par une voiture, avec Alice à l'hôpital, mais comment cela pouvait être possible? Caìtriona en jubilerait presque. Mais se réjouir du malheur des autres, c'était vraiment mal et pas son truc. Elle démarra sa bagnole, lança le GPS, et partit vers Toronto.

Caìtriona sort de la voiture. La portière claquée, trop de pensées d'un seul coup. Dès que je la revoie, je lui fout une claque, je la prends dans mes bras ou je me la ferme, lui laissant savourer sa détresse? Han, mais oublie tout ça, fonce la voir et c'est tout ! Elle rentre dans l’hôpital, blanc immaculé. Elle s'adresse à la dame à l'accueil. « Bonjour, je suis ici pour la patiente Wine RedHeart. Dans quelle chambre se trouve-t-elle? » L'échange fut bref, mais efficace. Caìtriona se rue vers sa chambre, avec sa démarche habituelle. Certains se tournent pour la regarder passer. Même l'éclairage de l’hôpital arrive à la mettre en valeur. Comme quoi, le charme princier fera encore et toujours son effet. Une fois l'étage atteint, elle se rue vers la tête blonde sur son chemin.
Alice. Elle aussi, en a bavé. « Dieu merci, ça fait du bien de revoir un visage familier ! » « Chérie, tu m'as manquée, si tu savais. Mais qu'est-ce qu'il t'es arrivé, à toi? Tu as été blessée? Bon, tu ne m'en veux pas, mais il faut que j'aille voir la grosse tête. » Caìtriona voit les trais d'Alice se détendre, devant sa venue. Elle paraît soulagée, et ça lui enlève aussi un poids sur les épaules. Si quelque chose lui était arrivé, elle ne se le serait jamais pardonner. Elle entre donc dans la chambre de sa sœur. « Je t'en prie, enlève ce sale regard tout de suite. Laissons nos querelles familiales de côté pour le moment, tu veux? Excusez moi, monsieur. Caitriona WhitHeart, la grande sœur de cette charmante personne ici présente. Ça vous dérangerait de nous laisser quelques instants? Mlle Kingsleigh peut rester, si elle le souhaite.» Le médecin s'execute après lui avoir serrer la main. L'attention de Caìtriona se rapporte sur sa sœur, allongée sur ce lit, si fragile. Elle prend une chaise et s'approche d'elle. « Winnie, comme on se retrouve, hein? Tu ne me croiras pas, mais ton air pleins de défi m'a manqué. » Finalement, Caìt' lui sourit.
©️ Mister Hyde


HORS RP:


Wine RedHeart*
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Wine RedHeart*

| Avatar : Keira Knightley.

« I warn you child... If I lose my temper, you lose your head ! »

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LET THE SKY FALL
WHEN IT CRUMBLES
WE WILL STAND TALL
FACE IT ALL TOGETHER


| Conte : Alice au pays des merveilles.
| Dans le monde des contes, je suis : : la Reine Rouge de Coeur.

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| Cadavres : 150



She's the monster, but she's my queen [Wine] - Page 2 _



________________________________________ 2017-09-06, 22:52

She’s the monster, but she’s my queen
Winice ♥ (et une détestable grande-soeur)

Les heures passaient à une lenteur harassante. Encore ensuquée par les médicaments, je fixais l’horloge murale en face de moi d’un œil morne. Tic. Tac. Les secondes s’égrenaient. Et ce depuis deux jours. Deux interminables journées. Une seule pensée m’empêchait de griller mes neurones : j’allais enfin pouvoir sortir de ce lit. Le médecin m’avait assurée que j’étais apte à être véhiculée en fauteuil roulant. Au moins une bonne nouvelle pour compenser le reste. Le sort semblait s’acharner sur moi. Non seulement je ne pourrais plus me servir de mes jambes pendant quelques temps, mais en plus Alice et ma très détestable sœur aînée allait se faire un malin plaisir de me pousser n’importe où. J’avais bien essayé d’expliquer la gravité de la situation à cet incapable de docteur Scofield. C’est de la non-assistance à personne en danger, docteur. Vous aurez ma mort sur votre conscience lui avais-je assuré. En vain. Caítriona serait ma tutrice le temps de mon rétablissement, et Alice m'a pousseuse attitrée. Ce qui signifiait qu’il ne me restait que peu de jours à vivre. Miséricorde.

