« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Un curieux évènement agite toute la ville ce jour là : Un grand casino, l'Insaisissable, ouvre ses portes dans la petite ville de Storybrooke. Son mystérieux propriétaire avait gardé l'anonymat, et personne ne semblait savoir de qui il s'agissait, car tous ceux qui avaient posé la question à quiconque n'avaient pas pu avoir de réponse. Il y en a forcément qui savent. Le maire, sans doute, le premier, pour un tel projet de construction, le maire avait sans doute son mot à dire dans l'affaire. Mais il n'avait pas l'air d'être résolu à donner son identité publiquement puisqu'il n'avait fait aucune annonce. Le mystère était une bonne tactique : la curiosité piquée des Storybrookiens, voilà une grande partie d'entre eux qui se préparaient pour l'ouverture de l'Insaisissable qui promettait "Une part de Las Vegas à Storybrooke", dont l'inauguration s'était annoncée comme "époustouflante". Étaient promis des spectacles merveilleux qui "sauront faire voyager".
Ce que les habitants de Storybrooke ne savaient pas, spécialement le petit groupe que formera Dyson Walters et divers autres Storybrookiens, c'est que non seulement ils se préparaient pour une soirée dont le spectacle, le mystère et l'exotisme dépasseraient leurs attentes et imaginations, mais que le voyage qu'il s'apprête à faire aussi loin que proche de Storybrooke sera littéralement insaisissable. Rien d'ordinaire ne se produit dans la petite ville magique, ce casino lumineux et entouré de palmiers luxuriants ne dérogeait pas à la règle. Mais à quoi se préparent-ils ? Même vous, lecteurs, risquiez d'être surpris. Car si cette aventure à pour nom évocateur "Le livre de la Jungle", vous ne vous attendrez pas à la conclusion qui se profile par delà l'horizon.
STORYBROOKIENS, BIENVENUE À TOUTES ET À TOUS DANS LE MYSTÉRIEUX INSAISISSABLE
Eden se plaisait bien dans la petite ville qu'était Storybrooke. Il envisageait d'ailleurs toujours sérieusement d'ouvrir son propre restaurant pour faire goûter aux habitants de la ville ses spécialités. Mais avant cela... Et bien, il se devait de se faire connaître un peu,non ? Et quoi de mieux pour cela que de se rendre à l'inauguration du casino de la ville. Insaisissable, c'était le nom de l'endroit...
Pour l'occasion, Eden s'était donc vêtu d'un costard / cravate. Après tout, d'après le carton d'invitation qu'il avait reçu, il fallait se montrer chic et distingué dans un casino. Bref... Eden écouta très peu le discours du maire, se contentant d'observer l'extérieur de la bâtisse, avant de suivre la foule et de rentrer à l'intérieur.
C'était donc une salle très grande, immense même et très lumineuse. Eden dû d'ailleurs cligner plusieurs fois des yeux pour s'habituer à la lumière des néons de couleurs. Il y 'avait de nombreuses machines à sous dans ce lieux et le diablotin commençait à sentir l'arnaque à plein nez. La musique qui hurlaient dans les hauts parleurs donnait clairement envie de danser et de profiter des lieux encore un instant. Et c'est ainsi qu'Eden nota mentalement qu'il se devait de trouver de la bonne musique pour son restaurant...
Dans tout les cas, pour le moment, le patron ne s'était pas encore présenté et la Créature des Enfers ne voyait pas qui cela pouvait bien être. Il fut coupé dans ses réflexions par un serveur qui lui apporta sur un plateau argenté une boisson pétillante, couleur raisin. Intrigué par cette boisson qui n'était pas dans son répertoire culinaire, le blond en goûta une gorgée. Et c'était sucré et agréablement bon, même si ça grattait un peu le palais sur la fin. Finalement, il avait bien fait de venir à cette inauguration, rien que pour se resservir de cette fabuleuse boisson !
Un casino. Storybrooke avait décidé d'accueillir un casino, au nom aussi arrogant que plein de mystère "Insaisissable"... Vraiment, certains avaient un ego démesuré. Mais cela amusait grandement Angélique qui avait reçu un carton d'invitation et qui décida de s'y rendre. Après tout, quoi que mieux que de se rendre là-bas, de passer un bon moment tout en espionnant un peu les gens présents. Avec un peu de chance, la baleine qui leur servait de juge serait présente et la fée pourrait s'amuser un peu avec elle. Rien qu'à cette perspective, la brune eut un sourire ravi.
La trentenaire s'habilla avec soin. Pour qu'on demandait d'être très bien habillé pour pouvoir entrer dans le casino, la botaniste mit le paquet. C'est ainsi qu'elle se présenta dans une robe de soie noire au décolleté plongeant. Bien évidemment, beaucoup de regards étaient sur elle, mais cela amusa plus la jeune femme qu'autre chose. Qu'ils regardent si cela leur faisait plaisir, ils ne pourraient jamais toucher...
