Amelia n'avait peut être pas fait de grandes études et ne comptait peut être pas tellement dans la vie de Storybrooke mais elle parvenait quand même à être plus ou moins heureuse. Professionnellement parlant, en tout cas, elle avait trouvé son bonheur, un métier pour lequel elle était réellement douée. Et quand on la connaissait, ce n'était pas peu dire.
En effet, Amy - puisque tout le monde l'appelait ainsi - n'avait pas une très bonne réputation, surtout au sein de sa famille. Certes, elle était gentille et voulait bien faire mais elle était surtout extrêmement maladroite, ce qui agaçait pas mal de personnes. Et elle le savait. Pourtant, la jeune femme n'était pas pour autant une empotée et elle possédait même quelques dons qu'ils étaient bien obligés de reconnaitre. D'ailleurs, ils aimaient bien son don de cuisinière, dont elle avait choisi de faire son métier. Et, par gourmandise puisqu'il s'agit d'un vilain défaut, elle avait choisi de se tourner vers le sucré. Amelia était donc la spécialiste du chocolat, des gâteaux et des confiseries et n'avait eu aucun mal à trouver un travail et des clients pour déguster ses oeuvres dont elle prenait grand soin.
Ce jour là, d'ailleurs, elle mettait la touche finale à sa pièce montée quand la cloche de la boutique tinta, signe qu'un client arrivait. Une cliente, en fait, d'après ce qu'elle put voir en levant juste assez les yeux pour finir de poser les fleurs en sucre tout en lui faisant comprendre qu'elle était à elle dans une seconde.
Une fois ce délicat processus achevé, la jeune femme salua sa gourmande d'un immense bonjour aussi chaud que le four où elle cuisait ses gâteaux. Puis elle contourna le comptoir derrière lequel elle travaillait et.... fit tomber une boite de chocolats.
- Oops, commenta t-elle en la ramassant. Promis, je ne vous vendrai pas celle-ci. Mais d'ailleurs, qu'est ce qui vous ferez plaisir?

Raiponce A. De Corona && Amélia Peters

[FB] Une délicieuse rencontre

De l'air, j'avais besoin d'air, ma mère me courait sur le système et je n'avais qu'une envie, c'était de partir m'aérer les neurones. J'aurais bien amené Quasi, mais mon beau-père ne voulait en aucun cas que celui-ci sorte de la maison. Heureusement pour moi, l'heure de ma pause avait bientôt sonné et il fallait absolument que je fasse faux bond à ma mère si je ne voulais pas encore être emprisonné dans son étreinte maternelle et sa boutique à l'odeur de fleur. Au final, j'attendis que l'heure tant attendu sonne et je me dirigeais vers l'arrière de ma boutique avec Dina qui faisait le gué. Il y avait rien a dire, j'avais vraiment une chienne en or. Je sortis par derrière et avec Dina, on s'était dirigée vers cette boutique de confiseries pas très loin de chez moi. D'un c'est un moyen comme un autre de se cacher et de deux, j'adorais regarder les gâteaux et rêver du temps ou moi aussi j'en faisais des tonnes et des tonnes … avant que ma mère décide de m'interdire l'accès à la cuisine. Ils avaient peur de grossir. J'entrais dans la boutique et regardais la femme travailler, elle avait la main douce et une super maîtrise de ce qu'elle voulait.

▬Oops ! Promis, je ne vous vendrai pas celle-ci. Mais d'ailleurs, qu'est ce qui vous ferez plaisir?

Je me mis à rire, elle avait l'air vraiment gentille aussi, un peu maladroite, mais très gentille. Je lui
souris et ramassais la boite et les chocolats pour les mettre sur une table un peu moins encombré.

▬En fait, je suis surtout venue pour échapper à ma mère et vous regarder travailler. Je n'ai plus l'occasion de faire de la pâtisserie et des confiseries, ma mère et mon beau-père ont décidé que ça les faisaient tous grossir.