Ça cicatrise très bien. Je serais ravi de vous retirer les fils. Déjà ? Je ne voulais pas remettre en question les qualités du médecin, mais la manœuvre m’avait l’air un peu prématurée… Ah, ce n’était de mes fils qu'il s’agissait. Je n'aimais pas du tout le ton sur lequel Scofield s’adressait à là blondasse. Cela manquait cruellement de professionnalisme. Comme je m’y attendais, Alice lui lança une de ses nombreuses piques dont elle avait le secret. Dites-moi si je vous dérange, ce n'est pas comme si c’était moi qui étais alitée et au seuil de la mort. Ils avaient de la chance que la morphine m’empêchait de leur dire ma façon de penser. Je me contentai donc de les fusiller du regard en me raclant la gorge. T’entends le gentil monsieur ? Il veut me retirer les fils. J’espère qu’il t’arrachera la langue au passage. Mes yeux étaient assez expressifs pour faire passer le message. Ta grande sœur chérie est arrivée. Je faillis m’étouffer à cette annonce. On m’aurait appris que j’avais une maladie incurable que je l’aurais mieux pris.
Me retrouvant seule avec Dr. Sourire Colgate, je réussis à marmonner quelques mots à son intention : Si vous aimez les blondes insupportables, vous allez être ravi. Leur reine est là. Le rictus gourmand du soignant me fit grimacer de dégoût. Il irait très bien avec la Barbie qui me servait de sœur. Si cela pouvait la forcer à rester au Canada et me laisser en paix… autant tenter le coup.

Oh cette voix qui me brise si doucement les oreilles… Je ne l’avais plus entendue depuis des lustres. Et cela ne m’avait pas manqué. Mais alors vraiment pas. Tel un ange descendu des cieux, Caítriona déboula dans ma chambre, sa crinière d’or retombant avec légèreté sur ses épaules. Un soleil venait d’entrer dans la pièce. Toujours aussi parfaite. Si Scofield dut s’asseoir pour ne pas défaillir (je crus voir le moment où il allait me tomber dessus), je n’étais pas dupe. Je ne me faisais pas avoir par l’apparence angélique de mon aînée. J’étais vaccinée, immunisée. Aussi l’accueillis-je avec ma plus belle moue hautaine et méprisante. Je t’en prie, enlève ce sale regard tout de suite. Laissons nos querelles familiales de côté pour le moment, veux-tu ? Non je ne voulais pas. Elle ne pouvait pas débarquer comme une fleur l’air de rien, sans qu’il y ait la moindre animosité entre nous. Que croyait-elle ? Que le temps effaçait tout ? Malheureusement pour elle, j’avais une excellente mémoire. Une vie entière n’aurait pas suffit pour me faire passer l’éponge sur nos “querelles familiales”. Winnie, reprit-elle en s’installant à mon chevet. Je détestais lorsqu’elle m’appelait par ce surnom ridicule. Cela me donnait de l'urticaire. Comme on se retrouve, hein ? Le monde était petit. Trop petit à mon goût. Tu ne me croiras pas, mais ton air pleins de défi m'a manqué. Oh si, malgré moi je la croyais. Ma sœur ne pouvait pas s'empêcher d'être gentille. C'était maladif. Et cela m'horripilait encore plus que si elle s'était moquée de moi en découvrant ma posture désavantageuse. Mais non, Caít ne profitait jamais de la faiblesse des autres, Caít ne gardait aucune rancune dans son immense cœur, Caít pardonnait tout, Caít n'était qu'amour et miséricorde. En parlant de corde, si l'on m'en proposait une, ce ne serait pas de refus. Durant toute mon enfance, je n'avais connu que cette rengaine : Caít ceci, Caít cela... Alors qu'elle ne faisait rien d'autre que poser son royal postérieur sur un banc et saluer tous les badauds avec un grand sourire. Le pays des merveilles avait eu une chance inouïe que je monte sur le trône à la place de mon ainée. Si cela n'avait pas été le cas, je n'ose imaginer l'état déplorable dans lequel Wonderland aurait été plongé. La Bérézina la plus totale.
Plongée dans un mutisme impérial, je ne pris même pas la peine de répondre à la Reine Blanche. Le Docteur Scofield (qui avait fini par reprendre contenance) s'approcha de moi tandis qu'un aide-soignant arrivait avec un fauteuil roulant. Je vais devoir doubler votre dose d'analgésiques pour vous déplacer, sinon ça risque de vous faire souffrir. Soit. Au point où j'en étais... Je sentis petit à petit mes membres se détendre, je flottais sur du coton. Je me rendis à peine compte que l'on me portait et que l'on m'installait dans mon fauteuil. La suite des évènements se passa dans le flou le plus abstrait. Ils m'avaient complètement droguée ! C'est ainsi que je me retrouvai à l'aéroport de Toronto, encadrée par les deux blondes que j'avais le plus envie de guillotiner. La climatisation de l'aéroport était bien trop puissante pour mon organisme encore fragile, aussi dus-je remonter mon plaid sur mes épaules pour ne plus frissonner. J'essayai de me redresser sur mon siège. Grave erreur. Une douleur aiguë remonta le long de ma colonne vertébrale, m'arrachant une grimace. Par réflexe, j'agrippai le bras d'Alice. J'aurais pu me raccrocher à ma sœur. Mais non, mon instinct avait décidé de me jouer ce vilain tour. Damné subconscient. Comme si j'avais mis ma paume sur le feu, je la retirai aussitôt, troublée.

