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Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Ripped souls ❖ Aryana

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Dyson R. Parr
« Cours Dydy, cours ! »

Dyson R. Parr

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La coalition se forme pour trouver à Aster son véritable amour
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________________________________________ 2017-01-17, 12:00 « Cours Dydy, cours ! »

RIPPED SOULS

- DYSON — ARYANA -

Hey girl. This is an insane common point. Why do people love to let themselves killed by pain. This is crazy how much we hate suffering and how much we accept suffer. This is nonsense, it's like we're made to suffer, after all. Is there any cure to that ?

Je soupirai, pressant le pas vers mon cabinet, téléphone en main.

Tyler, tu ne transformeras pas mon cabinet pour en faire ta nouvelle maison.
<< Mais enfin, je suis ton frère ! >>S'exclama Tyler au téléphone sur un ton faussement dramatique.

Si c'est ça ton argument, tu as une centaine de frères et soeurs que tu peux aller embêter pour avoir de l'aide. Je prends une pause en tant que psy d'à peine quelques semaines, je n'arrête pas, j'en ai encore besoin.

J'entendis son frère jumeau crier derrière Tyler. << Quand on deviendra les plus célèbres de Storybrooke, tu regretteras de ne pas voir notre nom sur ta porte ! >>

Je levai les yeux au ciel, laissant échapper un rire exaspéré. C'est ça.

Je raccrochai, alors que j'arrivai devant ledit cabinet. Cela faisait déjà une semaine que j'avais pris une "pause" en tant que psychologue. Aussi, la voisine de l'étage au-dessus fut surprise de me voir arriver, je la saluai d'un geste de la main.
Je n'avais pas le coeur à continuer en ce moment. J'avais non seulement besoin de me retrouver, mais j'avais en plus besoin de me vider la tête. Ce que j'ai fait en décembre, le fait que Lily ne veuille plus me voir pour lui avoir menti... je me persuadais toujours du contraire mais un jour il faudrait que j'arrête de me voiler la face : je n'allais vraiment pas bien.

Au fond de moi, l'esprit d'Oswald se réveillait de plus en plus, comme si la jovialité du toon que j'étais voulait de nouveau m'envahir pour m'aider à surmonter tout cela. Ce qui avait pour conséquence que je ne savais même plus qui j'étais réellement. J'étais encore Dyson, et pourtant je ne le voulais plus : je détestais Dyson à présent, pour ce qu'il a fait, et voulais tant redevenir Oswald. C'est un sentiment étrange, que je ne partageais pas, pour la simple raison qu'on pourrait me prendre pour un schizophrène.

Je ne revenais pas ouvrir mon cabinet, pas encore. J'étais revenu ici pour récupérer quelques affaires. La malédiction avait placé ici des objets d'un passé que je chérissais encore, que j'avais pourtant ignoré pendant des années. J'aimais les avoir avec moi.

Après avoir tourné la clé dans la serrure qui n'avait pas servi depuis plusieurs jours, j'entrai dans un bâtiment aussi froid que la température hivernale des rues de Storybrooke : je n'avais pas allumé le chauffage pendant assez longtemps pour que l'hiver s'y donne à coeur joie. Ainsi, je n'enlevai pas ma veste.

Je soupirai. J'avais besoin de me poser, et pourtant je n'arrêtais pas de bouger. C'est pourquoi, avant de faire quoique ce soit, je pris un moment pour m’asseoir sur mon siège, fermant les yeux quelques instants. Ça recommençait. Les temps où je n'étais plus satisfait de ma vie. C'était... lassant.

J'entendis taper sur la porte. Je rouvris les yeux, surpris. Quelqu'un voulait encore me voir ? La voisine du dessus n'avais pas avertis que je n'étais pas là. Certainement parce qu'elle venait de me voir. Mince, si elle pensait que je reprenais le travail, elle allait s'empresser de le dire à tout le monde.

Je me levai, me dirigeant vers l'entrée.

Tyler, me dis pas que c'est toi qui vient insister !

