« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
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| Avatar : Garrett Hedlund
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- Bon les gars ... Vous arrêtez maintenant avec vos histoires de mariage avec Ava ! Vous allez lui faire peur ...
- Okay okay Jayjay ! *se tourne vers Axel* Lançons l'opération les ninjas de l'amour !
- Maiiiis moi je veux être votre témoin !
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- Et là ... l'autre kassos ... qui veut me caser avec ma cliente ! Non mais c'est comme cette manie de prôner l'amour à tout va !
- Hahah toi aussi tu as eu affaire aux ninjas de l'amour ?
| Conte : La Planète au Trésor | Dans le monde des contes, je suis : : Jim Hawkins
And when he had opened the third seal, I heard the third beast say, Come and see. And I beheld, and lo a black horse; and he that sat on him had a pair of balances in his hand.
Les Dieux sont des enfants s'amusant avec des fourmilières. Leur éternité était leur défaut. A force d'être invincible, ils en oubliaient la prudence. C'était leur faiblesse, leur perte souvent. Le plus immature eût tôt fait de le prouver. Sa niaiserie en était presque touchante. Cela lui arracha un rictus. Sans bouger, il laissa s'approcher, venir à lui, tourner autour de la balance.Tout comme son hôte, il faisait l'erreur de ne voir qu'une simple balance. Tendre innocence. Noyé dans le pétrole de sa propre force. Sa conscience était toujours là, pulsant doucement sous la surface. Endormie, comme l'était le bon sens du jeune Dieu. Hermès. Il l'observa, armé de son bâton. Cela réveilla dans son vaisseau une sensation particulière. Une envie... De rire. Ce Dieu était un enfant. Ses frère et soeurs avaient au moins eue l'intelligence de rester en retrait. Ne sentait-il pas la vibration dans l'air? N'avait-il pas d'instinct? Ne voyait-il pas qu'il était la proie d'une force infiniment supérieure à la sienne? Ô Hermès. Qu'écrirait-on sur sa tombe? Il lui tendit la main, presque amicalement. Il fût tenté de la prendre. De voir sa candeur s'effacer dans un cri de douleur. Cela aurait été si facile. Mais on le tira en arrière, le forçant à reculer. Hermès eut presque l'air déçu, tandis que sa soeur soulignait sa stupidité. Il eut un sourire, tranchant. Artémis. Puisant dans ses souvenirs, il entrevit des souvenirs plus vieux que la Terre, de chasseresses et de courses dans les bois. La Vagabonde. Elle quémanda la connaissance de son frère, dont le regard tentait de percé les secrets qu'il pouvait cacher, derrière son masque et son silence. Il le laissa faire. C'était comme un défi, qu'il relevait en silence. Arès. Dieu de la Guerre. Dont l'âme était lacérée, perclus de regrets, de honte, de violence. Son rictus s'allongea. Un enfant, une fugueuse, un blessé. Etait-ce donc tout? Etait-ce là les dernières forces de l'Olympe? Etait-ce là les vestiges de la cité des Dieux, ses dernières lignes? L'air autour d'eux s'épaissie, tandis qu'il sentait poindre en lui une forme diffuse... D’amertume. La plus douces des femmes s'avança vers lui. Contrairement à son frère, elle se mouvait avec grâce, comme si l'air était fait de soie ou de satin. Aucun n'avait sentit la différence qui se répandait dans l'air, trop occupés à savoir. Qui était-il? Tant mieux. Sans cesser de sourire, sans bouger d'un pas, il ne trahissait rien. Il la laissa aussi venir à son tour. Aphrodite. Déesse de l'amour. Curieuse, comme son candide frère. Elle prétendit le connaitre. Derrière ses yeux, il sentit une légère pression. La voix de la Déesse résonnait dans la mémoire de son hôte. Faiblement mais elle trahissait la présence de Jamie. Il s'en réjouit. Elle rangea son arme. Visiblement, la candeur était de mise dans cette famille de Dieu. C'en était presque amusant. Elle leva les mains, comme pour ne pas l'effrayer, ce qui déclencha à nouveau dans son hôte une envie de rire. Puis, elle chercha ses yeux. Les yeux de Jamie étaient gris. Mais il les avait changés. De gris, ils étaient devenus d'un noir intense, dans lequel se perdit la déesse. Elle tomba dans un marais de pétrole, sans fond et sans limite. Comme Jamie, elle ressentit la douleur vriller ses tempes, l'emportant comme une vague d'une violence sans pareille. Son sourire s'agrandit, se délectant de la souffrance que ressentait la déesse. Elle tomba en arrière, dévastée. Diaval hennit, avant de se cabrer, retombant lourdement aux côtés de Jamie, tandis qu'Arès tirait sa soeur en arrière. Par pure arrogance, il le laissa faire, flattant l'encolure de sa monture. Ce n'était que de la mise en scène, mais respectons les codes. Son silence n'avait rien d'innocent. C'était une convention. Mais à l'instant où Arès mentionna son nom, son masque tomba, trahissant un sourire qui n'avait plus rien de tranchant. Non. Cette fois, c'était un sourire d'une rare violence. Ténue, sourde. Mais si crûe. Tournant le regard vers eux, il vit Arès revêtir son armure, tandis qu'Artémis portait la charge de son corps sur ses jambes se mettant en garde. Aphrodite le dévisageait avec une certaine forme de pitié et Hermès le faisait avec curiosité. Alors seulement, il se permit de rire. Un rire sombre et cassant, qui résonnait comme un orage. Il ne dura qu'un instant, mais il les sentit se tendres, sur leur garde. Tapotant l'encolure de Diaval, il s'écarta enfin de lui, revenant vers les Dieux. Il ne fit que quelques pas, bien que cela suffit pour qu'Hermès lui même se mette en position de garde. Pourtant, il ne fit aucun geste brusque. Au contraire, il s'inclina dans une profonde révérence. -Quelle clairvoyance Arès, prononça-t-il avec arrogance. Et quel cortège, ajouta-t-il en se redressant, posant son regard d'encre sur chacun d'entre eux. Alors qu'il se redressait, son aspect changea. Sa veste s'épaissit, l'aspect lisse des manches devenant un enchevêtrement d'écailles, dont la matière solide semblait à la fois de bois, de métal et de cuir. Le col changeant, entourant la gorge de l'hôte, tandis que la poitrine se couvrait elle aussi de cuir et de métal. Les mains se gantèrent, ne laissant que les doigts apparaître. Les bottes se couvrirent de métal, et les jambes de son hôte furent protéger par les mêmes écailles que ses membres supérieurs. Cela ne dura qu'une fraction de seconde, le temps pour lui de se redresser tout à fait. -Les dernières lignes de l'Olympe, fit-il en le contemplant les uns après les autres.Comme votre père doit être fier de vous. Le ton même de sa voix semblait pétrie de ténèbres. D'un geste trahissant le dédain absolu, il leur tourna le dos, revenant vers sa monture. Et sa balance. -Qu'est-ce que cela fait?, lança-t-il soudain. De contemplez la Maison d'autrefois. Aphrodite? Un commentaire? Derrière lui, le silence était pesant, gêné. Devraient-ils attaqués? Parler? Pauvre fous. Soudain, Diaval se cabra, ouvrant ses ailes. Les Dieux tournèrent tous leurs regards vers lui, et ce fût le début. Profitant de leurs secondes d'inattention, le Cavalier attaqua le premier. D'un simple mouvement de tête, il épaissit l'air, le rendant plus étouffant que du feu. Une colonne d'air chaud s’abattit sur Hermès, lui fauchant les jambes. Une pichenette, mais le Dieu tomba à la renverse. La réaction fût instantanée. A la seconde où Hermès touchait le sol, une flèche fusa en sa direction, qu'il ne tenta même pas d'arrêter. Il l'esquiva avec l'aisance d'un pas de danse, tandis qu'un cri de guerre résonnait dans l'air. Du même geste, il glissa sa main dans le sol, en tirant une poignée de sable, qu'il laissa retomber sur la balance. Arès n'avait pas fait un pas qu'une colonne de feu émergea de la balance, exhalant une chaleur d'enfer. Même lui dû faire un pas de côté par confort. La colonne de feu s'éleva dans l'air, épaisse et immense, dominant les Dieux de plusieurs mètres. Mais alors même que chacun songea à se protéger, la colonne s'étira plus ardemment.... S'élevant vers l'Olympe. Les Dieux semblèrent effarés mais soudain le feu se concentra, avant de jaillir, mur de lave. Il frappa le nuage qui entourait l'Olympe, bouclier contre le monde. L'air vibra devant la puissance de l'attaque, l'impulsion les faisant tous vaciller. Ce fût comme l'éruption de Pompéi, et l'Océan de Poséidon lui même s'ébranla, projetant des gerbes d'écumes. Et soudain, Jamie se tenait derrière Aphrodite. Sentant sa puissance, elle mit cependant un instant à se retourner. A nouveau, son regard la cloua sur place, retenant de justesse un hurlement. Arès fût plus prompt que précédemment et il du sauter largement en arrière pour éviter le bouclier qui aurait du lui détruire la boite crânienne. Mais Aphrodite avait vu. Elle avait vu ce qu'il désirait qu'elle vit. La Famine. Déchirant les muscles. Aspirant la vie. Aspirant la volonté. Aspirant l'étincelle, puis soudain, le noir. La douleur, puis la mort. Ô Aphrodite... Si sensible. Elle semblait presque vouloir pleurer. Arès se plaça entre lui et sa soeur, mais il se redressa avec dédain. -Les derniers remparts de l'Olympe ne sont que des enfants qui fanfaronnent dans un théâtre. Qui m'empêchera d'y entrer quand vous ne serez plus? D'arrogance pure, il tendit la main vers le Dieu de la Guerre. Le feu s'estompa derrière eux, et l'air redevint respirable. Pourtant chacun semblait être en nage. Il sourit d'un sourire carnassier.