Le voyage en avion se passa sans encombre. Je fus forcée de râler à plusieurs reprises afin que le service soit acceptable, cependant rien d'anormal. J'étais assise entre Caítriona et ma blondasse, de façon à ce qu'elles puissent m'extirper plus facilement à l'atterrissage. Pourquoi n'es-tu pas restée avec cet aimable docteur Scofield ? demandai-je à la Reine Blanche. Il avait l'air de ne plus vouloir te laisser partir. Il en était même à te donner son précieux stylo porte-bonheur... Ne me dis pas que tu préfères t'occuper de ta chère petite sœur. Mon ton était amer. Je ne comprenais pas par quel miracle elle ne désirait pas me faire payer pour tout ce que je lui avais fait subir. Certes, c'était elle qui devait se faire pardonner. Pour être née la première, pour avoir tout reçu sans effort, pour m'avoir tout pris sans que je puisse esquisser le moindre geste. Pour avoir pris ce que j'aurais dû avoir. Toutefois, il était compréhensible qu'une personne normalement constituée aurait ressenti une franche envie de me renvoyer l’ascenseur après avoir subi ce que j'avais fait subir à Caít. Décidément, je ne comprendrais jamais ma sœur.

Emi Burton

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She's the monster, but she's my queen [Wine] - Page 2 _



________________________________________ 2017-09-29, 17:21



Hey, What you gonna do ?



Mes yeux restèrent un labs de seconde figée sur le regard de Caitriona. Que c'est t-il passée ? Hum. J'ai embrassée ta sœur et du coup elle c'est jetée sous une voiture. Non ca collait pas, et rien que l'idée de le dire me tranchais littéralement la gorge. Je la suivais silencieusement, m'appuyant contre le mur en croisant les bras pendant qu'elles s'échangeaient le lot de mots doux habituel.Wine avait de la chance d'avoir une soeur, mais elle ne le voyait pas. Ca me rendait presque jalouse. La curiosité me poussait à jeter un bref regard à Wine, qui reprenait son rôle de petite sœur attitré, ce faisant gronder pour une bêtise par sa grande sœur. Si seulement les querelles pouvaient être mise de coté. Si seulement. C'était un mot trop vaste. Et tout un monde pouvait être refait par des si. Mon portable vibrait dans ma poche. Je jetais un coup d'oeil aux habituels textos de Maxine. Elle a eu un petit frère. Cette révélation faisait beaucoup trop mal pour pouvoir être digérer correctement. J'aurais préféré que Wine me poignarde le cœur que de lire ca.

