« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 [Fe] Les Chevaliers de l'Ordre - Evénement #51

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Alexis E. Child
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Fitzgerald Taylor
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Fitzgerald Taylor

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| Dans le monde des contes, je suis : : ❥ Le Président des Etats Unis d'Amérique

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[Fe] Les Chevaliers de l'Ordre - Evénement #51 _



________________________________________ 2015-11-10, 01:22

Bienvenue dans le 51ème événement de Disney Rpg :
[Fe] Les Chevaliers de l'Ordre - Evénement #51 83464286a Les Chevaliers de l'Ordre [Fe] Les Chevaliers de l'Ordre - Evénement #51 83464286a





    Il y a 362 jours...

    "Allez vous m'annoncer qu'il y a des extra terrestres cachés dans l'une de vos nombreuses bases, pour lesquels on dépense 10,2 milliards de dollars chaque année ?"

    Je sentais à leurs regards que le directeur de la National Security Agency, Jim N. Jones et son bras droit n'étaient pas très friands des blagues présidentielles. Cela ne m'empêchait pas de m'amuser à leurs dépends.

    - Pas tout a fait, monsieur le Président.

    Ce qui signifiait qu'ils avaient quelque chose de similaire ? Là, ils commençaient à m'intéresser. J'avais toujours eu la conviction qu'on était seuls dans l'univers et que la seule chose qu'on pourrait me révéler le jour où je monterai au pouvoir, serait qu'on ait construit des vaisseaux suffisamment puissants afin d'imposer notre loi au restant du monde. Un armement de pointe, un bouclier de protection comme l'avait rêvé Reagan. Voilà ce à quoi je m'attendais, ce que je pouvais espérer entendre.

    - Il s'avère, monsieur le Président que nous avons été témoins de certains événements survenus ces dernières années.

    J'avais hoché la tête, comme si j'approuvais leurs dires. Après tout, ils n'avaient pas été les seuls. Cette discussion on l'avait déjà eu il y avait quatre ans de cela, quand j'étais monté au pouvoir pour la toute première fois. A l'époque, on était en 2009 et après une brève entrevue avec le directeur de la Nsa et son adjoint, j'avais appris qu'on disposait effectivement d'un armement de pointe secret, mais qu'il était bien inférieur à ce que j'avais espéré. Quoi qu'il en était, notre force de frappe pouvait rivaliser face à n'importe quelle menace de nos voisins. Ou du moins jusqu'à ce jour, c'était ce que j'avais toujours cru.

    - Le 4 novembre 1952, le Président Harry Truman a autorisé la création de...

    "...de la Nsa ? Je vous rappelle que j'ai étudié l'histoire des Etats Unis d'Amérique bien avant de devenir Président."

    Je les avais coupés pour leur faire comprendre que je n'avais pas de temps à perdre vue qu'on m'attendait pour un meeting important et que comparé à ce que l'on pourrait penser, tout ce qui était secret d'état n'était pas nécessairement la chose la plus passionnante qui soit. Ils s'étaient regardés une fois de plus et Jim avait pris un dossier qu'il avait déposé sur mon bureau. Dessus était noté "Confidentiel". Il l'avait ouvert j'avais pu voir qu'une enveloppe se trouvait à l'intérieur. Ancienne, cachetée même si elle avait été ouverte par le passé et sans le moindre timbre. Avec juste noté dessus "Ralph J. Canine". A ma connaissance c'était le tout premier directeur de l'organisation. J'avais pris les lunettes qui se trouvaient sur mon bureau et je les avais mises pour lire le contenu de la lettre pendant que Jim m'expliquait de quoi il en retournait.

    - La lettre a été retrouvée sur le bureau du directeur le jour même où il a pris ses fonctions. Nous n'avons pas pu trouver qui l'avait mise là et il n'y avait rien d'autre dans le bureau en dehors de cette lettre. Aucune trace d'un passage quelconque. Le site bénéficiait déjà de la sécurité maximum et la veille, la lettre n'était pas là. Nous avons d'abord pensé à une démonstration de la puissance du renseignement de nos ennemis, mais le contenu de la lettre...

    "...qu'est ce que ça veut dire ? Ce sont des phrases répétées en boucle, des séries de chiffre. Vous avez réussi à les décrypter ?"

    - Oui monsieur le Président. Il s'agit de divers passages de la Bible, ainsi que des coordonnées.

    Je ne savais pas où ils étaient en train de me conduire, mais je commençais à m'intéresser grandement à ce voyage. Moi qui pensait tout savoir sur les plus importants secrets d'état, voilà que j'apprenais qu'une simple lettre avait réussi à atterrir sur le bureau le plus protégé au monde.

    "Intéressant. Et où vous ont menés ces coordonnées ?"

    Après un bref regard - encore une fois, mais d'un côté c'était leur marque de fabrique - ils avaient décidés de poursuivre leur divulgation d'informations.

    - Une ville dans le Maine, monsieur le Président.

    "Vous n'avez pas dû dépenser beaucoup d'essence pour vous y rendre."

    C'était encore un humour de politicien et encore une fois ils s'étaient regardés comme si de rien était. S'ils continuaient ce petit jeu, quelle que soit la chose qu'ils avaient trouvés là bas, je mettrai un terme à notre discussion. Je n'aimais pas les gens sans humour.

    "Qu'avez vous découvert une fois sur place ?"

    - Une boîte, monsieur le Président. Il y avait une boite avec une série de chiffres dessus, comme c'était indiqué sur la lettre.

    Effectivement, la boite parlée d'une boite qu'on trouverait sur place. Une boite qui mènerait notre peuple au jugement dernier. J'avais souris et secoué la tête. Des morceaux de la Bible, une boîte... ça ressemblait à quelque chose qui me passionnait beaucoup, tel que la mythologie grecque.

    "Et une fois votre boite de Pandore en main, vous en avez fait quoi ?"

    Oh non ça y est... Ils s'étaient une nouvelle fois regardés. J'avais quand à moi regardé discrètement les coins de mon bureau pour voir si il n'y avait pas un bouton rouge, qui ouvrirait une trappe pour les faire disparaître de ma vue.

    - La boite a été amenée à Fort George Meade pour y être étudiée.

    "Laissez moi deviner. Elle contenait une autre lettre qui allait vous mener encore ailleurs ? Vous vous êtes prêté à un jeu de piste ?"

    - Nous n'avons pas pu ouvrir la boite, monsieur le Président.

    "Ca c'est embêtant. Je ne pensais pas qu'une serrure vous arrêterez."

    - Le soucis monsieur le Président, c'est que nous n'avons trouvé aucun moyen pour ouvrir cette boite.

    J'avais envie de leur donner le nom de mon serrurier attitré, mais à dire vrai j'avais aucune idée de qui il était. Ici, dès qu'on avait un soucis de boite, quelqu'un s'occupait de prévenir quelqu'un, qui allait chercher quelqu'un, afin qu'un autre quelqu'un venait régler le soucis et tout ça en moins de quelques minutes seulement. Je me demandais pourquoi la Nsa ne disposait pas de son "quelqu'un".

    - Nous avons tenté de créer une clé. Nous avons également essayé de briser le coffre, de le brûler, de le faire fondre, de le forer...

    Qu'est ce qu'ils me racontaient ? C'était aussi difficile que cela d'ouvrir un coffre avec leurs 10,2 milliards de subventions par an ?

    - ...il est dans un matériel inconnu. Nous n'avons pas réussi à l'analyser, même avec les moyens que nous possédons aujourd'hui.

    J'hésitais entre rire ou pas. Est ce qu'ils étaient sérieux ? Du coup ils étaient bel et bien venu pour m'annoncer qu'une race d'extraterrestre vivait sur terre. Cela dit, je me serai bien plus attendu à une invasion ou alors à quelque chose de ce genre, plutôt qu'à une simple boite qu'on n'arrivait pas à ouvrir. Quoi qu'il en était, ils venaient de déposer devant moi une photo de la boite. Elle semblait ancienne et il y avait effectivement une série de chiffre dessus. Plusieurs séries même, qui étaient sur une sorte de roulette. Comme si on pouvait faire défiler les numéros.

    "Vous avez réussi à trouver à quoi ces chiffres correspondaient ?"

    - Oui, monsieur le Président. Nous avons toujours pensé qu'il était question d'une date. Deux chiffres pour le jour, deux pour le mois et quatre pour l'année.

    "Mais, je ne vois que deux séries de deux chiffres."

    - Effectivement, monsieur. Il manque l'année.

    "Bien."
    avais-je dit en retirant mes lunettes et en faisant le tour de mon bureau pour me retrouver à côté d'eux.

