Le hasard? Même lui ne fait pas aussi bien les choses

Marcus Pilami & Jessie Pride

Marcus n'avait cesser de garder le contact visuel alors qu'il caressait Bobo. Il ne semblait pas vraiment savoir quoi dire face à la réponse de la demoiselle. Puis i s'état approché, réduisant l'espace entre eux. Une agréable surprise pour la poupée qui ferma les yeux, appréciant le court moment. Elle ouvrit les yeux pour découvrir un ancien Marsupilami rougissant, pour son plus grand plaisir. Elle n'était sans doute pas beaucoup mieux. Et reprendre le petit jeu lui semblait difficile.
La confession de l'homme n'aida pas à calmer les paillons qui semblait s'être réveillées dans son ventre. Inconsciemment elle s'était mise à jouer avec sa tresse, encore une fois, avant de timidement rencontrer le regard de Marcus avec un petit sourire.

-Le niveau à considérablement augmenté...Je pourrais m'y habituer. Méfie toi...

Le hasard? Même lui ne fait pas aussi bien les choses

Marcus Pilami & Jessie Pride

Les joues de Marcus devenait de plus en plus colorées pour le plus grand plaisir de la rousse. Elle ne devait sans doute pas être beaucoup mieux mais qu importe. La remarque de l'homme fit étirer les lèvres de la poupée en un large sourire. Il jouait à ça? Très bien. La demoiselle en avait tout autant dans son sac. ça lui rappelais Buzz. C'était si proche et pourtant tellement différent. Dans ses fantaisie, elle s'était toujours imaginer retrouver Buzz et approfondir un peu plus leur relation. Après tout, même si elle ne le montrait pas ou faisait semblant de ne pas comprendre ce qu'il se passait entre eux, elle le savait très bien.

-Vous jouez à un jeu très dangereux monsieur Pilami

Elle ne s'était toujours pas écarté, ses yeux pétillant toujours de malice. C'était certes un jeu dangereux mais les jouets son extrêmement joueurs.
-On sait jamais, tu risquerai de plus pouvoir te passer de moi

Le hasard? Même lui ne fait pas aussi bien les choses

Marcus Pilami & Jessie Pride

C'était finit. Hors de question de retourner dans son monde. Elle l'avait prévenu mais c'était déjà trop tard, elle y avait pris goût. Son ventre se tordaient dans une sorte de douleur délicieuse. Ce genre de sensation qui remontent à ses souvenirs factices d'adolescente. Une absence totale de pensée cohérentes, bien qu'en soit la vétérinaire n'a jamais eus des pensées ultra philosophique était plutôt spontanée et terre à terre. La rêverie, très peu pour elle. Alors c'était-elle imaginée ce genre de dénouement? Absolument pas. Parce que pour elle, le cœur de Marcus appartenait à sa femme et ses enfants. Si il la retrouvait, elle n'avait aucune chance, c'était évident. Pourtant, la poupée ne lui en voudrait même pas. Elle l'accepterait, parce qu'elle savait qu'il serait heureux. Alors qu'importe si elle souffrirait parce que c'était la vie et aussi l'amour.

Mais à ce moment là, l'esprit de la vétérinaire était bien trop embrumée pour avoir ce genre de pensées moroses. Elle crus un instant que ses jambes redevenaient en coton tant elle ne se sentait pas capable de tenir debout seule. Elle passa donc ses bras autour du coup de l'homme. Quand leur lèvres se séparèrent, elle ne le lâcha pas; posant son front contre le sien.

-Tant pis pour toi, je m'y suis habituée.

Un petit sourire se dessina sur ses lèvres.

-Par contre si ton cadeau, qui attend dans l'entrée est fondue,
c'est de ta faute. Tu m'as distrait!

Le hasard? Même lui ne fait pas aussi bien les choses

Marcus Pilami & Jessie Pride

A l entendre rire avec elle la véterinaire sentait une envolée de papillons dans son ventre. Elle tombait de plus en plus, a chaque secondes, prête á se noyer dans ses yeux quitte à en perdre pied. Elle attrapa sa main, laçant ses doigts avec les siens pour l enmener dans l entrée. Elle attrapa le sac avant de les guider de nouveau vers le salon. Elle n avait guère envie de lâcher cette main qui donnait l impression que la sienne était si petite et si fragile.
elle se planta devant Bobo pour lui donner le petits jouets qu elle avait acheté.

-Joyeuse Saint valentin Bobo Ajouta t elle en gratouillant la tête du chaton, avant de se tourner vers l homme dont elle n avait pas lâcher la mains. Elle tira d ailleurs vers le bas, le forçant à s abaisser pour qu elle puisse rapidement déposer un baiser sur ses lèvres avant de lui deposer le sac entre les mains.

-Joyeuse Saint Valentin Marcus