Bien entendu, lui aurait le droit au titre de petit frère attitré. Et moi je n'étais qu'une étrangère dans cette famille. Même Maxine ne me reconnaissait pas en temps que grande sœur. Sur le coup de la colère, une envie brève de jeter le portable contre le mur m'avait saisie. Mais au lieux de ca, je me contentais de ranger le portable et de faire face juste à cette putain de situation qu'on venait de me balancer dans la gueule. Comme ci ma vie n'était pas aussi misérable que ca. Putain que ca me faisait grave chier. Le doc qui faisait de yeux doux à Caitriona voulu s'approcher de moi. Je pense que le regard orageux que je lui decernais avait suffit pour qu'il ce casse directe de mon térritoire. J'étais plus du tout d'humeur à rien depuis un peu trop longtemps là. Je voulais juste rentrer. Ce qui avait été exaucée. L'idée de me retrouver à coté de Wine n'arrangeait rien à mon humeur. Le visage complétement fermée, je m'étais tournée vers le hublot, fusillant les canards volant du regard. C'était préférable.

Je commençais à m'endormir lentement, lorsqu'une poigne un peu trop abrupte me fit sursauter. Aussi déboussolée qu'un bébé venant de naître, je tournais un visage surpris vers Wine qui m'avait aggripée le bras. Ne. Me. Touche. Pas. Reste calme Alice. Reste calme. Pense à un truc sympa. Ta playstation par exemple. Je l'avais incendier du regard, comme ci elle avait commit un crime contre le monde entier. Ce qu'elle avait justement fait. Même si son visage exprimait une certaine douleur, j'en avais rien à foutre. Qu'elle souffre. Qu'elle ce prenne une autre voiture. Je retirais mon bras du siège avec brutalité, la défiant de recommencer. Qu'elle ne me touche pas, qu'elle ne me parle pas, qu'elle ne m'approche pas. Et je maudissais le sursaut de mon cœur lorsqu'elle m'avait touché. Ta gueule le cœur, reste à ta place et fais pas chier. Amoureuse ? Je me suis surtout fracassée la gueule, ouai.

Pourquoi c'était pas claire dans sa grosse tête ? Fallait que je lui insère les mots moi même à coup de dictionnaire ou quoi ? Et surtout, qu'elle ne me regarde pas. J'évitais tout contacte visuel, ignorant le monde entier qui m'entourait pour fermer les yeux dans un soupire et tenter de dormir de nouveau. Je ne savais même plus si au final je préférais accepter l'idée d'être assise à coté de Wine ou d'imaginer Maxine jouant les grandes sœur avec son frère. Les deux étaient intolérable. Le sommeil m'emportait peu à peu, et ma tête tomba sur l'epaule de Wine. Je pense qu'elle devait essayer de dormir, parce qu'elle non plus ne c'était pas tout de suite rendu compte de mon acte. Je me reveillais en sursautant. Alice, arrête tes conneries. Je ne m'étais jamais sentis aussi heureuse que de revoir Storybrooke. J'avais l'impression de l'avoir quitté depuis des années. Revenant sur les traces d'une vieille relique abandonnée. Mon désire de me sauver était palpable. J'étais prête à m'enfuir dès qu'on aurait quittée l'aeroport. Mais Cait insistait pour que je l'aide à reconduire Wine chez elle.

J'avais pas envie. J'étais pas l'esclave de Wine. J'étais pas ce qu'elle voulait que je sois. Aka Sa marionnette. Alors qu'on s'avançait à la sortie de l'aeroport, une boite de conserve tapa contre ma jambe. Je baissais la tête en laissant Wine et Cait s'éloigné, pour la ramasser. Je fronçais les sourcils en regardant autour de moi, sans trop comprendre d'ou elle venait. Aucune réponse ne fut répondu à ma question. Je la jetais derrière moi pour reprendre mon chemin, jusqu'à ce qu'elle vienne me cogner à la nuque. La colère qui m'envahit fut fulgurante.

