« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
C’était pas si mal en fait, c’était un coin très agréable passé tous les ennuis pour y accéder. Elle aurait presque pu s’y habituer. Maya aurait probablement adorée venir, elle lui aurait donné le nom de certaines des fleurs ou dit pourquoi tel arbre avait des feuilles comme ça et pas autrement. Elle en savait autant sur la vie en forêt que Cléo sur la vie sous l’eau. Elles pouvaient passer un temps fou à se raconter des anecdotes devant un bon muffin. D’ailleurs ça lui faisait penser qu’elle avait un petit creux… Tout en continuant à marcher, elle défit son petit sac-à-dos et se mit à fouiller dedans. Elle n’avait pas prévue de passer la nuit dans la forêt donc elle ne s’était pas chargée comme les autres, avec leurs tentes et leurs sacs de couchage. Il y en avait eu au moins une sur la colline quand elle y était, les autres, elle n’était pas sûre. Par contre elle n’était pas non plus venue sans rien. « Aha ! » Elle sortit une barre chocolaté de son sac de manière triomphale, avant de le remettre sur son dos et déballer tranquillement l’emballage. On ne part pas en expédition où que se soit sans emporter à grignoter.
Mâchouillant son petit bout de céréale, elle arriva enfin là où elle pensait avoir entendu la voix du petit ours, mais il n’y avait personne. Elle tourna sur elle même en cherchant du regard un signe quelconque, un petit bout de chapeau rouge par exemple. « Je suis là ! » Elle l’avait dit pour l’appeler mais dans son esprit ça sonnait comme un de ces autocollants mis sur les plans dans les centres commerciaux pour savoir où on se trouvait : A droite du palmier et en face de la grosse fougère. < b>« Cléo! » La blondinette fit un demi-tour sur elle même et failli s’entortiller les jambes dans le processus. « Sally ! » La gentille demoiselle qui cherchait son bras plus tôt était là elle aussi (il faudra qu’elle pense à lui demander comment elle pouvait détacher son bras comme ça, son ancienne vie devait être particulièrement intéressante). Elle lui fit un sourire éblouissant, elle la trouvait gentille. Elle était jolie aussi, mais ce n’était pas le moment de regarder les jolies filles. « Du chocolat ? » Elle lui tendit un morceau de sa barre chocolatée. C’est sur ces entrefaites que Paddington, l’ours perdu, retrouva tout le monde. « Paddington ! » Ils étaient enfin tous réunis au même endroit. Du moins de ce qu’elle en savait, après tout elle n’avait aucune idée de comment ces deux là étaient arrivés jusqu’à elle.
Elle allait lui proposer un bout de sa barre chocolatée comme à la brunette, quand elle réalisa qu’il tenait quelque chose… d’énorme comparé à son petit corps, tout contre lui. Quoi que se soit, c’était mignon : ça ressemblait à un gros hérisson dodu, mais sans les épines. Et d’après le petit ours il était plus petit à l’origine. « Il est adorable ! » Elle lui passa doucement la main sur sa tête toute douce. « Mais s’il a grandit aussi vite en aussi peu de temps, ce n’est probablement pas une bonne chose. » Pour lui, ou peur eux. Cela n’empêche qu’il était mignon. Elle fit une dénégation de la tête à l’ourson, ça ne lui disait rien. Elle était perdue dans la contemplation de la petite (moyenne) créature à fourrure quand tout à coup un bruit strident se mit à résonner tout autour d’eux accompagné d’un message en boucle. « Attention : Intrus dans la Zone 5.1 ! » Cléo sursauta au premières notes et se mit à tourner à droite à gauche, paniquée. Qu’est ce qu’il se passe ? Qu’est ce qu’ils ont fait ? « On a cassé quelque chose ? Oh non on a cassé quelque chose ! » Et elle n’était même pas chez elle, comment est-ce qu’ils allaient rembourser maintenant. Et si c’était encore pire, peut-être qu’ils avaient pollués l’habitat de la petite créature-hérisson. Elle se tourna vers lui dévastée, peut-être qu’il ne doit pas entrer en contact avec d’autres espèces. Ça arrive avec certains crustacés, ils peuvent tous en mourir si on introduit un autre individu dans son habitat. Elle avait causé la perte d’une autre créature vivante… Elle mit la main devant sa bouche. Elle allait sûrement être malade.