Je levais les yeux au ciel et soupirais.

▬Je peux vous aider à quelque chose ?

Les yeux brillants, je la suppliais du regard.

La petite blonde, qui n'était pas si petite que ça, en fait, ramassa gentiment la boîte et la replaça, sans commentaire. Amy lui en fut reconnaissante. Elle n'aimait pas surprendre ces regards lassé qu'on lui lançait parfois quand elle faisait tomber quelque chose. Ni ça ni les sous entendus, d'ailleurs. Amy n'avait pas besoin de ça, surtout pas quand elle était dans son monde. D'ailleurs, elle était ravie d'accueillir la jeune fille chez elle (en quelque sorte) même si elle ne semblait pas vouloir consommer.
- Je connais ça, raconta Amy en essuyant ses mains sur son tablier lorsque la jeune demoiselle lui eut expliqué ce qui l'avait réellement conduit dans la pâtisserie. En fait, ce travail me permet de faire un peu comme toi, de fuir ce que je n'ai pas envie d'affronter et d'avoir la paix.
Et de me sentir douée pour quelque chose, ajouta t-elle dans sa tête.
- En tout cas, tes parents ont tort de t'interdire de cuisiner, reprit elle à haute voix. Le sucre, ça fait au moins du bien au moral. Et puis on a qu'une seule vie alors en profiter un peu.
Surtout ici, songea t-elle aussi.
- Enfin bref, tu sais j'ai des enfants et je sais comment vous marchez. De toute façon, j'ai été une enfant moi aussi puis une ado alors évidemment, je sais comment ça marche. Tu fais bien le regard suppliant, c'est vraiment très convaincant. Mais inutile, ajouta Amy. Je n'ai pas besoin de supplications pour accepter d'avoir un commis. Mais à une seule condition: tu vas me faire le plaisir de goûter tout ce à quoi tu toucheras, sourit la jeune femme qui obéissait elle même à cette espèce de règle de la profession.

Raiponce A. De Corona && Amélia Peters

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Autant dire la vérité, je voulais réellement échapper à ma mère trop protectrice et trop … trop mère. J'avais l'impression d'avoir cinq ans et c'était vraiment insupportable. Je voulais vraiment vraiment vivre ma vie et faire ce que je voulais, mais elle ne semblait pas le vouloir elle. Mais heureusement, j'avais la chance d'avoir un beau-père qui adorait ma mère et du coup j'arrivais de temps à autre à partir pour vagabonder. Même si je savais que j'allais m'en prendre plein la tête quand je rentrerais.

▬Je connais ça. En fait, ce travail me permet de faire un peu comme toi, de fuir ce que je n'ai pas envie d'affronter et d'avoir la paix.
▬En tout cas, je suis fane de votre travail. C'est très beau, artistique ! Mais pourquoi vous voulez échapper à quelqu'un vous ?

Je suis rassurée qu'elle comprenne, je ne voulais pas la blessée en lui disant que je venais juste pour me cacher parce que du coup, j'étais heureuse d'être là et d'en apprendre un peu plus sur la cuisine enfin surtout sur celle touchant le côté sucré et gourmand.

▬En tout cas, tes parents ont tort de t'interdire de cuisiner. Le sucre, ça fait au moins du bien au moral. Et puis on a qu'une seule vie alors en profiter un peu.
▬Je suis tout à fait d'accord, mais j'ai eu beau les supplier rien à faire, c'est comme si je parlais à des murs.

Je soupirais, c'est vrai que j'avais l'habitude de faire énormément de choses dans j'avais des ustensiles dans les mains, mais c'était plus fort que moi. Quand je pouvais cuisiner, je le faisais avec plaisir.