▬ « C'EST QUI LE PETIT CON QUI S'AMUSE A ME BALANCER DES BOITES DE CONSERVES DANS LA GUEULE ? » criais-je, les yeux flamboyant de haine. J'étais pas apte à devenir gentille avec un môme là. Mais alors pas du tout. Ce qui fallait faire actuellement, c'était me laisser me calmer pour quelque jour. Ou des semaines. Ou des mois, voir des années ou des siècles. Bref, vous avez saisie. La boite de conserve laissa échapper un espèce de chapeau, et je me suis mise à hurler en sursautant. « Putain de merde ! » m'ecriais-je, le cœur battant. Le chapeau sortit de la boite de conserve pour ce transformer en un truc que je connaissais très bien. Le robot Cligna de ses paupières métallique, et émit un ronronnement tout en ce frottant à ma jambe. Monsieur Grenouille. Alias nono le petit robot. C'était quoi ce délire ? Qu'es ce qu'il foutait là ? « Lâche moi. T'es pas avec Max ? » dis-je sèchement, tenté de shooter dans le robot pour le dégager avec mauvaise humeur.

Il était petit, la dernière fois que je l'avais vue il faisait ma taille. Je baissais le regard pour voir qu'il me tendait une lettre. Un électroc aurait été sembable à ma réaction. Une lettre de Maxine. Je la prit entre mes doigts pour l'ouvrir. Au début, c'était beaucoup de choses inintéréssantes. Comme les couleurs des fleurs qui l'entourait, la couleur de sa tapisserie ect. Zach qui était avec elle ( lui je rêvais de lui casser la gueule.) jusqu'à ce que je vienne à la fin de la lettre avec un ''ps'' qui contenait enfin les informations importante de la lettre. Quatre page de lettre pour n'avoir que la fin d'interessant. Je levais les yeux au ciel.

Chere Alice,

Ici, les choses vont bien je crois. Mon petit frère grandit bien, et je suis allé voir un conseiller de petit frere et sœur et il m'a dit que les freres et sœurs devaient veiller les yeux sur les autres. Comme je n'ai pas encore finis de développer ma machine a me dédoubler, j'ai décidé de t'envoyer Monsieur Grenouille pour qu'il veille sur toi a ma place ! Ne t'en fais pas j'ai retravaillé son programme, il sait bien s'occuper de tout le monde comme ca je serai sure que tu sera bien surveiller et qu'il ne t'arrivera rien pendant mon absence. Je t'aime, Maxine.


''Il m'a dit que les freres et sœurs devaient veiller les yeux sur les autres.'' J'avais la gorge sèche. Très sèche. Je formais une boule avec la lettre et la lançais dans la tête du robot avec une hargne sans merci. Je me sentais horriblement jalouse. Terriblement. Il avait le droit à ce que j'aurais jamais. Je rattrapais Wine et Cait d'un pas rapide, accompagnée du robot qui s'éternisait à me suivre. J'en veux pas de son robot, je veux plus rien. La plaie dans mon cœur était encore plus béante à présent. Le robot c'était jetée sur Wine au passage. J'avais pas trop compris son délire, mais l'idée de le laisser ronronner sur elle m'était pas désageable. Je regardais Caitriona.

▬ « Je vais la raccompagner, après tu pourra faire tout ce que tu veux d'elle.  » Dit -jed'un ton terriblement mauvais. Après tout, elle était la seule responsable de tout mes malheurs. Elle ne faisait qu'appuyer sur la fissure de mon cœur. La colère qui tonnait en moi électrisait l'atmosphère comme un orage. Bien qu'elle semblait hésité, elle avait finalement opiné. Je repris les rennes du fauteuil roulant. Aussi silencieuse l'une que l'autre. Relaté ce qui c'était passé risquerait de passer dans une mauvaise tournure des choses. Et vue l'humeur exécrable que je ressentais et ce besoin de démolir quelqu'un, je n'avais pas envie de toucher ne serais-ce qu'une partie de Wine par pur acte impulsivité. Un truc m'empêchait de la frapper et de me défouler sur elle. J'en mourrais d'envie. Mais c'était comme un grillage électrique. On ne touche pas.