Hermès Messenger
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| Conte : Intrigue Divine | Dans le monde des contes, je suis : : Hermès, le messager
"Hééééé !" m'étais écrié en me sentant tirer en arrière. Une fois stable, j'avais regardé Artémis qui se tenait là pour me faire la morale.
"Je ne suis pas stupide à ce point. Je sais que c'est lui, mais tu proposes quoi? Qu'on l'attaque? Il n'a pas l'air si méchant que ça, en plus il vient avec une offrande."
J'avais jeté un coup d'oeil vers la balance posée à terre. D'où qu'il venait, c'était peut être une façon de dire bonjour. Quoi qu'il en soit, Aphrodite elle aussi s'était approchée de lui et là bien sûr, personne lui disait qu'elle était stupide. J'avais secoué la tête et croisé les bras. Puis petit à petit, je ne savais pas pourquoi mais j'avais une mauvaise impression. Aphrodite avais criée puis était tombée. J'avais déserré les bras et déployé mes ailes. Il cherchait la mouise ce type? Inutile pour elle de préciser qu'il fallait le détruire, il n'allait pas s'en tirer à si bon compte en faisant du mal à Aphro !
Ah ben Arès était du même avis! Voilà qu'il s'armait de son armure. On allait le défoncer ce sale... sale... Cavalier? Un cavalier de l'apocalypse?
"Un cavalier?" avais-je dit en gloussons. Puis j'avais fait un grand sourire et un geste de la main en guise de salut au cavalier avant de battre en retraite.
"Ok, ça sera sans moi, de toute façon mon monde m'attend et j'ai des responsabilités, une famille à nourir. Bientôt, je pense, pas sûr, on a pas encore conclu avec Esperance."
Je m'étais gratté la tête tout en m'éloignant avant de faire marche arrière.
"Ah ah ! Vous m'avez cru? Au moins c'était mieux mis en scène que pour toi Arès. Car les cavaliers ne sont qu'une légende. C'est toi qui a fait ça? C'est qui en réalité? Dyoni?"
Je regardai le cavalier avec un grand sourire aux lèvres. C'était forcément Dyonisos et Aphrodite était dans le coup. Quoi qu'il en soit, quand le cavalier se mit à parler à Arès comme si ce que je venais de dire était sans importance, j'avais pris le fameux bâton et je l'avais ouvert... Juste au cas où... Sait on jamais...
"Ahhhhhhh !" m'étais je une nouvelle fois écrié quand une colonne d'air chaud s'abattit sur moi et me fit tomber à la renverse. Une flèche avait suivi et j'avais juste pu me pousser sur le côté tout en prononçant un... "Merde !"
Je m'étais relevé juste au moment où le cavalier passa à l'attaque avec... sa balance. C'était une arme ce truc? En tout cas ça pouvait faire des dégâts. En me tournant vers la Cité, je la vis prendre un sacré coup. Mais quel idiot, le bouclier était divin, s'il croyait faire le poids.
"Ok, super, tu viens de gâcher notre journée ! Tu n'aurais pas pu attendre que je sois bien installé en ville?"
J'avais récupéré le bâton tombé plus loin et je m'étais approché du cavalier. Bizarre, il n'avait donc pas peur? D'un côté c'était qu'un bête bâton qui pouvait s'allonger. Pourquoi il ne m'avait pas donné le fusil à pompe?
"Je vais te le demander gentiment, rends toi, tu ne feras pas le poids face à nous. On est des dieux et non des enfants. Y'a qu'à regarder Arès avec ses rides, il ne fait plus si jeune que ça..."
Je m'étais retenu de rire même si la situation ne s'y prêtait pas, mais d'un côté, je voulais gagner un tout petit peu de temps pour qu'il arrive. Je l'avais appelé, ce n'était plus qu'une question de...
"Ahh !!! Hé, stop !"
Voilà qu'il m'attaquait. J'avais pris le bâton et je l'avais fait grandir pour qu'il aille se cogner contre sa tête, mais il s'arrêta juste à quelques centimètres.
"Mais merde, Arès! T'aurais pas pu le faire plus long?"
Ok, ça n'allait pas être si facile que ça... Et ce battant servait à rien. Je l'avais laissé tomber avant de m'approcher rapidement de Aphrodite.
"Tu devrais rentrer à la maison, le temps qu'on finisse là."
Fallait qu'elle se mette à l'abri.