    "J'aimerai que vous soyez un peu plus clair. Qu'attendez vous de moi aujourd'hui ? Parce que je suppose que si cela fait bientôt cinq ans que je suis président et que vous m'en parlez uniquement aujourd'hui, c'est que quelque chose a changé ? Je me trompe ?"

    Ils s'étaient... oui oui, regardés !

    - L'année, monsieur.

    J'avais pris la nouvelle photo qu'ils me tendaient. Il y avait effectivement une nouvelle série de quatre chiffres. Le tout formait bel et bien une date. Deux pour le jour, deux pour le mois et quatre pour l'année. J'étais septique.

    - Quand nous l'avons trouvé en 1952, seul le jour et le mois figuraient dessus. Nous avons essayé de faire tourner les chiffres afin de faire défiler les années, mais sans succès. Le Président Eisenhover a ordonné que nous détruisons la boite quand il a appris son existence, mais nous n'avons trouvé aucun moyen de réaliser un tel exploit.

    - Elle a été déposée sur un site d'essais nucléaires et on l'a retrouvée intacte, monsieur le Président.

    Pour une fois le directeur adjoint avait ouvert la bouche et j'aurai préféré qu'il se taise. Car c'était impossible qu'une simple boite pouvait rivaliser avec notre arme nucléaire.

    - Le Président Eisenhover a ordonné que nous la mettons dans un abri atomique afin d'éviter tout soucis au cas où elle viendrait à s'ouvrir. Il a aussi donné l'ordre de ne plus parler de cette boite aux Présidents qui lui ont succédés. Cette information est devenue secret d'état et a été classée. Mais...

    Je m'attendais au pire vue la tête qu'ils tiraient.

    - La date s'est affichée il y a trois jours de cela. Elle indique le 13 novembre 2015, soit exactement jour pour jour, un an entre le jour où la date est apparue et...

    L’ultimatum ? La fin du monde ? L'apocalypse ? Je me demandais si ils pensaient comme moi, chose évidente vue qu'ils se trouvaient dans mon bureau, aujourd'hui.

    "...l'ouverture de la boite ?"

    J'avais laissé échapper un petit sourire nerveux. Une boite qu'on ne pouvait pas ouvrir, ni même détruire et dont un informateur inconnu nous a conduit jusqu'à elle. Qu'est ce qu'elle pouvait bien contenir ? Et surtout... oui bien sûr... quelque chose ne collait pas.

    "Si la boite a été enfermée et que personne s'est rendu là où elle était, comment se fait il que vous avez su que la date était apparue ?"

    - Nous avons installé des capteurs dans l'ensemble des salles protégées, monsieur.

    - Capteurs de chaleurs, de mouvements, de sonorités, visuels. Quelle que soit la chose qui entre dans ces pièces, nous sommes immédiatement prévenus.

    "Et ce jour là quelqu'un s'est introduit dans votre base sécurisée ?

    - Non, monsieur le Président. Ou du moins...

    Oui ? Pourquoi il ne finissait pas sa phrase ? Je n'attendais que ça de connaître la suite de cette histoire, surtout si le temps nous était compté. Bien que je n'arrivais pas à me faire à l'idée qu'une telle boite existait.

    - Il se trouve que la température de la pièce a augmentée ce jour là et nos capteurs se sont enclenchés. Une équipe s'est rendue sur place et a vue le changement. Personne est entrée dans cette pièce depuis plusieurs dizaines d'années. Il n'y a pas eu d'effractions. Aucune panne au niveau sécurité. La boite a changée de date d'elle même. Elle doit procéder un mécanisme automatique.

    "Et dégager de la chaleur ? Vous avez dit que la température avait augmentée, or une boite ne dégage pas de chaleur. Ca ne peut être qu'une personne qui se trouvait là."

    - Le soucis, monsieur le Président, c'est que personne aurait pu se trouver là à ce moment précis.

    "Vous ne faites pas un peu trop confiance à votre équipement ?"

    - La chaleur de la pièce a augmentée de 1200 degrés, monsieur. Soit l'équivalent de la chaleur dégagée par un volcan lors d'une éruption.

    Cette fois ci ils se fichaient de moi. C'était impossible qu'une telle température apparaisse et disparaisse sans raison dans le lieu le mieux protégé au monde. Sans compter que tout le site aurait brûlé si ça avait été le cas.

    - Il n'y a eu aucun dégât. La chaleur s'est dégagée de la boite et elle est toujours dans son état d'origine. Nous avons retrouvé juste des cendres dans la pièce, mais rien qui aurait pu être réduit à l'état de cendres vue que seule la boite se trouvait à l'intérieur.


    Six mois avant le dernier jour...

    - Nous l'avons trouvé, monsieur le Président. Elle se trouvait exactement à l'endroit que vous nous avez indiqué.

    Jim s'était dirigé vers moi et il m'avait tendu une clef. Je l'avais observée quelques instants, la tournant nerveusement entre mes doigts. Je la tenais dans ma main, la clef de notre destin. Je sentais que Jim attendait une réponse. J'avais ordonné une expédition dans un lieu précis sans lui dire ce qui s'y trouverait. On avait utilisé une unité spéciale créée il y avait quelques mois seulement afin de régler certains soucis qui pourraient nous arriver dans un avenir proche. Le temps nous était compté, il fallait agir rapidement. Je comprenais qu'il voulait des réponses, mais qu'est ce que je pouvais bien lui dire ? Je n'étais pas sûr moi même de la manière dont j'avais eu cette information...


    Deux mois avant le dernier jour...

    "Uniquement trois ? Dois-je vous rappeler l'urgence de la situation ? Vous pensez qu'on pourra aller bien loin avec seulement trois comme eux ?"

    Le bras droit de Jim et deux autres agents se tenaient devant moi. On était arrivé avec mon hélicoptère présidentiel dans le nouveau lieu le plus sécurité au monde. C'était la troisième fois que j'y mettais les pieds cette année. Je pensais obtenir de bonnes nouvelles en arrivant, mais les recherches n'avaient pas progressé. Je savais que trois ne suffiraient pas, même si le dernier arrivant était un spécimen bien plus intéressant que les deux autres.

    - Il nous reste toujours la possibilité de...

    "Non ! Pas maintenant." avais-je dit en sortant de la poche de mon manteau une petite boite dont j'avais sortit trois petits comprimés roses avant de les mettre en bouche et de prendre la bouteille d'eau que me tentait l'un des agents qui m'accompagnait. Une fois avalé, j'avais passé une main sur mes lèvres avant d'observer les alentours, puis de porter toute mon attention sur le directeur adjoint qui se tenait toujours devant moi.

    "Je ne suis pas encore décidé sur ça. Vous devrez faire sans et obtenir du résultat rapidement. Je reviendrai quand vous serez prêt."

    Je savais exactement quel jour ils le seraient, car si le moment venu ils ne le seraient pas, personne pourrait l'être...


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________________________________________ 2015-11-10, 10:39



Les Chevaliers de l'Ordre


J’ouvre les yeux, lentement. Les rayons du soleil entre par la fente des rideaux couleur gris clair et je m’étire quelqu’un instants, profitant de ce moment rien qu’à moi. Puis je me lève avant de me doucher et au même moment, j’entends la sonnette de l’entrée qui retentie. A cette heure ci ? Je soupire et sors de la douche avant de m’habiller en vitesse, d’un chemisier rose poudré et d’un jean noir avant de mettre une paire de bottes à talons. Je descends finalement avant d’aller ouvrir la porte et de me rendre compte qu’il n’y avait personne, personne mis à part une rose, sur le paillasson. Je fronce les sourcils et l’a prend en main :

« Qu’est-ce-que c’est que ça ? » dis-je en tenant la rose dans ma main avant de finalement lever les yeux et de voir une silhouette capuchonnée noire filer vers l’horizon. Je ferme la porte du Manoir et décide de la suivre, voulant savoir ce qu’elle me veut et vu que j’ai de bons yeux, j’ai tout de suite reconnue la silhouette d’une femme. Mais alors que je la suis, elle commence à aller de plus en plus vite et tandis que je la suis, je me rends rapidement compte que la silhouette à disparue dans une ruelle.