▬Enfin bref, tu sais j'ai des enfants et je sais comment vous marchez. De toute façon, j'ai été une enfant moi aussi puis une ado alors évidemment, je sais comment ça marche. Tu fais bien le regard suppliant, c'est vraiment très convaincant. Mais inutile. Je n'ai pas besoin de supplications pour accepter d'avoir un commis. Mais à une seule condition: tu vas me faire le plaisir de goûter tout ce à quoi tu toucheras
▬Pas de soucis Chef, je viendrais à chaque fois que je ne serais pas à l'animalerie. J'ai trois heures sans rien faire, tu veux que je t'aide à quoi ?

Je ne savais pas pourquoi, mais je l'aimais déjà, j'avais l'impression qu'on allait vraiment bien s'entendre.

Chef. Ce surnom plut particulièrement à Amy qui n'avait pas l'habitude d'autant de prestige. Bien au contraire.
Encore un bon point pour toi, songea t-elle en observant la jeune fille qui lui semblait plus enthousiaste que jamais. En fait, Amelia aurait bien aimé que ses enfants partagent un peu sa passion, ainsi, elle aurait pu les y initier et ils se seraient surement beaucoup amusés. Mais pour le moment, ils ne voulaient pas. Apparemment, c'était ringard de trainer avec maman, alors elle les laissait faire, tout comme elle laissait sa fille se préoccuper un peu trop de son poids. Ah ça, la mode des régimes, elle ne comprendrait sans doute jamais. Heureusement, elle était en compagnie d'une charmante jeune gourmande et elle comptait bien en profiter.
Mais pour cela, il fallait un tablier à son commis. Juste au cas où car la demoiselle n'était surement pas aussi maladroite qu'elle. Néanmoins, Amy se dit qu'elle aurait peut être des problèmes si jamais la jeune fille revenait chez elle couverte de chocolat et autres produits auxquels elle n'avait apparemment pas le droit de toucher.
Joignant le geste à la parole, Amelia se baissa sous le comptoir pour en sortir un tablier:
- Avant toute chose, tu vas devoir t'équiper! déclara la jeune femme. Ensuite, je veux bien que tu m'aides à glacer les gâteaux dans l'arrière boutique. Si tu sais faire, sinon tu peux te contenter de manger du sucre, plaisanta Amy. Tu verras, le modèle est à côté, tu n'as qu'à reproduire les dessins, ils sont assez simples. J'ai hâte de deviner fan de ton travail, poursuivit-elle, grisée par l'idée d'avoir une admiratrice.
Même si, en fin de compte, elle ne faisait que son boulot.

Raiponce A. De Corona && Amélia Peters

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Heureuse, j'étais heureuse, vraiment heureuse. J'étais heureuse de pouvoir m'amuser avec d'autres personnes et oublier un peu cette mère trop étouffante. J'aimais ma mère, mais dès fois, j'avais l'impression qu'elle ne voulait pas que je vive ma vie. Comme si au final, j'étais un hamster prisonnier de sa roue de fer. Peut-être devrais-je lui être reconnaissante, mais j'avais besoin de liberté, de faire ce que je voulais et quand je le voulais. Je voulais qu'on arrête de me traiter comme une petite fille. J'étais une adulte et même si je risquais à tout moment des problèmes, je savais que je pourrais gérer seule. J'avais simplement besoin qu'elle est confiance en moi encore un peu. Rapidement la femme me donna un tablier blanc que je mis sans attendre, j'allais pouvoir m'amuser un peu j'étais contente.

▬Avant toute chose, tu vas devoir t'équiper!  Ensuite, je veux bien que tu m'aides à glacer les gâteaux dans l'arrière boutique. Si tu sais faire, sinon tu peux te contenter de manger du sucre, Tu verras, le modèle est à côté, tu n'as qu'à reproduire les dessins, ils sont assez simples. 

Elle me faisait confiance alors que l'on ne se connaissait pas et ça me mettais le baume au cœur. Je regardais Dinah qui attendait à la porte et lui fit signe de se coucher dans l'entrée pour gêner personne.