Cumul : Cavalier : 300% Hermès : 90%
Diane Moon
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“I love you to the moon and back”
| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Artémis la déesse de la chasse et de la lune herself (même si je viens du monde réel)
Une offrande ? Une offrande ? Et il disait qu'il n'était pas si stupide ? Je l'avoue, il me décourageait, poussant un gémissement de frustration je me tapais le front avec le plat de ma main. Hermès, était définitivement un cas désespéré, un peu comme tous mes frères en fait, Arès et Apollon n'entraient pas dans le lot évidement quoi que... Mon frère jumeau, n'était peut-être pas un boulet comme Hermès, mais il m'était arrivé par moment, de me demander si son cas n'était pas aussi désespéré. Pour citer un exemple, lorsqu'il affirmait et maintenait qu'il était né le premier. J'avais fini par le laisser dire, après tout, si ça l'amusait... Au même moment, Aphrodite s'approcha de l'homme en face de nous, avec toute sa douceur naturelle, trop occupée avec Hermès, je ne l'avais pas vu faire, sinon je l'aurais empêchée. Je jetais néanmoins un regard de reproche à Arès, lui, il n'était pas occupé avec notre imbécile de frère, il aurait pu le faire. Et ce qui ce passa ensuite, ne fit qu'empirer la situation, Aphrodite hurla, et tomba à terre, aussi, ni une, ni deux, je fit apparaître mon arc dans ma main droite, et avec l'autre, attrapait une flèche que je m'empressais de tirer, néanmoins, l'homme l'esquiva. Ma mâchoire faillit, se décrocher, je venais de manquer ma cible. Moi, Artémis, la déesse de la chasse, celle qui n'avait jamais raté une seule fois sa cible en cinq millions d'années, je venais de la manquer. Autant dire, que ce fut une blessure faite au fer chaud dans mon orgueil et mon égo. Arès, me dit qu'il s'agissait d'un cavalier de l'Apocalypse, c'est à ce moment que la légende me revint en tête. Aussi ne pus-je m'empêcher de laisser échapper un juron. S'il s'agissait, réellement d'un cavalier, comme le disait mon frère, on était dans la mouise, sérieusement, dans la mouise et évidement, nous n'étions que quatre, dont un seul avec une arme divine en sa possession, d'après, ce que j'avais compris, Hadès aussi était en ville, et cela ne lui serait pas venu à l'esprit de venir nous aider ? Non bien sur, que non. Je serrais les dents, et promis intérieurement, de déverser ma verve sur mon frère une fois que je le verrais, il allait s'en prendre plein la tronche, ça c'était sur, quitte à lui hurler dessus jusqu'à n'avoir plus de souffle ou de voix. Hermès, ne sembla pas croire Arès, quand il lui dit qu'il s'agissait d'un cavalier, il croyait, tout simplement, qu'il s'agissait d'une farce et pensait que c'était Dionysos, là je l'avoue j'étais vraiment à bout de patience, cela n'arrivait que très rarement mais là vraiment je n'en pouvais plus, Hermès m'exaspérait bien trop :
- Espèce d'abruti ! Tu crois sérieusement que j'aurais manqué ma cible s'il s'agissait de Dionysos ? Je n'ai jamais raté personne, pas même un dieu, tu pourras demander à Apollon s'il s'avère qu'il est toujours en vie et qu'il s'est installé je ne sais trop où, il est aussi doué que moi à l'arc, et je l'ai quand même touché, lors d'une dispute. Seule quelque chose de bien plus puissant qu'un dieu, pourrait faire ça !
J'étais énervée, ça y est, Hermès était vraiment stupide quand il voulait, puis le cavalier, s'adressa à mon autre frère, puis tout d'un coup, son aspect changea. Nous étions, face à un cas de possession, malheureusement, je ne pouvais pas lancer de flèche purificatrice, il était bien trop puissant, cela n'aurait absolument, aucun effet. Il s'adressa ensuite à nous tous, « les dernières lignes de l'Olympe » nous appela-t-il, puis il parla de notre père, insistant bien sur ce dernier mot, je retins de justesse un frisson. Cela ne pouvait venir que de Chronos, le roi des Titans, si l'homme en face de nous était dangereux, Chronos, ,l'était encore plus et nous avions, sa marionnette devant nous. Hermès, déplia son bâton, peut-être n'était-il pas si stupide que ça après tout. Mais avant qu'il n'ai pu esquisser le moindre geste, une colonne d'air chaud s'abattit sur lui. Je me devais de réessayer, à nouveau je pris une flèche et la tirai, mais au lieu d'esquiver, il se contenta de sourire, et de la renvoyer, je n’eus malheureusement pas le temps d'esquiver, et ma propre flèche, vint se planter dans mon épaule. Provoquant par la même occasion, une vive douleur dans cette dernière, et la paralysant par la suite. Je retins le hurlement de douleur qui menaçait de sortir de ma gorge. C'était donc ça, la puissance d'un cavalier de l'Apocalypse ? Et bien soit, si je devais combattre jusqu'à la mort, je le ferais, mon unique regret aura seulement été de ne pas savoir si mon double était toujours en vie ou non. Non, ça suffit Artémis, arrête de sans cesse penser à ça, tu ne gagneras rien en ayant toujours cet espoir, et en vivant dans le passé, tu devais avancer, ta famille avait besoin de toi
- Hadès sifflais-je tout bas, si je meure, soit sur et certain, que je trouverais un moyen de venir te pourrir la vie, après avoir rendu l'âme, histoire de te remercier de ta précieuse aide
Oui, ça m'arrivait souvent, de proférer des menaces contre un de mes frères dans ce genre de situation. Puis, il se mit à attaquer le bouclier avec sa balance, l'air devint quasi irrespirable, vu la chaleur qui s'en dégageait. Mais je devais bien admettre que je craignais pour notre cité, qu'arriverait-il si jamais il parvenait à pénétrer dedans ? Non, encore une fois, je ne devais pas, penser à ce genre de choses. Hermès, sembla soudainement se rendre compte, que non, tout ceci n'était pas une farce orchestrée par, Arès, Aphro et moi. Il était temps. Je le vis, ramasser le bâton, et l'allonger, pour qu'il aille frapper, la tête du cavalier, malheureusement, il s'arrêta à quelques mètres, de la tête de ce dernier, je l'entendis s'énerver contre notre frère, mais je n'y prêtais pas attention, je me relevais, malgré la douleur lancinante dans l'épaule :
- Je ne vous serais pas d'une grande aide, pour le moment, j'ai l'épaule paralysé, pour un moment, cela peu tout aussi bien durer, 10 minutes comme 1 heure, tout dépend
Je m'étais, à mon tour approché d'Aphrodite, et m'étais mise à sa hauteur pour lui parler :
- Aphrodite, si tu veux, je peux te ramener, je reviendrais ensuite pour aider les deux autres. Mais tout dépend de ce que tu veux faire. Personne, ne peut te forcer à abandonner la partie, tout comme personne ne peut te forcer à rester. Le choix est entièrement tiens
Je savais, qu'elle avait un enfant, et ce n'était certainement pas son père qui s'occuperait de lui, si jamais elle venait à mourir. C'est pourquoi, j'aimerais qu'elle pense pour une fois, à elle, plutôt qu'aux autres. Puis je m'adressais à Hermès :
- Nous sommes, des dieux, c'est vrai mais nous ne sommes pas pour autant invincible, et si il est comme je le crois au service d'une personne bien plus puissante, il doit connaître nos points faibles
Et je devais admettre, que cela n'annonçait rien de bon pour la suite des événements
Résultat du lancé de dés : Artémis : 90% Jaime : 300%
Aryana Cloud-Sandman
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“ Vous ne pourrez jamais comprendre.
Tout ce que je fais, je le fais pour Elliot. ”
| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Aphrodite
J'étais révoltée. Foncièrement irritée par leur comportement. Ils me pensaient tous incapables de me battre. Convaincus par mon apparente fragilité, ils me conseillaient de partir, alors que nous étions tous concernés par cette attaque dirigée contre Olympe. N'étais-je pas une déesse comme eux ? N'étais-je pas leur égale ? Ils me voyaient tous comme une enfant... Cinq millions d'années n'avaient pas changé leur vision des choses. C'était affligeant.
Je ravalai mes larmes de rage. A ma vision se superposait les images que m'avaient imposé le Cavalier une seconde fois. Le néant, le désespoir, un abysse dans lequel il cherchait à me faire tomber... Je n'aurais pas du tenter de croiser son regard. Je comprenais mon erreur que trop tard. Il s'était créé une sorte de connexion entre nous. Il cherchait à me faire ployer, à contrôler une partie de moi, à parasiter mon esprit. Je penchai la tête de gauche à droite, fermant les yeux un court instant pour me recentrer. Une chose que le Cavalier ignorait, que mes frères et soeur ne savaient pas non plus : je possédais plus de volonté que n'importe qui. Personne, absolument personne ne me dicterait ses choix. Ils pensaient que j'étais incapable de me battre alors que je le faisais déjà. Je combattais l'acharnement du Cavalier à s'immiscer dans mon être. Il ne m'aurait pas. Ma détermination serait un rempart contre sa folie.