J’arrive finalement dans cette dite ruelle et regarde la jeune femme au loin, une chevelure blonde, moyennement grande, je la reconnais plus rapidement qu’elle ne le pense :
« Emma ? », elle se retourne et me regarde, elle aussi à une rose dans la main, je l’a regarde, arquant les sourcils « Tu…C’était toi la silhouette noire ? », elle me fais un signe négatif de la tête et je la regarde, soupirant légèrement « En tout cas, c’est pas moi hein…Quelqu’un a sonné chez moi et y’avait cette rose sur le palier et apparemment, tu sembles être dans la même situation que moi… », je regarde autour de nous, la Tour de l’Horloge mais aucune silhouette noire, je me retourne vers la blonde qui venait de me rejoindre avant que j’hausse les épaules « Je n’y comprends rien… »
© TITANIA
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[Fe] Les Chevaliers de l'Ordre - Evénement #51 _



________________________________________ 2015-11-10, 18:41


Les chevaliers de l'ordre

Feat Alexis,Eavan,Tara,Regina,Kai & Angus
Je pousse un grognement d'agacement en regardant tout les câbles sur le sol de ma nouvelle maison ,celle que j'avais pu m'acheter avec l'argent que j'avais gagner en travaillant pour Diana,finit de vivre chez Granny's,j'avais enfin une maison a moi toute seule,même si elle était plutôt grande.J'avais finis de déballer mes cartons et ce matin la j'étais en train de me battre avec la console de jeux vidéo que je n'arrivais pas a brancher sur la télévision,j'avais jeter la notice dans un coins du salon car je n'arrivais pas comprendre se qu'il y avait d'écrit."Il me faut un spécialiste."J'avais finit par laisser tomber pour le moment ,je trouverais bien une âme charitable qui voudrais bien m'aider dans ma bataille,j'avais penser a demander de l'aide a Elliot mais je n'étais pas sur d'avoir envie de le déranger,il avait surement d'autre chose a faire que de venir m'aider pour un problème de console de jeux vidéo.

"Tant pis."Je poussais un soupire,avant de pousser les cables sur le côté avec mon pied,je verrais cela plus tard,pour le moment je devais me préparer pour allez travailler,je montais rapidement les escaliers pour prendre ma douche,avant de redescendre un peut plus tard tout enfilant un haut blanc ,je me stoppais en entendant quelqu'un toquer a la porte,je fronçais les sourcils,je n'attendais personne en particulier ce matin la et tout ceux qui voulais me rendre visite m'envoyais souvent un texto pour me prévenir,sauf quand il s'agissait de Jefferson,lui il avait plutôt tendance a aller et venir quand bon lui semblait,j'affichais un sourire ,c'était peut être lui.

"Tu est bien matinal..."Disais-je tout en ouvrant la porte,mais ce n'étais pas le chapelier,il n'y avais personne se qui était plutôt bizarre,je baissais les yeux pour découvrir une rose sur mon paillasson."Si tu essaie de me courtiser avec une rose ,tu devient encore plus normal que n'importe qu'elle autre homme romantique dans cette ville."Disais-je a voix haute a l'adresse du chapelier,qui était peut être cacher près de ma voiture ou dans un arbre ,mais personne ne répondit et c'est en regardant la rue que je remarquais une femme avec un capuchon sur la tête en train de marcher,ni une ni deux je fermais la porte d'un geste de la main avant de la suivre,plus je me rapprochais d'elle plus elle semblais accélérer l'allure,elle tourna dans une ruelle avant de complètement disparaître,une disparition qui n'avait rien de magique soit dit-en passant.

"Okay...Lâchais-je plutôt stupéfaite avant de pivoter sur moi même quand j'entend quelqu'un appeler mon nom."Regina."Je remarquais que l'ex maire de la ville tenais elle aussi une rose dans sa main."Tu…C’était toi la silhouette noire ?"Je secouais la tête négativement,apparemment nous avions suivit la même personne."Je t'avoue que je n'y comprend rien non plus."Je regardais la ruelle ,tentant de voir si je pouvais découvrir quelque chose d’inhabituelle ,mais il n'y avait rien."Elle a disparue comme sa ...et sa n'avait rien de magique...tu a déjà vue ça quelque part ? Ou alors c'étais de la téléportation.Peut être un coup d'une divinité grec ? Si c'étais le cas il devrait peut être trouver une autre occupation que de livrer des roses.

Des pas se rapprochais de la ruelle et un homme plutôt grand fit son entrée a son tour,semblant lui aussi être a la poursuitede quelqu'un,mon regard se posa sur la rose et la lettre qu'il avait en main."Vous chercher quelqu'un avec un capuchon sur la tête ?."



Code by Fremione.



Alexis E. Child
« Allez dans la Lumière.
C'est au détour d'une Ombre
que nous attends le Mal. »


Alexis E. Child

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Tu es comme tu es... mais malgré les erreurs, tu me rends parfois la vie de maman célibataire plus douce...


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Edition Octobre-Novembre 2020

[Fe] Les Chevaliers de l'Ordre - Evénement #51 21op

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[Fe] Les Chevaliers de l'Ordre - Evénement #51 378254admin

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[Fe] Les Chevaliers de l'Ordre - Evénement #51 _



________________________________________ 2015-11-11, 01:47 « Allez dans la Lumière. C'est au détour d'une Ombre que nous attends le Mal. »




In gods I trust



Je me regardais dans le miroir d’un air pas convaincu… Depuis le temps que j’étais à la maison blanche, j’avais appris à m’habiller comme j’aurais sans doute eu l’habitude de m’habiller si mes parents m’avaient gardé auprès d’eux. Mes cheveux étaient parfaitement brushing, laissés à libre et sans qu’aucune mèche ne dépasse. Mon maquillage était extrêmement léger, on ne m’autorisait qu’un rouge à lèvre rose pâle ou un baume à lèvre de manière à avoir l’air le plus naturel et le plus « nude » possible. Je portais un petit chemisier rose pâle ainsi qu’une jupe noire et des ballerines de la même couleur que mon haut. Pour bijoux, j’arborais une perle nacrée blanche véritable à chaque de mes oreilles, un collier de perle et une bague fine en argent. J’étais tout ce qui pouvait s’apparenter à la fille de bonne famille, la fille à maman, la fille à papa, la fille que je n’étais pas. J’aurais bien voulu hurlé, désordonner un peu tout ça, mais c’était le prix à payer pour connaître mes parents, pour passer un peu de temps après de Fitzgerald et Sophia…. Que je peinais à appeler « Papa » et « Maman » depuis que je les avais vu en vrai pour la première fois.

Si le président se montrait chaleureux à mon égard, ce n’était pas tout à fait de même pour sa femme, qui se montrait froide et me regardait d’un air peu avenant. C’était un peu comme si j’étais un fantôme du passé qui n’aurait jamais dut ressurgir, comme si elle n’acceptait pas de me voir là, comme si, en somme, elle n’avait jamais cherché à m’aimer…. Peut-être me faisais-je des illusions ? Peut-être était-elle tout simplement trop fière pour montrer ses sentiments ou ses faiblesses ? Je l’espérais au fond de moi, je préférai largement cette version à celle plus radicale et sans appelle qu’était « elle ne t’aime pas, elle ne t’a jamais aimé et ne t’aimera jamais : elle ne voit pas l’heure que tu déguerpisses ! » Mais je n’étais pas partie… Non… Bien au contraire ! J’avais passé les derniers jours, la semaine même, à rôder dans les couloirs de la Maison Blanche, à me faire relooker juste au cas où je croiserais la mauvaise personne au mauvais moment, à écouter le protocole et les histoires de cette institution connue du monde entier. De temps à autre, on m’accordait des moments de repis où je pouvais me balader librement avec Eavan qui ne semblait pas spécialement à l’aise. On sortait parfois en ville, mais jamais seuls, toujours accompagnés et suivis de près…

Puis été arrivé ce fameux jour. Une réunion dans le Vermont ? Qu’est-ce qu’il allait foutre dans le Vermont ? J’imaginais que le président devait aller partout aux Etats-Unis même dans les endroits les plus reculés, les plus désertiques ou les moins cool de notre territoire. Sophia l’accompagnait visiblement… Il ne servait plus à rien que je reste n’est-ce pas ? On me disait gentiment de rentrer chez moi, j’avais compris le message et j’avais hoché la tête en baissant les yeux. « Rejoins-nous y ! » Mon cœur n’avait fait qu’un bon dans ma poitrine. J’avais relevé la tête, les yeux brillants d’espoir, vers le visage de Fitzerald qui souriait, bien content de sa proposition. Je voyais bien que Sophia à côté n’approuvait pas du tout la décision, elle faisait tout pour le cacher, mais bien difficilement… Alors j’avais juste hochée la tête folle de joie, et me voilà à présent dans ma tenue de Sainte Ni-Touche devant le miroir !

- Mademoiselle ? Il est temps de partir, la voiture vous attend.