Angélique pénétra à l'intérieur du casino et eut une moue en voyant les éclairages. C'était trop clair... Elle préférait les ambiances plus tamisées... Mais puisqu'il le fallait... Sans attendre, la jeune femme se mêla à la foule et observa l'endroit. Quand une serveuse approcha avec un verre et qu'elle le lui offrit, la fée fit un petit sourire pour la remercier et goûta. La boisson avait la couleur du raison et le goût était très sucré. Il y avait un petit quelque chose à la fin qui lui grattait le palais, mais la botaniste aurait été bien en peine de dire de quoi il s'agissait.
Ceci dit, le verre ne lui fit pas oublier qu'une question revenait souvent dans le coin : nul ne savait qui était le patron de l'établissement. Et celui-ci ne s'était pas montré, ce qui ne faisait qu'entretenir le mystère. Angélique attrapa un autre verre en se disant que le patron correspondait bien au nom qu'il avait donné au casino : il était insaisissable.
C'est la langue baveuse de Pirate qui t'avait réveillée ce matin là, la peluche ambulante était venue se faire une place sous ton bras en gémissant, l'air attendrissant. Tu avais essayé de doucement le repousser mais il était revenu à la charge, couinant de plus belle et te forçant au final à avoir une place dans ton lit. De toute manière, ce n'était pas toi qui faisait le ménage alors bon, si il salissait les draps, ce ne serait pas à toi de les laver. Pauvre colocataire qu'était Alice, il faudrait que tu penses sérieusement à faire quelque chose pour la tirer de cette timidité qui la bouffait lentement, peut être un tatouage pour commencer ? Raven était la personne parfaite pour se débarrasser des balais dans le cul. Tandis que tu souriais, Pirate te poussa lentement vers la gauche histoire de n'avoir le lit que pour lui, résultat, tu t'écrasas sur le sol dans un bruit sourd, une jambe encore enroulée dans les draps que le jeune chien s'empressa de libérer afin que tu sois entièrement au sol. Ça se voyait qu'il te fréquentait... Alice débarqua en hâte ce qui te fit comprendre qu'il ne devait pas être si tard puisqu'elle n'était pas encore partit au boulot. Tu voulus voir l'heure mais ton réveil était inaccessible dans ton état, alors tu te contentas de faire un signe à ta coloc pour qu'elle sache que tu étais toujours en vie. Elle t'aida à te relever et à t'installer sur ton lit, chassant un peu Pirate -qui bizarrement lui obéissait.
-Y mié quelle heuuu ? articulas-tu avec lenteur, le visage plongé dans ton oreiller.
-Six heure.
-Uuuuh bein y 'este p'ein temps pou' domirrrr, avais-tu déclaré en changeant de position, plaçant tes mains sous ton coussin en ruminant nonchalamment.
-Six heure du soir.
Tu te relevas d'un coup, réveillée comme jamais, les yeux exorbités et manquant même de faire tomber la rouquine qui s'était assise dans un coin du lit:
-Pardon ?
Elle rit un peu et Pirate se mit à aboyer gaiement tandis que tu rabattais la couette sur leur tête, filant vers la salle de bain pour te préparer. Tu devinas sans même le voir qu'Alice avait haussé les épaules, il lui arrivait parfois de faire cela en regardant le cabot, comme si elle tentait de communiquer avec lui par la pensée. Tu plissais souvent le regard en voyant cela, jalouse au plus haut point, mais finalement, tu savais que l'animal te préférerait toujours. Il n'était pas ta propriété et d'ailleurs tu avais du mal à l'appeler "ton" chien, mais il était comme un frère, c'était étrange de dire cela et certaines personnes seraient à jamais incapable de le comprendre, mais il arrive parfois qu'un lien merveilleux se créait entre un animal et un Homme et jamais ce lien ne peut être rompu. C'est une sorte d'appartenance mutuelle, plus forte qu'avec un être humain, une relation dans laquelle il est inutile de parler pour savoir ce que l'on pense, ce que l'on ressent. Tu avais sauvé Pirate de la mort et il t'avait rendu la pareil, c'était ce qui avait scellé à jamais ce lien fantastique qui vous unissait. Enfin bref, parlons de la soirée qui allait suivre, c'était l'inoguration du casino de Storybrooke, probablement l'un des plus grands évements non-magique ayant eu lieu, et même si le propriétaire était encore inconnu, l'endroit avait tout pour plaire, la soirée serait très classe et les discutions intéressantes. C'est certain que personne ne finirait bourré à la fin de soirée, mais ça te plaisait de changer de terrain de jeu... Tu relevas les cheveux qui te tombaient devant le visage et t'approchas du miroir, si près que lorsque Pirate se jeta sur tes jambes, tu te pris la surface en pleine tronche. Après avoir réprimé un grognement douloureux, tu te frottas le front puis te tapotas les joues. Bon, la première