« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
| | | Will you still be with me when the magic’s all run out ? | |
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________________________________________ 2015-11-14, 10:12 |
| Leigh & Absinthe Will you still be with me when the magic’s all run out ? Ce soire nous allions fêtes noël au bal Leigh et moi. Ce n'était pas exactement le jour de noël bien évidemment sinon je l'aurais passer chez moi avec ma famille. Leigh et notre fils. En tout cas avec eux principalement. Bien sûr, nous allions aussi passer cette événement avec les Wonderlandiens. Nous étions une très grande famille au final. On arrivais à s'entendre très bien les un et les autres. Ou en tout cas, on essayait. Ce qui état le cas avec Alice. J'avais toujours du mal à supporter la chose mais je devais faire quand même un effort pour Leigh. Je savais qu'au fond l'autre blonde était très importante pour lui. Et puis je voyais bien aussi qu'Alice aussi faisait des efforts envers moi. Mais si je pouvais rester assez éloigné d'elle pour pas que l'on se crêpe le chignon, ce n'était pas de refus ! Mais maintenant Niamh aussi compter. Lui aussi adorait sa tante Alice. Ma famille était contre moi, je vous jure.
On pouvait tous de même dire que l'on était heureux ensemble. Malgré les énormes difficultés, que l'on avait pu rencontrer Leigh et moi au début de notre relation, nous étions ensemble désormais. Et l'on profitait de chaque instant. Dès que je me trouvais en ça compagnie, je n'étais plus menacer. Et heureusement parce que je ne sais pas comment j'aurais fait quand j'étais tombé enceinte. Cela faisait longtemps que nous étions ensemble maintenant. Environ dix ans en faîte. Mais nous nous étions toujours pas marier. De toute manière le mariage ce n'était pas trop pour moi et je pense que c'est le cas pour Leigh. Bien sûr s'il me demande ma main, j'accepterais avec joie ! Mais s'il ne me la demande pas, cela ne me dérangerais pas plus. De toute manière pas besoins d'être marier pour prouver que nous nous aimions, et pour le montrer devant tout le monde. Pour moi le mariage n'était pas important du tout. Et puis comme cela, nous avions pas besoins d'organiser quoi que ce soit. On pouvait garder cet argent pour satisfaire le besoins de notre fils et celui de notre futur deuxième enfant.
Et oui car j'étais de nouveau enceinte. J'étais déjà bien avancer dans ma grossesses. J'étais déjà au dernier mois dans quelques jours et je pouvais clairement dire avec fierté que j'attendais une nouvelle fois un petit garçon. Quand j'avais appris la bonne nouvelle à Leigh et Niamh, , les deux hommes de ma vie avaient explosé de joie. Niamh, ce voyait déjà grand-frère, du haut de ses quatre ans. C'était une jeune garçon très intelligent pour son âge. Il devait tenir ça de moi ! Non mais il était vraie que le petit avait pris plus côté maternelle que paternelle. En tout cas pour le niveau physique. Après niveau mental, il n'y avait aucun doute qu'il avait pris plus du côté de Leigh. D'ailleurs, nous avions plus voire à plusieurs reprise, qu'il avait hérité du système immunitaire de son père ! Et heureusement pour lui. J'étais plutôt soulager de ce côté là, je n'avais à me faire de soucis. La drogue ne marchera pas sur lui. Toute mère rêverais de ça non ? Que tous se qui concernent, l’alcool, la drogue ne peut pas toucher son enfant !
Enfin, ce soir Leigh m'avait invité au bal qu'organisait la maire de la ville. Nous allions pouvoir profiter d'une soirée seul tous les deux. La nourrice de Niamh pouvait le garder ce soir là. Parce que oui Niamh avait un nourrice comme attitré. Elle était extrêmement gentille. J'avais plutôt été assez exigeante lors de la sélection. Je n'allais pas confié mon bébé à n'importe qui quand même. Et puis comme, nous étions plutôt occuper avec nos boulots à Leigh et moi, nous ne pouvions pas toujours aller chercher le petit à l'école. Bien sûr on se rattrapait quand même sur nos temps libre. Je savais que cela ne devait pas être facile pour Niahm. Mais au moins il aimé vraiment Kathryn, sa nourrice. Ils se connaissaient plutôt bien maintenant tous les deux. Et à chaque que je le retrouvais quand je rentrais du travail, il me racontait toujours enjouée, la journée qu'il avait passé avec Kathryn. Et du coup, quand je l'avais prévenue que ce soir nous ne serions pas là son père et moi et que justement se serait sa nourrice qu'il allait le garder, il n'avait rien dit et était même presser de voir la jeune femme pour pouvoir jouer avec elle.