J’hochais alors la tête avant de prendre une veste et un sac (qui devaient tous deux valoir le smic américain) et sortait de ma chambre pour retrouver Eavan, un peu plus loin, lui aussi très élégant. On avait jamais trop jugé utile de préciser notre relation. Il ne parlait pas trop de toute façon, ce qui était arrangeant et moi, j’avais un peu du mal à sortir « ouais… c’est un employé, un tueur à gage, le meilleur de sa profession ! Je l’ai engagé pour vous retrouver et nous voilà, il est doué hein ? ». Mais ce manque de précision avait, semblait-il, fait germer dans la tête des gens présents à la Maison Blanche l’idée, saugrenue à n’en pas douter, que ce jeune homme pouvait être mon petit ami et que, de ce fait, il se devait d’être tout aussi bien habillé et présentable que moi… La belle affaire !

Dans un vrombissement, la voiture s’était mise en marche et nous avions dépassé peu de temps après les grilles de la Maison Blanche. Les vitres étaient suffisamment teintées pour qu’elles en soient opaques de l’extérieur et je regardais les flashs crépiter d’un air blasé. Ça m’avait impressionné lors de mes premières sorties, mais plus à présent. Cette vie n’était vraiment pas faite pour moi. Je tournais alors la tête vers mon compagnon de route pour lui sourire faiblement. C’est qu’on en avait de l’intimité dans cette grande voiture ! Une vitre, tout aussi teintée que celles extérieure, nous séparait du chauffeur et aucun bruit ne venait perturber le ronronnement paisible du moteur. Je tentais une approche de conversation :

- Très joli ton costume… ça… ça te va bien !

Pourquoi je le complimentais ? J’en savais strictement rien ! Peut-être parce que c’était vrai ? Oui, il était vraiment beau dans son costume… Mais bon, ce n’était pas la peine non plus d’en faire une montagne n’est-ce pas ?

- Tu sais… Si tu veux rentrer… Si tu ne veux pas m’attendre… Je comprendrais ! Je me débrouillerais… Je ne sais pas encore quand je voudrais partir…

Storybooke me manquait, Regina me manquait, ma famille tout entière me manquait, certes, sans compter mes amis : Elliot, Ellie, Diane, Louise… tous ces gens qui tenaient à moi… Mais j’avais trop de choses à rattraper, trop de questions à poser et je n’avais toujours pas trouvé le courage de mettre sur la table cette idée selon laquelle j’avais soudainement eu le don de contrôler la foudre du jour au lendemain… Enfin… « Contrôler » est un bien grand mot… Tout cela pour dire que j’avais parfaitement conscience qu’Eavan pouvait se lasser de cette situation : je n’avais déjà pas l’impression d’y être à ma place moi-même alors lui ! Après tout, rien ne le retenait plus, il avait rempli sa part du contrat, avec brio même !

- Ça me fait penser… Avec tout ça, je n’ai jamais eu le temps de te dire… Pour tout ce que tu as fait… enfin bref… Mer….

Le remerciement n’avait pas eu le temps de sortir entièrement de ma bouche. La voiture s’était soudain brusquement arrêtée au milieu de nulle part. J’aurais sans doute dû trouver ça louche lorsque le chauffeur n’avait choisi que des petites routes isolées… Mis je m’étais dit que cela avait sans doute avoir avec le protocole de sécurité, vigipirate et tout le bazar ! Sauf que là, le mec était sorti de la voiture, avait passé son chemin et s’en allait au milieu de nulle part, seul. C’était quoi ce délire ?! Je tentais d’ouvrir la portière pour lui demander ce qu’il foutait lorsque je compris que cela m’étais impossible.

- Euh… Eavan ? C’est normal que nous sommes enfermés ?

Et ce Bip Bip Bip Bip c’est normal ? Mais non bordel Alexis ce n’est pas normal !! Les yeux écarquillés d’une terreur glaciale, je sentis mon cœur se figer dans ma poitrine. Une bombe… On allait tous les deux sauter… Et si lui ne pouvait pas mourir, ce n’était vraiment pas mon cas !

- Oh non non non non non !!! Pousse-toi !

Je m’étais jeté vers lui, dos contre son corps, mains dirigées vers ma portière. On ne pouvait pas me foutre la paix ?! On était le 12 Novembre, en 13 jours, j’avais failli brûler vive dans la maison d’une taée en 1865 et maintenant j’allais exploser en mille morceaux ! Quelqu’un voulait décidément que j’y passe et y mettais tout son cœur ! Elle balança alors une charge corsée sur la portière tandis que le bip s’accélérait dangereusement et …


BOOOOOOM !

Elle était désorientée, prise de vertiges, ses oreilles sifflaient de manière assassine. Que s’était-il passé ? La dernière chose dont elle se souvenait, c’était d’un grand éclair, sans doute celui qu’elle avait envoyé vers la portière. Difficilement, elle ouvrit alors les yeux pour constater qu’elle était allongée sur un sol poussiéreux, bien différent du macadam et des verdures qu’elle avait vu juqu’à présent sur la route menant soit disant au Vermont. Se relevant difficilement, elle put enfin voir le paysage qui se dressait devant elle :

- Oh putain… Oh non pas encore !!

Elle était au milieu d’un désert, bien plus ressemblant à celui de la route 66, à l’Ouest qu’à l’endroit où elle aurait dut être, à l’Est… C’était décidé, quelqu’un la haïssait cordialement. Elle était sur le même type de route que celle sur laquelle elle avait atterrie lorsqu’elle avait pris le bateau de Killian Jones pour quitter Neverland… Las Vegas, encore une fois ? Elle regardait autour d’elle pour constater qu’il n’y avait absolument aucune trace de…

- EAVAN ?!

Sa voix se répercuta en écho mais rien, aucune réponse, aucun mouvement. Elle était seule, entièrement seule, désespérément seule. Elle aurait pu s’inquiéter pour l’homme si elle n’avait pas eu sa capacité à se régénérer mais elle se doutait que où qu’il était, il allait bien. Cet homme avait un instinct de survie incroyable, elle ne se faisait pas de soucis pour lui, il savait se débrouiller avec trois fois rien, mieux que McGiver ! Elle en revanche, c’était une autre paire de manche… Elle se souvint alors de son rêve, de cette voix floutée, tout droit sortie de son passée… « Suis le vent Enora »… Mais oui… Pour trouver Storybrooke, elle avait suivi le vent qui se déplaçait de l’Ouest à l’Est… Alors pour retourner à l’Est du continent, il lui suffisait, une fois de plus, de suivre le vent. Humidifiant son doigt à l’aide de salive, elle parvint à mesurer le déplacement de l’élément et se mit à marcher dans la direction qu’il lui indiquait.

Si seulement Judah Weeds était là… Si seulement Hadès, dieu des Enfers était là… Si seulement…

Ouais sauf que Judah il devait être sous la douche car il répondait pas ! Elle était pourtant sûre de s’y prendre comme il fallait ! Pote en carton va ! Même pas foutu d’être là quand on avait besoin de lui ! Elle aurait bien tenté d’appeler quelqu’un d’autre, mais qui ? Pas Elliot qui se serait sûrement foutu d’elle, ni Diane qui aurait été morte de trouille… Hadès était le mec le plus peu concerné par sa personne pour être le candidat idéal… Il n’y avait qu’à marcher en continuant de le prier. Elle n’avait plus de sac, plus de portable, plus de sous, plus rien… que pouvait-elle faire d’autre ?


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[Fe] Les Chevaliers de l'Ordre - Evénement #51 _



________________________________________ 2015-11-11, 08:00

Angus était levé depuis bien quelques heures avant l’aube avant qu’un événement étrange ne se passe sur le pas de sa porte. Il était en effet en train d’étudier la psychologie des criminels et des sociopathes, arrivant sans doute à s’identifier à une quelconque bizzarerie dans tout ses fichiers pdf ou ces vidéos youtube lui donnant un flot d’information continu. L’ancien cheval avait trouvé une nouvelle lubie en plus de celle des chevaux. Il arrive d’ailleurs très bien à communiquer avec ceux du zoo, comme Spirit le lui avait apprit il y a maintenant des mois. Et cette façon de renouer doucement avec le monde animal lui plaisait. En réalité, il voulait essayer de faire concorder le cheval en lui avec l’humain qu’il était devenu, et pour le moment, il s’en sortait plutôt bien. Ses TOC étaient toutefois toujours présent, mais beaucoup moins envahissant que par le passé. Ils se manifestaient surtout en ce qui concerne l’organisation de ses dossiers, de son mobilier, et la propreté de sa chambre.