étape était probablement la douche. Tu te fis couler un bain avec de la mousse, des paillettes, des canards en plastique et tout ce qui pouvait se mettre dedans, puis tu te glissas dans les eaux brûlantes avec un soupir d'aisance. Pirate gratta à la porte, essaya même de l'ouvrir avec ses pattes mais ne parvint à rien puisque tu avais intelligement fermé à clef. La seule et unique fois où il était rentré t'avait servie de leçon... Pour faire court, tu te brossas les dents, mis du déo, passas chez le coiffeur, fis ajuster ta robe dans un même temps, remplis la gamelle de Pirate, te maquillas, t'épilas -episode fort douloureux- et fis plein d'autres choses que tu aurais été dispensée de faire si tu étais un gars. Au final, tu t'étais retrouvée coiffée, maquillée et habillée avec une robe magnfique mais très courte et chaussée de talons noirs qui t'éloignaient du sol. L'on pouvait voir sur tes jambes les multitudes de tatouages qui les décoraient et qui auraient probablement fait s'hérisser les poils roux de Dégout. Quant à Pirate, tu lui avais dessiné des rayures blanches qui devenaient bleues fluos dans le noir et qui le faisaient passer pour un zèbre et un chien vraiment stylé. Tu lui mis une sorte de spray pour faire tenir la peinture, puis tu déclaras avec assurance que vous êtiez prêts. En théorie, les animaux étaient interdits dans les casinos, mais Storybrooke était une petite ville et il laissait apparemment entrer dans le casino les moins fortunés des habitants. Cela ne te faisait pas frémir, en temps que capitaine tu avais l'habitude de cotoyer les gens pauvres -notamment pour t'emparer de ce qu'il leur restait ou pour les faire boire jusqu'à ce qu'ils acceptent de s'engager dans l'équipage. Celle de qui les poils de tête se hérisseraient était sans nul doute Aliénor, tu te demandais même si elle oserait rentrer... Tu remercias ton chauffeur et apparemment camarade de classe avant de descendre pour parcourir les quelques mètres qui te séparaient de l'entrée, tes manières de princesse retrouvées. Heureusement que ta si tendre mère n'était pas là car elle aurait été bien trop contente de voir cela. Depuis que Nightmare avait été plus ou moins chassée, tes changements d'attitude étaient devenus bien plus fréquents et sacadés. Tu commenças à entrer dans le bâtiment, un sourire enjôleur au vigile qui fouilla dans ta pochète d'un air machinal, il commença à lever le bras pour t'indiquer l'entrée quand il aperçu Pirate qui remuait gaiement la queue.
-Les chiens sont interdits.
-Ce n'est pas un chien... C'est un zèbre.
Il n'eut pas l'air amusé du tout, bien au contraire d'ailleurs puisqu'il te demanda en se penchant vers toi:
-Est ce qu'il est écrit idiot sur mon front, mademoiselle ?
Tu pris un air pensif, sortis un feutre de ta pochète puis commenças à rapidement écrire "Idiot" sur le front de l'homme mais il se recula violemment, te faisant rater ton second "i".
-Non mais ça va pas ? Vous avez un problème, heureusement pour vous je rapporterais pas ça au patron !
-Vraiment ? Vous êtes un amour, les animaux de la forêt avec qui j'ai probablement chanté étant enfant vous remercient ! Mais est ce que je pourrais en savoir plus sur ce "patron" ? Il est plus séduisant que vous ? Im-po-ssible.
-Vous me draguez pour savoir qui il est ? Je dois au moins avoir 20 ans de plus que vous !
-Moi ? Nooon, je n'oserais pas. J'aime les hommes d'âge mûr.
Et tandis que tu continuais de sortir tout ce qui te passait par la tête le vigile contacta l'un de ses collègues pour qu'il vienne le remplacer.
-Bonsoir mademoiselle, je vais devoir vous demander de laisser votre chien à l'extérieur.
Tu opinas du chef, puis t'accroupis devant Pirate.
-Bon tu te souviens de ce que je t'ai appris ?Faut mordre là où ça fait mal ! Donc si quelqu'un s'en prend à toi, BIM balayette et tu le mords !
Le jeune chien montra les crocs, l'air menaçant puis aboya joyeusement quand tu le félicitas. Tu pus enfin rentrer, laissant ton camarade aux côtés du vigile peu rassuré. A l'intérieur, tout était très lumineux, tu jetas un coup d'oeil aux machines à oseille qui se trouvaient un peu partout, jetas violemment un petit monsieur dessus et découvris avec malice que quelques pièces, une petite dizaine étaient tombées. Tu te frottas les mains et un sourire mauvais fendit tes lèvres, tout portait à croire que tu allais bien t'amuser... Tu attrapas un verre de substance sur un plâteau brillant et le fis basculer dans ta gorge à la manière d'un shot, appréciant le goût jusqu'à ce que ton palet te gratte un peu. Sûrement l'une de ces fouttues alergies. Tu reposas le verre vide et commenças à déambuler dans les allées comme si tu avais fait ça toute ta vie.