Puis la chaleur... La fournaise nous entoura. Je respirai par saccades, j'avais la sensation que ma chair brulait au contact de la vapeur invisible. Arès écarta son bouclier de nous, comprenant que le métal ne pouvait rien contre ça. Je posai une main contre son avant-bras, cherchant à l'apaiser par ce simple contact. Je ne voulais pas qu'il s'emporte. Nous devions rester unis cette fois-ci plus que jamais. Un seul écart de conduite pouvait nous être fatal.
Bien entendu, Hermès ne put s’empêcher de fanfaronner avec son bâton. Ma main se crispa contre le bras de Arès quand je vis le blondinet lever son bâton vers le Cavalier. Fort heureusement, il n'atteignit pas sa cible... S'il s'était trouvé plus près de moi, je l'aurais giflé pour son manque de clairvoyance. Ce qu'il me proposa ensuite termina de me faire perdre mon sang-froid.
"Tu devrais rentrer à la maison, le temps qu'on finisse là."
Artémis me proposa la même chose, après deux flèches décochées. Et voilà, nous y étions. A l'aube d'une guerre sans merci, mon frère et ma soeur se souciaient davantage de ma sécurité que de la survie du monde entier. J'aurais pu me sentir flattée par leur prévenance, mais la colère bouillonnait en moi. Je voyais très bien qu'ils pensaient que j'étais une gêne inutile. J'enlevai ma main du bras de Arès, sans oser croiser son regard. Si j'y avais lu la même chose, j'aurais été capable de commettre un meurtre.
Je souffrais de voir Artémis blessée. Elle avait lancé une flèche que le Cavalier lui avait renvoyée et fichée dans son épaule. Elle avait tout de même trouvé la force de se relever pour me proposer de me ramener en bas, sur terre. Trop aimable... En plus du reste, elle pensait que je ne pouvais me téléporter à ma guise. Oh, pauvre Aphrodite qui a subi une attaque cérébrale du Cavalier... Je posai les yeux sur la blessure d'Artémis, me demandant si elle se moquait de moi.
"Tu as une flèche plantée dans ton épaule. Je suis encore en un seul morceau, et c'est toi qui veux jouer le taxi ? Ma soeur, je crois que tu n'as plus le sens des réalités..."
Avec application, je refermai ma main blanche autour de la flèche, sans offrir le moindre regard à Artémis. J'étais focalisée sur sa blessure. Sans prévenir, j'arrachai la flèche de son épaule, ignorant le hurlement à la fois surpris et douloureux de ma soeur. "Dans une famille, il faut savoir faire les bons choix au bon moment." dis-je, déglutissant avec peine.
Imperturbable, je me penchai pour arracher un bout de ma jupe et faire un garrot avec le morceau de tissu.
"ça devrait arrêter l'hémorragie. Essaie de te régénérer et arrête de dire des choses aussi stupides qu'Hermès." lui dis-je fermement. "On est ensemble. On le restera jusqu'à la fin."
Je lui pris la main pour la serrer avec force et chaleur. Je faisais la même chose avec Elliot lorsqu'il se blessait étant petit. Sauf que cette fois-ci, le niveau de souffrance allait certainement atteindre son paroxysme. Qu'importe, j'en avais déjà fait les frais. Et ce n'était qu'un début... A aucun moment je n'avais eu l'intention de partir. Je savais que le seul moyen de protéger efficacement ceux que j'aime était de rester à l'épicentre du problème.
"Hermès, Arès, protégez Artémis le temps qu'elle se soigne."
Je devais leur montrer que je n'étais pas en sucre, que j'étais tout aussi apte qu'eux à me salir les mains et à souffrir pour le bien de tous. Je lâchai la main de ma soeur pour me tourner vers le Cavalier, qui riait du spectacle qui s'offrait à lui. "Si j'étais toi, je me la fermerais." fis-je entre mes dents.
Je levai mon fusil à pompe vers lui, fermai un oeil, visai et tirai. Le coup de feu partit et le percuta en pleine poitrine. Je rechargeai d'un coup sec avant de pointer mon arme vers la balance. J'hésitai une seconde, pas plus. La seconde balle partit du canon et se dirigea vers l'objet...
Aphrodite : 100% Jamie : 290%
lumos maxima
Connor Williams*
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| Avatar : Gerard Butler
| Conte : Intrigue divine | Dans le monde des contes, je suis : : Arés/Mars
Notre situation était loin d'être enviable, je dois l'avouer. Puis le cavalier fit une référence me félicitant de ma clairvoyance sur un ton hautain. Il me prenait de haut ! Lui qui n'était qu'un parasite ! Comment osait il ? Puis alors que je m'enrageais et que ma fureur commnçait à redevnir celle qu'elle était avant, le cavalir changea lui aussi de tenue. Il nous prenait quand même un minimum au sériux, c'était déjà cela ...
Famine passa enfin à l'attaque et balaya rapidement et facilement Hermès. Il se relèvera, après tout les cafards sont connus pour leur résistance. Puis alors qu'il avait à peine finit, une colonne de feu vint apparaître à mes côtés, je fis un pas de côté. La colonne embrassait même l'air environnant, Judas se serat sûrement senti plagié, si il avait été là ! Puis ce serpent brasier inanumé vola, comme si eut été un dragon, et fut transformer en un mur de lave qui fut battu contre la barrière d'Olympe s'en suivit un puissant séisme de quelques secondes duquel j'eus presque du mal à garder l'équilibre. La bataille ne faisait que commencer et ceci n'était que l'échauffement ...
Puis le combat commença au moment où je remarqua le cavalier apparaître derrière Aphrodite. Mode Dieu de la Guerre enclenché !
Sans un mot, je serra de toutes mes forces son bouclier et d'un geste ample, je mouvais ma main d'un rapide et brutal balayement horizontal lançant mon bouclier vers Famine avant qu'il ne touche la déesse de l'amour.
Puis, le parasite divin me provoqua ... Ma rage était à son apogée mais mon excitation et ma soif de sang aussi. Sans le savoir, un sourire couvrait mon visage. Le sourire du guerrir qui vie le plus excitant combat de sa vie, et peut être son dernier.
Artémis et Hermés furent les plus prompts à réagir. L'un tenta de le blesser avec son bâton qui n'était pas assez près tandis que la maitresse de la lune venait de se faire renvoyer ses flèches ce qui la paralysait. Alors que mes deux frères et soeurs n'avait encore rien réussis, Aphrodite se révolta après s'être occupé de l'archère.
Elles nous demanda au Messager et à moi de s'occuper de la Chasse. Et tira un coup de feu sur le cavalier et un autre sur sa balance.
Je souriais encore puis vint me mettre juste à côté d'elle, lui répondant alors :
" Tu me connais, je vais pas t'écouter et me battre. Après tout je suis comme ça "
J'eus un petit rire pour ensuite me décider à passer à l'action. J'allais commencer par attaquer de distance. Je fis alors apparaître au dessus de nous tous, dans le vide à environ cinq mètres de hauteur une vingtaine de lances. Chacunes étaient singulières, quelques lames courbés, d'autres à doubles lames ... etc
Je regarda alors le cavalier, toujours mon sourire presque malsain au visage :
" Désolé de ne pas te combattre en 1 contre 1 mais bon "
Puis j'abaissa ma main de toute vitesse. Les lances partirent tous dans une impulsion fulgurante. La plupart se dirigait vers mon ennemi et une le toucha au visage tandis que cinq petites rebelles se dirigèrent vers la monture de l'effroyable et funeste cavalier.