Du coup, quand j'étais sûr que quelqu'un pouvez garder le petit, j'avais bien évidement accepter la proposition de Leigh. Même si j'avais réfléchis à sens doute faire une autre sortie puisque j'avais pas très envie de venir un robe alors que j'avais un énorme ventre ! Mais bon, ce n'était pas si grave si les gens voyaient que j'étais enceinte ? Et je pourrais un peu me changer les idées parce qu'une grossesses fatigue énormément quand même. Et en ce moment j'avais les hormones qui aimaient bien jouait avec mes sentiments. J'étais un vraie ascenseur émotionnelle. Je ne savais pas parfois comment Leigh pouvait encore me supporter tellement je devais être chiante. Mais bon cela faisait longtemps que nous avions pas passer une soirée tous les deux. Une vraie soirée je veux dire, où l'on sortait. Parce que rester ensemble le soire sur le canapé, n'était pas vraiment une soirée. Oui, j'aimais aussi quand on restait que tous les deux pendants que Niahm dormait. C'était reposant après une dure journée de travail. Et puis on était tranquille au moins. Mais sortir de temps en temps cela aussi ne faisait pas de mal. J'avais donc attendue la soirée avec impatiente. Je me rappelais encore de notre premier bal. A la base, nous n'étions pas vraiment sensé se rencontrer, puisque d'ailleurs on était plutôt entrain de s'éviter à ce moment là. On avait pas eu le rituelle de demander si la personne voulait bien être notre cavalier ou cavalière. Mais c'était – je pense – la partie de notre vie la plus dure, la plus mouvementé. Et je n'avais pas trop envie d'y penser ce soir. Il valait mieux penser au moment présent pour l'instant. J'avais ressortie une robe que j'avais pas mis depuis également très longtemps. Une simple robe blanche longue jusqu'au sol avec un peu de noirs. J'avais laissé mes cheveux détacher les rebouclant un peu pour leur donner un peu plus de forme. J'avais rajouté quelques bijoux simples et pour le maquillage j'avais fait un très d'eye-liner juste au dessus pour faire ressortir la couleur de mes yeux et juste un rouge à lèvre léger pur les lèvres.Au bout de quelques minutes – en tout cas pour moi – j'avais fini de me préparer. J'enfilais juste mes escarpins noirs et pis un foulard avec moi. Je sortais enfin de la chambre pour aller rejoindre mon compagnons. Je me stoppais juste à l'entrée du salon voyant Niahm qui s'amuser avec son père et Kathryn qui était déjà arriver. C'est sans doute un peu clicher, mais je ne pouvais pas m'empêcher de les regarder au niveau du cadre de la porte. Ils étaient tellement mignon ensemble. J'aimais bien parfois observer les deux garçons dans l'ombre. Mais cette fois l'observation ne dura pas très longtemps. Très vite Niahm m'avait vue et courait déjà vers moi pour me sauter dans les bras.
« Tu es belle maman ! » me dit-il une fois dans mes bras alors qui jouait déjà avec le collier que je portais ou mes cheveux. « Merci mon chéri ! » Pour le remercier complètement, je lui faisait plein de bisous sur le visage pour l'embêter. Très vite il me demanda d'arrêter ce que je fis en rigolant. Il savait que j'aimais bien le cher en lui faisant ce genre de bisous. D'ailleurs, il rigolait lui aussi ! Je le reposais au sol, et il se remit à courir pour retrouver la place qu'il avait il n'y a que quelques minutes et continuer se qu'il était entrain de faire. Cette fois ce fut à l'autre homme de la maison de se dirigeais vers moi.
« Tu n'es pas mal non plus ! Mais tu es sûr que je ne ressemble vraiment pas à un éléphant ? » Lui demandais-je en lui replacent correctement sa chemise et sa veste. J'aimais bien lui demandé se genre de chose pour le charrier. J'aimais mon ventre et malgré que le fait que du coup j'avais grossis, je me trouvais toujours assez belle. Je m'approchais de mon visage du siens avant de coller mes lèvres au siennes furtivement pour le remercier avant de partir tout aussi vite. Je me dirigeais vers Kathryn pour lui dire bonjour. Je n'avais pas besoins de tout lui rappeler cela faisait assez longtemps qu'elle connaissait ce qu'elle devait faire, la maison et surtout Niahm. Je pris une dernière fois, pour la soirée mon bébé dans les bras lui faisait un énorme bisous. Tellement longtemps qu'il fini encore une fois par me repousser. Après que lui m’ait fait aussi un câlin, on pouvait partir. Leigh avait aussi dit au revoir à notre fils pendant que j'étais partie chercher mon sac.
On pouvait partir maintenant. code by Silver Lungs |
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________________________________________ 2015-11-17, 01:29 |
| 2018 : Chess and D-Rabbit December était devant moi, me tournant le dos. Elle s'était arrêtée soudainement, sans prévenir. Nous n'étions pas à Storybrook, et je ne savais pas comment c'était possible. Je n'étais pas seul, nous ne l'étions pas."Décembre mais...mais qu'est-ce que tu as foutu?" pestais-je en croisant les bras sur mon torse. Je soupirais, voyant qu'elle n'avait toujours aucune réaction. Je m'avançais pour être à son niveau, répétant ma question. Elle prit mon visage entre son pouce et son index pour me faire tourner la tête vers...
"Ho non de... Qu'est-ce que..."
Wonderland.