Ça faisait plusieurs semaines que je n'ai pas le mis le pied dehors, car oui, le travail m'a complètement englobé. Je devais me changer les idées. Sinon, je peux devenir dingue. Mon projet de déco pour une cliente est enfin clos. J'ai pu voir un prospectus sur le bar de la cuisine, qui annonce l'ouverture de ''linsaisissable'', un casino qui ouvre ses portes dans la ville. Et nous pouvons y aller seul où accompagner. Mais vu que Christopher est de garde à la caserne et les enfants sont chez leur tante. Je décide d'y aller. Par chance, je vais pouvoir mettre une combinaison noire et turquoise qui met ce qu'il faut en valeur. Mon époux ne s'est pas gêné pour apprécier ce que je porte. J'adore lui plaire en plus. Bon trêve de chichis, après être apprêté comme il se doit pour la soirée, je me rends au lieu de rendez vous. Je m'y rend à pied ; on entend la musique de l'intérieur, il y a déjà du monde qui est arriver. Je sens que ça va être intéressant de nouvelles rencontres. Les portes s'ouvrent sur une magnifique salle spacieuse où se trouvent différentes machines monétaires. Ça va être intéressant.
Une question se brûlait sur mes lèvres, enfin je pense que c'est pareil pour tout le monde présent dans ce lieu : Qui est le patron de ce Casino.
Des garçons de salle nous offrent un verre de bienvenu de couleur raison, au premier abord, je ne trouve pas ça très classe mais c'est surprenant. Je bois une longue gorgée de ce breuvage qui est très sucré. C'est bon mais ça gratte à la gorge par la suite.
Je pris le temps d'observer le monde qui est présent, tout en me demandant qui est le patron de cette établissement car niveau décoration, c'est à revoir, enfin c'est ce qu'une décoratrice d'intérieur comme moi pense.
Dyson R. Parr
« Cours Dydy, cours ! »
| Crédits :Eilyam | Avatar : Tom Holland
| Métier : Aventurier, super-héros, en contrat de libraire chez Alexis et vendeur de chocolat chez Aster... et surfeur parfois
| Conte :Les Indestructibles | Dans le monde des contes, je suis :Dashiell Robert "Dash" Parr
La coalition se forme pour trouver à Aster son véritable amour
| Autres Personnalités :Icare J. Skellington - Léon Adonis - Ahsoka Tano
C'était à ce moment que ma vie avait pris un tournant imprévisible. Ma maison devenue quasiment un hôtel, la perte de Lily dans les sombres infinies de son esprit, les souvenirs du passé, cette sensation de vide, de manque, ajoutée à un trop plein d'émotions.
On était revenu de Wasteland la veille, et plus rien n'était comme avant. Le fait de vivre désormais à presque une dizaine avait ses avantages, j'avais des personnes responsables (plus ou moins) à la maison pour s'occuper de Lukas, plus tôt que de le laisser avec cette peluche. Mais la situation m'arrangeait davantage puisque Derek et Duncan n'avaient pas répondu aux multiples appels que je lançais depuis le matin pour leur demander de venir cherche mon fils, alors qu'il ne me fallait habituellement pas plus de quelques secondes pour que l'un d'entre eux ne décroche.
C'était pourquoi j'avais besoin qu'on s'occupe de Lukas aujourd'hui, le héros de la veille qui nous avait sauvé ainsi qu'un monde tout entier. J'avais annulé chacune des choses que j'avais à faire aujourd'hui, du prévenir Park et Ava que je ne pourrai pas les voir aujourd'hui (Park avait en plus du repos à prendre pour le combat qu'elle a du mener dans le Monde de la Désolation). Me voilà à la recherche des deux têtes rousses alors que j'étais grandement épuisé, puisque même leur sœur ne semblait savoir où ils étaient.
Après avoir fait escale dans la demeure de Lily pour prévenir sa nouvelle colocataire de son état, me voilà dans la ville, sans savoir réellement ce que je cherchais, avant d'avoir la puce à l'oreille : Cet immense chantier, que je n'avais pas vu avant notre voyage à Wasteland. Aucune signalisation, un chantier assez grand qui n'annonçait encore rien, caché derrière de grandes bâches et barrières.
Un murmure. Deux rires. Je les avais trouvé. Poussant un soupir, je passai les barrières, ce qui était supposé interdit, et passa derrière les bâches pour voir Derek et Duncan devant une bâtisse bien avancée en construction qui m'impressionna.
Mais qu'est-ce que vous faites la ?! Vous n'avez pas le droit d'être ici ! Réprimandai-je doucement.
Salut Dyson ! Mais t'étais passé où la semaine dernière ? Tu as vu ça ? C'est énorme !