Un bruit de sifflement lui fit lever les yeux vers le ciel. D’autres créatures se dirigeaient vers eux. Trois choses volantes non identifiées se dirigeaient à grande vitesse vers leur position à tous. Elle était d’avis de se rendre franchement, ils l’avaient mérité. Mais un coup d’œil plus attentif lui fit réviser son opinion. Ils n’avaient pas l’air très amicaux, même pour des gardiens. Son deuxième choix fut de prendre la fuite. Une mauvaise idée en voyant Paddington toujours avec son lourd fardeau dans les bras. Ce qui ne lui laissait qu’une troisième option… Elle était triste tout à coup, les choses allaient si bien, et maintenant elle faisait du mal autour d’elle. Mais ce n’est pas comme si elle avait le choix ! C’était l’excuse des tyrans, elle était pathétique, elle ne méritait pas la compassion, elle—rammassa une pierre sur le sol et prit une grande inspiration. Pourvu qu’elle ne blesse personne. Avec tout l’élan dont elle était capable elle la lança sur l’une des choses volante. Elle resta éberluée à regarder sa pierre atteindre l’objet de plein fouet et lui faire faire des étincelles et de la fumée, avant qu’il ne change de trajectoire et ne fonce sur celui à ses côtés. Les faisant se crasher tous les deux au sol dans une petite explosion. « Désolée ! » Avec une petite grimace coupable. Elle n’en revenait pas que son lancé (elle qui ratait la poubelle à chaque fois) avait touché quoi que se soit. Maintenant elle avait la sensation d’avoir fait une bêtise, peut-être qu’elle n’aurait rien du faire après tout…
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Alexis Rice
«Les Gaulois boivent…Et les Romains trinquent ! »
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| Conte : Astérix le gaulois | Dans le monde des contes, je suis : : Astérix
e jeune gaulois se trouvait toujours dans la nouvelle forêt à la recherche de Cléo et de l'ourson. Il se demanda bine pourquoi il avait appuyé sur ce bouton, il allait se retrouver avec un ourson, et une fille dans une forêt sans savoir quoi faire. Bref pas un truc bien réjouissant mais il avait dû faire ça dans sa grand bonté d'âme d'aider les autres. Il avança donc dans cette étrange forêt à la recherche de ses nouveaux "amis". Mais aucune trace d'eux bien évidemment...
Enfin, après quelques temps, il les retrouva enfin: la jeune fille, l'ourson... Et, avec eux, la fille qui avait perdu sa main. Ah là là, ils en feraient, une belle bande de bras cassés... Il se rapprocha d'eux et dit:
-Ah vous voilà enfin.
En se rapprochant, le jeune Gaulois se rendit compte que l'ourson tenait un énorme hérisson dans sa main et qu'il venait de poser une question, vu que Cléo semblait dire non avec la tête. Mais il n'eut pas le temps de demander ce qui se passait. Un bruit strident se fit entendre et le message:« Attention : Intrus dans la Zone 5.1 ! » se mit à résonner en boucle. La jeune fille se mit à paniquer et dit:
« On a cassé quelque chose ? Oh non on a cassé quelque chose ! »
Eh beh, ça commençait bien. On dirait que le jeune homme de 24 ans allait presque jouer les babysitter. Un bruit de sifflement vint du ciel: des créatures volantes se dirigeaient vers eux. Non, vraiment, Alexis aurait dû rester chez lui ce jour-là... Ah, sa manie de vouloir comprendre les choses et d'aider les autres. Il se demanda bien ce que ferait les autres, comment ils réagiraient. Mieux que Cléo à l'instant peut-être. Mais ce fut elle-même qui l'étonna: elle ramassa une pierre sur le sol . Elle la lança ensuite sur une des créatures volantes et l'atteignit. La créature fit des étincelles et de la fumée avant de foncer dans sa camarade à ses côtés. Elles tombèrent à terre. Bon, il ne restait qu'une créature volante. Alexis se décida à la dézinguer quand deux autres créatures arrivèrent. Et voilà, tout était à recommencer...
Diana regarda Elizabeth, elle n'avait pas tord, mais Diana n'avait strictement aucune confiance. Il y avait une multitude de solution, la plus censé serai qu'Angela soit partit vers la ville. Diana regarda alors froidement le chef et répondit indiqua une direction, celle qui amenait encore plus loin dans la forêt. En espérant qu'elle n'allait pas les mener à la jeune femme rousse.
- " Je vous préviens que s'il arrive quoique ce soit à mes compagnons, je vous désintègre. Et je n'ai pas besoin de boitier pour le faire. "
Ils semblaient avoir peur d'elle, autant continuer à jouer avec cette carte. Elle ajouta.
- " Il y a une multitude de cachette dans la forêt, j'espère que vous n'avez pas une dead line pour réussir à la trouver, car autrement vous allez échouer..."
Elleessayait d'obtenir des informations encore et toujours... Puis s'approchant de Bob, elle pris carrément le boitier dans ses mains en disant.
- " Ca je le garde, si on trouve la jeune femme il me semble que c'est plus sage."
Elle défiait le chef des yeux... Elle avait était plus que clair, personne ne ferait de mal à la rouquine...
L'ACTE 3 !!! - parce qu'il se situe après le 1 et qu'il n'y a pas eu de 2 -
"Elle n'est qu'une méchante femme... Je t'avais dit qu'on devait se méfier de ces créatures sans cervelles." avais-je murmuré à Bob avant de continuer les recherches.
On avait marché déjà plusieurs heures... J'avais ma montre, ça faisait 3 minutes... Mon dieu que le temps passait lentement ici. C'était bien mieux dans nos incubateurs.