Alors qu’il cherchait des informations sur les sources de certaines théories du complot, la matinée était plutôt bien avancée, et ce fut à ce moment là qu’il entendit un bruit au pas de sa porte. Quelqu’un venait de frapper. Déjà habillé depuis longtemps, l’ancien cheval prit son ordinateur portable avec lui, le mit dans sa sacoche pour éviter qu’il ne soit abimé et vint ouvrir. Angus ne vit personne, excepté une rose. L’ancien cheval allait pester contre cette coutume imbécile consistant à offrir des cadeaux à la personne que l’on aime un jour précis, mais il se retint car les voisins allaient encore une fois le voir parler tout seul. Il la saisit et la détailla silencieusement. Mais il ne remarqua rien de suspect sur cette rose. Excepté peut-être le bruit léger d’un individu encapuchonné à quelques mètres de lui. Ni une ni deux, Angus prit sa veste et sa sacoche et poursuivit la personne. Sa curiosité avait été trop piquée pour qu’il reste chez lui devant un tel mystère.

Il suivit donc la personne jusqu’à une ruelle où elle disparut avec une vitesse incroyable. Un assassin ? Un ninja ? Angus était dorénavant absorbé par tout ceci. Avant de s’engager dans la ruelle, il vit cinq enveloppes disposées soigneusement. Angus s’est de l’une d’entre elle et l’ouvrit. Un nom était marqué dessus. Il s’agissait d’un billet pour… Disneyworld. Angus fronça les sourcils. Qui prendrait la peine de payer des places à certains habitants de Storybrooke pour un parc d’attractions comme Disneyworld ? Le nom sur le billet était : Emma Swan. Sans attendre, Angus ouvrit les autres enveloppes pour retrouver son nom. D’autres personnes semblaient être invitées, notamment l’ancienne maire de Storybrooke. Quand il trouva son nom, l’ancien cheval examina le billet dans son ensemble pour être sûr qu’il ne s’agissait pas d’une arnaque. Pour lui, le mystère s’épaississait de plus en plus. Il mit les enveloppes dans une pochette de sa sacoche, mais l’une d’entre elle tomba par terre. Celle où était marquée “Tara Duncan”.

Entendant les bruits d’une conversation, il poursuivit son chemin à travers la ruelle et fit la rencontre d’Emma Swan et de Regina Mills. Avec chacune une rose. Celles-ci se demandait ce qu’il venait de se passer et Angus ne se fit pas prier pour apporter une réponse. Donnant leur billet, il ajouta d’un ton froid :
“Ceux qui ont fait ceux-ci sont plutôt fascinant.” Ce qu’il n’avait pas remarqué, c’était le fait qu’un homme venait de faire son entrée, avec le même schéma. Une rose et une enveloppe. “Très fascinant.” Angus ne se souciait nullement de l’identité de l’homme. Il cherchait plutôt à comprendre le pourquoi du comment. Il aurait le temps de nouer des liens plus tard.


Tara Duncan
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Tara Duncan

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[Fe] Les Chevaliers de l'Ordre - Evénement #51 _



________________________________________ 2015-11-11, 15:27

[Fe] Les Chevaliers de l'Ordre - Evénement #51 RJyHyYQ[Fe] Les Chevaliers de l'Ordre - Evénement #51 Disney3
In God, we Trust


La nuit avait été longue, très longue. De garde dans mon secteur, j’étais rentrée chez moi aux alentours de 19 heures avec le biper que l’on m’avait assigné à mon embauche. Je savais ce que signifiait une nuit de garde. Très peu de sommeil, beaucoup d’alerte, beaucoup de stress et surtout beaucoup de déplacements. Habitant non loin de l’hôpital, j’ai tout de même pris la décision de rentrer chez moi. C’était risqué, mais la journée avait été longue et j’avais encore un peu d’espoir de pouvoir dormir ce soir. Malheureusement pour moi, le premier appel fut vers 20 heures ce qui m’obligea a rejoindre l’hôpital pendant une petite heure. Assignée en pédiatrie depuis que j’avais obtenue le diplôme de puéricultrice, j’avais vu mes responsabilités augmentées, ce qui n’était pas que négatif. J’étais donc retournée dans mon service voir la petite Lucy qui avait fait une poussée de fièvre soudaine. Pas de drame pour la nuit, il y avait eu plus de peur que de mal. J’étais donc retournée chez moi dans l’espoir de me coucher et de ne me réveiller que le lendemain.

Durant la nuit, j’avais eu deux autres appels d’urgence qui m’avait volé quelques heures de sommeil. Au deuxième, je m’étais résignée à rester à l’hôpital jusqu’à sept heures, à la fin de mon service. Somnolant dans la salle de pause, je récupérais tant bien que mal de ma journée et nuit mouvementée. Réveillée par ma collègue, j’avais fais quelques transmission avant de rentrer directement me coucher. Toujours habillée, je m’étais affalé sur le canapé, pensant prendre quelques minutes de repos pour chercher le courage d’aller me doucher et me changer pour aller me coucher. Courage qui était bien plus dur à trouver que ce que je pensais. La fatigue, plus forte que tout, m’emporta dans les bras de Morphée à peine quelques minutes après m’être allongée.

La sonnette de l’entrée retentit quelques heures plus tard. Réveil en sursaut, pas le plus agréable du monde, je mis quelques secondes à reprendre mes esprits. Mince, je m’étais endormie sur le canapé. La tête là où je pense, je m’étirais et baillais quelques secondes avant de me lever pour aller ouvrir la porte. Mara et Jar était surement déjà partis. Ils auraient tout de même pu me réveiller. Heureusement que je ne travaillais pas aujourd’hui. J’enfilais une veste tout en arrangeant mes cheveux un peu ébouriffés. Je n’avais pas dormis longtemps, il ne me faudrait pas longtemps pour me réveiller. La chose pratique de se préparer le soir pour une nuit mouvementée, c’est qu’on était un minimum présentable le lendemain matin.

Arrivée devant la porte, je regardais par le petit trou de l’entrée. Ne voyant personne, je finis par ouvrir cette dernière et de m’avancer pour regarder autour de ma porte d’entrée. En avançant mon pied, j’avais sentis quelque chose sous ma chaussette me piquer la plante de pied.

- Aïe !

Je relevais vivement mon pied en grimaçant. Je venais d’écraser… Une rose ? Qu’est-ce qu’une rose faisait là ? Maintenant à moitié écrasée, je me baissais pour la ramasser et éviter de me piquer de nouveau avec les épines. Elle perdit quelques pétales, mais restait tout de même d’un rouge vif. Elle était vraiment magnifique, malgré son aspect un peu plat après mon passage. Je relevais les yeux pour voir qui avait pu la déposer sur mon paillasson. La personne devait s’être trompée, je ne recevais certainement pas de rose d’inconnu, Jar non plus… Et j’espérais que Mara non plus, sinon, j’allais avoir deux mots à lui dire.

Je relève les yeux vers la rue, cherchant du regard une personne susceptible d’être l’auteur de ce petit cadeau. Mon regard s’arrêta sur une silhouette de femme habillée de noir. Assez loin, lorsque nos regards se croisèrent, elle se mit à courir vers différentes petites rues. Ma curiosité piquée à vif, j’enfilais rapidement des chaussures pour partir à sa poursuite. Qu’est-ce qu’elle pouvait bien avoir à se reprocher pour partir en courant comme ça ? La rose encore à la main, je tentais de la poursuivre et de ne pas la perdre de vue. Chose difficile vu la distance de base entre nous et sa rapidité. Je n’étais pas lente, mais je n’étais certainement pas plus rapide qu’elle. Course poursuite dans de petites rues, je finis par la perdre totalement de vue. Essoufflée, je me stoppais pour reprendre doucement mon souffle.

- C’est pas mon jour…

Les mains sur mes genoux, je soufflais en regardant vers le sol. Une enveloppe attira mon attention. Peut être était-ce cette femme qui l’avait faite tomber. Je m’approchais pour la saisir. Lorsque je la retournai, mes yeux s’écarquillèrent. Sur cette dernière, mon nom était marqué en toute lettre. Attendez, mon nom ? Cette personne savait donc qui j’étais. Et la rose m’était bien destinée. Même si je n’avais pas une vue exceptionnelle, je pense que j’aurai reconnu la femme si je la connaissais réellement. Sans compter que les femmes, ce n’était pas trop mon domaine. Intriguée, je ne pus m’empêcher d’ouvrir l’enveloppe, imaginant mille et une théories sur sa contenance.

Alors là, c’est bien la dernière chose que je pensais voir. Je sortis le ticket d’entrée du célébrissime parc d’attraction Disneyworld en le fixant quelques secondes. Non, vraiment ? Etait-ce un des coups farfelus de Jack ? A moins qu’il ne se soit fortement féminisé depuis notre dernière rencontre, je ne pense pas.