Rentrez tout de suite ! Il faut arrêter d'enfreindre la loi vous deux !
Les rouquins grommelèrent mais obtempérèrent, et sortir finalement du chantier. Je m'apprêtai à les suivre, lorsque...
Oh je ne m'attendais pas à voir du monde !
Je me tournai pour apercevoir un homme, à peine plus jeune que moi, barbu, avec un sourire qui se rapprochait de celui de la malice.
Vous... êtes le patron de ce chantier ?
Je vis à son expression qu'il cherchait une excuse pour se justifier quant à sa présence.
Oh euh non, je voulais... savoir ce que c'était... Et vous avez trouvé ?
Ce sourire, encore.
C'est un futur casino ! Quelqu'un veut imiter Las Vegas, et le ramener à Storybrooke ! Vous vous rendez compte ? Un casino dans un monde magique... Je suis sur qu'il aura le pouvoir de... Changer des vies !
Aujourd'hui
Je me retournai une dernière fois vers les jumeaux, tandis qu'il me hurlait pour la centième fois de relâcher prise, qu'ils s'occupaient de tout. Ce qui m'inquiétait justement. Ils reprirent alors la route vers les alentours de la ville où ma nouvelle maison, bien plus grande et plus adaptée à cette nouvelle vie, les attendait.
Je regardai en haussant les sourcils ma tenue. Assez classe et tout à fait appropriée pour ce genre d'endroit, ce sont les paroles de Duncan qui m'avaient surpris lorsque lui et son frère me l'avait offerte.
De base on te l'a acheté pour ta tenue de cercueil (on est jamais trop prudent, on peut mourir n'importe quand, et vaut mieux être classe pour l'enterrement), mais j'suis sur qu'elle t'ira bien pour L'Insaisissable, et puis si tu y meurs, t'es habillé pour !
J'entrai donc dans l'établissement au patron mystérieux qui était sur les lèvres de chacun. Un forte musique assez festive, beaucoup de monde, autant que de lumière et plus encore de jeux destinés à s'enrichir d'avantages avec vos richesses qu'ils ne vous enrichiront avec les leurs.
En regardant amusé le chien zébré près du garde de sécurité, j'étais entré en cherchant d'abord cet homme dont je ne connaissais pas le nom qui m'avait invité à venir à l'inauguration, pour avoir découvert le chantier ensemble (même si c'était les jumeaux qui l'avaient fait).
On m'offrit une boisson à la couleur amusante qui était dans les mains de tout le monde. J'accepta alors. Le goût était sympa, mais était-ce la boisson qui me grattait tant le palais ?
J'entendis une voix familière, qui me fit grandement sourire lorsque je vis à qui appartenait la voix.
Mademoiselle Tom ! Je suis vraiment content que tu ailles mieux. Ça va ?
J'oubliai la question "Je risque une nouvelle tentative d'assassinat de la part de Dark-Lily ou elle est définitivement partie ?"
Un grand écran de tissu s'abaissait alors au fond de la salle, la musique s'interrompit, une lumière s'alluma derrière l'écran laissant apparaître la silhouette d'un homme, bras ouverts.
[b]Bonjour à tous ! Je ne me présente pas, je suis bien trop excité à l'idée que mon identité vous fasse autant de mystère ! Bienvenue à L'INSAISISSABLE ! La part de Las Vegas directement à Storybrooke, chers habitants venus d'ailleurs ! Je vous ai promit un spectacle n'est-ce pas ? Époustouflant et incroyable. J'ai également promis aux membres d'un regroupement secret du nom de la Fleur Rouge qu'ils reverraient leurs arbres... Vous êtes partants pour un spectacle exotique ?! 1, 2, 3, SPECTACLE !
Alors que plusieurs personnes semblaient choquées que l'individu connaisse, d'après ce que je compris des murmures, l'existence de cette "Fleur Rouge", l'établissement entier trembla. Un mal de tête intense m'envahit, et au vu de toutes les personnes présentes, ce fut le cas de chacun. Un coup d'œil dehors pour voir des flammes entourer le terrain de l'extérieur. Le chien zébré aboya de plus belle avant que toutes les lumières ne s'éteignent.
Puis plus rien...
Alors les premiers cris. Les aboiements du chien se dirigeait vers une tout autre chose.
Des arbres. Que des arbres. Une jungle. Le casino, avait atterri dans une jungle.
Le spectacle avait commencé.
Dans la jungle en tenue de soirée ça va être folklo... soupirai-je, exaspéré par ce nouveau voyage imprévu. Pitié pas encore...
Le propriétaire du casino apparut au bout d'un moment. Enfin... Sa voix. Lui continuait de se cacher, ce qui agaça Angélique. La blague était marrante cinq minutes, mais au bout d'un temps, il fallait arrêter là. Mais non. Ce mec aimait beaucoup les mystères... Et si la fée devait reconnaître que certaines fois, être mystérieux c'était ce qu'il fallait faire, là, elle trouvait plus irritant qu'autre chose. À croire qu'il leur préparait un mauvais coup...