Arés : 100% Famine : 280%
[HP : Désolé c'est pas super ]
Jamie Skyrunner
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- Maiiiis moi je veux être votre témoin !
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- Et là ... l'autre kassos ... qui veut me caser avec ma cliente ! Non mais c'est comme cette manie de prôner l'amour à tout va !
- Hahah toi aussi tu as eu affaire aux ninjas de l'amour ?
| Conte : La Planète au Trésor | Dans le monde des contes, je suis : : Jim Hawkins
And when he had opened the third seal, I heard the third beast say, Come and see. And I beheld, and lo a black horse; and he that sat on him had a pair of balances in his hand.
Il avait esquiver la flèche de la Chasseresse d'un revers de la main, sans plus de considération que si il avait chassé une mouche. Etait-ce vrai? Pas vraiment. Mais le feindre valait le plus ardent des mensonges. Il se contenta donc de sourire, avec mépris, tout en se mouvant pour contourner les Dieux, qui formaient malgré eux un cercle irrégulier. C'était un réflexe, mais le réflexe d'une proie. C'était... Jouissif. Ils semblaient à la fois désemparés et profondément ancrés dans une forme de colère ignorante. Le sourire qui habitait son visage faisait écho à celui qu'Arès affichait. Il avait plaisir à le voir ainsi, lui, le Dieu de la Guerre. Tout comme il prenait grand plaisir à voir une expression si farouche sur le visage de la Douce Déesse de l'amour. C'était si différent de l'air maternel qu'elle avait tenté d'établir pour lui parler. Oh non, pas lui parler. Pas à lui. D'un sourire, que son hôte n'aurait jamais eue, il revint sur ses pas, vers la balance, les forçant à bouger à leurs tours. Ils le firent sans se consulter, comme mû d'une conscience de groupe. Parfait. Cela rendrait la chose bien plus amusante. Artémis grimaçait de douleur alors que le poison de sa flèche pénétrait son sang, avec lenteur. Il ne doutait pas un instant des effets que cela aurait sur elle, elle ne fit que les confirmer en les relevant à voix haute. Il cacha un rire, sous un geste dédaigneux de la main. Ce rire n'était pas destiné uniquement à se moquer. A vrai dire, il trouvait ce mouvement délicieux. Cette décharge d'endorphine... Il avait beau avoir déjà vécu dans le corps d'un humain, il redécouvrait avec délice les fonctionnements de celui-ci. Le rire qu'il jetait vers le ciel était creux, vide, aride, mais cela lui convenait. N'était-il pas la Famine? La sécheresse, le rien, la douleur? Son rire n'était plus celui de son hôte. Puisant dans les souvenirs de sa conscience, il écouta un instant la différence entre ces deux tonalités, fournit dans une même voix. C'était... Délicieusement différent. Oui, il affectionnait d'aspirer de Jamie ce qui faisait sa personnalité, sa richesse, son être. Il le parasitait, le volait et c'était une chose qu'il adorait. Oh comme son hôte avait été bien choisi.... Si tourmenté, si violent. Si il ne l'avait jamais extériorisé, elle n'en demeurait pas moins présente, dans ses nerfs, dans son corps. Ses actions dénouaient les muscles, les nerfs, les actes passés sous silence. Combien de fois avait-il renoncé à la violence? Il allait remédier à ça. Quand Artémis, finissant de proposer à sa sœur le replis, se vit arraché la flèche de son épaule, elle retint un cri, avant de tourner le regard vers lui. Aussitôt, il plongea dans ses yeux. La noirceur de son regard explosa, inondant les chastes yeux de la Chasseresse. Comme sa soeur, bien que de façon différente, elle eut le souffle coupé. Il s'en délecta affectueusement. Et comme sa soeur, elle vit la noirceur, les abîmes de douleur, la violence déchirante de la famine, corporelle, mentale, affective, familiale. Elle vit la perte, le vol, l'arrachement. Elle ressentit la peine, la douleur, la faim. Et à nouveau, un sourire carnassier vint déchirer ce visage qui n'était pas fait pour cela. Il appuya un peu plus son regard, poussant la Chasseresse dans les tréfonds d'une abîme de pétrole... Quand une pression vint se loger contre ses pectoraux. Rompant docilement le contact, il libéra la déesse pour baisser les yeux vers son torse. La balle s'était loger contre l'armure, fumante encore. D'un geste presque scientifique, il la saisit entre son index et son pouce, relevant les yeux vers Aphrodite. Qui tira, bien plus bas, et bien plus à gauche. Il ne pût s'empêcher de trouver cela comique. La voir armée d'un fusil lui semblait bien risible, quand à sa tentative de briser sa balance... Il n'eut pas à attendre une seconde pour entendre le hennissement de Diaval. Relâchant la balle qu'il laissa tomber dans le sable, il fit un pas en arrière, recueillant entre ses mains la tête osseuse de Diaval, boitant. La balle s'était logée dans sa chaire, tandis qu'il protégeait la balance pour son maître. -Là, là, chuchota-t-il en caressant, presque avec amour, la robe noire. Sans quitter des yeux la déesse au fusil, il tendit la main, et Diaval posa entre ses doigts son sabot. Il murmura quelque chose, que seul la monture put entendre et soudain, la chaire se referma autour de la balle. Relâchant l'animal, il vit dans les yeux de la Déesse sa peine d'avoir blessée la créature, toute alliée de son ennemi soit-elle. Quelle noblesse d'âme! Quelle faiblesse... Diaval hennit, gravement, et ils se séparèrent. Leurs mouvements avaient un aspect de ballet, tant ils étaient coordonnées. Mais alors qu'il s'avançait vers les Dieux, il sentit, derrière ses yeux, une légère pression. Une perception nouvelle. Ah... La balle reçut avait du le ramener à la surface. Il percevait déjà son coeur s'affolant derrière la cuirasse, la confusion de cette seconde entité, enfermée. Parfait. Réveillons le un peu. Alors qu'Arès se prit à fanfaronner à son tour, il vit apparaître les lances, qui fusèrent dans sa direction. Si il claqua son talon sur le sol pour que Diaval prenne son envol, il se plaça sur la trajectoire de l'une d'elle, la laissant entamer sa joue. Il fit mine d'être surpris, portant la main à sa joue, colorant ses doigts de pourpre. Cela mit un instant. Juste le temps de mettre en scène sa surprise, de fixer ses doigts rougis, avant de relever les yeux vers les Dieux, léchant ses doigts de façon absente. Mais cela ne demanda pas plus. La conscience de Jamie s'affola aussitôt. La douleur traversa son esprit comme l'éclair, vive. Lui, la percevait de loin, à travers son hôte. Jamie eut comme un sursaut, et un instant, il crut à un rêve. Famine secoua la tête aussitôt. Oh non, ce n'était pas un rêve. Petit Jamie... Il était abasourdit. Effrayé. Seul. Perdu mais surtout révolté. Cela le fit sourire. Cela serait bien plus drôle désormais. Lui qui avait si bon fond... Que ressentirait-il en sentant ses doigts écrasés le coeur d'un Dieu? Il sentit son hôte frissonner à la formulation de cette pensée. Ecartant les mains, de chaque côtés de son corps, paume vers le sol, il défia d'un haussement de sourcil chacun de ses vis-à-vis. Diaval, haut dans le ciel, tournoyait autour deux comme un vautour. Du pied, il projeta un peu de sable au creux de la balance, et le processus reprit forme. La colonne de lave s'éleva derrière lui, telle une faucheuse. Il sentit Jamie perdre son souffle, mais sans lui laisser le plaisir de voir cette merveille de destruction. Et alors qu'à nouveau, les Dieux fixaient avec angoisse et perplexité la colonne de lave s'élever vers l'Olympe, une gerbe d'eau, projetée de l'Océan de Poséidon, traversa le rideau de feu, se changeant en acide brûlant, qui fusa vers les Dieux.