"Attendez, j'entend quelque chose ! Ca bouge par là ! Bob ! Utilise ta lampe !"
"Bien chef !"
Bob s'était donné un coup sur la tête et ses yeux s'étaient illuminés. Voilà un bel éclairage maison ! Il avait zieuté autour de lui et paf... Ca y est...
Paddington
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| Conte : Paddington | Dans le monde des contes, je suis : : Paddington
J'étais content d'avoir retrouvé Cléo, et en plus, Sally était là aussi ! Bon, sans sa main, mais ce n'était pas si grave. Elle avait toujours la tete sur les épaules, et la tête, c'est ce qu'il y a de plus important, que ça soit pour un ours ou un humain. Alexis nous rejoignit très vite. Décidément, beaucoup de monde se retrouvait en cet endroit ! Si j'avais encore ma valise avec moi, nous aurions pu faire une soirée marmelade improvisée ! Comme c'était dommage...
Subitement, une alarme se déclencha dans la foret silencieuse. Je levai machinalement la tête vers le haut, avant d'apercevoir trois créatures volantes foncer droit sur nous. Elles n'avaient pas l'air très sympathique. Je posai mon lourd fardeau sur le sol meuble de la foret et tapotai la tête du hérisson qui poussa un grognement affable. Il roula lentement sur le dos avant d'osciller lentement sur celui-ci, ses quatre petites pattes en l'air que l'on discernait à peine dans son épaisse fourrure. Je lançai un coup d'oeil inquiet aux créatures volantes. Je craignais que l'un d'entre elles ne blesse accidentellement le hérisson.
Cléo prit les devants en envoyant une pierre sur les choses volantes. J'écarquillai les yeux devant ce spectacle, choqué d'un tel geste venant de sa part. Elle semblait si douce, pourtant ! Comme quoi, il ne faut jamais se fier aux apparences. Cela valait aussi pour moi. J'avais l'air d'un ourson, mais s'ils savaient par quoi j'étais passé...
Il ne restait plus qu'une créature qui voletait toute seule, visiblement désorientée. Je réfléchis à toute allure. "Vous ne voudriez pas discuter ?" lui demandai-je d'un ton poli. "Si vous nous disiez ce que nous avons fait de mal, nous pourrions peut-être réparer nos torts ?"
La créature tourna la tête dans ma direction sans répondre, et quelques instants plus tard, trois autres la rejoignirent. Elles se placèrent en ligne face à nous, leurs ailes sifflant dans le vent d'un air menaçant. Je reculai d'un pas, à la fois déçu et anxieux. J'aurais préféré parlementer, mais si elles ne me laissaient pas d'autre choix...
J'observai les arbres autour de moi. Les bois étaient en tous points identiques à la jungle dans laquelle j'avais grandi. J'avisai un tronc garni de branches basses. Sans prévenir, je bondis dessus et escaladai rapidement le grand arbre, grimpant d'une branche à l'autre avec rapidité. J'entendis les ailes des créatures vrombir autour de moi. Elles cherchaient à m'encercler, mais j'étais le plus vif. Je le savais.
Une fois à une dizaine de mètres de hauteur, je marchai comme un funambule sur la branche, avisai une créature qui passait dans mon champ de vision, et lui sautai dessus. Je plantai mes griffes dans son arrière train. Elle poussa un couinement et accéléra l'allure sans maitriser sa trajectoire. Elle heurta un de ses congénères, l'entrainant avec elle dans une chute vertigineuse. Ne souhaitant pas subir le même sort, j'attrapai une liane au vol et restai fermement accroché, oscillant dans le vide. Je jetai un regard en contrebas pour voir les deux bestioles heurter violemment le sol. "Plus que deux !" criai-je à l'adresse de Cléo, Sally et Alexis, même s'ils étaient déjà au courant. "Protégez le hérisson !"
J'observai les lianes autour de moi. J'allais mettre un certain temps à redescendre, mais ce n'était pas grave. J'avais fait ma bonne action de la journée.
Sally Ragdoll
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| Avatar : Gemma Arterton
| Conte : L'étrange Noël de Mr Jack | Dans le monde des contes, je suis : : La version Burton de Barbie
On était tous ensemble maintenant. Il manquait juste Angela, les deux autres filles et les gens avec un seul œil. On était presque tous ensemble. Mais c'était déjà bien. En plus maintenant, on avait un animal avec nous ! C'était Paddington qui l'avait ramené, et il avait l'air très lourd. Mais il était gentil et en plus il aimait bien les caresses. Je m'étais approchée pour lui gratter le menton, et ça avait l'air de lui plaire. Ce n'était pas vraiment très très beau comme animal, mais ça n'était pas trop grave.
- Geronimo... non, ça ne me dit rien ! Je connais un Gepetto, mais ce n'est pas la même chose, alors je pense que ça ne nous aidera pas.
J'étais entrain de grattouiller le gros animal tout mignon sur la tête cette fois, quand un grand bruit résonna dans toute la forêt, en diffusant un message en boucle. J'avais fais une grimace à cause du bruit qui me gênait les oreilles et je m'étais penchée vers les autres pour qu'on m'entende correctement.