Je n’avais pas porté attentions, jusqu’à maintenant, aux voix dans la ruelle adjacente. JE m’avançais alors, me demandant si notre regroupement n’était pas volontaire. En arrivant, je vis un petit groupe de trois personnes, tous portant une rose. Je reconnaissais Emma Swan de réputation et surtout pour son intervention dans notre folle course poursuite. Si je me souvenais bien, c’est elle qui avait stoppé une tortue et ramené l’homme qui la chevauchait. Regina, qui avait pu m’aider quelques fois à maîtriser ma magie, et un homme dont j’ignorais l’identité.

- Vous aussi vous avez reçu une rose.. Et un ticket pour Disneyworld ?

Au vu de leur tête, certains n’étaient peut être pas au courant de la contenance de l’enveloppe. Mince, j’ai parlé trop vite. Mais lorsque chacun ouvrit la sienne, je pus constater que, comme je le pensais, nous étions tous rendu au même point.

- Vous avez vu qui était cette femme ?


C’était quand même la question qui me trottait le plus dans la tête. C’était bien gentil de nous offrir une rose et un ticket pour Disney, mais est-ce que c’était sérieux ? Logiquement, j’aurai répondu non, mais bizarrement j’avais un mauvais pressentiment.

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________________________________________ 2015-11-11, 19:06

Chevaliers de l’Ordre
Tara, Regina, Emma, Angus, Kai, Alexis & Eavan

Who trust in God anyway…

Un Enfer.

Voilà où il était tombé. Sans blague, on pourrait croire qu’avec son passé il aurait connu pire (ce qui n’était pas complètement faux), mais là ça devait probablement se trouver au même niveau que son passage à l’asile. S’il voulait être franc, c’était même assez semblable sur bien des points : Des horaires à respecter, une image à donner, des mensonges à débiter chaque fois qu’il ouvrait la bouche. Ouais, définitivement un air de déjà vu. La différence étant qu’il pouvait se permettre de ne rien dire du tout, mais que s’il merdait les conséquences seraient plus graves. On ne peut pas tout avoir dans la vie. Le bon côté étant aussi que pour une fois tout ce bordel tombait plus ou moins au moment où il était le plus lucide possible, ce qui était un avantage non négligeable quand on prenait des vacances dans un panier de crabes pareil.

Oui parce qu’il avait abandonné l’idée de considérer ça comme un job, à ce stade c’était vraiment des vacances. Forcées. Il aurait déjà tracé la route depuis longtemps si ce n’était pour Alexis qui tenait à rester. Et s’il rentrait sans elle, il pouvait affirmer sans le moindre doute que Regina allait trouver le moyen de l’éliminer. Malédiction ou pas. Le temps passait à une vitesse atrocement longue. Et pour quelqu’un comme lui, c’était quelque chose de nouveau. Le temps qui passe, ça ne l’avait jamais vraiment perturbé. Faut croire que surveiller tout ce que tu fais et tout ce que tu dis avait cet effet sur les gens. Le point positif c’est qu’on ne l’avait pas encore envoyé promener, quoi qu’ils s’imaginent sur lui et le rouge-gorge, ça lui donnait l’opportunité de rester dans le coin le temps qu’elle se décide à bouger, il n’allait pas les contredire. Aujourd’hui il ressentait un certain soulagement à l’idée de partir d’ici et il n’attendais qu’une seule chose : qu’ils se décident à mettre les voiles jusque dans le Vermont. La capitale, il ne supportait plus. L’enfermement, le protocole ! Ça allait le rendre encore plus dingue qu’il ne l’était déjà. Une fois dans l’habitacle (sérieux que sa caisse lui manquait), le monde extérieur devint juste un bruit étouffé comme s’ils étaient dans une bulle. La paix. Enfin. Au moins le temps du trajet. Même le rouge-gorge semblait plus calme, un peu trop à son gout d’ailleurs. Elle prenait trop ses aises dans cet environnement et ça le perturbait de plus en plus. Elle savait qu’elle ne pouvait pas rester pas vrai ? - Très joli ton costume… ça… ça te va bien ! Il lui jeta un regard perplexe, avant de porter son regard sur son propre costume. Pas la première fois qu’il en portait un, il en avait, pour quand ça le prenait, mais c’était vrai que celui-là devait valoir une petite fortune. Il le détestait d’office. Les conventions auraient probablement voulues qu’il lui retourne le compliment… sauf qu’il ne le voulait pas. Il la scruta lentement de la tête aux pieds, la coiffure, le maquillage, les bijoux, les habits et jusqu’à la paire de chaussure. Ça n’était pas elle, et il avait l’impression de parler à quelqu’un d’autre. Il préféra se taire, pour une fois il valait mieux qu’il la ferme plutôt que de répondre. Les femmes ont tendance à être susceptibles quand il est question d’apparence.
- Tu sais… Si tu veux rentrer… Si tu ne veux pas m’attendre… Je comprendrais ! Je me débrouillerais… Je ne sais pas encore quand je voudrais partir… Ah… ben la voilà sa réponse : elle était pas prête de rentrer, et lui non plus dans la foulée. Il se contenta de poser son crane contre l’appuie-tête en fermant les yeux. Nope, il n’allait pas bouger de si tôt. C’est lorsqu’Alexis fut coupée dans son élan par l’arrêt de la voiture qu’il ouvrit les yeux, alerte, essayant d’apercevoir pas les vitres teintées le pourquoi de la chose. Le protocole avait énormément de défauts à ses yeux mais il avait aussi un avantage : la sécurité. En cas de transport, il y avait des règles précises et vu son expérience dans l’acheminement de biens de valeur il pouvait en reconnaître l’intérêt. Ils ne pouvaient pas être déjà arrivés, le trajet était beaucoup trop court, et il ne s’agissait pas non plus d’une panne, la voiture fonctionnait correctement. En voyant le chauffeur quitter l’habitacle il se tourna subitement vers sa portière avec un ordre bref à l’intention d’Alexis. « Sors. »

Mais sa portière était fermée, et la sienne aussi. Magnifique, de mieux en mieux. Le bruit caractéristique d’un engin explosif lui fit tourner toute son attention vers la vitre de la portière à laquelle il donna un coup puissant. Une légère fissure apparut, et sa phalange en se ressoudait trop lentement à son goût. Il était fort, mais voiture présidentielle oblige, les vitres étaient renforcées contre toute attaque possible et inimaginable. Sans attendre il recommença son manège s’il arrivait à briser la vitre, il pourrait virer Alexis avant que tout ne saute. Il allait retenter une troisième fois sans grands résultats lorsqu’elle le poussa en arrière pour se coller à lui et tendre les mains vers sa portière. Qu’est ce qu’elle fabriquait encore… Son histoire d’éclairs ne lui revint qu’une fraction de seconde avant qu’elle n’envoie une salve foudroyante sur le bout de métal… et que le décompte inconnu arrive à son terme dans un bruit assourdissant.

Les explosions, habituellement, il n’était pas fan. C’était douloureux, et ça guérissait lentement. Ce coup-ci, il fut surpris de constater… qu’il n’avait pas grand chose à guérir. Son oreille interne déconnait un peu et l’empêchait de rester droit pour garder l’équilibre, mais à part ça, et son costume, tout allait plutôt bien. Pas spécialement logique vu que dans son dernier souvenir il se trouvait à l’intérieur de la voiture. Avec Alexis. Il lui fallut une petite seconde avant de récupérer une vue à peu près nette de ce qui se trouvait autour de lui et scruter l’horizon. Comment ils avaient atterris dans un putain de désert déjà ? Il enleva sa veste en lambeaux sans même lui accorder un regard supplémentaire et la jeta un peu plus loin, remontant les manches de sa chemise qui semblait avoir morflé un tantinet aussi dans la foulée. Mais pour l’instant elle était toujours portable, c’était tout ce qui l’intéressait. Il était tombé en plein milieu d’une étendue aride, et s’il pouvait se fier à la flore du coin, il n’était certainement pas arrivé dans l’état des montagnes vertes. Un bruit de moteur au loin lui fit prendre la direction d’un petite dune. Une fois de l’autre côté il poussa un léger soupir de soulagement. Alexis en train de crier après une voiture qui avait apparemment refusée de s’arrêter pour elle. Au moins il savait où elle était et qu’elle était en vie.