Hermès Messenger
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| Conte : Intrigue Divine | Dans le monde des contes, je suis : : Hermès, le messager
Après ce coup, c'était évident que Aphrodite était capable de se protéger toute seule. Bien que s'attaquer directement au cavalier, ça n'aurait pas été mon objectif si j'avais été l'un des autres dieux. La fuite non plus, n'allait pas croire. Mais j'aurai plus tenté de négocier ou de... On avait pas une armée à Olympe? Bon ok, la Cité était bloquée, mais elle pouvait bien trouver un moyen de venir? Arès aussi en avait une... Ou alors il fallait simplement lui dire qu'il n'était pas le bienvenue et lui demander gentiment de partir.
"Hé! Ne me parle pas ainsi, je voulais juste être gentil avec toi Aphrodite. Et puis je te rappel que je n'ai jamais demandé de venir ici et que par conséquent tu devrais au moins me témoigner un minimum de respect. C'est pas beaucoup ce que je demande..."
Ben oui, quoi. Elle pouvait être plus sympathisante avec moi. Le coup sur la balance n'avait pas fait de dégâts vue que le cheval du cavalier s'était mis au travers. Bon sang, mais qu'elle brute, il sacrifie son cheval ! Ou c'était plutôt le cheval qui se sacrifiait tout seul. Il avait une conscience? Il était vivant? C'était lui le lien? Il fallait peut être attaquer le cheval au lieu d'attaquer le chevalier. Mais pas sûr que ce soit une bonne idée, qui plus est, le cheval semblait bien résistant comparé à ce qu'on pourrait penser.
"Arès, tu ne penses pas que le cheval est..."
J'allais parler, mais il avait décidé d'attaquer directement. Ok, les lances c'était pas si mal que cela. Mais encore une fois ce satané animal faisait barrage. Il pouvait voler en plus? Mais pourquoi il s'acharnait à protéger le cavalier? Pourquoi il ne combattait pas plutôt avec nous? C'était nous les gentils dans l'histoire et un cheval c'était toujours censé être gentil.
"J'aime pas ça, je n'aime pas ça du tout..."
Je me parlais plus à moi même qu'autre chose. Le cheval qui protégeait son maître, le cavalier qui nous regardait comme s'il avait une faim de loup et qu'on était un steack bien saignant ou du moins qu'il aimerait saigner. La situation nous échappait totalement.
"Je propose qu'on batte en retraite le temps de se poser et de voir comment le battre, vous êtes avec moi?"
Je m'étais tourné vers les filles, mais pas sûr qu'elles se rangent de mon côté.
"Ou on pourrait appeler les autres, ça serait pas mal, non? Genre Hadès, ou Hadès, voir Hadès peut être... Quelqu'un avec une arme divine... Je sais qu'on t'a toi Arès, mais à deux c'est toujours mieux. Lui aussi il est deux si on compte son cheval suicidaire..."
Deux armes divines c'était mieux qu'une. Qui plus est, je me sentirais plus en sécurité avec Hadès à nos côtés. Je sais, c'est un fou, un psychopathe et il a tué la plupart de nos frères et soeurs, mais au moins il les a tués, donc il en est capable. Je ne me souviens pas d'un dieu qu'à tuer Arès... Pas que ça devrait devenir une habitude chez nos frères et soeurs, mais un qui l'a déjà fait, ça peut toujours servir... Surtout s'il est de notre côté...
"Dites, je vais aller chercher... oh par la queue d'Echnida !"
Pendant que je blablattais, le cavalier c'était mis à remettre du sable sur sa balance et... C'était de l'eau? Il avait fait venir de l'eau sur nous? De l'eau? Oh non, c'était pas de l'eau...
"Ca ressemble à un truc pas bien du tout, mais pas bien du tout du tout..." avais-je dit en regardant autour de moi. Il fallait se protéger.
"Bou...bou...bouclier..."
Je faisais bien entendu référence au bouclier de Arès qui nous serait d'une très grande aide, mais impossible pour ma part de le contrôler. En plus je n'étais pas sûr qu'il nous protége tous. Le bouclier était bien trop petit pour abriter autant de temps. Il nous en aurait fallu un chacun, ou alors... Oui...
"MAINTENANT !" avais-je hurlé en joignant mes mains l'une contre l'autre, en faisant apparaître comme une petite boule d'énergie dans mes mains, qui se transforma rapidement en une sorte de... Pate à modeler. Une fois fait, j'avais jeté la boule en l'air, droit sur le cheval de l'autre type pas beau, pas gentil et pas... pas... gentil, doublement pas gentil même! La boule avait poursuive sa trajectoire avant de contourner au dernier moment le cheval, de lui passer derrière et de grandir en une fraction de seconde jusqu'à devenir elle même un cheval blanc aîlé. Ce dernier ne perdit pas de temps et donna un coup de sabot à l'autre cheval qui fonca droit sur Aphrodite pour se prendre le jet d'acide à sa place.
"Bouge toi !!" m'étais je écrié en direction d'Arès pour qu'il comprenne de prendre son bouclier et de protéger Artémis avec lui. Quand à moi, il ne me restait plus qu'à... Qu'à... Mince, mon cheval était bien trop loin, bien trop haut... Je n'avais pas pensé à cette option... Comment fuir?
"Met toi à l'abri Pégase ! Vole ! Vole !"
Il n'avait plus le temps de redescendre me chercher puis de remonter. Il ne me restait plus qu'à attendre le jet d'acide qui me réduirait sans doute en cendres, mais je pourrai toujours revenir... Attendez...
"Idiot..."
C'était plus pour moi que pour quelqu'un d'autre... J'avais déployé mes ailes et je m'étais envolé pour m'éloigner le plus possible de la zone qui allait se faire toucher par le jet d'acide...