Je ne savais pas que c'était possible, je n'y comprenais rien, je ne cherchais pas à comprendre. Nous étions à Wonderland, mais pas dans une partie que je connaissais. Le Wonderland où nous habitions n'était qu'une petite partie du monde dans lequel nous vivions. Devant nous une vaste plaine s'étendait, une plaine qu'il faudrait traverser. Je soupirais, voyant de l'autre côté, une Décembre...aux cheveux noirs comme ceux d'un corbeau, au teint blafard et aux yeux rouges sangs. Elle était sous sa forme humaine, abordant une longue robe noire. Blanc, la couleur préférée de Decy c'était le blanc, j'en mettrais ma main à couper.
"Décembre tu peux m'expliquer ce qu'il se passe?"
Je m'étais tourné vers une femme brune qui semblait émerveillée par le lieu quand je vis qu'elle allait se diriger droit sur la pelouse ressemblant à un plateau d'échec géant.
"Qu'est-ce que vous fouttez?"
Elle me regarda, fronçant les sourcils.
"Ben je visite...vous savez, j'ai déjà été dans l'espace..." "Nous sommes à Wonderland." "Pff et alors? C'est une raison pour rester planter là et attendre? Il y a des pions sur le plateau!"
Des pions. Je tournais la tête vers le plateau, effectivement, il y avait des pions. Des pions d'échec, nous venions d'engager une partie d'échecs...avec une dark Decy a laquelle je ne faisais pas confiance.
"Tic toc...l'heure tourne mes lapins, vous ne voudriez pas qu'il arrive quelque chose à cet homme?"
Ha...le mec qui s'était fait droguer. Je vis le visage de décembre, la vraie, celle qui était blanche, virée au rouge sous le coup de la colère. J'entendais sa respiration devenir bruyante.
"Touche l'et tu vas voir à quel point je peux être dangereuse ! Tu laisses Théo Bordel ! Tu le relaches ! C'est MON Viking !" Je soupirais en voyant Décembre s'avancer sur le terrain et lancer la partie. Cette fille était une bombe lorsqu'elle explosait, et je voyais bien qu'il ne fallait pas grand-chose pour qu'elle explose. Nous devions rejoindre ce Viking, trouver le chapeau de Jefferson et rentrer.
*.* Je ne sentais plus mon épaule, je ne sentais même plus la douleur tant mon corps avait souffert. Décembre semblait également fatiguée, et ledit Théo se trouvait devant nous, allongé à coté du chapeau, face au miroir. Lorsque le regard de décembre se posa sur celui du Viking, je vis ses yeux paniqués soudainement. Il ne bougeait pas, il était inconscient. La lapine se mis à secouer vigoureusement le Viking, l'assommant de mot débiter à la vitesse de la lumière. Je voyais son regard paniqué, ses yeux qui semblaient retenir des larmes. Et puis je le vis bouger de lui-même, juste un peu, attrapant la main de décembre et mettant le chapeau dû du chapelier dedans. Il avait réussi, nous étions débarrassées de Dark décembre, quoique je craignisse que la santé de décembre en soi. Il allait falloie que je la surveille. Et puis... Et puis peut-être que quelqu'un d'autre le fera à ma place. Décembre activa le chapeau et nous étions revenu dans la forêt de Storybrook. Je soupirais de soulagement en voyant ce paysage familier. Wonderland était très bien mais je m'étais habitué à ma vie ici, et à ce corps d'homme.
*.* Je sors de l’hôpital, une longue semaine s'était écoulée depuis ce passage à Wonderland. Je ne rentrai pas chez moi ce soir, j’irai plutôt chez absinthe, elle devait terminer tard ce soir, ces derniers jours à Storybrook s'étaient vu particulièrement mouvementés. Je ne parle pas seulement des nombreux va-et-vient à l’hôpital, il se passait quelque chose dehors. Ragnarok, Apocalypse, je ne m'en souciais pas, je savais que le Justice Ligue allait faire son boulot...oui sans moi. Parce que je l'avais rejointe il y a quelque temps, secrètement bien entendu. Ce qui demandait parfois de disparaître plusieurs heures ou jours de la circulation, Absinthe me le faisait remarquer à chaque fois, cette mauvaise manie de disparaître sans prévenir certaines fois, et de réapparaître.
Parfois je rendais simplement de courtes visite à Alice. Et son... Luke. Le chat n'avait pas tort. J'avouai qu'il était gentil, mais il ne correspondait pas à Alice. Je lui avais dit une fois, elle n'avait pas voulu m'entendre. Je ne savais rien, je ne comprenais rien. Pourtant je n'avais pas l'impression qu'elle soit aussi vivante que quand elle était avec Sirrus.
2021 « J'ai quelque chose d'important à te dire. » J'avais relevé mon nez du livre pour plonger mon regard dans celui d'absinthe. Elle avait l'air parfaitement sérieuse, trop peu être. On était ensemble depuis six ans, j'avais gardé mon petit appartement même si je ne m'y rendais de moins en moins souvent. Absinthe le savait ça, que j'avais besoin de cette indépendance. Qu'est-ce que j'avais fait de mal cette fois, qu'est-ce que j'avais fait tout court ? Je posais mon livre et me levai, ne la quittant pas des yeux. Pourtant elle me fit comprendre qu'il valait mieux que je reste assis.