La Fleur Rouge ? Jungle ? C'était quoi ces idioties encore ? Angélique le découvrit assez rapidement et d'une façon peu commune. Le casino trembla et elle eut soudain mal, mais très mal à la tête. Aboiements, flammes au dehors. Et puis le silence. Complet. Puis soudain, la cacophonie reprit. Les gens se mirent à crier et la fée remarqua qu'ils avaient changé de décor. Ils étaient dans une jungle à présent. Certains tentèrent d'aller là où se tenait l'homme avant ce voyage improvisé mais il avait disparu. Logique, il n'allait pas rester là à les attendre alors qu'il risquait de se faire lyncher n'est-ce pas ?
Beaucoup ne savaient pas quoi faire. Certains déambulèrent dans le casino, mais la plupart des invités allèrent dans la jungle. Bande d'abrutis... Angélique secoua la tête, navrée de tant de stupidité. Ils étaient tous destinés à mourir avec une telle attitude. Au moins, cela ferait de la place à Storybrooke, ça n'était peut-être pas si mal que cela après tout... La brune remarqua qu'ils étaient quelques uns à ne pas bouger. Elle entendit même le seul homme immobile à regretter d'avoir cette tenue. Encore, pour lui ça allait... Mais elle, elle était en robe et talons hauts. Heureusement que sa robe était légèrement fendue, ça serait plus pratique.
Pendant que tout le monde s'obstinait à faire n'importe quoi, la brune décida d'explorer le casino. Elle aurait pu aller dans la jungle ou se rapprocher du bruit énorme qui avait retentit plutôt, mais la fée préférait commencer par le casino. Ils seraient sans doute un peu plus en sécurité ici qu'ailleurs pour le moment.... Aussi déambula-t-elle dans les différentes salles. La salle de jeux, les bureaux, réserves et cabines à l'arrière... Rien de bien intéressant pour le moment. Jusqu'à ce qu'elle aille là où le propriétaire s'était tenu. En se penchant un peu, Angélique remarqua une trappe. Avec effort, elle la souleva et découvrit un escalier.
- Intéressant... Murmura-t-elle.
Sans doute était-ce par là que le lâche s'était enfui...
Alors que tu allais répondre à la question que Monsieur Dyson te posait, une voix retentit dans le casino: celle du mongole qui cachait son identité. Soit, tu respectais cela. Tu n'écoutais que d'une oreille, étant partie à la recherche d'un potentiel cuisinier. C'est que tu commençais à avoir soif et la boisson qui grattait le palais te tapait sur les nerfs. Tu saisis une sorte de petit récipient qui se trouvait dans les mains d'une espèce de serveur et tu attrapas une cuillère sur une table.
-Je vous déconseille de faire ça ! C'est du vinaigre pour laver le sol !
Tu fourras une cuillère du liquide dans ta bouche en observant le serveur d'un air malicieux, l'air de dire "regarde moi un peu faire". Puis, comme si ça ne suffisait pas, tu pris une deuxième cuillère.
-C'est bien du vinaigre !
Le serveur leva les yeux en l'air avant de se tourner pour partir quand soudain, le sol trembla et un foutu mal de tête qui allait de pair avec tes allergies te prit. Tu t'appuyas sur l'une des nombreuses machines, ballottée dans tous les sens pendant quelques longues secondes. Ton verre de vinaigre se renversa sur l'employé qui ne s'en rendrait probablement pas immédiatement compte, ce qui te laissait le temps de fuir. Dès que les secousses s'arrêtèrent, tu repris un peu tes esprits, puis tu partis avec une serviette sur la tête afin que l'on ne puisse pas te reconnaître... Tes tatouages étaient encore violets de peur et Pirate aboyait comme un fou, tu rebroussas la foule, te jurant de coller une droite à quiconque lui marcherait dessus. C'était le bordel total, les gens criaient et couraient dans tous les sens ce qui te donnait encore plus envie de leur mettre des claques. Tu refoulas tes instincts pour le bien de tous et tu pus enfin rejoindre Pirate qui était accompagné de Monsieur Dyson et autres petits personnages inconnus. Alors que le jeune homme pensait sûrement que tu allais venir lui parler, tu te mis à genoux devant Pirate que tu caressas doucement avant de le prendre dans tes bras en chuchotant:
-Calme toi mon gars, c'est juste une jungle.
Tu te relevas ensuite, saluas les autres personnes présentes et partis évaluer la situation. Tu avais du mal à comprendre pourquoi est ce que tout le monde criait, c'était plutôt fun en fait. Tout le monde se pressait aux mêmes endroits, et puisque tu n'étais pas un mouton, tu décidas d'aller voir ce qui se tramait à l'exact opposé, et ça promettait d'être intéressant puisqu'une espèce de bruit venait de là-bas. Ça avait quand même pas l'air d'être la porte d'à côté... Tu lanças un coup d’œil complice à Pirate, puis tu lui demandas avec malice:
-Ça te botterait d'être une mule ?