Cumul : Cavalier : 250% Hermès : 90%
Diane Moon
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“I love you to the moon and back”
| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Artémis la déesse de la chasse et de la lune herself (même si je viens du monde réel)
I send a pestilience and plague into your minde, into your soul
Encore une fois, j'avais dû mal m'exprimer, Aphrodite, pensait que je la trouvais faible, alors qu'en réalité c'était tout le contraire. Je l'avais bien souvent, et pour ne pas dire toujours, considéré comme la plus forte d'entre nous. La force, ce n'est pas seulement avoir une tonne de muscles comme Arès, bien que j'avouais que ses muscles nous étaient bien utiles en cas de bataille. La force, c'était aussi, se relever, malgré tout ce qui nous tombe dessus. Et Aphrodite l'avait toujours fait, malgré les épreuves qu'elle avait traversées. Je l'admirais, cela ne se voyait peut-être pas, mais je l'admirais sincèrement :
- Ce n'est pas...tentais-je de me rattraper
Je n’eus pas le temps de terminer ma phrase, puisqu'elle venait de m'arracher ma flèche, plantée dans l'épaule, je l'avais oublié celle-là tient, néanmoins, je ne pus retenir le hurlement de douleur. Je n'étais pas douillette, mais essayez un peu de vous prendre une de mes flèches dans l'épaule, et on en rediscutera. Je la laissais, faire un garrot sans broncher, mais lorsqu'elle me réprimanda, je protestais :
- Ce n'est pas ce que j'ai voulu dire, je n'ai jamais pensé que tu étais faible
Elle voulait rester jusqu'au bout. Je pouvais le comprendre, néanmoins, cela n'atténua pas le sentiment de culpabilité que je ressentais. Si elle mourait, que deviendrait son enfant ? Ces choses là, la plupart du temps me dépassaient, je n'étais pas une experte en maternité une fois de plus. Alors, je fis ce qu'elle me demandait, et essayait de me soigner. Je pouvais stopper l'écoulement de sang, mais pas la douleur, ni la paralysie. C'était fait exprès, justement. Lors de la conception, c'est moi même qui l'avait demandé ainsi. Je ne pouvais bien sur pas prévoir, que cinq millions d'années plus tard, je me retrouverais face à un cavalier de l'Apocalypse. Elle demanda, ou plutôt ordonna à nos deux frères de s'occuper de moi, le temps que je me soigne. Mais, j'étais presque aussi têtu, qu'elle, il était hors de question pour moi de devoir leur fait jouer les gardes malades, ils avaient des choses plus importantes à faire. Aussi, pendant qu'elle s'en prenait au cavalier, levais-je les yeux vers Arès. Un simple regard suffit à lui faire comprendre ce que je voulais « ne t'occupe pas de moi » et, il sembla comprendre, puisqu'il se positionna juste à côté de notre sœur, je détournais, par la suite mes yeux, pour me soigner. Me concentrant, et puisant dans mes ressources, je parvins, à concentrer un peu d'énergie régénératrice dans la paume de ma main. Cela devrait largement suffire , pour la blessure. Aussi tôt, je posais la dite main sur mon épaule, et transmis l'énergie sur ma blessure. Elle se referma. Mais, la douleur et la paralysie étaient encore présentes. Je devais attendre que ça passe, en serrant les dents. Je me tournais, vers le cavalier, je n'aurais pas dût. Son regard plongea dans le mien et aussi tôt, mon esprit fut inondé par la souffrance, cela pénétra jusqu'aux tréfonds de mon âme. J'eus envie de hurler, mais aucun sons ne sortie de ma bouche, alors je subissais, et quand haletante, j'entrevis la fin de tout ça, je pu remarquer, que j'étais à nouveau à terre :
- Tu es faible Artémis
Je connaissais, cette voix, elle appartenait à une personne, qui n'était pas avec nous aujourd'hui, mais qui ne cessait de venir hanter mon esprit :
- Ta gueule sifflais-je
Je n'étais pas faible, contrairement à ce que cette personne me répétait souvent. Je n'étais peut-être pas la déesse la plus appréciée, mais cela ne voulait rien dire. Elle n'était pas la perfection incarnée, contrairement à ce qu'elle avait toujours semblé croire. Je secouais la tête, inutile de penser à elle, et surtout à ça, en ce moment, j'avais plus à faire que de me préoccuper de petits problèmes d'égos. Hermès me ramena sur terre, il proposa d’appeler les autres. Par les autres il entendait Hadès. Je soupirais, ce qu'il pouvait être naïf
- Hermès, Hadès lui aussi a dût ressentir cette force, et il n'est pas là ? Qu'est que tu en conclu ?
Je le regardais droit dans les yeux, attendant une réponse, et puisqu'elle ne venait pas, je répondis à sa place :
- Moi, j'en conclu qu'il n'a nullement l'intention de venir
Peut-être avais je tort, ou peut-être avais je raison. Quoi qu'il en soit, c'était ce que les faits me disaient. Et j'avais plus envie d'être rationnelle, qu'autre chose pour ma part actuellement. Tout rationaliser, permettait, par moment d'éviter les déceptions. N'ayant pas, vraiment suivit ce qu'il se passait, ce n'est que lorsqu'Hermès, bégaya le mot « bouclier » que mon attention se focalisa à nouveau sur le cavalier. Si j'ignorais, pourquoi, mon frère avait bégayé ce mot, je ne pus que constater, que le cavalier faisait venir de l'eau sur nous, ce n'est qu'après que je compris, ce n'était pas de l'eau, c'était de l'acide :
- Arès ! Protège Aphrodite ! Hurlais-je
Puisqu'elle voulait rester, autant qu'elle soit celle qui ai le plus de chances de survivre
Voyant le combat qui faisait rage, je ne pus m'empêcher, d'émettre un bruit de frustration, tout le monde, même Hermès s'y mettait, et moi, je m'étais faite avoir comme une débutante. Je n'étais pas fière de moi, non pas fière du tout. Je sentais, la douleur, et la paralysie, se dissiper petit à petit, encore un peu de patience, la prochaine fois, je ne le raterais pas, je me le promettais
Aryana Cloud-Sandman
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“ Vous ne pourrez jamais comprendre.
Tout ce que je fais, je le fais pour Elliot. ”
| Conte : Hercule | Dans le monde des contes, je suis : : Aphrodite
J'avais détourné les yeux quand j'avais vu le cheval se mettre sur la trajectoire de la balle destinée à la balance. La monture avait protégé l'instrument au péril de sa vie et le Cavalier l'avait guéri sans aucun souci. J'avais tenté de ne pas me laisser envahir par la peine qui m'assaillait. Ce cheval n'était pas vraiment un animal, il était un monstre. Le serviteur de celui qui tentait de conduire Olympe à sa perte. De toutes façons, je savais que le Cavalier cherchait à me déstabiliser. Il voulait toujours s'insinuer dans mon esprit. C'était lui qui insistait pour que je ressente du chagrin... Je plissai les yeux. Il venait de me révéler sans le vouloir un atout stratégique.
Je comptais sur le fait que Arès n'écoute pas ma demande. Je le connaissais depuis très longtemps, et si je savais quelque chose sur les membres de ma famille, c'est qu'ils ne changeaient jamais. Nous étions immuables, comme des points fixes dans le temps et l'espace. Nous avions beau tenter d'évoluer, de nous surpasser, nous finissions toujours par retomber dans nos travers passés. Ainsi étions-nous faits.
Je levai la tête vers la vingtaine de lances qui venaient d'apparaitre au-dessus de nous, toutes dirigées vers notre ennemi. Les balles que je lui avais envoyées n'avaient pas causé grand dommage. Je ne m'attendais à rien de particulier, de toutes façons. Ce stupide fusil à pompe ne servait pas à grand-chose. Il aurait fallu quelque chose de plus puissant... Comme une arme divine. A cet instant précis, Hermès mentionna Hadès et je sentis les muscles de ma mâchoire se contracter. "Oublie-le. Oublie Hadès. Il ne viendra pas." dis-je fermement.
Et c'était en partie ma faute... Si je n'avais pas érigé un bouclier autour de la ville, il se serait peut-être montré plus conciliant à venir nous aider... Peut-être était-il encore temps ? Je réfléchis à toute vitesse. Pouvais-je quitter le combat pour lever le bouclier dans le monde d'en bas ? Me suivrait-il ? La tourmente devait également régner sur terre. Le Cavalier n'était pas seul... Il y en avait d'autres. Judah accepterait-il de nous aider si je le libérais ? Il pouvait se montrer tellement entêté parfois... Artémis avait tiré d'autres conclusions de l'absence de Hadès et j'hésitais à dire la vérité. Il était loin d’être un saint mais je ne souhaitais pas ternir davantage sa réputation déjà bien endommagée.
Brusquement, les lances de Arès foncèrent vers le Cavalier mais j'étais bien trop dans mes pensées pour réagir convenablement à la suite des évènements. Trop rêveuse... C'était toujours mon point faible qui exaspéraient mes frères et soeurs. Je n'étais pas taillée pour le combat. Pourtant, je me retrouvai au coeur d'un des plus importants. Mon cerveau fonctionnait à vive allure, mais subitement, il n'y eut plus rien. Un abysse sans fond, nimbé de flammes. Non, pas des flammes... De la lave qui s'élevait sur une dizaine de mètres de hauteur et qui déferla sur nous telle une vague immense... En chemin, elle se changea en acide. Je restai pétrifiée, serrant mon arme ridicule dans mes mains fébriles. C'était ainsi... Cela était en train de se produire. J'allais mourir ici et maintenant. Entouré de mes frères et de ma soeur.