« ABS je sais qu'on a parfois des hauts et des bas mais...si tu'as juste besoin de respirer... » « J'attends un enfant. » « Je peux partir et...attends...quoi ? »
Elle répéta, mot pour mot, ce qu'elle venait de dire. Je crois qu'on peut dire que j'ai paniqué à ce moment précis. Je me suis levé, comme un abrutit, comme le dernier des idiots, je suis parti. Je ne comprenais pas moi-même ce que je faisais, ni pourquoi. J'étais alléaller voir Alice, je lui avais dit. J'étais resté avec elle pendant quelques jours, en proie au doute.
2021 : All my doubts were flown at a glance Je doutais toujours, je n'avais pas la moindre idée de ce qu'il allait se passer, j'étais encore à dix années-lumière de ce qui allait changer ce jour-là. Hack venait de m’appeler. Je n'étais pas à Storybrook depuis plusieurs jours. J'étais même surpris qu'il puisse me joindre là où j'étais, en plein Paris, surtout parce que je pensais avoir oublié le téléphone. Je ne pouvais pas franchement rentrer maintenant, et le temps que je réalise que le bruit venait du portable et de décrocher il avait déjà raccroché. Je levai les yeux vers Eugène en soupirant. Pourquoi on était à Paris déjà ? Un souci a réglé qui pouvait très bien déborder sur de lourdes conséquences si on n'était pas discret. Heureusement la mission touchait à sa fin, et avec l'aide des dieux, nous étions rapidement rentré à Storybrook. Je fis un saut chez absinthe, remarquant qu'elle n'était pas à la maison. Je me frappais le front en pestant contre moi-même. Elle était au neuvième mois. Hack m'appelait rarement – en cas d'urgence – et je venais de comprendre. Je me ruais vers l’Hôpital, on m'indiquait la chambre d'absinthe.
Je poussais la porte, la voyant là, lumineuse -autant qu'une femme pouvait l'être après un accouchement – elle tenait quelque chose de petit. C'était surement la première fois que je voyais un bébé aussi petit, aussi fragile. Mon attention se focalisa bien vite sur lui, esquissant un sourire. Le premier contact fut magique. C'était mon fils, mon petite Niamh. Je n'avais plus peur d'être père, je ne savais toujours pas comment il fallait s'y prendre, mais bon, je suppose qu'on apprendra ensemble. Mon regard allait d'absinthe à Niamh, un large sourire aux lèvres.
2025 : Just a moment between us « Papa papa ! »
Absinthe et moi étions sur le canapé devant un film. Il était déjà 21 heures 30. Je fermais les yeux, soupirant. Depuis quelque temps, Niamh se réveiller, souvent pour les mêmes raisons. Les enfants ont une grande imagination, et celle de notre fils n'échappait pas à la règle. Je dégageais doucement absinthe – qui était enceinte de notre second fils – pour aller voir Niamh. Depuis qu'il savait qu'il n'allait plus être le seul, il m'appelait plutôt que sa mère. Je montais à l'étage et allai dans sa chambre. Je poussais la porte de sa chambre, et allumais la lumière, tombant nez à nez avec une armée de jouet qui faisait barrage. « Niamh qu'est-ce que je t'ai demandée ? » Il se tenait debout, sur son lit. Le même que sa mère quand elle voulait me faire passer un message. « Mais c'est mon armée ! » Je regardais les rangs arrière de sa petite armée, il avait une armée d'animaux – il mettait toujours les félins un peu à part, ses éclaireurs : C'est Comme Tonton Sirrus ! Ils peuvent disparaître !
« Je n'ai pas eu mon bisou du soir. » « Niamh je suis venue deux fois avant que tu t'endormes ! » « MON BISOU ! Et une histoire ! Celle des abeilles ! »
Hack était beaucoup mieux placé de moi pour lui raconter l'histoire des abeilles. Décembre en avait fait faire un petit livre pour enfants et l'avait offert à Niamh pour son quatrième anniversaire. Elle le gâtait bien de trop, je n'arrêtais pas de le lui répétait. Je me suis installée dans le lit avec Niamh, le petit se collant contre moi pendant que je lisais, finissant tous deux par bous endormir. Je m'étais réveillée le lendemain matin, toujours dans le lit. Enfin, ce fut plutôt Niamh qui me tira du lit... Niamh et Rabby, son lapin.
*.*
« Ce soir tu es sage...tu n'attends pas notre retour pour aller te coucher.. »
Je lui ébouriffa les cheveux, la ville organisait son bal annuel ce soir et j'y avais invité Absinthe. Nous n'avions pas passé du temps hors de la maison, seuls tous les deux et ce soir était l'occasion. Quand elle m'avait dit cette seconde fois qu'elle était enceinte, je l'avais embrassé. Et Niamh avait insisté pour parier avec moi sur ce que sera le futur bébé. Je lui avais parier un paquet de cookie et une sortie au zoo que ce serait une fille, lui ne voulait pas de fille. Il disait que c'était trop foufou et que de toute façon, les filles elles ne voulaient pas jouer comme les garçons.