Il la rattrapa tandis qu’elle continuait à avancer le long de la route, avec une posture digne d’un gosse de 5 ans en train de bouder. De plus près elle avait l’air d’aller bien, échevelée, mais bien. A se demander pourquoi l’autre bagnole ne s’était pas arrêtée pour une jolie fille. Vu l’affluence dans le coin, à ce rythme ils y seraient encore demain. « Tu sais où tu vas au moins ? » Elle sursauta violemment, elle ne l’avait pas entendu approcher. Un jour elle allait se faire tuer comme ça. Elle bafouilla un truc sur le vent qu’il écouta d’une oreille, son attention attirée par quelque chose dans son cou. Sans prévenir il passa sa main sur sa nuque pour pousser ses cheveux sur le côté, et fronça les sourcils. « Depuis quand tu as un tatouage ? » Pas que ça le gène tant que ça qu’elle en ai, mais il était prêt à jurer qu’elle n’avait rien ici jusqu’à maintenant. La forme : « ∴ », trois petits points en forme de triangle qui semblaient le narguer juste sous son nez. Il la relâcha tandis qu’elle passait la main dans son cou, avant de le tourner à moitié et confirmer ce qu’il craignait. Lui aussi en avait un. Génial, un mystère de plus. Et aussi étrange que ça paraisse, ça ne le dérangeait pas tellement qu’on essaye de le tuer avec une bombe, mais que quelqu’un s’amuse à le marquer le gonflait tellement que s’il mettait la main dessus il allait le tuer très, très lentement. Il avait vécu comme du bétail pendant assez longtemps pour que la simple idée d’être à la botte de quelqu’un déclenche en lui une colère froide qu’il conservait pour utiliser quand il en aurait vraiment besoin.

Un bruit de moteur détourna son attention d’Alexis à côté de lui, vers une petite voiture vert pomme qui roulait tranquillement dans leur direction. Sans prendre la peine d’y réfléchir à deux fois il se mit en plein milieu de la route, le conducteur freinant précipitamment et le pare choc s’arrêtant à quelques centimètres de lui. De près il pouvait voir un couple d’une petite soixantaine d’année qui le regardaient avec des yeux terrifiés. Il fit le tour jusqu’à la portière conducteur qu’il ouvrit comme si c’était la sienne. « On emprunte votre voiture. » Ce n’était pas précisé avec un ton le moins du monde agressif, mais c’était clairement un ordre et ils l’avaient bien compris. Il se recula pour les laisser sortir, la femme jetant un petit coup d’œil apeuré à son mari, et reporta son attention une seconde sur Alexis… qui lui jetait un regard noir. Quoi encore ? Il lui avait trouvé une voiture non ? Il leva les yeux au ciel tandis que son rouge-gorge se mettait à discuter avec le couple pour les rassurer. Leur affirmant qu’ils n’allaient pas les abandonner au milieu du désert, et leur rendrait leur voiture dès qu’ils seraient arrivés à destination. Appuyant ses paroles avec un nouveau regard noir, comme pour le défier de dire le contraire. Il se contenta d’un signe de la main sarcastique en direction de leur nouveau véhicule : qu’elle fasse comme elle voulait ! Restant du côté d’Alexis, qui franchement était plus avenante que lui et il le comprenait, le couple s’installa à l’arrière cette fois-ci, la brunette dans le siège passager, et lui, enfin, au volant. Sérieux que ça lui avait manqué. C’était pas sa Challenger, mais c’était mieux que rien.

Il se concentra sur la route tandis que les retraités à l’arrière se détendaient lentement et faisaient la conversation à Alexis. Il le voyait déjà, elle les trouvait charmants. Elle allait lui faire la gueule jusque dans le Maine maintenant. Les femmes… Au bout d’une petite demi-heure ils arrivèrent enfin en vue du premier bâtiment depuis leur départ. On aurait dit une station service un peu fatiguée, mais en plein désert il ne s’attendait pas à grand chose. Il s’arrêta dans le petite parking vide, personne en vue. La vraie question était : qu’est ce qu’ils cherchaient à faire là ? Parce que rentrer c’était bien beau, mais rentrer où ? Storybrooke, il sentait qu’Alexis allait protester. Washington ? Probablement pas une bonne idée vu l’attentat auquel ils venaient d’échapper. Et la bombe en question… est-ce que c’était destiné au Président, ou est-ce que ça avait été prévu pour eux depuis le départ ? Par qui et pourquoi ? Revenir comme une fleur en présence du couple présidentiel est-ce que c’était une bonne idée ? Il jeta un coup d’œil en coin à Alexis, il ne voulait pas lui dire mais elle devait envisager que ses parents n’y étaient pas pour rien. Elle était une fille cachée qui refaisait surface après tout, c’était pas une idée à exclure. Il sortit de l’habitacle accompagné de la petite brune et se dirigea vers la station, de toute façon ils avaient besoin d’eau et d’un téléphone. Il ne savait pas encore pour qui appeler, mais ça pourrait se révéler utile. A l’intérieur pareil, pas âme qui vive à part un type affalé derrière le comptoir et les pales du ventilateur au plafond qui tournaient paresseusement, faisant plus bouger l’air chaud que rafraichissant l’atmosphère…

Code by AMIANTE



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________________________________________ 2015-11-12, 06:35

AND IIIIIIIIIIIIII II IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII WILL ALWAYS LOVE YOUUUUUUUUUUUOUOUOUOUUU

*bruit de réveil qui s'écrase dans le mur*


Oh putain ca m'a fait peur. Et merde, un deuxième réveil en moins d'un mois. Je vais me faire défoncer par les parents c'est sur. Enfin. Alors, au radar la salle de bain c'est par là.

"AIE, fait huuuunn !" Le fameux coin du lit dans le petit doigt de pied. Cette journée commence mal. En plus, pendant que je me brossais les dents avec mon super dentifrice gout menthe fraîche, admirant ma coiffure digne d'un chien de chasse sortant d'un buisson mouillé, je me rappelle que j'ai un superbe cours de littérature qui m'attend. Et j'aime pas la littérature.
Je finis de m'habiller, non je ne prends pas de douche pour ce qui se pose la question, je ne la prends que les jours impairs. Premièrement c'est mauvais pour la peau et deuxièmement j'ai la flemme de la prendre tous les jours. Et puis, après avoir renifler mes dessous de bras pour vérifier, je ne pue pas tant que ça. Je sens l'adolescent quoi. Du coup, un t-shirt star wars, pour soutenir les collègues, un petit jean troué au niveau des genoux (c'est fait exprès, la mode tout ça) et on est parti pour le seul moment que j'apprécie le matin.

LE CAPPUCINO !!!

DRIIIIIINNNNGGGG

Alors je verse les cuillère dans la tasse pendant que la bouilloire chauffe ...

DRIIIIIINNNNGGGG

Je mets deux sucres, mélange en versant l'eau et sent la bonne odeur de ....

DRIIIIIINNNNGGGG

"LES VIEUX CA SONNE !!!" Je vais quand même pas aller ouvrir, je viens de me lever faut que je me ménage.
Tout en prenant une tasse de ma boisson préférée, savourant la chaleur de mon breuvage descendre dans mon corps je me souviens que mes parents sont absents ce matin. Je pose donc ma tasse et file à la porte en espérant que la personne qui sonnait soit encore la.

"Bonjour ...." Personne. Une rose et une enveloppe, qu'est ce que ça fout la. Je les ramasse puis regarde dans la rue si je ne vois pas quelqu'un, il a pas pu s'envoler le mystérieux Roméo. Ah là bas. Bon bah je chope mon sac que j'avais mis devant la porte comme tous les matins, je saute dans mes baskets (l'avantage de ne pas trop les serrées) et je file à sa poursuite.
Je le rattrappe pas du tout alors j'accélère la cadence. Faudrait pas qu'il se barre quand même. Mais j'ai la désagréable sensation de pédaler dans la semoule. Je veux dire, je sais que j'avance, le décor bouge, mais je ne me rapproche pas de lui. Pas du tout. Comme dans ces mauvais rêve ou peu importe l'énergie que l'on met dans l'effort pour rattraper la personne que l'on suit on y arrive pas. Bah pareil mais en vrai. C'est encore plus frustrant.

Ah, il tourne dans une impasse. Ahah je vais le ...

"Je te tiens petit ... "

Ok, le mec a disparu, ils sont quatre à me regarder comme si j'étais un mec qui vient de débarquer de nul part en courant à vive allure et venant de sortir une punch line sans aucun sens pour eux. Et en plus dans le tas, je crois reconnaître l'ancienne maire accessoirement méchante reine et l'ancienne shérif. Bon t'inquiète mon gars, dit bonjour, fait demi-tour et part comme si de rien était la tête presque haute. Attends, ils ont aussi une rose et une enveloppe.

"Vous aussi vous avez ... Pardon, bonjour, madame, madame, tout le monde, vous savez quelque chose ?"