- Ceux sont nous les intrus ? Mais c'est une forêt ici, ça appartient à tout le monde !
Ça n'était vraiment pas logique. Et même si quelqu'un ne voulait pas qu'on entre dans cette forêt, ça n'était pas la peine de nous envoyer dessus des choses bizarres qui volent comme des oiseaux, mais qui ne ressemblent pas à des oiseaux. Ils n'avaient pas l'air très gentils. Ils ne faisaient que crier, et ils ne nous parlaient même pas. Comment voulaient-ils qu'on les comprennent ?
J'allais leur demander, mais Cléo la gentille blonde qui m'avait proposé du chocolat en avait tué un. Qui lui même en avait tué plusieurs. Mais on ne pouvait pas les tuer ! Peut être qu'en réalité ils voulaient juste communiquer !
- Il ne faut pas tuer ! C'est très très mal de tuer ! Une fois j'ai tué un lutin sans faire exprès, et je m'en veux beaucoup depuis. Ça serait horrible pour vous que ça vous arrive aussi ! Il faut faire comme Paddington a dit, et essayer de leur parler.
J'étais tout à fait d'accord avec l'ourson en peluche. Leur parler, c'était la solution ! J'avais acquiescer d'un mouvement de tête quand il s'était mis à discuter avec le seul survivant. Qui n'était pas si seul finalement. Je regardais, la bouche entrouverte, le gentil ourson grimper tout à coup dans un arbre et s'attaquer à la chose volante. Lui aussi enfaîte se mettait à la violence ! La violence c'est le mal ! C'est comme le feu, il ne faut surtout pas y toucher un jour, ou après on est sous son pouvoir.
Mais j'avais quand même écouter Paddington et je m'étais précipitée vers le hérisson, comme il le voulait. C'était peut être un tueur d'animaux bizarres qui ont des ailes, mais il avait quand même l'air gentil. J'attrapais le gros animal tout rose et je le soulevais dans mes bras. Que ce qu'il était lourd ! C'était donc ça, un hérisson ? Je croyais que c'était plus petit et pleins de piquants. J'essayais de courir avec lui, mais c'était dur, je ne voulais pas qu'il soit dérangé. Si je courrais, il était tout secoué le pauvre.
J'entendis l'espèce de croassement des bestioles volantes juste derrière moi et je plongeais vers le sol, en protégeant le hérisson sans piquants avec mes bras. Moi, je ne voulais pas me battre. J'avais déjà assez donné avec l'histoire du lutin. C'était un accident. Je ne voulais pas que ça recommence. Et puis c'était quand même dur de se battre avec un gros animal dans les bras. Je me demande comment Paddigton a fait pour le porter ! Il doit être très très fort.
- Ça va ? Ça n'est pas trop gênant d'être par terre ? Attends, je vais vérifier si tout va bien.
J'avais chuchoté ces quelques paroles au hérisson. Il gigotait un peu, mais sinon il était très sage. Je redressais ma tête pour vérifier les alentours. Je ne voulais pas que quelqu'un s'attaque à mon nouvel ami le gros hérisson. Paddington en plus ne serait pas fière de moi. Il n'y avait rien de bizarre, à part une porte. C'était une porte entre deux troncs d'arbres, et elle était entrain de s'ouvrir.
- Je crois qu'on va pouvoir sortir ! J'ai trouvé une porte !
J'avais crié pour que les autres m'entendent, en prenant bien soin avant de boucher les oreilles de l'animal que je surveillais pour ne pas que ça le gêne. J'aurai dû aussi penser à lui cacher les yeux. Une lumière vive se dégageait de la porte, qui était maintenant entièrement ouverte. Il y avait beaucoup de fumée aussi. À moins que ça ne soit du brouillard. C'était dur de voir. En tout cas, il y avait quelqu'un. À cause de la fumée ou du brouillard, justement, je ne voyais absolument rien. Ça n'était pas possible de savoir si c'était quelqu'un que je connaissais qui arrivait. Ou autre chose. Ça avait quand même une forme bizarre je trouve.
Zachary Blue
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| Avatar : Matt Smith ➹
« Tu vas remettre tout
en ordre, maintenant !! »
| Conte : Stitch ღ | Dans le monde des contes, je suis : : Lilo & Stitch ღ
"Il aimerait vivre dans un ananas sous la mer C'est Zachary Blue, bleu de Mer !"
☞ Expérience 5.1 !
J'étais perché là haut dans ma prison de verre, observant la Terre juste en dessous. Elle paraissait si grande vue d'ici, si... bleue. J'adorais le bleu. Il m'arrivait de me demander si ça avait été un pur hasard que je m'étais retrouvé ici, sur cette planète ou si tout était écrit à l'avance? Bon sang, regardez moi cette étendue d'eau. J'étais perdu dans un ciel étoilé, alors que je ne rêvais que d'une chose, transformer mes ailes en nageoires et plonger dans cet océan de vagues.