Niamh se mis à courir vers Abs lorsqu'il la vit enfin prête. « Tu es magnifique. » Lui annonçais-je en déposant un baiser sur ses lèvres. « Non ne t'en fait pas, et puis je doute qu'un loir ressemble à un éléphant, même enceinte. » Elle ajustait ma veste, déposant ses lèvres sur les miennes au passage. Elle alla chercher son sac, Niahm en profita pour me donner un discret coup d'épaule. Je me pencha vers lui tout en souriant. « Ne prends pas le téléphone, s'il y a quelque chose, Kath est là. » Il gonflait ses joues, la mine boudeuse. « Mon bisous ! Et mon histoire ? J'ai perdu Rabby ! » Protesta-t-il. Je déposais un baiser sur son front. « Kath va te la raconter, Rabby est presque prêt, il sèche, tu te souviens qu'on l'a laver. » Et il était grand temps même, le doudou commençait à dégager une forte odeur. Ça avait été tout un jeu de négociation pour pouvoir le laver.
Absinthe revint, fin prête pour la soirée. Je souris avant de sortir de la maison, saluant une dernière fois Katheryn et Niahm.
il y avait du monde ce soir là, je n'en était plus déranger comme dix ans plus tôt. Je voyais des visages connus ou non. Même si je l'avais promis à Absinthe, cette soirée serait entièrement à nous, je devais remarquer que bien qu'ayant un caractère généralement indépendant et peu amicale, l'arrivée de Niahm avait changer un peu ces habitudes et avait fait de moi un papa poule, ce qui pouvait surprendre si on se souvenait de quatre ans plus tôt, moi totalement perdu et plein de doute. « Si tu ne te sens pas bien tu me préviens, ont pourra rentrer et... » Je n’eus pas le temps de terminer ma phrase, Absinthe me rassura un peu. « Oui je me détends et je profite... »
Cette soirée était notre soirée.
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________________________________________ 2015-11-23, 21:29 |
| Leigh & Absinthe Will you still be with me when the magic’s all run out ? Année 2021 : Ce n'était pas possible. Non ! Je ne pouvais pas y croire. Pourtant le résultat afficher positive. Le résultat affichait inévitable. J'étais enceinte … Moi Absinthe Dormouse qui attendait un enfant. Un enfant, l'enfant du bandersnath aussi de Leigh. J'avais peur. Normalement, lorsque l'on apprend un nouvelle de ce genre, on devrait plutôt être heureux non ? Sauter au plafond ou encore organiser une fête ? Aller le crier sur tout les toits, le dire à la famille et au amie. Mais moi non, j'avais la trouille. Je ne pouvais pas être enceinte, non ce n'était pas possible je devais rêver ! Pourtant j'avais beau me pincer, je ne me réveillais pas. Ce n'était pas un rêve mais belle et bien la réalité. Je faisais les cents pas dans la salle de bains alors que le teste de grossesses reposait tranquillement à bord de levier. Je voulais juste le noyer mais cela ne changerai rien au résultat. J'en avais fait deux pour être sur et à chaque fois les deux étaient positifs. Et je savais que c'était la vérité. Je ne me sentais as très bien le matin et cela faisait déjà bien plusieurs semaines que mes règles n'étaient pas venu m'emmerder. Je me passais les mains sur le visage avant de les poser sur le rebord du lavabo levant la tête pour me regarder devant le miroir. Moi le loir qui était enceinte … Je devais vraiment me réjouir c'était un merveilleux événement ! Mais ce qui me faisait le plus peur était la réaction de Leigh. Qu'est-ce qu'il allait faire lorsqu'il va savoir qu'il va devenir père d'un petit garçon ou d'une petite fille ? Je savais que parfois, il avait besoins d'indépendance. Malgré que cela faisait six ans que nous étions ensemble, il avait encore besoins de se retrouver seul. Voilà pourquoi il avait garder son petit appartement. Et je pouvais le comprendre, et je lui laissais cette liberté. Mais la je ne devais pas me défiler. Je devais lui dire. Après tous il était le père de cette enfant et il n'allait pas le découvrir tout seul une fois que mon ventre se sera arrondie si ? C'était un possibilité … Mais non ce n'était pas une possibilité, c'était à moi et moi seul de lui dire. Ouvrant la porte, je le rejoignis dans le salon où il était assis entrain de lire un livre. Je restais debout devant lui faisant grogner ma gorge pour qu'il relève la tête. J'essayais de ne pas paniquer., de rester calme. Calme et sereine et non paniquer. Calme et sereine ! Il posa son livre et me regardant droit dans les yeux. Il commença à se lever mais d'un signe de tête je lui demanda de rester là sens bouger. « Je suis enceinte » avait je lâchais en plein milieu de sa phrase. « Je suis enceinte Leigh, j’attends un bébé. Notre bébé .. » Un sourire sur mon visage apparut quand les phrases que je venais de dire se répéta dans ma tête. J'allais être mère ! Bien sûr j'étais terrifier mais j'étais tout aussi heureuse désormais. Mais la