J'aurais peut-être pleuré si l'air saturé de soufre et de chaleur n'asséchait pas mes larmes avant même qu'elles ne coulent. Perplexe, je vis Hermès confectionner un cheval blanc qui s'envola vers celui noir comme la nuit. Il lui donna un coup de sabot qui envoya ce dernier droit sur moi. Je ne parvins pas à l'éviter. Il me heurta alors qu'un jet d'acide allait me frapper. Je ne sais pas ce que j'aurais préféré. Avez-vous déjà reçu le poids d'un cheval sur vous ? Je peux vous dire que c'est très douloureux... L'étalon noir m'entraina avec lui sur plusieurs mètres avant de s'immobiliser. Grimaçant de douleur, je me redressai juste avant qu'il ne me piétine de ses sabots en se relevant, poussant des râles de souffrance.
Je ramassai mon arme qui était tombée lors de ma chute, jetai un coup d'oeil vers le ciel, avant de secouer la tête en voyant Hermès planer comme un imbécile en faisant des cercles, non loin de son cheval blanc.
"Tu peux redescendre, s'il te plait ?" m'écriai-je d'un ton réprobateur.
Il m'avait peut-être sauvé la vie, mais ses méthodes laissaient à désirer. Je ressentais une douleur lancinante à ma jambe gauche, celle que le cheval avait heurté de plein fouet, d'ailleurs j'avais quelques difficultés à marcher. Il me faudrait quelques minutes pour me régénérer, tout du moins si le Cavalier m'accordait ce luxe...
Vaillamment, je me précipitai du plus vite que je pouvais vers Arès et Artémis, boitant à moitié. Hermès nous rejoignit quelques secondes plus tard. "Je pense qu'il faut se focaliser sur le Cavalier." leur dis-je rapidement. "Le cheval n'est pas une cible, il s'en sert pour nous déconcentrer. Il faut tenter quelque chose de très gros contre cette chose qui nous barre accès à Olympe."
Je baissai les yeux sur mon arme dérisoire puis les levai vers Arès, plongeant un regard lourd de sens dans le sien.
"Je pense qu'il est temps que tu fasses venir du renfort." lui murmurai-je avec un petit sourire.
Il savait de quoi je voulais parler. Je suppose qu'il voulait garder son armée en dernier recours, mais justement, nous n'avions plus beaucoup de temps. C'était le moment de jouer quitte ou double. J'avais vécu une vingtaine d'années à Las Vegas. Les paris risqués, ça me connaissait.
"Artémis ? Dès que tu peux, envoie une salve de flèches sur cet individu. Quant à toi..."
Je jetai un regard désobligeant à Hermès.
"Tu sais fabriquer des choses utiles avec ta pâte à modeler ?"
Tandis que je parlais, le cheval blanc fondit en piqué avant de s’arrêter jusqu'à nous et de se mettre à siffler comme un oisillon. "Autre qu'un canasson qui se prend pour un moineau ?" ajoutai-je, la mine sombre.
Quelle fine équipe nous formions ! J'insistai, même si ça me semblait étrange de me prendre pour la meneuse du groupe :
"Il faut unir toutes les forces que nous possédons si nous voulons avoir le dessus sur lui, et tout lui balancer en même temps."
L'image de Judah s'imposa de nouveau à mon esprit. Je n'avais pas d'autre choix. Si on voulait avoir le dessus, il fallait Hadès et son arme divine. Je fermai brièvement les yeux, chancelant sur ma jambe blessée. Je agrippai à Hermès pour ne pas tomber. Jamais je n'arriverai à me téléporter sans être totalement guérie... Il faudrait attendre quelques instants, si je parvenais à me réparer. Moi seule pouvait briser le bouclier qui retenait Judah. Je ne pouvais envoyer personne à ma place. On devait envoyer une première attaque sur le Cavalier, et ensuite je pourrais aller chercher Judah, le trainer de force s'il le faut...
Aphrodite : 80% : Jamie : 250%
lumos maxima
Connor Williams*
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| Avatar : Gerard Butler
| Conte : Intrigue divine | Dans le monde des contes, je suis : : Arés/Mars
Après la lave voilà que l'autre parasite nous attaquait avec de l'acide. On peut le dire qu'il savait comment faire pour bien nous gèner celui là, mais vraiment à ce moment j'en connais certains qui auraient même applaudis la performance ... Aphrodite me cria d'aller Aphrodite mais celle ci fut sauvé par Hermés, comme quoi il y a toujours de l'espoir même dans les cas qu'on pourrait croire perdus. J'utilisa pour ma part mon bouclier pour me protéger, inclinant mon bras gauche d'un angle proche de 120 degrés et tenant fermement le cercle d'acier olympien. L'acier olympien, le meilleur de tout les matériaux surtout si cela est fait par notre frère Hephaïstos, on peut tout dire sur lui mais nivea forgeage il touche sa bille !
Ainsi, je repoussa l'attaque du cavalier funeste cependant un peu d'acide vint toucher mon bras. La douleur fut minime et aucun bruit ne sortit de ma bouche, j'avais connu pire. La blessure guérira dans peu de temps. Puis chacun pleurais ou enrageait à propos de l'absence de Hadès. C'est vrai qu'il n'était pas là, heureusement qu'il se considère comme " Chef de l'Olympe " celui là. Je préféra me taire et observer l'ennemi. Etre vif et concentré, je ne suis pas la proie, je dois devenir le chasseur, le prédateur. Je n'ai pas le droit de mourir, je ne dois pas puis je ne veux pas. La mort était à ceux qui abandonne et ce combat, cet affrontement m'éxaltait tellement que j'en tremblais presque. Mon sourire toujours au lèvres, je respirais l'air de cette apocalyptique bataille, de cet ultime affrontement. L'air était chaud, lourd, humide mais je continuais à inspirer cet air divin qui affutait mes sens, me faisait garder la tête sur mes épaules tout en amenant l'euphorie de ce sanglant et titanesque face à face.
Puis Aphrodite parla d'abord de stratégie puis de renfort. Elle voulait que j'appelle l'armée de l'Olympe, mon armée, mes soldats revenants, mes immortels compagnons. Je l'écoutais attentivement tout en ne quittant pas un instant Famine du regard. Et une fois qu'elle eut finie, je prit la parole. Il est vrai qu'à ce moment, ma parole valait plus que celles d'autres. Je suis le dieu de la Guerre après tout. J'étais déçu de devoir appeler mon armée, j'aurais même voulu combattre cet adversaire seul mais la protection de notre planète était plus importante que mes désirs.
" Je pense qu'il faudrait qu'on se concentre à la fois sur le cavalier, le cheval et la lance. La balance a l'air d'être importante pour lui, peut être cela a un rapport avec la source de ses pouvoirs. Mais il est vrai que se concentrer sur le cavalier n'est pas non plus une si mauvaise idée. Donc que chacun décide de ce qu'il veut faire "
D'une posture noble, Arès regarda furtivement la déesse de l'Amour avant et je fit qulques pas en avant avant de m'écrier :
" Immortels votre Commandant vous appelle "
Puis quelques secondes de silence. Et enfin
Et soudain, un bruit lointain se fit entendre, régulier et assourdissant. Un nuage, un horizon de fumée se faisait voir derrière les dieux. Il s'agissait de la marche militaire des Immortels, la terrifiante armée du dieu guerrier venait en renfort, tout les dieux la connaissait, tout les dieux la redoutait . Le bruit continua encore, la marche militaire continuait. Le paysage de l'Olympe avait presque disparu et seuls apparaissaient les corps et visages de l'armée olympienne qui avait jadis exterminer les nymphes et les cyclopes. Ne laissant la vie qu'à un seul être durant ces guerres. Elle avait été endormie, mais maintenant l'armée guerrière divine avait soif de combat et de sang.