J'ouvris la porte. L'intérieur était si froid que je ne ressentais même pas la température extérieure.
Je levai les sourcils.

Oh ! Aryana ! Ça fait longtemps, tiens ! J'eus un sourire amusé. Je l'aimais bien.
Normalement, j'aurai sans doute dit que je ne travaillais plus pour le moment. Mais je me poussai de l'entrée, l'invitant à entrer. Quand elle venait ici, elle n'aimait pas vraiment me raconter ses problèmes. Mais pourtant elle venait de son plein gré. Elle méritait bien d'entrer, rien que pour ça.
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________________________________________ 2017-01-24, 15:43



Le coeur d'une femme est un océan de secrets.

Ces derniers temps, je ne voyais plus beaucoup d'hommes. Cela me manquait terriblement. J'aimais être le centre de l'attention de ces messieurs. Oh, j'avais arpenté les boîtes de nuit et différentes fêtes plus ou moins huppées. J'avais fréquenté la jet set de la Côte d'Azur à celle des Maldives. Hélas, les conversations étroites et les esprits étriqués avaient fini par me lasser. J'avais soif de nouvelles rencontres, du moment qu'elles étaient enrichissantes. Je regrettais énormément l'époque révolue des poètes. Autrefois, les messieurs séduisaient en vers, parfois même en alexandrins ; alors que de nos jours ils faisaient la cour d'une façon presque vulgaire. L'évolution des moeurs ne va pas toujours dans le bon sens.

Désenchantée, lasse, j'avais fait l'inventaire de mon carnet d'adresses. Je n'avais plus de nouvelle de Christopher. S'il ne souhaitait plus me voir, je ne voulais pas m'imposer en apparaissaient inopinément auprès de lui. J'aurais pu l'obliger à passer du temps en ma compagnie -un sourire charmeur aurait suffi à le convaincre- mais je voulais la compagnie de quelqu'un qui recherchait véritablement ma présence. Où trouver un homme séduisant qui avait le sens de la conversation ainsi qu'un esprit cultivé ?

Je songeai tout naturellement à Dyson Walters, psychiatre de son état, qui officiait à son cabinet privé. J'apparus devant sa porte par une froide matinée d'hiver et toquai plusieurs fois. Sans doute allait-il penser que je souhaitais une consultation, mais qu'il n'espère pas que je m'ouvre à lui. Il n'avait réussi qu'une seule fois à me faire dire ce que j'avais sur le coeur et je m'étais fortement retenue de me venger de lui.

La porte s'ouvrit sur l'homme à la stature intéressante. Je haussai un sourcil à sa remarque familière et tandis qu'il s'effaçait de devant l'entrée, je m'engouffrai à l'intérieur. Le bureau n'avait pas changé depuis la dernière fois que j'étais venue. Je m'avançai d'un pas nonchalant jusqu'au sofa. Mes doigts en effleurèrent le dossier avant que je m'allonge tranquillement sur le canapé. Je calai convenablement mon coude sur un coussin et abandonnai une main sur mon front, tandis que mon autre bras reposait sur un autre coussin, plus haut, de sorte à ce que ma main effleure le haut de mes cheveux.

"Dites-moi quand la pose est bonne."
déclarai-je à Dyson tout en tournant la tête vers lui.

J'avais revu Titanic quelques jours plus tôt en compagnie de Deborah. Nous nous étions organisées une soirée entre filles, s'émerveillant sur la garde-robe de Kate Winslet et sur le charisme de Dicaprio. En arrivant dans le cabinet de Dyson, je m'amusai à copier la posture de Rose, quand Jack s'apprêtait à la dessiner. Sauf que je portais encore mes vêtements. Malgré tout, je pliai un peu ma jambe afin que ma jupe la dévoile jusqu'à la cuisse. Après quoi, je souris à l'homme qui était resté debout.

"C'est ainsi que vous recevez vos patients, n'est-ce pas ? Ils s'allongent, racontent leurs problèmes et vous... leur peignez des solutions."

Du bout du doigt, je repoussai une mèche qui tombait devant mes yeux et ajoutai d'un ton suave :

"Dessinez-moi comme l'une de vos patientes."