réaction de Leigh me refroidit quelque peu. Il aurait pu me serrer dans les bras ou rester sur le canapé inerte par rapport à la nouvelle que je lui avait dit mais non … Il était partit. Tous simplement partie. Partie où ? Je n'en savais rien et sur le moment je n'avais pas envie de le savoir. J'étais choqué, triste et ma peur intensifia quand je le vis partir de notre chez nous. Les larmes commençaient à couler le long de mes joues. Je me laissais tomber sur le canapé, alors que je mettais mes mains sur mon ventre. Il était partit. Leigh ! Le bandersnath ! Il m'avait abandonner. Cela aurait du être un moment de joie et non de tristesse ? En tout cas cela avait été comme ça dans ma tête. J'avais été stupide de lui avoir annoncer comme ça. Cela ce trouve il ne voulais pas ce cette enfant ? Il ne voudrait plus de moi ? Et les jours qui passèrent sans que je ne le revois une seul fois ne m'aider pas à me prouver le contraire. J'avais beau l’appeler, lui laisser des messages, je n'avais aucune nouvelle de lui … Pas peur augmentait de plus en plus. Enfin, j'avais eu des nouvelle grâce à Alice mais pas de lui personnellement. Je savais qu'il allait bien et qu'il était avec elle. Au moins c'était un bon début. Je ne savais pas s'il allait revenir un jour ou l'autre, même si Alice essayait de me rassurer, me disant qu'il m'aimait vraiment, qu'il allait revenir, que c'était sur et certain. Je ne pouvais m'empêcher de douter … __________________________________________________________ Cinq moi de grossesse et j'en pouvais déjà plus. J'avais du mal à dormir la nuit à cause de ce truc énorme qui grossissait de plus en plus. Je ne pouvais plus bouger la nuit. Ou justement je ne bougeait que trop. Je n'arrivais plus a trouver une position confortable pour pouvoir me rendormir. Alors j'avais pris l'habitude de dormir sur le canapé pendant ses nuits. Ne voulant pas réveiller Leigh. Il dormait tranquillement, je n'allais pas lui gâcher ces nuits non plus. Déjà qu'il était bien gentil de me supporter pendant mes sautes d'humeur. C'est donc pour un énième fois que je m’extirpa du lit. Poussant la couverture, je mis un main sous mon ventre déjà bien lourd avant de poser les pieds au sol. Mais le bander bougea au même moment juste à côté de moi. Tournant la tête, je vis qu'il était entrain de me chercher dans son demi sommeil avec le bras. Mais ce qu'il rencontra n'était qu'une place vide et encore chaude. Je lui fis un sourire que bien sûr il ne pouvait pas voire dans le noirs. D'ailleurs, je n'avais juste faire attention au bruit et imaginez qu'il me cherchait. « Absinthe ? » « Je suis là ! » lui dis-je pour qu'il sache que je n'étais pas partie bien loin. Je me sentais honteuse de l'avoir réveiller dans son sommeille. J'étais nul ! Il ne pouvait même plus dormir en paix à cause de moi. « Qu'est-ce que tu fais ? » « Je suis désolé mais je n'arrive plus à dormir tranquillement dans le lit et je ne voulais pas te réveiller alors j'allais partir pour dormir dans le canapé ! » « Vient là … » Sentant ça main tapoter sur le matelas. Je me rapproche de lui pour me coucher près de lui. Me m'étant dos à lui. Collant celui-ci à son torse et son ventre. Je sens une de ses mains venir se poser sur le haut du ventre appuyant un petit peu comme pour que je me colle un peu plus à lui. Il me caressait le ventre, m'étant sa tête de mon coups. « Vraiment désoler de t'avoir réveiller Leigh, je ... » « Ne t'en fait pas ce n'est rien … » me coupa t'il en déposant un baiser sur mon épaule. Très vite je sens son souffle régulier sur mon coups, Il venait de se rendormir avec moi dans ses bras. Bizarrement, j’étais bien là coller contre l'homme de ma vie. Et c'est apaiser que je me rendormis à mon tour, ne quittant pas une seconde de plus le lit que nous partagions, ne quittant ma son corps brûlant. __________________________________________________________ Leigh était partie. Cela faisait bien ou deux jours qu'il m'avait prévenue qu'il devait partir en mission. Oui comme toujours, il m'avait prévenue à la dernière minute. Le veille pour le lendemain. Mais je n'avais rien dit, encore. De toute manière, il partait avec Eugène, avec qui j'avais travaillé et je savais aussi que Leigh était un survivant. Et puis il pourrait lui arriver quoi à Paris ? A part entendre, du violon et voir les gens se balader avec des bérets et de baguette de pain. Voir la tour Eiffel ou encore les champs Élysée avec son arc de triomphe. Exactement 1 jour et 17 heures qu'il était partie. Oui j'avais compter. Parce que oui il me manquait. Pourtant, cela faisait que très peu de temps qu'il était partie. Normalement, cela ne me faisait rien, ou en tout cas pas autant d'effet de le voir partir pendant plusieurs jours, puisque je savais que j'allais le revoir. Et