▬Tu restes là et tu fais attention à ne pas faire bêtise, j'ai pas envie de devoir recoller ce que tu as fait. Même si je sais que tu es adorable et que tu ne feras pas de mal à une mouche.

J'allais derrière et regardais les gâteaux que j'avais à glacer. Je ne risquais pas de m'ennuyer, j'adorais le dessin et j'étais sûre qu'avec un peu de fantasy ça pourrait être super. Bon je n'allais pas mettre trop de fantasy, je n'avais pas envie qu'elle me mette à la porte pour ça. Je pris mon temps pour faire tout ce qu'elle voulait et sur trois-quatre gâteaux de la fin, j'ai laissé mon imagination faire des siennes et dessiner des animaux, des lions, des chevaux et des caméléons. J'allais ensuite voir la dame et lui dire que j'avais fini.

▬J'ai terminé, bon je me suis légèrement lâchée sur la fin. D'ailleurs je voulais vous dire, je m'appelle Raiponce et j'ai 19 ans. Je tiens l'animalerie qui est pas très loin d'ici.

Lorsque la jeune fille sembla parler dans le vide, Amelia remarqua enfin la gentille touffe de poils qui semblait l'accompagner. Cette dernière se coucha dans un coin et ne bougea pas. Amy avait confiance. Elle pouvait sentir la bonté de l'animal et lui tourna le dos sans craindre la moindre casse. Quant à la demoiselle, elle fila dans l'arrière boutique, apparemment bien heureuse de se voir confier un peu de travail. Pendant ce temps, Amelia s'en retourna à ses choux.

Quelques temps plus tard, alors qu'elle finissait une belle pièce montée qu'elle exposerait sans doute en vitrine, la jeune fille revint, plutôt fière d'elle, ce qui ne pouvait que présager de bonnes choses. Preuve en était, la jeune fille - Raiponce - se présentait enfin, ce qui aurait été totalement idiot si elle avait saccagé les pâtisseries. Après tout, Storybrooke était assez petite, Amelia aurait eu vite faite de la retrouver.
Curieuse de découvrir comment son apprentie s'était "lâchée", Amy la suivit dans l'arrière boutique où, effectivement, tous les gâteaux étaient glacés. La jeune femme les examina soigneusement, sans mot dire. Un vrai inspecteur des travaux finis! Quand enfin elle eut tout regardé, elle releva la tête prête à donner son jugement.
Bien sur, Amelia était incapable de simuler la colère, aussi, elle n'essayait pas, se contentant de sourire.
- C'est vrai génial, commenta t-elle. Peu de gens savent aussi bien dessiner, qui plus est sur de l'alimentaire et sans modèle. Tu as du talent et je pense vraiment que tu dois l'exercer. Enfin, on demandera aux clients quand ils auront vu et acheté ton travail mais je pense vraiment que tu ne nous feras pas mettre la clé sous la porte. Ou alors les clients n'ont pas de goût, précisa Amy, juste au cas où. Bien sur je ne suis pas la grande patronne, juste l'adjointe, mais si tu permets j'aimerais prendre ton travail en photo pour leur montrer.

Raiponce A. De Corona && Amélia Peters

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Je n'avais jamais eu de problème avec Dinah, c'était un amour de chien qui se faisait toute petite quand il le fallait, mais qui n'hésitait pas à gronder. Heureusement pour beaucoup, ce n'était pas vraiment dans sa nature, même si elle n'aimait pas du tout ma mère et mon beau-père. Par contre, elle adorait Quasi, c'était comme si elle sentait quelque chose de bizarre chez les parents. Combien de fois j'ai du la faire passer par derrière pour qu'elle ne se fasse pas jeter dehors par Mère. Je montrais mes glaçages à Amélia et attendis sa réponse légèrement anxieuse.