Je garderai la pose quoi qu'il arrive. J'affichai un sourire mutin tout en toisant le psychiatre qui allait rencontrer des difficultés à rester professionnel, j'en convenais parfaitement.

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________________________________________ 2017-02-05, 19:38 « Cours Dydy, cours ! »

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Hey girl. This is an insane common point. Why do people love to let themselves killed by pain. This is crazy how much we hate suffering and how much we accept suffer. This is nonsense, it's like we're made to suffer, after all. Is there any cure to that ?

J'avais observé d'un regard attentif, la déesse qui se mouvait gracieusement, avec un sourire amusé. Je savais à quoi faisait-elle référence. J'en avais oublié à quel point pouvait-elle se montrer si surprenante et intrigante.
Je m'étais avancé à sa suite, me rapprochant du bureau, pour m’asseoir sur mon fauteuil sans départir mon regard d'Aryana.

Je n'avais pas prévu de reprendre le travail aujourd'hui. Il y avait encore beaucoup trop de conflits en moi. Ma déchirure entre le psy et le lapin, mes actes qui me pesaient, ceux passés comme ceux présents. Qui j'étais ? Comment encaissai-je la douleur ? Je n'étais pas prêt pour redevenir ce Dyson qui a si longtemps vécu ici. Le serai-je un jour ? Si c'était le cas, il n'en était rien aujourd'hui. J'avais du mal à regarder un patient et l'aider à surmonter ses maux alors qu'il y en avait tant qui me rongeaient.

Et pourtant, Aphrodite me lançait une invitation à reprendre le rôle, une invitation que je ne pouvais refuser. Tout d'abord, parce que là voilà ici, allongée sur le canapé, comme Rose devant l'artiste, n'attendant que ses mots, ses réactions. N'attendant qu'à voir des plaies cicatriser. Et à cet instant, il le comprenait tout à fait. Puis, il fallait avouer qu'étrangement, il avait envie de parler à Aryana. Il avait envie, de jouer ce rôle de psychologue qui brise les murs de ses patients, de sa patiente qui s'était mis en tête de toujours construire d'autres murs et qui venait, inconsciemment ou non, afin que je les détruise. J'avais envie de sortir de ces tourments et ce labyrinthe qu'est devenu la vie, Aryana m'offrait un peu d'exotisme. Ce qu'elle proposait là ne se trouvait pas tous les jours. Cela ne se trouvait jamais, à dire vrai.

Toujours cette expression sur le visage, je finis par prendre un carnet et un stylo, sondant les profondeurs de ces yeux.

C'est le schéma habituel, en effet. En revanche, ce n'est pas de la même manière, qu'on suit ledit schéma.

Il commença à écrire quelques mots rapides sur sa feuille blanche.

Très bien. Je vous dessinerai comme telle. C'est un vide qui émane de votre regard. Les yeux sont en corrélation avec le cœur. Le ton de la voix est son messager. Je l'ai appris depuis le mien.
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________________________________________ 2017-02-22, 10:29



Le coeur d'une femme est un océan de secrets.

J'eus un sourire désabusé. Il me sortait son jargon de psychologue alors que tout ce à quoi j'aspirais, c'était une conversation agréable. Un contact. La promesse d'un espoir quelconque. Etait-ce trop demandé ? Visiblement, oui. A la réflexion, j'aurais mieux fait de réclamer l'attention d'un mortel quelconque. Mon esprit était affamé de rencontres nouvelles et passionnantes, voilà pourquoi j'avais pensé que la présence de Dyson Walters aurait suffi à combler mon imaginaire. Je m'étais trompée. Les hommes sont l'incarnation de la déception.

Avec une petite moue, je me redressai quelque peu sur le coussin alors qu'il m'observait, son carnet et son stylo en main.

"Un vide dans mon regard ?" répétai-je, offensée. "En tant que psychiatre, vous devriez savoir que certaines paroles peuvent blesser et qu'il n'est pas judicieux de faire ce genre de choses avec une déesse. Ma vengeance après tout est légendaire."