de toute manière s'il restait trop longtemps en missions, il m'appelait pour me donner des nouvelles. Mais là, la maison me parasitait bien vite, elle était devenue trop grande d'un seul coup. Je pense que l'on va mettre cela sur le compte de la grossesse. « J'en peux plus ! Quand est-ce que tu vas te décider à venir ? » J'étais seul. Seul dans ce canapé, le soir. Seul regardant la télé. Qu'est-ce que je donnerais pour que le bandersnath soit là ! J'avais mal partout. Aux jambes mais surtout en bas du do, comme toute femme enceinte. Je n'en pouvais plus de ce gros ventre, qui devenait trop lourd à porter maintenant. Je passais mes journées assises à cause de lui. Pourtant j'étais heureuse. Quand je passais mes mains sur mon ventre, ou le soir lorsque je dormais, je pouvais sentir les coups que me donnait le bébé quand celui-ci était réveiller. Malgré les douleurs, j'avais ce souris sur mes lèvres. Cette joie qui envahissait tout mon corps. J'étais allonger le long du canapé, le t-shirt relevé au dessus de mon ventre. Mes mains sur celui-ci. J'étais entrain de m'endormir sur ce canapé devant la télé, comme j'en avais pris l'habitude. Mes yeux se fermait, je me faisais bercer par le son de la télé, la maison était calme. En tout cas avant que je ne lâche un crie dans se silence. « Oh doucemeeeeeeeennnnnt ... » avait-je dis avant de pincer mes lèvres jusqu'au sang pour n’empêcher de crier. La douleur était vive, rapide et longue à la fois. Mon ventre se contracter, je sentais le petit bouger. Il donnait des coups de pieds, je pouvais voir de temps en temps des bosses apparaître. Je me redressais avec difficulté. Je pris le téléphone. Appelant Hack, aussi vite que je le pouvais. « Je crois que le travaille à commencer .. » lui dis-je une fois qu'il ai décrocher. « D'accord ! Alors bouge pas ! Je viens te chercher tout de suite » Je pouvais entendre, rien que a sa voix que le lièvre était déjà en panique mais je ne pouvais rien faire pour le rassurer. A vraie dire, j'étais moi aussi en état de panique … Après lui avoir répondue, il raccrocha aussi vite. « Et bien tu as été rapide ! » dis-je au futur nouveau née avant que tous les muscles de mon corps se contracte une nouvelle fois. Le cri s'échappa de ma gorge sans que je ne puisse le retenir. Pourquoi Leigh n'était-il jamais la lorsqu'on avait réellement besoins de lui ? Bien sûr il ne pouvait pas savoir que j'allais accoucher pile quand il n'était pas là ! Enfin si un peu quand même, puisqu'il savait que j'étais à mon dernier mois de grossesse. Mais, il n'était tout de même pas là. Pas là alors que notre bébé allait naître. Pas là alors que ce grand moment devait ce partager à deux. La mère et le père et pas seulement la mère et le médecin ! J'allais devoir affronter ce bouleversement dans ma vie toute seul. Enfin pas complètement ! Hack sera la avec moi, mais voilà. Hack n'était pas Leigh et Leigh n'était pas Hackery. Sens vouloir vexer le lièvre, j'aurais préféré que le père de l'enfant soit là avec moi à cette instant. J'entendis les coups sur la porte. Hackery arriva à ma hauteur dès que je lui dis de rentrée. Sens une seconde de plus il m'emmena jusqu'à l'hôpital côté urgence où les médecins me prit directement en charge. ~ ~ ~ « Allez y poussez maintenant » Je contractais tout comme le médecin me le demander. J'avais l'impression que tout aller exploser. J'avais les gouttes de sueur qui coulaient le long de mon visage. Celui-ci était tendue, ma bouche crisper. Je poussais alors que mes mains serrais fort les barreaux du lit dans lequel je me trouvais. J'avais mal, comme une futur mère pouvais avoir mal lorsqu'elle accouchait. J'étais seul dans la salle, seul avec le médecin et une sage-femme. Hack était rester n dehors de la chambre. Il n'avais pas eu le droit de rentrée n'étant pas le père cette enfant. Je voulais que Leigh sois là ! Qu'il m'aide dans cette instant qui était douloureux et joyeux à la fois. Qu'il sois avec moi pour voir le bébé le premier. Pour qu'il puisse le porter le premier. Mais non j'étais seul, il n'était même pas à Storybrooke. En tout cas c'est que je pensais. Hackery l'avait appelé mais il n'avais pas répondue. Puis ce fut le soulagement … la salle se remplis de cris. C'était mon il était là. Mon enfant. Je respirais à pleins poumons, essayant de calmer mon souffle et mes battements de cœur. Je voyais la sage-femme avec mon enfant dans les bras pour le laver. Je ne pensais pas que les cris, les pleures de quelqu'un pouvaient me soulager autant. C'était preuve qu'il allait bien. Quelque minute plus tard, il était là dans mes bras. J'avais les cheveux encore humides à cause de la transpiration. J'avais souffert pour la bonne cause, cette une souffrance joyeuse. Il dormait la dans mes bras et mon visage afficha