A tout bien regarder, ici, dans le ciel, j'étais comme un poisson dans l'eau. Je ne pouvais pas nager, mais si je trouvais le moyen de sortir d'ici, je pourrai flotter. Je pourrais faire bouger mes bras, mes jambes, tenter de brasser l'air et me faire emporter au loin. Mais il me manquerait toujours une chose. Le bleu. Le bleu de l'océan, le bleu de la Terre. Ici tout était noir, tout était sombre. Elle n'était pas là, cette étendue d'eau. Est ce qu'elle ressentait ça quand elle nageait?
"Cléo !"
"Je vous demande pardon?"
Est ce qu'elle réussissait elle aussi à s'épanouir dans cette étendue d'eau?
"Le poisson! Cléo, le poisson !" avais-je dit une nouvelle fois en regardant... rien. Car il n'y avait personne avec moi.
"Je vous remercie."
"De rien." avais-je répondu à personne. C'était toujours agréable de parler avec le système de pilotage. Pendant que je trifouillais les fils du boitier de commande d'ouverture des portes de ma prison, je prenais le temps de regarder par la baie vitrée du vaisseau et j'en profitais pour faire connaissance avec l'ordinateur de bord.
"Si je vous chatouille de trop, n'hésitez pas à me le dire."
"Non, non, ça va. C'est agréable."
J'avais fait un petit sourire tout en enfonçant un peu plus mon tournevis dans le boitier et en me reculant juste à temps pour éviter les petits éclairs. Il ne fallait jamais trifouiller ce genre d'appareils quand on ne savait pas précisemment à quel moment se reculer. Une fois fait, la porte s'était ouverte.
"Vous comptez vous évader?"
"Oui!" avais-je répondu fièrement avant de lever les yeux vers le plafond.
"Vous comptez m'en empêcher?"
"Je pense que je devrais au moins prévenir la sécurité..."
J'avais hésité avant de passer la porte. Si elle prévenait la sécurité, ils viendraient lourdement armé.
"...mais je ne le ferai pas." avais affirmé l'ordinateur de bord, avant que je passe la porte.
"C'est très charitable de votre part ! Je m'en souviendrais !"
Une fois au dehors, j'avais emprunté le couloir de gauche et je m'étais dirigé droit vers le hangar à vaisseaux. Mais juste avant et comme je passais par le plus grand des hasards devant, j'avais fait un petit détour par la salle des commandes. A cette heure ci, elle était vide. C'était l'heure de la douche et à bord des vaisseaux, si on ne sautait pas sur l'eau chaude de suite, il n'en restait pas assez pour tout le monde. Bref, mon petit détour fait, j'avais foncé tête baissé vers le hangar, avant de voir sur une télévision de surveillance placée là en plein milieu du couloir, que certaines personnes indésirables se trouvaient dans l'aile ouest. J'avais arqué un sourcil.
"Les pauvres..." avais-je dit avant de voir qu'on avait déjà envoyé sur eux les bestioles volantes de l'espace. Puis, juste avant de les laisser en plan, j'avais aperçu quelqu'un avec... une pancarte? Oh bon sang mon océan... Enfin, Cléo !
Quelques minutes après, le temps de trouver l'équipement nécessaire et de faire le bout de chemin qui me séparait d'elle - et des autres - , j'étais enfin arrivé devant la porte numéro 5.1. J'avais levé les yeux vers le chiffre, déglutissant avec peine, avant d'appuyer sur le gros bouton rouge. La porte s'était ouverte et de la fumée s'en était échappée. J'avais fait un pas à l'intérieur. Elle était là, au loin. J'avais passé une main sur mon chapeau de cowboy, analysant au mieux et le plus rapidement, la situation qui se présentait devant moi. Puis, je m'étais dirigé droit devant, en direction de Cléo et une fois à sa hauteur, je... m'étais arrêté pour la regarder bien droit dans les yeux.
"Cléo Pescerosso, je veux aller me baigner!"
J'avais pris la décision en venant jusqu'ici. Je voulais plonger dans l'eau. je ne supportais pas ça, mais je voulais essayer. J'avais besoin de ce bleu tout autour de moi et j'étais persuadé qu'elle pourrait m'aider à surmonter ma peur.
"Mais avant ça, sortant d'ici si vous le voulez bien."
J'avais tourné la tête vers toutes les autres personnes présentes, puis je les avais comptés, en n'oubliant pas le hérisson.
"Parfait, on est juste assez pour embarquer à bord du Destructeur 5.000."
Je m'étais frotté les mains en disant ça, tout excité à l'idée, juste avant de regarder Paddington avec un petit sourire envieux.
"J'ai jamais eu le droit d'en emprunter un. Faut dire que les deux seuls qui ont quittés la plateforme de lancement, n'ont pas fait cent mètres avant d'exploser en plein vol. BOOM !" avais-je dit en mimant une explosion avec mes mains, juste avant de les frotter à nouveau et de me tourner vers Alexis.
"Votre tête me dit quelque chose. Vous n'avez pas déjà chanté dans une chorale?"