▬C'est vrai génial, commenta t-elle. Peu de gens savent aussi bien dessiner, qui plus est sur de l'alimentaire et sans modèle. Tu as du talent et je pense vraiment que tu dois l'exercer. Enfin, on demandera aux clients quand ils auront vu et acheté ton travail mais je pense vraiment que tu ne nous feras pas mettre la clé sous la porte. Ou alors les clients n'ont pas de goût, précisa Amy, juste au cas où. Bien sur je ne suis pas la grande patronne, juste l'adjointe, mais si tu permets j'aimerais prendre ton travail en photo pour leur montrer.

Un soupire de soulagement sortit de ma bouche, au moins ça lui plait à elle. Heureusement que je continue de peindre quand j'ai du temps libre. Parce que sinon, je crois que je ne vendrais pas chère ma peau, je n'aurais plus de talent et ça ce serait horrible. J'aime ce que je fais et j'aime les tableaux que je peins... même si généralement, j'en mets plein partout …

▬Oh il n'y a pas de soucis. Je peins depuis … tellement longtemps que c'est une seconde nature. Si vous avez d'autre chose à me faire faire pour vous avancer, il n'y a pas de soucis. J'ai encore une bonne heure de calme.

Je souris et me dandinais sur les pieds, oui j'ai envie d'aider cette femme qui est tellement amicale et gentille. Elle pourrait être la mère de toutes les mères.

Amelia ne put qu'entendre le soupir de soulagement de Raiponce, ce qui l'amusa. De toute façon, elle n'aurait jamais rien dit de méchant, déjà parce qu'elle n'aimait pas ça mais aussi parce qu'elle était diplomate et surtout parce qu'elle avait senti que la jeune fille était non seulement intéressée mais aussi compétente. Ce qu'elle venait justement de vérifier avec bonheur. Et en plus elle acceptait qu'elle garde un trace de tout ce travail! Décidément, la journée était pour le moins réussie.
Allant chercher son appareil photo professionnel - qu'elle avait toujours sous le comptoir au cas où - la jeune femme revint vers Raiponce pour la suite du travail:
- Déjà, reprit-elle, tu peux aller poser tes gâteaux sur les présentoirs, comme ça tout le monde pourra les admirer et même les acheter, dans le meilleur des cas. Ensuite, tu vas pouvoir m'aider à faire les éclairs.
Amelia trouvait en effet la tâche facile et ne voulait pas commencer par lui demander de s'occuper des crèmes brûlées à l'aide du chalumeau. Car si jamais les parents de la jeune fille passaient par là, elle sentait qu'elle aurait plus de soucis qu'avec de la pâte à chou et de la crème pâtissière. Elle trouvait également plus amusant de fourrer des éclairs que d'utiliser un engin dangereux pour réaliser un dessert qu'elle même n'aimait pas manger. Quant à elle, elle mitrailla en vitesse les gâteaux afin de ne pas retarder Raiponce dans ses nouvelles missions.

Raiponce A. De Corona && Amélia Peters

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Elle photographiait mes glaçages .. j'étais assez étonnée parce que j'avais pas vraiment l'habitude que les gens le fassent. En fait, je n'avais jamais vraiment eu l'habitude de quoi que ce soit de ce genre. Généralement, je me faisais toute petite pour mes dessins et peintures.

▬- Déjà, reprit-elle, tu peux aller poser tes gâteaux sur les présentoirs, comme ça tout le monde pourra les admirer et même les acheter, dans le meilleur des cas. Ensuite, tu vas pouvoir m'aider à faire les éclairs.

Super, j'allais apprendre à faire des vrais éclairs, ce genre de pâtisseries que tout le monde adore, et étrangement que tout le monde dit ne pas aimer. Je pris mes gâteaux et les mis sur les présentoirs dans la boutique. J'étais tellement fière de les voir là. Sincèrement, j'étais contente de moi. Puis je me remis à côté d 'Amélia et m'empressais de faire comme elle.

▬Je te remercie de me faire confiance. C'est vraiment gentille de ta part.