un sourire béa. Un sourire un peu idiot. Il était calme. Quand il soufflait sa bouche faisait des bulles. J'étais calme sereine quand tout d'un coup la porte s'ouvrit me faisant relever la tête. Il était là. Il était revenue … un soulagement de joie s'échappa de ma bouche. Le bébé n'avait seulement une heure ou deux et il était déjà revenue. Je n'avais pas a attendre plusieurs jours encore pour lui présenter le nouveau née. « Je te présente Niamh Dormouse Fraser » lui dis-je avant de lui faire signe de s'approche. Mon regard passait du père à l'enfant, de l'enfant au père avant de se figer sur Niamh qui commençait à bailler. « Tu veux le prendre ? » lui dis-je en lui tendant l'enfant qu'il s'empressa de prendre. Je regardais les nouveaux deux hommes de ma vie. Le père et le fils. Cela avait été dure mais notre enfant était enfin là et Leigh était revenue plutôt que prévue ce qui me soulageais.Je ne serais pas seul dans les premiers moments avec notre fils, notre Niamh. Aujourd'hui : J'avais rigoler quand il m'avait dit qu'un loir ne pourrait jamais ressembler à un éléphant. J'était partie par la suite chercher mon sac avant de revenir dans le salon. Je m'approchais de ma petite famille et de Kath, restant de côté, laissant faire Leigh avec notre enfant. Au final, il était devenue un père magnifique. Je crois que Niamh n'aurait pas pu imaginer un meilleur père. Il pouvait même parfois un peu trop papa poule. Mais je m'amusais de ses situations, où il n'arrivait pas à dire non à Niamh. Du coup parfois, je passais un peu pour la méchante en lui refusant quelque chose. Mais heureusement, que Leigh ne protestait rien que je refusais. Et oui dès, que je refusais quelque chose au petit, il allait voir son père pour lui redemander la même chose. Parfois, cela pouvait être l'inverse aussi. Les enfants avaient déjà tout compris. Sauf que si Leigh, prenait une décision, je la respectait. Je n'étais pas forcément toujours d'accord, mais je la respectais. Et inversement. J'étais derrière les deux hommes. Je regardais Leigh gérer la situation de Rabby et de l'histoire. C'était drôle comment, il ne pouvait pas se passer de son doudou préféré. Pourtant il en avait une dizaines. Sans doute parce que ce lapin était spéciale. Il nous disait tout le temps que c'était parce que c'était tati Decy qui lui avait offert et qu'elle lui avait di que ce lapin le protégerais tout le temps. Alors il ne voulait plus sens séparée. On avait du faire tout un plan avec Leigh pour que l'on puisse le lavée. C'était beaucoup, plus facile quand il était plus petit. Maintenant il réussissait à comprendre notre plan. Une fois que Leigh avait fini, je me bessais tant bien que de mal avec mon ventre, à la hauteur de mon fils. « Tu a compris ce que papa à dit ? S'il y a un problème Kath et là ! Si c'est un gros gros gros problème là on rentrera d'accord ? » lui demandais-je lui prenant les mains. « Gros comme la terre ? » « Oui gros comme la terre ! » Je le pris dans les bras amuser. Je savais qu'il aurait bien voulu venir avec nous mais c'était une soirée juste entre Leigh et moi. En amoureux ! « Et puis, je te jure de rentrer pour Noël ! D'accord ? On fêtera Noël rien que tous les trois si tu veux. » « Non ! Je veux invité tatie Decu, tatie Alice, tonton Hack, tonton Jeff, tonton Sirrus et cousine Paige ! Je veux que toutes la familles soit la avec nous ! » « Si tu veux on demandera s'ils peuvent venir, mais je ne te promets rien ! » Je le repris une dernière fois dans les bras avant de me relever pour enfin partir. Leigh m'attendais déjà devant la porte. Je fis un signe de la main à Kath et Niamh avant de sortir de la maison. Très vite, on arriva à la salle de bal. Le fête était déjà au rendez-vous. Il y avait déjà énormément de monde pour ce début de soirée. Et malgré mon ventre je contais bien m'amuser un peu. Bon sans alcool mais m'amuser quand même. Je prenais la main de Leigh dans la mienne. A vraie dire je ne l'avais pas lâcher depuis que nous étions sortis de la voiture. Je savais que Leigh était un homme qui parfois aimer la solitude et très peu les foules. Et pourtant il avait fait des efforts. « Ca va aller, ne t'en fait pas ! » le coupais-je t'entent de le rassurer un peu. Il était vraiment mignon quand il s’inquiétait pour moi. « Je suis sûr que je peux encore danser ! Tu viens ? » Sans attendre je lui pris la main le dirigeant vers la piste de danse. La musique retentissait déjà, et quelques couples étaient déjà présent. Je mis mes bras autour de son coup avant de commencer à bouger un peu sur le musique. Je me collais le plus possible à lui. Ce que mon ventre me permettait en tout cas. Je le regardais droit dans les yeux. J'étais bien ... code by Silver Lungs |
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