Je confondais peut être avec quelqu'un d'autre, mais il avait une tête de... choriste. Quoi qu'il en soit, il fallait passer aux choses sérieuses et quitter cet endroit, car le temps nous manquait.
"Captain Fish?"
"Oui, Zachary?"
J'avais levé les yeux vers le ciel, avant de les poser à nouveau sur Cléo avec un petit sourire.
"C'est l'ordinateur de bord. On a fait connaissance en prison. Mais très sympathique." avais-je dit en hochant la tête plusieurs fois, juste avant de relever les yeux vers le plafond.
"Il reste combien de temps?"
"3 minutes."
"Aïe... Ca risque d'être juste... Bon, faut se dépêcher d'aller au hangar ! En avant toute !" avais-je dit en indiquant la porte d'où j'étais arrivé.
"Le hangar est verrouillé, il faut les codes d'identification pour y entrer."
Je m'étais stoppé net, réfléchissant quelques secondes, avant de prendre plutôt l'entrée d'où tout le monde était arrivé.
"On va prendre la plateforme de téléportation."
"Désolé, mais elle vient tout juste d'être condamnée."
Bon sang! Quand on avait pas de chance! Hum... Comment quitter ce vaisseau avant l'heure fatale?
"Combien de temps nous reste t'il exactement?"
"Il reste 2 minutes et 27 secondes avant l'auto destruction du vaisseau."
"Merci!"
"A votre service."
J'adorais les ordinateurs de vaisseaux, ils étaient tous vraiment très sympathique. Je m'étais une nouvelle fois frotter les mains, tout en faisant une moue. Ca devenait un tic de se frotter les mains. Je réfléchirai plus tard à comment éviter que ça se reproduise.
"Est ce que quelqu'un a du bacon? Toi?" avais-je dit en regardant Alexis qui semblait vouloir dire non de la tête. Puis j'avais regardé Paddington.
"Toi peut être?"
Il ne semblait pas en avoir. J'avais regardé le hérisson, mais je ne parlais pas hérisson, donc ça allait prendre trop de temps de me faire comprendre de lui et on sera surement mort d'ici là. J'avais enfin tourné la tête vers Sally.
"Je suppose que vous non plus, vous n'avez pas de bacon?"
"Je peux tenter de vous trouver du bacon, mais j'ai peur qu'il n'arrive pas suffisament tôt pour votre plan d'évasion du vaisseaux."
"Pardon? Ah non, le bacon c'était juste une envie. Je vois vraiment pas en quoi ça pourrait nous aider à quitter le vaisseau. Mieux vaut ne pas privilégié les caprices et chercher une solution."
J'avais secoué la tête en regardant Cléo.
"Je ne vois pas. On pourrait casser une vitre pour sortir, mais on se perdrait dans l'espace." avais-je dit en portant une main sur mon menton pour faire mine de réfléchir, chose que je faisais réellement.
Cléo Pescerosso
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| Avatar : Rita Volk
| Conte : Pinocchio | Dans le monde des contes, je suis : : Cleo the fish
Le jeune homme les avaient rejoints, Alexis. Il était calme, ça la rassurait un peu. Mais elle se sentait terriblement mal maintenant. Elle avait paniquée, et dans son désir de protéger les autres n’avait même pas pensé à demander ce qu’ils avaient fait de mal, à engager le dialogue. Comme Paddington l’avait fait. Elle baissa les yeux au sol, coupable, sous la remarque de Sally. « Pardon. » Elle déplaçait un bout d’herbe du bout du pied en essayant de se faire toute petite. Elle était tellement dans son auto-flagellation qu’elle ne remarqua même pas que le petit ours avait grimpé sur un arbre et détruit deux créatures volantes supplémentaires. C’est seulement en l’attendant demander de protéger le hérisson qu’elle leva la tête d’un coup. Le hérisson était en danger ! Heureusement Sally l’avait devancée et récupéré la créature dodue pour la transporter hors de portée… où elle se trouvait à présent ! Avec un petit cri elle se coucha au sol juste avant de se prendre un gardien volant en pleine tête. Une fois passés, ses cheveux légèrement emmêlés, elle rampa lentement jusqu’à Sally, elle aussi couchée un peu plus loin, tandis que les autres s’éloignaient un peu plus loin. Elle entendit la brunette parler d’une sortie : c’était parfait ! Ils allaient enfin pouvoir partir et ne plus causer de problèmes à cet endroit, quel qu’il soit. Après un dernier coup d’œil en l’air, la jeune femme se releva doucement, surveillant nerveusement le ciel.
C’est un comble qu’elle le rate presque, et ne réalise qu’il était là qu’à seulement quelques pas d’elle. « Cléo Pescerosso, je veux aller me baigner ! » Elle failli tomber en arrière tellement sa présence ici était saugrenue à ses yeux. Comment est-ce qu’il avait atterrit ici, il n’était pas sur la colline avec les autres. Même si à l’instant elle s’en fichait complètement, elle était tellement contente de le revoir.