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________________________________________ 2015-11-12, 11:34



Les Chevaliers de l'Ordre


Bon, apparemment, Emma aussi était dans le même cas que moi et elle avait une rose à la main. Un admirateur secret ? Dans ce cas, il avait vraiment des progrès à faire et puis de toute façon, la silhouette était une femme. « Elle a disparue comme sa ...et sa n'avait rien de magique...tu a déjà vue ça quelque part ? Ou alors c'étais de la téléportation. » , je fis un signe négatif de la tête à la blonde avant de finalement me reprendre « Je peux t’assurer que cette silhouette qui soit-elle n’avait rien de magique. », mais pensant être les seules dans ce cas, d’autres personnes ne tardèrent pas à nous rejoindre, une rose à la main, mais c’était quoi ce délire ?

L’homme qui venait de nous rejoindre nous tendit une enveloppe chacune avec nos noms inscris dessus, particulier…très particulier. Tara nous rejoins à son tour, je leva les yeux vers elle et haussa les sourcils « - Vous aussi vous avez reçu une rose.. Et un ticket pour Disneyworld ? », un ticket pour disneyworld ? Sérieusement ? J’ouvris l’enveloppe et me rendis compte que j’avais bel et bien un ticket pour le parc d’attraction. Je le remis dans l’enveloppe et la fourra dans ma poche. « Aucun de nous ne sait qui était cette femme mais apparemment, on l’a tous plus ou moins suivie. », mais alors que je commençais à réfléchir, un garçon que je ne connaissais pas venait de nous rejoindre, avec une rose à la main et un billet pour Disneyworld, j’haussa à nouveau les sourcils « C’est…hallucinant. »

Ils se tournent vers moi « Ben quoi ? », bon on avait tous un billet pour Disneyworld, le mieux à faire, c’était d’y aller non ? Histoire d’en savoir plus et surtout de savoir de qui ça venait parce qu’apparemment, ça ne venait d’aucun de nous, sans doute la femme en noire. Je croise les bras sous ma poitrine, la rose toujours en main et regarde les autres « Bon, vous avez une idée pour y aller ? Parce que c’est pas tout près… », soudainement, tous les regards se posent sur moi. Je décroise les bras et les regardent à mon tour, ils me fixent tous avant que je ne comprenne « Oh…non…non… », ils continuent de me regarder. Après tout, c’est sans doute le moyen le plus rapide, je soupire et finis par craquer « Bon ok, je nous téléporte. »

Je range l’enveloppe dans ma poche ainsi que la rose en la mettant dans un sachet pour ne pas me piquer et regarde tout le monde avant de bouger légèrement la main et qu’on ne se téléporte tous dans un nuage violet jusqu’à une autre ruelle, un peu plus éclairée ceci dit et vu le bruit non loin, on était arrivés à bon port. Je regarde tout le monde « Bon au moins, on a pas atterris en plein milieu de la foule, ça aurait été drôle néanmoins et ça fera cinquante euros chacun », Emma me regarde, je souris légèrement « Je rigole… », on sors tous de la ruelle et on se dirige vers l’entrée de Disneyworld, genre un immense portail avec le château de Cendrillon et non loin, Mickey en mode gros plan taillé parfaitement dans la haie centrale, je pousse un léger soupir, espérant surtout ne pas croisé mon double "disney" parce que ça serait vraiment consternant « Bienvenue à Disneyworld… Venez, c’est là pour les billets. », on se dirige vers les caisses et la caissière me regarde d’un air bizarre avant qu’on ne lui tende les billets « Attendez ici s’il vous plait. », je fais un signe approbatif de la tête mais vu le regard qu’elle m’avait lancé, ça me semblait bizarre, je tourna le regard vers les autres « Je sais pas pourquoi mais je la sens pas du tout cette petite virée à Disneyworld… »
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________________________________________ 2015-11-12, 19:52


Les chevaliers de l'ordre

Feat Alexis,Eavan,Tara,Regina,Kai & Angus
Très bien donc nous étions sur la même longueur d'onde,la femme n'avais pas disparue via magie,donc il s'agissait de toute autre chose,seul bémol c'est que je n'avais aucune idée de ce que sa pourrait bien être,je n'avais pas le pouvoir de savoir qui était quoi,se qui aurait pu être un sacrer avantage.Je tournais la tête pour observe l'homme qui nous avait rejoins,il ne me disait rien et il ne s'empressa pas de se présenter d'ailleurs,mais il lui tendit un ticket pour Disneyworld."C'est une plaisanterie ?."Murmurais-je tout en regardant mon nom sur le ticket,la personne ne c'était pas donner beaucoup de mal pour attirer notre attention,quelque chose ce tramait et sa n'annonçais rien de bon,je plaçais discrètement ma main sur mon bras,me remémorant la dernière fois ou j'avais quitter la ville,j'avais finit par passer un bon bout de temps a l’hôpital et je n'étais pas prête a me lancer dans une nouvelle aventure,mais mon côté curieux avait été titiller et je voulais savoir pourquoi on m'avais inviter a Disneyworld.

Je fut tirer de ma réflexion par l'arriver d'une jeune femme puis d'un jeune homme,eux aussi semblait avoir suivit la fameuse femme encapuchonner et eux aussi avait eu le droit a une rose.J'hochais la tête négativement a la question du jeune homme avant de m'éclaircir la gorge."Emma Swan...si on doit passer un bon bout de temps ensemble autant que je sache a qui j'ai affaire a part Regina."A y regarder de plus près l'autre jeune femme me disait quelque chose,je pris le temps d'y réfléchir et soudain la réponse me vint,je l'avais vaguement croiser quand j'avais été a la poursuite de Jefferson sur le dos d'une tortue il y a plusieurs mois de cela.

Mon regard c'étais ensuite porter sur Regina ,si il y avait bien une personne qui saurait nous emmener a Disneyworld sans qu'on est a prendre l'avion ou la voiture c'était-elle,je ne maîtrisais pas assez ma magie pour me déplacer entre de longue distance,alors je ne préférais pas tenter le diable,autant laisser les plus doués en magie s'en charger.Je la fixait intensément du regard jusqu'à se qu'elle comprenne que c'était a elle de nous y emmenez.

Pas le temps de dire ouf que nous nous retrouvions dans l'état de la Floride plus précisément a Orlando,j'étais déjà venue une fois il y a longtemps ,a l'époque ou j'habitais Tallahassee après ma sortie de prison.J'observais les alentours nous avions de nouveau atterrie dans une ruelle ,j'espérais que sa n'allais pas devenir un thème pour la journée....et ça fera cinquante euros chacun."De nouveau je fixais Regina en arquant un sourcil avant de sortir de vérifier que tout le monde était bien la,bien il était temps de découvrir se qu'il nous étaient réserver a Disneyworld.

"Moi non plus,mais nous n'avons pas le choix,si on veut découvrir se qu'il se trame,on doit y entrée."Quelque instant plus tard,un homme en costume se dirigeais vers nous avec un cast member juste derrière lui,il avait un grand sourire au lèvre et semblais nous avoir attendue."Bienvenue à DisneyWorld. On ne savait pas exactement à quelle heure vous arriverez, du coup désolé si on n'est pas venu vous accueillir de suite et qu'on a dû vous faire patienter."C'était donc bien préparer car il nous tendit ensuite a chacun un badge VIP pour accéder rapidement aux attractions,ceux qui nous avaient inviter voulaient vraiment qu'on passe un bon moment.

"Vous savez qui nous a inviter ici ?."Son sourire semble s'élargir encore plus,mes sourcils se fronce ,les gens trop souriant sa cache parfois des choses.

"La ville de Storybrooke. Allez vous amuser, ne perdez pas de temps !"Je l'avais fixer du regard,il avait bien dit la ville de Storybrooke ? Pourquoi la ville de Storybrooke nous inviterais nous a aller a Disneyworld et n'avais pas tout simplement organiser un voyage pour les enfants ? C'était eux qui seraient bien plus intéresser a y aller et puis pourquoi le coup des roses ? C'étais vraiment très louche.L'homme nous montra ensuite l'entrée pour que nous puissions passer avant de sortir une enveloppe de sa poche."Ah et... J'allais oublier le principal. Votre petit bonus." Il me tendit l'enveloppe avant qu'il nous incite vraiment a entrée dans le parc,j'attrapais l'enveloppe d'un geste sec,lâchais un merci au type a costume avant d'entrée dans le parc ,je m’avançais tout en évitant de rentrer en collision avec une poussette avant de m'arrêter dans un coin a peut près éloigner de la foule pour ouvrir l'enveloppe,je remarquais que les autres m'avais rejoins.

"Le plus brave pourra ouvrir la porte vers votre avenir."Lisais-je a haute voix,avant de lever les yeux pour observer les autres,voir si quelqu'un avait une idée de se que cela pouvais bien dire.


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