Je ne me départis pas de ma moue boudeuse et légèrement menaçante. Je ne plaisantais qu'à demi. Il devait comprendre que l'on ne se moquait pas impunément de moi. D'autres en avaient déjà fait la douloureuse expérience... Devais-je lui mettre les points sur les "i" ? Je n'allais tout de même pas lui administrer une fessée. Quoique... je penchai la tête, réfléchissant là-dessus avant de me redresser pour finalement m'asseoir sur le sofa.

"Je ne suis pas vide."
dis-je sèchement, plantant mes ongles manucurés dans le rebord du canapé. "Vous n'avez aucune idée de ce que j'ai vécu, de ce qu'est ma vie. Vous aidez les gens à régler leurs problèmes, mais vous pensez vraiment être capable de démêler cinq millions d'années d'existence ? Rien que le fait de vous raconter ma vie vous prendrait toute la vôtre. Ca serait trop long et laborieux, vous en perdriez peut-être la tête. Qui sait ?"

Je lui lançai un regard perçant puis lissai ma jupe, pensive.

"Vous pouvez prétendre beaucoup de choses à mon sujet, mais certainement pas la vacuité. J'ai vécu l'équivalent de plusieurs vies, dont certaines vous feraient pâlir d'envie. J'ai brièvement rencontré Sigmund Freud d'ailleurs, mais ce n'était pas quelqu'un de très intéressant. Le père de la psychanalyse n'avait pas la lumière à tous les étages. Vous appuyez votre travail sur le sien, ce qui montre à quel point ce que vous faites est vide d'intérêt."

J'avais bien appuyé sur le mot, comme pour le retourner contre lui. Après quoi, je me relevai d'un bond, bien décidée à m'en aller.

"C'était une erreur de venir."

Nul ne peut rien pour moi. songeai-je tristement, car je ne savais pas moi-même ce qui clochait, en définitif. Peut-être que tout allait bien et que j'aimais tout compliquer ? Etait-ce possible ?

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________________________________________ 2017-03-13, 08:39 « Cours Dydy, cours ! »

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C'est incroyable comment elle arrivait à susciter tant d’intérêt dans ses reproches. J'avais été dur en disant ça, elle avait raison. Et elle avait ce flot de parole qui nous empêchait de ne pas y être attentif. Était-ce une des capacités attachées à la condition de divin ? Ou une de ses capacités propres. Aryana était une tornade de sentiments.

Ecouter un homme qui prétend vous apprendre ce qu'il se passe en vous, ce n'est pas toujours intéressant, avais-je dit en me levant à mon tour, faisant allusion à Freud. Ses théories font réfléchir, et ont du sens, mais certaines personnes ne peuvent pas accepter qu'une personne ose affirmer savoir de quoi nous sommes faits. Les sentiments, sont un concept si complexe...

Je m'étais avancé, espérant arrêter la déesse qui avait eu l'intention de s'en aller.

C'est particulièrement pour ça que bon nombre de personnes n'apprécient pas les psychologues. Je n'ai pas la prétention de connaitre et de lire tout ce qu'une personne à vécu, de quel degré sont ses peines et ses joies.

Je haussais les épaules. J'avais même du mal à comprendre ce qu'il se passait chez moi, ces derniers temps.

Je m'excuse d'avoir dit ça, je n'ai pas les idées très claires. Je ne voulais pas dire que vous êtes vide. Il me semble que personne ne pourra le penser. Vous êtes, tout au contraire fascinante. Je fais parti de ceux qui aimeraient savoir tout ce que vous avez vécu.

Je m'asseyais de nouveau. Et c'est ça que je voulais dire : dans ce qui fait de vous quelqu'un de si incroyable, la richesse de votre vécu, quelque chose ne va pas. Vous avez mal. Il y a une tache noire dans le flot de vos sentiments et tant que rien ne pourra la colorier, il sera difficile d'apaiser les douleurs. Et si j'arrivais à colorier vos souffrances, ça serait un grand honneur.
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