« Zachary ! » Elle se précipita d’un coup pour le serrer dans ses bras avec un grand sourire. Enfin quelqu’un qu’elle connaissait. Les autres n’étaient pas méchants, ils étaient amicaux, mais ils n’étaient pas familiers comme lui. Même si c’était juste un peu, elle se sentait plus à l’aise qu’elle ne l’avait été depuis le début de son aventure. Elle retiendrait ça pour plus tard, à l’avenir les aventures se feront accompagnée. Elle le relâcha toujours avec un grand sourire tandis qu’il expliquait ce qu’il se passait à sa manière. Elle savait qu’il n’était pas un grand adepte de l’eau comme elle, c’était important. Elle se promit de lui trouver un endroit calme sans trop de poissons. Et puis il se mit à parler au plafond. Elle supposa qu’il y avait quelque chose dans les murs qui pouvait communiquer avec lui. Elle n’était pas sûre de comprendre comment un ordinateur de bord pouvait parler, mais au point où ils en étaient. Et il s’appelait Captain Fish en plus ! Elle aimait ce nom là. Trois minutes ? Les possibilités de sorties se réduisaient à vu d’œil, et c’est là qu’il donna l’information capitale... « Autodestruction… » Elle l’avait presque murmuré en se rapprochant imperceptiblement de Zach. Donc s’ils ne sortaient pas rapidement ils allaient tous mourir. Ce n’était pas une idée particulièrement attirante.
A l’idée de casser une vitre, elle se tourna vers lui un air curieux sur le visage. Autant qu’elle le sache ils ne pouvaient pas survivre dans l’espace juste comme ça. Lui oui ? Il faudra qu’elle lui pose la question plus tard. « Heu… Captain Fish ? » Si Zachary lui parlait, elle pouvait sûrement aussi. Mais c’était nouveau pour elle de parler à quelqu’un qu’elle ne pouvait pas voir. Cela dit, elle avait appris de ses erreurs, et avant de foncer tête baissée comme plus tôt elle allait faire comme Paddington et Sally : essayer de communiquer. « Est-ce que vous savez comment sortir et retourner sur Terre ? » Qu’est ce que ça lui coutait de demander. Ce n’est pas comme si ça pouvait être pi--- non ! Elle s’interrompit à la dernière seconde, en général ça porte malheur.
« Bien sûr. Par le système d’évacuation des déchets. » Elle resta interdite une seconde, il y avait un moyen de sortir finalement ! Elle eu un petit rire soulagé. « Vos chances de survie sont de 12% avec le temps qui vous est imparti. Le système est bioécologique et consiste au tri, empaquetage et expédition sur Terre des déchets afin de réduire la pollution spatiale. » Elle ne savait pas comment elle se sentait vis à vis de ça en revanche. Ne pas polluer l’espace c’était bien, mais la Terre elle y tenait, elle était militante écologiste après tout. « C’est directement à votre droite. » Oh oui, sortir. Elle ne se le fit pas dire deux fois et se précipita vers la direction indiquée en même temps que tous les autres.
Le petit groupe finit par passer une porte qui donnait sur un couloir identique à celui dans lequel elle avait atterrit après la lumière éblouissante. Au moment de sortir elle adressa un petit sourire aux arbres de la forêt.
« Merci pour votre aide. J’aime beaucoup votre nom ! » Elle repartit à la suite des autres, avant d’entendre dans son dos à travers la porte ouverte un : « Je vous en prie. Le votre est très joli également. » La blondinette courrait aussi vite que possible pour rattraper les autres, mais s’interrompit dans son élan et dérapa sur le sol lisse du couloir et du se rattraper avec les mains avant de s’étaler de tout son long. Non elle n’avait pas rêvé. Là, dans un petit coin, un autre hérisson ! Celui-là était beaucoup plus petit que celui de Paddington mais elle supposait que c’était parce qu’il n’avait pas été nourri comme l’autre. Sans même y réfléchir à deux fois, elle l’agrippa entre ses mains avant de repartir à la suite des autres. Elle n’était vraiment pas faite pour l’exercice, le souffle commençait à lui manquer et elle respirait par saccades. Mais au moins elle avait sauvé un autre petit hérisson de l’explosion imminente. Il était hors de question qu’elle le laisse là tout seul, livré à lui –même. Une pensée soudaine lui fit lever les yeux vers son ami au chapeau de cowboy.
Avec Diana Lake, Alexis Rice, Cleo Pescerosso, Paddington, Sally Ragdoll, Les Stitchs
Expérience 5.1
Elizabeth n'avait plus rien dit et avait laissé Diana gérer les petits monstres. Apparemment, ils avaient assez peu de la romancière. Pourquoi, ça, par contre, c'était un mystère. Après tout, la brune ne semblait pas être si méchante que ça, malgré ses sourcils froncés... Quoi qu'il en soit, la blonde ne put qu'approuver les menaces que sa coéquipière au sol lançait au chef du bataillon.