Il aboya, ce que tu pris pour un oui avant d'aller chercher un sac dans les affaires qui avaient été laissées à l'entrée. Et comme tu t'y attendais, tu trouvas très rapidement. Bon, manquait plus qu'à y mettre de la nourriture et vous seriez parés pour le départ. Tu y fourras quelques gâteaux apéros, des verres de boisson qui gratte que tu calas comme tu pu. Et tu étais fin prête, de plus, Pirate était tout content avec son sac sur le dos. Juste avant de partir, tu sortis une petite fiole de paillettes d'on ne sait où et tu saupoudras le jeune chien avec.
-Voilà, t'es comme le Petit Poucet maintenant, sauf que toi tu sèmes des paillettes. C'est pas comestible apparemment et c'est quand même plus classe.
Tu posas une main sur ta hanche, tendis l'autre vers le chemin que tu allais suivre et déclaras avec confiance:
-Qui m'aime me suive !
Et sans même te retourner -ç'aurait pu être humiliant- tu partis devant, contournant le casino pour ensuite avancer sur un terrain rocailleux -chose dont tu fus incapable avant d'avoir enlevé tes talons, heureusement, ta pédicure était parfaite.
Moi qui espérais passé un bonne soirée, c'est chose faite, boisson à volonté et buffet. Il y avait quand même du monde à cette soirée d'inauguration. A un moment où on commençait à l'attendre vraiment l'étrange propriétaire apparu enfin sa silhouette derrière. Un amas de groupie se rua vers l'écran, levant les yeux aux ciel, j'écoute le discours de cet étrange individu. Pourquoi se cacher derrière un écran déjà ? Il a honte de lui où quoi?
Fleurs rouges??? Mais qu'est-ce que c'est que son charabia, mon instinct de lionne me signale qu'il se trame quelque chose de pas très net par ici.. Ce qui ne trompa pas. Tout l'établissement tremble de toute part, c'est quoi ce bordel ! Je me retiens au mur pour pas tomber, une migraine horrible se fit ressentir. Je n'ai jamais eu autant mal au crâne comme ça... je me glissa contre le mur pour m'asseoir en mettant ma tête dans mes mains pour faire passer ce mal de tête.
-Bordel....
Il se passe rapidement qu'il est venu, j'entends des bruits d'animaux à l'extérieur, les personnes présentes dans la pièce paniquèrent et sortir. Il ne restait que quelques personnes, donc je vis une femme se diriger derrière l'écran.
-Bon aller on va fouiller les parages. Faites attention à vous les autres !! et pour préciser je me nomme Jillian Annonçais-je au groupe avant que je sorte dans la forêt. Oui la forêt, nous avons attéri dans une forêt. Je n'aime pas du tout ça.. Au loin, je vis un groupe s'enfoncer dans la forêt, je décide de les suivre, bon avec des talons c'est pas top mais heureusement que j'ai mes chaussures de rechange dans mon sac à main, oui des chaussures à talons c'est pas top, Des baskets basses rah je m'aimes parfois. Même tête fonceuse, je prévois quand même, mon beau frère serait fier de moi. Bon je commence à m'enfoncer dans la forêt pour les suivre, jusqu'à ce que je tombe sur des traces assez récentes.
-Qu'est-ce.. bon allons par ici... Pour finir, je commence à suivre les traces de bas, il fait beau mais vu le feuillage, c'est plutôt sombre. Dans quoi je me suis embarquer.
Mais qui m’a foutue une erreur de la nature pareille ! Elle m’énerve !
« LIIIIIIIIILAS »
J’ouvre la porte de ma chambre en trombe, l’eau ruisselant encore sur mon visage et mes cheveux encore trempés -ne vous faites pas d’idées, je suis enroulée dans une serviette bande de dégoutants- avant de me rendre à grande enjambées jusqu’à la chambre de ma demi-sœur et pousse la porte d’un coup de pied avant de m’approcher de l’adolescente à la crinière de feu :
« Qu’est-ce-que t’as à crier comme ça ?
- Où est mon lait pour le corps aux fleurs ?!
- Mais j’en sais rien moi !
- Arrête de te foutre de moi ! »
Je commence à retourner toute sa chambre avant de finalement tomber sur une bouteille violette avec une fleur dessinée dessus. Je m’en saisis avant de la jeter sur la tête de ma demi-sœur :
« Et ça c’est quoi ?!! Tu fais chier Lilas ! »
Je m’empara de la bouteille vide avant de sortir de sa chambre et de retourner dans ma salle de bain, fermant la porte à clé. Je haïssais mon père pour avoir épouser cette dégénérée et que je doive désormais me trimballer cette salle gamine. Je m’habilla d’un jean noir, d’un chemisier blanc et d’une paire de bottes à talons noires et sèche mes cheveux avant de les coiffer en un chignon haut et alors que je sors de ma salle de bain, maquillée très simplement, je tombe sur le journal que papa a déposé sur mon lit. Un casino avait ouvert ses portes à Storybrooke ? Il promettait Las Vegas ? Eh bien, j’avais hâte de voir ça.