Arriver devant la maison, je lachais le fauteuil roulant. MG s'approcha de moi et me relança la lettre de Maxine au passage en pleine face, comme ci j'avais déclarer un jeux tout à l'heure. J'avais fermement envie d'étouffer son cou de fer subitement. Je laissais la lettre chiffoné par terre, de toute façon ca m'était égale. Pourtant, le robot vint m'interppelé. Un truc brillait dans sa poche à gadget, quelque part dans son thorax. Je restais interdite face à la couronne de Wine. Il avait trouvé ca ou ? Comment est-ce qu'il l'avait ? Maxine était t-elle au courant ? Ou alors ...Ah je vois. La maligne. Je me tournais vers Wine qui n'avait rien vue, à part peu être la lettre chiffonnée sur le seuil de sa porte. Elle avait besoin d'aide pour rentrer dans sa maison. Comme c'était dommage. Je me permis de m'approcher d'elle pour me pencher à sa hauteur. Et comme j'en avais plus rien à foutre des limites de l'intimité depuis que je l'avais embrassée, j'avais presque frôler son visage d'un désir brûlant pour m'approcher de son oreille.

▬ « Quoi qu'il puisse ce passer, n'oublie pas que si je bascule de la falaise, je t'emporterais dans ma chute. Si je tombe, tu tombe. » claquais-je, les yeux sournois, le ton satisfais. J'avais touchée sa mains de la mienne au passage, prenant un malin plaisir fourbe à entremêlés nos doigts un court instant. J'avais reculé la tête avec un air de défis. J'avais térriblement envie de resaisir ses lèvres jalousement. C'était trop envenimant, comme le fruit interdit. C'était trop tard. J'y avais goûté. Après un moment savourant ou je m'amusais à la faire tourner en bourrique, je dégageais ma mains avec méchanceté de la sienne pour reprendre un air glaciale. «  MG. Vient là. » Je m'étais éloigné d'elle, alors que le robot venait. Je pris la couronne que je mis sur ma tête. Elle était lourde. Comme ci tout le royaume pesait sur ma tête. Ainsi que toute les victimes de Wonderland. Son regard semblait s'allumer, activé, comme ci j'avais tout son attention. Bien entendu. Elle restait de marbre, ne ce laissant pas démonté. Ce serait une honte pour une reine, bien entendue.

▬ « Je ne veux plus te revoir. Plus jamais. Dégage de ma vie Wine. Tu n'as aucune place. Tu ne l'aurais jamais. » Malheureusement, elle occupait déjà une place encore plus fourbe que dans ma vie. « Je n'ai pas besoin de parasite je traversais le seuil en la laissant en plan pour prendre mon portable et appelé Cait. «  J'ai un imprévu, au final, tu peu revenir t'occuper de ta sœur ? » Lui demandais-je. Je n'avais pas d'imprévu. C'était juste prévu depuis le début. Je rangeais le portable pour faire face à Wine. La couronne entre les mains. Je la regardais. Regardais, lui lançant un sourire alors qu'elle devinait peu à peu ce que j'allais faire. La voir ainsi chuter, voir son regard ce décomposé était le meilleure sentiment au monde. « A bat la maudite grosse tête. » énumérais-je d'un sourire lointain. C'était une promesse. La couronne ce brisa entre mes mains. Le cœur en rubis reposait au creux de ma paume. Je le lui présentais, avant de fermer ma mains dessus et de le serrer jusqu'à ce que des brides de verres ne tombe au sol. La monarchie était morte avec sa couronne.

▬ « Absinthe n'aurait jamais du s'interposer. Je t'aurais tuer. Je l'aurais vraiment fais. Et je regrette de ne pas l'avoir fait.» Dis-je d'un ton tranchant. Je l'aurais fais. je le savais. MAintenant je n'y arrivais plus. J'aimerais revenir à ce moment là. J'étais encore capable de la tuer. Alors que maintenant ce n'était plus possible. Je le voulais, mais je n'y arrivais pas. Je la laissais planter devant sa maison, repartant avec monsieur grenouille en lui tournant le dos et sans jamais m'arrêter. Je ne voulais plus jamais la voir. Ca aussi, c'était une promesse.


THE END




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