Néanmoins, lorsque Diana dit aux aliens qu'elle espérait pour eux qu'ils n'étaient pas limités dans le temps, Lizzie, elle, espérait le contraire. Pourtant, elle ne dit rien, comprenant que la romancière cherchait à gagner du temps et des informations. Malheureusement, le chef des aliens ne leur apprit rien de bien spécial. Dommage.
Lizzie vit par la suite que la romancière avait trouvé un petit boitier gris qu'elle montra aux créatures tout en leur précisant qu'elle le gardait pour elle, jusqu'à ce qu'ils aient retrouvé Angela. La blonde retint un petit soupir en voyant que la cause de la disparition des autres était maintenant en leur possession. Un truc aussi dangereux ne devait pas rester perdu dans la forêt, à la portée de n'importe qui. Et dans le même temps, cela ne devait pas rester entre les mains des aliens qui s'en servaient n'importe comment...
- Maintenant que ça, c'est réglé, en route... Fit Lizzie en montrant le chemin indiqué par la romancière plutôt.
Puis la petite troupe se mit en marche. Les aliens devant, les deux humaines derrière, étant donné qu'elles n'avaient aucune confiance en eux. Cela faisait moins de cinq minutes qu'ils s'étaient mis en route quand le chef leur dit qu'il avait entendu quelque chose. Bob sembla s'éclairer tout seul et braqua ses yeux sur un coin.
Un spot s'alluma soudain, illuminant Angela. La rouquine tenait un micro à la main et se mit à chanter. Une horreur... Elizabeth boucha ses oreilles, tellement la jeune femme chantait faux. Seul Bob remuait... De ce qui semblait être son bassin et ses pieds. Celui-là, il n'était vraiment pas tranquille dans sa tête pour aimer une telle torture... Puis tout prit fin. Angela semblait satisfaite et à la recherche d'une quelconque manifestation. Puis le temps passant, elle perdit sa mine réjouie. Visiblement, quelque chose dans son plan n'avait pas fonctionné comme elle le souhaitait. Mais quoi ? La jument aurait été bien en peine de le dire...
- J'aurais pensé que tu te serais cachée plus loin... Lâcha Elizabeth, vraiment surprise de la voir aussi près de la clairière.
Alexis Rice
«Les Gaulois boivent…Et les Romains trinquent ! »
| Avatar : Jean-Baptiste Maunier
| Conte : Astérix le gaulois | Dans le monde des contes, je suis : : Astérix
lexis avait retrouvé les autres pile au moment où se faisaient attaquer (enfin presque, juste un peu avant). Cléo en avait attaqué une qui en avait tué une autre puis le jeune gaulois avait voulu tué une autre créature mais deux autres étaient arrivés. Le jeune ourson avait décidé de d'abord dialoguer avec elles, histoire de voir si ça marchait mais ça ne marchait pas apparemment. L'ourson recula avant de se décider à monter dans un arbre. Il sauta ensuite sur les créatures et les attaqua. Elles se heurtèrent entres elles tandis que l'ourson attrapait une liane et descendait sur la terre ferme. Il cria au reste qu'il en restait que deux avant de leur demander de protéger le hérisson. L'ourson allait de liane en liane vers le bas tandis que Sally disait qu'il ne fallait pas tuer et protéger le hérisson.
Les créatures volantes faillirent tomber sur les humains qui reculèrent (comme Alexis) ou qui se couchaient à (comme Sally ou Cléo). Ils se décidèrent ensuite à partir. Tandis qu'ils avançaient enfin, ils tombèrent sur un drôle de bonhomme qui voulut bien d'eux et qui semblait connaitre Cléo. Il portait un chapeau de cow-boy et demanda à Alexis s'il avait déjà chanté dans une chorale. Déjà qu'il avait un chapeau de cow-boy, ça allait pas arranger les choses dans la tête d'Alexis qui l'avait catalogué comme "fou" ou encore "bizarre". Mais bon passons ce détail, Alexis serait enfin entouré d'un garçon... L'homme leur expliqua les choses et leur demanda du bacon. Il y avait aussi une sorte d'ordinateur parlant dans l'affaire. En tout cas, ils allaient mourir dans deux ou trois minutes apparemment donc il fallait se dépêcher de rentrer. Cléo demanda s'il y avait un moyen de sortir à l'ordinateur qui lui répondit:
« Bien sûr. Par le système d’évacuation des déchets. »
Parfait, en route donc. Mais l’ordinateur expliqua encore des choses, notamment par où aller, avant qu'ils ne se mettent en route. Ils passèrent une porte et se retrouvèrent dans un couloir comme le premier, celui par où ils étaient sûrement tous arrivés.
Le petit groupe finit par passer une porte qui donnait sur un couloir identique à celui dans lequel elle avait atterrit après la lumière éblouissante. Au moment de sortir elle adressa un petit sourire aux arbres de la forêt. Ils couraient dans la direction indiquée par "Captain fish", sans personne à leur trousse. Cléo eut même l'occasion de ramasser un hérisson de plus. Mais le jeune Gaulois ne se demandait qu'une chose: arriveraient-ils à cette fameuse issue à temps?