La journée passa rapidement et vins enfin l’heure de se rendre au dit casino. Après une bonne douche chaude, je me sèche et enfile ma nouvelle robe et me coiffe rapidement avant de mettre mes chaussures à talons. Voilà, j’étais parée pour la soirée.
« Eh ! Tu vas où ? »
Je me retourne, fronçant les sourcils avant de voir la tête de Lilas sortant de l’entrebaillement de sa porte. Je lui lance un regard noir avant de descendre les marches :
« Là où j’ai pas envie que tu viennes et puis j’ai pas de comptes à t’rendre toute façon. »
Je claque des doigts et la porte de ma chambre se ferma dans un claquement avant que la clé tourne toute seule. Arrivée en bas, je leva le regard vers la rouquine qui me regardait d’en haut :
« T’as pas intérêt à tenter d’entrer dans ma chambre sinon je le saurais. Salut ! »
Je posa mon regard sur mon père qui se trouvait dans le salon et foudroya du regard ma belle-mère avant de quitter la maison familiale. J’arriva un quart d’heure plus tard au Casino et entra à l’intérieur. Je souris. La salle est grande, lumineuse, La musique est même divertissante et donne envie de danser mais il est hors de question que je danse. Je commençais à marcher un peu, regardant les gens autour de moi et me demanda bien qui pouvait être le patron de ce grand casino. Un serveur vint vers moi avant de me tendre un verre d’une boisson pétillante à la couleur raisin. Je m’en saisis, et en but une gorgée. Le goût n’était pas mal mais ça piquait un peu le palais.
Espérons juste que la soirée ne soit pas comme cela tout le temps parce que même si y’a de la bonne musique, ça suffisait pas pour me faire passer une bonne soirée. Je dois avouer que la boîte de nuit de Magix commençait à me manquer. Moi qui pensait que la soirée serait presque tranquille, je m’étais tout simplement plantée parce que le fameux patron venait d’apparaître, tout du moins son ombre et apparemment, il préparait un mauvais coup. Que le spectacle commence ? Les flammes dehors ne me disaient rien qui vaille et je me sentis soudain vraiment très mal, ma tête tournait et puis ce fut le noir, les lumières s’étaient éteintes, je savais qu’on était dans la mierda mais je savais pas encore jusqu’à combien de degrès. Je ne connaissais personne mais je suis sûre que ça viendrait vite.
Je compris rapidement en regardant dehors qu’on était dans la jungle. Un homme brun ironisa sur le fait qu’on se retrouvait tous en tenues de soirées dans la jungle et que ça allait être très folklo :
« Je vous le fais pas dire. »
Ma robe allait en prendre un sacré coup. Néanmoins voyant que la plupart des gens partaient en courant comme des gros flippés de la vie, je resta avec un petit groupe dont l’homme brun faisait partie et il y avait même un chjen déguisé en zèbres. Je me demandais si ici mes pouvoirs fonctionnerait. Néanmoins en voyant les autres partirent et en entendant du bruit au fond du casino, je me hâta de chercher de quoi tenir le coup, à manger et voir à boire, après tout y’avais tout ça dans le casino et me hâta de suivre l’homme brun et une autre jeune femme qui eux aussi allaient vers le bruit en question.
Il fait beau, la voie devant nous est rocailleuse. Tandis que je marche toujours avec mes chaussures à talons, ce qui n’est pas le meilleur moyen, surtout dans ces conditions, je remarque rapidement que les cailloux tremblent, que des feuilles s’agitent légèrement mais il y a-t-il du vent ? Je ne sens rien… La voie monte en colline, on grimpe donc et une fois arrivés en haut, je remarque tout comme les deux autres ce qui nous attends, une sacrée randonnée. Toute la montagne est à descendre avec une rivière au loin et…de la fumée ? Mais…il n’y a pas de fumée sans feux n’est ce pas ?
Je serais sans doute plus utile sous ma forme féérique, juste au cas où.
« Enchantix ! »
Et très rapidement, je pu m’envoler tout en restant aux côtés des deux autres.
« Je serais plus utile sous cette forme là, juste au cas où. »
Le chien zébré se mis à aboyer avec que l’homme brun ne se retourne et ne me regarde, surpris :
« Oh…Parfait ! »
Je souris avant de finir par me présenter :
« Oh fait, je m’appelle Ste…euh Lena. - Moi c'est Dyson, voici Lily et le zèbre, enfin le chien c'est Pirate. - Heureuse de vous connaître. »